Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
2C 186/2019
Urteil vom 16. September 2019
II. öffentlich-rechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Seiler, Präsident,
Bundesrichterin Aubry Girardin,
Bundesrichter Stadelmann,
Gerichtsschreiber König.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
Beschwerdeführer,
vertreten durch Rechtsanwalt Dr. Markus Krapf,
gegen
Migrationsamt des Kantons St. Gallen,
Sicherheits- und Justizdepartement des Kantons St. Gallen.
Gegenstand
Nichtverlängerung der Aufenthaltsbewilligung,
Beschwerde gegen den Entscheid des Verwaltungsgerichts des Kantons St. Gallen, Abteilung II, vom 16. Januar 2019 (B 2018/224).
Sachverhalt:
A.
A.________ (geb. 1991) ist serbischer Staatsangehöriger. Er kam im September 2011 in die Schweiz. Nachdem er mit Strafbefehl der Staatsanwaltschaft Zürich-Sihl vom 2. November 2011 wegen Widerhandlung gegen das Ausländergesetz unter Ansetzung einer Probezeit von zwei Jahren zu einer Geldstrafe von 20 Tagessätzen zu je Fr. 30.-- und einer Busse von Fr. 300.-- verurteilt worden war, wurde er aus dem Schengen-Raum weggewiesen (Verfügung des Migrationsamtes des Kantons Zürich vom 3. November 2011).
Im November 2012 heiratete A.________ in Serbien die Schweizer Bürgerin B.________ (geb. 1964) aus Bosnien und Herzegowina. Diese brachte aus einer früheren Ehe zwei Kinder mit. Anfangs 2013 reiste A.________ in die Schweiz ein, wo ihm am 6. Juni 2013 eine Aufenthaltsbewilligung zum Verbleib bei der Ehefrau erteilt wurde. Die Aufenthaltsbewilligung wurde in der Folge regelmässig verlängert.
B.
Am 24. Januar 2017 wies das Migrationsamt des Kantons St. Gallen ein Gesuch von A.________ um weitere Verlängerung der Aufenthaltsbewiligung ab und ordnete dessen Wegweisung an. Die hiergegen gerichteten kantonalen Rechtsmittel blieben ohne Erfolg: Sowohl das Sicherheits- und Justizdepartement des Kantons St. Gallen in seinem Entscheid vom 24. September 2018 als auch das Verwaltungsgericht des Kantons St. Gallen in seinem Urteil vom 16. Januar 2019 erklärten, dass es sich bei der Ehe von A.________ und seiner Schweizer Ehefrau um eine Ausländerrechtsehe handle, welchem dem Gesuchsteller keinen Anspruch auf Verlängerung der Aufenthaltsbewilligung vermittle. Die Erteilung einer Härtefallbewilligung lehnte das Sicherheits- und Justizdepartement des Kantons St. Gallen ab, was das angerufene Verwaltungsgericht als rechtskonform qualifizierte.
C.
A.________ beantragt mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten vor dem Bundesgericht, unter Aufhebung des Urteils des Verwaltungsgerichts des Kantons St. Gallen vom 16. Januar 2019 sei das Sicherheits- und Justizdepartement dieses Kantons anzuweisen, ihm die Aufenthaltsbewilligung zu verlängern. Eventualiter fordert er, die Sache sei zu weiteren Abklärungen sowie zu neuem Entscheid an das Migrationsamt des Kantons St. Gallen zurückzuweisen.
Mit Verfügung vom 25. Februar 2019 erteilte der Präsident der II. öffentlich-rechtlichen Abteilung des Bundesgerichts der Beschwerde die aufschiebende Wirkung.
Das Sicherheits- und Justizdepartement und das Verwaltungsgericht des Kantons St. Gallen beantragen, die Beschwerde sei abzuweisen.
Erwägungen:
1.
Gegen Entscheide auf dem Gebiet des Ausländerrechts betreffend Bewilligungen, auf die weder das Bundesrecht noch das Völkerrecht einen Anspruch einräumen, ist die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten ausgeschlossen (Art. 83 lit. c Ziff. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 83 Exceptions - Le recours est irrecevable contre: |
|
a | les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit58 jugée par un tribunal; |
b | les décisions relatives à la naturalisation ordinaire; |
c | les décisions en matière de droit des étrangers qui concernent: |
c1 | l'entrée en Suisse, |
c2 | une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit, |
c3 | l'admission provisoire, |
c4 | l'expulsion fondée sur l'art. 121, al. 2, de la Constitution ou le renvoi, |
c5 | les dérogations aux conditions d'admission, |
c6 | la prolongation d'une autorisation frontalière, le déplacement de la résidence dans un autre canton, le changement d'emploi du titulaire d'une autorisation frontalière et la délivrance de documents de voyage aux étrangers sans pièces de légitimation; |
d | les décisions en matière d'asile qui ont été rendues: |
d1 | par le Tribunal administratif fédéral, sauf celles qui concernent des personnes visées par une demande d'extradition déposée par l'État dont ces personnes cherchent à se protéger, |
d2 | par une autorité cantonale précédente et dont l'objet porte sur une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit; |
e | les décisions relatives au refus d'autoriser la poursuite pénale de membres d'autorités ou du personnel de la Confédération; |
f | les décisions en matière de marchés publics: |
fbis | les décisions du Tribunal administratif fédéral concernant les décisions visées à l'art. 32i de la loi fédérale du 20 mars 2009 sur le transport de voyageurs65; |
f1 | si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe; sont réservés les recours concernant des marchés du Tribunal administratif fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal fédéral des brevets, du Ministère public de la Confédération et des autorités judiciaires supérieures des cantons, ou |
f2 | si la valeur estimée du marché à adjuger est inférieure à la valeur seuil déterminante visée à l'art. 52, al. 1, et fixée à l'annexe 4, ch. 2, de la loi fédérale du 21 juin 2019 sur les marchés publics63; |
g | les décisions en matière de rapports de travail de droit public qui concernent une contestation non pécuniaire, sauf si elles touchent à la question de l'égalité des sexes; |
h | les décisions en matière d'entraide administrative internationale, à l'exception de l'assistance administrative en matière fiscale; |
i | les décisions en matière de service militaire, de service civil ou de service de protection civile; |
j | les décisions en matière d'approvisionnement économique du pays qui sont prises en cas de pénurie grave; |
k | les décisions en matière de subventions auxquelles la législation ne donne pas droit; |
l | les décisions en matière de perception de droits de douane fondée sur le classement tarifaire ou le poids des marchandises; |
m | les décisions sur l'octroi d'un sursis de paiement ou sur la remise de contributions; en dérogation à ce principe, le recours contre les décisions sur la remise de l'impôt fédéral direct ou de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice est recevable, lorsqu'une question juridique de principe se pose ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs; |
n | les décisions en matière d'énergie nucléaire qui concernent: |
n1 | l'exigence d'un permis d'exécution ou la modification d'une autorisation ou d'une décision, |
n2 | l'approbation d'un plan de provision pour les coûts d'évacuation encourus avant la désaffection d'une installation nucléaire, |
n3 | les permis d'exécution; |
o | les décisions en matière de circulation routière qui concernent la réception par type de véhicules; |
p | les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière de télécommunications, de radio et de télévision et en matière postale qui concernent:70 |
p1 | une concession ayant fait l'objet d'un appel d'offres public, |
p2 | un litige découlant de l'art. 11a de la loi du 30 avril 1997 sur les télécommunications71; |
p3 | un litige au sens de l'art. 8 de la loi du 17 décembre 2010 sur la poste73; |
q | les décisions en matière de médecine de transplantation qui concernent: |
q1 | l'inscription sur la liste d'attente, |
q2 | l'attribution d'organes; |
r | les décisions en matière d'assurance-maladie qui ont été rendues par le Tribunal administratif fédéral sur la base de l'art. 3474 de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)75; |
s | les décisions en matière d'agriculture qui concernent: |
s1 | ... |
s2 | la délimitation de zones dans le cadre du cadastre de production; |
t | les décisions sur le résultat d'examens ou d'autres évaluations des capacités, notamment en matière de scolarité obligatoire, de formation ultérieure ou d'exercice d'une profession; |
u | les décisions relatives aux offres publiques d'acquisition (art. 125 à 141 de la loi du 19 juin 2015 sur l'infrastructure des marchés financiers79); |
v | les décisions du Tribunal administratif fédéral en cas de divergences d'opinion entre des autorités en matière d'entraide judiciaire ou d'assistance administrative au niveau national; |
w | les décisions en matière de droit de l'électricité qui concernent l'approbation des plans des installations électriques à courant fort et à courant faible et l'expropriation de droits nécessaires à la construction ou à l'exploitation de telles installations, si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe. |
x | les décisions en matière d'octroi de contributions de solidarité au sens de la loi fédérale du 30 septembre 2016 sur les mesures de coercition à des fins d'assistance et les placements extrafamiliaux antérieurs à 198183, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs; |
