Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
5A 522/2017
Urteil vom 22. November 2017
II. zivilrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter von Werdt, Präsident,
Bundesrichter Marazzi, Schöbi,
Gerichtsschreiber Zbinden.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Dr. Peter Steiner,
Beschwerdeführerin,
gegen
B.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Simon Haefeli,
Beschwerdegegner,
Bezirksgericht Baden, Familiengericht,
C.________.
Gegenstand
Prüfung einer Massnahme,
Beschwerde gegen den Entscheid des Obergerichts
des Kantons Aargau, Kammer für Kindes- und Erwachsenenschutz, vom 17. Mai 2017
(XBE.2017.17 / GM / DG / CM).
Sachverhalt:
A.
A.________ (Mutter) und B.________ (Vater) sind die unverheirateten Eltern einer Tochter namens C.________ (geb. 2009). Die Eltern schlossen am 11. März 2010 einen von der damals zuständigen Vormundschaftsbehörde genehmigten Unterhaltsvertrag. Seit September 2009 leben sie getrennt. Zur Begleitung des Besuchsrechts errichtete die Vormundschaftsbehörde U.________ am 14. Februar 2011 eine Erziehungsbeistandschaft, die indes am 21. November 2011 wieder aufgehoben wurde. Im Oktober/November 2014 kam die gemeinsame elterliche Sorge aufgrund einer Erklärung der Eltern gegenüber dem Familiengericht Baden als Kindes- und Erwachsenenschutzbehörde (Art. 298a
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 298a - 1 Si la mère n'est pas mariée avec le père et que le père reconnaît l'enfant, ou si le lien de filiation est constaté par décision de justice et que l'autorité parentale conjointe n'est pas encore instituée au moment de la décision de justice, les parents obtiennent l'autorité parentale conjointe sur la base d'une déclaration commune. |
|
1 | Si la mère n'est pas mariée avec le père et que le père reconnaît l'enfant, ou si le lien de filiation est constaté par décision de justice et que l'autorité parentale conjointe n'est pas encore instituée au moment de la décision de justice, les parents obtiennent l'autorité parentale conjointe sur la base d'une déclaration commune. |
2 | Les parents confirment dans la déclaration commune: |
1 | qu'ils sont disposés à assumer conjointement la responsabilité de l'enfant; |
2 | qu'ils se sont entendus sur la garde de l'enfant, sur les relations personnelles ou la participation de chaque parent à sa prise en charge ainsi que sur la contribution d'entretien. |
3 | Avant de déposer leur déclaration, les parents peuvent demander conseil à l'autorité de protection de l'enfant. |
4 | Si les parents déposent leur déclaration en même temps que la reconnaissance de l'enfant, la déclaration est reçue par l'officier de l'état civil. S'ils la déposent plus tard, elle est reçue par l'autorité de protection de l'enfant du lieu de domicile de l'enfant. |
5 | Jusqu'au dépôt de la déclaration, l'enfant est soumis à l'autorité parentale exclusive de la mère. |
B.
B.a. Mit Eingabe vom 4. Mai 2016 beantragte die Mutter beim Familiengericht Baden das alleinige Sorgerecht für die gemeinsame Tochter. Der Vater schloss auf Abweisung des Begehrens der Mutter und beantragte seinerseits die Regelung seines Besuchsrechts. Die Mutter beharrte in ihrer Eingabe vom 19. September 2016 auf dem alleinigen Sorgerecht für die Tochter und stellte überdies den Antrag, das Besuchsrecht des Vaters sei solange zu sistieren, bis sichergestellt sei, dass die Ausübung des Rechts das Kindeswohl nicht gefährde. In diesem Verfahren hörte die Fachrichterin des Familiengerichts am 5. Oktober 2016 die Tochter an. Mit Entscheid vom 12. Oktober 2016 wies das Familiengericht den Antrag der Mutter auf alleinige elterliche Sorge ab. Im Weiteren wurde der Vater berechtigt, seine Tochter jedes zweite Wochenende für drei Stunden begleitet (durch die "D.________ AG" oder eine ähnliche Institution) zu besuchen oder mit sich auf Besuch zu nehmen (Phase 1). Nach zehnmaliger erfolgreicher Durchführung des begleiteten Besuchsrechts gemäss Phase 1 wird der Vater berechtigt, seine Tochter jedes zweite Wochenende am Samstag oder Sonntag von 09.00 Uhr bis 18.00 Uhr zu sich oder mit sich auf Besuch zu nehmen (Phase 2). Nach zehnmalig
erfolgreicher Durchführung des Besuchsrechts gemäss Phase 2 steht dem Vater das Recht zu, seine Tochter jedes zweite Wochenende von Samstag 09.00 Uhr bis Sonntag 18.00 Uhr zu sich oder mit sich auf Besuch zu nehmen (Phase 3). Ab Phase 3 ist der Vater überdies berechtigt, mit seiner Tochter während der Schulferien insgesamt drei Wochen Ferien, davon zwei Wochen an einem Stück, zu verbringen. Ein weiteres Besuchsrecht in gegenseitigem Einvernehmen bleibt vorbehalten. Im Weiteren ordnete das Familiengericht für das Kind eine Beistandschaft gemäss Art. 308 Abs. 1
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.401 |
|
1 | Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.401 |
2 | Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.402 |
3 | L'autorité parentale peut être limitée en conséquence. |
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 308 - 1 Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.401 |
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1 | Lorsque les circonstances l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant nomme un curateur qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l'enfant.401 |
2 | Elle peut conférer au curateur certains pouvoirs tels que celui de représenter l'enfant pour établir sa filiation paternelle et pour faire valoir sa créance alimentaire et d'autres droits, ainsi que la surveillance des relations personnelles.402 |
3 | L'autorité parentale peut être limitée en conséquence. |
B.b. Dagegen gelangte die Mutter mit Beschwerde vom 10. Februar 2017 an das Obergericht des Kantons Aargau. Dabei stellte sie gleichlautende Begehren wie vor dem Familiengericht. Der Vater ersuchte am 30. März 2017 um Abweisung der Anträge der Mutter und um Bestätigung des angefochtenen Entscheides des Familiengerichts. Mit Entscheid vom 17. Mai 2017 wies das Obergericht die Beschwerde ab und ordnete in Ergänzung (von Dispositiv-Ziffer 3) des erstinstanzlichen Entscheides eine Mediation gestützt auf Art. 307 Abs. 3
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 307 - 1 L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
|
1 | L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
2 | Elle y est également tenue dans les mêmes circonstances à l'égard des enfants placés chez des parents nourriciers ou vivant, dans d'autres cas, hors de la communauté familiale de leur père et mère. |
3 | Elle peut, en particulier, rappeler les père et mère, les parents nourriciers ou l'enfant à leurs devoirs, donner des indications ou instructions relatives au soin, à l'éducation et à la formation de l'enfant, et désigner une personne ou un office qualifiés qui aura un droit de regard et d'information. |
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 292 - Quiconque ne se conforme pas à une décision à lui signifiée, sous la menace de la peine prévue au présent article, par une autorité ou un fonctionnaire compétents est puni d'une amende. |
C.
