Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

6B 1236/2022

Urteil vom 11. Januar 2023

Strafrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichterin Jacquemoud-Rossari, Präsidentin,
Bundesrichter Rüedi,
Bundesrichter Muschietti,
Gerichtsschreiber Matt.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Rolf Dätwyler,
Beschwerdeführer,

gegen

1. Generalstaatsanwaltschaft des Kantons Thurgau,
Maurerstrasse 2, 8510 Frauenfeld,
2. B.________,
3. C.________,
Beschwerdegegner.

Gegenstand
Raufhandel; mehrfache versuchte schwere Körperverletzung; Strafzumessung,

Beschwerde gegen den Entscheid des Obergerichts des Kantons Thurgau vom 9. September 2022 (SBR.2021.39).

Sachverhalt:

A.
Am 2. März 2015 kam es in Frauenfeld auf dem Parkplatz "Oberes Mätteli" zu einer tätlichen Auseinandersetzung, an der A.________, D.________, C.________, E.________ und F.________ beteiligt waren. Letztere vier stellten je Strafantrag.
Am 29. Mai 2016 ereignete sich in Frauenfeld erneut eine tätliche Auseinandersetzung vor dem Restaurant "Dreiegg", an der sich neben anderen A.________, G.________, B.________ und H.________ beteiligten. Hier stellte B.________ Strafantrag.
In der Folge eröffnete die Staatsanwaltschaft Frauenfeld diverse Strafverfahren gegen verschiedene Beteiligte.

B.
Am 7. Dezember 2020 verurteilte das Bezirksgericht Frauenfeld A.________, D.________ und E.________. F.________ sprach es frei.
Den hier interessierenden A.________ sprach das Bezirksgericht des Raufhandels, der einfachen Körperverletzung und der versuchten schweren Körperverletzung schuldig. Es belegte ihn mit einer Freiheitsstrafe von 13 Monaten, davon 7 Monate bedingt bei einer Probezeit von 4 Jahren.

C.
Am 9. September 2022 wies das Obergericht des Kantons Thurgau die dagegen gerichtete Berufung von A.________ ab, während es seine Anschlussberufung teilweise guthiess. Ebenso hiess es die Berufung der Staatsanwaltschaft teilweise gut.
Das Obergericht sprach A.________ vom Vorwurf der einfachen Körperverletzung zum Nachteil von E.________ frei. Hingegen verurteilte es ihn wegen Raufhandels und mehrfacher versuchter schwerer Körperverletzung zu einer unbedingten Freiheitsstrafe von 28 Monaten.

D.
A.________ beantragt mit Beschwerde in Strafsachen, das obergerichtliche Urteil sei teilweise aufzuheben. Er sei wegen Raufhandels und einfacher Körperverletzung zum Nachteil von B.________ zu einer bedingten Geldstrafe von 84 Tagessätzen zu Fr. 30.-- zu verurteilen. Eventualiter sei ihm der teilbedingte Strafvollzug zu gewähren. Er ersucht um unentgeltliche Rechtspflege und Rechtsverbeiständung.

Erwägungen:

1.

1.1. Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG). Das bedeutet jedoch nicht, dass überhaupt nicht zu erörtern wäre, inwiefern der angefochtene Entscheid bundesrechtliche Normen verletzen könnte. Vielmehr muss sich die beschwerdeführende Partei, um der Begründungspflicht gemäss Art. 42 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1bis    Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG zu genügen, mit den Erwägungen des angefochtenen Entscheids auseinandersetzen und klar aufzeigen, inwiefern die Vorinstanz Recht verletzt (BGE 140 III 86 E. 2 mit Hinweisen). Es sollen nicht bloss die Rechtsstandpunkte, die im kantonalen Verfahren eingenommen wurden, erneut bekräftigt, sondern es soll mit der Kritik an den vorinstanzlichen Erwägungen angesetzt werden (BGE 140 III 115 E. 2; Urteil 6B 603/2021 und 6B 701/2021 vom 18. Mai 2022 E. 2).

1.2. Qualifizierte Begründungsanforderungen gelten im Rahmen der Rüge willkürlicher Sachverhaltsfeststellung. Das Bundesgericht legt seinem Urteil den von der Vorinstanz festgestellten Sachverhalt zugrunde (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100
BGG), es sei denn, dieser ist offensichtlich unrichtig oder beruht auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG (vgl. Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.90
und Art. 105 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100
BGG). Offensichtlich unrichtig ist die Sachverhaltsfeststellung, wenn sie willkürlich ist (BGE 141 IV 249 E. 1.3.1). Willkür liegt vor, wenn der angefochtene Entscheid offensichtlich unhaltbar ist oder mit der tatsächlichen Situation in klarem Widerspruch steht. Dass eine andere Lösung oder Würdigung ebenfalls vertretbar oder gar zutreffender erscheint, genügt für die Annahme von Willkür nicht (BGE 141 IV 305 E. 1.2; 140 III 167 E. 2.1; je mit Hinweisen). Die Willkürrüge muss in der Beschwerde explizit vorgebracht und substanziiert begründet werden (Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG). Die beschwerdeführende Partei hat genau darzulegen, inwiefern die vorinstanzliche Beweiswürdigung willkürlich sein soll. Dazu genügt es nicht, einen von den tatsächlichen Feststellungen der Vorinstanz abweichenden Sachverhalt zu behaupten oder die eigene Beweiswürdigung zu erläutern (BGE
137 II 353 E. 5.1). Dass die von den Sachgerichten gezogenen Schlüsse nicht mit der Darstellung der beschwerdeführenden Partei übereinstimmen, belegt keine Willkür. Auf ungenügend begründete Rügen oder bloss allgemein gehaltene appellatorische Kritik am angefochtenen Entscheid tritt das Bundesgericht nicht ein (BGE 141 IV 249 E. 1.3.1; 140 III 264 E. 2.3 mit Hinweisen).

