Tribunal administratif fédéral
Tribunale amministrativo federale
Tribunal administrativ federal
Cour I
A-1900/2019
Arrêt du 19 mai 2021
Jérôme Candrian (président du collège),
Composition Christine Ackermann, Maurizio Greppi, juges,
Johanna Hirsch-Sadik, greffière.
A._______,
Parties représenté parMaître Pierre-Alexandre Schlaeppi, Chaulmontet & Associés,
recourant,
contre
Lausanne-Echallens-Bercher (LEB),
agissant par
Transports Publics de la Région Lausannoise SA,
et représentée par Maître Alain Thévenaz,
Freymond, Tschumy & Associés,
intimée,
Office fédéral des transports OFT,
Division Infrastructure, 3003 Bern,
autorité inférieure.
Approbation des plans, accès nord de la gare [...],
Objet
réaménagement ; décision du 14 mars 2019.
Faits :
A.
A.a Par demande du 24 février 2014, Lausanne-Echallens-Bercher (LEB) agissant par Transports Publics de la Région Lausannoise SA (l'intimée) a soumis à l'OFT pour approbation les plans du projet concernant la modification de la gare [...]. Ce projet incluait la réalisation d'un accès nord avec emprises provisoire et définitive sur la parcelle n° (...) de la Commune [...], adjacente au domaine du LEB au Km (...) (profil 116) et propriété de A._______ (le recourant). À cet endroit, la hauteur prévue du mur de soutènement était de 1.96 m et celle de la paroi anti-vue de 2.80 m, l'altitude du faîte de la paroi n'étant pas précisée explicitement. Les parties calculent celle-ci à 624.38 m, respectivement à 624.35 m (cf.° décision attaquée du 14 mars 2019, consid. 2.1 ; écriture du recourant du 29 mai 2019, p. 8 ; réponse du 9 août 2019, allégué C). Le 4 avril 2014, l'OFT a ouvert une procédure ordinaire d'approbation des plans. Durant la mise à l'enquête publique, le recourant n'a pas formé opposition.
A.b En parallèle de cette procédure, les 20 mars et 1er avril 2015, le recourant, assisté par B._______, technicien en génie ferroviaire et expert dans ce domaine (l'expert), et l'intimée ont conclu une convention, laquelle prévoyait, entre autres, que le chantier impliquerait l'abattage de la haie et des arbres se trouvant en limite de propriété sur la parcelle du recourant ; qu'à la fin des travaux, ceux-ci seraient replantés avec des essences similaires par l'intimée ; qu'une paroi anti-vue avec un revêtement en bois serait installée sur le terrain de l'intimée avec pour but de séparer visuellement les deux parcelles afin que les voyageurs empruntant le LEB ne puissent pas voir le jardin voisin ; que l'ensemble des frais inhérents à ces travaux seraient à la charge de l'intimée ; que l'intimée s'engageait à informer le recourant des problèmes imprévus rencontrés et à lui indiquer les mesures qu'elle comptait prendre ; que la Commission fédérale d'estimation (la CFE) serait compétente en cas de litige relatif à un quelconque dommage ; et, finalement, que sa validité serait notamment subordonnée au fait que le projet mis à l'enquête ne subisse pas de modification importante affectant le bien-fonds du recourant.
A.c Le 15 mai 2015, le recourant, assisté par son expert, a signé le plan de situation GC - Gare, Modifications de projet - Détail parcelle (...) du 21 janvier 2015, mis à jour le 9 avril 2015. Ce plan prévoyait qu'au Km (...) (profil en travers 116), la paroi anti-vue serait en bois et sa hauteur de 2.80 m. La hauteur du mur de soutènement et l'altitude du faîte de la paroi n'y sont pas précisées. Les parties s'accordent à calculer cette altitude à 623.20 m (cf. décision attaquée du 14 mars 2019, consid. 2.2 ; pièce n° 3 jointe au recours du 23 avril 2019 ; réponse du 9 août 2019, allégué B).
A.d Par décision d'approbation des plans du 23 juillet 2015, l'OFT a approuvé avec charges le projet de l'intimée. En particulier, il a approuvé le plan profil type et profils en travers GC - Gare, Modifications de projet du 26 janvier 2015 de l'intimée, duquel il ressort qu'au Km (...) (profil en travers 116) la hauteur de la paroi anti-vue serait de 2.20 m et celle du mur de soutènement de 1.96 m, l'altitude du faîte de la paroi n'y étant pas précisée (cf. pièce n° 1.3 du dossier de l'autorité inférieure, pièce n° 22). Le recourant et l'intimée la calcule à 623.75 m, respectivement à 623.80 m (cf. pièce n° 6 jointe au recours du 23 avril 2019 ; pièce n° 9 jointe à la réponse du 9 août 2019).
A.e Le 15 mars 2016, le recourant, assisté de son expert, a reçu le plan d'exécution du 7 août 2015, profil en travers 116, Km (...), duquel il ressort que le faîte de la paroi anti-vue culmine à 622.80 m.
A.f Suite à la réception des aménagements extérieurs le 30 mai 2016, le recourant a, par courrier du 31 mai 2016 adressé à l'intimée, indiqué avoir constaté que la hauteur du mur de soutènement et celle de la paroi ne correspondaient pas aux plans de la convention et a requis l'intimée d'adapter le niveau supérieur de la paroi conformément à ceux-ci. Il a également constaté d'importantes modifications sur le plan d'exécution du 7 août 2015 ne respectant pas la convention.
A.g Par lettre du 22 juin 2016 adressée à l'OFT, le recourant a indiqué que le mur de soutènement avait été construit plus haut et le faîte de la paroi plus bas de plus de 40 cm que ce qui figurait sur le plan de la convention, ce qui ne lui convenait pas car la paroi ne permettait pas de séparer visuellement les deux parcelles. Il a précisé avoir renoncé au revêtement en bois de la paroi et a demandé à l'OFT d'examiner ces disfonctionnements.
A.h Par courriel du 8 juillet 2016 adressé à l'OFT, l'intimée a expliqué qu'après une présentation du prototype aux riverains en février 2016 dans les ateliers du fournisseur, le recourant avait validé par e-mail du 29 février 2016 qu'il préférait une paroi en verre opaque de 2.50 m de haut (1.50 de verre standard et environ 1 m de mur en béton) plutôt qu'une paroi en bois de 2.80 m, tel que prévu dans la convention.
A.i Par lettre du 11 juillet 2016 adressée au recourant, l'intimée a reproché à ce dernier de n'avoir pas réagi suite à l'envoi du plan d'exécution le 15 mars 2016, alors que si tel avait été le cas, elle aurait pu modifier les hauteurs des parois avant leur fabrication, la validation des hauteurs ayant été effectuée fin avril 2016.
A.j Par courriel du 13 juillet 2016 adressé à l'intimée, l'OFT a constaté les différences entre les dimensions de la paroi approuvées, celles convenues avec le recourant et celles finalement exécutées. Il a précisé qu'un projet approuvé pouvait être adapté de façon à tenir compte des contributions de tiers concernés ou de l'entreprise mandatée en phase d'exécution, sans être soumis à la procédure d'approbation, dans les limites de l'art. 1a
SR 742.142.1 Ordinanza del 2 febbraio 2000 sulla procedura d'approvazione dei piani di impianti ferroviari (OPAPIF) OPAPIF Art. 1a - 1 Le costruzioni e gli impianti di cui all'allegato possono essere realizzati o modificati senza procedura d'approvazione dei piani, se: |
|
1 | Le costruzioni e gli impianti di cui all'allegato possono essere realizzati o modificati senza procedura d'approvazione dei piani, se: |
a | non toccano interessi degni di protezione concernenti la pianificazione del territorio, la protezione dell'ambiente, della natura e del paesaggio, o terzi; |
b | non necessitano di autorizzazioni o approvazioni secondo le disposizioni del rimanente diritto federale. |
2 | In casi dubbi è svolta la procedura semplificata. |
3 | Le imprese ferroviarie devono presentare annualmente all'Ufficio federale dei trasporti (UFT) un elenco di tutte le costruzioni e di tutti gli impianti realizzati o modificati senza obbligo di approvazione. |
A.k Par courriel du 22 août 2016 adressé à l'OFT, l'intimée a précisé que les modifications apparaissaient clairement sur les plans d'exécution envoyés au recourant, restés sans réponse, et que la diminution de l'altitude du faîte de la paroi entre ce qui avait été convenu et ce qui avait été réalisé découlait du choix du recourant de remplacer la paroi en bois par du verre.
A.l Suite à trois visions locales les 1er, 6 et 21 septembre 2016, le recourant et l'intimée ont convenu le 4 octobre 2016 un avenant n° 1 à leur convention, dans le but de régler les modalités d'exécution des travaux des aménagements extérieurs - la haie et les arbres en limite de propriété du recourant, les autres dispositions de la convention restant inchangées. Il y est précisé que l'état antérieur n'est pas souhaité par le recourant, que l'intimée consent à ce que les aménagements soient réalisés selon ses envies, qu'elle y participera pour un montant forfaitaire de 21'000 francs et que les travaux seront commandés et réalisés sous la responsabilité du recourant, l'intimée étant libérée de toutes obligations et garanties pendant et après les travaux.
A.m Par lettre du 11 novembre 2016, le recourant a demandé à la CFE du 1er arrondissement d'apprécier son préjudice financier en lien avec les modifications de la gare [...].
A.n Le 15 décembre 2016, l'intimée a déposé auprès de l'OFT une demande d'approbation a posteriori des travaux réalisés, incluant notamment une adaptation de la paroi anti-vue.
A.o Le 2 mai 2017, lors d'une séance de conciliation en vision locale par-devant la CFE, le recourant et l'intimée se sont accordés sur une partie des prétentions en dommages-intérêts du recourant et ont réservé ses prétentions relatives à la hauteur de la paroi anti-vue et au réaménagement de la partie nord de son jardin ainsi que celles en dépens et autres frais et inconvénients subis du fait des travaux, jusqu'à droit connu sur la décision de mise en conformité de l'OFT. La procédure a été suspendue dans l'attente de cette décision.
A.p Par courrier du 26 avril 2018 adressé à l'OFT, l'intimée a maintenu sa demande d'approbation de la paroi anti-vue telle que réalisée, les négociations avec le recourant à ce sujet n'ayant pas abouti. Elle a également demandé l'approbation d'un rehaussement de 36 cm du niveau supérieur de la paroi, d'un rehaussement plus important au droit des escaliers à la sortie nord du quai 2 et de la plantation de bambous sur toute la longueur de la paroi, en complément à ceux déjà plantés. Elle admet qu'elle aurait dû déposer une demande de modification de projet en temps utile.
A.q Le 4 mai 2018, l'OFT a ouvert une procédure simplifiée d'approbation des plans. Le 15 mai 2018, la Commune [...] a confirmé n'avoir aucune objection à formuler quant aux modifications déjà exécutées. Le 14 juin 2018, le canton de Vaud a formulé un préavis favorable, sous réserve du droit des tiers.
A.r Le 25 mai 2018, le recourant a formé opposition contre le niveau supérieur de la paroi anti-vue, tel que réalisé. Il explique que, lorsqu'il a signé le plan le 15 mai 2015, il n'a pas remarqué que le niveau supérieur de la paroi anti-vue avait été abaissé, qu'il a certes donné son accord sur le type de paroi présenté aux ateliers du fournisseur mais qu'il n'a jamais été d'accord avec un abaissement de son niveau supérieur. Il souhaite que le rehaussement de la paroi soit de même matière que celle exécutée et que son faîte atteigne au minimum 623.80 m, tel qu'approuvé par l'OFT le 23 juillet 2015.
A.s Le 29 août 2018, l'intimée a précisé que le projet de rehaussement de la paroi anti-vue visait à ajouter une bande de métal ajouré d'une hauteur d'environ 30 cm à la paroi existante (niveau fini à 623.20 m), de manière à empêcher la vue, depuis le train, sur le jardin du recourant, afin de garantir son intimité au moins aussi bien qu'avant les travaux. Elle produit des plans présentant des coupes transversales en trois emplacements le long de la paroi, avec à chaque coupe les angles de vue sur la propriété du recourant pour une personne de 1.80 m, debout dans le train, comparant la situation avant travaux, la situation mise à l'enquête début 2014 et la situation de modification de projet avec rehaussement d'avril 2018.
A.t Le 24 septembre 2018, le recourant a rappelé que l'altitude de ses arbres était de 624.00 m, joignant 4 photos figurant la densité de ses plantations avant travaux et l'état aujourd'hui. Il précise que le métal ajouré ne lui convient pas. Le 1er octobre 2018, il a également produit une photo montage, prise depuis le train, simulant approximativement un rehaussement de 40 cm de la paroi, qu'il juge insuffisant.
A.u Le 8 novembre 2018, l'intimée a produit une photo, prise depuis la position d'une personne hors du train debout sur l'extrémité du quai en haut des escaliers, et sur laquelle figurent les gabarits indiquant le niveau supérieur du rehaussement prévu. Elle est d'avis que celui-ci est suffisant pour empêcher la vue sur le jardin et les fenêtres du recourant. Elle produit également des photos de la haie et des arbres avant les travaux et remarque que ceux-ci présentaient des lacunes et ne protégeaient pas complètement le recourant contre la vue sur sa propriété.
A.v Le 21 février 2019, le recourant a contesté le fait que sa haie présentait des lacunes et a affirmé que les photos produites par l'intimée étaient trompeuses, car prises depuis sa place de parc. Il produit d'autres photos prises entre 2001 et 2014 et signale avoir abattu les sapins se trouvant dans les lacunes alléguées par l'intimée.
B.
Par décision du 14 mars 2019, l'OFT a approuvé avec une charge le projet de l'intimée du 15 décembre 2016, complété le 26 avril 2018, concernant l'accès nord de la gare [...] et son réaménagement. Il a approuvé notamment la pièce n° 22 profil type et profils en travers GC du 29 mars 2018, de laquelle il ressort qu'au profil en travers 115 (Km [...]) et au profil en travers 116 (Km [...]), l'altitude du sommet de la paroi sera de 623.20 m avec le rehaussement prévu. Il a également approuvé la pièce n° 25 addenda au rapport technique d'avril 2018, prévoyant le rehaussement de la paroi de 36 cm (altitude à 623.20 m) et un rehaussement au droit des escaliers à la sortie nord du quai 2 (altitude à 624.48 m). Il a rejeté l'opposition du recourant, lui a accordé une indemnité de 5'000 francs pour tous les frais de défense encourus durant la procédure d'opposition et a mis l'émolument à la charge de l'intimée.