Mit Beschwerde vom 10. Juli 2017 (Postaufgabe) gelangt die Mutter (Beschwerdeführerin) an das Bundesgericht. Sie beantragt, den Entscheid des Obergerichts vom 17. Mai 2017 aufzuheben, ihr das alleinige Sorgerecht zuzuweisen und das Besuchsrecht des Vaters (Beschwerdegegner) solange zu sistieren, bis ein Ausschluss der Gefährdung des Kindeswohls durch die Ausübung des Rechts sichergestellt sei.
Es sind keine Vernehmlassungen eingeholt worden.
D.
Mit Präsidialverfügung vom 12. Juli 2017 wurde das Gesuch der Beschwerdeführerin um vorsorgliche Sistierung des Besuchsrechts abgewiesen.
Erwägungen:
1.
Angefochten ist ein das Verfahren abschliessender Entscheid eines oberen kantonalen Gerichts in seiner Eigenschaft als Rechtsmittelinstanz (Art. 75 Abs. 1
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 75 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.38 |
|
1 | Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.38 |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours, sauf si: |
a | une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique; |
b | un tribunal spécialisé dans les litiges de droit commercial statue en instance cantonale unique; |
c | une action ayant une valeur litigieuse d'au moins 100 000 francs est déposée directement devant le tribunal supérieur avec l'accord de toutes les parties. |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure. |
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 273 - 1 Le père ou la mère qui ne détient pas l'autorité parentale ou la garde ainsi que l'enfant mineur ont réciproquement le droit d'entretenir les relations personnelles indiquées par les circonstances. |
|
1 | Le père ou la mère qui ne détient pas l'autorité parentale ou la garde ainsi que l'enfant mineur ont réciproquement le droit d'entretenir les relations personnelles indiquées par les circonstances. |
2 | Lorsque l'exercice ou le défaut d'exercice de ce droit est préjudiciable à l'enfant, ou que d'autres motifs l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant peut rappeler les père et mère, les parents nourriciers ou l'enfant à leurs devoirs et leur donner des instructions. |
3 | Le père ou la mère peut exiger que son droit d'entretenir des relations personnelles avec l'enfant soit réglé. |
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 298d - 1 À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
|
1 | À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
2 | Elle peut aussi se limiter à statuer sur la garde de l'enfant, les relations personnelles ou la participation de chaque parent à sa prise en charge. |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 72 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile. |
|
1 | Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile. |
2 | Sont également sujettes au recours en matière civile: |
a | les décisions en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
b | les décisions prises en application de normes de droit public dans des matières connexes au droit civil, notamment les décisions: |
b1 | sur la reconnaissance et l'exécution de décisions ainsi que sur l'entraide en matière civile, |
b2 | sur la tenue des registres foncier, d'état civil et du commerce, ainsi que des registres en matière de protection des marques, des dessins et modèles, des brevets d'invention, des obtentions végétales et des topographies, |
b3 | sur le changement de nom, |
b4 | en matière de surveillance des fondations, à l'exclusion des institutions de prévoyance et de libre passage, |
b5 | en matière de surveillance des exécuteurs testamentaires et autres représentants successoraux, |
b6 | les décisions prises dans le domaine de la protection de l'enfant et de l'adulte, |
b7 | ... |
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 298d - 1 À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
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1 | À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
2 | Elle peut aussi se limiter à statuer sur la garde de l'enfant, les relations personnelles ou la participation de chaque parent à sa prise en charge. |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 76 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière civile quiconque: |
|
1 | A qualité pour former un recours en matière civile quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et |
b | est particulièrement touché par la décision attaquée et a un intérêt digne de protection à son annulation ou sa modification. |
2 | Ont également qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 72, al. 2, la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux et, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions.42 |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
|
1 | Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
2 | Le délai de recours est de dix jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
b | les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale; |
c | les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants93 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants94. |
d | les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets96. |
3 | Le délai de recours est de cinq jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change; |
b | les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales. |
4 | Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national. |
5 | En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
6 | ...97 |
7 | Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps. |
2.
In der Beschwerde ist in Auseinandersetzung mit den Erwägungen des angefochtenen Entscheides darzulegen, welche Rechte der beschwerdeführenden Partei durch das kantonale Gericht verletzt worden sind (Art. 42 Abs. 2
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
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SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 8 - Chaque partie doit, si la loi ne prescrit le contraire, prouver les faits qu'elle allègue pour en déduire son droit. |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.90 |
3.
3.1. Als Verletzung von Bundesrecht beanstandet die Beschwerdeführerin einmal die unterbliebene Bestellung eines Rechtsbeistandes für ihre Tochter.
3.2. Weder die erste Instanz noch das Obergericht haben für die minderjährige Tochter der Parteien einen Rechtsbeistand bestellt, obwohl sich die Anordnung einer entsprechenden Massnahme im Lichte von Art. 314a
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 314a - 1 L'enfant est entendu personnellement, de manière appropriée, par l'autorité de protection de l'enfant ou le tiers qui en a été chargé, à moins que son âge ou d'autres justes motifs ne s'y opposent. |
|
1 | L'enfant est entendu personnellement, de manière appropriée, par l'autorité de protection de l'enfant ou le tiers qui en a été chargé, à moins que son âge ou d'autres justes motifs ne s'y opposent. |
2 | Seuls les résultats de l'audition qui sont nécessaires à la décision sont consignés au procès-verbal. Les parents en sont informés. |
3 | L'enfant capable de discernement peut attaquer le refus d'être entendu par voie de recours. |
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SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 5 Principes de l'activité de l'État régi par le droit - 1 Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État. |
|
1 | Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État. |
2 | L'activité de l'État doit répondre à un intérêt public et être proportionnée au but visé. |
3 | Les organes de l'État et les particuliers doivent agir de manière conforme aux règles de la bonne foi. |
4 | La Confédération et les cantons respectent le droit international. |
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SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
4.
In der Sache strittig ist zunächst das Besuchsrecht des Beschwerdegegners.
4.1. Die Vorinstanz hat eine Aufhebung bzw. Sistierung des erstinstanzlich festgesetzten Besuchsrechts abgelehnt und zur Begründung im Wesentlichen erwogen, aus der Befragung der Tochter der Parteien durch die erstinstanzliche Fachrichterin ergebe sich, dass die Tochter derzeit den Besuchskontakt verweigere. Zur Interpretation dieser Verweigerungshaltung bedürfe es keines Fachgutachtens, könne doch zunächst auf die fachliche Beurteilung der vorinstanzlichen Fachrichter abgestellt werden, welche darüber hinaus mit dem dokumentierten Aussageverhalten der Tochter und mit den als Beilage verurkundeten Berichten über die erfolglosen Besuchskontaktversuche im Verlauf dieses Jahres (Bericht der Beiständin vom 15. März 2017, Bericht der zuständigen Personen der "D.________ AG", vom 16. März 2017) im Einklang stehe. Die Tochter lebe in einem evidenten Loyalitätskonflikt und ihre Verweigerung sei nicht auf einen Bruch der Beziehungsebene zum Beschwerdegegner zurückzuführen. Sämtliche Schilderungen von negativen Erlebnissen erklärten zwar eine schlechte und möglicherweise auch mit Angst kombinierte Erinnerung, vermöchten aber keine Angst vor einem Kontakt zum Beschwerdegegner zu objektivieren. Es gebe keine Schilderung der Tochter betreffend
einen Übergriff des Beschwerdegegners gegen sie selbst. Die Projektion dieser allenfalls mit Angst kombinierten Erinnerungen an den Kontakt zum Beschwerdegegner liessen sich nur damit erklären, dass die Tochter damit die Erwartungen der Beschwerdeführerin zu erfüllen versuche. Die Fotodokumentation der Kontakte mit dem Beschwerdegegner bis zum Jahr 2015 widerspiegelten jedenfalls einen unbeschwerten und nicht von Angst geprägten Kontakt und stehe in offensichtlichem Widerspruch zum Aussageverhalten anlässlich der Anhörung, was insgesamt nur mit einem Loyalitätskonflikt erklärbar sei. Dieser vermöge indes eine Sistierung des Besuchsrechts nicht zu rechtfertigen. Unterstrichen werde dieser Schluss mit den als Beilagen zur Stellungnahme der Beschwerdeführerin verurkundeten Berichten der Erziehungsbeiständin vom 15. März 2017 sowie der Begleitungsorganisation "D.________ AG" vom 16. März 2017 über die am 15. Januar, 29. Januar und 19. Februar 2017 durchgeführten Kontaktversuche zwischen der Tochter und dem Beschwerdegegner.
