Tribunal administratif fédéral
Tribunale amministrativo federale
Tribunal administrativ federal
Cour III
C-3196/2018
Arrêt du 23 novembre 2021
Caroline Gehring (présidente du collège),
Composition Michela Bürki Moreni, Daniel Stufetti, juges,
Jean-Luc Bettin, greffier.
A._______, (France),
Parties représenté par leComité de protection des travailleurs frontaliers européens,
recourant,
contre
Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (OAIE),
autorité inférieure.
Assurance-invalidité, droit à la rente
Objet
(décision du 2 mai 2018).
Faits :
A.
A._______ (ci-après : l'assuré, l'intéressé ou le recourant), ressortissant français né le (...) 1977 (pce AI 1, p. 8), titulaire d'un Brevet d'Etudes Professionnelles Agricoles, d'un Brevet de Technicien Agricole et d'un Brevet de Technicien Supérieur Agricole acquis respectivement en 1995, 1997 et 1999 (pce AI 3, p. 5 à 7), a travaillé en Suisse, en qualité de paysagiste (« Gartenarbeiter ») pour le compte de plusieurs employeurs différents, de 2001 à 2010 (pce AI 5), et a cotisé aux assurances sociales suisses.
L'assuré vit en partenariat enregistré depuis le mois de juillet 2003 et est père d'un enfant, né en (...) 2007 (pce AI 1, p. 1 et 10, et 3, p. 1). Il réside en France voisine, dans une commune du Département B._______.
B.
Le 10 août 2010, l'assuré a subi un traumatisme à la cheville gauche en sautant d'un camion dans le cadre de son activité professionnelle, sans épisode de torsion mais du seul fait de l'impact au moment de la réception. Douze ans auparavant, cette cheville avait été opérée. Le chirurgien en charge de l'opération avait alors procédé à une ligamentoplastie permettant une stabilisation de la cheville. A la suite de l'incident du 10 août 2010, malgré les traitements prodigués, l'intéressé n'a jamais repris son travail de paysagiste en raison de phénomènes douloureux (pce AI 2, p. 8 ; voir, également, pce AI 67, p. 12) et a perçu des prestations de l'assurance perte de gain maladie entre janvier 2011 et septembre 2012 (voir, à ce propos, le dossier C._______ [pce AI 117, en particulier p. 11 et 12] ; cf. également pces AI 13 [tout particulièrement ch. 2 de la note : « Die C._______ bezahlt ab dem 01.01.2011 im Sinne einer Vorleistung ein Krankentaggeld über den betrieblichen Kollektivvertrag »] et 21).
C.
C.a Le 26 septembre 2011, A._______ a déposé, au moyen du formulaire idoine, une demande de prestations de l'assurance-invalidité suisse auprès de l'Office de l'assurance-invalidité du canton D._______ invoquant une lésion de la syndesmose du pied gauche suivie d'arthrose, consécutive au traumatisme du 10 août 2010. Il y a notamment indiqué être en incapacité complète de travail depuis le 20 janvier 2011 (pce AI 1).
C.b Le 30 septembre 2011, le contrat de travail liant l'intéressé à la société E._______, à (...), qui l'employait depuis le mois de mai 2004, a pris fin, ayant fait l'objet d'une résiliation par l'employeur (pce AI 10, p. 1).
D.
D.a A compter du mois d'octobre 2012, A._______ a bénéficié de prestations de l'assurance-invalidité suisse qui a pris en charge, avec suite d'indemnités journalières, les mesures de réadaptation rendues nécessaires au regard des conséquences durables de l'accident du 10 août 2010 sur sa capacité de travail dans son métier d'origine de paysagiste (voir les décisions d'indemnité journalière versées au dossier, notamment, en pces AI 34, 36, 38, 46, 48, 52, 53, 56, 58, 61, 75, 78). Dans ce cadre, l'assuré a fréquenté le Centre de Réadaptation de F._______, effectué un stage de pré-orientation entre le 22 octobre 2012 et le 25 janvier 2013 dans la perspective d'une réorientation professionnelle en qualité de « professeur des écoles » (cf. conventions de stage des 7 décembre 2012 [pce AI 43, p. 26 et 27] et 11 décembre 2012 [pce AI 42, p. 24 et 25]). Le séjour de pré-orientation a fait l'objet d'un rapport daté du 18 juillet 2013 (pce AI 67).
D.b En septembre 2013, l'assuré, suite au stage de pré-orientation cité précédemment (ci-dessus, let. D.a), a débuté une formation d'enseignant (école primaire/élémentaire) auprès de l'Institut Universitaire de Formation des Maîtres, à (...), lequel est intégré à l'Université de (...). Cette mesure de réadaptation a été prise en charge par l'assurance-invalidité suisse (pces AI 72, 78, 88). Au terme de trois années d'études, A._______ a obtenu, en date du 10 mai 2016, une maîtrise (Master) de « Sciences humaines et sociales, Mention Métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation 1erdegré » (pce AI 100, p. 4). Ce diplôme a fait l'objet d'une procédure de reconnaissance en Suisse (pces AI 101 et 102).
D.c Par arrêté de la directrice académique des services de l'éducation nationale B._______ du 24 juin 2016, A._______ a été titularisé en qualité de professeur des écoles de classe normale (pce AI 100, p. 6).
D.d Après l'obtention de son diplôme, la reconnaissance de ce dernier par les autorités helvétiques et sa titularisation, l'intéressé a déclaré s'être annoncé auprès des autorités compétentes du canton G._______ pour y effectuer des remplacements et chercher du travail dans les cantons H._______, I._______ et J._______. Ce nonobstant, il n'a plus repris d'emploi en raison de douleurs chroniques à la cheville gauche, lesquelles l'empêchaient de travailler à plein temps (cf. lettre de l'assuré du 18 décembre 2017 ; pce AI 132, p. 3). Aussi l'Office AI D._______ a-t-il examiné le droit éventuel de l'assuré à une rente.
E.
E.a Au terme de l'instruction de la cause (pour un exposé détaillé des pièces médicales ressortant de l'instruction, cf. ci-dessous, consid. 8), le dossier médical de l'assuré a été soumis, en date du 28 mars 2017, au Dr K._______, spécialiste en chirurgie orthopédique et traumatologie de l'appareil locomoteur, médecin SMR (pce AI 120).
E.b Dans son rapport du 17 août 2017, le Dr K._______ a retenu comme diagnostic avec répercussion sur la capacité de travail de l'assuré, une arthrose de l'articulation de la cheville gauche entraînant une incapacité de travail de 100 % à compter du 10 août 2010 dans l'activité exercée de paysagiste, mais laissant persister une capacité entière de travail dans une activité adaptée depuis le 1er octobre 2012. Il a précisé que l'affirmation de la personne assurée selon laquelle elle n'était plus apte à travailler dans une activité adaptée était infondée sur le plan médical, l'arthrose au niveau de la cheville pouvant, en cas de douleurs insupportables au repos, être traitée par voie d'arthrodèse (pce AI 121).
F.
F.a Le 20 septembre 2017, l'Office AI D._______ a adressé un projet de décision à A._______. Il y reprenait les conclusions du médecin SMR formulées le 17 août 2017 (ci-dessus, let. E.b), à savoir une incapacité de travail de 100 % dans l'activité habituelle à compter du 10 août 2010 (début du délai d'attente), mais une capacité de travail à 100 % dans une activité adaptée s'exerçant principalement en position assise et favorisant l'alternance spontanée des positions depuis le 1er octobre 2012. Procédant à une évaluation de l'invalidité, l'Office AI D._______ est parvenu à la conclusion que l'assuré disposait d'un taux d'invalidité (diminution de la capacité de gain) de 100 % du 10 août 2011 au 30 septembre 2012 et de 9 % à compter du 1er octobre 2012, fondant, à l'issue du délai d'attente de 6 mois (art. 29 al. 1
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SR 831.20 Bundesgesetz vom 19. Juni 1959 über die Invalidenversicherung (IVG) IVG Art. 29 Beginn des Anspruchs und Auszahlung der Rente - 1 Der Rentenanspruch entsteht frühestens nach Ablauf von sechs Monaten nach Geltendmachung des Leistungsanspruchs nach Artikel 29 Absatz 1 ATSG216, jedoch frühestens im Monat, der auf die Vollendung des 18. Altersjahres folgt. |
|
1 | Der Rentenanspruch entsteht frühestens nach Ablauf von sechs Monaten nach Geltendmachung des Leistungsanspruchs nach Artikel 29 Absatz 1 ATSG216, jedoch frühestens im Monat, der auf die Vollendung des 18. Altersjahres folgt. |
2 | Der Anspruch entsteht nicht, solange die versicherte Person ein Taggeld nach Artikel 22 beanspruchen kann. |
3 | Die Rente wird vom Beginn des Monats an ausbezahlt, in dem der Rentenanspruch entsteht. |
4 | Beträgt der Invaliditätsgrad weniger als 50 Prozent, so werden die entsprechenden Renten nur an Versicherte ausbezahlt, die ihren Wohnsitz und ihren gewöhnlichen Aufenthalt (Art. 13 ATSG) in der Schweiz haben. Diese Voraussetzung ist auch von Angehörigen zu erfüllen, für die eine Leistung beansprucht wird. |
F.b
F.b.a Dans un écrit daté du 19 octobre 2017, A._______, agissant par l'entremise du Comité de protection des travailleurs frontaliers européens (C.P.T.F.E), a contesté le projet de décision du 20 septembre 2017, s'appuyant sur un avis médical du 10 octobre 2017 du Dr L._______, rhumatologue à (...) (pce AI 123).
Ce document a été communiqué au Dr K._______, médecin SMR, lequel a estimé, le 27 octobre 2017, qu'il n'entraînait pas de modification des conclusions qu'il avait prises dans son rapport du 17 août 2017 (pce AI 126).
F.b.b Le 2 novembre 2017, l'assuré a complété sa prise de position du 19 octobre 2017 par, notamment, la production d'un écrit de M._______, docteur en psychologie (pce AI 129).
F.c Le 1er novembre 2017, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après : OAIE) a communiqué à l'Office AI D._______, comme objet de sa compétence, un rapport médical du service d'orthopédie et de traumatologie de l'Hôpital cantonal N._______ (« Kantonsspital N._______ »), daté du 12 octobre 2017, portant sur l'état de santé de A._______ (pce AI 127).
F.d Les documents précités ont été portés à la connaissance du Dr K._______, lequel s'est déterminé à leur propos dans un rapport SMR complémentaire daté du 14 novembre 2017 et a exposé les raisons pour lesquelles il confirmait ses précédentes prises de position, des 17 août et 27 octobre 2017 (cf. ci-dessus, let. E.b et F.b.a ; pce AI 130).
G.
Par décision du 2 mai 2018, l'OAIE, se basant sur les considérations du projet de décision du 20 septembre 2017 (ci-dessus, let. F.a), a partiellement admis la requête de prestations d'invalidité formulée par A._______, reconnaissant à ce dernier le droit à bénéficier d'une rente entière d'invalidité assortie d'une rente pour enfant liée à celle du père durant la période allant du 1er mars au 31 décembre 2012. Le droit à la rente était limité à cette date, l'OAIE ayant, au-delà de celle-ci, considéré le degré d'invalidité insuffisant - taux d'invalidité de 9 % - pour justifier l'octroi d'une rente d'invalidité (pce AI 135).
H.
A l'encontre de cette décision, par mémoire du 29 mai 2018 (date du sceau postal), A._______, représenté par le Comité de protection des travailleurs frontaliers européens, a interjeté recours, contestant être en mesure de reprendre une activité professionnelle - même adaptée - à plein temps et concluant ainsi implicitement à ce qu'une rente entière d'invalidité continue de lui être servie à compter du 1er janvier 2013 (pce TAF 1 et annexes).
I.
I.a Par décision incidente du 5 juin 2018, le Tribunal de céans a invité le recourant à s'acquitter d'une avance, d'un montant de 800 francs, sur les frais présumés de la procédure (pce TAF 2).
I.b Le 25 juin 2018, soit dans le délai imparti, A._______ a versé le montant requis (pce TAF 4).
J.
Invitée par ordonnance du Tribunal du 3 juillet 2018 (pce TAF 5) à prendre position sur le recours interjeté le 29 mai 2018, l'OAIE (ci-après aussi : autorité inférieure), dans une réponse datée du 19 juillet 2018, a conclu à son rejet.
En annexe à son écriture, elle a versé en cause les observations de l'Office D._______ du 17 juillet 2018 (pce TAF 7 et annexe).
K.
Le 14 août 2018, le recourant, agissant par l'entremise de son mandataire, a répliqué, déclarant implicitement persister dans ses conclusions (pce TAF 10 et annexes [procuration et quatre pièces médicales]). Dite réplique a été spontanément complétée par deux écritures, respectivement datées des 11 et 28 septembre 2018 (pces TAF 11 et 13 [avec annexe]).
Le recourant a joint à ses différentes écritures cinq pièces médicales complémentaires, dont quatre sont antérieures à la décision entreprise.
L.
Le 18 octobre 2018, l'autorité inférieure a dupliqué, concluant au rejet du recours (pce TAF 15).
En annexe, elle a versé en cause les observations complémentaires de l'Office D._______ des 4 octobre et 15 octobre 2018 ainsi que l'avis médical actualisé du Dr K._______, médecin SMR, daté du 3 octobre 2018 (annexes pce TAF 15).
M.
En date du 24 novembre 2018 (date du sceau postal), le recourant a adressé au Tribunal un courrier, daté du 23 novembre 2018, confirmant contester, sur la base de l'avis de son médecin généraliste, l'évaluation faite par l'autorité inférieure. En raison de ses douleurs quotidiennes, douleurs que les anti-inflammatoires n'arrivent selon lui plus à soulager, A._______ se déplace avec une canne et ne peut pas rester longtemps en position debout, de sorte qu'il estime ne pas être en capacité de travailler à temps complet dans une activité adaptée, contrairement à ce que l'autorité inférieure a retenu. Le recourant a au surplus informé souffrir d'une inflammation du nerf sciatique qui serait très vraisemblablement la conséquence de ses difficultés à garder une posture correcte dans sa vie de tous les jours en raison de son pied gauche, inflammation entraînant un arrêt complet de travail (pce TAF 18 et annexe).
N.
Par ordonnance du 29 novembre 2018, le Tribunal a porté l'écriture précitée à la connaissance de l'OAIE et a clos l'échange des écritures (pce TAF 19).
O.
En tant que besoin, les autres faits pertinents seront examinés dans les considérants en droit ci-dessous.
Droit :
1.