En substance, l'OFT arrive à la conclusion que le projet est conforme aux dispositions légales déterminantes et qu'aucun intérêt public ou privé prépondérant ne s'y oppose. Il remarque qu'avant la création de l'accès nord de la gare [...], l'habitation du recourant, se situant en aval de la voie ferrée, était séparée de celle-ci par un talus, couvert d'une végétation dense principalement au feuillage persistant. Il considère que cette végétation se situait en majeure partie sur le domaine ferroviaire, que le recourant ne peut donc pas directement se prévaloir de son droit de propriété par rapport à la protection qu'elle offrait et devait tenir compte du fait que cet espace pouvait être utilisé différemment en fonction des besoins ferroviaires. Il estime que la paroi anti-vue rehaussée présente une protection suffisante et rappelle qu'une fois les travaux non conformes réalisés, le recourant a pu choisir la végétation à planter en bordure du nouveau mur.
C.
C.a Par mémoire du 23 avril 2019, A._______, non représenté, a interjeté recours devant le Tribunal administratif fédéral (le Tribunal) contre la décision de l'OFT (l'autorité inférieure) du 14 mars 2019, s'opposant au niveau supérieur de la paroi telle que réalisée. En substance, en plus de réitérer les arguments de son opposition, il invoque que l'intimée n'a pas respecté l'altitude approuvée par l'autorité inférieure quelques mois seulement après l'approbation. Il rappelle que la végétation avant travaux offrait une protection visuelle complète et considère que le rehaussement prévu ne le protège pas suffisamment. Il ajoute que, vu le manque de profondeur de la ligne électrique à haute tension, toutes les plantations se trouvant au-dessus doivent être effectuées à la main avec surcoûts à sa charge. Il remarque qu'il a été obligé de faire appel à un expert dont les honoraires sont toujours en suspens. Il estime qu'une visite sur site s'impose.
C.b Suite à un délai supplémentaire accordé par le Tribunal pour régulariser le recours, le recourant, désormais représenté, a requis que l'effet suspensif soit accordé jusqu'à droit connu sur le sort du recours, et a conclu, sous suite de dépens, à titre principal, à ce que la décision attaquée soit annulée et son opposition admise, et à titre subsidiaire, à ce que la décision attaquée soit réformée en ce sens que la paroi anti-vue soit réalisée conformément au dossier d'enquête publique, respectivement installée jusqu'à une altitude de 624.35 m environ et que l'indemnité de partie accordée par l'OFT pour tous les frais de défense encourus durant la procédure d'opposition soit fixée à 25'000 francs hors dépens d'avocat. Au surplus, le recourant critique une constatation inexacte des faits pertinents s'agissant de la validité de la convention, requiert d'être protégé efficacement contre la vision sur sa parcelle depuis le train et considère que seule la variante mise à l'enquête en 2014 permet de respecter ses droits du voisinage.
C.c Par mémoire en réponse du 16 juillet 2019, l'autorité inférieure a conclu au rejet du recours, les frais de procédure devant être mis à la charge du recourant. Elle maintient intégralement le contenu de la décision attaquée, conteste avoir constaté de manière inexacte les faits pertinents et confirme que les aménagements prévus par l'intimée offrent une protection visuelle suffisante au recourant. Elle remarque que ce dernier n'a pas d'intérêt à obtenir l'annulation de sa décision, dans la mesure où la paroi existante ne serait alors pas rehaussée, que selon les plans mis à l'enquête ou ceux approuvés le 23 juillet 2015, la limite du projet empiétait de manière plus conséquente sur sa parcelle et que de lourds travaux devraient donc être réengagés, ce qui aurait notamment pour effet de supprimer l'aménagement paysager convenu entre le recourant et l'intimée, réalisé aux frais de celle-ci.
C.d Par mémoire en réponse du 9 août 2019, l'intimée a conclu, avec suite de frais et dépens, au rejet du recours. Elle remarque que le recourant était assisté par un ingénieur lors des négociations de la convention et admet que les travaux réalisés ne correspondent ni à la convention ni à la décision d'approbation des plans. Elle ajoute que sa demande de rehaussement rend impossible la vue depuis le train sur le jardin du recourant et garantit son intimité, au moins aussi bien qu'avant travaux.
C.e Par mémoire en réplique du 17 octobre 2019, le recourant a confirmé les conclusions de son recours. Au surplus, il précise que l'avenant du 4 octobre 2016 concerne uniquement les aménagements extérieurs et non l'altitude de la paroi, que ce document est dès lors sans pertinence en l'espèce et qu'il y a lieu de distinguer la hauteur de la paroi des modalités de dédommagement en ce qui concerne la végétation à remplacer.
C.f Dans leur mémoire en duplique des 1er novembre et 15 novembre 2019, l'autorité inférieure et l'intimée ont maintenu leurs conclusions et argumentation respectives.
C.g L'Office fédéral des routes (l'OFROU), la Direction générale de la mobilité et des routes du canton de Vaud (la DGMR) et la Commune [...] n'ont pas souhaité se déterminer sur la cause.
C.h Par écriture du 11 février 2020, le recourant a déposé ses déterminations finales, confirmant les conclusions de son recours. Il souligne que l'intimée a adopté des pratiques très contestables avec lui.
C.i Suite à l'ordonnance du Tribunal du 13 octobre 2020 rappelant aux parties que la procédure en cours ne les empêchait pas de mener des discussions transactionnelles, celles-ci l'ont informé en décembre 2020 qu'un accord à l'amiable n'avait pas pu aboutir.
C.j Le Tribunal a ensuite avisé que la cause était gardée à juger.
Droit :
1.
La procédure de recours est régie par la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA, RS 172.021), pour autant que la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF, RS 173.32) n'en dispose pas autrement (art. 37
SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 37 Principio - La procedura dinanzi al Tribunale amministrativo federale è retta dalla PA56, in quanto la presente legge non disponga altrimenti. |
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 7 - 1 L'autorità esamina d'ufficio la sua competenza. |
|
1 | L'autorità esamina d'ufficio la sua competenza. |
2 | La competenza non può essere pattuita tra l'autorità e la parte. |
1.1 Sous réserve des exceptions - non pertinentes en l'espèce - prévues à l'art. 32
SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 32 Eccezioni - 1 Il ricorso è inammissibile contro: |
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1 | Il ricorso è inammissibile contro: |
a | le decisioni in materia di sicurezza interna o esterna del Paese, neutralità, protezione diplomatica e altri affari esteri, in quanto il diritto internazionale pubblico non conferisca un diritto al giudizio da parte di un tribunale; |
b | le decisioni in materia di diritto di voto dei cittadini nonché di elezioni e votazioni popolari; |
c | le decisioni in materia di salario al merito del personale federale, in quanto non concernano la parità dei sessi; |
d | ... |
e | le decisioni nel settore dell'energia nucleare concernenti: |
e1 | le autorizzazioni di massima per impianti nucleari, |
e2 | l'approvazione del programma di smaltimento, |
e3 | la chiusura di depositi geologici in profondità, |
e4 | la prova dello smaltimento; |
f | le decisioni in materia di rilascio o estensione di concessioni di infrastrutture ferroviarie; |
g | le decisioni dell'autorità indipendente di ricorso in materia radiotelevisiva; |
h | le decisioni in materia di rilascio di concessioni per case da gioco; |
i | le decisioni in materia di rilascio, modifica o rinnovo della concessione della Società svizzera di radiotelevisione (SSR); |
j | le decisioni in materia di diritto ai sussidi di una scuola universitaria o di un altro istituto accademico. |
2 | Il ricorso è inoltre inammissibile contro: |
a | le decisioni che, in virtù di un'altra legge federale, possono essere impugnate mediante opposizione o ricorso dinanzi a un'autorità ai sensi dell'articolo 33 lettere c-f; |
b | le decisioni che, in virtù di un'altra legge federale, possono essere impugnate mediante ricorso dinanzi a un'autorità cantonale. |
SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 31 Principio - Il Tribunale amministrativo federale giudica i ricorsi contro le decisioni ai sensi dell'articolo 5 della legge federale del 20 dicembre 196819 sulla procedura amministrativa (PA). |
SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 33 Autorità inferiori - Il ricorso è ammissibile contro le decisioni: |
|
a | del Consiglio federale e degli organi dell'Assemblea federale in materia di rapporti di lavoro del personale federale, compreso il rifiuto dell'autorizzazione a procedere penalmente; |
b | del Consiglio federale concernenti: |
b1 | la destituzione di un membro del Consiglio della banca o della direzione generale o di un loro supplente secondo la legge del 3 ottobre 200325 sulla Banca nazionale, |
b10 | la revoca di un membro del consiglio d'amministrazione del Servizio svizzero di assegnazione delle tracce o l'approvazione della risoluzione del rapporto di lavoro del direttore da parte del consiglio d'amministrazione secondo la legge federale del 20 dicembre 195743 sulle ferrovie; |
b2 | la revoca di un membro del consiglio di amministrazione dell'Autorità federale di vigilanza sui mercati finanziari o l'approvazione dello scioglimento del rapporto di lavoro del direttore da parte del consiglio di amministrazione secondo la legge del 22 giugno 200726 sulla vigilanza dei mercati finanziari, |
b3 | il blocco di valori patrimoniali secondo la legge del 18 dicembre 201528 sui valori patrimoniali di provenienza illecita, |
b4 | il divieto di determinate attività secondo la LAIn30, |
b4bis | il divieto di organizzazioni secondo la LAIn, |
b5 | la revoca di un membro del Consiglio d'istituto dell'Istituto federale di metrologia secondo la legge federale del 17 giugno 201133 sull'Istituto federale di metrologia, |
b6 | la revoca di un membro del consiglio di amministrazione dell'Autorità federale di sorveglianza dei revisori o l'approvazione dello scioglimento del rapporto di lavoro del direttore da parte del consiglio di amministrazione secondo la legge del 16 dicembre 200535 sui revisori, |
b7 | la revoca di un membro del Consiglio dell'Istituto svizzero per gli agenti terapeutici secondo la legge del 15 dicembre 200037 sugli agenti terapeutici, |
b8 | la revoca di un membro del consiglio di amministrazione dell'istituto secondo la legge del 16 giugno 201739 sui fondi di compensazione, |
b9 | la revoca di un membro del consiglio d'Istituto dell'Istituto svizzero di diritto comparato secondo la legge federale del 28 settembre 201841 sull'Istituto svizzero di diritto comparato, |
c | del Tribunale penale federale in materia di rapporti di lavoro dei suoi giudici e del suo personale; |
cbis | del Tribunale federale dei brevetti in materia di rapporti di lavoro dei suoi giudici e del suo personale; |
cquater | del procuratore generale della Confederazione in materia di rapporti di lavoro dei procuratori pubblici federali da lui nominati e del personale del Ministero pubblico della Confederazione; |
cquinquies | dell'autorità di vigilanza sul Ministero pubblico della Confederazione in materia di rapporti di lavoro del personale della sua segreteria; |
cter | dell'autorità di vigilanza sul Ministero pubblico della Confederazione in materia di rapporti di lavoro dei membri del Ministero pubblico della Confederazione eletti dall'Assemblea federale plenaria; |
d | della Cancelleria federale, dei dipartimenti e dei servizi dell'Amministrazione federale loro subordinati o aggregati amministrativamente; |
e | degli stabilimenti e delle aziende della Confederazione; |
f | delle commissioni federali; |
g | dei tribunali arbitrali costituiti in virtù di contratti di diritto pubblico sottoscritti dalla Confederazione, dai suoi stabilimenti o dalle sue aziende; |
h | delle autorità o organizzazioni indipendenti dall'Amministrazione federale che decidono nell'adempimento di compiti di diritto pubblico loro affidati dalla Confederazione; |
i | delle autorità cantonali, in quanto una legge federale preveda che le loro decisioni sono impugnabili mediante ricorso dinanzi al Tribunale amministrativo federale. |
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 5 - 1 Sono decisioni i provvedimenti delle autorità nel singolo caso, fondati sul diritto pubblico federale e concernenti: |
|
1 | Sono decisioni i provvedimenti delle autorità nel singolo caso, fondati sul diritto pubblico federale e concernenti: |
a | la costituzione, la modificazione o l'annullamento di diritti o di obblighi; |
b | l'accertamento dell'esistenza, dell'inesistenza o dell'estensione di diritti o di obblighi; |
c | il rigetto o la dichiarazione d'inammissibilità d'istanze dirette alla costituzione, alla modificazione, all'annullamento o all'accertamento di diritti o di obblighi. |
2 | Sono decisioni anche quelle in materia d'esecuzione (art. 41 cpv. 1 lett. a e b), le decisioni incidentali (art. 45 e 46), le decisioni su opposizione (art. 30 cpv. 2 lett. b e 74), le decisioni su ricorso (art. 61), le decisioni in sede di revisione (art. 68) e l'interpretazione (art. 69).24 |
3 | Le dichiarazioni di un'autorità che rifiuta o solleva pretese da far valere mediante azione non sono considerate decisioni. |
SR 172.010.1 Ordinanza del 25 novembre 1998 sull'organizzazione del Governo e dell'Amministrazione (OLOGA) OLOGA Art. 8 Elenco delle unità - 1 Nell'allegato 1 sono elencate in modo esaustivo con la relativa attribuzione a un dipartimento le unità amministrative: |
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1 | Nell'allegato 1 sono elencate in modo esaustivo con la relativa attribuzione a un dipartimento le unità amministrative: |
a | dell'Amministrazione federale centrale, senza l'ulteriore suddivisione degli uffici federali; |
b | dell'Amministrazione federale decentralizzata, a eccezione delle commissioni extraparlamentari. |
2 | Nell'allegato 2 sono elencate in modo esaustivo con la relativa attribuzione a un dipartimento le commissioni extraparlamentari. |
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 5 - 1 Sono decisioni i provvedimenti delle autorità nel singolo caso, fondati sul diritto pubblico federale e concernenti: |
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1 | Sono decisioni i provvedimenti delle autorità nel singolo caso, fondati sul diritto pubblico federale e concernenti: |
a | la costituzione, la modificazione o l'annullamento di diritti o di obblighi; |
b | l'accertamento dell'esistenza, dell'inesistenza o dell'estensione di diritti o di obblighi; |
c | il rigetto o la dichiarazione d'inammissibilità d'istanze dirette alla costituzione, alla modificazione, all'annullamento o all'accertamento di diritti o di obblighi. |
2 | Sono decisioni anche quelle in materia d'esecuzione (art. 41 cpv. 1 lett. a e b), le decisioni incidentali (art. 45 e 46), le decisioni su opposizione (art. 30 cpv. 2 lett. b e 74), le decisioni su ricorso (art. 61), le decisioni in sede di revisione (art. 68) e l'interpretazione (art. 69).24 |
3 | Le dichiarazioni di un'autorità che rifiuta o solleva pretese da far valere mediante azione non sono considerate decisioni. |
1.2 Le recourant a pris part à la procédure devant l'autorité inférieure. Étant le destinataire de la décision attaquée, qui rejette son opposition au projet de l'intimée, et bénéficiaire de la paroi anti-vue, il est particulièrement atteint et a un intérêt digne de protection à requérir son annulation ou sa modification (art. 48 al. 1
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 48 - 1 Ha diritto di ricorrere chi: |
|
1 | Ha diritto di ricorrere chi: |
a | ha partecipato al procedimento dinanzi all'autorità inferiore o è stato privato della possibilità di farlo; |
b | è particolarmente toccato dalla decisione impugnata; e |
c | ha un interesse degno di protezione all'annullamento o alla modificazione della stessa. |
2 | Ha inoltre diritto di ricorrere ogni persona, organizzazione o autorità cui un'altra legge federale riconosce tale diritto. |
1.3 Présenté dans le délai (art. 50 al. 1
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 50 - 1 Il ricorso dev'essere depositato entro 30 giorni dalla notificazione della decisione. |
|
1 | Il ricorso dev'essere depositato entro 30 giorni dalla notificazione della decisione. |
2 | Il ricorso per denegata o ritardata giustizia può essere interposto in ogni tempo. |
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 52 - 1 L'atto di ricorso deve contenere le conclusioni, i motivi, l'indicazione dei mezzi di prova e la firma del ricorrente o del suo rappresentante; devono essere allegati la decisione impugnata e i documenti indicati come mezzi di prova, se sono in possesso del ricorrente. |
|
1 | L'atto di ricorso deve contenere le conclusioni, i motivi, l'indicazione dei mezzi di prova e la firma del ricorrente o del suo rappresentante; devono essere allegati la decisione impugnata e i documenti indicati come mezzi di prova, se sono in possesso del ricorrente. |
2 | Se il ricorso non soddisfa a questi requisiti o se le conclusioni o i motivi del ricorrente non sono sufficientemente chiari, e il ricorso non sembra manifestamente inammissibile, l'autorità di ricorso assegna al ricorrente un breve termine suppletorio per rimediarvi. |
3 | Essa gli assegna questo termine con la comminatoria che, decorrendo infruttuoso, deciderà secondo l'inserto o, qualora manchino le conclusioni, i motivi oppure la firma, non entrerà nel merito del ricorso. |
2.