Zusammenfassend hält die Vorinstanz fest, die Tochter habe ganz offensichtlich rund um die Thematik der Besuchskontakte mit dem Beschwerdegegner Ängste entwickelt, die sich allerdings nicht objektivieren liessen. Ihr ganzes Verhalten sei vielmehr darauf ausgerichtet, die Erwartungen der Mutter zu erfüllen, die sich diesen Kontakten trotz ihrer anderslautenden Beteuerungen ganz offensichtlich verweigere. Dies gelange dadurch zum Ausdruck, dass die Beschwerdeführerin sämtliche Kontakte mit dem Familiengericht sowie den eingesetzten Vermittlungsorganen mit ihrer Anwesenheit zu kontrollieren versuche und mit Terminschwierigkeiten den Annäherungsprozess verzögere oder vereitele und so die unbeeinflusste Willensbildung der Tochter verunmögliche. Damit werde die Tochter in den Elternkonflikt integriert und dafür instrumentalisiert, wie dies schon mit der Einreichung von entwendeten Datenauszügen aus dem iPad des Beschwerdegegners vor der ersten Instanz der Fall gewesen sei. Diese Inhalte hätten offensichtlich keinerlei kindergefährdende Relevanz, sondern beträfen einzig die Beziehungsebene zwischen den Eltern. Die eskalierende Ablehnung von Besuchskontakten beeinträchtige offensichtlich das Wohlergehen der Tochter und stelle eine
Kindesgefährdung dar, wie dies auch aus der geltend gemachten Verminderung der Schulleistungen hervorgehe. Vor diesem Hintergrund dränge es sich auf, im Sinne einer Kindesschutzmassnahme den erstinstanzlichen Entscheid gestützt auf Art. 307 Abs. 3
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 307 - 1 L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
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1 | L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
2 | Elle y est également tenue dans les mêmes circonstances à l'égard des enfants placés chez des parents nourriciers ou vivant, dans d'autres cas, hors de la communauté familiale de leur père et mère. |
3 | Elle peut, en particulier, rappeler les père et mère, les parents nourriciers ou l'enfant à leurs devoirs, donner des indications ou instructions relatives au soin, à l'éducation et à la formation de l'enfant, et désigner une personne ou un office qualifiés qui aura un droit de regard et d'information. |
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 292 - Quiconque ne se conforme pas à une décision à lui signifiée, sous la menace de la peine prévue au présent article, par une autorité ou un fonctionnaire compétents est puni d'une amende. |
4.2. Die Beschwerdeführerin rügt verschiedentlich eine Verletzung ihres Anspruchs auf rechtliches Gehör (Art. 29 Abs. 2
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SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
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SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
4.2.1. Zur Begründung ihres Vorwurfs macht die Beschwerdeführerin als Erstes geltend, die Vorinstanz sehe den Grund für die Verweigerung der Besuche durch die Tochter in einem Loyalitätskonflikt zwischen Mutter und Tochter und stütze sich dabei ausschliesslich auf die Angaben der erstinstanzlichen Fachrichterin. Trotz entsprechenden Antrages seitens der Beschwerdeführerin habe sie sich geweigert, ein Gutachten einer neutralen Fachperson einzuholen.
4.2.2. Die Vorinstanz hat zur Interpretation der verweigernden Haltung der Tochter der Parteien auf die Beurteilung durch die Fachrichter abgestellt. Die Erwachsenenschutzbehörde erforscht den Sachverhalt von Amtes wegen (Art. 446 Abs. 1
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 446 - 1 L'autorité de protection de l'adulte établit les faits d'office. |
|
1 | L'autorité de protection de l'adulte établit les faits d'office. |
2 | Elle procède à la recherche et à l'administration des preuves nécessaires. Elle peut charger une tierce personne ou un service d'effectuer une enquête. Si nécessaire, elle ordonne un rapport d'expertise. |
3 | Elle n'est pas liée par les conclusions des personnes parties à la procédure. |
4 | Elle applique le droit d'office. |
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 446 - 1 L'autorité de protection de l'adulte établit les faits d'office. |
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1 | L'autorité de protection de l'adulte établit les faits d'office. |
2 | Elle procède à la recherche et à l'administration des preuves nécessaires. Elle peut charger une tierce personne ou un service d'effectuer une enquête. Si nécessaire, elle ordonne un rapport d'expertise. |
3 | Elle n'est pas liée par les conclusions des personnes parties à la procédure. |
4 | Elle applique le droit d'office. |
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SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
4.3.
4.3.1. Die Beschwerdeführerin lässt zusammengefasst weiter ausführen, sie habe vor Obergericht in der Beschwerde dargelegt, die erste Instanz habe dem Kindeswohl nicht genügend Beachtung geschenkt. Sie habe erwähnt, dass sie die Tochter zum Besuch des Beschwerdegegners ermutigt habe, dass die erste Instanz die Darlegungen der Kindsmutter nicht ernst genommen und sich mit den Angaben von Fachpersonen und anderen Personen nicht auseinandergesetzt habe, die nicht einfach eine Stellungnahme aus Gefälligkeit abgegeben hätten. Weiter sei in der Beschwerde erörtert worden, was sich zwischen dem Kindsvater und der Tochter alles abgespielt habe. Vor Obergericht sei ferner ausgeführt worden, das Fachgericht habe sich mit den Stellungnahmen der Tochter und der Mitarbeiterin der "D.________ AG" nicht auseinandergesetzt. So habe der begleitete Besuch vom 15. Januar 2017 nach zwei Versuchen abgebrochen werden müssen. Ferner habe die Beschwerdeführerin vor Obergericht auch dargetan, dass die Lösung der KESB (des Familiengerichts) das Wohl des Kindes aufgrund der erzwungenen Besuche gefährde. Sie habe vor Obergericht auch dargelegt, dass sie ihre Tochter weiterhin zu Besuchen ermutigt habe. In der Folge seien Besuchstermine vereinbart worden, die
schliesslich nicht hätten wahrgenommen werden können. So habe jener vom 14. Mai 2017 abgesagt werden müssen. Am 19. Mai 2017 habe die Beiständin mitgeteilt, da die Durchführung des Besuchsrechts gescheitert sei, werde sie sich an die KESB wenden, um den Auftrag anzupassen. Auch seither seien Termine abgesagt worden. Das Obergericht habe sich mit all diesen Vorbringen nicht auseinandergesetzt, die Gefährdung des Kindeswohls nicht vertieft geprüft und damit das rechtliche Gehör und die Begründungspflicht (Art. 29 Abs. 2
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SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
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1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
4.3.2. Entgegen den Ausführungen der Beschwerdeführerin hat das Obergericht begründet, weshalb das Besuchsrecht nicht sistiert werden kann. Es hat insbesondere die Angst der Tochter vor dem Vater als gegeben erachtet, hat aber auch hervorgehoben, dass sich diese Angst nicht objektivieren lasse. Insbesondere seien keine Übergriffe des Beschwerdegegners auf seine Tochter ersichtlich und belegt. Es ist aufgrund der konkreten Umstände und begründet zum Schluss gelangt, es liege ein Loyalitätskonflikt zwischen Beschwerdeführerin und ihrer Tochter vor. Zu erwähnen ist in diesem Zusammenhang, dass sich das Obergericht auf die Darlegungen der Fachrichter berufen hat. Insgesamt ergibt sich aus dem angefochtenen Entscheid, von welchen Grundsätzen sich die Vorinstanz hat leiten lassen. Die Vorinstanz war auch im Lichte der Begründungspflicht nicht verpflichtet, sich mit allen Vorbringen der ersten Instanz auseinanderzusetzen. Sie durfte sich auf das Wesentliche beschränken, was sie hier auch getan hat. Eine Verletzung der Begründungspflicht ist nicht ersichtlich.