1.1 Le Tribunal examine d'office et avec une pleine cognition sa compétence et les conditions de recevabilité des recours qui lui sont soumis (art. 7
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SR 172.021 Bundesgesetz vom 20. Dezember 1968 über das Verwaltungsverfahren (Verwaltungsverfahrensgesetz, VwVG) - Verwaltungsverfahrensgesetz VwVG Art. 7 - 1 Die Behörde prüft ihre Zuständigkeit von Amtes wegen. |
|
1 | Die Behörde prüft ihre Zuständigkeit von Amtes wegen. |
2 | Die Begründung einer Zuständigkeit durch Einverständnis zwischen Behörde und Partei ist ausgeschlossen. |
1.2 Sous réserve des exceptions - non réalisées en l'espèce - prévues à l'art. 32
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SR 173.32 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesverwaltungsgericht (Verwaltungsgerichtsgesetz, VGG) - Verwaltungsgerichtsgesetz VGG Art. 32 Ausnahmen - 1 Die Beschwerde ist unzulässig gegen: |
|
1 | Die Beschwerde ist unzulässig gegen: |
a | Verfügungen auf dem Gebiet der inneren und äusseren Sicherheit des Landes, der Neutralität, des diplomatischen Schutzes und der übrigen auswärtigen Angelegenheiten, soweit das Völkerrecht nicht einen Anspruch auf gerichtliche Beurteilung einräumt; |
b | Verfügungen betreffend die politische Stimmberechtigung der Bürger und Bürgerinnen sowie Volkswahlen und -abstimmungen; |
c | Verfügungen über leistungsabhängige Lohnanteile des Bundespersonals, soweit sie nicht die Gleichstellung der Geschlechter betreffen; |
d | ... |
e | Verfügungen auf dem Gebiet der Kernenergie betreffend: |
e1 | Rahmenbewilligungen von Kernanlagen, |
e2 | die Genehmigung des Entsorgungsprogramms, |
e3 | den Verschluss von geologischen Tiefenlagern, |
e4 | den Entsorgungsnachweis; |
f | Verfügungen über die Erteilung oder Ausdehnung von Infrastrukturkonzessionen für Eisenbahnen; |
g | Verfügungen der unabhängigen Beschwerdeinstanz für Radio und Fernsehen; |
h | Verfügungen über die Erteilung von Konzessionen für Spielbanken; |
i | Verfügungen über die Erteilung, Änderung oder Erneuerung der Konzession für die Schweizerische Radio- und Fernsehgesellschaft (SRG); |
j | Verfügungen über die Beitragsberechtigung einer Hochschule oder einer anderen Institution des Hochschulbereichs. |
2 | Die Beschwerde ist auch unzulässig gegen: |
a | Verfügungen, die nach einem anderen Bundesgesetz durch Einsprache oder durch Beschwerde an eine Behörde im Sinne von Artikel 33 Buchstaben c-f anfechtbar sind; |
b | Verfügungen, die nach einem anderen Bundesgesetz durch Beschwerde an eine kantonale Behörde anfechtbar sind. |
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SR 173.32 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesverwaltungsgericht (Verwaltungsgerichtsgesetz, VGG) - Verwaltungsgerichtsgesetz VGG Art. 31 Grundsatz - Das Bundesverwaltungsgericht beurteilt Beschwerden gegen Verfügungen nach Artikel 5 des Bundesgesetzes vom 20. Dezember 196819 über das Verwaltungsverfahren (VwVG). |
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SR 173.32 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesverwaltungsgericht (Verwaltungsgerichtsgesetz, VGG) - Verwaltungsgerichtsgesetz VGG Art. 33 Vorinstanzen - Die Beschwerde ist zulässig gegen Verfügungen: |
|
a | des Bundesrates und der Organe der Bundesversammlung auf dem Gebiet des Arbeitsverhältnisses des Bundespersonals einschliesslich der Verweigerung der Ermächtigung zur Strafverfolgung; |
b | des Bundesrates betreffend: |
b1 | die Amtsenthebung eines Mitgliedes des Bankrats, des Direktoriums oder eines Stellvertreters oder einer Stellvertreterin nach dem Nationalbankgesetz vom 3. Oktober 200325, |
b2 | die Abberufung eines Verwaltungsratsmitgliedes der Eidgenössischen Finanzmarktaufsicht oder die Genehmigung der Auflösung des Arbeitsverhältnisses der Direktorin oder des Direktors durch den Verwaltungsrat nach dem Finanzmarktaufsichtsgesetz vom 22. Juni 200726, |
b3 | die Sperrung von Vermögenswerten gestützt auf das Bundesgesetz vom 18. Dezember 201528 über die Sperrung und die Rückerstattung unrechtmässig erworbener Vermögenswerte ausländischer politisch exponierter Personen, |
b4 | das Verbot von Tätigkeiten nach dem NDG30, |
c | des Bundesstrafgerichts auf dem Gebiet des Arbeitsverhältnisses seiner Richter und Richterinnen und seines Personals; |
cbis | des Bundespatentgerichts auf dem Gebiet des Arbeitsverhältnisses seiner Richter und Richterinnen und seines Personals; |
cquater | des Bundesanwaltes oder der Bundesanwältin auf dem Gebiet des Arbeitsverhältnisses der von ihm oder ihr gewählten Staatsanwälte und Staatsanwältinnen sowie des Personals der Bundesanwaltschaft; |
cquinquies | der Aufsichtsbehörde über die Bundesanwaltschaft auf dem Gebiet des Arbeitsverhältnisses ihres Sekretariats; |
cter | der Aufsichtsbehörde über die Bundesanwaltschaft auf dem Gebiet des Arbeitsverhältnisses der von der Vereinigten Bundesversammlung gewählten Mitglieder der Bundesanwaltschaft; |
d | der Bundeskanzlei, der Departemente und der ihnen unterstellten oder administrativ zugeordneten Dienststellen der Bundesverwaltung; |
e | der Anstalten und Betriebe des Bundes; |
f | der eidgenössischen Kommissionen; |
g | der Schiedsgerichte auf Grund öffentlich-rechtlicher Verträge des Bundes, seiner Anstalten und Betriebe; |
h | der Instanzen oder Organisationen ausserhalb der Bundesverwaltung, die in Erfüllung ihnen übertragener öffentlich-rechtlicher Aufgaben des Bundes verfügen; |
i | kantonaler Instanzen, soweit ein Bundesgesetz gegen ihre Verfügungen die Beschwerde an das Bundesverwaltungsgericht vorsieht. |
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SR 831.20 Bundesgesetz vom 19. Juni 1959 über die Invalidenversicherung (IVG) IVG Art. 69 Besonderheiten der Rechtspflege - 1 In Abweichung von den Artikeln 52 und 58 ATSG414 sind die nachstehenden Verfügungen wie folgt anfechtbar: |
|
1 | In Abweichung von den Artikeln 52 und 58 ATSG414 sind die nachstehenden Verfügungen wie folgt anfechtbar: |
a | Verfügungen der kantonalen IV-Stellen: direkt vor dem Versicherungsgericht am Ort der IV-Stelle; |
b | Verfügungen der IV-Stelle für Versicherte im Ausland: direkt beim Bundesverwaltungsgericht.416 |
1bis | Das Beschwerdeverfahren bei Streitigkeiten über IV-Leistungen vor dem kantonalen Versicherungsgericht ist kostenpflichtig.417 Die Kosten werden nach dem Verfahrensaufwand und unabhängig vom Streitwert im Rahmen von 200-1000 Franken festgelegt.418 |
2 | Absatz 1bis sowie Artikel 85bis Absatz 3 AHVG419 gelten sinngemäss für das Verfahren vor dem Bundesverwaltungsgericht.420 |
3 | Gegen Entscheide der kantonalen Schiedsgerichte nach Artikel 27quinquies kann nach Massgabe des Bundesgerichtsgesetzes vom 17. Juni 2005421 beim Bundesgericht Beschwerde geführt werden.422 |
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SR 172.021 Bundesgesetz vom 20. Dezember 1968 über das Verwaltungsverfahren (Verwaltungsverfahrensgesetz, VwVG) - Verwaltungsverfahrensgesetz VwVG Art. 5 - 1 Als Verfügungen gelten Anordnungen der Behörden im Einzelfall, die sich auf öffentliches Recht des Bundes stützen und zum Gegenstand haben: |
|
1 | Als Verfügungen gelten Anordnungen der Behörden im Einzelfall, die sich auf öffentliches Recht des Bundes stützen und zum Gegenstand haben: |
a | Begründung, Änderung oder Aufhebung von Rechten oder Pflichten; |
b | Feststellung des Bestehens, Nichtbestehens oder Umfanges von Rechten oder Pflichten; |
c | Abweisung von Begehren auf Begründung, Änderung, Aufhebung oder Feststellung von Rechten oder Pflichten oder Nichteintreten auf solche Begehren. |
2 | Als Verfügungen gelten auch Vollstreckungsverfügungen (Art. 41 Abs. 1 Bst. a und b), Zwischenverfügungen (Art. 45 und 46), Einspracheentscheide (Art. 30 Abs. 2 Bst. b und 74), Beschwerdeentscheide (Art. 61), Entscheide im Rahmen einer Revision (Art. 68) und die Erläuterung (Art. 69).25 |
3 | Erklärungen von Behörden über Ablehnung oder Erhebung von Ansprüchen, die auf dem Klageweg zu verfolgen sind, gelten nicht als Verfügungen. |
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SR 173.32 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesverwaltungsgericht (Verwaltungsgerichtsgesetz, VGG) - Verwaltungsgerichtsgesetz VGG Art. 37 Grundsatz - Das Verfahren vor dem Bundesverwaltungsgericht richtet sich nach dem VwVG56, soweit dieses Gesetz nichts anderes bestimmt. |
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SR 172.021 Bundesgesetz vom 20. Dezember 1968 über das Verwaltungsverfahren (Verwaltungsverfahrensgesetz, VwVG) - Verwaltungsverfahrensgesetz VwVG Art. 3 - Dieses Gesetz findet keine Anwendung auf: |
|
a | das Verfahren von Behörden im Sinne von Artikel 1 Absatz 2 Buchstabe e, soweit gegen ihre Verfügungen die Beschwerde unmittelbar an eine Bundesbehörde unzulässig ist; |
b | das erstinstanzliche Verfahren der erstmaligen Begründung des Dienstverhältnisses von Bundespersonal, der Beförderung von Bundespersonal, der dienstlichen Anordnungen an das Bundespersonal16 und das Verfahren der Ermächtigung zur Strafverfolgung gegen Bundespersonal; |
c | das erstinstanzliche Verwaltungsstrafverfahren und das gerichtspolizeiliche Ermittlungsverfahren; |
d | das Verfahren der Militärstrafrechtspflege einschliesslich der Militärdisziplinarrechtspflege, das Verfahren in militärischen Kommandosachen nach Artikel 37 sowie Verfahren nach den Artikeln 38 und 39 des Militärgesetzes vom 3. Februar 199518,19 ...20; |
dbis | das Verfahren in Sozialversicherungssachen, soweit das Bundesgesetz vom 6. Oktober 200022 über den Allgemeinen Teil des Sozialversicherungsrechts anwendbar ist; |
e | das Verfahren der Zollveranlagung; |
ebis | ... |
f | das erstinstanzliche Verfahren in anderen Verwaltungssachen, wenn deren Natur die Erledigung auf der Stelle durch sofort vollstreckbare Verfügung erfordert. |
1.3 En l'espèce, interjeté en temps utile et dans les formes requises (art. 60
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SR 830.1 Bundesgesetz vom 6. Oktober 2000 über den Allgemeinen Teil des Sozialversicherungsrechts (ATSG) ATSG Art. 60 Beschwerdefrist - 1 Die Beschwerde ist innerhalb von 30 Tagen nach der Eröffnung des Einspracheentscheides oder der Verfügung, gegen welche eine Einsprache ausgeschlossen ist, einzureichen. |
|
1 | Die Beschwerde ist innerhalb von 30 Tagen nach der Eröffnung des Einspracheentscheides oder der Verfügung, gegen welche eine Einsprache ausgeschlossen ist, einzureichen. |
2 | Die Artikel 38-41 sind sinngemäss anwendbar. |
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SR 172.021 Bundesgesetz vom 20. Dezember 1968 über das Verwaltungsverfahren (Verwaltungsverfahrensgesetz, VwVG) - Verwaltungsverfahrensgesetz VwVG Art. 52 - 1 Die Beschwerdeschrift hat die Begehren, deren Begründung mit Angabe der Beweismittel und die Unterschrift des Beschwerdeführers oder seines Vertreters zu enthalten; die Ausfertigung der angefochtenen Verfügung und die als Beweismittel angerufenen Urkunden sind beizulegen, soweit der Beschwerdeführer sie in Händen hat. |
|
1 | Die Beschwerdeschrift hat die Begehren, deren Begründung mit Angabe der Beweismittel und die Unterschrift des Beschwerdeführers oder seines Vertreters zu enthalten; die Ausfertigung der angefochtenen Verfügung und die als Beweismittel angerufenen Urkunden sind beizulegen, soweit der Beschwerdeführer sie in Händen hat. |
2 | Genügt die Beschwerde diesen Anforderungen nicht oder lassen die Begehren des Beschwerdeführers oder deren Begründung die nötige Klarheit vermissen und stellt sich die Beschwerde nicht als offensichtlich unzulässig heraus, so räumt die Beschwerdeinstanz dem Beschwerdeführer eine kurze Nachfrist zur Verbesserung ein. |
3 | Sie verbindet diese Nachfrist mit der Androhung, nach unbenutztem Fristablauf auf Grund der Akten zu entscheiden oder, wenn Begehren, Begründung oder Unterschrift fehlen, auf die Beschwerde nicht einzutreten. |
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SR 172.021 Bundesgesetz vom 20. Dezember 1968 über das Verwaltungsverfahren (Verwaltungsverfahrensgesetz, VwVG) - Verwaltungsverfahrensgesetz VwVG Art. 48 - 1 Zur Beschwerde ist berechtigt, wer: |
|
1 | Zur Beschwerde ist berechtigt, wer: |
a | vor der Vorinstanz am Verfahren teilgenommen hat oder keine Möglichkeit zur Teilnahme erhalten hat; |
b | durch die angefochtene Verfügung besonders berührt ist; und |
c | ein schutzwürdiges Interesse an deren Aufhebung oder Änderung hat. |
2 | Zur Beschwerde berechtigt sind ferner Personen, Organisationen und Behörden, denen ein anderes Bundesgesetz dieses Recht einräumt. |
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SR 172.021 Bundesgesetz vom 20. Dezember 1968 über das Verwaltungsverfahren (Verwaltungsverfahrensgesetz, VwVG) - Verwaltungsverfahrensgesetz VwVG Art. 63 - 1 Die Beschwerdeinstanz auferlegt in der Entscheidungsformel die Verfahrenskosten, bestehend aus Spruchgebühr, Schreibgebühren und Barauslagen, in der Regel der unterliegenden Partei. Unterliegt diese nur teilweise, so werden die Verfahrenskosten ermässigt. Ausnahmsweise können sie ihr erlassen werden. |
|
1 | Die Beschwerdeinstanz auferlegt in der Entscheidungsformel die Verfahrenskosten, bestehend aus Spruchgebühr, Schreibgebühren und Barauslagen, in der Regel der unterliegenden Partei. Unterliegt diese nur teilweise, so werden die Verfahrenskosten ermässigt. Ausnahmsweise können sie ihr erlassen werden. |
2 | Keine Verfahrenskosten werden Vorinstanzen oder beschwerdeführenden und unterliegenden Bundesbehörden auferlegt; anderen als Bundesbehörden, die Beschwerde führen und unterliegen, werden Verfahrenskosten auferlegt, soweit sich der Streit um vermögensrechtliche Interessen von Körperschaften oder autonomen Anstalten dreht. |
3 | Einer obsiegenden Partei dürfen nur Verfahrenskosten auferlegt werden, die sie durch Verletzung von Verfahrenspflichten verursacht hat. |
4 | Die Beschwerdeinstanz, ihr Vorsitzender oder der Instruktionsrichter erhebt vom Beschwerdeführer einen Kostenvorschuss in der Höhe der mutmasslichen Verfahrenskosten. Zu dessen Leistung ist dem Beschwerdeführer eine angemessene Frist anzusetzen unter Androhung des Nichteintretens. Wenn besondere Gründe vorliegen, kann auf die Erhebung des Kostenvorschusses ganz oder teilweise verzichtet werden.102 |
4bis | Die Spruchgebühr richtet sich nach Umfang und Schwierigkeit der Streitsache, Art der Prozessführung und finanzieller Lage der Parteien. Sie beträgt: |
a | in Streitigkeiten ohne Vermögensinteresse 100-5000 Franken; |
b | in den übrigen Streitigkeiten 100-50 000 Franken.103 |
5 | Der Bundesrat regelt die Bemessung der Gebühren im Einzelnen.104 Vorbehalten bleiben Artikel 16 Absatz 1 Buchstabe a des Verwaltungsgerichtsgesetzes vom 17. Juni 2005105 und Artikel 73 des Strafbehördenorganisationsgesetzes vom 19. März 2010106.107 |
2.
L'objet du litige porte sur la décision du 2 mai 2018 aux termes de laquelle l'OAIE a accordé une rente entière d'invalidité à A._______ du 1er mars au 31 décembre 2012. Ce dernier ne conteste pas le droit à la rente qui lui a été reconnu à compter du 1er mars 2012, mais fait grief à l'autorité inférieure d'avoir limité sa durée au 31 décembre 2012. La question décisive est par conséquent celle de savoir si l'OAIE pouvait exiger du recourant, à partir du 1er janvier 2013, une capacité entière de travail dans une activité adaptée en particulier dans celle d'enseignant d'école primaire dans laquelle il s'est reconverti.