y | les décisions prises par le Tribunal administratif fédéral dans des procédures amiables visant à éviter une imposition non conforme à une convention internationale applicable dans le domaine fiscal; |
z | les décisions citées à l'art. 71c, al. 1, let. b, de la loi du 30 septembre 2016 sur l'énergie86 concernant les autorisations de construire et les autorisations relevant de la compétence des cantons destinées aux installations éoliennes d'intérêt national qui y sont nécessairement liées, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe. |
SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 42 Membres étrangers de la famille d'un ressortissant suisse - 1 Le conjoint d'un ressortissant suisse ainsi que ses enfants célibataires de moins de 18 ans ont droit à l'octroi d'une autorisation de séjour et à la prolongation de sa durée de validité à condition de vivre en ménage commun avec lui. |
|
1 | Le conjoint d'un ressortissant suisse ainsi que ses enfants célibataires de moins de 18 ans ont droit à l'octroi d'une autorisation de séjour et à la prolongation de sa durée de validité à condition de vivre en ménage commun avec lui. |
2 | Les membres de la famille d'un ressortissant suisse titulaires d'une autorisation de séjour durable délivrée par un État avec lequel la Suisse a conclu un accord sur la libre circulation des personnes ont droit à l'octroi d'une autorisation de séjour et à la prolongation de sa validité. Sont considérés comme membres de sa famille: |
a | le conjoint et ses descendants âgés de moins de 21 ans ou dont l'entretien est garanti; |
b | les ascendants du ressortissant suisse ou de son conjoint dont l'entretien est garanti. |
3 | Après un séjour légal ininterrompu de cinq ans, le conjoint a droit à l'octroi d'une autorisation d'établissement si les critères d'intégration définis à l'art. 58a sont remplis.67 |
4 | Les enfants de moins de douze ans ont droit à l'octroi d'une autorisation d'établissement. |
Soweit der Beschwerdeführer sinngemäss geltend machen sollte, die Ausführungen der Vorinstanz ausserhalb des Anspruchsbereichs seien unzutreffend, kann er keine indirekte Überprüfung des Entscheids in der Sache erlangen, da insoweit die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten ausgeschlossen ist (vgl. Art. 83 lit. c Ziff. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 83 Exceptions - Le recours est irrecevable contre: |
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a | les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit58 jugée par un tribunal; |
b | les décisions relatives à la naturalisation ordinaire; |
c | les décisions en matière de droit des étrangers qui concernent: |
c1 | l'entrée en Suisse, |
c2 | une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit, |
c3 | l'admission provisoire, |
c4 | l'expulsion fondée sur l'art. 121, al. 2, de la Constitution ou le renvoi, |
c5 | les dérogations aux conditions d'admission, |
c6 | la prolongation d'une autorisation frontalière, le déplacement de la résidence dans un autre canton, le changement d'emploi du titulaire d'une autorisation frontalière et la délivrance de documents de voyage aux étrangers sans pièces de légitimation; |
d | les décisions en matière d'asile qui ont été rendues: |
d1 | par le Tribunal administratif fédéral, sauf celles qui concernent des personnes visées par une demande d'extradition déposée par l'État dont ces personnes cherchent à se protéger, |
d2 | par une autorité cantonale précédente et dont l'objet porte sur une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit; |
e | les décisions relatives au refus d'autoriser la poursuite pénale de membres d'autorités ou du personnel de la Confédération; |
f | les décisions en matière de marchés publics: |
fbis | les décisions du Tribunal administratif fédéral concernant les décisions visées à l'art. 32i de la loi fédérale du 20 mars 2009 sur le transport de voyageurs65; |
f1 | si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe; sont réservés les recours concernant des marchés du Tribunal administratif fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal fédéral des brevets, du Ministère public de la Confédération et des autorités judiciaires supérieures des cantons, ou |
f2 | si la valeur estimée du marché à adjuger est inférieure à la valeur seuil déterminante visée à l'art. 52, al. 1, et fixée à l'annexe 4, ch. 2, de la loi fédérale du 21 juin 2019 sur les marchés publics63; |
g | les décisions en matière de rapports de travail de droit public qui concernent une contestation non pécuniaire, sauf si elles touchent à la question de l'égalité des sexes; |
h | les décisions en matière d'entraide administrative internationale, à l'exception de l'assistance administrative en matière fiscale; |
i | les décisions en matière de service militaire, de service civil ou de service de protection civile; |
j | les décisions en matière d'approvisionnement économique du pays qui sont prises en cas de pénurie grave; |
k | les décisions en matière de subventions auxquelles la législation ne donne pas droit; |
l | les décisions en matière de perception de droits de douane fondée sur le classement tarifaire ou le poids des marchandises; |
m | les décisions sur l'octroi d'un sursis de paiement ou sur la remise de contributions; en dérogation à ce principe, le recours contre les décisions sur la remise de l'impôt fédéral direct ou de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice est recevable, lorsqu'une question juridique de principe se pose ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs; |
n | les décisions en matière d'énergie nucléaire qui concernent: |
n1 | l'exigence d'un permis d'exécution ou la modification d'une autorisation ou d'une décision, |
n2 | l'approbation d'un plan de provision pour les coûts d'évacuation encourus avant la désaffection d'une installation nucléaire, |
n3 | les permis d'exécution; |
o | les décisions en matière de circulation routière qui concernent la réception par type de véhicules; |
p | les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière de télécommunications, de radio et de télévision et en matière postale qui concernent:70 |
p1 | une concession ayant fait l'objet d'un appel d'offres public, |
p2 | un litige découlant de l'art. 11a de la loi du 30 avril 1997 sur les télécommunications71; |
p3 | un litige au sens de l'art. 8 de la loi du 17 décembre 2010 sur la poste73; |
q | les décisions en matière de médecine de transplantation qui concernent: |
q1 | l'inscription sur la liste d'attente, |
q2 | l'attribution d'organes; |
r | les décisions en matière d'assurance-maladie qui ont été rendues par le Tribunal administratif fédéral sur la base de l'art. 3474 de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)75; |
s | les décisions en matière d'agriculture qui concernent: |
s1 | ... |
s2 | la délimitation de zones dans le cadre du cadastre de production; |
t | les décisions sur le résultat d'examens ou d'autres évaluations des capacités, notamment en matière de scolarité obligatoire, de formation ultérieure ou d'exercice d'une profession; |
u | les décisions relatives aux offres publiques d'acquisition (art. 125 à 141 de la loi du 19 juin 2015 sur l'infrastructure des marchés financiers79); |
v | les décisions du Tribunal administratif fédéral en cas de divergences d'opinion entre des autorités en matière d'entraide judiciaire ou d'assistance administrative au niveau national; |
w | les décisions en matière de droit de l'électricité qui concernent l'approbation des plans des installations électriques à courant fort et à courant faible et l'expropriation de droits nécessaires à la construction ou à l'exploitation de telles installations, si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe. |
x | les décisions en matière d'octroi de contributions de solidarité au sens de la loi fédérale du 30 septembre 2016 sur les mesures de coercition à des fins d'assistance et les placements extrafamiliaux antérieurs à 198183, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs; |
y | les décisions prises par le Tribunal administratif fédéral dans des procédures amiables visant à éviter une imposition non conforme à une convention internationale applicable dans le domaine fiscal; |
z | les décisions citées à l'art. 71c, al. 1, let. b, de la loi du 30 septembre 2016 sur l'énergie86 concernant les autorisations de construire et les autorisations relevant de la compétence des cantons destinées aux installations éoliennes d'intérêt national qui y sont nécessairement liées, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 30 Garanties de procédure judiciaire - 1 Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
|
1 | Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
2 | La personne qui fait l'objet d'une action civile a droit à ce que sa cause soit portée devant le tribunal de son domicile. La loi peut prévoir un autre for. |
3 | L'audience et le prononcé du jugement sont publics. La loi peut prévoir des exceptions. |
2.