4.4.
4.4.1. Die Beschwerdeführerin beanstandet weiter, die Vorinstanz gehe davon aus, der Grund für die Verweigerung der Besuche durch die Tochter bestehe in einem evidenten Loyalitätskonflikt und sei nicht auf einen Bruch der Beziehungsebene zum Beschwerdegegner zurückzuführen. Diese Feststellung beruhe auf "einer oberflächlichen und willkürlich falschen Beurteilung" durch die Vorinstanz. Sofern die Verweigerungshaltung nur mit einem Loyalitätskonflikt zu vereinbaren wäre, hätte sich ein Fachgutachten aufgedrängt.
4.4.2. Das Obergericht hat seine Schlussfolgerung mit der Begründung getroffen, sämtliche Schilderungen von negativen Erlebnissen erklärten zwar eine schlechte und möglicherweise auch mit Angst kombinierte Erinnerung der Tochter, vermöchten aber keine Angst vor einem Kontakt zum Beschwerdegegner zu objektivieren. Es gebe keine Schilderung der Tochter über einen Übergriff des Beschwerdegegners gegen sie selbst. Nach Auffassung des Obergerichts lässt sich die Projektion dieser allenfalls mit Angst kombinierten Erinnerungen an den Kontakt zum Beschwerdegegner nur damit erklären, dass die Tochter damit die Erwartungen der Beschwerdeführerin zu erfüllen versucht. Das Obergericht verweist in diesem Zusammenhang auch auf eine Fotodokumentation der Kontakte der Tochter mit dem Beschwerdegegner bis zum Jahr 2015, die einen unbeschwerten und nicht von Angst geprägten Kontakt widerspiegeln und in offensichtlichem Widerspruch zum Aussageverhalten anlässlich der Anhörung stehen. All dies lässt sich nach Auffassung der Vorinstanz nur mit einem Loyalitätskonflikt erklären. Das Obergericht hat damit aufgrund konkreter sachlicher Umstände auf einen Loyalitätskonflikt geschlossen, was sich damit insgesamt betrachtet als nicht willkürlich erweist.
Angesichts der willkürfreien Schlussfolgerung war die Vorinstanz nicht verpflichtet, ein Gutachten einzuholen (BGE 122 III 219 E. 3c; 114 II 289 E. 2a S. 291).
4.5.
4.5.1. Die Beschwerdeführerin macht weiter geltend, aus den Stellungnahmen der Beiständin vom 15. März 2017 und der Mitarbeiterin der "D.________ AG" vom 16. März 2017 ergebe sich nicht, dass der Grund für die Unmöglichkeit der Durchführung der Besuchskontakte "einfach" bei ihr liege.
4.5.2. Das Obergericht hat nicht einfach aufgrund der besagten Stellungnahmen geschlossen, dass der Grund für die Besuchsverweigerung der Tochter "einfach" bei der Beschwerdeführerin liege. Es hat insbesondere auf die Angst der Tochter vor dem Beschwerdegegner verwiesen, wobei sich diese Angst nach Auffassung der Vorinstanz nicht objektivieren lässt. Aufgrund dieser Feststellung hat das Obergericht auf einen Loyalitätskonflikt geschlossen. Immerhin hat das Obergericht auf Schwierigkeiten im Umgang mit der Beschwerdeführerin bei der Terminierung der Kindesanhörung und bei der Terminplanung für den ersten Besuchskontakt hingewiesen und gestützt auf die aufgezeigten Umstände geschlossen, dass die Beschwerdeführerin den Annäherungsprozess verzögere oder vereitele und so die unbeeinflusste Willensbildung der Tochter verunmögliche. Von einer willkürlichen Feststellung des Sachverhalts kann somit keine Rede sein.
4.6.
4.6.1. Unter dem Aspekt der Verletzung von Art. 273
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 273 - 1 Le père ou la mère qui ne détient pas l'autorité parentale ou la garde ainsi que l'enfant mineur ont réciproquement le droit d'entretenir les relations personnelles indiquées par les circonstances. |
|
1 | Le père ou la mère qui ne détient pas l'autorité parentale ou la garde ainsi que l'enfant mineur ont réciproquement le droit d'entretenir les relations personnelles indiquées par les circonstances. |
2 | Lorsque l'exercice ou le défaut d'exercice de ce droit est préjudiciable à l'enfant, ou que d'autres motifs l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant peut rappeler les père et mère, les parents nourriciers ou l'enfant à leurs devoirs et leur donner des instructions. |
3 | Le père ou la mère peut exiger que son droit d'entretenir des relations personnelles avec l'enfant soit réglé. |
4.6.2. Nach Art. 273 Abs. 1
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 273 - 1 Le père ou la mère qui ne détient pas l'autorité parentale ou la garde ainsi que l'enfant mineur ont réciproquement le droit d'entretenir les relations personnelles indiquées par les circonstances. |
|
1 | Le père ou la mère qui ne détient pas l'autorité parentale ou la garde ainsi que l'enfant mineur ont réciproquement le droit d'entretenir les relations personnelles indiquées par les circonstances. |
2 | Lorsque l'exercice ou le défaut d'exercice de ce droit est préjudiciable à l'enfant, ou que d'autres motifs l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant peut rappeler les père et mère, les parents nourriciers ou l'enfant à leurs devoirs et leur donner des instructions. |
3 | Le père ou la mère peut exiger que son droit d'entretenir des relations personnelles avec l'enfant soit réglé. |
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 273 - 1 Le père ou la mère qui ne détient pas l'autorité parentale ou la garde ainsi que l'enfant mineur ont réciproquement le droit d'entretenir les relations personnelles indiquées par les circonstances. |
|
1 | Le père ou la mère qui ne détient pas l'autorité parentale ou la garde ainsi que l'enfant mineur ont réciproquement le droit d'entretenir les relations personnelles indiquées par les circonstances. |
2 | Lorsque l'exercice ou le défaut d'exercice de ce droit est préjudiciable à l'enfant, ou que d'autres motifs l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant peut rappeler les père et mère, les parents nourriciers ou l'enfant à leurs devoirs et leur donner des instructions. |
3 | Le père ou la mère peut exiger que son droit d'entretenir des relations personnelles avec l'enfant soit réglé. |
