OJ.
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SR 101 Costituzione federale della Confederazione Svizzera del 18 aprile 1999 Cost. Art. 4 Lingue nazionali - Le lingue nazionali sono il tedesco, il francese, l'italiano e il romancio. |
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SR 131.231 Costituzione del Cantone di Vaud, del 14 aprile 2003 Cost./VD Art. 2 - 1 Lo stemma del Cantone consiste in uno scudo bianco e verde con il motto «Liberté et Patrie» («Libertà e Patria»). |
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| 2 | Lo scudo del Cantone di Vaud è: troncato, di colore argento nella partizione 1 caricata con le parole «Liberté e Patrie», disposte su tre righe e scritte in lettere d'oro con bordo nero, e di colore verde nella partizione 2. |
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SR 131.231 Costituzione del Cantone di Vaud, del 14 aprile 2003 Cost./VD Art. 6 - 1 Lo Stato ha gli scopi seguenti: |
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| 1 | Lo Stato ha gli scopi seguenti: |
| a | il bene comune e la coesione cantonale; |
| b | l'integrazione armoniosa di ognuno nel corpo sociale; |
| c | la preservazione delle basi fisiche della vita e la conservazione duratura delle risorse naturali; |
| d | la salvaguardia degli interessi delle generazioni future; |
| e | la protezione del clima e della biodiversità nonché la lotta contro il riscaldamento climatico e le perturbazioni che ne derivano. |
| 2 | Nelle sue attività, lo Stato: |
| a | protegge la dignità, i diritti e le libertà individuali; |
| b | garantisce l'ordine pubblico; |
| c | fa prevalere la giustizia e la pace e sostiene gli sforzi per la prevenzione dei conflitti; |
| d | riconosce la famiglia come cellula fondamentale della società; |
| e | provvede a un'equilibrata rappresentanza d'ambo i sessi in seno alle autorità; |
| f | tiene conto della crisi ambientale. |
OJ, car sa prétention ne tend pas à des dommages-intérêts fondés sur une atteinte à ses droits pécuniaires. Elle entend simplement demander au Tribunal fédéral de constater qu'elle a droit à une autorisation renouvelable de deux ans en deux ans et valable sur le périmètre fixé par la convention de 1935. Comme il faut pour cela annuler la décision attaquée et qu'il n'y a pas de procès direct possible, il ne reste que le recours de droit public. D'ailleurs, on ne saurait envisager l'ouverture d'une action en fixation de droit contre l'Etat de Vaud. En effet, les droits que la recourante entend déduire de la convention sont indiscutables. De plus, pareille action serait insuffisante pour obtenir l'annulation de la décision attaquée et le maintien de la recourante dans ses droits acquis.
OJ. Dans ce dernier cas, le recours de droit public serait irrecevable, conformément au principe de la subsidiarité posé par l'art. 84 al. 2
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SR 131.231 Costituzione del Cantone di Vaud, del 14 aprile 2003 Cost./VD Art. 6 - 1 Lo Stato ha gli scopi seguenti: |
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| 1 | Lo Stato ha gli scopi seguenti: |
| a | il bene comune e la coesione cantonale; |
| b | l'integrazione armoniosa di ognuno nel corpo sociale; |
| c | la preservazione delle basi fisiche della vita e la conservazione duratura delle risorse naturali; |
| d | la salvaguardia degli interessi delle generazioni future; |
| e | la protezione del clima e della biodiversità nonché la lotta contro il riscaldamento climatico e le perturbazioni che ne derivano. |
| 2 | Nelle sue attività, lo Stato: |
| a | protegge la dignità, i diritti e le libertà individuali; |
| b | garantisce l'ordine pubblico; |
| c | fa prevalere la giustizia e la pace e sostiene gli sforzi per la prevenzione dei conflitti; |
| d | riconosce la famiglia come cellula fondamentale della società; |
| e | provvede a un'equilibrata rappresentanza d'ambo i sessi in seno alle autorità; |
| f | tiene conto della crisi ambientale. |
OJ (RO 72 I 287). Cette question doit d'ailleurs être examinée d'office, quel que soit l'avis des parties et lors même qu'elles ont l'une et l'autre requis le Tribunal fédéral de statuer sur le fond.