2.1 L'objet de la procédure administrative et, ainsi, l'objet du litige, constitue la relation juridique réglée par la décision, dans la mesure où celle-ci est attaquée. Par conséquent, l'objet du litige est déterminé par deux éléments : d'une part, par la décision attaquée, aussi nommé l'objet de la contestation et, d'autre part, par les conclusions des parties. L'objet du litige, délimité par les conclusions des parties, ne saurait s'étendre au-delà de l'objet de la contestation. L'autorité de deuxième instance ne peut pas statuer sur des objets qui n'ont pas été tranchés par l'autorité de première instance, sinon elle empièterait sur la compétence fonctionnelle de l'autorité de première instance. Au cours de la procédure de recours, l'objet du litige peut être réduit, mais ne saurait être ni élargi, ni transformé par rapport à ce qu'il était devant l'autorité précédente, qui l'a fixé dans le dispositif de l'arrêt entrepris (cf. ATF 142 I 155 consid. 4.4.2, 136 II 457 consid. 4.2 ; ATAF 2017 V/4 consid. 3 ; arrêt du Tribunal administratif fédéral A-2569/2018 du 4 juin 2019 consid. 1.5.1). L'objet de la contestation résulte du dispositif de la décision attaquée et non de sa motivation. En principe, seul le dispositif d'une décision est attaquable (cf. ATAF 2014/24 consid. 1.4.1 et les réf. cit. ; arrêt du Tribunal administratif fédéral A-7245/2018 du 13 septembre 2019 consid. 1.3 ;Zibung/Hofstetter, in : Praxiskommentar Verwaltungsverfahrensgesetz, 2e éd., 2016, art. 49 n° 51 p. 1047).
2.2 En l'espèce, l'autorité inférieure a approuvé le projet de l'intimée du 15 décembre 2016, complété le 26 avril 2018, concernant le réaménagement de l'accès nord de la gare [...]. Le dispositif, dont les plans approuvés font également partie, ne règle pas la question de la profondeur de la ligne électrique à haute tension traversant la parcelle du recourant. Partant, les griefs de celui-ci concernant le manque de profondeur de cette ligne sont irrecevables dans la présente procédure de recours. En outre, dans son opposition, le recourant a requis que le faîte de la paroi atteigne au minimum 623.80 m. Il ne peut dès lors requérir dans la présente procédure de recours, même à titre subsidiaire, qu'elle soit installée jusqu'à une altitude de 624.35 m.
2.3 Le présent litige porte donc sur la question de savoir si l'autorité inférieure a approuvé à bon droit la paroi anti-vue telle que réalisée ainsi que ses rehaussements demandés par l'intimée, et rejeté l'opposition du recourant. Pour ce faire, il sied d'examiner les griefs du recourant en constatation inexacte des faits pertinents (cf. consid. 5), concernant la modification de la décision du 23 juillet 2015 (cf. consid. 6) ainsi que l'expropriation de ses droits de voisinage (cf. consid. 7). À titre liminaire, il convient de statuer sur ses requêtes d'effet suspensif (cf. consid. 3) et de vision locale (cf. consid. 4) et, en dernier lieu, sur son grief concernant le montant de l'indemnité accordée par l'autorité inférieure (cf. consid. 8).
2.4 Selon l'art. 49
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 49 - Il ricorrente può far valere: |
|
a | la violazione del diritto federale, compreso l'eccesso o l'abuso del potere di apprezzamento; |
b | l'accertamento inesatto o incompleto di fatti giuridicamente rilevanti; |
c | l'inadeguatezza; questa censura non è ammissibile quando un'autorità cantonale ha giudicato come autorità di ricorso. |
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 12 - L'autorità accerta d'ufficio i fatti e si serve, se necessario, dei seguenti mezzi di prova: |
|
a | documenti; |
b | informazioni delle parti; |
c | informazioni o testimonianze di terzi; |
d | sopralluoghi; |
e | perizie. |
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 13 - 1 Le parti sono tenute a cooperare all'accertamento dei fatti: |
|
1 | Le parti sono tenute a cooperare all'accertamento dei fatti: |
a | in un procedimento da esse proposto; |
b | in un altro procedimento, se propongono domande indipendenti; |
c | in quanto un'altra legge federale imponga loro obblighi più estesi d'informazione o di rivelazione. |
1bis | L'obbligo di cooperazione non comprende la consegna di oggetti e documenti inerenti ai contatti tra una parte e il suo avvocato autorizzato a esercitare la rappresentanza in giudizio in Svizzera secondo la legge del 23 giugno 200033 sugli avvocati.34 |
2 | L'autorità può dichiarare inammissibili le domande formulate nei procedimenti menzionati alle lettere a e b, qualora le parti neghino la cooperazione necessaria e ragionevolmente esigibile. |
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 62 - 1 L'autorità di ricorso può modificare la decisione impugnata a vantaggio di una parte. |
|
1 | L'autorità di ricorso può modificare la decisione impugnata a vantaggio di una parte. |
2 | Essa può modificare a pregiudizio di una parte la decisione impugnata quando questa violi il diritto federale o poggi su un accertamento inesatto o incompleto dei fatti; per inadeguatezza, la decisione impugnata non può essere modificata a pregiudizio di una parte, a meno che la modificazione giovi ad una controparte. |
3 | L'autorità di ricorso che intenda modificare la decisione impugnata a pregiudizio di una parte deve informarla della sua intenzione e darle la possibilità di esprimersi. |
4 | L'autorità di ricorso non è vincolata in nessun caso dai motivi del ricorso. |
3.
3.1 Le recourant requiert que l'effet suspensif soit accordé jusqu'à droit connu sur le sort de son recours. Il avance que la paroi ne doit pas être modifiée immédiatement mais devra l'être selon les exigences judiciaires et non selon le projet querellé.
3.2 L'art. 55
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 55 - 1 Il ricorso ha effetto sospensivo. |
|
1 | Il ricorso ha effetto sospensivo. |
2 | Nella decisione, se non ha per oggetto una prestazione pecuniaria, l'autorità inferiore può togliere l'effetto sospensivo a un eventuale ricorso; l'autorità di ricorso, il suo presidente o il giudice dell'istruzione ha lo stesso diritto dopo il deposito del ricorso.94 |
3 | L'autorità di ricorso, il suo presidente o il giudice dell'istruzione può restituire a un ricorso l'effetto sospensivo toltogli dall'autorità inferiore; la domanda di restituzione dell'effetto sospensivo è trattata senza indugio.95 |
4 | Se l'effetto sospensivo è tolto arbitrariamente o se la domanda di restituzione dell'effetto sospensivo è stata arbitrariamente respinta o ritardata, l'ente o l'istituto autonomo nel cui nome l'autorità ha stabilito risponde del danno che ne deriva. |
5 | Sono riservate le disposizioni di altre leggi federali secondo le quali il ricorso non ha effetto sospensivo.96 |
4.
4.1 Le recourant estime qu'une visite sur site s'impose.
4.2 Le Tribunal admet les moyens de preuve offerts par la partie s'ils paraissent propres à élucider les faits (art. 33 al. 1
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 33 - 1 L'autorità ammette le prove offerte dalla parte se paiano idonee a chiarire i fatti. |
|
1 | L'autorità ammette le prove offerte dalla parte se paiano idonee a chiarire i fatti. |
2 | Se la loro assunzione implichi una spesa relativamente elevata, che andrebbe a carico della parte ove fosse soccombente, l'autorità può subordinarla alla condizione che la parte anticipi, entro un termine, le spese che possono essere ragionevolmente pretese da essa; la parte indigente ne è dispensata. |
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 12 - L'autorità accerta d'ufficio i fatti e si serve, se necessario, dei seguenti mezzi di prova: |
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a | documenti; |
b | informazioni delle parti; |
c | informazioni o testimonianze di terzi; |
d | sopralluoghi; |
e | perizie. |
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 33 - 1 L'autorità ammette le prove offerte dalla parte se paiano idonee a chiarire i fatti. |
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1 | L'autorità ammette le prove offerte dalla parte se paiano idonee a chiarire i fatti. |
2 | Se la loro assunzione implichi una spesa relativamente elevata, che andrebbe a carico della parte ove fosse soccombente, l'autorità può subordinarla alla condizione che la parte anticipi, entro un termine, le spese che possono essere ragionevolmente pretese da essa; la parte indigente ne è dispensata. |
SR 101 Costituzione federale della Confederazione Svizzera del 18 aprile 1999 Cost. Art. 29 Garanzie procedurali generali - 1 In procedimenti dinanzi ad autorità giudiziarie o amministrative, ognuno ha diritto alla parità ed equità di trattamento, nonché ad essere giudicato entro un termine ragionevole. |
|
1 | In procedimenti dinanzi ad autorità giudiziarie o amministrative, ognuno ha diritto alla parità ed equità di trattamento, nonché ad essere giudicato entro un termine ragionevole. |
2 | Le parti hanno diritto d'essere sentite. |
3 | Chi non dispone dei mezzi necessari ha diritto alla gratuità della procedura se la sua causa non sembra priva di probabilità di successo. Ha inoltre diritto al patrocinio gratuito qualora la presenza di un legale sia necessaria per tutelare i suoi diritti. |
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 29 - La parte ha il diritto d'essere sentita. |
4.3 En l'espèce, le recourant ne motive pas sa requête de vision locale. Il n'explique pas en quoi l'administration d'une telle preuve serait utile à la constatation des faits. Le Tribunal remarque que le dossier à sa disposition contient de nombreux plans et photos produits tant par l'intimée que par le recourant de la situation avant travaux, de celle mise à l'enquête en 2014, de celle approuvée en 2015 par l'OFT, de celle finalement réalisée ainsi que de celle objet de la présente procédure d'approbation des plans. Ainsi, il considère qu'une visite des lieux ne serait pas de nature à emporter sa conviction et que la requête de vision locale doit être rejetée.
5.
Il s'agit dès lors de se pencher sur le grief en constatation inexacte des faits pertinents.
5.1
5.1.1 Le recourant invoque une constatation inexacte des faits pertinents dans la mesure où, contrairement à ce que retient l'OFT, il n'a pas approuvé ni donné son accord à une altitude de la paroi autre que celle mise à l'enquête initialement. Il fait valoir que lorsqu'il a signé la convention, son attention n'a pas été attirée sur le fait que la paroi avait été ramenée de 2.50 m à 1.80 m de la voie et que le mur de soutien rabaissé, diminuant d'autant la hauteur de la paroi qui, initialement, avait son point culminant au droit des fenêtres des trains alors qu'avec la convention, celui-là est à l'aval de celles-ci. Il indique que le plan contresigné ne présente aucune mesure, dimension ou altitude, ni ne mentionne les différences avec le plan mis à l'enquête. Il explique qu'il a signé la convention en partant du principe que le plan était conforme au dossier d'enquête publique, dans la mesure où la hauteur de la paroi a été ramenée à 2.80 m après qu'il a refusé une hauteur de 2 m lors des négociations. Il estime avoir été fourvoyé dans la mesure où la correction sur la hauteur de la paroi, telle qu'il l'avait demandée, n'attire pas son attention sur le fait qu'en réalité, la problématique vient de la modification du mur de soutien qui ne présentait plus une hauteur de 1.96 m. Il remarque que l'intimée a réalisé au final des travaux ne correspondant ni à ceux de l'enquête publique ni aux propositions qui lui ont été faites. Il considère que la convention n'est pas respectée dans la mesure où ni la paroi réalisée, ni le rehaussement envisagé ne séparent visuellement les deux parcelles, afin que les voyageurs ne puissent pas voir dans son jardin. Finalement, il conteste la validité de la convention dans la mesure où le projet mis à l'enquête a fait l'objet de modifications importantes - l'altitude réalisée étant de de 1.58 mètre plus bas que celle mise à l'enquête - et qu'il n'a pas été prévenu de cette modification.
5.1.2 L'intimée remarque que, lors des négociations de la convention et de l'avenant du 4 octobre 2016, le recourant était assisté par un ingénieur. Elle admet que les travaux réalisés ne correspondent ni à la convention signée, ni à la décision d'approbation des plans. Elle précise qu'afin de trouver une solution à cette situation regrettable, elle a eu de nombreux contacts et visites sur place avec le recourant, sans que les négociations n'aboutissent. Elle ajoute que sa demande de rehaussement permet de se conformer aux engagements pris.
5.1.3 L'autorité inférieure conteste avoir constaté de manière inexacte les faits pertinents et rappelle que le recourant a contresigné des plans mis au propre le 15 mai 2015. Elle précise que le seul accord pris en compte dans son évaluation est l'avenant du 4 octobre 2016, qu'à ce stade, les travaux litigieux étaient déjà réalisés et que c'est donc en connaissance de cause sur l'impact visuel des travaux non conformes que le recourant a convenu du réaménagement de la limite de sa parcelle aux frais de l'intimée.