3.
3.1 Selon l'art. 49
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SR 172.021 Bundesgesetz vom 20. Dezember 1968 über das Verwaltungsverfahren (Verwaltungsverfahrensgesetz, VwVG) - Verwaltungsverfahrensgesetz VwVG Art. 49 - Der Beschwerdeführer kann mit der Beschwerde rügen: |
|
a | Verletzung von Bundesrecht einschliesslich Überschreitung oder Missbrauch des Ermessens; |
b | unrichtige oder unvollständige Feststellung des rechtserheblichen Sachverhaltes; |
c | Unangemessenheit; die Rüge der Unangemessenheit ist unzulässig, wenn eine kantonale Behörde als Beschwerdeinstanz verfügt hat. |
3.2 La procédure dans le domaine des assurances sociales fait prévaloir la maxime inquisitoire (art. 43
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SR 830.1 Bundesgesetz vom 6. Oktober 2000 über den Allgemeinen Teil des Sozialversicherungsrechts (ATSG) ATSG Art. 43 Abklärung - 1 Der Versicherungsträger prüft die Begehren, nimmt die notwendigen Abklärungen von Amtes wegen vor und holt die erforderlichen Auskünfte ein. Mündlich erteilte Auskünfte sind schriftlich festzuhalten. |
|
1 | Der Versicherungsträger prüft die Begehren, nimmt die notwendigen Abklärungen von Amtes wegen vor und holt die erforderlichen Auskünfte ein. Mündlich erteilte Auskünfte sind schriftlich festzuhalten. |
1bis | Der Versicherungsträger bestimmt die Art und den Umfang der notwendigen Abklärungen.32 |
2 | Soweit ärztliche oder fachliche Untersuchungen für die Beurteilung notwendig und zumutbar sind, hat sich die versicherte Person diesen zu unterziehen. |
3 | Kommen die versicherte Person oder andere Personen, die Leistungen beanspruchen, den Auskunfts- oder Mitwirkungspflichten in unentschuldbarer Weise nicht nach, so kann der Versicherungsträger auf Grund der Akten verfügen oder die Erhebungen einstellen und Nichteintreten beschliessen. Er muss diese Personen vorher schriftlich mahnen und auf die Rechtsfolgen hinweisen; ihnen ist eine angemessene Bedenkzeit einzuräumen. |
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SR 172.021 Bundesgesetz vom 20. Dezember 1968 über das Verwaltungsverfahren (Verwaltungsverfahrensgesetz, VwVG) - Verwaltungsverfahrensgesetz VwVG Art. 12 - Die Behörde stellt den Sachverhalt von Amtes wegen fest und bedient sich nötigenfalls folgender Beweismittel: |
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a | Urkunden; |
b | Auskünfte der Parteien; |
c | Auskünfte oder Zeugnis von Drittpersonen; |
d | Augenschein; |
e | Gutachten von Sachverständigen. |
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SR 172.021 Bundesgesetz vom 20. Dezember 1968 über das Verwaltungsverfahren (Verwaltungsverfahrensgesetz, VwVG) - Verwaltungsverfahrensgesetz VwVG Art. 62 - 1 Die Beschwerdeinstanz kann die angefochtene Verfügung zugunsten einer Partei ändern. |
|
1 | Die Beschwerdeinstanz kann die angefochtene Verfügung zugunsten einer Partei ändern. |
2 | Zuungunsten einer Partei kann sie die angefochtene Verfügung ändern, soweit diese Bundesrecht verletzt oder auf einer unrichtigen oder unvollständigen Feststellung des Sachverhaltes beruht; wegen Unangemessenheit darf die angefochtene Verfügung nicht zuungunsten einer Partei geändert werden, ausser im Falle der Änderung zugunsten einer Gegenpartei. |
3 | Beabsichtigt die Beschwerdeinstanz, die angefochtene Verfügung zuungunsten einer Partei zu ändern, so bringt sie der Partei diese Absicht zur Kenntnis und räumt ihr Gelegenheit zur Gegenäusserung ein. |
4 | Die Begründung der Begehren bindet die Beschwerdeinstanz in keinem Falle. |
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SR 172.021 Bundesgesetz vom 20. Dezember 1968 über das Verwaltungsverfahren (Verwaltungsverfahrensgesetz, VwVG) - Verwaltungsverfahrensgesetz VwVG Art. 61 - 1 Die Beschwerdeinstanz entscheidet in der Sache selbst oder weist diese ausnahmsweise mit verbindlichen Weisungen an die Vorinstanz zurück. |
|
1 | Die Beschwerdeinstanz entscheidet in der Sache selbst oder weist diese ausnahmsweise mit verbindlichen Weisungen an die Vorinstanz zurück. |
2 | Der Beschwerdeentscheid enthält die Zusammenfassung des erheblichen Sachverhalts, die Begründung (Erwägungen) und die Entscheidungsformel (Dispositiv). |
3 | Er ist den Parteien und der Vorinstanz zu eröffnen. |
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SR 172.021 Bundesgesetz vom 20. Dezember 1968 über das Verwaltungsverfahren (Verwaltungsverfahrensgesetz, VwVG) - Verwaltungsverfahrensgesetz VwVG Art. 13 - 1 Die Parteien sind verpflichtet, an der Feststellung des Sachverhaltes mitzuwirken: |
|
1 | Die Parteien sind verpflichtet, an der Feststellung des Sachverhaltes mitzuwirken: |
a | in einem Verfahren, das sie durch ihr Begehren einleiten; |
b | in einem anderen Verfahren, soweit sie darin selbständige Begehren stellen; |
c | soweit ihnen nach einem anderen Bundesgesetz eine weitergehende Auskunfts- oder Offenbarungspflicht obliegt. |
1bis | Die Mitwirkungspflicht erstreckt sich nicht auf die Herausgabe von Gegenständen und Unterlagen aus dem Verkehr einer Partei mit ihrem Anwalt, wenn dieser nach dem Anwaltsgesetz vom 23. Juni 200034 zur Vertretung vor schweizerischen Gerichten berechtigt ist.35 |
2 | Die Behörde braucht auf Begehren im Sinne von Absatz 1 Buchstabe a oder b nicht einzutreten, wenn die Parteien die notwendige und zumutbare Mitwirkung verweigern. |
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SR 172.021 Bundesgesetz vom 20. Dezember 1968 über das Verwaltungsverfahren (Verwaltungsverfahrensgesetz, VwVG) - Verwaltungsverfahrensgesetz VwVG Art. 52 - 1 Die Beschwerdeschrift hat die Begehren, deren Begründung mit Angabe der Beweismittel und die Unterschrift des Beschwerdeführers oder seines Vertreters zu enthalten; die Ausfertigung der angefochtenen Verfügung und die als Beweismittel angerufenen Urkunden sind beizulegen, soweit der Beschwerdeführer sie in Händen hat. |
|
1 | Die Beschwerdeschrift hat die Begehren, deren Begründung mit Angabe der Beweismittel und die Unterschrift des Beschwerdeführers oder seines Vertreters zu enthalten; die Ausfertigung der angefochtenen Verfügung und die als Beweismittel angerufenen Urkunden sind beizulegen, soweit der Beschwerdeführer sie in Händen hat. |
2 | Genügt die Beschwerde diesen Anforderungen nicht oder lassen die Begehren des Beschwerdeführers oder deren Begründung die nötige Klarheit vermissen und stellt sich die Beschwerde nicht als offensichtlich unzulässig heraus, so räumt die Beschwerdeinstanz dem Beschwerdeführer eine kurze Nachfrist zur Verbesserung ein. |
3 | Sie verbindet diese Nachfrist mit der Androhung, nach unbenutztem Fristablauf auf Grund der Akten zu entscheiden oder, wenn Begehren, Begründung oder Unterschrift fehlen, auf die Beschwerde nicht einzutreten. |
4.
La présente procédure présente un aspect transnational dans la mesure où le recourant est un ressortissant français, domicilié en France et ayant travaillé en Suisse de 2001 à 2010 (ci-dessus, let. A).
4.1 La cause doit être tranchée non seulement au regard des normes du droit suisse mais également à l'aune des dispositions de l'accord du 21 juin 1999 sur la libre circulation des personnes (ALCP ; RS 0.142.112.681), conclu entre la Suisse et la Communauté européenne et ses Etats membres, dont l'annexe II règle la coordination des systèmes de sécurité sociale (art. 8
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IR 0.142.112.681 Abkommen vom 21. Juni 1999 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft einerseits und der Europäischen Gemeinschaft und ihren Mitgliedstaaten andererseits über die Freizügigkeit (mit Anhängen, Prot. und Schlussakte) FZA Art. 8 Koordinierung der Systeme der sozialen Sicherheit - Die Vertragsparteien regeln die Koordinierung der Systeme der sozialen Sicherheit gemäss Anhang II, um insbesondere Folgendes zu gewährleisten: |
|
a | Gleichbehandlung; |
b | Bestimmung der anzuwendenden Rechtsvorschriften; |
c | Zusammenrechnung aller nach den verschiedenen nationalen Rechtsvorschriften berücksichtigten Versicherungszeiten für den Erwerb und die Aufrechterhaltung des Leistungsanspruchs sowie für die Berechnung der Leistungen; |
d | Zahlung der Leistungen an Personen, die ihren Wohnsitz im Hoheitsgebiet der Vertragsparteien haben; |
e | Amtshilfe und Zusammenarbeit der Behörden und Einrichtungen. |
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IR 0.142.392.681.163 Vereinbarung vom 21. Juni 2010 zwischen dem Schweizerischen Bundesrat, handelnd durch das Eidgenössische Justiz- und Polizeidepartement, und dem Bundesministerium für Inneres der Republik Österreich über praktische Modalitäten zur erleichterten Anwendung der Verordnung (EG) Nr. 343/2003 des Rates vom 18. Februar 2003 zur Festlegung der Kriterien und Verfahren zur Bestimmung des Mitgliedstaates, der für die Prüfung eines von einem Drittstaatsangehörigen in einem Mitgliedstaat gestellten Asylantrags zuständig ist EG Art. 4 - (1) Überstellungen von Drittstaatsangehörigen im Rahmen des Verfahrens nach der Dublin-Verordnung und der Durchführungsverordnung werden auf dem Luftweg über jene internationalen Flughäfen, zwischen denen direkte Flugverbindungen bestehen oder auf dem Landweg abgewickelt. Überstellungen auf dem Landweg ist insbesondere dann der Vorzug zu geben, wenn dies für die Organisation des Vollzugs - beispielsweise aufgrund der örtlichen Gegebenheiten - zweckmäßig erscheint. Die Übergabe-/Übernahmemodalitäten werden durch die zuständigen Behörden im Einzelfall vereinbart, wobei auf die Bedürfnisse beider Seiten Rücksicht zu nehmen ist. |
4.2 De jurisprudence constante, l'octroi d'une rente étrangère d'invalidité - ce qui n'apparaît pas à l'analyse du dossier être le cas en l'espèce - ne préjuge pas l'appréciation de l'invalidité selon la loi suisse (arrêt du Tribunal fédéral I 435/02 du 4 février 2003 consid. 2). Même après l'entrée en vigueur de l'ALCP, le degré d'invalidité d'un assuré qui prétend à une rente de l'assurance-invalidité suisse est déterminé exclusivement d'après le droit suisse (ATF 130 V précité, ibid.).
4.3 Attendu que le recourant est domicilié en France voisine dans le département B._______ et que l'atteinte à la santé à la base de la requête de prestations d'invalidité est survenue alors qu'il exerçait une activité lucrative en Suisse, dans le canton J._______, c'est à juste titre qu'en raison du statut de frontalier de l'assuré, l'instruction de la rente d'invalidité a été menée par l'autorité compétente du canton J._______, l'Office D._______, et la décision querellée notifiée par l'OAIE (cf. art. 40 al. 2
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SR 831.201 Verordnung vom 17. Januar 1961 über die Invalidenversicherung (IVV) IVV Art. 40 - 1 Zuständig zur Entgegennahme und Prüfung der Anmeldungen ist: |
|
1 | Zuständig zur Entgegennahme und Prüfung der Anmeldungen ist: |
a | die IV-Stelle, in deren Tätigkeitsgebiet die Versicherten ihren Wohnsitz haben; |
b | für Versicherte, die ihren Wohnsitz im Ausland haben, unter Vorbehalt der Absätze 2 und 2bis die IV-Stelle für Versicherte im Ausland. |
2 | Zuständig zur Entgegennahme und Prüfung der Anmeldungen von Grenzgängern ist die IV-Stelle, in deren Tätigkeitsgebiet der Grenzgänger eine Erwerbstätigkeit ausübt. Dies gilt auch für ehemalige Grenzgänger, sofern sie bei der Anmeldung ihren ordentlichen Wohnsitz noch in der benachbarten Grenzzone haben und der Gesundheitsschaden auf die Zeit ihrer Tätigkeit als Grenzgänger zurückgeht. Die Verfügungen werden von der IV-Stelle für Versicherte im Ausland erlassen. |
2bis | Für Versicherte, die ihren Wohnsitz im Ausland, ihren gewöhnlichen Aufenthalt (Art. 13 Abs. 2 ATSG) aber in der Schweiz haben, ist für die Entgegennahme und Prüfung der Anmeldungen die IV-Stelle zuständig, in deren Tätigkeitsgebiet die versicherte Person ihren gewöhnlichen Aufenthalt hat. Gibt die versicherte Person während des Verfahrens ihren gewöhnlichen Aufenthalt in der Schweiz auf, so geht die Zuständigkeit auf die IV-Stelle für Versicherte im Ausland über.242 |
2ter | Verlegt eine versicherte Person, die ihren Wohnsitz im Ausland hat, während des Verfahrens ihren gewöhnlichen Aufenthalt oder ihren Wohnsitz in die Schweiz, so geht die Zuständigkeit auf die IV-Stelle über, in deren Tätigkeitsbereich die versicherte Person ihren gewöhnlichen Aufenthalt oder ihren Wohnsitz nach Absatz 1 Buchstabe a hat.243 |
2quater | Verlegt eine versicherte Person, die ihren Wohnsitz in der Schweiz hat, während des Verfahrens ihren Wohnsitz ins Ausland, so geht die Zuständigkeit auf die IV-Stelle für Versicherte im Ausland über.244 |
3 | Die einmal begründete Zuständigkeit der IV-Stelle bleibt unter Vorbehalt der Absätze 2bis-2quater im Verlaufe des Verfahrens erhalten.245 |
4 | Ist die Zuständigkeit streitig, so bestimmt das BSV die zuständige IV-Stelle. |
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SR 831.201 Verordnung vom 17. Januar 1961 über die Invalidenversicherung (IVV) IVV Art. 40 - 1 Zuständig zur Entgegennahme und Prüfung der Anmeldungen ist: |
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1 | Zuständig zur Entgegennahme und Prüfung der Anmeldungen ist: |
a | die IV-Stelle, in deren Tätigkeitsgebiet die Versicherten ihren Wohnsitz haben; |
b | für Versicherte, die ihren Wohnsitz im Ausland haben, unter Vorbehalt der Absätze 2 und 2bis die IV-Stelle für Versicherte im Ausland. |
2 | Zuständig zur Entgegennahme und Prüfung der Anmeldungen von Grenzgängern ist die IV-Stelle, in deren Tätigkeitsgebiet der Grenzgänger eine Erwerbstätigkeit ausübt. Dies gilt auch für ehemalige Grenzgänger, sofern sie bei der Anmeldung ihren ordentlichen Wohnsitz noch in der benachbarten Grenzzone haben und der Gesundheitsschaden auf die Zeit ihrer Tätigkeit als Grenzgänger zurückgeht. Die Verfügungen werden von der IV-Stelle für Versicherte im Ausland erlassen. |
2bis | Für Versicherte, die ihren Wohnsitz im Ausland, ihren gewöhnlichen Aufenthalt (Art. 13 Abs. 2 ATSG) aber in der Schweiz haben, ist für die Entgegennahme und Prüfung der Anmeldungen die IV-Stelle zuständig, in deren Tätigkeitsgebiet die versicherte Person ihren gewöhnlichen Aufenthalt hat. Gibt die versicherte Person während des Verfahrens ihren gewöhnlichen Aufenthalt in der Schweiz auf, so geht die Zuständigkeit auf die IV-Stelle für Versicherte im Ausland über.242 |
2ter | Verlegt eine versicherte Person, die ihren Wohnsitz im Ausland hat, während des Verfahrens ihren gewöhnlichen Aufenthalt oder ihren Wohnsitz in die Schweiz, so geht die Zuständigkeit auf die IV-Stelle über, in deren Tätigkeitsbereich die versicherte Person ihren gewöhnlichen Aufenthalt oder ihren Wohnsitz nach Absatz 1 Buchstabe a hat.243 |
2quater | Verlegt eine versicherte Person, die ihren Wohnsitz in der Schweiz hat, während des Verfahrens ihren Wohnsitz ins Ausland, so geht die Zuständigkeit auf die IV-Stelle für Versicherte im Ausland über.244 |
3 | Die einmal begründete Zuständigkeit der IV-Stelle bleibt unter Vorbehalt der Absätze 2bis-2quater im Verlaufe des Verfahrens erhalten.245 |
4 | Ist die Zuständigkeit streitig, so bestimmt das BSV die zuständige IV-Stelle. |
5.