OJ, "le Tribunal fédéral
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SR 101 Costituzione federale della Confederazione Svizzera del 18 aprile 1999 Cost. Art. 110 * - 1 La Confederazione può emanare prescrizioni su: |
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| a | la protezione dei lavoratori e delle lavoratrici; |
| b | i rapporti tra i datori di lavoro e i lavoratori e le lavoratrici, in particolare la regolamentazione in comune di questioni aziendali e professionali; |
| c | il servizio di collocamento; |
| d | il conferimento dell'obbligatorietà generale a contratti collettivi di lavoro. |
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SR 101 Costituzione federale della Confederazione Svizzera del 18 aprile 1999 Cost. Art. 110 * - 1 La Confederazione può emanare prescrizioni su: |
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| a | la protezione dei lavoratori e delle lavoratrici; |
| b | i rapporti tra i datori di lavoro e i lavoratori e le lavoratrici, in particolare la regolamentazione in comune di questioni aziendali e professionali; |
| c | il servizio di collocamento; |
| d | il conferimento dell'obbligatorietà generale a contratti collettivi di lavoro. |
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SR 101 Costituzione federale della Confederazione Svizzera del 18 aprile 1999 Cost. Art. 110 * - 1 La Confederazione può emanare prescrizioni su: |
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| a | la protezione dei lavoratori e delle lavoratrici; |
| b | i rapporti tra i datori di lavoro e i lavoratori e le lavoratrici, in particolare la regolamentazione in comune di questioni aziendali e professionali; |
| c | il servizio di collocamento; |
| d | il conferimento dell'obbligatorietà generale a contratti collettivi di lavoro. |
OJ, la jurisprudence s'en est toujours tenue aux principes qui ont guidé le législateur constitutionnel. La notion de contestation de droit civil au sens de l'art. 42
OJ est donc une notion historique et traditionnelle. Elle comprend des litiges qui, d'après les conceptions d'aujourd'hui, relèvent du droit public, mais qui, jadis, étaient assimilés quant au contentieux à des procès civils (RO 78 I 380; 78 II 26; 75 II 249; 62 II 295). Parmi les actions déclarées recevables en vertu de l'art. 42
OJ, la jurisprudence distingue deux catégories: Dans une première catégorie, le Tribunal fédéral range les demandes de dommages-intérêts extracontractuels formées contre l'Etat par un particulier lésé dans ses intérêts personnels soit par des actes illicites, soit par des actes licites du pouvoir public, mais pouvant impliquer l'obligation pour l'Etat de réparer le dommage causé (RO 63 II 50; 62 II 296; 49 II 416/417). La seconde catégorie comprend des réclamations de deux ordres. Il s'agit tout d'abord de celles qui découlent d'un véritable contrat de droit public, c'est-à-dire d'un rapport juridique existant entre l'Etat et un particulier et né d'un accord librement consenti de part et d'autre sur tous les points. Mais cette seconde catégorie comprend également, et par extension, les réclamations fondées sur un rapport de droit particulier, créé par un acte souverain et unilatéral de l'Etat, dans lequel toutefois le citoyen est
OJ (RO 78 II 26 et les arrêts cités, notamment RO 63 II 50; 62 II 296/297; 58 II 473). Telles sont, selon la jurisprudence, les prétentions pécuniaires appartenant au fonctionnaire en vertu de ses rapports de service (RO 72 I 287/288). Telles sont également les contestations ayant pour objet une concession, tout au moins certaines d'entre elles, car sur ce point la jurisprudence fait une distinction. En effet, les règles régissant les rapports entre l'Etat, autorité concédante, et le concessionnaire sont ordinairement de deux natures. Les unes sont fixées unilatéralement par le pouvoir public, notamment par la loi. Ainsi, l'octroi de la