2.1. Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann unter anderem geltend gemacht werden, der angefochtene Entscheid verletze Bundesrecht, Völkerrecht sowie kantonale verfassungsmässige Rechte (Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
2.2. Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
Für eine Berichtigung oder Ergänzung der Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz durch das Bundesgericht muss die Behebung des Mangels überdies für den Ausgang des Verfahrens entscheidend sein können (Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
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1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
|
1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
Die Partei, welche die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz anfechten will, muss klar und substanziiert aufzeigen, inwiefern die Voraussetzungen einer Ausnahme gemäss Art. 105 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
Wegen Willkür ist der angefochtene Entscheid nur aufzuheben, wenn wenn er im Ergebnis und nicht nur in der Begründung verfassungswidrig ist (BGE 141 I 70 E. 2.2; 140 III 16 E. 2.1 S. 18 f.; 139 III 334 E. 3.2.5 S. 339).
3.
Der Beschwerdeführer rügt, die Vorinstanz sei voreingenommen gewesen. Damit macht er sinngemäss geltend, der Anspruch auf ein unabhängiges und unparteiisches Gericht (Art. 30 Abs. 1
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 30 Garanties de procédure judiciaire - 1 Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
|
1 | Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
2 | La personne qui fait l'objet d'une action civile a droit à ce que sa cause soit portée devant le tribunal de son domicile. La loi peut prévoir un autre for. |
3 | L'audience et le prononcé du jugement sont publics. La loi peut prévoir des exceptions. |
3.1. Nach Art. 30 Abs. 1
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 30 Garanties de procédure judiciaire - 1 Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
|
1 | Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
2 | La personne qui fait l'objet d'une action civile a droit à ce que sa cause soit portée devant le tribunal de son domicile. La loi peut prévoir un autre for. |
3 | L'audience et le prononcé du jugement sont publics. La loi peut prévoir des exceptions. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 30 Garanties de procédure judiciaire - 1 Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
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1 | Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
2 | La personne qui fait l'objet d'une action civile a droit à ce que sa cause soit portée devant le tribunal de son domicile. La loi peut prévoir un autre for. |
3 | L'audience et le prononcé du jugement sont publics. La loi peut prévoir des exceptions. |
Die Garantie des verfassungsmässigen Gerichts wird bereits verletzt, wenn bei objektiver Betrachtung Gegebenheiten vorliegen, die den Anschein der Befangenheit oder die Gefahr der Voreingenommenheit zu begründen vermögen. Voreingenommenheit und Befangenheit in diesem Sinne werden nach der Rechtsprechung angenommen, wenn im Einzelfall bei Berücksichtigung aller tatsächlichen und verfahrensrechtlichen Umstände Gegebenheiten aufscheinen, die geeignet sind, Misstrauen in die Unparteilichkeit des Gerichts zu erwecken. Dabei ist nicht auf das subjektive Empfinden einer Partei abzustellen. Das Misstrauen in die Unvoreingenommenheit muss vielmehr in objektiver Weise begründet erscheinen. Es genügt, wenn Umstände vorliegen, die bei objektiver Betrachtung den Anschein der Befangenheit und Voreingenommenheit hervorrufen. Nicht erforderlich ist, dass ein Gerichtsmitglied tatsächlich befangen ist (BGE 144 I 234 E. 5.2 S. 336 f.; 143 IV 69 E. 3.2 S. 74; 141 IV 178 E. 3.21 S. 179; 139 I 121 E. 5.1 S. 125; 138 I 1 E. 2.2 S. 3 f.; 136 I 207 E. 3.1 S. 210; 136 III 605 E. 3.2.1 S. 608 f., mit weiteren Hinweisen).
3.2. Der Beschwerdeführer macht zur Begründung der erwähnten Rüge im Einzelnen insbesondere geltend, die Vorinstanz habe ihm am 6. Dezember 2018 eine Frist zur Stellungnahme angesetzt sowie zugleich angekündigt, dass die Sache für den 24. Januar 2019 zum Entscheid traktandiert werde. Die Frist zur Stellungnahme sei am 20. Dezember 2018 bis zum 11. Januar 2019 erstreckt worden, doch habe der Beschwerdeführer seine Stellungnahme gleichentags, also am 20. Dezember 2018 eingereicht. Am Folgetag habe die Vorinstanz diese Stellungnahme dem Sicherheits- und Justizdepartement des Kantons St. Gallen zugestellt, was dem Beschwerdeführer am 28. Dezember 2018 zur Kenntnis gebracht worden sei. Entgegen ihrer Ankündigung habe die Vorinstanz die Angelegenheit alsdann nicht am 24. Januar 2019 beraten, sondern bereits am 16. Januar 2019 auf dem Zirkulationsweg entschieden. Das genannte Vorgehen, insbesondere auch der Umstand, dass die Stellungnahme des Beschwerdeführers vom 20. Dezember 2018 dem Sicherheits- und Justizdepartement des Kantons St. Gallen bloss zur Kenntnis gebracht worden sei, zeige, dass die Vorinstanz ihre Meinung bereits gefasst gehabt habe, bevor der Beschwerdeführer "seine Beschwerde vollständig begründet" habe (Beschwerde, S.
5).
Selbst wenn es sich in tatsächlicher Hinsicht so zugetragen haben sollte, wie der Beschwerdeführer behauptet, liesse sich daraus nichts zu seinen Gunsten ableiten. Gegebenenfalls hätte die Vorinstanz zwar entgegen der Ankündigung vom 6. Dezember 2018 früher und auf dem Zirkulationsweg statt anlässlich einer Beratung entschieden. Dies würde aber keinen Anschein der Befangenheit begründen. Denn selbst bei Annahme des behaupteten zeitlichen Ablaufes hatte die Vorinstanz - auch im Rahmen der Entscheidfällung auf dem Zirkulationsweg - ausreichend Zeit, die Stellungnahme des Beschwerdeführers vom 20. Dezember 2018 bei der Entscheidfindung zu berücksichtigen.