2.
Der Beschwerdeführer vermischt unter dem Titel des fairen Verfahrens gemäss Art. 6
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH)
CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice.
1    Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice.
2    Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie.
3    Tout accusé a droit notamment à:
a  être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui;
b  disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense;
c  se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent;
d  interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge;
e  se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience.
EMRK verschiedene Rügen.
Zunächst trägt er vor, seine Einvernahmen ohne Verteidigung dürften nicht gegen ihn verwertet werden. Gleiches gelte für die Einvernahmen von F.________, E.________ und C.________, an denen er nicht habe teilnehmen können. Dazu hält die Vorinstanz fest, die Einvernahmen des Beschwerdeführers vom 3. und 4. März 2015 sowie 18. September 2016 seien mangels notwendiger Verteidigung nicht gegen ihn verwertbar. Dies gelte auch für die Einvernahmen von F.________ vom 27. März 2017, von E.________ vom 25. März 2015 und von C.________ vom 27. März 2015, weil der Beschwerdeführer nicht daran habe teilnehmen können. Der Beschwerdeführer macht geltend, die Strafbehörden hätten sich während Jahren auf diese unverwertbaren Einvernahmen gestützt. Auf deren Grundlage seien auch die späteren Befragungen erfolgt. Erst die Vorinstanz habe die Unverwertbarkeit verbindlich festgestellt. Mit diesem Vorbringen belegt der Beschwerdeführer keine Verletzung von Bundes- oder Völkerrecht. Um den allgemeinen Begründungsanforderung zu genügen, hätte er im Einzelnen aufzeigen müssen, inwiefern die Fernwirkung des Beweisverbots missachtet und welche konkrete Aussage zu Unrecht zu seinen Lasten verwertet worden sein sollen. Dies unterlässt der Beschwerdeführer
gänzlich, weshalb auf seine Rüge nicht weiter einzugehen ist. Auch wo er sinngemäss eine Verletzung von Art. 141 Abs. 5
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 141 Exploitation des moyens de preuves obtenus illégalement - 1 Les preuves administrées en violation de l'art. 140 ne sont en aucun cas exploitables. Il en va de même lorsque le présent code dispose qu'une preuve n'est pas exploitable.
1    Les preuves administrées en violation de l'art. 140 ne sont en aucun cas exploitables. Il en va de même lorsque le présent code dispose qu'une preuve n'est pas exploitable.
2    Les preuves qui ont été administrées d'une manière illicite ou en violation de règles de validité par les autorités pénales ne sont pas exploitables, à moins que leur exploitation soit indispensable pour élucider des infractions graves.
3    Les preuves qui ont été administrées en violation de prescriptions d'ordre sont exploitables.
4    Si un moyen de preuve est recueilli grâce à une preuve non exploitable au sens de l'al. 1 ou 2, il n'est exploitable que s'il aurait pu être recueilli même sans l'administration de la première preuve.77
5    Les pièces relatives aux moyens de preuves non exploitables doivent être retirées du dossier pénal, conservées à part jusqu'à la clôture définitive de la procédure, puis détruites.
StPO rügt, lässt er eine hinreichende Begründung vermissen. Weiter verfehlt der Beschwerdeführer die Begründungsanforderungen, wenn er vorbringt, dass ihm anfänglich eine Verurteilung wegen Raufhandels und einfacher Körperverletzung in Aussicht gestellt und dass das Beschleunigungsgebot verletzt worden sei. Damit legt der Beschwerdeführer nicht dar, inwiefern das Strafverfahren gesamthaft seinen Anspruch auf ein faires Verfahren verletzt haben soll. Ob die Vorinstanz die Verletzung des Beschleunigungsgebots hinreichend berücksichtigt, ist bei der Strafzumessung zu prüfen (vgl. E. 4.2.3 hiernach).

3.
Der Beschwerdeführer rügt die rechtliche Würdigung. Er beanstandet beim Sachverhalt "Oberes Mätteli", dass ihn die Vorinstanz wegen versuchter schwerer Körperverletzung in Mittäterschaft mit D.________ verurteilte. Beim Sachverhalt "Dreiegg" macht er geltend, er sei nur wegen einfacher statt schwerer Körperverletzung zu verurteilen.

3.1.