5.1 Le droit matériel applicable est celui en vigueur au moment où les faits juridiquement déterminants ou ayant des conséquences juridiques se sont produits, aussi en cas de changement des règles de droit, sauf si des dispositions particulières de droit transitoire en disposent autrement (ATF 143 V 446 consid. 3.3, 136 V 24 consid. 4.3, 130 V 445 consid. 1.2 et 129 V 1 consid. 1.2). Sauf indication contraire, les dispositions de la LAI et de son règlement d'exécution telles que modifiées par le 6ème révision de la LAI (premier volet), en vigueur dès le 1er janvier 2012 (RO 2011 5659, FF 2010 1647), s'appliquent au cas d'espèce.
5.2 Le tribunal des assurances sociales apprécie la légalité des décisions attaquées, en règle générale, d'après l'état de fait existant jusqu'au moment où la décision litigieuse a été rendue. Les faits survenus postérieurement et qui ont modifié cette situation doivent en principe faire l'objet d'une nouvelle décision administrative (ATF 132 V 215 consid. 3.1.1, 130 V 445 consid. 1.2 et 121 V 362 consid. 1b). Ils doivent néanmoins être pris en considération lorsqu'ils sont étroitement liés à l'objet du litige et de nature à en influencer l'appréciation au moment où la décision attaquée a été rendue (arrêt du Tribunal fédéral 9C_34/2017 du 20 avril 2017 consid. 5.2 et les références citées). Le Tribunal ne peut ainsi prendre en considération que les rapports médicaux établis antérieurement à la décision attaquée, à l'exception de ceux établis ultérieurement qui permettent de mieux appréhender l'état de santé et la capacité de travail de l'intéressé jusqu'à la décision sujette à recours.
6.
6.1 Pour avoir droit à une rente de l'assurance-invalidité suisse, l'assuré doit remplir cumulativement les conditions suivantes : être invalide au sens de la LPGA et de la LAI (art. 8
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SR 830.1 Bundesgesetz vom 6. Oktober 2000 über den Allgemeinen Teil des Sozialversicherungsrechts (ATSG) ATSG Art. 8 Invalidität - 1 Invalidität ist die voraussichtlich bleibende oder längere Zeit dauernde ganze oder teilweise Erwerbsunfähigkeit. |
|
1 | Invalidität ist die voraussichtlich bleibende oder längere Zeit dauernde ganze oder teilweise Erwerbsunfähigkeit. |
2 | Nicht erwerbstätige Minderjährige gelten als invalid, wenn die Beeinträchtigung ihrer körperlichen, geistigen oder psychischen Gesundheit voraussichtlich eine ganze oder teilweise Erwerbsunfähigkeit zur Folge haben wird.12 |
3 | Volljährige, die vor der Beeinträchtigung ihrer körperlichen, geistigen oder psychischen Gesundheit nicht erwerbstätig waren und denen eine Erwerbstätigkeit nicht zugemutet werden kann, gelten als invalid, wenn eine Unmöglichkeit vorliegt, sich im bisherigen Aufgabenbereich zu betätigen. Artikel 7 Absatz 2 ist sinngemäss anwendbar.13 14 |
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SR 831.20 Bundesgesetz vom 19. Juni 1959 über die Invalidenversicherung (IVG) IVG Art. 4 Invalidität - 1 Die Invalidität (Art. 8 ATSG46) kann Folge von Geburtsgebrechen, Krankheit oder Unfall sein.47 |
|
1 | Die Invalidität (Art. 8 ATSG46) kann Folge von Geburtsgebrechen, Krankheit oder Unfall sein.47 |
2 | Die Invalidität gilt als eingetreten, sobald sie die für die Begründung des Anspruchs auf die jeweilige Leistung erforderliche Art und Schwere erreicht hat.48 |
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SR 831.20 Bundesgesetz vom 19. Juni 1959 über die Invalidenversicherung (IVG) IVG Art. 28 Grundsatz - 1 Anspruch auf eine Rente haben Versicherte, die: |
|
1 | Anspruch auf eine Rente haben Versicherte, die: |
a | ihre Erwerbsfähigkeit oder die Fähigkeit, sich im Aufgabenbereich zu betätigen, nicht durch zumutbare Eingliederungsmassnahmen wieder herstellen, erhalten oder verbessern können; |
b | während eines Jahres ohne wesentlichen Unterbruch durchschnittlich mindestens 40 Prozent arbeitsunfähig (Art. 6 ATSG205) gewesen sind; und |
c | nach Ablauf dieses Jahres zu mindestens 40 Prozent invalid (Art. 8 ATSG) sind. |
1bis | Eine Rente nach Absatz 1 wird nicht zugesprochen, solange die Möglichkeiten zur Eingliederung im Sinne von Artikel 8 Absätze 1bis und 1ter nicht ausgeschöpft sind.206 |
2 | ...207 |
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SR 831.20 Bundesgesetz vom 19. Juni 1959 über die Invalidenversicherung (IVG) IVG Art. 29 Beginn des Anspruchs und Auszahlung der Rente - 1 Der Rentenanspruch entsteht frühestens nach Ablauf von sechs Monaten nach Geltendmachung des Leistungsanspruchs nach Artikel 29 Absatz 1 ATSG216, jedoch frühestens im Monat, der auf die Vollendung des 18. Altersjahres folgt. |
|
1 | Der Rentenanspruch entsteht frühestens nach Ablauf von sechs Monaten nach Geltendmachung des Leistungsanspruchs nach Artikel 29 Absatz 1 ATSG216, jedoch frühestens im Monat, der auf die Vollendung des 18. Altersjahres folgt. |
2 | Der Anspruch entsteht nicht, solange die versicherte Person ein Taggeld nach Artikel 22 beanspruchen kann. |
3 | Die Rente wird vom Beginn des Monats an ausbezahlt, in dem der Rentenanspruch entsteht. |
4 | Beträgt der Invaliditätsgrad weniger als 50 Prozent, so werden die entsprechenden Renten nur an Versicherte ausbezahlt, die ihren Wohnsitz und ihren gewöhnlichen Aufenthalt (Art. 13 ATSG) in der Schweiz haben. Diese Voraussetzung ist auch von Angehörigen zu erfüllen, für die eine Leistung beansprucht wird. |
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SR 831.20 Bundesgesetz vom 19. Juni 1959 über die Invalidenversicherung (IVG) IVG Art. 36 Bezügerkreis und Berechnung - 1 Anspruch auf eine ordentliche Rente haben Versicherte, die bei Eintritt der Invalidität während mindestens drei Jahren Beiträge geleistet haben.228 |
|
1 | Anspruch auf eine ordentliche Rente haben Versicherte, die bei Eintritt der Invalidität während mindestens drei Jahren Beiträge geleistet haben.228 |
2 | Für die Berechnung der ordentlichen Renten sind die Bestimmungen des AHVG229 sinngemäss anwendbar. Der Bundesrat kann ergänzende Vorschriften erlassen.230 |
3 | ...231 |
4 | Beiträge, die vor dem Inkrafttreten dieses Gesetzes an die Alters- und Hinterlassenenversicherung geleistet wurden, werden angerechnet. |
In casu, il ressort de l'extrait du compte individuel du recourant, que celui-ci compte un total de cent-quinze (115) mois de cotisations à l'AVS/AI entre 2001 et 2010 (pces AI 5, p. 2 et 3, 135, p. 6), de sorte qu'il remplit la condition afférant à la durée minimale de cotisations.
6.2 Conformément à l'art. 28 al. 1
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SR 831.20 Bundesgesetz vom 19. Juni 1959 über die Invalidenversicherung (IVG) IVG Art. 28 Grundsatz - 1 Anspruch auf eine Rente haben Versicherte, die: |
|
1 | Anspruch auf eine Rente haben Versicherte, die: |
a | ihre Erwerbsfähigkeit oder die Fähigkeit, sich im Aufgabenbereich zu betätigen, nicht durch zumutbare Eingliederungsmassnahmen wieder herstellen, erhalten oder verbessern können; |
b | während eines Jahres ohne wesentlichen Unterbruch durchschnittlich mindestens 40 Prozent arbeitsunfähig (Art. 6 ATSG205) gewesen sind; und |
c | nach Ablauf dieses Jahres zu mindestens 40 Prozent invalid (Art. 8 ATSG) sind. |
1bis | Eine Rente nach Absatz 1 wird nicht zugesprochen, solange die Möglichkeiten zur Eingliederung im Sinne von Artikel 8 Absätze 1bis und 1ter nicht ausgeschöpft sind.206 |
2 | ...207 |
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SR 830.1 Bundesgesetz vom 6. Oktober 2000 über den Allgemeinen Teil des Sozialversicherungsrechts (ATSG) ATSG Art. 6 Arbeitsunfähigkeit - Arbeitsunfähigkeit ist die durch eine Beeinträchtigung der körperlichen, geistigen oder psychischen Gesundheit bedingte, volle oder teilweise Unfähigkeit, im bisherigen Beruf oder Aufgabenbereich zumutbare Arbeit zu leisten.9 Bei langer Dauer wird auch die zumutbare Tätigkeit in einem anderen Beruf oder Aufgabenbereich berücksichtigt. |
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SR 830.1 Bundesgesetz vom 6. Oktober 2000 über den Allgemeinen Teil des Sozialversicherungsrechts (ATSG) ATSG Art. 8 Invalidität - 1 Invalidität ist die voraussichtlich bleibende oder längere Zeit dauernde ganze oder teilweise Erwerbsunfähigkeit. |
|
1 | Invalidität ist die voraussichtlich bleibende oder längere Zeit dauernde ganze oder teilweise Erwerbsunfähigkeit. |
2 | Nicht erwerbstätige Minderjährige gelten als invalid, wenn die Beeinträchtigung ihrer körperlichen, geistigen oder psychischen Gesundheit voraussichtlich eine ganze oder teilweise Erwerbsunfähigkeit zur Folge haben wird.12 |
3 | Volljährige, die vor der Beeinträchtigung ihrer körperlichen, geistigen oder psychischen Gesundheit nicht erwerbstätig waren und denen eine Erwerbstätigkeit nicht zugemutet werden kann, gelten als invalid, wenn eine Unmöglichkeit vorliegt, sich im bisherigen Aufgabenbereich zu betätigen. Artikel 7 Absatz 2 ist sinngemäss anwendbar.13 14 |
L'assuré a droit à un quart de rente s'il est invalide à 40 % au moins, à une demi-rente s'il est invalide à 50 % au moins, à trois quarts de rente s'il est invalide à 60 % au moins et à une rente entière s'il est invalide à 70 % au moins (art. 28 al. 2
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SR 831.20 Bundesgesetz vom 19. Juni 1959 über die Invalidenversicherung (IVG) IVG Art. 28 Grundsatz - 1 Anspruch auf eine Rente haben Versicherte, die: |
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1 | Anspruch auf eine Rente haben Versicherte, die: |
a | ihre Erwerbsfähigkeit oder die Fähigkeit, sich im Aufgabenbereich zu betätigen, nicht durch zumutbare Eingliederungsmassnahmen wieder herstellen, erhalten oder verbessern können; |
b | während eines Jahres ohne wesentlichen Unterbruch durchschnittlich mindestens 40 Prozent arbeitsunfähig (Art. 6 ATSG205) gewesen sind; und |
c | nach Ablauf dieses Jahres zu mindestens 40 Prozent invalid (Art. 8 ATSG) sind. |
1bis | Eine Rente nach Absatz 1 wird nicht zugesprochen, solange die Möglichkeiten zur Eingliederung im Sinne von Artikel 8 Absätze 1bis und 1ter nicht ausgeschöpft sind.206 |
2 | ...207 |
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SR 831.20 Bundesgesetz vom 19. Juni 1959 über die Invalidenversicherung (IVG) IVG Art. 29 Beginn des Anspruchs und Auszahlung der Rente - 1 Der Rentenanspruch entsteht frühestens nach Ablauf von sechs Monaten nach Geltendmachung des Leistungsanspruchs nach Artikel 29 Absatz 1 ATSG216, jedoch frühestens im Monat, der auf die Vollendung des 18. Altersjahres folgt. |
|
1 | Der Rentenanspruch entsteht frühestens nach Ablauf von sechs Monaten nach Geltendmachung des Leistungsanspruchs nach Artikel 29 Absatz 1 ATSG216, jedoch frühestens im Monat, der auf die Vollendung des 18. Altersjahres folgt. |
2 | Der Anspruch entsteht nicht, solange die versicherte Person ein Taggeld nach Artikel 22 beanspruchen kann. |
3 | Die Rente wird vom Beginn des Monats an ausbezahlt, in dem der Rentenanspruch entsteht. |
4 | Beträgt der Invaliditätsgrad weniger als 50 Prozent, so werden die entsprechenden Renten nur an Versicherte ausbezahlt, die ihren Wohnsitz und ihren gewöhnlichen Aufenthalt (Art. 13 ATSG) in der Schweiz haben. Diese Voraussetzung ist auch von Angehörigen zu erfüllen, für die eine Leistung beansprucht wird. |
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SR 830.1 Bundesgesetz vom 6. Oktober 2000 über den Allgemeinen Teil des Sozialversicherungsrechts (ATSG) ATSG Art. 13 Wohnsitz und gewöhnlicher Aufenthalt - 1 Der Wohnsitz einer Person bestimmt sich nach den Artikeln 23-26 des Zivilgesetzbuches15. |
|
1 | Der Wohnsitz einer Person bestimmt sich nach den Artikeln 23-26 des Zivilgesetzbuches15. |
2 | Ihren gewöhnlichen Aufenthalt hat eine Person an dem Ort, an dem sie während längerer Zeit lebt, selbst wenn diese Zeit zum Vornherein befristet ist. |
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SR 831.20 Bundesgesetz vom 19. Juni 1959 über die Invalidenversicherung (IVG) IVG Art. 29 Beginn des Anspruchs und Auszahlung der Rente - 1 Der Rentenanspruch entsteht frühestens nach Ablauf von sechs Monaten nach Geltendmachung des Leistungsanspruchs nach Artikel 29 Absatz 1 ATSG216, jedoch frühestens im Monat, der auf die Vollendung des 18. Altersjahres folgt. |
|
1 | Der Rentenanspruch entsteht frühestens nach Ablauf von sechs Monaten nach Geltendmachung des Leistungsanspruchs nach Artikel 29 Absatz 1 ATSG216, jedoch frühestens im Monat, der auf die Vollendung des 18. Altersjahres folgt. |
2 | Der Anspruch entsteht nicht, solange die versicherte Person ein Taggeld nach Artikel 22 beanspruchen kann. |
3 | Die Rente wird vom Beginn des Monats an ausbezahlt, in dem der Rentenanspruch entsteht. |
4 | Beträgt der Invaliditätsgrad weniger als 50 Prozent, so werden die entsprechenden Renten nur an Versicherte ausbezahlt, die ihren Wohnsitz und ihren gewöhnlichen Aufenthalt (Art. 13 ATSG) in der Schweiz haben. Diese Voraussetzung ist auch von Angehörigen zu erfüllen, für die eine Leistung beansprucht wird. |
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SR 831.20 Bundesgesetz vom 19. Juni 1959 über die Invalidenversicherung (IVG) IVG Art. 4 Invalidität - 1 Die Invalidität (Art. 8 ATSG46) kann Folge von Geburtsgebrechen, Krankheit oder Unfall sein.47 |
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1 | Die Invalidität (Art. 8 ATSG46) kann Folge von Geburtsgebrechen, Krankheit oder Unfall sein.47 |
2 | Die Invalidität gilt als eingetreten, sobald sie die für die Begründung des Anspruchs auf die jeweilige Leistung erforderliche Art und Schwere erreicht hat.48 |
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SR 831.20 Bundesgesetz vom 19. Juni 1959 über die Invalidenversicherung (IVG) IVG Art. 7 Pflichten der versicherten Person - 1 Die versicherte Person muss alles ihr Zumutbare unternehmen, um die Dauer und das Ausmass der Arbeitsunfähigkeit (Art. 6 ATSG64) zu verringern und den Eintritt einer Invalidität (Art. 8 ATSG) zu verhindern. |
|
1 | Die versicherte Person muss alles ihr Zumutbare unternehmen, um die Dauer und das Ausmass der Arbeitsunfähigkeit (Art. 6 ATSG64) zu verringern und den Eintritt einer Invalidität (Art. 8 ATSG) zu verhindern. |
2 | Die versicherte Person muss an allen zumutbaren Massnahmen, die zur Erhaltung des bestehenden Arbeitsplatzes oder zu ihrer Eingliederung ins Erwerbsleben oder in einen dem Erwerbsleben gleichgestellten Aufgabenbereich (Aufgabenbereich) dienen, aktiv teilnehmen. Dies sind insbesondere: |
a | Massnahmen der Frühintervention (Art. 7d); |
b | Integrationsmassnahmen zur Vorbereitung auf die berufliche Eingliederung (Art. 14a); |
c | Massnahmen beruflicher Art (Art. 15-18 und 18b); |
d | medizinische Behandlungen nach Artikel 25 KVG65; |
e | Massnahmen zur Wiedereingliederung von Rentenbezügerinnen und Rentenbezügern nach Artikel 8a Absatz 2. |