Es liegen keine genügenden Anhaltspunkte vor, um anzunehmen, dass das kantonale Verwaltungsgericht vorliegend bereits vor Kenntnisnahme der Stellungnahme vom 20. Dezember 2018 seine Meinung gefasst und die Eingabe damit unberücksichtigt gelassen hätte. Insbesondere kann der Umstand, dass die Stellungnahme dem Sicherheits- und Justizdepartement des Kantons St. Gallen lediglich zur Kenntnis gebracht worden sein soll, nicht als Hinweis auf eine Befangenheit der Vorinstanz qualifiziert werden. Letzteres gilt umso mehr, als der Beschwerdeführer nicht rügt, es sei in einer gegen Grundrechte verstossenden Weise, etwa gestützt auf eine willkürliche Anwendung des einschlägigen kantonalen Verfahrensrechts, kein vollständiger Schriftenwechsel durchgeführt worden (vgl. zur beschränkten Überprüfung der Anwendung des kantonalen Rechts BGE 138 I 143 E. 2 S. 149 f. sowie E. 2.1 hiervor).
Nach dem Gesagten sind die Ausführungen des Beschwerdeführers zum behördlichen Vorgehen im vorangegangenen Verfahren nicht geeignet, den Anschein der Befangenheit der Vorinstanz zu begründen. Es kann dabei dahingestellt bleiben, ob der Beschwerdeführer in diesem Zusammenhang neue Tatsachen geltend macht, welche vom Bundesgericht von vornherein nicht zu berücksichtigen wären (vgl. dazu hiervor E. 2.2).
3.3. Zwar weist der Beschwerdeführer zutreffend darauf hin, dass die Vorinstanz im angefochtenen Urteil jeweils von der Wohnung der Ehefrau statt von der ehelichen Wohnung spreche (vgl. dazu E. 5 des angefochtenen Urteils sowie Beschwerde, S. 6). Auch dies begründet aber entgegen dem Beschwerdeführer keinen Anschein der Befangenheit des kantonalen Gerichts, zumal er nach den grundsätzlich für das Bundesgericht bindenden Feststellungen der Vorinstanz (vgl. Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
3.4. Der Beschwerdeführer bringt vor, auch der Umstand, dass die Vorinstanz Ausführungen in seiner Stellungnahme vom 20. Dezember 2018 übergangen habe, spreche für den Anschein der Befangenheit (vgl. Beschwerde, S. 3 f.). Auch damit dringt er nicht durch:
Zum einen genügt ein richterlicher Verfahrensfehler oder ein falscher Entscheid in der Sache nicht, um auf eine mögliche Befangenheit der Gerichtspersonen zu schliessen. Anders zu beurteilen wäre die Lage nur, wenn krasse oder wiederholte Irrtümer vorliegen würden, die eine schwere Verletzung der Amtspflichten darstellen (BGE 143 IV 69 E. 3.2 S. 74 f.).
Zum anderen ist vorliegend nicht ersichtlich, inwiefern die Vorinstanz in bundesrechtswidriger Weise Ausführungen des Beschwerdeführers in dessen Stellungnahme vom 20. Dezember 2018 ignoriert haben sollte. Die Erwägungen im angefochtenen Urteil entsprechen (entgegen dem Beschwerdeführer) den sich aus dem Anspruch auf rechtliches Gehör (Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
4.
4.1. Ausländische Ehegatten haben Anspruch auf Familiennachzug, soweit sie mit dem niederlassungsberechtigten oder dem schweizerischen Partner zusammenwohnen (Art. 43 Abs. 1
SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 43 Conjoint et enfants étrangers du titulaire d'une autorisation d'établissement - 1 Le conjoint étranger du titulaire d'une autorisation d'établissement ainsi que ses enfants célibataires étrangers de moins de 18 ans ont droit à l'octroi d'une autorisation de séjour et à la prolongation de sa durée de validité aux conditions suivantes: |
|
1 | Le conjoint étranger du titulaire d'une autorisation d'établissement ainsi que ses enfants célibataires étrangers de moins de 18 ans ont droit à l'octroi d'une autorisation de séjour et à la prolongation de sa durée de validité aux conditions suivantes: |
a | ils vivent en ménage commun avec lui; |
b | ils disposent d'un logement approprié; |
c | ils ne dépendent pas de l'aide sociale; |
d | ils sont aptes à communiquer dans la langue nationale parlée au lieu de domicile; |
e | la personne à l'origine de la demande de regroupement familial ne perçoit pas de prestations complémentaires annuelles au sens de la loi du 6 octobre 2006 sur les prestations complémentaires (LPC)69 ni ne pourrait en percevoir grâce au regroupement familial. |
2 | Pour l'octroi de l'autorisation de séjour, une inscription à une offre d'encouragement linguistique suffit en lieu et place de la condition prévue à l'al. 1, let. d. |
3 | La condition prévue à l'al. 1, let. d, ne s'applique pas aux enfants célibataires de moins de 18 ans. |
4 | L'octroi et la prolongation d'une autorisation de séjour peuvent être subordonnés à la conclusion d'une convention d'intégration lorsque se présentent des besoins d'intégration particuliers conformément aux critères définis à l'art. 58a. |
5 | Après un séjour légal ininterrompu de cinq ans, le conjoint a droit à l'octroi d'une autorisation d'établissement si les critères d'intégration définis à l'art. 58a sont remplis. |
6 | Les enfants de moins de douze ans ont droit à l'octroi d'une autorisation d'établissement. |
SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 42 Membres étrangers de la famille d'un ressortissant suisse - 1 Le conjoint d'un ressortissant suisse ainsi que ses enfants célibataires de moins de 18 ans ont droit à l'octroi d'une autorisation de séjour et à la prolongation de sa durée de validité à condition de vivre en ménage commun avec lui. |
|
1 | Le conjoint d'un ressortissant suisse ainsi que ses enfants célibataires de moins de 18 ans ont droit à l'octroi d'une autorisation de séjour et à la prolongation de sa durée de validité à condition de vivre en ménage commun avec lui. |
2 | Les membres de la famille d'un ressortissant suisse titulaires d'une autorisation de séjour durable délivrée par un État avec lequel la Suisse a conclu un accord sur la libre circulation des personnes ont droit à l'octroi d'une autorisation de séjour et à la prolongation de sa validité. Sont considérés comme membres de sa famille: |
a | le conjoint et ses descendants âgés de moins de 21 ans ou dont l'entretien est garanti; |
b | les ascendants du ressortissant suisse ou de son conjoint dont l'entretien est garanti. |
3 | Après un séjour légal ininterrompu de cinq ans, le conjoint a droit à l'octroi d'une autorisation d'établissement si les critères d'intégration définis à l'art. 58a sont remplis.67 |
4 | Les enfants de moins de douze ans ont droit à l'octroi d'une autorisation d'établissement. |
SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 49 Exception à l'exigence du ménage commun - L'exigence du ménage commun prévue aux art. 42 à 44 n'est pas applicable lorsque la communauté familiale est maintenue et que des raisons majeures justifiant l'existence de domiciles séparés peuvent être invoquées. |
SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 51 Extinction du droit au regroupement familial - 1 Les droits prévus à l'art. 42 s'éteignent dans les cas suivants: |
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1 | Les droits prévus à l'art. 42 s'éteignent dans les cas suivants: |
a | ils sont invoqués abusivement, notamment pour éluder les dispositions de la présente loi sur l'admission et le séjour ou ses dispositions d'exécution; |