141 III 97 E. 11.2; 135 III 121 E. 2; 131 III 209 E. 3 mit Hinweisen).
4.6.3. Im vorliegenden Fall ist in tatsächlicher Hinsicht verbindlich festgestellt, dass die Tochter der Parteien aus nicht objektivierbarer Angst die Besuche beim Beschwerdegegner verweigert. In der Beschwerde wurde nicht rechtsgenügend dargetan, dass der Beschwerdegegner gegen die Tochter handgreiflich geworden wäre. Im angefochtenen Entscheid sind denn auch keine entsprechenden Feststellungen der Vorinstanz auszumachen. Das Obergericht geht vielmehr ohne Willkür ausschliesslich von einem Loyalitätskonflikt der Tochter aus. Die Weigerung der Tochter, ihren Vater zu besuchen, bildet ein Element bei der Regelung des persönlichen Verkehrs des Beschwerdegegners. Nach der Rechtsprechung hängt eine Regelung namentlich dann nicht ausschliesslich vom Willen des Kindes ab, wenn dessen Weigerungshaltung hauptsächlich vom Inhaber der Obhut beeinflusst wird (Urteile 5A 459/2015 vom 13. August 2015 E. 6.2.2, in: SJ 2016 I S. 133, Pra 2017 Nr. 19 S. 186; 5A 160/2011 vom 29. März 2011 E. 4, in: FamPra.ch 2011 S. 740; 5A 716/2010 vom 23. Februar 2011 E. 4, in: FamPra.ch 2011 S. 491; 5A 341/2008 vom 23. Dezember 2008 E. 4.3, in: FamPra.ch 2009 S. 513; 5C.170/2001 vom 31. August 2001 E. 5dd, in: FamPra.ch 2002 S. 389). Von daher rechtfertigt es
sich im Lichte von Art. 273
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 273 - 1 Le père ou la mère qui ne détient pas l'autorité parentale ou la garde ainsi que l'enfant mineur ont réciproquement le droit d'entretenir les relations personnelles indiquées par les circonstances. |
|
1 | Le père ou la mère qui ne détient pas l'autorité parentale ou la garde ainsi que l'enfant mineur ont réciproquement le droit d'entretenir les relations personnelles indiquées par les circonstances. |
2 | Lorsque l'exercice ou le défaut d'exercice de ce droit est préjudiciable à l'enfant, ou que d'autres motifs l'exigent, l'autorité de protection de l'enfant peut rappeler les père et mère, les parents nourriciers ou l'enfant à leurs devoirs et leur donner des instructions. |
3 | Le père ou la mère peut exiger que son droit d'entretenir des relations personnelles avec l'enfant soit réglé. |
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 274 - 1 Le père et la mère doivent veiller à ne pas perturber les relations de l'enfant avec l'autre parent et à ne pas rendre l'éducation plus difficile. |
|
1 | Le père et la mère doivent veiller à ne pas perturber les relations de l'enfant avec l'autre parent et à ne pas rendre l'éducation plus difficile. |
2 | Si les relations personnelles compromettent le développement de l'enfant, si les père et mère qui les entretiennent violent leurs obligations, s'ils ne se sont pas souciés sérieusement de l'enfant ou s'il existe d'autres justes motifs, le droit d'entretenir ces relations peut leur être refusé ou retiré. |
3 | Si les père et mère ont consenti à l'adoption de leur enfant ou s'il peut être fait abstraction de leur consentement, le droit aux relations personnelles cesse lorsque l'enfant est placé en vue d'une adoption. |
4.7.
4.7.1. Die Vorinstanz hat die Parteien unter Androhung der Strafen nach Art. 292
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 292 - Quiconque ne se conforme pas à une décision à lui signifiée, sous la menace de la peine prévue au présent article, par une autorité ou un fonctionnaire compétents est puni d'une amende. |
4.7.2. Nach Art. 314 Abs. 1
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 314 - 1 Les dispositions de la procédure devant l'autorité de protection de l'adulte sont applicables par analogie. |
|
1 | Les dispositions de la procédure devant l'autorité de protection de l'adulte sont applicables par analogie. |
2 | L'autorité de protection de l'enfant peut, si elle l'estime utile, exhorter les parents de l'enfant à tenter une médiation. |
3 | Lorsque l'autorité de protection de l'enfant institue une curatelle, elle doit mentionner dans le dispositif de la décision les tâches du curateur et éventuellement les limites apportées à l'exercice de l'autorité parentale. |
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 447 - 1 La personne concernée doit être entendue personnellement, à moins que l'audition personnelle ne paraisse disproportionnée. |
|
1 | La personne concernée doit être entendue personnellement, à moins que l'audition personnelle ne paraisse disproportionnée. |
2 | En cas de placement à des fins d'assistance, elle est en général entendue par l'autorité de protection de l'adulte réunie en collège. |
4.7.3.