6.3 Cela étant, il convient d'examiner si le recourant est invalide au sens de la LAI.
7.
7.1 L'invalidité au sens de la LPGA et de la LAI est l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée (art. 8 al. 1
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SR 830.1 Bundesgesetz vom 6. Oktober 2000 über den Allgemeinen Teil des Sozialversicherungsrechts (ATSG) ATSG Art. 8 Invalidität - 1 Invalidität ist die voraussichtlich bleibende oder längere Zeit dauernde ganze oder teilweise Erwerbsunfähigkeit. |
|
1 | Invalidität ist die voraussichtlich bleibende oder längere Zeit dauernde ganze oder teilweise Erwerbsunfähigkeit. |
2 | Nicht erwerbstätige Minderjährige gelten als invalid, wenn die Beeinträchtigung ihrer körperlichen, geistigen oder psychischen Gesundheit voraussichtlich eine ganze oder teilweise Erwerbsunfähigkeit zur Folge haben wird.12 |
3 | Volljährige, die vor der Beeinträchtigung ihrer körperlichen, geistigen oder psychischen Gesundheit nicht erwerbstätig waren und denen eine Erwerbstätigkeit nicht zugemutet werden kann, gelten als invalid, wenn eine Unmöglichkeit vorliegt, sich im bisherigen Aufgabenbereich zu betätigen. Artikel 7 Absatz 2 ist sinngemäss anwendbar.13 14 |
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SR 831.20 Bundesgesetz vom 19. Juni 1959 über die Invalidenversicherung (IVG) IVG Art. 4 Invalidität - 1 Die Invalidität (Art. 8 ATSG46) kann Folge von Geburtsgebrechen, Krankheit oder Unfall sein.47 |
|
1 | Die Invalidität (Art. 8 ATSG46) kann Folge von Geburtsgebrechen, Krankheit oder Unfall sein.47 |
2 | Die Invalidität gilt als eingetreten, sobald sie die für die Begründung des Anspruchs auf die jeweilige Leistung erforderliche Art und Schwere erreicht hat.48 |
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SR 831.20 Bundesgesetz vom 19. Juni 1959 über die Invalidenversicherung (IVG) IVG Art. 4 Invalidität - 1 Die Invalidität (Art. 8 ATSG46) kann Folge von Geburtsgebrechen, Krankheit oder Unfall sein.47 |
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1 | Die Invalidität (Art. 8 ATSG46) kann Folge von Geburtsgebrechen, Krankheit oder Unfall sein.47 |
2 | Die Invalidität gilt als eingetreten, sobald sie die für die Begründung des Anspruchs auf die jeweilige Leistung erforderliche Art und Schwere erreicht hat.48 |
7.2 Selon l'art. 7 al. 1
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SR 830.1 Bundesgesetz vom 6. Oktober 2000 über den Allgemeinen Teil des Sozialversicherungsrechts (ATSG) ATSG Art. 7 Erwerbsunfähigkeit - 1 Erwerbsunfähigkeit ist der durch Beeinträchtigung der körperlichen, geistigen oder psychischen Gesundheit verursachte und nach zumutbarer Behandlung und Eingliederung verbleibende ganze oder teilweise Verlust der Erwerbsmöglichkeiten auf dem in Betracht kommenden ausgeglichenen Arbeitsmarkt. |
|
1 | Erwerbsunfähigkeit ist der durch Beeinträchtigung der körperlichen, geistigen oder psychischen Gesundheit verursachte und nach zumutbarer Behandlung und Eingliederung verbleibende ganze oder teilweise Verlust der Erwerbsmöglichkeiten auf dem in Betracht kommenden ausgeglichenen Arbeitsmarkt. |
2 | Für die Beurteilung des Vorliegens einer Erwerbsunfähigkeit sind ausschliesslich die Folgen der gesundheitlichen Beeinträchtigung zu berücksichtigen. Eine Erwerbsunfähigkeit liegt zudem nur vor, wenn sie aus objektiver Sicht nicht überwindbar ist.11 |
7.3 Par incapacité de travail, on entend toute perte, totale ou partielle, résultant d'une atteinte à la santé physique, mentale ou psychique, de l'aptitude de l'assuré à accomplir dans sa profession ou son domaine d'activité le travail qui peut raisonnablement être exigé de lui (art. 6
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SR 830.1 Bundesgesetz vom 6. Oktober 2000 über den Allgemeinen Teil des Sozialversicherungsrechts (ATSG) ATSG Art. 6 Arbeitsunfähigkeit - Arbeitsunfähigkeit ist die durch eine Beeinträchtigung der körperlichen, geistigen oder psychischen Gesundheit bedingte, volle oder teilweise Unfähigkeit, im bisherigen Beruf oder Aufgabenbereich zumutbare Arbeit zu leisten.9 Bei langer Dauer wird auch die zumutbare Tätigkeit in einem anderen Beruf oder Aufgabenbereich berücksichtigt. |
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SR 830.1 Bundesgesetz vom 6. Oktober 2000 über den Allgemeinen Teil des Sozialversicherungsrechts (ATSG) ATSG Art. 7 Erwerbsunfähigkeit - 1 Erwerbsunfähigkeit ist der durch Beeinträchtigung der körperlichen, geistigen oder psychischen Gesundheit verursachte und nach zumutbarer Behandlung und Eingliederung verbleibende ganze oder teilweise Verlust der Erwerbsmöglichkeiten auf dem in Betracht kommenden ausgeglichenen Arbeitsmarkt. |
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1 | Erwerbsunfähigkeit ist der durch Beeinträchtigung der körperlichen, geistigen oder psychischen Gesundheit verursachte und nach zumutbarer Behandlung und Eingliederung verbleibende ganze oder teilweise Verlust der Erwerbsmöglichkeiten auf dem in Betracht kommenden ausgeglichenen Arbeitsmarkt. |
2 | Für die Beurteilung des Vorliegens einer Erwerbsunfähigkeit sind ausschliesslich die Folgen der gesundheitlichen Beeinträchtigung zu berücksichtigen. Eine Erwerbsunfähigkeit liegt zudem nur vor, wenn sie aus objektiver Sicht nicht überwindbar ist.11 |
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SR 830.1 Bundesgesetz vom 6. Oktober 2000 über den Allgemeinen Teil des Sozialversicherungsrechts (ATSG) ATSG Art. 6 Arbeitsunfähigkeit - Arbeitsunfähigkeit ist die durch eine Beeinträchtigung der körperlichen, geistigen oder psychischen Gesundheit bedingte, volle oder teilweise Unfähigkeit, im bisherigen Beruf oder Aufgabenbereich zumutbare Arbeit zu leisten.9 Bei langer Dauer wird auch die zumutbare Tätigkeit in einem anderen Beruf oder Aufgabenbereich berücksichtigt. |
7.4 Pour pouvoir déterminer la capacité de travail médico-théorique et évaluer l'invalidité de la personne concernée, l'administration, ou le tribunal en cas de recours, a besoin de documents que le médecin ou éventuellement d'autres spécialistes doivent lui fournir (ATF 117 V 282 consid. 4a) et sur lesquels elle s'appuiera, sous peine de violer le principe inquisitoire (arrêts du Tribunal fédéral 8C_759/2019 du 22 janvier 2020 consid. 4.2.2 et 8C_623/2012 du 6 décembre 2012 consid. 1.2). Une limitation de la capacité d'exécuter une tâche ou une action ne peut en effet fonder le droit à une prestation que si elle est la conséquence d'une atteinte à la santé qui a été diagnostiquée de manière indiscutable par un médecin spécialiste de la discipline concernée (ATF 143 V 418 consid. 6 et 8.1, 141 V 281 consid. 2.1, 130 V 396 ; arrêt du Tribunal fédéral 9C_815/2012 du 12 décembre 2012 consid. 3). Le Tribunal fédéral a jugé que les données fournies par les médecins constituent un élément utile pour apprécier les conséquences fonctionnelles de l'atteinte à la santé, quand bien même la notion d'invalidité est de nature économique/juridique et non médicale. Précisément, la tâche des médecins consiste à porter un jugement sur l'état de santé et à indiquer dans quelle mesure et pour quelles activités la personne concernée est incapable de travailler, compte tenu de ses limitations (ATF 143 V 418 consid. 6, 132 V 93 consid. 4, 125 V 256 consid. 4, 115 V 133 consid. 2, 114 V 310 consid. 3c, 105 V 156 consid. 1 ; voir également ATF 140 V 193 consid. 3.2 et les références citées). Dans ce contexte, on rappellera qu'il n'appartient pas au juge de remettre en cause le diagnostic retenu par un médecin et de poser de son propre chef des conclusions qui relèvent de la science et des tâches du corps médical (arrêt du Tribunal fédéral 9C_719/2016 du 1er mai 2017 consid. 5.2.1).
7.5 Le principe de la libre appréciation des preuves s'applique de manière générale à toute procédure de nature administrative, que ce soit devant l'administration ou le juge. La jurisprudence a toutefois posé des lignes directrices en matière d'appréciation des rapports médicaux et d'expertise (ATF 125 V 351 consid. 3b et 3c).