b | il existe des motifs de révocation au sens de l'art. 63. |
2 | Les droits prévus aux art. 43, 48 et 50 s'éteignent: |
a | lorsqu'ils sont invoqués abusivement, notamment pour éluder les dispositions de la présente loi sur l'admission et le séjour ou ses dispositions d'exécution; |
b | s'il existe des motifs de révocation au sens des art. 62 ou 63, al. 2. |
SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 62 Révocation des autorisations et d'autres décisions - 1 L'autorité compétente peut révoquer une autorisation, à l'exception de l'autorisation d'établissement, ou une autre décision fondée sur la présente loi, dans les cas suivants: |
|
1 | L'autorité compétente peut révoquer une autorisation, à l'exception de l'autorisation d'établissement, ou une autre décision fondée sur la présente loi, dans les cas suivants: |
a | l'étranger ou son représentant légal a fait de fausses déclarations ou a dissimulé des faits essentiels durant la procédure d'autorisation; |
b | l'étranger a été condamné à une peine privative de liberté de longue durée ou a fait l'objet d'une mesure pénale prévue aux art. 59 à 61 ou 64 CP119; |
c | l'étranger attente de manière grave ou répétée à la sécurité et l'ordre publics en Suisse ou à l'étranger, les met en danger ou représente une menace pour la sécurité intérieure ou extérieure de la Suisse; |
d | l'étranger ne respecte pas les conditions dont la décision est assortie; |
e | l'étranger lui-même ou une personne dont il a la charge dépend de l'aide sociale; |
f | l'étranger a tenté d'obtenir abusivement la nationalité suisse ou cette dernière lui a été retirée suite à une décision ayant force de chose jugée dans le cadre d'une annulation de la naturalisation au sens de l'art. 36 de la loi du 20 juin 2014 sur la nationalité suisse121; |
g | sans motif valable, il ne respecte pas la convention d'intégration. |
2 | Est illicite toute révocation fondée uniquement sur des infractions pour lesquelles un juge pénal a déjà prononcé une peine ou une mesure mais a renoncé à prononcer une expulsion. |
4.2. Für die Annahme, es liege eine Ausländerrechtsehe (auch "Umgehungsehe" oder "Scheinehe") vor bzw. der Bewilligungsanspruch werde rechtsmissbräuchlich geltend gemacht, bedarf es konkreter Hinweise, dass die Ehegatten nicht eine eigentliche Lebensgemeinschaft zu führen beabsichtigen, sondern die Beziehung nur aus aufenthaltsrechtlichen Überlegungen eingegangen wurde (vgl. BGE 135 II 1 E. 4.2 S. 9 f.; 127 II 49 E. 5a S. 57, mit Hinweisen; Urteil 2C 117/2019 vom 7. Juni 2019 E. 4.1; CARONI/SCHEIBER/PREISIG/ZOETEWEIJ, Migrationsrecht, 4. Aufl. 2018 S. 216 ff.). Ob im massgeblichen Zeitpunkt die Absicht bestand, keine Ehe zu führen, entzieht sich in der Regel dem direkten Beweis und ist oft nur über Indizien festzustellen (BGE 135 II 1 E. 4.2 S. 9 f.; 127 II 49 E. 5a S. 56 f.). Solche Hinweise können äussere Gegebenheiten, aber auch innere, psychische Vorgänge betreffen. So oder anders handelt es sich um tatsächliche Feststellungen, welche für das Bundesgericht grundsätzlich verbindlich sind (vgl. Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
Vorschriften oder sei rechtsmissbräuchlich (BGE 128 II 145 E. 2.3 S. 152, mit Hinweisen; Urteile 2C 631/2018 vom 4. April 2019 E. 2.2; 2C 154/2015 vom 17. März 2015 E. 2.2).
4.3. Entsprechende Indizien lassen sich unter anderem darin erblicken, dass der ausländischen Person die Wegweisung droht, weil sie ohne Heirat keine Aufenthaltsbewilligung erhielte bzw. eine Bewilligung ohne Ehe nicht oder kaum erhältlich gemacht werden könnte. Für das Vorliegen einer Ausländerrechtsehe können sodann die Umstände des Kennenlernens und die kurze Dauer der Bekanntschaft sprechen; dasselbe gilt bei Vorliegen eines grossen Altersunterschiedes oder wenn die Eheleute gar nie eine Wohngemeinschaft aufgenommen haben. Als weitere Hinweise für eine Umgehungsehe zu betrachten sind geringe Kenntnisse über den jeweiligen Ehepartner, die Vereinbarung einer Bezahlung für die Heirat sowie allgemein widersprüchliche Angaben über die Lebensgeschichte des Partners oder der Partnerin, über die Heirat oder das Eheleben (Urteile 2C 117/2019 vom 7. Juni 2019 E. 4.2; 2C 782/2018 vom 21. Januar 2019 E. 3.2.2; 2C 125/2011 vom 31. August 2011 E. 4.3).
4.4. Eine Ausländerrechtsehe liegt nicht bereits dann vor, wenn auch ausländerrechtliche Motive für den Eheschluss entscheidend waren. Erforderlich ist, dass der Wille zur Führung der Lebensgemeinschaft im Sinne einer auf Dauer angelegten wirtschaftlichen, körperlichen und spirituellen Verbindung zumindest bei einem der Ehepartner fehlt (vgl. BGE 121 II 97 E. 3b S. 101 f., mit Hinweisen; Urteile 2C 631/2018 vom 4. April 2019 E. 2.3; 2C 177/2013 vom 6. Juni 2013 E. 3.4; 2C 125/2011 vom 31. August 2011 E. 3.4 sowie 3.5).
4.5. Dass eine Umgehungsehe besteht, darf nicht leichthin angenommen werden (vgl. BGE 135 II 1 E. 4.2 S. 10; Urteil 2C 400/2011 vom 2. Dezember 2011 E. 3.2). Die Behörden müssen den Sachverhalt von Amtes wegen möglichst zuverlässig abklären; indessen wird der Untersuchungsgrundsatz durch die Mitwirkungspflicht der Parteien relativiert (vgl. Art. 90
SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 90 Obligation de collaborer - L'étranger et les tiers participant à une procédure prévue par la présente loi doivent collaborer à la constatation des faits déterminants pour son application. Ils doivent en particulier: |
|
a | fournir des indications exactes et complètes sur les éléments déterminants pour la réglementation du séjour; |
b | fournir sans retard les moyens de preuves nécessaires ou s'efforcer de se les procurer dans un délai raisonnable; |
c | se procurer une pièce de légitimation (art. 89) ou collaborer avec les autorités pour en obtenir une. |
4.6. Lässt die Indizienlage keinen klaren und eindeutigen Schluss zu, ist das Vorliegen einer Scheinehe nicht erstellt. In diesem Fall ist dem ausländischen Ehegatten praxisgemäss trotz allenfalls bestehender Zweifel die Aufenthaltsbewilligung zu erteilen, auf das Risiko hin, dass sich die Ehe aufgrund des späteren Verhaltens der Beteiligten (z.B. fehlendes eheliches Zusammenleben in der Schweiz) in Verbindung mit den bereits bekannten, in diese Richtung deutenden Indizien als Umgehungsehe erweist und die Aufenthaltsbewilligung gestützt auf die dannzumaligen Erkenntnisse widerrufen werden muss bzw. nicht mehr verlängert werden kann (vgl. Urteile 2C 782/2018 vom 21. Januar 2019 E. 3.2.5; 2C 75/2013 vom 29. August 2013 E. 3.4, mit weiteren Hinweisen).
5.
5.1. Im vorliegenden Fall geht die Vorinstanz davon aus, dass der Beschwerdeführer mit der Heirat keine Lebensgemeinschaft habe begründen, sondern ausschliesslich an eine Aufenthaltsbewilligung in der Schweiz habe gelangen wollen. Bereits im Vorfeld der (erstmaligen) Bewilligungserteilung vom 6. Juni 2013 habe ein Verdacht auf eine Scheinehe bestanden. Weil damals aber offenbar noch kein klarer Schluss auf das Vorliegen einer Ausländerrechtsehe habe gezogen werden können, habe man seinerzeit die Aufenthaltsbewilligung erteilt.