5.2
5.2.1 En vertu de l'art. 12
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 12 - L'autorità accerta d'ufficio i fatti e si serve, se necessario, dei seguenti mezzi di prova: |
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a | documenti; |
b | informazioni delle parti; |
c | informazioni o testimonianze di terzi; |
d | sopralluoghi; |
e | perizie. |
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 49 - Il ricorrente può far valere: |
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a | la violazione del diritto federale, compreso l'eccesso o l'abuso del potere di apprezzamento; |
b | l'accertamento inesatto o incompleto di fatti giuridicamente rilevanti; |
c | l'inadeguatezza; questa censura non è ammissibile quando un'autorità cantonale ha giudicato come autorità di ricorso. |
5.2.2 La validité d'un contrat de droit administratif peut être remise en cause en raison d'un vice du consentement (erreur essentielle, crainte fondée, dol), par référence aux art. 23 ss
SR 220 Parte prima: Disposizioni generali Titolo primo: Delle cause delle obbligazioni Capo primo: Delle obbligazioni derivanti da contratto CO Art. 23 - Il contratto non obbliga colui che vi fu indotto da errore essenziale. |
SR 220 Parte prima: Disposizioni generali Titolo primo: Delle cause delle obbligazioni Capo primo: Delle obbligazioni derivanti da contratto CO Art. 23 - Il contratto non obbliga colui che vi fu indotto da errore essenziale. |
SR 220 Parte prima: Disposizioni generali Titolo primo: Delle cause delle obbligazioni Capo primo: Delle obbligazioni derivanti da contratto CO Art. 24 - 1 L'errore è essenziale specialmente nei seguenti casi: |
|
1 | L'errore è essenziale specialmente nei seguenti casi: |
1 | quando la parte in errore abbia avuto di mira un contratto diverso da quello al quale ha dichiarato di consentire; |
2 | quando la volontà della parte in errore fosse diretta ad un'altra cosa, o, trattandosi di contratto conchiuso in considerazione di una determinata persona, fosse diretta ad una persona diversa da quella da essa dichiarata; |
3 | quando la parte in errore abbia promesso o siasi fatta promettere una prestazione di un'estensione notevolmente maggiore o minore di quella cui era diretta la sua volontà; |
4 | quando l'errore concerne una determinata condizione di fatto, che la parte in errore considerava come un necessario elemento del contratto secondo la buona fede nei rapporti d'affari. |
2 | Non è invece essenziale l'errore che concerne solo i motivi del contratto. |
3 | Semplici errori di calcolo non infirmano la validità del contratto, ma devono essere rettificati. |
SR 220 Parte prima: Disposizioni generali Titolo primo: Delle cause delle obbligazioni Capo primo: Delle obbligazioni derivanti da contratto CO Art. 24 - 1 L'errore è essenziale specialmente nei seguenti casi: |
|
1 | L'errore è essenziale specialmente nei seguenti casi: |
1 | quando la parte in errore abbia avuto di mira un contratto diverso da quello al quale ha dichiarato di consentire; |
2 | quando la volontà della parte in errore fosse diretta ad un'altra cosa, o, trattandosi di contratto conchiuso in considerazione di una determinata persona, fosse diretta ad una persona diversa da quella da essa dichiarata; |
3 | quando la parte in errore abbia promesso o siasi fatta promettere una prestazione di un'estensione notevolmente maggiore o minore di quella cui era diretta la sua volontà; |
4 | quando l'errore concerne una determinata condizione di fatto, che la parte in errore considerava come un necessario elemento del contratto secondo la buona fede nei rapporti d'affari. |
2 | Non è invece essenziale l'errore che concerne solo i motivi del contratto. |
3 | Semplici errori di calcolo non infirmano la validità del contratto, ma devono essere rettificati. |
SR 220 Parte prima: Disposizioni generali Titolo primo: Delle cause delle obbligazioni Capo primo: Delle obbligazioni derivanti da contratto CO Art. 24 - 1 L'errore è essenziale specialmente nei seguenti casi: |
|
1 | L'errore è essenziale specialmente nei seguenti casi: |
1 | quando la parte in errore abbia avuto di mira un contratto diverso da quello al quale ha dichiarato di consentire; |
2 | quando la volontà della parte in errore fosse diretta ad un'altra cosa, o, trattandosi di contratto conchiuso in considerazione di una determinata persona, fosse diretta ad una persona diversa da quella da essa dichiarata; |
3 | quando la parte in errore abbia promesso o siasi fatta promettere una prestazione di un'estensione notevolmente maggiore o minore di quella cui era diretta la sua volontà; |
4 | quando l'errore concerne una determinata condizione di fatto, che la parte in errore considerava come un necessario elemento del contratto secondo la buona fede nei rapporti d'affari. |
2 | Non è invece essenziale l'errore che concerne solo i motivi del contratto. |
3 | Semplici errori di calcolo non infirmano la validità del contratto, ma devono essere rettificati. |
SR 220 Parte prima: Disposizioni generali Titolo primo: Delle cause delle obbligazioni Capo primo: Delle obbligazioni derivanti da contratto CO Art. 24 - 1 L'errore è essenziale specialmente nei seguenti casi: |
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1 | L'errore è essenziale specialmente nei seguenti casi: |
1 | quando la parte in errore abbia avuto di mira un contratto diverso da quello al quale ha dichiarato di consentire; |
2 | quando la volontà della parte in errore fosse diretta ad un'altra cosa, o, trattandosi di contratto conchiuso in considerazione di una determinata persona, fosse diretta ad una persona diversa da quella da essa dichiarata; |
3 | quando la parte in errore abbia promesso o siasi fatta promettere una prestazione di un'estensione notevolmente maggiore o minore di quella cui era diretta la sua volontà; |
4 | quando l'errore concerne una determinata condizione di fatto, che la parte in errore considerava come un necessario elemento del contratto secondo la buona fede nei rapporti d'affari. |
2 | Non è invece essenziale l'errore che concerne solo i motivi del contratto. |
3 | Semplici errori di calcolo non infirmano la validità del contratto, ma devono essere rettificati. |
SR 220 Parte prima: Disposizioni generali Titolo primo: Delle cause delle obbligazioni Capo primo: Delle obbligazioni derivanti da contratto CO Art. 28 - 1 La parte, che fu indotta al contratto per dolo dell'altra, non è obbligata, quand'anche l'errore non fosse essenziale. |
|
1 | La parte, che fu indotta al contratto per dolo dell'altra, non è obbligata, quand'anche l'errore non fosse essenziale. |
2 | Se la parte fu indotta al contratto per dolo d'una terza persona, il contratto è obbligatorio, a meno che l'altra parte al momento del contratto abbia conosciuto o dovuto conoscere il dolo. |
5.2.3 Celui qui se prévaut de son erreur doit s'être trompé sur un fait déterminé touchant à la base nécessaire de l'accord. Ce fait doit avoir exercé une influence décisive sur la volonté de conclure du déclarant qui, sans cette circonstance, n'aurait pas passé le contrat ou, en tout cas, pas à ces conditions (cf. arrêts du Tribunal fédéral 5A_337/2013 précité consid. 5.2.2.2, 4A_408/2007 du 7 février 2008 consid. 3.2). Celui qui se trompe ne peut invoquer le fait ignoré indispensable lorsqu'il ne s'est pas préoccupé, au moment de conclure, d'éclaircir une question qui se posait manifestement en rapport avec ce fait déterminé (cf. ATF 129 III 363 consid. 5.3, 117 II 218 consid. 3b ; arrêt du Tribunal fédéral 5A_337/2013 précité consid. 5.2.2.2). Les vices de consentement doivent être prouvés par celui qui les invoque (cf. ATF 141 IV 269 consid. 2.2.1 ; arrêt du Tribunal fédéral 2C_292/2014 du 18 août 2014 consid. 2.1 ; arrêt du Tribunal administratif fédéral A-6433/2018 du 30 juillet 2019 consid. 2.5). Celui-ci doit prouver l'erreur, le fait qu'elle est essentielle et la causalité entre l'erreur et sa déclaration (cf. arrêt du Tribunal administratif fédéral A-6214/2018 du 20 avril 2020 consid. 2.7.5). Pareillement, c'est à la victime de prouver le caractère causal du dol (cf. ATF 129 III 320 consid. 6.3).
5.3
5.3.1 En l'espèce, il est vrai que l'intimée n'a pas été claire dans sa manière de procéder dans la mesure où l'altitude de la paroi ne figure explicitement ni sur le plan mis à l'enquête au printemps 2014 (cf. consid. A.a), ni sur celui signé par le recourant le 15 mai 2015 (cf. consid. A.c), ni sur celui finalement approuvé le 23 juillet 2015 par l'autorité inférieure (cf. consid. A.d), lequel ne correspond d'ailleurs pas à celui mis à l'enquête, sans que la modification n'ait été soumise au recourant. En outre, la validité de la convention est notamment subordonnée au fait que le projet mis à l'enquête ne subisse pas de modification importante affectant le bien-fonds du recourant. D'un autre côté, la convention prévoit que la paroi anti-vue a pour but une protection visuelle du jardin du recourant - et non des fenêtres ou du toit de sa maison. En outre, le recourant était assisté par un expert dans le domaine ferroviaire, mandaté par ses soins pour défendre ses intérêts, dès la mi-mai 2014. Ce dernier a participé aux négociations de la convention et des plans annexés lors de nombreuses séances téléphoniques et sur place, avec le recourant et l'intimée, a établi des contre-propositions à l'intention de l'intimée et lui a soumis des modifications des plans de la convention, notamment le 1er avril 2015. En particulier, cet expert était présent les 1er avril et 15 mai 2015, lors de la signature de la convention et du plan litigieux par le recourant (cf. pièce n° 18 jointe à l'écriture du recourant du 29 mai 2019), et il a calculé les altitudes des différents projets de paroi (cf.° pièce n° 17 jointe à l'écriture du recourant du 29 mai 2019). De plus, le recourant est quelque peu contradictoire dans ses griefs dans la mesure où il conteste la validité de la convention tout en s'y référant pour faire valoir qu'elle n'a pas été respectée.
5.3.2 Cela étant dit, le Tribunal considère que les questions de savoir si le recourant se trouvait dans l'erreur, au moment de la signature du plan de situation le 15 mai 2015 joint à la convention, et si cette erreur devrait être qualifiée d'essentielle, ou s'il a été induit à contracter par le dol de l'intimée ou encore si la modification du projet mis à l'enquête, affectant son bien-fonds, doit être qualifiée d'importante, de telle sorte que la convention n'est pas valide, peuvent souffrir de rester ouvertes. En effet, l'établissement de la validité de la convention passée entre l'intimée et le recourant ne constitue pas un fait pertinent ni déterminant en l'espèce dans la mesure où l'autorité ne s'est pas basée sur la convention pour rendre la décision attaquée ni n'était contrainte de le faire, la validité de la convention ne constituant pas un fait décisif pour l'issue du litige. La constatation des faits effectuée par l'autorité inférieure n'est donc pas incomplète. En outre, le grief de la constatation inexacte des faits pertinents tombe à faux, étant donné que l'autorité inférieure n'a pas fondé sa décision sur la validité de la convention, qu'elle n'a donc jamais approuvée, ni sur d'autres faits erronés.
6.
À présent, il sied d'examiner si l'autorité était en droit de modifier sa décision du 23 juillet 2015.
6.1
6.1.1 Le recourant estime que la seule motivation de la demande de modification de l'intimée est la correction d'une erreur volontaire, ce qui ne justifie pas un traitement particulier, et qu'il ne peut pas se satisfaire d'une situation bricolée. Il ne comprend pas pour quelle raison l'intimée a modifié le projet d'une paroi en bois en une paroi en verre. Il soutient avoir informé l'intimée le 14 mars 2016, sur place lors d'une séance de chantier, que le mur déjà construit et la hauteur de 1.50 m de la paroi ne correspondaient pas à ce qui avait été convenu. Il estime qu'il n'a pas à subir les erreurs commises par l'intimée afin de lui éviter des frais, que les travaux sont nécessaires afin d'aboutir à la solution initialement prévue et que si l'arborisation devait être une nouvelle fois arrachée, il appartiendrait à l'intimée de financer une nouvelle fois la remise en état. Il remarque que le plan approuvé le 23 juillet 2015, daté du 26 janvier 2015 et qu'il n'a jamais vu, revient à la situation mise à l'enquête s'agissant de la largeur du chemin et de la hauteur du mur de soutènement mais avec une paroi de seulement 2.20 m de haut. Il souligne que lorsque l'intimée a soumis à l'OFT le plan pour approbation, elle savait déjà que celui-ci allait être modifié et qu'elle a violé l'art. 5
SR 742.142.1 Ordinanza del 2 febbraio 2000 sulla procedura d'approvazione dei piani di impianti ferroviari (OPAPIF) OPAPIF Art. 5 Procedura in caso di modifiche sostanziali del progetto - 1 Se, nel corso della procedura d'approvazione, i progetti subiscono modifiche sostanziali rispetto al progetto iniziale, il progetto modificato deve essere nuovamente sottoposto agli interessati o, se del caso, pubblicato. |
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1 | Se, nel corso della procedura d'approvazione, i progetti subiscono modifiche sostanziali rispetto al progetto iniziale, il progetto modificato deve essere nuovamente sottoposto agli interessati o, se del caso, pubblicato. |
2 | Se i piani sono modificati dopo essere stati approvati, le parti interessate devono essere sottoposte a una nuova procedura. |
3 | Se l'impianto è già in costruzione, i lavori concernenti le parti rimaste invariate possono proseguire, salvo ordine contrario dell'autorità competente. |
6.1.2 L'autorité inférieure souligne que le 23 juillet 2015, elle n'a octroyé qu'une autorisation de construire et que les plans mis à l'enquête en 2014 ne produisent pas de droits acquis pour les riverains et peuvent toujours faire l'objet d'une demande de modification de projet de la part de l'entreprise ferroviaire.