4.7.3.1. Die Beschwerdeführerin macht geltend, sie dürfe allenfalls gestützt auf Art. 307 Abs. 3
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 307 - 1 L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
|
1 | L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
2 | Elle y est également tenue dans les mêmes circonstances à l'égard des enfants placés chez des parents nourriciers ou vivant, dans d'autres cas, hors de la communauté familiale de leur père et mère. |
3 | Elle peut, en particulier, rappeler les père et mère, les parents nourriciers ou l'enfant à leurs devoirs, donner des indications ou instructions relatives au soin, à l'éducation et à la formation de l'enfant, et désigner une personne ou un office qualifiés qui aura un droit de regard et d'information. |
4.7.3.2. Nach der vor Inkrafttreten der Schweizerischen Zivilprozessordnung (SR 272) ergangenen bundesgerichtlichen Rechtsprechung ist die Vormundschaftsbehörde bzw. nach geltendem Erwachsenenschutzrecht die Erwachsenenschutzbehörde befugt, in Anwendung von Art. 307 Abs. 3
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 307 - 1 L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
|
1 | L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
2 | Elle y est également tenue dans les mêmes circonstances à l'égard des enfants placés chez des parents nourriciers ou vivant, dans d'autres cas, hors de la communauté familiale de leur père et mère. |
3 | Elle peut, en particulier, rappeler les père et mère, les parents nourriciers ou l'enfant à leurs devoirs, donner des indications ou instructions relatives au soin, à l'éducation et à la formation de l'enfant, et désigner une personne ou un office qualifiés qui aura un droit de regard et d'information. |
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 307 - 1 L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
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1 | L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
2 | Elle y est également tenue dans les mêmes circonstances à l'égard des enfants placés chez des parents nourriciers ou vivant, dans d'autres cas, hors de la communauté familiale de leur père et mère. |
3 | Elle peut, en particulier, rappeler les père et mère, les parents nourriciers ou l'enfant à leurs devoirs, donner des indications ou instructions relatives au soin, à l'éducation et à la formation de l'enfant, et désigner une personne ou un office qualifiés qui aura un droit de regard et d'information. |
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SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors CPC Art. 213 Médiation remplaçant la procédure de conciliation - 1 Si toutes les parties en font la demande, la procédure de conciliation est remplacée par une médiation. |
|
1 | Si toutes les parties en font la demande, la procédure de conciliation est remplacée par une médiation. |
2 | La demande est déposée dans la requête de conciliation ou à l'audience. |
3 | L'autorité de conciliation délivre l'autorisation de procéder lorsqu'une partie lui communique l'échec de la médiation. |
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SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors CPC Art. 213 Médiation remplaçant la procédure de conciliation - 1 Si toutes les parties en font la demande, la procédure de conciliation est remplacée par une médiation. |
|
1 | Si toutes les parties en font la demande, la procédure de conciliation est remplacée par une médiation. |
2 | La demande est déposée dans la requête de conciliation ou à l'audience. |
3 | L'autorité de conciliation délivre l'autorisation de procéder lorsqu'une partie lui communique l'échec de la médiation. |
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SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors CPC Art. 214 Médiation pendant la procédure au fond - 1 Le tribunal peut conseiller en tout temps aux parties de procéder à une médiation. |
|
1 | Le tribunal peut conseiller en tout temps aux parties de procéder à une médiation. |
2 | Les parties peuvent déposer en tout temps une requête commune visant à ouvrir une procédure de médiation. |
3 | La procédure judiciaire reste suspendue jusqu'à la révocation de la requête par une partie ou jusqu'à la communication de la fin de la médiation. |
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SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors CPC Art. 214 Médiation pendant la procédure au fond - 1 Le tribunal peut conseiller en tout temps aux parties de procéder à une médiation. |
|
1 | Le tribunal peut conseiller en tout temps aux parties de procéder à une médiation. |
2 | Les parties peuvent déposer en tout temps une requête commune visant à ouvrir une procédure de médiation. |
3 | La procédure judiciaire reste suspendue jusqu'à la révocation de la requête par une partie ou jusqu'à la communication de la fin de la médiation. |
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SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors CPC Art. 214 Médiation pendant la procédure au fond - 1 Le tribunal peut conseiller en tout temps aux parties de procéder à une médiation. |
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1 | Le tribunal peut conseiller en tout temps aux parties de procéder à une médiation. |
2 | Les parties peuvent déposer en tout temps une requête commune visant à ouvrir une procédure de médiation. |
3 | La procédure judiciaire reste suspendue jusqu'à la révocation de la requête par une partie ou jusqu'à la communication de la fin de la médiation. |
Mediation betont (06.062 Botschaft zur Schweizerischen Zivilprozessordnung [ZPO] vom 28. Juni 2006 S. 7336, bei Art. 210
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SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors CPC Art. 210 Proposition de décision - 1 L'autorité de conciliation peut soumettre aux parties une proposition de décision:144 |
|
1 | L'autorité de conciliation peut soumettre aux parties une proposition de décision:144 |
a | dans les litiges relevant de la loi du 24 mars 1995 sur l'égalité145; |
b | dans les litiges relatifs aux baux à loyer ou à ferme d'habitations ou de locaux commerciaux et aux baux à ferme agricoles en ce qui concerne la consignation du loyer ou du fermage, la protection contre les loyers ou les fermages abusifs, la protection contre les congés ou la prolongation du bail à loyer ou à ferme; |
c | dans les autres litiges patrimoniaux dont la valeur litigieuse ne dépasse pas 10 000 francs. |
2 | La proposition de décision peut contenir une brève motivation; au surplus, l'art. 238 est applicable par analogie. |
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 314 - 1 Les dispositions de la procédure devant l'autorité de protection de l'adulte sont applicables par analogie. |
|
1 | Les dispositions de la procédure devant l'autorité de protection de l'adulte sont applicables par analogie. |
2 | L'autorité de protection de l'enfant peut, si elle l'estime utile, exhorter les parents de l'enfant à tenter une médiation. |
3 | Lorsque l'autorité de protection de l'enfant institue une curatelle, elle doit mentionner dans le dispositif de la décision les tâches du curateur et éventuellement les limites apportées à l'exercice de l'autorité parentale. |
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 307 - 1 L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
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1 | L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
2 | Elle y est également tenue dans les mêmes circonstances à l'égard des enfants placés chez des parents nourriciers ou vivant, dans d'autres cas, hors de la communauté familiale de leur père et mère. |
3 | Elle peut, en particulier, rappeler les père et mère, les parents nourriciers ou l'enfant à leurs devoirs, donner des indications ou instructions relatives au soin, à l'éducation et à la formation de l'enfant, et désigner une personne ou un office qualifiés qui aura un droit de regard et d'information. |
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 314 - 1 Les dispositions de la procédure devant l'autorité de protection de l'adulte sont applicables par analogie. |
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1 | Les dispositions de la procédure devant l'autorité de protection de l'adulte sont applicables par analogie. |
2 | L'autorité de protection de l'enfant peut, si elle l'estime utile, exhorter les parents de l'enfant à tenter une médiation. |
3 | Lorsque l'autorité de protection de l'enfant institue une curatelle, elle doit mentionner dans le dispositif de la décision les tâches du curateur et éventuellement les limites apportées à l'exercice de l'autorité parentale. |
Das Bundesgericht hat im Folgenden die Anordnung einer Mediation als Massnahme gestützt auf Art. 307 Abs. 3
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 307 - 1 L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
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1 | L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
2 | Elle y est également tenue dans les mêmes circonstances à l'égard des enfants placés chez des parents nourriciers ou vivant, dans d'autres cas, hors de la communauté familiale de leur père et mère. |
3 | Elle peut, en particulier, rappeler les père et mère, les parents nourriciers ou l'enfant à leurs devoirs, donner des indications ou instructions relatives au soin, à l'éducation et à la formation de l'enfant, et désigner une personne ou un office qualifiés qui aura un droit de regard et d'information. |
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 307 - 1 L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
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1 | L'autorité de protection de l'enfant prend les mesures nécessaires pour protéger l'enfant si son développement est menacé et que les père et mère n'y remédient pas d'eux-mêmes ou soient hors d'état de le faire. |
2 | Elle y est également tenue dans les mêmes circonstances à l'égard des enfants placés chez des parents nourriciers ou vivant, dans d'autres cas, hors de la communauté familiale de leur père et mère. |
3 | Elle peut, en particulier, rappeler les père et mère, les parents nourriciers ou l'enfant à leurs devoirs, donner des indications ou instructions relatives au soin, à l'éducation et à la formation de l'enfant, et désigner une personne ou un office qualifiés qui aura un droit de regard et d'information. |
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 292 - Quiconque ne se conforme pas à une décision à lui signifiée, sous la menace de la peine prévue au présent article, par une autorité ou un fonctionnaire compétents est puni d'une amende. |
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SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors CPC Art. 236 Décision finale - 1 Lorsque la cause est en état d'être jugée, le tribunal met fin au procès par une décision d'irrecevabilité ou par une décision au fond. |
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1 | Lorsque la cause est en état d'être jugée, le tribunal met fin au procès par une décision d'irrecevabilité ou par une décision au fond. |
2 | Le tribunal statue à la majorité. |
3 | Il ordonne des mesures d'exécution sur requête de la partie qui a eu gain de cause. |
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SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors CPC Art. 343 Obligation de faire, de s'abstenir ou de tolérer - 1 Lorsque la décision prescrit une obligation de faire, de s'abstenir ou de tolérer, le tribunal de l'exécution peut: |
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1 | Lorsque la décision prescrit une obligation de faire, de s'abstenir ou de tolérer, le tribunal de l'exécution peut: |
a | assortir la décision de la menace de la peine prévue à l'art. 292 CP280; |
b | prévoir une amende d'ordre de 5000 francs au plus; |
c | prévoir une amende d'ordre de 1000 francs au plus pour chaque jour d'inexécution; |
d | prescrire une mesure de contrainte telle que l'enlèvement d'une chose mobilière ou l'expulsion d'un immeuble; |
e | ordonner l'exécution de la décision par un tiers. |
1bis | Lorsque la décision prévoit une interdiction au sens de l'art. 28b CC281, le tribunal chargé de statuer sur l'exécution peut ordonner, à la requête du demandeur, une surveillance électronique au sens de l'art. 28c CC.282 |
2 | La partie succombante et les tiers sont tenus de fournir tous renseignements utiles et de tolérer les perquisitions nécessaires. |
3 | La personne chargée de l'exécution peut requérir l'assistance de l'autorité compétente. |
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 292 - Quiconque ne se conforme pas à une décision à lui signifiée, sous la menace de la peine prévue au présent article, par une autorité ou un fonctionnaire compétents est puni d'une amende. |
Die Beschwerdeführerin legt abgesehen davon nicht substanziiert dar, inwiefern die Anordnung der Massnahme bzw. die Anordnung deren Vollstreckung im Entscheid, ihre verfassungsmässigen Rechte verletzen könnte.