5.2. Zur Begründung ihrer Annahme, dass nunmehr eine Umgehungsehe als erstellt erachtet werden muss, führt die Vorinstanz ins Feld, der Beschwerdeführer habe als Drittstaatsangehöriger über keine realistische Perspektive verfügt, um ausserhalb des ausländerrechtlichen Familiennachzuges eine solche Bewilligung zu erhalten. Die zeitliche Abfolge weise die typischen Merkmale eines planmässigen Vorgehens zwecks Erlangung des Aufenthaltsrechts auf. So habe der Beschwerdeführer im November 2012 geheiratet, nachdem ein ihn betreffendes Gesuch um Familiennachzug, welches sein mit einer in der Schweiz niedergelassenen Serbin verheiratet gewesener Vater gestellt habe, am 19. Januar 2012 rechtskräftig abgewiesen und der Beschwerdeführer mit Verfügung des Migrationsamtes des Kantons Zürich vom 3. November 2011 aus dem Schengen-Raum weggewiesen worden sei. Die Ehefrau sei 27 Jahre älter als der Beschwerdeführer. Zudem habe er ausgesagt, geheiratet zu haben, weil er "einfach in die Schweiz" habe kommen wollen.
Die Vorinstanz erklärte ferner, zu Ungunsten des Beschwerdeführers sei auch zu berücksichtigen, dass die beiden Ehegatten widersprüchliche Angaben zum Ort der ersten Begegnung, zu ihrem ersten sexuellen Kontakt, zum Heiratsantrag sowie zum Datum und zur Uhrzeit der Trauung gemacht und hierbei auffallende Erinnerungslücken gezeigt hätten. Sinngemäss führte die Vorinstanz aus, es sei unwahrscheinlich, dass die entsprechenden, nach allgemeiner Lebenserfahrung prägenden Sachverhalte nur lückenhaft in Erinnerung bleiben würden. Die widersprüchlichen und lückenhaften Aussagen der Ehegatten über diese Sachverhalte seien damit vorliegend als Indiz für eine Scheinehe zu werten, selbst wenn berücksichtigt werde, dass die Befragungen der Ehegatten vom 15. April 2013 und 22. Juni 2016 knapp drei bzw. sechs Jahre nach ihrem mutmasslichen ersten Treffen stattgefunden hätten und das Erinnerungsvermögen in der Zwischenzeit habe beeinträchtigt werden können.
Auf eine Scheinehe deutet nach Auffassung der Vorinstanz insbesondere auch der Umstand hin, dass nur eine standesamtliche Hochzeit in Serbien stattgefunden habe, die Ehegatten die Trauzeugen nicht näher gekannt hätten, weder Eheringe ausgetauscht noch Hochzeitsfotos erstellt worden seien, anlässlich der Hochzeit keine Familienangehörigen anwesend gewesen seien und keine Feier veranstaltet worden sei. Selbst wenn es gute praktische Gründe für ein solches Verhalten geben könne, sei doch nicht zu bestreiten, dass diese Merkmale für Scheinehen charakteristisch seien.
Sodann wies die Vorinstanz auch auf widersprüchliche Angaben der Ehegatten zum 50. Geburtstag der Ehefrau des Beschwerdeführers am 1. Oktober 2014, zu Silvester 2015 und zum letzten Wochenende vor einer Befragung am 22. Juni 2016 hin. Die Ehegatten hätten Parallelbeziehungen geführt und ausserhalb der Familie der Ehefrau des Beschwerdeführers über keinen gemeinsamen Freundes- und Bekanntenkreis verfügt. Auffallend sei auch, dass der Beschwerdeführer keine Wohnungsschlüssel gehabt habe und regelmässig bei seinem Vater übernachte.
6.
Der Beschwerdeführer macht geltend, der rechtserhebliche Sachverhalt sei unvollständig abgeklärt worden, indem nicht geprüft worden sei, ob er mit seiner Ehefrau zusammenlebe.
Damit stösst der Beschwerdeführer ins Leere. Nach den für das Bundesgericht grundsätzlich bindenden Feststellungen der Vorinstanz im angefochtenen Urteil (vgl. Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
Zwar bringt der Beschwerdeführer auch vor, in Bezug auf die eheliche Wohnung sei im Rapport über die genannte polizeiliche Kontrolle zu Unrecht lediglich notiert worden, dass die Ehefrau angetroffen worden sei und der Beschwerdeführer am Arbeiten gewesen sei (Beschwerde, S. 6). Der Beschwerdeführer hat aber nicht in der gebotenen Weise mit präzisen Aktenhinweisen aufgezeigt, dass er diese angebliche Unvollständigkeit des Polizeirapports bereits bei der Vorinstanz prozesskonform geltend gemacht hat (vgl. dazu hiervor E. 2.2). Insbesondere rügt er deshalb ohne Erfolg, es seien anlässlich der Kontrolle in der ehelichen Wohnung zu Unrecht keine Fotos gemacht worden und man habe zu seinen Ungunsten nicht festgehalten, dass ein eheliches Schlafzimmer existiere und sämtliche ihm gehörenden Effekten in der ehelichen Wohnung vorhanden seien. Aus dem gleichen Grund kann dem Beschwerdeführer auch nicht gefolgt werden, soweit er unter Berufung auf die angebliche Unvollständigkeit des Polizeiberichts zur ehelichen Wohnung geltend macht, die Abklärungen des kantonalen Migrationsamtes seien von Anfang an einseitig darauf ausgerichtet gewesen, die vorgefasste Meinung zu bestätigen, es liege eine Scheinehe vor.
7.
Der Beschwerdeführer macht ferner geltend, der angefochtene Entscheid verstosse in verschiedener Hinsicht gegen das Willkürverbot (Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
7.1. Insbesondere wirft der Beschwerdeführer der Vorinstanz vor, sie habe in willkürlicher Weise darauf abgestellt, dass sein Vater im Jahr 2007 eine niedergelassene serbische Staatsangehörige geheiratet und erfolglos um Nachzug des Beschwerdeführers ersucht habe.
Dieses Vorbringen erscheint nicht als stichhaltig. Zwar stellt sich der Beschwerdeführer zu Recht auf den Standpunkt, dass ihm das Verhalten seines Vaters bei der Frage, ob seine Aufenthaltsbewilligung zu verlängern ist, nicht zugerechnet werden kann. Die Vorinstanz hat freilich im angefochtenen Urteil die Vorgeschichte mit dem rechtskräftig abgewiesenen Familiennachzugsgesuch des Vaters des Beschwerdeführers lediglich herangezogen, um näher auszuführen, weshalb der Beschwerdeführer unter keinem anderen Titel als dem Nachzug zu seiner Schweizer Frau Aussicht auf eine Verlängerung seiner Aufenthaltsbewilligung hatte. Insoweit kann nicht gesagt werden, dass die Vorinstanz aus den vorliegenden Beweisen unhaltbare Schlüsse gezogen hätte, und erscheint der angefochtene Entscheid weder als willkürlich noch auf andere Weise als bundesrechtswidrig.
7.2. Der Beschwerdeführer vertritt auch die Auffassung, die Vorinstanz sei in Willkür verfallen, indem sie seine Aussage, er habe "einfach in die Schweiz" kommen wollen, aus dem Zusammenhang gerissen habe. Selbst wenn aber die fragliche Aussage in dem vom Beschwerdeführer angerufenen Kontext gelesen (und in diesem Punkt der von der Vorinstanz festgestellte Sachverhalt ergänzt) würde (vgl. zur Sachverhaltsergänzung vorn E. 2.2), liesse sich daraus nicht auf eine willkürliche Beweiswürdigung schliessen:
Gemäss den Angaben in der Beschwerde wurde der Beschwerdeführer gefragt, ob es einen Heiratsantrag gegeben habe und wie dieser gegebenenfalls gestellt worden sei. Der Beschwerdeführer habe auf diese Fragen hin Folgendes ausgesagt (Beschwerde, S. 10) :
"Ja, es gab einen [Heiratsantrag]. Ich habe sie gefragt, ob sie mich heiraten möchte und dass ich gerne mit ihr zusammenleben möchte. Es war sehr unromantisch und ohne Rosen oder so. Ich wollte einfach in die Schweiz kommen."