3.1.1. Der schweren Körperverletzung im Sinne von Art. 122
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 122 - Est puni d'une peine privative de liberté d'un à dix ans quiconque, intentionnellement:
a  blesse une personne de façon à mettre sa vie en danger;
b  mutile le corps d'une personne, un de ses membres ou un de ses organes importants ou rend ce membre ou cet organe impropre à sa fonction, cause à une personne une incapacité de travail, une infirmité ou une maladie mentale permanentes, ou défigure une personne d'une façon grave et permanente;
c  fait subir à une personne toute autre atteinte grave à l'intégrité corporelle ou à la santé physique ou mentale.
StGB macht sich schuldig, wer vorsätzlich einen Menschen lebensgefährlich verletzt (Abs. 1); wer vorsätzlich den Körper, ein wichtiges Organ oder Glied eines Menschen verstümmelt oder ein wichtiges Organ oder Glied unbrauchbar macht, einen Menschen bleibend arbeitsunfähig, gebrechlich oder geisteskrank macht, das Gesicht eines Menschen arg und bleibend entstellt (Abs. 2); oder wer vorsätzlich eine andere schwere Schädigung des Körpers oder der körperlichen oder geistigen Gesundheit eines Menschen verursacht (Abs. 3).
Ein Versuch liegt vor, wenn der Täter sämtliche subjektiven Tatbestandsmerkmale erfüllt und seine Tatentschlossenheit manifestiert hat, ohne dass alle objektiven Tatbestandsmerkmale verwirklicht sind (Art. 22 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 22 - 1 Le juge peut atténuer la peine si l'exécution d'un crime ou d'un délit n'est pas poursuivie jusqu'à son terme ou que le résultat nécessaire à la consommation de l'infraction ne se produit pas ou ne pouvait pas se produire.
1    Le juge peut atténuer la peine si l'exécution d'un crime ou d'un délit n'est pas poursuivie jusqu'à son terme ou que le résultat nécessaire à la consommation de l'infraction ne se produit pas ou ne pouvait pas se produire.
2    L'auteur n'est pas punissable si, par grave défaut d'intelligence, il ne s'est pas rendu compte que la consommation de l'infraction était absolument impossible en raison de la nature de l'objet visé ou du moyen utilisé.
StGB; BGE 140 IV 150 E. 3.4; 137 IV 113 E. 1.4.2; je mit Hinweisen).

3.1.2. Vorsätzlich begeht ein Verbrechen oder Vergehen, wer die Tat mit Wissen und Willen ausführt oder wer die Verwirklichung der Tat für möglich hält und in Kauf nimmt (Art. 12 Abs. 2
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 12 - 1 Sauf disposition expresse et contraire de la loi, est seul punissable l'auteur d'un crime ou d'un délit qui agit intentionnellement.
1    Sauf disposition expresse et contraire de la loi, est seul punissable l'auteur d'un crime ou d'un délit qui agit intentionnellement.
2    Agit intentionnellement quiconque commet un crime ou un délit avec conscience et volonté. L'auteur agit déjà intentionnellement lorsqu'il tient pour possible la réalisation de l'infraction et l'accepte au cas où celle-ci se produirait.
3    Agit par négligence quiconque, par une imprévoyance coupable, commet un crime ou un délit sans se rendre compte des conséquences de son acte ou sans en tenir compte. L'imprévoyance est coupable quand l'auteur n'a pas usé des précautions commandées par les circonstances et par sa situation personnelle.
StGB). Eventualvorsatz ist gegeben, wenn der Täter die Tatbestandsverwirklichung für möglich hält, aber dennoch handelt, weil er den Erfolg für den Fall seines Eintritts in Kauf nimmt, sich mit ihm abfindet, mag er ihm auch unerwünscht sein. Dass er den Erfolg billigt, ist nicht erforderlich (BGE 137 IV 1 E. 4.2.3; 133 IV 222 E. 5.3; 133 IV 9 E. 4.1).
Ob der Täter die Tatbestandsverwirklichung in diesem Sinne in Kauf genommen hat, muss das Gericht bei Fehlen eines Geständnisses aufgrund der Umstände entscheiden. Dazu gehören die Grösse des dem Täter bekannten Risikos der Tatbestandsverwirklichung, die Schwere der Sorgfaltspflichtverletzung, die Beweggründe des Täters und die Art der Tathandlung. Je grösser die Wahrscheinlichkeit der Tatbestandsverwirklichung ist und je schwerer die Sorgfaltspflichtverletzung wiegt, desto eher darf gefolgert werden, der Täter habe die Tatbestandsverwirklichung in Kauf genommen (BGE 135 IV 12 E. 2.3.2; 134 IV 26 E. 3.2.2; 133 IV 9 E. 4.1; je mit Hinweisen). Das Gericht darf vom Wissen auf den Willen schliessen, wenn sich dem Täter der Eintritt des Erfolgs als so wahrscheinlich aufdrängte, dass die Bereitschaft, ihn als Folge hinzunehmen, vernünftigerweise nur als Inkaufnahme des Erfolgs ausgelegt werden kann (BGE 137 IV 1 E. 4.2.3; 134 IV 26 E. 3.2.2; je mit Hinweisen).
Was der Täter wusste, wollte und in Kauf nahm, betrifft innere Tatsachen und ist Tatfrage, was das Bundesgericht nur unter dem Gesichtspunkt der Willkür prüft (Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.90
, Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG; Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
BV; BGE 144 IV 345 E. 2.2.3; 141 IV 369 E. 6.3). Rechtsfrage ist hingegen, ob im Lichte der festgestellten Tatsachen der Schluss auf Eventualvorsatz begründet ist (BGE 137 IV 1 E. 4.2.3; 135 IV 152 E. 2.3.2). Das Sachgericht hat die in diesem Zusammenhang relevanten Tatsachen möglichst erschöpfend darzustellen, damit erkennbar wird, aus welchen Umständen es auf Eventualvorsatz schliesst (Urteile 6B 501/2022 vom 16. November 2022 E. 3.1; 6B 1024/2017 vom 26. April 2018 E. 2.1.2 und E. 1.1; je mit Hinweisen).