6.2 Les art. 18
SR 742.101 Legge federale del 20 dicembre 1957 sulle ferrovie (Lferr) Lferr Art. 18 Principio - 1 Le costruzioni e gli impianti destinati esclusivamente o prevalentemente alla costruzione e all'esercizio di una ferrovia (impianti ferroviari) possono essere costruiti o modificati unicamente previa approvazione dei piani da parte dell'autorità competente. |
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1 | Le costruzioni e gli impianti destinati esclusivamente o prevalentemente alla costruzione e all'esercizio di una ferrovia (impianti ferroviari) possono essere costruiti o modificati unicamente previa approvazione dei piani da parte dell'autorità competente. |
1bis | È considerata modifica di un impianto ferroviario anche l'integrazione di costruzioni e impianti non ferroviari, purché l'impianto ferroviario continui a essere destinato prevalentemente alla costruzione o all'esercizio della ferrovia.104 |
2 | L'autorità competente per l'approvazione dei piani è l'UFT.105 |
3 | Con l'approvazione dei piani sono rilasciate tutte le autorizzazioni necessarie secondo il diritto federale. |
4 | Non è necessaria alcuna autorizzazione o piano del diritto cantonale. Va tenuto conto del diritto cantonale per quanto esso non limiti in modo sproporzionato l'adempimento dei compiti dell'impresa ferroviaria. |
5 | Per l'approvazione dei piani di progetti che incidono considerevolmente sulla pianificazione del territorio e sull'ambiente, occorre di principio un piano settoriale secondo la legge federale del 22 giugno 1979106 sulla pianificazione del territorio. |
6 | Sono considerati impianti ferroviari anche le strutture di raccordo e gli impianti connessi con la costruzione e l'esercizio nonché le ubicazioni per il riciclaggio e il deposito di materiale di scavo o di detriti che sono in uno stretto rapporto spaziale e funzionale con l'impianto progettato. |
SR 742.101 Legge federale del 20 dicembre 1957 sulle ferrovie (Lferr) Lferr Art. 18m Impianti accessori - 1 L'edificazione e la modifica di costruzioni e di impianti non destinati totalmente o prevalentemente all'esercizio ferroviario (impianti accessori) sono sottoposte al diritto cantonale. L'edificazione e la modifica possono essere autorizzate unicamente previo consenso dell'impresa ferroviaria se gli impianti accessori: |
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1 | L'edificazione e la modifica di costruzioni e di impianti non destinati totalmente o prevalentemente all'esercizio ferroviario (impianti accessori) sono sottoposte al diritto cantonale. L'edificazione e la modifica possono essere autorizzate unicamente previo consenso dell'impresa ferroviaria se gli impianti accessori: |
a | occupano terreni della ferrovia o confinano con essi; |
b | potrebbero pregiudicare la sicurezza dell'esercizio. |
2 | L'autorità cantonale sente l'UFT prima di autorizzare un impianto accessorio: |
a | su proposta di una delle parti, se il committente della costruzione e l'impresa ferroviaria non giungono a un'intesa; |
b | se la costruzione rende impossibile il futuro sviluppo dell'impianto ferroviario o lo complica considerevolmente; |
c | se il terreno edificabile è incluso in una zona riservata o in un allineamento di diritto ferroviario. |
3 | L'UFT può impugnare le decisioni delle autorità cantonali in applicazione della presente legge e delle sue disposizioni d'applicazione con i rimedi giuridici del diritto federale e del diritto cantonale. |
SR 742.101 Legge federale del 20 dicembre 1957 sulle ferrovie (Lferr) Lferr Art. 18a Diritto applicabile - 1 La procedura di approvazione dei piani è retta dalla legge federale del 20 dicembre 1968108 sulla procedura amministrativa, per quanto la presente legge non vi deroghi. |
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1 | La procedura di approvazione dei piani è retta dalla legge federale del 20 dicembre 1968108 sulla procedura amministrativa, per quanto la presente legge non vi deroghi. |
2 | Se sono necessarie espropriazioni, si applicano inoltre le disposizioni della legge federale del 20 giugno 1930109 sull'espropriazione (LEspr). |
SR 742.101 Legge federale del 20 dicembre 1957 sulle ferrovie (Lferr) Lferr Art. 18i Procedura semplificata - 1 La procedura semplificata di approvazione dei piani è applicata a: |
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1 | La procedura semplificata di approvazione dei piani è applicata a: |
a | progetti di costruzioni e impianti limitati localmente e che concernono pochi interessati chiaramente individuabili; |
b | impianti ferroviari la cui modifica o trasformazione della destinazione non alterano in maniera sostanziale l'aspetto esterno, non ledono interessi degni di protezione di terzi e hanno soltanto ripercussioni insignificanti sulla pianificazione del territorio e sull'ambiente; |
c | impianti ferroviari che sono rimossi entro tre anni al più tardi. |
2 | Ai piani particolareggiati che si basano su un progetto già approvato si applica la procedura semplificata. |
3 | L'autorità competente per l'approvazione dei piani può ordinare il picchettamento. La domanda non è né pubblicata né depositata pubblicamente. L'autorità competente per l'approvazione dei piani sottopone il progetto agli interessati, sempreché non abbiano dato precedentemente il loro consenso per scritto; questi possono fare opposizione entro 30 giorni. L'autorità competente per l'approvazione dei piani può chiedere un parere a Cantoni e Comuni. Impartisce un termine adeguato a tal fine. |
4 | Per il rimanente si applicano le disposizioni sulla procedura ordinaria. In caso di dubbio è eseguita la procedura ordinaria. |
SR 742.142.1 Ordinanza del 2 febbraio 2000 sulla procedura d'approvazione dei piani di impianti ferroviari (OPAPIF) OPAPIF Art. 5 Procedura in caso di modifiche sostanziali del progetto - 1 Se, nel corso della procedura d'approvazione, i progetti subiscono modifiche sostanziali rispetto al progetto iniziale, il progetto modificato deve essere nuovamente sottoposto agli interessati o, se del caso, pubblicato. |
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1 | Se, nel corso della procedura d'approvazione, i progetti subiscono modifiche sostanziali rispetto al progetto iniziale, il progetto modificato deve essere nuovamente sottoposto agli interessati o, se del caso, pubblicato. |
2 | Se i piani sono modificati dopo essere stati approvati, le parti interessate devono essere sottoposte a una nuova procedura. |
3 | Se l'impianto è già in costruzione, i lavori concernenti le parti rimaste invariate possono proseguire, salvo ordine contrario dell'autorità competente. |
SR 742.142.1 Ordinanza del 2 febbraio 2000 sulla procedura d'approvazione dei piani di impianti ferroviari (OPAPIF) OPAPIF Art. 5 Procedura in caso di modifiche sostanziali del progetto - 1 Se, nel corso della procedura d'approvazione, i progetti subiscono modifiche sostanziali rispetto al progetto iniziale, il progetto modificato deve essere nuovamente sottoposto agli interessati o, se del caso, pubblicato. |
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1 | Se, nel corso della procedura d'approvazione, i progetti subiscono modifiche sostanziali rispetto al progetto iniziale, il progetto modificato deve essere nuovamente sottoposto agli interessati o, se del caso, pubblicato. |
2 | Se i piani sono modificati dopo essere stati approvati, le parti interessate devono essere sottoposte a una nuova procedura. |
3 | Se l'impianto è già in costruzione, i lavori concernenti le parti rimaste invariate possono proseguire, salvo ordine contrario dell'autorità competente. |
6.3 En l'espèce, le projet initial a subi des changements en cours de procédure d'approbation sans être soumis à nouveau au recourant pour avis (cf. consid.A.a à A.d), en violation de l'art. 5 al. 1
SR 742.142.1 Ordinanza del 2 febbraio 2000 sulla procedura d'approvazione dei piani di impianti ferroviari (OPAPIF) OPAPIF Art. 5 Procedura in caso di modifiche sostanziali del progetto - 1 Se, nel corso della procedura d'approvazione, i progetti subiscono modifiche sostanziali rispetto al progetto iniziale, il progetto modificato deve essere nuovamente sottoposto agli interessati o, se del caso, pubblicato. |
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1 | Se, nel corso della procedura d'approvazione, i progetti subiscono modifiche sostanziali rispetto al progetto iniziale, il progetto modificato deve essere nuovamente sottoposto agli interessati o, se del caso, pubblicato. |
2 | Se i piani sono modificati dopo essere stati approvati, le parti interessate devono essere sottoposte a una nuova procedura. |
3 | Se l'impianto è già in costruzione, i lavori concernenti le parti rimaste invariate possono proseguire, salvo ordine contrario dell'autorità competente. |
SR 742.142.1 Ordinanza del 2 febbraio 2000 sulla procedura d'approvazione dei piani di impianti ferroviari (OPAPIF) OPAPIF Art. 5 Procedura in caso di modifiche sostanziali del progetto - 1 Se, nel corso della procedura d'approvazione, i progetti subiscono modifiche sostanziali rispetto al progetto iniziale, il progetto modificato deve essere nuovamente sottoposto agli interessati o, se del caso, pubblicato. |
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1 | Se, nel corso della procedura d'approvazione, i progetti subiscono modifiche sostanziali rispetto al progetto iniziale, il progetto modificato deve essere nuovamente sottoposto agli interessati o, se del caso, pubblicato. |
2 | Se i piani sono modificati dopo essere stati approvati, le parti interessate devono essere sottoposte a una nuova procedura. |
3 | Se l'impianto è già in costruzione, i lavori concernenti le parti rimaste invariate possono proseguire, salvo ordine contrario dell'autorità competente. |
7.
Dès lors, il s'agit d'examiner si l'autorité inférieure a considéré à juste titre que la paroi anti-vue telle que réalisée et complétée par le rehaussement demandé par l'intimée, présentait une protection visuelle suffisante de la parcelle du recourant.
7.1
7.1.1 Le recourant soutient que la décision de l'autorité inférieure est arbitraire et viole les exigences de protection de la propriété en raison d'immissions excessives de vue sur sa parcelle. Il estime qu'au regard du respect que les voisins se doivent en matière d'immissions (art. 679
SR 210 Codice civile svizzero del 10 dicembre 1907 CC Art. 679 - 1 Chiunque sia danneggiato o minacciato di danno per il fatto che un proprietario trascende nell'esercizio del suo diritto di proprietà, può chiedere la cessazione della molestia o un provvedimento contro il danno temuto e il risarcimento del danno. |
|
1 | Chiunque sia danneggiato o minacciato di danno per il fatto che un proprietario trascende nell'esercizio del suo diritto di proprietà, può chiedere la cessazione della molestia o un provvedimento contro il danno temuto e il risarcimento del danno. |
2 | Qualora una costruzione o un'istallazione privi un fondo vicino di determinate qualità, le pretese di cui al capoverso 1 sussistono soltanto se all'atto dell'edificazione della costruzione o dell'installazione non sono state osservate le norme allora vigenti.567 |
SR 210 Codice civile svizzero del 10 dicembre 1907 CC Art. 684 - 1 Usando del diritto di proprietà, e specialmente esercitando sul suo fondo un'industria, ognuno è obbligato di astenersi da ogni eccesso pregiudicevole alla proprietà del vicino. |
|
1 | Usando del diritto di proprietà, e specialmente esercitando sul suo fondo un'industria, ognuno è obbligato di astenersi da ogni eccesso pregiudicevole alla proprietà del vicino. |
2 | Sono vietati in particolare l'inquinamento dell'aria, i cattivi odori, i rumori, i suoni, gli scotimenti, le radiazioni e la privazione di insolazione o di luce diurna che sono di danno ai vicini e non sono giustificati dalla situazione e destinazione dei fondi o dall'uso locale.580 |
Il ajoute que les photos fournies démontrent la densité de la végétation avant travaux, laquelle le masquait complètement de la vue des usagers de l'intimée. Il soutient que, contrairement à ce que retient l'autorité inférieure, il n'existait pas de végétation sur le domaine ferroviaire de l'intimée puisque sa propriété est en limite du quai et que les souches des arbres se trouvaient bien sur sa propriété. Il estime qu'il ne lui appartient pas de prendre des mesures avec la végétation sur son jardin pour protéger son intimité puisque c'est la tâche de l'intimée, indépendamment de toute végétation. Il considère qu'il est normal que l'intimée ait financé de nouvelles plantations après l'arrachage de ses arbres pour les travaux et que la paroi n'est pas liée à l'arborisation. Il souligne que le fait qu'il y ait de la végétation ou non sur le domaine ferroviaire ainsi que la situation antérieure au projet sont sans pertinence dans la mesure où celui-ci a été réalisé pour augmenter le nombre de trains sur la ligne.
7.1.2 L'intimée considère que sa demande de rehaussement par une bande de métal ajouré de 40 cm de large et plus haute en bordure des escaliers permet de se conformer aux engagements pris car elle rend impossible la vue depuis le train sur le jardin du recourant et garantit son intimité, au moins aussi bien que dans la situation avant travaux. Elle remarque que la haie existant avant travaux ne le protégeait pas complètement puisqu'elle était discontinue et en partie réalisée sur sa propriété. Elle estime que les intérêts en présence ont été correctement pris en compte et qu'aucune disposition légale n'a été violée par la décision attaquée.