Anders, als in der Beschwerde suggeriert wird, lassen sich diese (angeblichen) Erklärungen nicht ohne Weiteres so interpretieren, dass der Beschwerdeführer damit in erster Linie seinen Willen bekundete, mit seiner heutigen Ehefrau zusammen zu leben. Vielmehr sprechen sie eher dafür, dass es dem Beschwerdeführer einzig und allein darum ging, zwecks Erlangung des Aufenthaltsrechts zu heiraten. Es wäre jedenfalls nicht willkürlich, die entsprechenden Aussagen des Beschwerdeführers dahingehend zu verstehen, dass er nach eigenen Angaben nur aus diesem Grund seiner damaligen Partnerin (und heutigen Ehefrau) gegenüber erklärt hat, mit ihr zusammenleben zu wollen, und er mit Blick auf das alleinige Ziel, das Aufenthaltsrecht zu erhalten, darauf verzichtet hat, die Rahmenbedingungen des Heiratsantrages romantisch zu gestalten.
Bei dieser Sachlage kann im Umstand, dass die Vorinstanz nicht ausdrücklich auf den (angeblichen) Kontext der Erklärung, der Beschwerdeführer habe "einfach in die Schweiz" kommen wollen, Bezug genommen hat, keine Willkür erblickt werden.
7.3. Im Kontext der Frage, ob der Beschwerdeführer mit seiner Ehefrau zusammengewohnt hat, führte die Vorinstanz im angefochtenen Urteil - wie erwähnt - ins Feld, es sei ungewöhnlich, dass der Beschwerdeführer regelmässig bei seinem Vater übernachte (vgl. E. 5.2 hiervor). Diesbezüglich macht der Beschwerdeführer sinngemäss geltend, die Beweismittel seien in willkürlicher Weise gewürdigt worden. Nach seiner Auffassung wurden aktenkundige Aussagen des Vaters übergangen. Dieser habe erklärt, der Beschwerdeführer habe gelegentlich bei ihm übernachtet, weil er mitunter in der Gegend von U.________ gearbeitet habe und dabei spät fertig geworden sei (vgl. Beschwerde, S. 6).
In diesem Punkt erscheint der Vorwurf, die Vorinstanz sei in Willkür verfallen, als begründet. Gemäss einem in der Beschwerdeschrift in diesem Zusammenhang genannten Einvernahmeprotokoll vom 22. Juni 2016 erklärte der Vater des Beschwerdeführers nämlich, Letzterer habe in U.________ gearbeitet und jedes Mal bei ihm übernachtet, wenn er bis um 22:00 Uhr habe arbeiten müssen (Akten Migrationsamt, pag.-Nr. 136, Frage 7). Angesichts dieser glaubwürdigen Aussagen erscheinen die Übernachtungen des Beschwerdeführers in U.________ als arbeitsbedingt und können sie entgegen der Vorinstanz nicht als Indiz für eine Scheinehe herangezogen werden.
Wie im Folgenden ersichtlich wird, erscheint aber die Annahme einer Scheinehe auch ohne Berücksichtigung der genannten Übernachtungen als bundesrechtskonform. Der Umstand, dass die Vorinstanz die Arbeit des Beschwerdeführers als nachvollziehbaren Grund für die Übernachtungen beim Vater unberücksichtigt liess, führt deshalb nicht dazu, dass der angefochtene Entscheid im Ergebnis bundesrechtswidrig und deshalb aufzuheben wäre.
8.
8.1. Aus Sicht des Beschwerdeführers hat die Vorinstanz zu Unrecht angenommen, dass die abgefragten Details zu einzelnen Ereignissen sowie Eigenheiten des jeweils anderen Ehegatten nach der allgemeinen Lebenserfahrung prägend in Erinnerung bleiben würden.
8.2. Soweit die Vorinstanz Folgerungen ausschliesslich - losgelöst vom konkreten Sachverhalt - gestützt auf die allgemeine Lebenserfahrung zieht, steht eine Rechtsfrage zur Diskussion, welche vom Bundesgericht frei zu überprüfen ist (vgl. BGE 143 III 297 E. 6.7.1 S. 313; 133 V 504 E. 3.2 S. 507; 132 V 393 E. 3.2 S. 398; Urteile 8C 486/2013 vom 4. November 2013 E. 3.2; 9C 206/2010 vom 8. Oktober 2010 E. 4.2). Hingegen liegt für das Bundesgericht nach Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
Der von der Vorinstanz gestützt auf die allgemeine Lebenserfahrung gezogene Schluss, es sei - auch nach Ablauf von drei bzw. sechs Jahren seit dem ersten Treffen der Ehegatten - unwahrscheinlich, dass prägende Erfahrungen wie der Ort der ersten Begegnung, der erste sexuelle Kontakt unter den Ehegatten, die Umstände des Heiratsantrages sowie die Trauung nur lückenhaft in Erinnerung bleiben würden, wäre selbst dann bundesrechtskonform, wenn er als allgemein für Fälle gleicher Art geltender Satz vom Bundesgericht frei zu überprüfen wäre. Auch könnte dieser Schluss, wäre er ausschliesslich der vorinstanzlichen Beweiswürdigung im konkreten Fall zuzuordnen, nicht als willkürlich bezeichnet werden:
Zwar behauptet der Beschwerdeführer, die "richtige Lebenserfahrung", welche aus Scheidungsprozessen gewonnen werden könne, zeige, dass Ehegatten einzelne Ereignisse völlig unterschiedlich schildern würden. Doch ist diese Behauptung nicht näher substanziiert. Ohnehin muss es als allgemein anerkannter, auf der allgemeinen Lebenserfahrung beruhender und damit nicht beweisbedürftiger Erfahrungssatz gelten, dass die von der Vorinstanz erwähnten Ereignisse (das erste Kennenlernen, der erste sexuelle Kontakt, der Hochzeitsantrag und die Hochzeit) Schlüsselmomente einer Beziehung darstellen und als solche regelmässig selbst nach Jahren nachhaltig in Erinnerung bleiben (zur fehlenden Notwendigkeit eines Beweises für auf der allgemeinen Lebenserfahrung beruhende Erfahrungssätze siehe BGE 143 III 297 E. 6.7.1 S. 313; VETTER/PEYER, Bekannte Tatsachen, in: Gschwend/Hettich/Müller-Chen/Schindler/Wildhaber [Hrsg.], Recht im digitalen Zeitalter, 2015, S. 759 ff., S. 768, mit Hinweisen). Vor diesem Hintergrund kann nicht behauptet werden, die Vorinstanz habe sich vorliegend zu Unrecht auf die allgemeine Lebenserfahrung berufen, und erscheint ihre damit zusammenhängende Beweiswürdigung nicht als offensichtlich haltlos.
9.
9.1. Sodann stellt sich der Beschwerdeführer auf den Standpunkt, die Vorinstanz habe zu tiefe Anforderungen an den Beweis einer Scheinehe angesetzt, indem sie die tatsächliche Vermutung für das Vorliegen einer Scheinehe als genügend erachtet habe.