3.1.3. Als Mittäter gilt, wer bei der Entschliessung, Planung oder Ausführung eines Delikts vorsätzlich und in massgebender Weise mit anderen Tätern zusammenwirkt, so dass er als Hauptbeteiligter dasteht. Dabei kommt es darauf an, ob der Tatbeitrag nach den Umständen des konkreten Falls und dem Tatplan für die Ausführung des Delikts so wesentlich ist, dass sie "mit ihm steht oder fällt". Der Mittäter muss bei der Entschliessung, Planung oder Ausführung der Tat auch tatsächlich mitwirken. Es genügt, dass er sich später den Vorsatz seiner Mittäter zu eigen macht (BGE 135 IV 152 E. 2.3.1; 134 IV 1 E. 4.2.3; Urteile 6B 789/2020 vom 31. Januar 2022 E. 2.3.6; 6B 1024/2017 vom 26. April 2018 E. 2.1.3).

3.2.

3.2.1. Zum Sachverhalt "Oberes Mätteli" erwägt die Vorinstanz, es sei nicht erstellt, dass der Beschwerdeführer und D.________ den Entschluss zur Begehung der Taten schon vor der Auseinandersetzung auf dem Parkplatz gefasst hätten. Ebenso wenig sei erwiesen, dass der Beschwerdeführer bereits vorab gewusst habe, dass D.________ ein Kantholz mitnehme. Allerdings habe der Beschwerdeführer nach eigenen Aussagen wahrgenommen, dass D.________ zu Beginn der Auseinandersetzung ein Kantholz behändigt habe. In der Anklage sei nicht umschrieben, dass der Beschwerdeführer wahrgenommen habe, wie D.________ F.________ mit dem Kantholz niedergeschlagen habe und auf C.________ losgegangen sei. Als der Beschwerdeführer sich gemäss eigenen Aussagen aus dem Griff von E.________ gelöst und gesehen habe, dass F.________ am Boden liege und C.________ blute, habe er wissen müssen, dass D.________ sehr gewalttätig mit dem Kantholz gegen sie vorgehe. Der Beschwerdeführer habe eingeräumt, dass D.________ das Kantholz benutzt habe. Spätestens als D.________ in der Folge versucht habe, mit dem Kantholz auf den Kopf von E.________ zu schlagen, habe sich der Beschwerdeführer dessen Vorsatz zu eigen gemacht. Er habe keine Anstalten gemacht, das brutale Vorgehen
von D.________ zu unterbinden. Vielmehr habe er sich an einem Gerangel zwischen E.________ und D.________ beteiligt, nachdem es E.________ gelungen sei, das Kantholz festzuhalten und wegzureissen. Gemäss Vorinstanz erscheint der Tatbeitrag des Beschwerdeführers wesentlich. Er sei deshalb zusätzlich zum Raufhandel auch wegen mehrfacher versuchter schwerer Körperverletzung zu verurteilen.

3.2.2. Zum Sachverhalt "Dreiegg" hält die Vorinstanz fest, der Beschwerdeführer habe gewusst, dass der Schlag mit dem Stuhl gegen den Oberkörper von B.________ eine schwere Körperverletzung herbeiführen könne. So habe er ausgesagt, es könne viel passieren, wenn man jemanden mit einem Stuhl schlage. Es könnten grosse Verletzungen resultieren, man könne mit einem Stuhl jemandem das Genick brechen oder jemanden töten. Die Vorinstanz berücksichtigt, dass der Beschwerdeführer diese Aussagen insoweit relativierte, als es darauf ankomme, wo man schlage. Auch unter Berücksichtigung dieser Relativierung schliesst die Vorinstanz aus den Aussagen des Beschwerdeführers schlüssig auf sein Wissen, dass ein Schlag mit einem Stuhl auf den Rücken eines Menschen schwere Verletzungen nach sich ziehen kann. Die Vorinstanz weist zutreffend darauf hin, dass die Annahme von Vorsatz keine sichere Voraussicht des genauen Geschehensablaufs voraussetzt. Vielmehr genügt es, wenn der Täter die Tatbestandsverwirklichung, hier die Herbeiführung der schweren Körperverletzung, ernsthaft für möglich hält (BGE 130 IV 58 E. 9.1.2; 125 IV 242 E. 3; vgl. statt vieler Urteil 6B 789/2020 vom 31. Januar 2022 E. 2.4).
Was die Willensseite betrifft, ist gemäss Vorinstanz fraglich, ob der Beschwerdeführer zumindest in Kauf genommen habe, B.________ schwer zu verletzen. Die Vorinstanz beurteilt diese Frage auf der Grundlage der konkreten Umstände. Demnach ist erstellt, dass der Beschwerdeführer einen Stuhl aus Holz und Metall behändigte und mit Wucht auf den Oberkörper von B.________ schlug. Dieser stürzte zu Boden und blieb verletzt liegen. Die Vorinstanz berücksichtigt die Angaben des Beschwerdeführers, wonach er alkoholisiert gewesen sei und den Stuhl bewusst gegen den Oberkörper von B.________ geschlagen habe. Sie gelangt zum Schluss, dass der alkoholisierte Beschwerdeführer nicht in der Lage gewesen sei, seinen Schlag genau zu dosieren oder zu kontrollieren. Sowohl er als auch B.________ seien in Bewegung gewesen. Dem Beschwerdeführer sei es nicht möglich gewesen, den Schlag dosiert und kontrolliert auszuführen. Aufgrund des Verletzungsbilds geht die Vorinstanz ausserdem davon aus, dass eine Kante oder Ecke des Stuhls mit Wucht auf die beiden Rippen getroffen sei, sodass diese gebrochen seien. Die Situation sei für den Beschwerdeführer absolut unberechenbar gewesen. Die Abwehrchancen von B.________ seien eingeschränkt gewesen, weil der
Beschwerdeführer ihn von hinten getroffen habe. Der Beschwerdeführer habe auch wissen müssen, dass eine Person nach einem solchen Schlag unkontrolliert stürzen kann. B.________ hätte gemäss Vorinstanz auch deswegen schwere Verletzungen erleiden können. Dass heftige Schläge mit einem harten Gegenstand gegen den Rumpf geeignet sind, schwere innere Verletzungen zu verursachen, folge auch aus dem rechtsmedizinischen Gutachten.