7.1.3 L'autorité inférieure juge que la paroi anti-vue rehaussée présente une protection suffisante et remarque qu'à l'extrémité du quai, le long des escaliers, l'intimée a prévu un rehaussement plus important. Elle considère que le projet tient suffisamment compte des intérêts du recourant. Elle rappelle qu'une fois les travaux non conformes réalisés, celui-ci a pu choisir la végétation à planter en bordure du nouveau mur. Elle estime que la prise en compte de la situation avant les travaux est suffisante pour évaluer la conformité du présent projet. Par ailleurs, elle rappelle qu'il n'y a jamais eu de quai à hauteur de la parcelle du recourant et que, pour établir la limite de parcelle, il convient de s'en tenir aux limites consignées dans le Registre foncier. Elle ajoute qu'il ressort du dossier que la partie de la végétation qui protégeait le plus efficacement l'habitation du recourant empiétait sur le domaine ferroviaire. Elle rappelle que les droits sur le domaine ferroviaire ne peuvent pas être acquis par prescription (art. 3 al. 3
SR 742.101 Legge federale del 20 dicembre 1957 sulle ferrovie (Lferr) Lferr Art. 3 - 1 Per la costruzione e l'esercizio delle ferrovie può essere esercitato il diritto di espropriazione secondo la legge federale del 20 giugno 193011 sulla espropriazione.12 |
|
1 | Per la costruzione e l'esercizio delle ferrovie può essere esercitato il diritto di espropriazione secondo la legge federale del 20 giugno 193011 sulla espropriazione.12 |
2 | La procedura di espropriazione è applicabile soltanto se sono falliti i tentativi di acquisire i diritti necessari mediante trattative private o mediante ricomposizione particellare. |
3 | I diritti sui fondi appartenenti alle ferrovie non possono essere acquisiti per usucapione. |
7.2
7.2.1 A teneur de l'art. 5 al. 1
SR 711 Legge federale del 20 giugno 1930 sull'espropriazione (LEspr) LEspr Art. 5 - 1 Possono formare l'oggetto dell'espropriazione i diritti reali sui fondi, i diritti risultanti dalle disposizioni sulla proprietà fondiaria in materia di rapporti di vicinato, inoltre i diritti personali dei conduttori e degli affittuari del fondo da espropriare. |
|
1 | Possono formare l'oggetto dell'espropriazione i diritti reali sui fondi, i diritti risultanti dalle disposizioni sulla proprietà fondiaria in materia di rapporti di vicinato, inoltre i diritti personali dei conduttori e degli affittuari del fondo da espropriare. |
2 | Questi diritti possono essere estinti o limitati in modo permanente o temporaneo. |
SR 210 Codice civile svizzero del 10 dicembre 1907 CC Art. 684 - 1 Usando del diritto di proprietà, e specialmente esercitando sul suo fondo un'industria, ognuno è obbligato di astenersi da ogni eccesso pregiudicevole alla proprietà del vicino. |
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1 | Usando del diritto di proprietà, e specialmente esercitando sul suo fondo un'industria, ognuno è obbligato di astenersi da ogni eccesso pregiudicevole alla proprietà del vicino. |
2 | Sono vietati in particolare l'inquinamento dell'aria, i cattivi odori, i rumori, i suoni, gli scotimenti, le radiazioni e la privazione di insolazione o di luce diurna che sono di danno ai vicini e non sono giustificati dalla situazione e destinazione dei fondi o dall'uso locale.580 |
SR 711 Legge federale del 20 giugno 1930 sull'espropriazione (LEspr) LEspr Art. 5 - 1 Possono formare l'oggetto dell'espropriazione i diritti reali sui fondi, i diritti risultanti dalle disposizioni sulla proprietà fondiaria in materia di rapporti di vicinato, inoltre i diritti personali dei conduttori e degli affittuari del fondo da espropriare. |
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1 | Possono formare l'oggetto dell'espropriazione i diritti reali sui fondi, i diritti risultanti dalle disposizioni sulla proprietà fondiaria in materia di rapporti di vicinato, inoltre i diritti personali dei conduttori e degli affittuari del fondo da espropriare. |
2 | Questi diritti possono essere estinti o limitati in modo permanente o temporaneo. |
SR 742.101 Legge federale del 20 dicembre 1957 sulle ferrovie (Lferr) Lferr Art. 18h - 1 Con l'approvazione dei piani l'autorità competente decide simultaneamente anche circa le opposizioni relative al diritto di espropriazione. |
|
1 | Con l'approvazione dei piani l'autorità competente decide simultaneamente anche circa le opposizioni relative al diritto di espropriazione. |
2 | Può approvare progetti a tappe, se la loro trattazione separata non pregiudica la valutazione globale del progetto. |
3 | L'approvazione dei piani decade se entro cinque anni dal passaggio in giudicato della decisione non è stato dato inizio all'esecuzione del progetto di costruzione. |
4 | Per gravi motivi, l'autorità competente per l'approvazione dei piani può prorogare di tre anni al massimo la durata di validità dell'approvazione. La proroga è esclusa se la situazione determinante di fatto o di diritto si è sostanzialmente modificata dal passaggio in giudicato dell'approvazione. |
5 | ...128 |
SR 742.101 Legge federale del 20 dicembre 1957 sulle ferrovie (Lferr) Lferr Art. 18k - 1 Dopo la conclusione della procedura di approvazione dei piani è eseguita, se necessario, la procedura di conciliazione e di stima dinanzi alla Commissione federale di stima (Commissione di stima) secondo le disposizioni della LEspr132.133 |
|
1 | Dopo la conclusione della procedura di approvazione dei piani è eseguita, se necessario, la procedura di conciliazione e di stima dinanzi alla Commissione federale di stima (Commissione di stima) secondo le disposizioni della LEspr132.133 |
2 | ...134 |
3 | Il presidente della Commissione di stima può, sulla base di una decisione esecutiva di approvazione dei piani, autorizzare l'immissione in possesso anticipata. Si presume che, senza l'immissione in possesso anticipata, l'espropriante subirebbe un significativo pregiudizio. Per il rimanente si applica l'articolo 76 LEspr. |
7.2.2 L'art. 7 al. 3
SR 711 Legge federale del 20 giugno 1930 sull'espropriazione (LEspr) LEspr Art. 7 - 1 Salvo disposizione contraria di legge, i diritti costituiti sopra fondi usati ad uno scopo di utilità pubblica possono essere espropriati. |
|
1 | Salvo disposizione contraria di legge, i diritti costituiti sopra fondi usati ad uno scopo di utilità pubblica possono essere espropriati. |
2 | Ove l'esecuzione o l'esercizio dell'impresa dell'espropriante rechi pregiudizio ad opere pubbliche esistenti (come strade, ponti, condotte, ecc.), l'espropriante deve prendere tutti i provvedimenti per assicurare l'uso di esse opere, nella misura in cui sia richiesto dall'interesse pubblico. |
3 | L'espropriante deve altresì eseguire gl'impianti atti a mettere il pubblico e i fondi vicini al riparo dai pericoli e dagli inconvenienti che siano necessariamente connessi con l'esecuzione e l'esercizio della sua impresa e che non debbano essere tollerati secondo le regole sui rapporti di vicinato. |
7.2.3 Selon l'art. 684
SR 210 Codice civile svizzero del 10 dicembre 1907 CC Art. 684 - 1 Usando del diritto di proprietà, e specialmente esercitando sul suo fondo un'industria, ognuno è obbligato di astenersi da ogni eccesso pregiudicevole alla proprietà del vicino. |
|
1 | Usando del diritto di proprietà, e specialmente esercitando sul suo fondo un'industria, ognuno è obbligato di astenersi da ogni eccesso pregiudicevole alla proprietà del vicino. |
2 | Sono vietati in particolare l'inquinamento dell'aria, i cattivi odori, i rumori, i suoni, gli scotimenti, le radiazioni e la privazione di insolazione o di luce diurna che sono di danno ai vicini e non sono giustificati dalla situazione e destinazione dei fondi o dall'uso locale.580 |
SR 210 Codice civile svizzero del 10 dicembre 1907 CC Art. 679 - 1 Chiunque sia danneggiato o minacciato di danno per il fatto che un proprietario trascende nell'esercizio del suo diritto di proprietà, può chiedere la cessazione della molestia o un provvedimento contro il danno temuto e il risarcimento del danno. |
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1 | Chiunque sia danneggiato o minacciato di danno per il fatto che un proprietario trascende nell'esercizio del suo diritto di proprietà, può chiedere la cessazione della molestia o un provvedimento contro il danno temuto e il risarcimento del danno. |
2 | Qualora una costruzione o un'istallazione privi un fondo vicino di determinate qualità, le pretese di cui al capoverso 1 sussistono soltanto se all'atto dell'edificazione della costruzione o dell'installazione non sono state osservate le norme allora vigenti.567 |
SR 210 Codice civile svizzero del 10 dicembre 1907 CC Art. 684 - 1 Usando del diritto di proprietà, e specialmente esercitando sul suo fondo un'industria, ognuno è obbligato di astenersi da ogni eccesso pregiudicevole alla proprietà del vicino. |
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1 | Usando del diritto di proprietà, e specialmente esercitando sul suo fondo un'industria, ognuno è obbligato di astenersi da ogni eccesso pregiudicevole alla proprietà del vicino. |
2 | Sono vietati in particolare l'inquinamento dell'aria, i cattivi odori, i rumori, i suoni, gli scotimenti, le radiazioni e la privazione di insolazione o di luce diurna che sono di danno ai vicini e non sono giustificati dalla situazione e destinazione dei fondi o dall'uso locale.580 |
7.2.4 Les immissions de l'exploitation d'un ouvrage public ne sont excessives et fondent à ce titre seulement une obligation d'indemnisation, si - cumulativement - elles sont pour le propriétaire foncier imprévisibles, si elles le touchent d'une manière spéciale et lui causent un dommage particulièrement grave (cf. ATF 145 I 250 consid. 5.2, 142 II 136 consid. 2.1, 136 II 263 consid. 7). La condition de la spécialité est remplie lorsque les immissions atteignent une intensité qui dépasse la limite de ce qui est usuel et tolérable ; ce qui sera en général le cas lorsque les valeurs limites d'immission fixées dans la législation fédérale sur la protection de l'environnement sont dépassées (cf. ATF 145 I 250 consid. 5.2, 134 II 164 consid. 7, 130 II 394 consid. 12.2 ; arrêts du Tribunal administratif fédéral A-2566/2019 précité consid. 7.5.3, A-6544/2016 précité consid. 8.1.2). L'exigence de la gravité du dommage est donnée lorsque le dommage causé par les immissions atteint une certaine ampleur ou un certain pourcentage de la valeur totale du bien-fonds concerné (cf. ATF 145 I 250 consid. 5.2, 134 II 49 consid. 11 ; arrêt du Tribunal administratif fédéral A-5262/2012 du 6 novembre 2013 consid. 6.1).
7.2.5 La possibilité d'une expropriation des droits de voisinage entre aussi en considération lorsque des immissions idéales ou immatérielles proviennent d'une installation publique (cf. ATF 145 I 250 consid. 5.3, 119 II 411 consid. 4b), soit en cas d'influences qui affectent le ressenti moral, qui font naître un sentiment de malaise ou des impressions psychiques désagréables, telles que le dégoût ou la peur (cf. ATF 145 I 250 consid. 5.3, 136 I 395 consid. 4.3.2 ; arrêt du Tribunal fédéral 1C_91/2018 du 29 janvier 2019 consid. 3.3). L'appréciation de l'atteinte immatérielle doit se faire sur une base objective, pour une personne de sensibilité moyenne, et ne pas se fonder sur la sensibilité particulière de certaines personnes (cf. ATF 145 I 250 consid. 5.3 ; arrêt du Tribunal fédéral 1C_91/2018 précité consid. 3.3).
7.3 Il s'agit de déterminer si l'autorité inférieure a considéré à juste titre que les ouvrages, exécutés et projetés par l'intimée, étaient propres à mettre le fonds du recourant à l'abri des inconvénients visuels qu'implique nécessairement l'exploitation de la gare [...] pour le recourant.
7.3.1 En l'espèce, l'immission dont se plaint le recourant consiste en la vision par les usagers de l'intimée sur sa parcelle, soit une immission idéale ou immatérielle. Contrairement à ce que le recourant allègue, les aménagements extérieurs, installés aux frais de l'intimée en remplacement de ceux qu'elle a arrachés pour l'exécution des travaux, constituent également une mesure de protection visuelle qui doit être prise en compte pour évaluer si les immissions sont excessives ou non, au même titre que la paroi déjà construite et ses deux rehaussements prévus. En effet, l'art. 7 al. 3
SR 711 Legge federale del 20 giugno 1930 sull'espropriazione (LEspr) LEspr Art. 7 - 1 Salvo disposizione contraria di legge, i diritti costituiti sopra fondi usati ad uno scopo di utilità pubblica possono essere espropriati. |
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1 | Salvo disposizione contraria di legge, i diritti costituiti sopra fondi usati ad uno scopo di utilità pubblica possono essere espropriati. |
2 | Ove l'esecuzione o l'esercizio dell'impresa dell'espropriante rechi pregiudizio ad opere pubbliche esistenti (come strade, ponti, condotte, ecc.), l'espropriante deve prendere tutti i provvedimenti per assicurare l'uso di esse opere, nella misura in cui sia richiesto dall'interesse pubblico. |
3 | L'espropriante deve altresì eseguire gl'impianti atti a mettere il pubblico e i fondi vicini al riparo dai pericoli e dagli inconvenienti che siano necessariamente connessi con l'esecuzione e l'esercizio della sua impresa e che non debbano essere tollerati secondo le regole sui rapporti di vicinato. |
7.3.2 En l'occurrence, il ressort des plans produits par l'intimée que la paroi réalisée, augmentée du rehaussement atteignant 623.20 m d'altitude, permettra de protéger le jardin et les fenêtres situés à l'est de la parcelle du recourant contre la vue des usagers de l'intimée debout dans le train, mais non le toit ni la partie du mur directement située sous le toit de sa maison (cf. pièces nos 29 et 30 de la procédure simplifiée d'approbation des plans ; ci-dessus consid. A.s). Au droit des escaliers à la sortie nord du quai 2, le rehaussement sera de 1.68 m et la paroi atteindra une hauteur de 624.48 m (cf. pièce n° 25 de la procédure simplifiée d'approbation des plans, approuvée le 14 mars 2019, p. 9). Ce rehaussement permettra de cacher la vue sur le jardin et les fenêtres - mais non sur le toit - du recourant depuis le sommet de l'escalier. La protection visuelle du jardin et des fenêtres, mais non du toit et de la partie du mur directement sous celui-ci, est confirmée par la photo produite par le recourant (cf. annexe à l'écriture du recourant du 1er octobre 2018, pièce n° 10A du dossier de l'autorité inférieure). Par contre, les photos prises depuis la fenêtre du recourant ne permettent pas de se rendre compte de la protection visuelle offerte par les ouvrages de l'intimée dans la mesure où, d'une part, le rehaussement de la paroi n'y figure pas et, d'autre part, où elles font état de la vision du recourant depuis chez lui sur le train mais non de la vision des usagers de l'intimée depuis le train, étant précisé que seule cette dernière vision est pertinente pour juger si l'immission idéale est excessive (cf. annexes à l'écriture du recourant du 24 septembre 2018, pièce n° 10 du dossier de l'autorité inférieure ; ci-dessus consid. A.t). Pareillement, les photos produites tant par l'intimée que le recourant sur la situation existante avant travaux ne sont pas pertinentes pour évaluer si les immissions résiduelles après travaux et après la réalisation des aménagements extérieurs, de la paroi et de ses rehaussements seront excessives (cf. annexes aux écritures du recourant du 24 septembre 2018 et du 21 février 2019, annexes à l'écriture de l'intimée du 8 novembre 2018, pièces nos 10, 12 et 14 du dossier de l'autorité inférieure).