5.
Das Obergericht hat wie die erste Instanz dem Antrag der Beschwerdeführerin, ihr das alleinige Sorgerecht über die gemeinsame Tochter zu übertragen, nicht entsprochen. Es hat damit eine wesentliche Veränderung der Verhältnisse bezüglich der elterlichen Sorge (Art. 298d Abs. 1
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 298d - 1 À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
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1 | À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
2 | Elle peut aussi se limiter à statuer sur la garde de l'enfant, les relations personnelles ou la participation de chaque parent à sa prise en charge. |
5.1.
5.1.1. Aufgrund der am 1. Juli 2014 in Kraft getretenen Gesetzesnovelle (AS 2014 357) bildet die gemeinsame elterliche Sorge den Grundsatz, die alleinige elterliche Sorge hingegen die eng begrenzte Ausnahme. In seiner Rechtsprechung hat das Bundesgericht Kriterien aufgestellt, die erfüllt sein müssen, um ein Abweichen vom Grundsatz des gemeinsamen elterlichen Sorgerechts zu rechtfertigen (BGE 142 III 56 E. 3 S. 63; 142 III 197 E. 3.5 und 3.7 S. 199; 142 III 1 E. 3.3 S. 5; 141 III 472 E. 4.6 und 4.7 S. 478; vgl. sodann Rechtsprechungsübersicht in den Urteilen 5A 81/2016 E. 5, 5A 89/2016 E. 4 und 5A 186/2016 E. 4, je vom 2. Mai 2016). Diese können insbesondere bei einem schwerwiegenden elterlichen Dauerkonflikt oder bei anhaltender Kommunikationsunfähigkeit erfüllt sein. Dabei muss sich der Konflikt oder die Kommunikationsunfähigkeit auf die Kinderbelange als Ganzes beziehen; ein Konflikt oder eine Kommunikationsunfähigkeit hinsichtlich einzelner Fragen bzw. ein Streit, der sich ausschliesslich um die Regelung des Sorgerechts dreht, genügen nicht. Ausserdem muss sich der Dauerkonflikt und/oder die Kommunikationsunfähigkeit negativ auf das Kindeswohl auswirken. Die abstrakte Feststellung, das Kind befinde sich in einem
Loyalitätskonflikt, genügt nicht, denn dieser führt nicht in jedem Fall zu einer Beeinträchtigung des Kindeswohls, welche ein Eingreifen erforderlich erscheinen lässt; vielmehr hängen die Auswirkungen des Loyalitätskonfliktes von der Konstitution des Kindes selbst (Ambivalenz- und Abgrenzungsfähigkeit) und vom Verhalten der Eltern diesem gegenüber ab. Erforderlich ist daher eine konkrete Feststellung, in welcher Hinsicht das Kindeswohl beeinträchtigt ist bzw. sein würde. Schliesslich ist die Alleinzuteilung nur dann zulässig, wenn diese geeignet ist, die festgestellte Beeinträchtigung des Kindeswohls zu beseitigen oder zumindest zu lindern (Urteil 5A 186/2016 vom 2. Mai 2016 E. 4).
5.1.2. Die durch gemeinsame Erklärung der nicht miteinander verheirateten Eltern begründete gemeinsame elterlichen Sorge (Art. 298a Abs. 1
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 298a - 1 Si la mère n'est pas mariée avec le père et que le père reconnaît l'enfant, ou si le lien de filiation est constaté par décision de justice et que l'autorité parentale conjointe n'est pas encore instituée au moment de la décision de justice, les parents obtiennent l'autorité parentale conjointe sur la base d'une déclaration commune. |
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1 | Si la mère n'est pas mariée avec le père et que le père reconnaît l'enfant, ou si le lien de filiation est constaté par décision de justice et que l'autorité parentale conjointe n'est pas encore instituée au moment de la décision de justice, les parents obtiennent l'autorité parentale conjointe sur la base d'une déclaration commune. |
2 | Les parents confirment dans la déclaration commune: |
1 | qu'ils sont disposés à assumer conjointement la responsabilité de l'enfant; |
2 | qu'ils se sont entendus sur la garde de l'enfant, sur les relations personnelles ou la participation de chaque parent à sa prise en charge ainsi que sur la contribution d'entretien. |
3 | Avant de déposer leur déclaration, les parents peuvent demander conseil à l'autorité de protection de l'enfant. |
4 | Si les parents déposent leur déclaration en même temps que la reconnaissance de l'enfant, la déclaration est reçue par l'officier de l'état civil. S'ils la déposent plus tard, elle est reçue par l'autorité de protection de l'enfant du lieu de domicile de l'enfant. |
5 | Jusqu'au dépôt de la déclaration, l'enfant est soumis à l'autorité parentale exclusive de la mère. |
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SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 298d - 1 À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
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1 | À la requête de l'un des parents ou de l'enfant ou encore d'office, l'autorité de protection de l'enfant modifie l'attribution de l'autorité parentale lorsque des faits nouveaux importants le commandent pour le bien de l'enfant. |
2 | Elle peut aussi se limiter à statuer sur la garde de l'enfant, les relations personnelles ou la participation de chaque parent à sa prise en charge. |
5.2. Das Obergericht hat zur Frage des alleinigen Sorgerechts im Wesentlichen erwogen, in tatsächlicher Hinsicht stehe aufgrund der Akten fest, dass die Kommunikation unter den Parteien bis 2015 offensichtlich funktioniert habe; aktenkundig seien Fotos von den gemeinsam verbrachten Ferien, aber auch über ausschliessliche Kontakte zwischen Vater und Tochter. Zwar sei es immer wieder zu Schwierigkeiten gekommen, die aber bis 2015 immer wieder hätten überwunden werden können. Ein das Kind gefährdendes Fehlverhalten oder erzieherisches Unvermögen des Beschwerdegegners sei nicht bekannt und werde von der Beschwerdeführerin auch nur abstrakt und ohne relevante Konkretisierung mit "bedrohlicher Energie" sowie "qualvollen und taktlosen Drohgebärden" umschrieben. Aus dem Kontext der Schilderung beziehe sich dieses bedrohliche Verhalten allerdings offensichtlich auf die Elternebene, zumal dem Beschwerdegegner vor allem vorgeworfen werde, dass er Unterhaltsausstände verzeichne und den Unterhaltsbeitrag für seine Tochter kürzen lassen möchte. Die im weiteren Verlauf des Verfahrens geltend gemachten, nicht kindgerechten oder unangemessenen Verhaltensweisen (Sprache und Gebärde) sowie der vom Vater gepflegte und beanstandete Lebensstil habe