3.3. Die Rügen des Beschwerdeführers sind unbegründet.

3.3.1. Der Beschwerdeführer beruft sich wiederholt auf Art. 10 Abs. 3
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 10 Présomption d'innocence et appréciation des preuves - 1 Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force.
1    Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force.
2    Le tribunal apprécie librement les preuves recueillies selon l'intime conviction qu'il retire de l'ensemble de la procédure.
3    Lorsque subsistent des doutes insurmontables quant aux éléments factuels justifiant une condamnation, le tribunal se fonde sur l'état de fait le plus favorable au prévenu.
StPO. So bringt er beim Sachverhalt "Oberes Mätteli" beispielsweise vor, der Schuldspruch wegen versuchter schwerer Körperverletzung verletze Art. 10 Abs. 3
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 10 Présomption d'innocence et appréciation des preuves - 1 Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force.
1    Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force.
2    Le tribunal apprécie librement les preuves recueillies selon l'intime conviction qu'il retire de l'ensemble de la procédure.
3    Lorsque subsistent des doutes insurmontables quant aux éléments factuels justifiant une condamnation, le tribunal se fonde sur l'état de fait le plus favorable au prévenu.
StPO, weil unüberwindliche Zweifel an seiner Mittäterschaft bestünden. Oder er behauptet im Sachverhalt "Dreiegg", die Vorinstanz hätte gemäss Art. 10 Abs. 3
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 10 Présomption d'innocence et appréciation des preuves - 1 Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force.
1    Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force.
2    Le tribunal apprécie librement les preuves recueillies selon l'intime conviction qu'il retire de l'ensemble de la procédure.
3    Lorsque subsistent des doutes insurmontables quant aux éléments factuels justifiant une condamnation, le tribunal se fonde sur l'état de fait le plus favorable au prévenu.
StPO von einem leichten Holzstuhl mit wenig Metall ohne gefährliche Teile ausgehen müssen, womit keine schwere Körperverletzung möglich gewesen wäre. Zudem sei es nicht mit Art. 10 Abs. 3
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 10 Présomption d'innocence et appréciation des preuves - 1 Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force.
1    Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force.
2    Le tribunal apprécie librement les preuves recueillies selon l'intime conviction qu'il retire de l'ensemble de la procédure.
3    Lorsque subsistent des doutes insurmontables quant aux éléments factuels justifiant une condamnation, le tribunal se fonde sur l'état de fait le plus favorable au prévenu.
StPO zu vereinbaren, wenn die Vorinstanz im Wesentlichen auf die Aussagen von B.________ abstütze, da dieser als Privatkläger ein Interesse am Verfahrensausgang habe.
Nach Art. 10 Abs. 3
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 10 Présomption d'innocence et appréciation des preuves - 1 Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force.
1    Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force.
2    Le tribunal apprécie librement les preuves recueillies selon l'intime conviction qu'il retire de l'ensemble de la procédure.
3    Lorsque subsistent des doutes insurmontables quant aux éléments factuels justifiant une condamnation, le tribunal se fonde sur l'état de fait le plus favorable au prévenu.
StPO geht das Gericht von der für die beschuldigte Person günstigeren Sachlage aus, wenn unüberwindliche Zweifel an der Erfüllung der tatsächlichen Voraussetzungen der angeklagten Tat bestehen. Diese Bestimmung kodifiziert den Grundsatz "in dubio pro reo", der ebenso durch Art. 32 Abs. 1
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 32 Procédure pénale - 1 Toute personne est présumée innocente jusqu'à ce qu'elle fasse l'objet d'une condamnation entrée en force.
1    Toute personne est présumée innocente jusqu'à ce qu'elle fasse l'objet d'une condamnation entrée en force.
2    Toute personne accusée a le droit d'être informée, dans les plus brefs délais et de manière détaillée, des accusations portées contre elle. Elle doit être mise en état de faire valoir les droits de la défense.
3    Toute personne condamnée a le droit de faire examiner le jugement par une juridiction supérieure. Les cas où le Tribunal fédéral statue en instance unique sont réservés.
BV und Art. 6 Ziff. 2
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH)
CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice.
1    Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice.
2    Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie.
3    Tout accusé a droit notamment à:
a  être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui;
b  disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense;
c  se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent;
d  interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge;
e  se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience.
EMRK gewährleistet ist. Allerdings kommt ihm in seiner Funktion als Beweiswürdigungsregel im bundesgerichtlichen Verfahren keine über das Willkürverbot gemäss Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
BV hinausgehende Bedeutung zu (BGE 146 IV 88 E. 1.3.1; 145 IV 154 E. 1.1; Urteil 6B 443/2021 vom 9. Mai 2022 E. 1.3.2). Dies scheint der Beschwerdeführer zu übersehen. Auf seine diesbezüglichen Rügen ist nicht einzutreten.
Gleiches gilt, wenn der Beschwerdeführer aus den Untersuchungsakten zitiert und diverse Aussagen aus den Einvernahmen von D.________, E.________, F.________, C.________ und seiner selbst frei würdigt. Auf solche appellatorische Kritik am angefochtenen Urteil tritt das Bundesgericht nicht ein (vgl. statt vieler BGE 147 IV 73 E. 4.1.2).