7.3.3 Sur ce vu, le Tribunal considère que les mesures protectrices réalisées et projetées par l'intimée permettent de réduire les immissions idéales, occasionnées par la vue des voyageurs sur la parcelle du recourant, jusqu'à un niveau acceptable pour une personne raisonnable, de sensibilité moyenne, qui se trouverait dans la même situation. En effet, la vision à l'intérieur de la maison et sur le jardin est rendue impossible pour les voyageurs grâce aux ouvrages réalisés et prévus par l'intimée et la vision résiduelle ne porte que sur des endroits offrant eux-mêmes une protection optique à la personne du recourant et à sa famille, soit le toit et la partie supérieure des murs de sa maison, de telle sorte qu'eux-mêmes ne peuvent pas être vus même si la paroi anti-vue ne protège pas ces parties de sa maison. Or, cette atteinte ne peut pas être considérée comme excessive d'un point de vue objectif. Les mesures réalisées et prévues sont donc adéquates. Certes, la législation fédérale ne prévoit pas de valeurs limites ou de critères de référence en matière de protection visuelle, au contraire de ce qui est prévu par exemple pour la protection contre le bruit où des valeurs limites d'immission sont fixées par la loi. Cependant, l'intensité résiduelle des immissions visuelles respecte ce qui est usuel et tolérable et la condition de la spécialité n'est pas remplie en l'espèce, de sorte qu'il n'y a pas d'expropriation des droits du voisinage du recourant. Par ailleurs, l'art. 7 al. 3
SR 711 Legge federale del 20 giugno 1930 sull'espropriazione (LEspr) LEspr Art. 7 - 1 Salvo disposizione contraria di legge, i diritti costituiti sopra fondi usati ad uno scopo di utilità pubblica possono essere espropriati. |
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1 | Salvo disposizione contraria di legge, i diritti costituiti sopra fondi usati ad uno scopo di utilità pubblica possono essere espropriati. |
2 | Ove l'esecuzione o l'esercizio dell'impresa dell'espropriante rechi pregiudizio ad opere pubbliche esistenti (come strade, ponti, condotte, ecc.), l'espropriante deve prendere tutti i provvedimenti per assicurare l'uso di esse opere, nella misura in cui sia richiesto dall'interesse pubblico. |
3 | L'espropriante deve altresì eseguire gl'impianti atti a mettere il pubblico e i fondi vicini al riparo dai pericoli e dagli inconvenienti che siano necessariamente connessi con l'esecuzione e l'esercizio della sua impresa e che non debbano essere tollerati secondo le regole sui rapporti di vicinato. |
7.3.4 Au surplus, il y a lieu de relever que, dans son opposition du 25 mai 2018, le recourant n'a pas demandé d'indemnités à raison de dommage résultant d'une éventuelle expropriation de ses droits de voisinage. Dans la présente procédure de recours, il ne requiert pas non plus une telle indemnité. Quoi qu'il en soit, les conditions essentielles d'expropriation n'étant pas remplies, d'éventuelles prétentions en indemnités auraient de toute façon dues être rejetées définitivement dans la procédure d'approbation.
8.
En dernier lieu, il s'agit d'examiner le grief du recourant concernant le montant de l'indemnité fixée par l'autorité inférieure pour tous les frais de défense encourus durant la procédure d'opposition.
8.1
8.1.1 S'agissant de l'indemnité de 5'000 francs, le recourant remarque que la complexité des problèmes posés l'a contraint à consulter un ingénieur pour faire valoir ses droits à cause des erreurs commises par l'intimée et vu les multiples documents techniques figurant au dossier. Il produit la liste des opérations de l'expert pour ses interventions de mi-mai 2014 au 15 août 2017, de laquelle il ressort que ses honoraires se sont élevées à 20'705 francs au total.
8.1.2 L'intimée estime que la modification du projet n'implique aucune expropriation complémentaire et qu'un montant de 5'000 francs est largement suffisant.
8.1.3 L'autorité inférieure, quant à elle, considère que le recourant a subi une expropriation lorsque le projet de base a été approuvé, la construction du mur ayant nécessité des emprises temporaires sur la parcelle du recourant. Elle relève que la façon dont l'intimée a négocié avec ce dernier, en modifiant le projet de base en cours de procédure d'approbation, a entamé sa confiance et qu'il a engagé en réaction des frais importants pour faire valoir ses droits. Elle est d'avis que l'intimée n'a communiqué correctement ni avec lui ni avec elle-même. Cela justifie, selon elle, de lui accorder 5'000 francs en compensation de tous les frais de défense encourus durant la procédure d'opposition.
8.2
8.2.1 Dans un premier temps, il convient de déterminer le droit applicable dans le temps. En effet, l'art. 115 al. 1
SR 711 Legge federale del 20 giugno 1930 sull'espropriazione (LEspr) LEspr Art. 115 - 1 L'espropriante deve pagare all'espropriato una congrua indennità per le spese ripetibili necessarie, cagionate a quest'ultimo dalle procedure di espropriazione, di conciliazione e di stima. Nella procedura combinata, tale pretesa sussiste per ciascuna parte alla procedura di approvazione dei piani minacciata di espropriazione.124 |
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1 | L'espropriante deve pagare all'espropriato una congrua indennità per le spese ripetibili necessarie, cagionate a quest'ultimo dalle procedure di espropriazione, di conciliazione e di stima. Nella procedura combinata, tale pretesa sussiste per ciascuna parte alla procedura di approvazione dei piani minacciata di espropriazione.124 |
2 | Se le conclusioni dell'espropriato vengono respinte totalmente o preponderantemente, si può rinunciare, in tutto o in parte, all'aggiudicazione delle spese ripetibili. |
3 | Nei casi di richieste manifestamente abusive o di pretese palesemente esagerate, l'espropriato può essere costretto a pagare le spese ripetibili all'espropriante. |
4 | L'articolo 114 capoversi 3 e 4 è applicabile per analogia. |
SR 711 Legge federale del 20 giugno 1930 sull'espropriazione (LEspr) LEspr Art. 115 - 1 L'espropriante deve pagare all'espropriato una congrua indennità per le spese ripetibili necessarie, cagionate a quest'ultimo dalle procedure di espropriazione, di conciliazione e di stima. Nella procedura combinata, tale pretesa sussiste per ciascuna parte alla procedura di approvazione dei piani minacciata di espropriazione.124 |
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1 | L'espropriante deve pagare all'espropriato una congrua indennità per le spese ripetibili necessarie, cagionate a quest'ultimo dalle procedure di espropriazione, di conciliazione e di stima. Nella procedura combinata, tale pretesa sussiste per ciascuna parte alla procedura di approvazione dei piani minacciata di espropriazione.124 |
2 | Se le conclusioni dell'espropriato vengono respinte totalmente o preponderantemente, si può rinunciare, in tutto o in parte, all'aggiudicazione delle spese ripetibili. |
3 | Nei casi di richieste manifestamente abusive o di pretese palesemente esagerate, l'espropriato può essere costretto a pagare le spese ripetibili all'espropriante. |
4 | L'articolo 114 capoversi 3 e 4 è applicabile per analogia. |
8.2.2 Selon l'art. 115
SR 711 Legge federale del 20 giugno 1930 sull'espropriazione (LEspr) LEspr Art. 115 - 1 L'espropriante deve pagare all'espropriato una congrua indennità per le spese ripetibili necessarie, cagionate a quest'ultimo dalle procedure di espropriazione, di conciliazione e di stima. Nella procedura combinata, tale pretesa sussiste per ciascuna parte alla procedura di approvazione dei piani minacciata di espropriazione.124 |
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1 | L'espropriante deve pagare all'espropriato una congrua indennità per le spese ripetibili necessarie, cagionate a quest'ultimo dalle procedure di espropriazione, di conciliazione e di stima. Nella procedura combinata, tale pretesa sussiste per ciascuna parte alla procedura di approvazione dei piani minacciata di espropriazione.124 |
2 | Se le conclusioni dell'espropriato vengono respinte totalmente o preponderantemente, si può rinunciare, in tutto o in parte, all'aggiudicazione delle spese ripetibili. |
3 | Nei casi di richieste manifestamente abusive o di pretese palesemente esagerate, l'espropriato può essere costretto a pagare le spese ripetibili all'espropriante. |
4 | L'articolo 114 capoversi 3 e 4 è applicabile per analogia. |
SR 711 Legge federale del 20 giugno 1930 sull'espropriazione (LEspr) LEspr Art. 115 - 1 L'espropriante deve pagare all'espropriato una congrua indennità per le spese ripetibili necessarie, cagionate a quest'ultimo dalle procedure di espropriazione, di conciliazione e di stima. Nella procedura combinata, tale pretesa sussiste per ciascuna parte alla procedura di approvazione dei piani minacciata di espropriazione.124 |
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1 | L'espropriante deve pagare all'espropriato una congrua indennità per le spese ripetibili necessarie, cagionate a quest'ultimo dalle procedure di espropriazione, di conciliazione e di stima. Nella procedura combinata, tale pretesa sussiste per ciascuna parte alla procedura di approvazione dei piani minacciata di espropriazione.124 |
2 | Se le conclusioni dell'espropriato vengono respinte totalmente o preponderantemente, si può rinunciare, in tutto o in parte, all'aggiudicazione delle spese ripetibili. |
3 | Nei casi di richieste manifestamente abusive o di pretese palesemente esagerate, l'espropriato può essere costretto a pagare le spese ripetibili all'espropriante. |
4 | L'articolo 114 capoversi 3 e 4 è applicabile per analogia. |
8.3 En l'espèce, il y a tout d'abord lieu de remarquer que le recourant conclut à une indemnité de partie de 25'000 francs, hors dépens d'avocat, pour tous les frais de défense encourus durant la procédure d'opposition, alors que la liste des honoraires de l'expert qu'il produit fait état de 20'705 francs d'honoraires seulement, soit de 1'950 francs pour 39 déplacements et de 18'755 francs pour les 170.50 heures travaillées. Le nombre de déplacements et d'heures travaillées est élevé par rapport à la faible complexité de la cause. Cependant, l'intimée l'a rendue obscure par ses multiples modifications en cours de procédure et par son manque de transparence envers le recourant. Par ailleurs, si le recourant n'était plus assisté par un expert pendant la procédure d'opposition à proprement parlé (cf. pièce n° 18 jointe à l'écriture du recourant du 29 mai 2019), il a pu remarquer les incohérences entre le plan convenu le 15 mai 2015, celui approuvé le 23 juillet 2015 et les travaux finalement réalisés grâce au travail de celui-ci et ainsi exiger la tenue d'une procédure simplifiée d'approbation des plans pour faire valoir ses droits. Au cours de cette procédure simplifiée, le recourant a certes indiqué dans son opposition du 25 mai 2018 avoir dû faire appel à un conseiller technique. Cependant, ni dans son opposition, ni dans ses écritures subséquentes à l'attention de l'autorité inférieure, il n'a chiffré les honoraires de celui-ci ou produit sa liste de frais. Vu ces circonstances, les pièces à disposition de l'autorité inférieure au moment de statuer, son large pouvoir d'appréciation en la matière et le rejet de l'opposition du recourant, la fixation par l'autorité inférieure d'un montant de 5'000 francs à titre d'indemnité de dépens pour tous les frais de défense encourus durant la procédure d'opposition doit être considérée comme convenable au sens de l'art. 115 al. 1
SR 711 Legge federale del 20 giugno 1930 sull'espropriazione (LEspr) LEspr Art. 115 - 1 L'espropriante deve pagare all'espropriato una congrua indennità per le spese ripetibili necessarie, cagionate a quest'ultimo dalle procedure di espropriazione, di conciliazione e di stima. Nella procedura combinata, tale pretesa sussiste per ciascuna parte alla procedura di approvazione dei piani minacciata di espropriazione.124 |
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1 | L'espropriante deve pagare all'espropriato una congrua indennità per le spese ripetibili necessarie, cagionate a quest'ultimo dalle procedure di espropriazione, di conciliazione e di stima. Nella procedura combinata, tale pretesa sussiste per ciascuna parte alla procedura di approvazione dei piani minacciata di espropriazione.124 |
2 | Se le conclusioni dell'espropriato vengono respinte totalmente o preponderantemente, si può rinunciare, in tutto o in parte, all'aggiudicazione delle spese ripetibili. |
3 | Nei casi di richieste manifestamente abusive o di pretese palesemente esagerate, l'espropriato può essere costretto a pagare le spese ripetibili all'espropriante. |
4 | L'articolo 114 capoversi 3 e 4 è applicabile per analogia. |
9.
Pour résumer, le Tribunal retient qu'en l'espèce, la requête d'effet suspensif du recourant est sans objet (cf. consid. 3.2), que sa requête de vision locale doit être rejetée (cf. consid. 4.3), que l'autorité inférieure n'a pas constaté de manière inexacte les faits pertinents (cf. consid. 5.3.2), qu'elle était habilitée à mener une procédure simplifiée pour approuver a posteriori les parties des plans modifiées après sa décision d'approbation du 23 juillet 2015 (cf. consid. 6.3) et que la décision attaquée n'engendre pas une expropriation des droits du voisinage du recourant (cf. consid. 7.3.3). Partant, l'autorité inférieure a approuvé à bon droit la paroi anti-vue telle que réalisée ainsi que ses rehaussements demandés par l'intimée, et a à juste titre rejeté l'opposition du recourant. Finalement, l'indemnité de 5'000 qu'elle lui a octroyée est convenable (cf. consid. 8.3).
10.
Reste à examiner la question des frais et dépens.