9.2. Wenn gewichtige Hinweise im Sinne einer tatsächlichen Vermutung für eine Scheinehe sprechen, kann von den Eheleuten - wie bereits erwähnt (E. 4.5 hiervor) - erwartet werden, dass sie von sich aus Umstände vorbringen, die den Ehewillen belegen (vgl. dazu auch BGE 130 II 482 E. 3.2 S. 485 f.; Urteile 2C 868/2015 vom 27. Januar 2016 E. 3.1; 2C 1127/2014 vom 2. Juli 2015 E. 3.2). Angesichts der von der Vorinstanz (nebst den zu Unrecht herangezogenen Übernachtungen in U.________) aufgeführten zahlreichen sowie bedeutsamen Indizien für das Vorliegen einer Scheinehe war es vorliegend Sache des Beschwerdeführers, Umstände darzulegen, welche die begründete Vermutung einer Scheinehe entkräften oder zumindest ernsthaft in Frage stellen. Nichts daran zu ändern vermag sein Vorbringen, er sei seiner Mitwirkungspflicht nachgekommen, indem er der Polizei Zugang zur ehelichen Wohnung gewährt habe (vgl. dazu Beschwerde, S. 7).
Der Beschwerdeführer behauptet, er habe mit seiner Ehefrau nachgewiesenermassen a) schon vor der Ehe Feste gefeiert, b) eine längere Beziehung vor der Eheschliessung geführt, c) während der Ehe jeweils im Januar Ferien verbracht (namentlich im Jahr 2016), d) im Dezember 2015 in der gemeinsamen Wohnung gelebt, e) die Küche der ehelichen Wohnung umgebaut, f) Möbel gekauft, g) die Steuern bezahlt, h) die Freizeit verbracht (insbesondere im Juni 2015 sowie in neuerer Zeit), i) an einer Familienfeier teilgenommen und j) im Alltag telefoniert sowie Nachrichten ausgetauscht. Als Belege hierfür habe er insbesondere Flugtickets und teilweise datierte Fotos vorgelegt. Nach Auffassung des Beschwerdeführers hat die Vorinstanz gegen die Begründungspflicht sowie gegen Treu und Glauben verstossen, indem sie ihn im Unklaren gelassen habe, ob sie die entsprechenden Tatsachen als erstellt erachtet oder nicht.
Indessen hat die Vorinstanz sinngemäss zum Ausdruck gebracht, dass die tatsächliche Vermutung einer Scheinehe bei einer Gesamtwürdigung der Umstände selbst dann nicht entkräftet wäre, wenn mit dem Beschwerdeführer davon auszugehen wäre, dass die beiden Ehegatten schon während bis zu zwei Jahren vor der Heirat Kontakt pflegten, gemeinsam Ferien machten, zusammen die Küche der ehelichen Wohnung umbauten, Möbel kauften, Steuern zahlten sowie die Freizeit miteinander verbrachten (E. 6.3 Abs. 2 des angefochtenen Urteils). Entgegen dem Beschwerdeführer lässt sich der Vorinstanz daher nicht vorwerfen, sie habe in Verletzung der Begründungspflicht (vgl. dazu vorn E. 3.4 in fine) sowie in treuwidriger Weise im Dunkeln gelassen, ob sie die von ihm geltend gemachten Sachumstände mangels Beweises als nicht ausschlaggebend erachtet. Die Vorinstanz hat nämlich vielmehr zu erkennen gegeben, dass sie die entsprechenden Tatsachen als nicht rechtserheblich und damit als nicht beweisbedürftig wertet. Mit ihren Ausführungen hat die Vorinstanz sodann zumindest implizit insbesondere auch dargelegt, dass sie die vom Beschwerdeführer vorgelegten Beweismittel (wie Flugtickets und Fotos) als nicht stichhaltig erachtet, weil die Sachumstände, welche er
damit zu untermauern sucht, ihrer Auffassung nach die vorliegend durch gewichtige Indizien begründete Vermutung einer Scheinehe von vornherein nicht entkräften könnten.
Selbst dann, wenn die Übernachtungen in U.________ nicht als Indiz für eine Scheinehe herangezogen werden, erscheint es als bundesrechtskonform, die hiervor aufgelisteten tatsächlichen Vorbringen des Beschwerdeführers zur vorehelichen und ehelichen Beziehung als nicht entscheidwesentlich zu qualifizieren. Diese Vorbringen beziehen sich nämlich allgemein auf das voreheliche und eheliche Zusammenleben. Sie vermögen nicht spezifisch einzelne der vorliegenden Umstände, welche nach dem Gesagten als Indizien für eine Scheinehe zu werten sind, zu relativieren. Auch wenn es sich in Bezug auf das Zusammenleben mit seiner Ehefrau in tatsächlicher Hinsicht so verhalten haben sollte, wie der Beschwerdeführer behauptet, würden deshalb gewichtige Indizien für eine Ausländerrechtsehe bestehen bleiben, und wäre die Vermutung einer Scheinehe nicht entkräftet. Vor diesem Hintergrund begründet auch der Umstand, dass sich die Vorinstanz nicht ausdrücklich mit den vorgelegten Flugtickets und Fotos auseinandergesetzt hat, keine willkürliche Beweiswürdigung.
9.3. Soweit die Vorinstanz einen Antrag des Beschwerdeführers auf technische Auswertung seines Mobiltelefons zwecks Überprüfung der Datierung der von ihm eingereichten Fotos abgewiesen hat, ist das angefochtene Urteil nach dem Ausgeführten ebenfalls nicht zu beanstanden. Die fraglichen Fotos bezogen sich nämlich nach Angaben des Beschwerdeführers auf die genannten Sachumstände, welche die Vorinstanz zulässigerweise als von vornherein nicht hinreichend erachtete, um die Vermutung einer Scheinehe zu widerlegen. Anders als der Beschwerdeführer anzunehmen scheint, durfte die Vorinstanz bei der gegebenen Sachlage in antizipierter Beweiswürdigung darauf verzichten, das angebotene Beweismittel abzunehmen (vgl. zur antizipierten Beweiswürdigung BGE 144 V 361 E. 6.5 S. 368; 144 II 427 E. 3.1.3 S. 435; 143 III 297 E. 9.3.2 S. 332 f.; 136 I 229 E. 5.3 S. 236; 124 V 90 E. 4b S. 94; 122 V 157 E. 1d S. 162). Auch bestand für die Vorinstanz - anders als der Beschwerdeführer suggeriert - kein Anlass, sich mit den Datumsangaben auf den datierten Fotos auseinanderzusetzen (vgl. zu diesen Fotos auch hiervor E. 9.2). Eine Verletzung des Rechts auf Beweis läge zwar vor, wenn die Vorinstanz objektiv taugliche und formgültig beantragte Beweise zu
rechtserheblichen Tatsachen nicht abgenommen hätte, obwohl sie die Sachvorbringen dazu weder als erstellt noch als widerlegt erachtete (vgl. BGE 143 III 297 E. 9.3.2 S. 332 f.). Davon kann aber vorliegend mangels Rechtserheblichkeit der Fotos und ihrer Datierung keine Rede sein.
10.
Angesichts der übrigen gewichtigen, im angefochtenen Urteil genannten Indizien ist nach dem Gesagten bei einer Gesamtwürdigung davon auszugehen, dass die Vorinstanz vorliegend trotz der zu Unrecht erfolgten Würdigung der Übernachtungen des Beschwerdeführers in U.________ als Indiz für eine Ausländerrechtsehe in bundesrechtskonformer Weise auf eine Scheinehe geschlossen hat.
Unter den gegebenen Umständen besteht kein Anspruch auf Verlängerung der Aufenthaltsbewilligung (vgl. hiervor E. 4.1 f.).
Die Beschwerde ist somit, soweit darauf einzutreten ist, unbegründet und abzuweisen.
11.
Bei diesem Ausgang trägt der Beschwerdeführer die Kosten des Verfahrens (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 2'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Es wird keine Parteientschädigung zugesprochen.
4.
Dieses Urteil wird den Verfahrensbeteiligten, dem Verwaltungsgericht des Kantons St. Gallen, Abteilung II, und dem Staatssekretariat für Migration schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 16. September 2019
Im Namen der II. öffentlich-rechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Seiler
Der Gerichtsschreiber: König