3.3.2. Was den Sachverhalt "Oberes Mätteli" betrifft, wirft der Beschwerdeführer der Vorinstanz vor, sie begründe den Schuldspruch wegen versuchter schwerer Körperverletzung damit, dass er D.________ nicht davon abgehalten habe, mit dem Kantholz auf E.________ loszugehen. Dies trifft nicht zu. Vielmehr stellt die Vorinstanz willkürfrei fest, der Beschwerdeführer habe sich am Kampf zwischen E.________ und D.________ aktiv beteiligt. Entgegen dem Beschwerdeführer bestraft ihn die Vorinstanz nicht dafür, dass er im Sinne eines unechten Unterlassungsdelikts versäumte, D.________ daran zu hindern, mit dem Kantholz auf E.________ loszugehen. Sein Vorbringen zum Anklageprinzip und zur Garantenstellung zielt daher ins Leere.

3.3.3. Zum Sachverhalt "Dreiegg" behauptet der Beschwerdeführer, er habe nicht mit dem Stuhl auf B.________ eingeschlagen. Vielmehr habe er den Stuhl zum Selbstschutz vor sich umgestossen, worauf B.________ darüber gestolpert sein müsse. Damit begründet der Beschwerdeführer keine Willkür in der Sachverhaltsfeststellung.
Der Beschwerdeführer verweist auf das Urteil 6B 675/2018 vom 26. Oktober 2018. Dort wird in E. 5.2 festgehalten, dass der Schlag mit einem Stuhl ein erhebliches Risiko der Körperverletzung berge. Dies gelte selbst dann, wenn nicht fest zugeschlagen werde. Das Bundesgericht schützte daher den angefochtenen Schuldspruch wegen versuchter einfacher Körperverletzung. Entgegen dem Beschwerdeführer lässt sich aus diesem Urteil nicht allgemein ableiten, dass bei Schlägen mit einem Stuhl eine Verurteilung wegen versuchter schwerer Körperverletzung ausser Betracht fällt, zumal es in jenem Fall um die Abgrenzung von einfacher Körperverletzung und Tätlichkeiten ging.
Der Beschwerdeführer bestreitet einen Eventualvorsatz. Er bringt vor, er sei zwar zu den Folgen eines Schlags mit einem Stuhl befragt worden, allerdings nicht mit Blick auf den Vorfall beim Restaurant "Dreiegg". Deshalb habe er eine allgemeine Antwort gegeben und diese nicht auf die Situation beim Restaurant "Dreiegg" bezogen habe. Damit ergeht sich der Beschwerdeführer abermals in einer unzulässigen appellatorischen Kritik am vorinstanzlichen Beweisergebnis, worauf nicht einzutreten ist. Die Vorinstanz erwägt auf der Grundlage ihrer willkürfreien Feststellungen überzeugend, weshalb der Beschwerdeführer eventualvorsätzlich handelte. So hält sie zutreffend fest, dass bereits die realistische Möglichkeit des Eintritts des tatbestandsmässigen Erfolgs zur Begründung des Eventualvorsatzes ausreicht, wenn wie hier weitere Umstände zum Wissen des Täters hinzukommen. Die Vorinstanz geht im Licht der konkreten Umstände schlüssig davon aus, dass der Beschwerdeführer eine schwere Verletzung von B.________ in Kauf nahm.

3.4. Nach dem Gesagten ist nicht zu beanstanden, dass die Vorinstanz den Beschwerdeführer beim Sachverhalt "Oberes Mätteli" wegen versuchter schwerer Körperverletzung in Mittäterschaft verurteilt und beim Sachverhalt "Dreiegg" wegen versuchter schwerer Körperverletzung.

4.
Der Beschwerdeführer wendet sich gegen die Strafzumessung.

4.1. Das Bundesgericht hat die Grundsätze der Strafzumessung wiederholt dargelegt (BGE 136 IV 55 E. 5.4 ff. mit Hinweisen). Darauf kann verwiesen werden. Es liegt im Ermessen des Sachgerichts, in welchem Umfang es den verschiedenen Strafzumessungsfaktoren Rechnung trägt. Das Bundesgericht greift in die Strafzumessung nur mit Zurückhaltung ein, wenn das Gericht sein Ermessen überschritten oder missbraucht und damit Bundesrecht verletzt hat (BGE 144 IV 313 E. 1.2; 141 IV 244 E. 1.2.2; 141 IV 61 E. 6.1.1; 136 IV 55 E. 5.4 ff.; 134 IV 17 E. 2.1; 132 IV 102 E. 8.1). Das Sachgericht hat die für die Strafzumessung erheblichen Umstände und deren Gewichtung festzuhalten und seine Überlegungen in den Grundzügen wiederzugeben, so dass die Strafzumessung nachvollziehbar ist (Art. 50
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 50 - Si le jugement doit être motivé, le juge indique dans les motifs les circonstances pertinentes pour la fixation de la peine et leur importance.
StGB; BGE 134 IV 17 E. 2.1; Urteil 6B 979/2020 vom 2. Dezember 2020 E. 1.2.1 mit Hinweisen).

4.2. Die Vorinstanz begründet ihre Strafzumessung ausführlich. Was der Beschwerdeführer dagegen vorbringt, verfängt nicht.