10.1 Les frais causés par la procédure devant le Tribunal administratif fédéral, y compris les dépens alloués à l'exproprié, sont supportés par l'expropriant. Lorsque les conclusions de l'exproprié sont rejetées intégralement ou en majeure partie, les frais peuvent être répartis autrement. Les frais causés inutilement seront supportés dans chaque cas par celui qui les a occasionnés (art. 116 al. 1
SR 711 Legge federale del 20 giugno 1930 sull'espropriazione (LEspr) LEspr Art. 116 - 1 Le spese di procedura davanti al Tribunale amministrativo federale, comprese le spese ripetibili dell'espropriato, sono addossate all'espropriante.127 Se le conclusioni dell'espropriato vengono respinte totalmente o preponderantemente, si può procedere ad una diversa ripartizione. In ogni caso, le spese provocate inutilmente sono addossate a chi le ha cagionate. |
|
1 | Le spese di procedura davanti al Tribunale amministrativo federale, comprese le spese ripetibili dell'espropriato, sono addossate all'espropriante.127 Se le conclusioni dell'espropriato vengono respinte totalmente o preponderantemente, si può procedere ad una diversa ripartizione. In ogni caso, le spese provocate inutilmente sono addossate a chi le ha cagionate. |
2 | Nei casi menzionati nell'articolo 114 capoverso 3, le spese sono ripartite secondo i principi generali della legge di procedura civile federale, del 4 dicembre 1947128. |
3 | Nella procedura davanti al Tribunale federale, la ripartizione delle spese è retta della legge del 17 giugno 2005129 sul Tribunale federale.130 |
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 63 - 1 L'autorità di ricorso mette nel dispositivo le spese processuali, consistenti in una tassa di decisione nelle tasse di cancelleria e negli sborsi, di regola a carico della parte soccombente. Se questa soccombe solo parzialmente, le spese processuali sono ridotte. Per eccezione, si possono condonare le spese processuali. |
|
1 | L'autorità di ricorso mette nel dispositivo le spese processuali, consistenti in una tassa di decisione nelle tasse di cancelleria e negli sborsi, di regola a carico della parte soccombente. Se questa soccombe solo parzialmente, le spese processuali sono ridotte. Per eccezione, si possono condonare le spese processuali. |
2 | Nessuna spesa processuale è messa a carico dell'autorità inferiore ne delle autorità federali, che promuovano il ricorso e soccombano; se l'autorità ricorrente, che soccombe, non è un'autorità federale, le spese processuali le sono addossate in quanto la causa concerna interessi pecuniari di enti o d'istituti autonomi. |
3 | Alla parte vincente possono essere addossate solo le spese processuali che abbia cagionato violando le regole di procedura. |
4 | L'autorità di ricorso, il suo presidente o il giudice dell'istruzione esige dal ricorrente un anticipo equivalente alle presunte spese processuali. Stabilisce un congruo termine per il pagamento con la comminatoria che altrimenti non entrerà nel merito. Se sussistono motivi particolari, può rinunciare interamente o in parte a esigere l'anticipo.100 |
4bis | La tassa di decisione è stabilita in funzione dell'ampiezza e della difficoltà della causa, del modo di condotta processuale e della situazione finanziaria delle parti. Il suo importo oscilla: |
a | da 100 a 5000 franchi nelle controversie senza interesse pecuniario; |
b | da 100 a 50 000 franchi nelle altre controversie.101 |
5 | Il Consiglio federale disciplina i dettagli relativi alla determinazione delle tasse.102 Sono fatti salvi l'articolo 16 capoverso 1 lettera a della legge del 17 giugno 2005103 sul Tribunale amministrativo federale e l'articolo 73 della legge del 19 marzo 2010104 sull'organizzazione delle autorità penali.105 |
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 64 - 1 L'autorità di ricorso, se ammette il ricorso in tutto o in parte, può, d'ufficio o a domanda, assegnare al ricorrente una indennità per le spese indispensabili e relativamente elevate che ha sopportato. |
|
1 | L'autorità di ricorso, se ammette il ricorso in tutto o in parte, può, d'ufficio o a domanda, assegnare al ricorrente una indennità per le spese indispensabili e relativamente elevate che ha sopportato. |
2 | Il dispositivo indica l'ammontare dell'indennità e l'addossa all'ente o all'istituto autonomo, nel cui nome l'autorità inferiore ha deciso, in quanto non possa essere messa a carico di una controparte soccombente. |
3 | Se una controparte soccombente ha presentato conclusioni indipendenti, l'indennità può essere messa a suo carico, secondo la propria solvenza. |
4 | L'ente o l'istituto autonomo, nel cui nome l'autorità inferiore ha deciso, risponde dell'indennità addossata a una controparte soccombente, in quanto non possa essere riscossa. |
5 | Il Consiglio federale disciplina la determinazione delle spese ripetibili.106 Sono fatti salvi l'articolo 16 capoverso 1 lettera a della legge del 17 giugno 2005107 sul Tribunale amministrativo federale e l'articolo 73 della legge del 19 marzo 2010108 sull'organizzazione delle autorità penali.109 |
SR 711 Legge federale del 20 giugno 1930 sull'espropriazione (LEspr) LEspr Art. 116 - 1 Le spese di procedura davanti al Tribunale amministrativo federale, comprese le spese ripetibili dell'espropriato, sono addossate all'espropriante.127 Se le conclusioni dell'espropriato vengono respinte totalmente o preponderantemente, si può procedere ad una diversa ripartizione. In ogni caso, le spese provocate inutilmente sono addossate a chi le ha cagionate. |
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1 | Le spese di procedura davanti al Tribunale amministrativo federale, comprese le spese ripetibili dell'espropriato, sono addossate all'espropriante.127 Se le conclusioni dell'espropriato vengono respinte totalmente o preponderantemente, si può procedere ad una diversa ripartizione. In ogni caso, le spese provocate inutilmente sono addossate a chi le ha cagionate. |
2 | Nei casi menzionati nell'articolo 114 capoverso 3, le spese sono ripartite secondo i principi generali della legge di procedura civile federale, del 4 dicembre 1947128. |
3 | Nella procedura davanti al Tribunale federale, la ripartizione delle spese è retta della legge del 17 giugno 2005129 sul Tribunale federale.130 |
SR 173.320.2 Regolamento del 21 febbraio 2008 sulle tasse e sulle spese ripetibili nelle cause dinanzi al Tribunale amministrativo federale (TS-TAF) TS-TAF Art. 2 Calcolo della tassa di giustizia - 1 La tassa di giustizia è calcolata in funzione dell'ampiezza e della difficoltà della causa, del modo di condotta processuale e della situazione finanziaria delle parti. Sono fatte salve le norme in materia di tasse e spese previste da leggi speciali. |
|
1 | La tassa di giustizia è calcolata in funzione dell'ampiezza e della difficoltà della causa, del modo di condotta processuale e della situazione finanziaria delle parti. Sono fatte salve le norme in materia di tasse e spese previste da leggi speciali. |
2 | Il Tribunale può aumentare la tassa di giustizia al di là degli importi massimi previsti dagli articoli 3 e 4 se particolari motivi, segnatamente un procedimento temerario o necessitante un lavoro fuori dall'ordinario, lo giustificano.2 |
3 | In caso di procedimenti che hanno causato un lavoro trascurabile, la tassa di giustizia può essere ridotta se si tratta di decisioni concernenti le misure provvisionali, la ricusazione, la restituzione di un termine, la revisione o l'interpretazione, come pure di ricorsi contro le decisioni incidentali. L'importo minimo previsto dall'articolo 3 o dall'articolo 4 deve essere rispettato. |
SR 173.320.2 Regolamento del 21 febbraio 2008 sulle tasse e sulle spese ripetibili nelle cause dinanzi al Tribunale amministrativo federale (TS-TAF) TS-TAF Art. 8 Spese ripetibili - 1 Le ripetibili comprendono le spese di rappresentanza o di patrocinio ed eventuali altri disborsi di parte. |
|
1 | Le ripetibili comprendono le spese di rappresentanza o di patrocinio ed eventuali altri disborsi di parte. |
2 | Per spese non necessarie non vengono corrisposte indennità. |
SR 173.320.2 Regolamento del 21 febbraio 2008 sulle tasse e sulle spese ripetibili nelle cause dinanzi al Tribunale amministrativo federale (TS-TAF) TS-TAF Art. 8 Spese ripetibili - 1 Le ripetibili comprendono le spese di rappresentanza o di patrocinio ed eventuali altri disborsi di parte. |
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1 | Le ripetibili comprendono le spese di rappresentanza o di patrocinio ed eventuali altri disborsi di parte. |
2 | Per spese non necessarie non vengono corrisposte indennità. |
SR 173.320.2 Regolamento del 21 febbraio 2008 sulle tasse e sulle spese ripetibili nelle cause dinanzi al Tribunale amministrativo federale (TS-TAF) TS-TAF Art. 9 Spese di rappresentanza e di patrocinio - 1 Le spese di rappresentanza e di patrocinio comprendono: |
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1 | Le spese di rappresentanza e di patrocinio comprendono: |
a | l'onorario dell'avvocato o l'indennità dovuta ai mandatari professionali che non sono avvocati; |
b | i disborsi quali, segnatamente, le spese di fotocopiatura, le spese di viaggio, di vitto e di alloggio, le spese di porto e le spese telefoniche; |
c | l'imposta sul valore aggiunto eventualmente dovuta sulle indennità ai sensi delle lettere a e b, a meno che la stessa non sia già stata considerata. |
2 | Non è dovuta alcuna indennità se esiste un rapporto di lavoro tra il mandatario e la parte. |
SR 173.320.2 Regolamento del 21 febbraio 2008 sulle tasse e sulle spese ripetibili nelle cause dinanzi al Tribunale amministrativo federale (TS-TAF) TS-TAF Art. 14 Determinazione delle spese ripetibili - 1 Le parti che chiedono la rifusione di ripetibili e gli avvocati d'ufficio devono presentare al Tribunale, prima della pronuncia della decisione, una nota particolareggiata delle spese. |
|
1 | Le parti che chiedono la rifusione di ripetibili e gli avvocati d'ufficio devono presentare al Tribunale, prima della pronuncia della decisione, una nota particolareggiata delle spese. |
2 | Il Tribunale fissa l'indennità dovuta alla parte e quella dovuta agli avvocati d'ufficio sulla base della nota particolareggiata delle spese. Se quest'ultima non è stata inoltrata, il Tribunale fissa l'indennità sulla base degli atti di causa. |
10.2 En l'espèce, la présente procédure de recours s'inscrit dans le cadre d'une procédure combinée d'approbation des plans, intégrant l'opposition du recourant concernant une éventuelle expropriation de ses droits de voisinage (cf. arrêt du Tribunal fédéral 1C_141/2020 du 13 novembre 2020 consid. 4.5 ; arrêt du Tribunal administratif fédéral A-6385/2020 du 29 mars 2021 consid. 2.2). Partant, les principes développés ci-dessus s'appliquent. En dépit du rejet intégral du recours, l'intimée doit supporter les frais causés par la présente procédure de recours, y compris les dépens alloués au recourant, tel que prévu par l'art. 116 al. 1
SR 711 Legge federale del 20 giugno 1930 sull'espropriazione (LEspr) LEspr Art. 116 - 1 Le spese di procedura davanti al Tribunale amministrativo federale, comprese le spese ripetibili dell'espropriato, sono addossate all'espropriante.127 Se le conclusioni dell'espropriato vengono respinte totalmente o preponderantemente, si può procedere ad una diversa ripartizione. In ogni caso, le spese provocate inutilmente sono addossate a chi le ha cagionate. |
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1 | Le spese di procedura davanti al Tribunale amministrativo federale, comprese le spese ripetibili dell'espropriato, sono addossate all'espropriante.127 Se le conclusioni dell'espropriato vengono respinte totalmente o preponderantemente, si può procedere ad una diversa ripartizione. In ogni caso, le spese provocate inutilmente sono addossate a chi le ha cagionate. |
2 | Nei casi menzionati nell'articolo 114 capoverso 3, le spese sono ripartite secondo i principi generali della legge di procedura civile federale, del 4 dicembre 1947128. |
3 | Nella procedura davanti al Tribunale federale, la ripartizione delle spese è retta della legge del 17 giugno 2005129 sul Tribunale federale.130 |
(le dispositif est porté à la page suivante)
Par ces motifs, le Tribunal administratif fédéral prononce :
1.
La requête d'effet suspensif du recourant est sans objet.
2.
Le recours est rejeté.
3.
Les frais de procédure de 2'000 francs sont mis à la charge de l'intimée.
Ce montant doit être versé sur le compte du Tribunal après l'entrée en force du présent arrêt. Le délai de paiement est de 30 jours à compter de la date de facturation. Le bulletin de versement sera envoyé par courrier séparé.
4.
L'avance de frais versée de 2 000 francs sera restituée au recourant après l'entrée en force du présent arrêt.
5.
Une indemnité de dépens de 3'000 francs est allouée au recourant, à la charge de l'intimée.
6.
Le présent arrêt est adressé :
- au recourant (Acte judiciaire)
- à l'intimée (Acte judiciaire)
- à l'autorité inférieure (Recommandé)
- au Secrétariat général du Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication (DETEC ; Acte judiciaire)
- à l'OFROU
- à la DGMR
- au greffe municipal de la Commune [...]
L'indication des voies de droit se trouve à la page suivante.
Le président du collège : La greffière :
Jérôme Candrian Johanna Hirsch-Sadik
Indication des voies de droit :
La présente décision peut être attaquée devant le Tribunal fédéral, 1000 Lausanne 14, par la voie du recours en matière de droit public, dans les trente jours qui suivent la notification (art. 82 ss
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 82 Principio - Il Tribunale federale giudica i ricorsi: |
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a | contro le decisioni pronunciate in cause di diritto pubblico; |
b | contro gli atti normativi cantonali; |
c | concernenti il diritto di voto dei cittadini nonché le elezioni e votazioni popolari. |
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 90 Decisioni finali - Il ricorso è ammissibile contro le decisioni che pongono fine al procedimento. |
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 48 Osservanza - 1 Gli atti scritti devono essere consegnati al Tribunale federale oppure, all'indirizzo di questo, alla posta svizzera o a una rappresentanza diplomatica o consolare svizzera al più tardi l'ultimo giorno del termine. |
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1 | Gli atti scritti devono essere consegnati al Tribunale federale oppure, all'indirizzo di questo, alla posta svizzera o a una rappresentanza diplomatica o consolare svizzera al più tardi l'ultimo giorno del termine. |
2 | In caso di trasmissione per via elettronica, per il rispetto di un termine è determinante il momento in cui è rilasciata la ricevuta attestante che la parte ha eseguito tutte le operazioni necessarie per la trasmissione.19 |
3 | Il termine è reputato osservato anche se l'atto scritto perviene in tempo utile all'autorità inferiore o a un'autorità federale o cantonale incompetente. In tal caso, l'atto deve essere trasmesso senza indugio al Tribunale federale. |
4 | Il termine per il versamento di anticipi o la prestazione di garanzie è osservato se, prima della sua scadenza, l'importo dovuto è versato alla posta svizzera, o addebitato a un conto postale o bancario in Svizzera, in favore del Tribunale federale. |
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 42 Atti scritti - 1 Gli atti scritti devono essere redatti in una lingua ufficiale, contenere le conclusioni, i motivi e l'indicazione dei mezzi di prova ed essere firmati. |
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1 | Gli atti scritti devono essere redatti in una lingua ufficiale, contenere le conclusioni, i motivi e l'indicazione dei mezzi di prova ed essere firmati. |
2 | Nei motivi occorre spiegare in modo conciso perché l'atto impugnato viola il diritto. Qualora il ricorso sia ammissibile soltanto se concerne una questione di diritto di importanza fondamentale o un caso particolarmente importante per altri motivi, occorre spiegare perché la causa adempie siffatta condizione.14 15 |
3 | Se sono in possesso della parte, i documenti indicati come mezzi di prova devono essere allegati; se l'atto scritto è diretto contro una decisione, anche questa deve essere allegata. |
4 | In caso di trasmissione per via elettronica, la parte o il suo patrocinatore deve munire l'atto scritto di una firma elettronica qualificata secondo la legge del 18 marzo 201616 sulla firma elettronica. Il Tribunale federale determina mediante regolamento: |
a | il formato dell'atto scritto e dei relativi allegati; |
b | le modalità di trasmissione; |
c | le condizioni alle quali può essere richiesta la trasmissione successiva di documenti cartacei in caso di problemi tecnici.17 |
5 | Se mancano la firma della parte o del suo patrocinatore, la procura dello stesso o gli allegati prescritti, o se il patrocinatore non è autorizzato in quanto tale, è fissato un congruo termine per sanare il vizio, con la comminatoria che altrimenti l'atto scritto non sarà preso in considerazione. |
6 | Gli atti illeggibili, sconvenienti, incomprensibili, prolissi o non redatti in una lingua ufficiale possono essere del pari rinviati al loro autore affinché li modifichi. |
7 | Gli atti scritti dovuti a condotta processuale da querulomane o altrimenti abusiva sono inammissibili. |
Expédition :