7.5.1 Ainsi, avant de conférer pleine valeur probante à un rapport médical, il convient de s'assurer que les points litigieux importants ont fait l'objet d'une étude circonstanciée, que le rapport se fonde sur des examens complets, qu'il prend également en considération les plaintes exprimées par la personne examinée, qu'il a été établi en pleine connaissance de l'anamnèse, que la description du contexte médical et l'appréciation de la situation médicale sont claires et, enfin, que les conclusions du médecin sont dûment motivées (ATF 134 V 231 consid. 5.1, 125 V 351 consid. 3a). La valeur probante d'un rapport médical ou d'une expertise est de plus liée à la condition que le médecin qui se prononce dispose de la formation spécialisée nécessaire et de compétences professionnelles dans le domaine d'investigation (arrêts du Tribunal fédéral 9C_555/2017 du 22 novembre 2017 consid. 3.1 et les références citées, 9C_745/2010 du 30 mars 2011 consid. 3.2 et 9C_59/2010 du 11 juin 2010 consid. 4.1 ; Michel Valterio, Commentaire, Loi fédérale sur l'assurance-invalidité [LAI], 2018, art. 57
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SR 831.20 Bundesgesetz vom 19. Juni 1959 über die Invalidenversicherung (IVG) IVG Art. 57 Aufgaben - 1 Die IV-Stellen haben insbesondere folgende Aufgaben: |
|
1 | Die IV-Stellen haben insbesondere folgende Aufgaben: |
a | eingliederungsorientierte Beratung; |
b | Früherfassung; |
c | Bestimmung, Durchführung und Überwachung der Massnahmen der Frühintervention einschliesslich der notwendigen Beratung und Begleitung; |
d | Abklärung der versicherungsmässigen Voraussetzungen; |
e | ressourcenorientierte Abklärung der Eingliederungsfähigkeit der versicherten Person unter Einbezug der jeweils relevanten Akteure; |
f | Bestimmung der Eingliederungsmassnahmen unter Einbezug der jeweils relevanten Akteure, Durchführung und Überwachung dieser Massnahmen, Beratung und Begleitung der versicherten Person und deren Arbeitgeber während der Eingliederung und der Rentenprüfung sowie Prüfung der Wiederholung einer Eingliederungsmassnahme und Anpassung des Eingliederungsziels bei Abbruch der Massnahme insbesondere bei jungen Versicherten; |
g | Beratung und Begleitung der versicherten Person und von deren Arbeitgeber nach Abschluss von Eingliederungsmassnahmen oder nach Aufhebung einer Rente; |
h | Beratung und Begleitung von Rentenbezügerinnen und Rentenbezügern mit Eingliederungspotenzial ab dem Zeitpunkt der Berentung; |
i | Bemessung des Invaliditätsgrades, der Hilflosigkeit und der von der versicherten Person benötigten Hilfeleistungen; |
j | Erlass der Verfügungen über die Leistungen der Invalidenversicherung; |
k | Öffentlichkeitsarbeit; |
l | Koordination der medizinischen Massnahmen mit dem Kranken- und Unfallversicherer; |
m | Kontrolle der Rechnungen für die medizinischen Massnahmen; |
n | Führung und Veröffentlichung einer Liste, die insbesondere Angaben zu allen beauftragten Sachverständigen und Gutachterstellen enthält, strukturiert nach Fachbereich, Anzahl jährlich begutachteter Fälle und attestierten Arbeitsunfähigkeiten.321 |
2 | Der Bundesrat kann ihnen weitere Aufgaben zuweisen. Er kann für die Liste nach Absatz 1 Buchstabe n Vorgaben erlassen und weitere Angaben vorsehen.322 |
3 | Bis zum Erlass einer Verfügung entscheiden die IV-Stellen, welche Abklärungen massgebend und notwendig sind.323 |
7.5.2 S'agissant des rapports établis par les médecins traitants, qu'il ou elle soit médecin de famille généraliste ou spécialiste, il convient de les apprécier avec une certaine réserve en raison de la relation de confiance, issue du mandat thérapeutique confié au médecin traitant, qui unit celui-ci ou celle-ci à son ou sa patiente (ATF 125 V 351 consid. 3b/cc et les références citées ; arrêt du Tribunal fédéral I 655/05 du 20 mars 2006 consid. 5.4). Toutefois, le simple fait qu'un rapport médical soit établi à la demande d'une partie et soit produit pendant la procédure ne justifie pas en soi des doutes quant à sa valeur probante (arrêt du Tribunal fédéral 8C_278/2011 du 26 juillet 2011 consid. 5.3). Ainsi, on en retiendra des éléments, notamment si ceux-ci, objectivement vérifiables, ont été ignorés dans le cadre d'une expertise indépendante et s'avèrent suffisamment pertinents pour remettre en cause les conclusions de l'expertise (ATF 125 V 351 consid. 3b/dd et les références citées ; arrêts du Tribunal fédéral 9C_338/2016 du 21 février 2017, publié in : Droit des assurances sociales Jurisprudence [SVR] 2017 IV n° 49 consid. 5.5, 9C_876/2009 du 6 juillet 2010 consid. 2.2, 9C_24/2008 du 27 mai 2008 consid. 2.3.2 et 9C_201/2007 du 29 janvier 2008 consid. 3.2 ; Michel Valterio, op. cit., art. 57
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SR 831.20 Bundesgesetz vom 19. Juni 1959 über die Invalidenversicherung (IVG) IVG Art. 57 Aufgaben - 1 Die IV-Stellen haben insbesondere folgende Aufgaben: |
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1 | Die IV-Stellen haben insbesondere folgende Aufgaben: |
a | eingliederungsorientierte Beratung; |
b | Früherfassung; |
c | Bestimmung, Durchführung und Überwachung der Massnahmen der Frühintervention einschliesslich der notwendigen Beratung und Begleitung; |
d | Abklärung der versicherungsmässigen Voraussetzungen; |
e | ressourcenorientierte Abklärung der Eingliederungsfähigkeit der versicherten Person unter Einbezug der jeweils relevanten Akteure; |
f | Bestimmung der Eingliederungsmassnahmen unter Einbezug der jeweils relevanten Akteure, Durchführung und Überwachung dieser Massnahmen, Beratung und Begleitung der versicherten Person und deren Arbeitgeber während der Eingliederung und der Rentenprüfung sowie Prüfung der Wiederholung einer Eingliederungsmassnahme und Anpassung des Eingliederungsziels bei Abbruch der Massnahme insbesondere bei jungen Versicherten; |
g | Beratung und Begleitung der versicherten Person und von deren Arbeitgeber nach Abschluss von Eingliederungsmassnahmen oder nach Aufhebung einer Rente; |
h | Beratung und Begleitung von Rentenbezügerinnen und Rentenbezügern mit Eingliederungspotenzial ab dem Zeitpunkt der Berentung; |
i | Bemessung des Invaliditätsgrades, der Hilflosigkeit und der von der versicherten Person benötigten Hilfeleistungen; |
j | Erlass der Verfügungen über die Leistungen der Invalidenversicherung; |
k | Öffentlichkeitsarbeit; |
l | Koordination der medizinischen Massnahmen mit dem Kranken- und Unfallversicherer; |
m | Kontrolle der Rechnungen für die medizinischen Massnahmen; |
n | Führung und Veröffentlichung einer Liste, die insbesondere Angaben zu allen beauftragten Sachverständigen und Gutachterstellen enthält, strukturiert nach Fachbereich, Anzahl jährlich begutachteter Fälle und attestierten Arbeitsunfähigkeiten.321 |
2 | Der Bundesrat kann ihnen weitere Aufgaben zuweisen. Er kann für die Liste nach Absatz 1 Buchstabe n Vorgaben erlassen und weitere Angaben vorsehen.322 |
3 | Bis zum Erlass einer Verfügung entscheiden die IV-Stellen, welche Abklärungen massgebend und notwendig sind.323 |
7.5.3 Selon la jurisprudence, il n'est pas interdit aux tribunaux des assurances de se fonder uniquement ou principalement sur les rapports des médecins rattachés aux assureurs, mais, en de telles circonstances, l'appréciation des preuves est soumise à des exigences sévères. Une instruction complémentaire sera ainsi requise s'il subsiste des doutes, même minimes, quant au bien-fondé, à la fiabilité et à la pertinence de ces rapports (ATF 139 V 225 consid. 5.2, 135 V 465 consid. 4.4 et 122 V 157 consid. 1d ; arrêt du Tribunal fédéral 8C_699/2018 du 28 août 2019 consid. 3). Les prises de position des services médicaux régionaux (SMR) et du service médical de l'OAIE doivent être appréciées comme des rapports de médecins liés à l'assureur (concernant le SMR, arrêts du Tribunal fédéral 9C_159/2016 du 2 novembre 2016 consid. 2.2 ss et 8C_197/2014 du 3 octobre 2014 consid. 4 ; arrêt du Tribunal administratif fédéral C 2843/2016 du 30 mai 2018 consid. 8.1 et 8.2 ; Michel Valterio, op. cit., art. 57
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SR 831.20 Bundesgesetz vom 19. Juni 1959 über die Invalidenversicherung (IVG) IVG Art. 57 Aufgaben - 1 Die IV-Stellen haben insbesondere folgende Aufgaben: |
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1 | Die IV-Stellen haben insbesondere folgende Aufgaben: |
a | eingliederungsorientierte Beratung; |
b | Früherfassung; |
c | Bestimmung, Durchführung und Überwachung der Massnahmen der Frühintervention einschliesslich der notwendigen Beratung und Begleitung; |
d | Abklärung der versicherungsmässigen Voraussetzungen; |
e | ressourcenorientierte Abklärung der Eingliederungsfähigkeit der versicherten Person unter Einbezug der jeweils relevanten Akteure; |
f | Bestimmung der Eingliederungsmassnahmen unter Einbezug der jeweils relevanten Akteure, Durchführung und Überwachung dieser Massnahmen, Beratung und Begleitung der versicherten Person und deren Arbeitgeber während der Eingliederung und der Rentenprüfung sowie Prüfung der Wiederholung einer Eingliederungsmassnahme und Anpassung des Eingliederungsziels bei Abbruch der Massnahme insbesondere bei jungen Versicherten; |
g | Beratung und Begleitung der versicherten Person und von deren Arbeitgeber nach Abschluss von Eingliederungsmassnahmen oder nach Aufhebung einer Rente; |
h | Beratung und Begleitung von Rentenbezügerinnen und Rentenbezügern mit Eingliederungspotenzial ab dem Zeitpunkt der Berentung; |
i | Bemessung des Invaliditätsgrades, der Hilflosigkeit und der von der versicherten Person benötigten Hilfeleistungen; |
j | Erlass der Verfügungen über die Leistungen der Invalidenversicherung; |
k | Öffentlichkeitsarbeit; |
l | Koordination der medizinischen Massnahmen mit dem Kranken- und Unfallversicherer; |
m | Kontrolle der Rechnungen für die medizinischen Massnahmen; |
n | Führung und Veröffentlichung einer Liste, die insbesondere Angaben zu allen beauftragten Sachverständigen und Gutachterstellen enthält, strukturiert nach Fachbereich, Anzahl jährlich begutachteter Fälle und attestierten Arbeitsunfähigkeiten.321 |
2 | Der Bundesrat kann ihnen weitere Aufgaben zuweisen. Er kann für die Liste nach Absatz 1 Buchstabe n Vorgaben erlassen und weitere Angaben vorsehen.322 |
3 | Bis zum Erlass einer Verfügung entscheiden die IV-Stellen, welche Abklärungen massgebend und notwendig sind.323 |
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SR 831.20 Bundesgesetz vom 19. Juni 1959 über die Invalidenversicherung (IVG) IVG Art. 59 Organisation und Verfahren - 1 Die IV-Stellen haben sich so zu organisieren, dass sie ihre Aufgaben nach Artikel 57 unter Einhaltung der gesetzlichen Vorschriften und der Weisungen des Bundes fachgerecht und effizient durchführen können.330 |
|
1 | Die IV-Stellen haben sich so zu organisieren, dass sie ihre Aufgaben nach Artikel 57 unter Einhaltung der gesetzlichen Vorschriften und der Weisungen des Bundes fachgerecht und effizient durchführen können.330 |
2 | ...331 |
2bis | ...332 |
3 | Die IV-Stellen können Spezialisten der privaten Invalidenhilfe, Experten, medizinische und berufliche Abklärungsstellen, Fachstellen für die Integration von Ausländerinnen und Ausländern, Vermittlungsstellen für interkulturelles Übersetzen sowie Dienste anderer Sozialversicherungsträger beiziehen.333 |
4 | Die IV-Stellen können mit anderen Versicherungsträgern und den Organen der öffentlichen Sozialhilfe Vereinbarungen über den Beizug der regionalen ärztlichen Dienste abschliessen.334 |
5 | Zur Bekämpfung des ungerechtfertigten Leistungsbezugs können die IV-Stellen Spezialisten beiziehen.335 |
6 | Die IV-Stellen berücksichtigen im Rahmen ihrer Leistungen die sprachlichen, sozialen und kulturellen Besonderheiten der Versicherten, ohne dass diese einen Rechtsanspruch auf eine besondere Leistung ableiten können.336 |
7.5.4 Les prises de position des services médicaux régionaux (SMR) ou du service médical de l'OAIE ne se fondent pas sur des examens médicaux effectués sur la personne, mais sur des pièces médicales, et ne posent pas de nouvelles conclusions médicales. Elles portent une appréciation sur celles déjà existantes (arrêts du Tribunal fédéral 9C_542/2011 du 26 janvier 2012 consid. 4.1, 9C_581/2007 du 14 juillet 2008 consid. 3.2 et 9C_341/2007 du 16 novembre 2007 consid. 4.1). Elles ont notamment pour but, outre celui d'aider les profanes en médecine qui travaillent dans l'administration ou les tribunaux et à qui il appartient de trancher le droit aux prestations, de résumer et de porter une appréciation sur la situation médicale de la personne concernée, ainsi que de faire une recommandation, sous l'angle médical, concernant la suite à donner à la demande de prestations. Ceci implique aussi, en présence de pièces médicales contradictoires, de dire de façon motivée s'il y a lieu de se fonder sur l'une ou l'autre de ces pièces ou s'il y a lieu de procéder à une instruction complémentaire (ATF 142 V 58 consid. 5.1). De telles prises de position, pour avoir valeur probante, ne peuvent suivre les conclusions d'un médecin sans établir les raisons pour lesquelles les conclusions différentes d'autres médecins ne sont pas suivies (ATF 137 V 210 consid. 6.2.4 ; M. Valterio, op. cit., art. 57
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SR 831.20 Bundesgesetz vom 19. Juni 1959 über die Invalidenversicherung (IVG) IVG Art. 57 Aufgaben - 1 Die IV-Stellen haben insbesondere folgende Aufgaben: |
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1 | Die IV-Stellen haben insbesondere folgende Aufgaben: |
a | eingliederungsorientierte Beratung; |
b | Früherfassung; |
c | Bestimmung, Durchführung und Überwachung der Massnahmen der Frühintervention einschliesslich der notwendigen Beratung und Begleitung; |
d | Abklärung der versicherungsmässigen Voraussetzungen; |
e | ressourcenorientierte Abklärung der Eingliederungsfähigkeit der versicherten Person unter Einbezug der jeweils relevanten Akteure; |
f | Bestimmung der Eingliederungsmassnahmen unter Einbezug der jeweils relevanten Akteure, Durchführung und Überwachung dieser Massnahmen, Beratung und Begleitung der versicherten Person und deren Arbeitgeber während der Eingliederung und der Rentenprüfung sowie Prüfung der Wiederholung einer Eingliederungsmassnahme und Anpassung des Eingliederungsziels bei Abbruch der Massnahme insbesondere bei jungen Versicherten; |
g | Beratung und Begleitung der versicherten Person und von deren Arbeitgeber nach Abschluss von Eingliederungsmassnahmen oder nach Aufhebung einer Rente; |
h | Beratung und Begleitung von Rentenbezügerinnen und Rentenbezügern mit Eingliederungspotenzial ab dem Zeitpunkt der Berentung; |
i | Bemessung des Invaliditätsgrades, der Hilflosigkeit und der von der versicherten Person benötigten Hilfeleistungen; |
j | Erlass der Verfügungen über die Leistungen der Invalidenversicherung; |
k | Öffentlichkeitsarbeit; |
l | Koordination der medizinischen Massnahmen mit dem Kranken- und Unfallversicherer; |
m | Kontrolle der Rechnungen für die medizinischen Massnahmen; |
n | Führung und Veröffentlichung einer Liste, die insbesondere Angaben zu allen beauftragten Sachverständigen und Gutachterstellen enthält, strukturiert nach Fachbereich, Anzahl jährlich begutachteter Fälle und attestierten Arbeitsunfähigkeiten.321 |
2 | Der Bundesrat kann ihnen weitere Aufgaben zuweisen. Er kann für die Liste nach Absatz 1 Buchstabe n Vorgaben erlassen und weitere Angaben vorsehen.322 |
3 | Bis zum Erlass einer Verfügung entscheiden die IV-Stellen, welche Abklärungen massgebend und notwendig sind.323 |
8.