4.2.1. Soweit der Beschwerdeführer seiner Rüge einen Sachverhalt zugrunde legt, der von den verbindlichen vorinstanzlichen Feststellungen abweicht, ist darauf nicht einzugehen. Dies ist etwa der Fall, wenn er die vorinstanzliche Feststellung beanstandet, wonach er beim Restaurant "Dreiegg" ungehemmt gewalttätig reagiert und eine beträchtliche kriminelle Energie an den Tag gelegt habe. Gleiches gilt, wenn der Beschwerdeführer nur von einer Verurteilung wegen einfacher Körperverletzung und Raufhandels ausgeht. Wie oben dargelegt wurde, halten die Schuldsprüche wegen versuchter schwerer Körperverletzung vor Bundesrecht stand (vgl. E. 3 hiervor).

4.2.2. Der Beschwerdeführer trägt vor, dass die Vorinstanz "bei der Strafzumessung methodisch nicht korrekt vorgegangen sein dürfte und damit Bundesrecht verletzt haben könnte". Er beruft sich auf das Urteil 6B 382/2021 vom 25. Juli 2022. Danach ist es unzulässig, zunächst die Strafart für alle Delikte zu bestimmen, weil die auszusprechende Gesamtstrafe auf den verschuldensangemessenen Einzeltaten (recte: Einzelstrafen) basiert. Demnach müssen bei der Bemessung der hypothetischen Gesamtstrafe die einzelnen Straftaten in einem selbständigen Schritt gewürdigt werden. Dies bezieht sich auch auf die Wahl der Strafart. Erst nachdem das Gericht sämtliche Einzelstrafen festgesetzt hat, kann es beurteilen, ob und welche Einzelstrafen gleichartig sind (vgl. dort E. 3.2.1; siehe auch BGE 144 IV 313 E. 1; 144 IV 217 E. 4.1; Urteile 6B 998/2019 vom 20. November 2020 E. 4.2.3; 6B 905/2018 vom 7. Dezember 2018 E. 4.3.2 mit Hinweis).
Zunächst legt die Vorinstanz dar, dass der Beschwerdeführer die strafbaren Handlungen am 2. März 2015 und 29. Mai 2016 beging und damit vor der Revision des Sanktionenrechts, die am 1. Januar 2018 in Kraft trat. Da das neue Recht im vorliegenden Fall nicht milder sei, wendet die Vorinstanz das alte Recht an. Dies beanstandet der Beschwerdeführer zu Recht nicht.
Die Vorinstanz erwägt, der Beschwerdeführer habe sich mehrfach strafbar gemacht. Die versuchte schwere Körperverletzung sei mit Freiheitsstrafe von sechs Monaten bis zu zehn Jahren bedroht. Der Raufhandel mit Freiheitsstrafe bis zu drei Jahren oder Geldstrafe. Der Versuch wirke sich strafmildernd aus, weshalb das Gericht nicht an die angedrohte Mindeststrafe gebunden sei und auf eine andere Strafart erkennen könne. Gemäss Vorinstanz ist bei der Wahl der Strafart zu berücksichtigen, dass sowohl für die mehrfache versuchte schwere Körperverletzung als auch für den Raufhandel "theoretisch und für sich betrachtet" eine Geldstrafe oder eine Freiheitsstrafe ausgesprochen werden könne. Bei beiden schweren Körperverletzungen liege ein vollendeter Versuch vor. Der Beschwerdeführer sei einschlägig vorbestraft und noch während der Probezeit sowie während laufenden Strafverfahrens rückfällig geworden. Er sei uneinsichtig und unbelehrbar. Deshalb erweise sich eine Geldstrafe bei keinem der Körperverletzungsdelikte als geeignet, in genügendem Mass präventiv auf ihn einzuwirken und ihn vor künftiger Delinquenz abzuhalten. Vielmehr sei einzig eine Freiheitsstrafe zweckmässig. Wie die Vorinstanz schlüssig ausführt, rechtfertigt sich in Bezug auf
den Raufhandel eine Gesamtbetrachtung aufgrund des sehr nahen sachlichen und zeitlichen Zusammenhangs mit der mehrfachen versuchten schweren Körperverletzung.
Dem hält der Beschwerdeführer entgegen, dass die Vorstrafen beinahe zehn Jahre zurückliegen und dass er sich damals in einem anderen Lebensabschnitt befunden habe. Es sei davon auszugehen, dass auch die Verurteilung zu einer Geldstrafe genügend Wirkung zeigen werde. Damit zeigt der Beschwerdeführer nicht auf, dass die Vorinstanz ihr Ermessen überschritten oder missbraucht und damit Bundesrecht verletzt hätte. Das Bundesgericht greift nur mit Zurückhaltung in die Strafzumessung ein. Entgegen dem Beschwerdeführer durfte die Vorinstanz mit dieser Begründung auch für den Raufhandel eine Freiheitsstrafe aussprechen.