sich offenbar nicht erst ab 2016 verändert und stelle keinen eigentlichen Mangel der Erziehungsfähigkeit dar, solange die Tochter darin kindgerecht aufgenommen sei, wie dies in den Vorjahren offenbar der Fall gewesen sei. Es lägen keine Anhaltspunkte dafür vor, dass die im weiteren Verlauf des Verfahrens konkret genannten Vorfälle mit einem Sturz von einem Pferd oder einem unsicheren Moment im Schwimmbad auf eine Vernachlässigung oder eine Verantwortungslosigkeit des Beschwerdegegners zurückzuführen gewesen wären. Keine Kindesgefährdung ergebe sich selbstverständlich aus der Episode mit Burnout des Beschwerdegegners im Jahr 2014, von dem er sich offenbar mittlerweile vollständig erholt habe. Die Meinungsverschiedenheiten zwischen den Eltern über generelle Erziehungsfragen, wie der Gebrauch der kroatischen Muttersprache der Beschwerdeführerin und das Tennisspiel der Tochter könnten auch in anderen Konstellationen Anlass zu Diskussionen bieten. Aufgrund des Sachverhalts könne daher keine Rede davon sein, dass zwischen den Eltern seit Anfang 2016 generell ein schwerwiegender Dauerkonflikt oder anhaltende Kommunikationsunfähigkeit in Kinderbelangen bestehe. Die Kommunikation funktioniere vor allem im Zusammenhang mit der Ausübung des
Besuchsrechts nicht mehr und werde unter diesem Aspekt im Folgenden auch zu prüfen sein. Somit bestehe kein stichhaltiger Grund, der Beschwerdeführerin die alleinige elterliche Sorge zuzuteilen. Insbesondere begründe die offenbar angefochtene Höhe des Unterhaltsbeitrages keinen Ausnahmefall, der die alleinige elterliche Sorge der Beschwerdeführerin rechtfertigte, zumal sich daraus nicht auf mangelnde Erziehungsfähigkeit oder mangelndes Interesse des Beschwerdegegners an den Kinderbelangen der Tochter schliessen lasse.
5.3. Die Beschwerdeführerin macht geltend, die Vorinstanz habe in willkürlicher Feststellung des Sachverhalts übersehen, dass die Parteien seit über einem Jahr überhaupt nicht mehr kommunizieren, wobei die mangelnde Kooperationsfähigkeit den Charakter eines "chronifizierten Konflikts" angenommen habe. Infolge des von Seiten der Behörde ausgeübten Drucks im Zusammenhang mit der Ausübung des Besuchsrechts benötige die Tochter nunmehr eine psychiatrische Behandlung, welcher der Beschwerdegegner bisher nicht zugestimmt habe. Überdies habe er eine Unterhaltsklage angestrengt. Aufgrund der kaum überbrückbaren Differenzen der Eltern komme eine gemeinsame elterliche Sorge nicht mehr in Betracht. Sie verkomme zur blossen Hülse, wenn die Eltern für jede Kleinigkeit an den Richter gelangen müssen. Sie (die Beschwerdeführerin) habe all diese Vorbringen in der kantonalen Beschwerde vorgetragen und das Obergericht habe sie in Verletzung des Anspruchs auf rechtliches Gehör nicht berücksichtigt.
5.4.
5.4.1. Die Vorinstanz hat die Vorbringen der Beschwerdeführerin bezüglich der nicht überbrückbaren Differenzen in Kinderbelangen nicht übersehen und sie dem Sinn nach berücksichtigt; sie ist aber aufgrund der Akten zum Schluss gelangt, es treffe nicht zu, dass zwischen den Parteien ein schwerwiegender Dauerkonflikt oder anhaltende Kommunikationsunfähigkeit in Kinderbelangen bestünden. Im Übrigen zeigt die Beschwerdeführerin nicht durch klaren Verweis auf die Akten auf, dass sie auf die Problematik im Zusammenhang mit der psychiatrischen Behandlung der Tochter aufmerksam gemacht hat. Eine Verletzung des rechtlichen Gehörs (Art. 29 Abs. 2
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SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
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1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
5.4.2. Das Obergericht hat sich in seinem Entscheid von den aufgezeigten Grundsätzen (E. 5.1 hiervor) leiten lassen. Aus den verbindlichen tatsächlichen Feststellungen, welche die Beschwerdeführerin nicht rechtsgenügend als willkürlich rügt, ergibt sich nicht, dass die Kommunikationsunfähigkeit der Parteien sämtliche Kinderbelange umfasst. Gemäss den verbindlichen Feststellungen der Vorinstanz ist vielmehr einzig die Frage des Besuchsrechts betroffen. Dass der Beschwerdegegner seine Unterhaltsverpflichtung gegenüber seiner Tochter zu reduzieren versucht, mag durch die konkreten Umstände begründet sein; jedenfalls fehlen tatsächliche Feststellungen, die aus dem Wunsch nach einer Kürzung des Unterhaltsbeitrages auf eine umfassende Kommunikationsunfähigkeit in Kinderbelangen schliessen liessen. Im Weiteren ist entgegen der Auffassung der Beschwerdeführerin auch nicht verbindlich festgestellt, dass die Kommunikationsfähigkeit bereits mehrere Jahre gestört ist. In diesem Zusammenhang ist insbesondere darauf hinzuweisen, dass die Ausübung des Besuchsrechts bis 2015 ohne nennenswerte Probleme funktioniert hat. Aufgrund der vorgetragenen konkreten Umstände hat die Vorinstanz eine wesentliche Veränderung der Verhältnisse bezüglich der
Zuteilung der elterlichen Sorge zu Recht verneint. Eine Bundesrechtsverletzung ist nicht ersichtlich.
6.
Damit ist die Beschwerde abzuweisen, soweit darauf eingetreten werden kann. Bei diesem Ausgang des Verfahrens wird die Beschwerdeführerin kostenpflichtig (Art. 66 Abs. 1
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 2'000.-- werden der Beschwerdeführerin auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Bezirksgericht Baden, Familiengericht, C.________ und dem Obergericht des Kantons Aargau, Kammer für Kindes- und Erwachsenenschutz, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 22. November 2017
Im Namen der II. zivilrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: von Werdt
Der Gerichtsschreiber: Zbinden