8.1 Selon la jurisprudence, une décision qui accorde pour la première fois une rente d'invalidité avec effet rétroactif et, en même temps, prévoit sa suppression, réduction et/ou augmentation correspond à une décision de révision au sens de l'art. 17
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SR 830.1 Bundesgesetz vom 6. Oktober 2000 über den Allgemeinen Teil des Sozialversicherungsrechts (ATSG) ATSG Art. 17 Revision der Invalidenrente und anderer Dauerleistungen - 1 Die Invalidenrente wird von Amtes wegen oder auf Gesuch hin für die Zukunft erhöht, herabgesetzt oder aufgehoben, wenn der Invaliditätsgrad einer Rentenbezügerin oder eines Rentenbezügers sich: |
|
1 | Die Invalidenrente wird von Amtes wegen oder auf Gesuch hin für die Zukunft erhöht, herabgesetzt oder aufgehoben, wenn der Invaliditätsgrad einer Rentenbezügerin oder eines Rentenbezügers sich: |
a | um mindestens fünf Prozentpunkte ändert; oder |
b | auf 100 Prozent erhöht.17 |
2 | Auch jede andere formell rechtskräftig zugesprochene Dauerleistung wird von Amtes wegen oder auf Gesuch hin erhöht, herabgesetzt oder aufgehoben, wenn sich der ihr zu Grunde liegende Sachverhalt nachträglich erheblich verändert hat. |
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SR 831.201 Verordnung vom 17. Januar 1961 über die Invalidenversicherung (IVV) IVV Art. 88a Änderung des Anspruchs - 1 Eine Verbesserung der Erwerbsfähigkeit oder der Fähigkeit, sich im Aufgabenbereich zu betätigen, oder eine Verminderung der Hilflosigkeit, des invaliditätsbedingten Betreuungsaufwandes oder Hilfebedarfs ist für die Herabsetzung oder Aufhebung der Leistung von dem Zeitpunkt an zu berücksichtigen, in dem angenommen werden kann, dass sie voraussichtlich längere Zeit dauern wird. Sie ist in jedem Fall zu berücksichtigen, nachdem sie ohne wesentliche Unterbrechung drei Monate gedauert hat und voraussichtlich weiterhin andauern wird. |
|
1 | Eine Verbesserung der Erwerbsfähigkeit oder der Fähigkeit, sich im Aufgabenbereich zu betätigen, oder eine Verminderung der Hilflosigkeit, des invaliditätsbedingten Betreuungsaufwandes oder Hilfebedarfs ist für die Herabsetzung oder Aufhebung der Leistung von dem Zeitpunkt an zu berücksichtigen, in dem angenommen werden kann, dass sie voraussichtlich längere Zeit dauern wird. Sie ist in jedem Fall zu berücksichtigen, nachdem sie ohne wesentliche Unterbrechung drei Monate gedauert hat und voraussichtlich weiterhin andauern wird. |
2 | Eine Verschlechterung der Erwerbsfähigkeit oder der Fähigkeit, sich im Aufgabenbereich zu betätigen, oder eine Zunahme der Hilflosigkeit oder Erhöhung des invaliditätsbedingten Betreuungsaufwandes oder Hilfebedarfs ist zu berücksichtigen, sobald sie ohne wesentliche Unterbrechung drei Monate gedauert hat. Artikel 29bis ist sinngemäss anwendbar. |
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SR 830.1 Bundesgesetz vom 6. Oktober 2000 über den Allgemeinen Teil des Sozialversicherungsrechts (ATSG) ATSG Art. 31 Meldung bei veränderten Verhältnissen - 1 Jede wesentliche Änderung in den für eine Leistung massgebenden Verhältnissen ist von den Bezügerinnen und Bezügern, ihren Angehörigen oder Dritten, denen die Leistung zukommt, dem Versicherungsträger oder dem jeweils zuständigen Durchführungsorgan zu melden. |
|
1 | Jede wesentliche Änderung in den für eine Leistung massgebenden Verhältnissen ist von den Bezügerinnen und Bezügern, ihren Angehörigen oder Dritten, denen die Leistung zukommt, dem Versicherungsträger oder dem jeweils zuständigen Durchführungsorgan zu melden. |
2 | Erhält eine an der Durchführung der Sozialversicherung beteiligte Person oder Stelle Kenntnis davon, dass sich die für die Leistung massgebenden Verhältnisse geändert haben, so ist dies dem Versicherungsträger zu melden. |
8.2 Selon l'art. 17
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SR 830.1 Bundesgesetz vom 6. Oktober 2000 über den Allgemeinen Teil des Sozialversicherungsrechts (ATSG) ATSG Art. 17 Revision der Invalidenrente und anderer Dauerleistungen - 1 Die Invalidenrente wird von Amtes wegen oder auf Gesuch hin für die Zukunft erhöht, herabgesetzt oder aufgehoben, wenn der Invaliditätsgrad einer Rentenbezügerin oder eines Rentenbezügers sich: |
|
1 | Die Invalidenrente wird von Amtes wegen oder auf Gesuch hin für die Zukunft erhöht, herabgesetzt oder aufgehoben, wenn der Invaliditätsgrad einer Rentenbezügerin oder eines Rentenbezügers sich: |
a | um mindestens fünf Prozentpunkte ändert; oder |
b | auf 100 Prozent erhöht.17 |
2 | Auch jede andere formell rechtskräftig zugesprochene Dauerleistung wird von Amtes wegen oder auf Gesuch hin erhöht, herabgesetzt oder aufgehoben, wenn sich der ihr zu Grunde liegende Sachverhalt nachträglich erheblich verändert hat. |
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SR 831.201 Verordnung vom 17. Januar 1961 über die Invalidenversicherung (IVV) IVV Art. 88a Änderung des Anspruchs - 1 Eine Verbesserung der Erwerbsfähigkeit oder der Fähigkeit, sich im Aufgabenbereich zu betätigen, oder eine Verminderung der Hilflosigkeit, des invaliditätsbedingten Betreuungsaufwandes oder Hilfebedarfs ist für die Herabsetzung oder Aufhebung der Leistung von dem Zeitpunkt an zu berücksichtigen, in dem angenommen werden kann, dass sie voraussichtlich längere Zeit dauern wird. Sie ist in jedem Fall zu berücksichtigen, nachdem sie ohne wesentliche Unterbrechung drei Monate gedauert hat und voraussichtlich weiterhin andauern wird. |
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1 | Eine Verbesserung der Erwerbsfähigkeit oder der Fähigkeit, sich im Aufgabenbereich zu betätigen, oder eine Verminderung der Hilflosigkeit, des invaliditätsbedingten Betreuungsaufwandes oder Hilfebedarfs ist für die Herabsetzung oder Aufhebung der Leistung von dem Zeitpunkt an zu berücksichtigen, in dem angenommen werden kann, dass sie voraussichtlich längere Zeit dauern wird. Sie ist in jedem Fall zu berücksichtigen, nachdem sie ohne wesentliche Unterbrechung drei Monate gedauert hat und voraussichtlich weiterhin andauern wird. |
2 | Eine Verschlechterung der Erwerbsfähigkeit oder der Fähigkeit, sich im Aufgabenbereich zu betätigen, oder eine Zunahme der Hilflosigkeit oder Erhöhung des invaliditätsbedingten Betreuungsaufwandes oder Hilfebedarfs ist zu berücksichtigen, sobald sie ohne wesentliche Unterbrechung drei Monate gedauert hat. Artikel 29bis ist sinngemäss anwendbar. |
8.3 Pour examiner s'il y a eu une modification importante du degré d'invalidité justifiant la révision du droit à des prestations au sens de l'art. 17
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SR 830.1 Bundesgesetz vom 6. Oktober 2000 über den Allgemeinen Teil des Sozialversicherungsrechts (ATSG) ATSG Art. 17 Revision der Invalidenrente und anderer Dauerleistungen - 1 Die Invalidenrente wird von Amtes wegen oder auf Gesuch hin für die Zukunft erhöht, herabgesetzt oder aufgehoben, wenn der Invaliditätsgrad einer Rentenbezügerin oder eines Rentenbezügers sich: |
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1 | Die Invalidenrente wird von Amtes wegen oder auf Gesuch hin für die Zukunft erhöht, herabgesetzt oder aufgehoben, wenn der Invaliditätsgrad einer Rentenbezügerin oder eines Rentenbezügers sich: |
a | um mindestens fünf Prozentpunkte ändert; oder |
b | auf 100 Prozent erhöht.17 |
2 | Auch jede andere formell rechtskräftig zugesprochene Dauerleistung wird von Amtes wegen oder auf Gesuch hin erhöht, herabgesetzt oder aufgehoben, wenn sich der ihr zu Grunde liegende Sachverhalt nachträglich erheblich verändert hat. |
9.
L'instruction médicale de la présente cause a notamment porté au dossier la documentation suivante, aussi bien en procédure de première instance qu'en procédure de recours :
- l'avis médical non daté du Dr O._______, médecin traitant spécialisé en médecine générale, exposant que A._______ a subi un traumatisme de la cheville gauche en août 2010 en sautant d'un camion et souffre depuis lors de douleurs empêchant la station debout prolongée et la marche ; le praticien relève qu'un traitement antalgique est régulièrement suivi et préconise un reclassement professionnel, la reprise du travail de paysagiste apparaissant improbable (pce AI 17, p. 5) ;
- le rapport du Centre de chirurgie orthopédique (Dr P._______), à (...), daté du 31 août 2010, diagnostiquant une distorsion de l'articulation supérieure de la cheville gauche avec lésion ligamentaire sans perte significative de stabilité, le praticien recommandant notamment le port, durant environ deux mois à deux mois et demi, d'une chaussure orthopédique adaptée (pce AI 9, p. 7) ;
- les rapports du Service de chirurgie orthopédique et de traumatologie de l'Hôpital Q._______ à (...) (Dr R._______ ) datés des 1er et 22 février 2011 (pce AI 9, p. 10, 14 et 35), 9 février 2011 (pce AI 9, p. 15), 5 avril 2011 (pce AI 9, p. 12) et 3 mai 2011 (pce 9, p. 31), et du Service de radiologie et de médecine nucléaire de l'Hôpital Q._______ à (...) (Dr S._______ , Dr T._______ , Prof. U._______ ) des 1er février 2011 (pce AI 9, p. 14) et 9 février 2011 (pce AI 9, p. 15), retenant, en substance, les diagnostics de traumatisme de l'os du trigone gauche sur une ancienne rupture de la syndesmose antérieure et postérieure de l'articulation supérieure de la cheville gauche avec lésion du ligament talo-fibulaire antérieur et d'ancienne lésion du ligament profond au niveau de la malléole médiale avec arrachement osseux ;
- la lettre datée du 27 mai 2011, adressée au Dr O._______, médecin traitant de l'assuré, par laquelle le Dr V._______ , orthopédiste, rappelle tout d'abord que A._______ a subi un traumatisme indirect de la cheville gauche en août 2010 et que ladite cheville avait déjà fait l'objet en 1998 d'une ligamentoplastie, soit dix [recte : douze] ans auparavant ; le Dr V._______ souligne ensuite, d'une part, les douleurs au niveau du cou-de-pied liées à une arthrose débutante dont souffre le patient, désormais dans l'incapacité d'exercer son métier de paysagiste, et, d'autre part, l'absence d'effet du traitement infiltratif administré (pce AI 9, p. 33) ;
- le rapport du Service de chirurgie orthopédique et de traumatologie de l'Hôpital W._______ (Prof X._______), à (...), daté du 28 juin 2011, lequel précise qu'aucun épisode de torsion n'a causé le traumatisme à la cheville gauche, qui provient d'une impaction au moment de la réception ; revenant sur les douleurs ressenties par A._______, le praticien a précisé : « (...), ce patient présente manifestement des douleurs d'origine cartilagineuse, comme en témoignent l'examen clinique mais aussi le type de douleur(s) qui sont plutôt des douleurs mécaniques, avec nécessité d'un dérouillage matinal et effort. Je partage l'avis de certains de mes confrères qui ont été réticents à la réalisation d'un quelconque geste chirurgical y compris arthroscopique. A mon sens, il ne règlera rien, sur cette cheville fragile qui finalement a décompensé à la suite de ce nouveau traumatisme. Il faut donc poursuivre sur la voie médicale, et peut-être envisag(er) un reclassement professionnel » (pce AI 9, p. 40) ;
- le rapport médical du Service de chirurgie orthopédique et de traumatologie de l'Hôpital Q._______ à (...) (Dr R._______ ) du 13 juillet 2011, adressé à l'assurance C._______ (assureur accident et perte de gain maladie), posant le diagnostic de traumatisme de l'os du trigone gauche sur une ancienne rupture de la syndesmose antérieure et postérieure de l'articulation supérieure de la cheville gauche avec lésion du ligament talo-fibulaire antérieur et une ancienne lésion du ligament profond avec arrachement osseux au niveau de la malléole médiale, entraînant une incapacité de travail totale dans l'activité de paysagiste dès le 31 janvier 2011 et précisant qu'une activité en position assise demeurait très certainement possible (pce AI 9, p. 24 et 25) ;
- la prise de position du Dr Y._______, médecin SMR, généraliste, datée du 30 août 2012, attestant d'une incapacité de travail de A._______ d'au moins 20 % dans son activité habituelle (pce AI 25) ;
- le rapport médical de sortie, daté du 28 janvier 2013, établi par le Centre de Réadaptation de F._______ (Dr Z._______) que l'assuré a fréquenté du 22 octobre 2012 au 25 janvier 2013 pour le traitement de sa cheville gauche et qui diagnostique une « cheville traumatique douloureuse si trop sollicitée » et qui rapporte en particulier qu'à la suite d'un accident de travail survenu en août 2010, l'assuré a subi une entorse de la cheville gauche traitée par voie orthopédique, présente depuis lors une cheville arthrosique, le seul traitement envisageable étant celui d'une arthrodèse (pce AI 67, p. 12 et 13) ;
- un rapport final de réadaptation duquel il ressort que l'assuré ne se sentait pas apte à assumer un emploi à 100 % en raison de ses limitations à marcher et à tenir la position debout de manière prolongée ; durant sa formation d'enseignant, il n'avait dû enseigner qu'à 50 %, l'autre 50 % étant consacré à la formation théorique, et il avait dû recourir au soutien de ses collègues car il ne pouvait pas assurer la surveillance des plus jeunes enfants (en France à partir de 3 ans) en raison des changements d'étages que cette charge impliquait (cf. rapport final de réadaptation du 8 novembre 2016 [pce AI 103, p. 2]) ;
- la prise de position du Dr K._______, médecin SMR, spécialiste en chirurgie orthopédique et traumatologie, datée du 17 août 2017, qui retient, en se basant sur les pièces médicales du dossier, au titre de diagnostic avec incidence sur la capacité de travail, une restriction de la capacité de charge de l'articulation de la cheville gauche (arthrose) entraînant une incapacité totale de travail dans l'activité habituelle de paysagiste dès le 10 août 2010 ; par contre, l'assuré conserve une capacité de travail entière dans une activité adaptée, c'est-à-dire permettant l'alternance spontanée de la charge et s'exerçant principalement en position assise, depuis le 1er octobre 2012, échéance coïncidant avec le terme des indemnités journalières versées par l'assureur-maladie (C._______), jusqu'au 30 septembre 2012 ; estimant médicalement infondée l'affirmation de l'intéressé selon laquelle il ne serait pas apte à exercer à plein temps une activité adaptée, le médecin SMR explique que depuis la remobilisation post-opérative, il ne subsiste aucune limitation fonctionnelle significative entravant l'exercice de l'activité professionnelle dans laquelle l'assuré a été reconverti moyennant les mesures de réadaptation AI ; certes n'existe-t-il pas de constat médical récent, mais il n'y a cependant rien à en attendre, compte tenu de la suspension du traitement médical depuis plusieurs années ; il ne ressort du dossier aucune constatation médicale susceptible de fonder une évaluation différente de celle ressortant de l'avis SMR du 30 août 2012 et aucune ne saurait être attendue à défaut de traitement médical, raison pour laquelle il n'y a pas lieu de procéder à une nouvelle expertise ; seule une arthrose au niveau de l'articulation de la cheville gauche entraînant des douleurs insupportables au repos pourrait en dernier recours être prise en compte et traitée par voie d'arthrodèse ; aucun épuisement des possibilités de traitement n'est documenté au dossier (pce AI 121) ;
- le rapport du Dr L._______, rhumatologue à (...), adressé au Dr O._______, médecin traitant de l'assuré, en date du 10 octobre 2017, qui indique que le patient se plaint de douleurs résiduelles à la cheville gauche en position debout prolongée, mais également dès le matin avec une notion de dérouillage d'environ 5 minutes, qu'il prend peu d'antalgique et que la marche se fait au prix d'une boiterie, l'intéressé se déplaçant avec une canne en T du côté droit ; le bilan radiographique objective des lésions dégénératives débutantes et la présence d'un os trigone accessoire ; le médecin conclut que le tableau clinique et radiologique apparaît relativement stable et ne justifie que la poursuite d'un traitement symptomatique éventuellement associé au port d'une chevillière, A._______ devant limiter au maximum les marches prolongées, en particulier sur terrain irrégulier, de même que la montée et la descente d'escaliers (pce AI 123) ;
- le courrier du 24 octobre 2017 de M._______, psychologue, qui indique suivre en psychothérapie A._______ depuis deux années, ce dernier ayant sollicité cette prise en charge à la suite d'un accident du travail qui l'avait contraint à une reconversion professionnelle ; à la suite de celle-ci, A._______ se trouvait en situation de dépression post-traumatique car il n'arrivait pas à faire le deuil de son précédent travail et avait des difficultés à gérer la douleur à sa cheville ; présentant en outre des troubles de l'humeur, du sommeil et de l'alimentation, A._______ avait été invité à poursuivre les séances de psychothérapie, la dépression impactant au surplus progressivement sa relation de couple (pce AI 129) ;
- la prise de position du 27 octobre 2017 du Dr K._______, médecin SMR spécialisé en chirurgie orthopédique et traumatologie, selon lequel le Dr L._______ indique dans son rapport du 10 octobre 2017 que l'assuré souffre de douleurs résiduelles avec des problèmes de dérouillage matinal contre lesquelles il ne prend toutefois que peu d'antalgiques ; en outre, les constats médicaux retenus par le Dr L._______ établissent comme précédemment et de manière incontestée une fonction limitée de l'articulation de la cheville gauche (mobilité / gonflement / modifications dégénératives débutantes) compatible néanmoins avec l'exercice à plein temps d'une activité lucrative adaptée ; le Dr K._______ en conclut que le rapport du Dr L._______ précité atteste d'une situation relativement inchangée sur les plans clinique et radiologique, qui ne fonde aucune option médicale autre que la poursuite de la thérapie symptomatique éventuellement soutenue par le port d'une orthèse de la cheville et n'objective aucun constat susceptible de modifier les conclusions auxquelles le Dr K._______ est parvenu dans sa précédente prise de position, le 17 août 2017 (pce AI 126) ;
- les rapports du Service d'orthopédie et de traumatologie de l'appareil locomoteur de l'Hôpital cantonal de N._______, à (...), des 12 octobre 2017(AA._______ et AB._______; pce AI 127), 25 octobre 2017 (Drs AC._______ et AB._______) et 9 novembre 2017 (AA._______ et AB._______; annexes nos 3 et 4 pce TAF 10) qui retiennent les diagnostics de suspicion d'arthrose post-traumatique de la cheville gauche avec conflit antéro latéral gauche sur un pes planovalgus préexistant avec insuffisance tibiale postérieure de degré II, sur status post rupture de la syndesmose antérieure en 1998 et sur status post distorsion avec lésion du ligament talo-fibulaire antérieur et lésion du ligament deltoïde avec arrachement osseux de la syndesmose antérieure en 2010 ;
- la prise de position du 14 novembre 2017 du Dr K._______, médecin SMR spécialisé en chirurgie orthopédique et traumatologie, dans laquelle ont été examinés les documents de l'Hôpital cantonal N._______ du 12 octobre 2017, d'une part, et de M._______ du 24 octobre 2017, d'autre part ; le médecin SMR constate que dans le cadre des douleurs résiduelles connues entraînant des limitations fonctionnelles du pied gauche, un nouveau diagnostic susceptible d'entraîner un nouveau processus thérapeutique a été posé, lequel n'est pas de nature à modifier les constats relatifs à l'exigibilité d'une activité lucrative ; sur le plan psychiatrique, le médecin SMR ajoute que le rapport de M._______ n'est pas non plus de nature à modifier l'appréciation de l'exigibilité d'une activité lucrative adaptée dès lors que le psychologue traitant ne fonde pas son diagnostic sur un système de classification reconnu, pas plus qu'il ne documente le suivi d'un traitement spécialisé conforme aux règles de l'art, alors même qu'il appartiendrait à l'assuré de s'y soumettre, ou n'indique que les ressources thérapeutiques seraient épuisées ; le Dr K._______ en conclut que ces documents ne sont pas de nature à modifier sa précédente appréciation médicale (pce AI 130) ;
- le rapport du Service d'orthopédique et de traumatologie de l'appareil locomoteur de l'Hôpital cantonal N._______(Dr AA._______), du 28 novembre 2017, adressé au Dr O._______, qui retient le diagnostic de conflit antéro latéral avec irritation du nerf fibulaire superficiel et du nerf sural de l'articulation de la cheville gauche sur status post rupture de la syndesmose antérieure avec ostéosynthèse en 1998 et status post distorsion avec lésion du ligament talo-fibulaire antérieur et lésion du ligament deltoïde avec arrachement osseux de la syndesmose antérieure en 2010 ; qui précise qu'il n'existe pas d'indication en faveur d'une intervention chirurgicale et préconise le port de semelles orthopédiques, une stabilisation physiothérapeutique et le renforcement de la musculature, une éventuelle infiltration du nerf fibulaire superficiel et sural à titre de thérapie de la douleur étant évoquée ; qui souligne qu'en l'état, la capacité de travail de l'assuré dans son activité adaptée d'enseignant primaire (« Primarlehrer ») ne peut être arrêtée de manière précise, le praticien sollicitant une réévaluation de la situation par l'assurance-invalidité et une convocation en ce sens du patient (pce AI 131) ;
- le certificat médical du Dr O._______, médecin généraliste, daté du 21 septembre 2018, indiquant que l'état de santé de A._______ justifie un travail adapté, à temps partiel (annexe pce TAF 13) ;
- le rapport du 3 octobre 2018 versé en cause en annexe à la duplique du Dr K._______, médecin SMR spécialisé en chirurgie orthopédique et traumatologie, estimant en substance que les rapports des 25 octobre 2017, 9 et 28 novembre 2017 faisant suite aux consultations du recourant à l'Hôpital cantonal N._______ ne permettaient pas de remettre en cause la capacité de travail de ce dernier à plein temps dans l'activité adaptée d'enseignant d'école primaire et cela même en tenant compte des plaintes du recourant portant sur la persistance de douleurs importantes en cas de maintien durable de la position debout ; en effet, cette activité professionnelle était adaptée aux restrictions imposées par l'état de santé de A._______ (annexe pce TAF 15).