concession lui-même se présente généralement comme un acte unilatéral, soumis exclusivement aux dispositions de la loi, notamment à celles qui prévoient la caducité ou la révocation de la concession (RO 41 II 160; 43 II 448/449; 49 II 417; 62 II 297; 63 II 51). D'autres règles aussi sont parfois fixées de façon unilatérale par la puissance publique, ainsi celles qui concernent les émoluments et les taxes (RO 34 II 835; 41 II 160; 49 II 417; 62 II 297; 63 II 51). Mais, à côté de ces dispositions impératives réglant la concession, il existe des clauses fixées par l'acte de concession lui-même et fondées sur un accord passé entre l'autorité concédante et le concessionnaire, le cas échéant après des pourparlers entre eux. Cette distinction dans la nature des rapports aboutit à une distinction quant à la juridiction. En effet l'art. 42
OJ ne vise que "des liens juridiques noués d'un commun accord après pourparlers et non de purs et simples actes d'autorité discrétionnaires pour lesquels l'intéressé n'est même pas consulté, tout ce qu'il peut faire étant de se soumettre aux conditions posées" (RO 62 II 297). Dès lors, en matière de concession, l'art. 42
OJ n'est applicable que
OJ. Elle rentre dans la seconde catégorie d'actions déclarées recevables en vertu de cette disposition et qui comprennent les réclamations fondées sur un rapport de droit public auquel le particulier adhère librement. Il n'est pas nécessaire de rechercher si l'Etat de Vaud et la société sont liés par une concession. Car, même si tel était le cas, la contestation qui les divise demeurerait une contestation de droit civil au sens de l'art. 42
OJ puisqu'elle aurait pour objet non une disposition impérative réglant la concession, mais l'une de ces clauses fondées sur un accord passé, après pourparlers, entre l'autorité concédante et le concessionnaire. S'agissant d'une contestation de droit civil au sens de l'art. 42
OJ, le Tribunal fédéral ne peut être saisi par la voie du procès direct que si la valeur litigieuse est d'au moins 4000 fr. Sur ce point, les parties, qui se sont déterminées sur la question de recevabilité, n'ont pas donné de renseignements précis. Mais elles n'ont pas mis en doute non plus que la valeur litigieuse prévue par la loi ne soit atteinte. Du reste, il est manifeste, vu l'importance des intérêts en cause, que la question soumise au Tribunal fédéral représente pour la société une somme bien supérieure à 4000 francs.
OJ, soit qu'elle tende à l'exécution d'une prestation, soit qu'elle constitue une action en fixation de droit (arrêt non publié du 22 novembre 1935 dans la cause Eisenbahngesellschaft Langenthal-Huttwil A.-G. c. Canton de Berne). Cela seul suffit à déclarer le recours de droit public irrecevable conformément à l'art. 84 al. 2
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SR 131.231 Costituzione del Cantone di Vaud, del 14 aprile 2003 Cost./VD Art. 6 - 1 Lo Stato ha gli scopi seguenti: |
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| 1 | Lo Stato ha gli scopi seguenti: |
| a | il bene comune e la coesione cantonale; |
| b | l'integrazione armoniosa di ognuno nel corpo sociale; |
| c | la preservazione delle basi fisiche della vita e la conservazione duratura delle risorse naturali; |
| d | la salvaguardia degli interessi delle generazioni future; |
| e | la protezione del clima e della biodiversità nonché la lotta contro il riscaldamento climatico e le perturbazioni che ne derivano. |
| 2 | Nelle sue attività, lo Stato: |
| a | protegge la dignità, i diritti e le libertà individuali; |
| b | garantisce l'ordine pubblico; |
| c | fa prevalere la giustizia e la pace e sostiene gli sforzi per la prevenzione dei conflitti; |
| d | riconosce la famiglia come cellula fondamentale della società; |
| e | provvede a un'equilibrata rappresentanza d'ambo i sessi in seno alle autorità; |
| f | tiene conto della crisi ambientale. |