4.2.3. Der Beschwerdeführer bringt vor, die Strafe hätte wegen Verletzung des Beschleunigungsgebots weiter reduziert werden müssen.
Folgen einer Verletzung des Beschleunigungsgebots sind meistens die Strafreduktion, manchmal der Verzicht auf Strafe oder, als ultima ratio in Extremfällen, die Einstellung des Verfahrens (BGE 143 IV 373 E. 1.4.1; 135 IV 12 E. 3.6; 133 IV 158 E. 8; 130 I 312 E. 5.3; 130 IV 54 E. 3.3.1; 117 IV 124 E. 4d; Urteil 6B 462/2014 vom 27. August 2015 E. 1.3, nicht publ. in: BGE 141 IV 369; je mit Hinweisen). Bei der Frage nach der sachgerechten Folge ist zu berücksichtigen, wie schwer die beschuldigte Person durch die Verfahrensverzögerung getroffen wurde, wie gravierend die ihr vorgeworfenen Taten sind und welche Strafe ausgesprochen werden müsste, wenn das Beschleunigungsgebot nicht verletzt worden wäre. Rechnung zu tragen ist auch den Interessen der Geschädigten und der Komplexität des Falls. Schliesslich ist in Betracht zu ziehen, wer die Verfahrensverzögerung zu vertreten hat (BGE 143 IV 373 E. 1.4.1; 117 IV 124 E. 4e).
Die Vorinstanz hält fest, die Staatsanwaltschaft sei über zwei Jahre untätig geblieben, nachdem sie den Ermittlungsbericht zum Vorfall auf dem Parkplatz "Oberes Mätteli" erhalten habe. Auch nach dem Erhalt des Ermittlungsberichts zum Vorfall beim Restaurant "Dreiegg" habe die Staatsanwaltschaft knapp zwei Jahre nichts unternommen. Allerdings sei nicht ausser Acht zu lassen, dass mehrere Beschuldigte teilweise unbekannten Aufenthalts gewesen seien. Schliesslich reduziert die Vorinstanz die Freiheitsstrafe um 6 Monate auf 28 Monate.
Der Beschwerdeführer legt nicht dar, weshalb diese Strafreduktion nicht hinreichend wäre. Er behauptet bloss, dass die vorgenommen Strafreduktion "von rund 18 %" nicht genüge. Weshalb dem so sein soll, erklärt er nicht. Mit der vorinstanzlichen Begründung setzt er sich nicht auseinander. Die Rüge ist unbegründet.

4.2.4. Schliesslich deponiert der Beschwerdeführer "ein paar Überlegungen zum Vollzug einer allfälligen Freiheitsstrafe". Die lange Verfahrensdauer dürfe sich für den Beschwerdeführer nicht als Nachteil erweisen. Wäre der Sachverhalt "Oberes Mätteli" ohne den Vorfall beim "Dreiegg" beurteilt worden, wäre nach Ansicht des Beschwerdeführers mit grosser Wahrscheinlichkeit eine bedingte Strafe ausgesprochen worden. Wäre dann der Vorfall beim "Dreiegg" separat beurteilt worden, wäre gemäss Beschwerdeführer allenfalls aufgrund der Vorstrafe aus dem Fall "Oberes Mätteli" eine teilbedingte Strafe ausgesprochen worden.
Die Vorinstanz begründet überzeugend, weshalb sie die Freiheitsstrafe unbedingt ausspricht. Sie hält fest, der Beschwerdeführer zeige keine echte Einsicht und Reue. Vielmehr sehe er sich als Opfer, das sich verteidigen müsse. An der Schlusseinvernahme habe er nicht ausschliessen können, dass ihn auch in Zukunft jemand angreife, "eins auf das Maul" bekomme und ihn dann anzeige. Gemäss Vorinstanz lernt der Beschwerdeführer anscheinend nichts aus seinen Taten. Er zeige keine Einsicht in die völlig unverhältnismässige Ausübung von Gewalt. Zudem sei er einschlägig vorbestraft und habe während laufenden Strafverfahrens weiter delinquiert. Auch gehe er keiner geregelten Arbeit mit stabilisierender Tagesstruktur nach und beanspruche Sozialhilfe. In Anbetracht der Schwere der wiederholt begangenen Delikte gegen Leib und Leben sei daher eine unbedingte Freiheitsstrafe unumgänglich. Auch ein Teilvollzug würde die Legalprognose nicht wesentlich verbessern. Der Beschwerdeführer zeigt mit seinen hypothetischen Vorbringen nicht auf, inwiefern diese schlüssigen Erwägungen zu beanstanden wären.

4.3. Nach dem Gesagten hält die vorinstanzliche Strafzumessung vor Bundesrecht stand.

5.
Der Beschwerdeführer beantragt, ihm seien nur die Untersuchungskosten aufzuerlegen, nicht aber die kantonalen Gerichtskosten. Diesen Antrag begründet er nicht. Darauf ist nicht einzugehen, zumal die Schuldsprüche (vgl. E. 3 hiervor) und die Strafzumessung (vgl. E. 4 hiervor) Bestand haben.

6.
Die Beschwerde ist abzuweisen, soweit darauf einzutreten ist. Ausgangsgemäss trägt der Beschwerdeführer die Gerichtskosten, da sein Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege infolge Aussichtslosigkeit abzuweisen ist. Seinen finanziellen Verhältnissen ist bei der Kostenfestsetzung Rechnung zu tragen (Art. 65
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
1    Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
2    L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière.
3    Son montant est fixé en règle générale:
a  entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations.
4    Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent:
a  des prestations d'assurance sociale;
b  des discriminations à raison du sexe;
c  des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs;
d  des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés25.
5    Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4.
und Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf eingetreten wird.

2.
Das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege wird abgewiesen.

3.
Der Beschwerdeführer trägt die Gerichtskosten von Fr. 1'200.--.

4.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Obergericht des Kantons Thurgau schriftlich mitgeteilt.

Lausanne, 11. Januar 2023

Im Namen der Strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Die Präsidentin: Jacquemoud-Rossari

Der Gerichtsschreiber: Matt