10.
10.1 En l'espèce, il est constant que le recourant a subi le 10 août 2010 un traumatisme lui causant depuis lors des douleurs persistantes ainsi qu'une restriction de la charge au niveau de la cheville gauche entraînant une incapacité totale de travail dans son activité lucrative habituelle de paysagiste. Compte tenu de ces troubles, il a été mis au bénéfice d'une rente entière du 1er mars au 31 décembre 2012. Considérant qu'il avait recouvré une capacité entière de travail dans une activité adaptée à partir du 1er octobre 2012, l'OAIE a supprimé le droit à la rente avec effet au 1er janvier 2013 aux termes de la décision litigieuse du 2 mai 2018.
10.2 A l'appui de la décision querellée, l'OAIE s'est principalement fondé sur l'avis du médecin SMR, le Dr K._______, spécialiste en chirurgie orthopédique et en traumatologie de l'appareil locomoteur, formulé le 17 août 2017 (pce AI 121) et compété les 27 octobre 2017 (pce AI 126) et 14 novembre 2017 (pce AI 130). En bref et pour l'essentiel, ce médecin considère que l'assuré présente une restriction de la capacité de charge au niveau de l'articulation de la cheville gauche (arthrose) entraînant une incapacité totale de travail dans l'activité de paysagiste dès le 10 août 2010. En revanche, l'assuré conservait une capacité de travail illimitée dans une activité adaptée c'est-à-dire permettant l'alternance spontanée de la charge et s'exerçant principalement en position assise depuis le 1er octobre 2012 correspondant au premier jour suivant le terme des indemnités journalières versées par l'assureur-maladie jusqu'au 30 septembre 2012. L'affirmation selon laquelle l'assuré ne disposerait pas d'une pleine capacité de travail dans une activité adaptée n'était pas fondée médicalement et une éventuelle arthrose pouvait, en dernier recours, être traitée par voie d'arthrodèse afin d'atténuer des douleurs insupportables au repos (cf. avis SMR du 17 août 2017 [pce AI 121, p. 5]). Dans le cadre des douleurs résiduelles connues entraînant des limitations fonctionnelles du pied gauche, un nouveau diagnostic susceptible d'entraîner un nouveau processus thérapeutique avait été posé, lequel n'était cependant pas de nature à modifier les constats relatifs à l'exigibilité d'une activité lucrative. Sur le plan psychique, le rapport de M._______ n'était pas non plus de nature à modifier l'appréciation de l'exigibilité d'une activité lucrative adaptée dès lors que le psychologue traitant ne fondait pas son diagnostic sur un système de classification reconnu, pas plus qu'il ne documentait le suivi d'un traitement spécialisé conforme aux règles de l'art, alors même qu'il appartenait à l'assuré de s'y soumettre, ni n'indiquait que les ressources thérapeutiques étaient épuisées (cf. avis SMR du 24 novembre 2017 [pce AI 130]).
10.3 Le recourant conteste avoir récupéré une capacité entière de travail dans une activité adaptée. Il se considère « en incapacité de travail professionnelle à 100 % », « même dans une activité adaptée à ses problèmes de santé » (pce TAF 1) en raison de « douleurs quotidiennes que même les nombreux anti-inflammatoires [...] n'arrive(nt) plus à soulager » (pce TAF 18), ajoutant se déplacer avec une canne et ne pouvoir rester longtemps en position debout.
11.
Se fondant sur les développements d'ordre somatique (cf. consid. 11.1) et psychique (cf. consid. 11.2) suivants, la Cour de céans considère que l'OAIE a statué sur la requête de prestations d'invalidité du recourant sur la base d'une instruction respectivement de constatations médicales incomplètes voire inexactes relatives à l'état de santé respectivement à la capacité résiduelle de travail de l'assuré.
11.1 Sur le plan somatique, il apparaît d'emblée que le Dr K._______ fait état dans son rapport du 17 août 2017 d'une remobilisation post-opérative « seit Abschluss der postoperativen Remobilisierung » alors même qu'aucun geste chirurgical n'a été pratiqué à la suite du traumatisme subi par le recourant le 10 août 2010, permettant de douter des constatations médicales prises en compte par le médecin SMR dans son appréciation de l'état de santé respectivement de la capacité résiduelle de travail du recourant.
En outre, lorsque le médecin SMR affirme que la capacité de travail de l'assuré dans une activité lucrative adaptée est entière depuis le 1er octobre 2012, celui-là reprend (pce 121, p. 4), sans la motiver, l'appréciation opérée par l'assureur-maladie (pce AI 117 [voir tout particulièrement p. 10 à 12]) sur la base de considérations juridiques distinctes de celles de l'assurance-invalidité, laquelle ne saurait être reprise sans autres développements dans le cadre de la présente procédure AI. Dite affirmation est de plus contredite notamment par le rapport du 28 novembre 2017 du Dr AA._______, de l'Hôpital Q._______ à (...), selon lequel la capacité de travail de l'assuré dans l'activité considérée comme adaptée d'enseignant primaire demeure indécise et devrait faire l'objet d'une nouvelle évaluation par l'assurance-invalidité (« Der Patient war früher als Gärtner tätig, nun umgeschult als Primarlehrer, aktuell kann keine Einsatzfähigkeit in Prozenten definiert werden. Ich bitte Sie, eine erneute Beurteilung durch die IV zu organisieren und den Patienten hierzu aufzubieten » [pce AI 131]). Au mépris de la jurisprudence (cf. ci-dessus, consid. 7.5.4), les rapports SMR sur lesquels la décision litigieuse se fonde n'exposent pas les motifs pour lesquels il se justifierait de s'écarter du rapport du 28 novembre 2017, cela alors même que le Dr AA._______ y fait mention d'un nouveau diagnostic (conflit antéro latéral avec irritation du nerf fibulaire superficiel et du nerf sural de l'articulation de la cheville gauche), de même qu'il y préconise une éventuelle infiltration du nerf fibulaire superficiel et sural à titre de thérapie de la douleur, ainsi qu'il suggère une réévaluation par l'assurance-invalidité de la capacité de travail de l'assuré dans son activité de reconversion en tant qu'enseignant primaire (« Primarlehrer » ; pour le détail du contenu du rapport du 28 novembre 2017, cf. ci-dessus, consid. 8). Le médecin SMR se borne à affirmer, sans autre développement, que le nouveau diagnostic susceptible d'entraîner un nouveau processus thérapeutique posé n'est pas de nature à modifier les constats relatifs à l'exigibilité d'une activité lucrative, cela aux termes d'un rapport établi le 3 octobre 2018, soit après l'introduction de la procédure de recours, lequel n'emporte pas la conviction de la Cour de céans, dès lors qu'aucune valeur probante ne saurait être accordée à un rapport SMR établi après l'introduction d'une procédure de recours et destiné avant tout à soutenir le point de vue de l'administration (cf. arrêt du Tribunal fédéral 9C_575/2009 du 6 novembre 2009 consid. 3.2.2.2 ; voir également Michel Valterio, op. cit., n° 42 ad art. 57
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SR 831.20 Bundesgesetz vom 19. Juni 1959 über die Invalidenversicherung (IVG) IVG Art. 57 Aufgaben - 1 Die IV-Stellen haben insbesondere folgende Aufgaben: |
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1 | Die IV-Stellen haben insbesondere folgende Aufgaben: |
a | eingliederungsorientierte Beratung; |
b | Früherfassung; |
c | Bestimmung, Durchführung und Überwachung der Massnahmen der Frühintervention einschliesslich der notwendigen Beratung und Begleitung; |
d | Abklärung der versicherungsmässigen Voraussetzungen; |
e | ressourcenorientierte Abklärung der Eingliederungsfähigkeit der versicherten Person unter Einbezug der jeweils relevanten Akteure; |
f | Bestimmung der Eingliederungsmassnahmen unter Einbezug der jeweils relevanten Akteure, Durchführung und Überwachung dieser Massnahmen, Beratung und Begleitung der versicherten Person und deren Arbeitgeber während der Eingliederung und der Rentenprüfung sowie Prüfung der Wiederholung einer Eingliederungsmassnahme und Anpassung des Eingliederungsziels bei Abbruch der Massnahme insbesondere bei jungen Versicherten; |
g | Beratung und Begleitung der versicherten Person und von deren Arbeitgeber nach Abschluss von Eingliederungsmassnahmen oder nach Aufhebung einer Rente; |
h | Beratung und Begleitung von Rentenbezügerinnen und Rentenbezügern mit Eingliederungspotenzial ab dem Zeitpunkt der Berentung; |
i | Bemessung des Invaliditätsgrades, der Hilflosigkeit und der von der versicherten Person benötigten Hilfeleistungen; |
j | Erlass der Verfügungen über die Leistungen der Invalidenversicherung; |
k | Öffentlichkeitsarbeit; |
l | Koordination der medizinischen Massnahmen mit dem Kranken- und Unfallversicherer; |
m | Kontrolle der Rechnungen für die medizinischen Massnahmen; |
n | Führung und Veröffentlichung einer Liste, die insbesondere Angaben zu allen beauftragten Sachverständigen und Gutachterstellen enthält, strukturiert nach Fachbereich, Anzahl jährlich begutachteter Fälle und attestierten Arbeitsunfähigkeiten.321 |
2 | Der Bundesrat kann ihnen weitere Aufgaben zuweisen. Er kann für die Liste nach Absatz 1 Buchstabe n Vorgaben erlassen und weitere Angaben vorsehen.322 |
3 | Bis zum Erlass einer Verfügung entscheiden die IV-Stellen, welche Abklärungen massgebend und notwendig sind.323 |
Dans ses rapports des 17 août 2017 (pce AI 121), 27 octobre 2017 (pce AI 126) et 14 novembre 2017 (pce AI 130), le rhumatologue SMR s'est borné, en bref et pour l'essentiel, à retenir, sur le plan du diagnostic, que le recourant présente une restriction de la capacité de charge de l'articulation de la cheville gauche (arthrose) et à indiquer que les douleurs connues sont susceptibles de trouver une réponse médicale en procédant, le cas échéant, à une arthrodèse. Ce faisant, il reprend à son compte une appréciation médicale isolée (cf. rapport du 28 janvier 2013 du Dr Z._______ du Centre de Réadaptation de F._______ [pce AI 67 p. 12-13]), l'ensemble des autres avis médicaux figurant au dossier ayant écarté l'opportunité d'un geste chirurgical (cf. notamment avis du Prof. X._______ du 28 juin 2011 [pce AI 9, p. 40] ; rapport du 28 novembre 2017 de l'Hôpital cantonal N._______, à (...) [pce AI 131, p. 1]). En outre, il retient, sans autre explication, une capacité entière de travail de l'assuré dans l'activité d'enseignant - laquelle implique la tenue répétée et prolongée de la position debout alors que les marches prolongées sont prohibées malgré les avis contraires des Drs AA._______ (cf. rapport du 28 novembre 2017 [pce AI 131]) et O._______ (cf. rapport du 21 septembre 2018 [annexe pce TAF 13]) et alors même que selon le rapport final de réadaptation du 8 novembre 2016, durant sa formation d'enseignant, le recourant n'a enseigné qu'à 50 %, l'autre 50 % étant consacré à la formation théorique, et qu'il a dû recourir au soutien de ses collègues car il ne pouvait pas assurer la surveillance des plus jeunes enfants (en France à partir de 3 ans) en raison des changements d'étages que cette charge impliquait (cf. rapport final de réadaptation du 8 novembre 2016 [pce AI 103, p. 2]), étant rappelé que la montée et la descente d'escaliers est considérée comme incompatible avec l'état de santé de l'assuré (cf. rapport du Dr L._______ du 10 octobre 2017 [pce AI 123]).
Compte tenu de ce qui précède, la Cour de céans considère que l'OAIE ne pouvait fonder la décision litigieuse sur l'avis SMR exprimé dans les rapports des 17 août 2017 (pce AI 121), 27 octobre 2017 (pce AI 126) et 14 novembre 2017 (pce AI 130) du Dr K._______ pour opposer au recourant, sur le plan somatique, une capacité entière de travail dans l'exercice du métier d'enseignant alors que celui-ci se plaignait, de manière constante, de douleurs récurrentes et persistantes reconnues résultant de troubles dégénératifs de la cheville gauche diagnostiqués en 2011 et qui, en 2017, causaient au patient non seulement des douleurs résiduelles à la cheville gauche en position debout prolongée, mais également dès le matin avec une notion de dérouillage d'environ 5 minutes, ainsi qu'une boiterie, l'intéressé se déplaçant avec une canne en T du côté droit (cf. rapport du Dr L._______, rhumatologue, du 10 octobre 2017 [pce AI 123]), et qu'ils pouvaient se révéler ainsi incompatibles avec l'exercice à plein temps du métier d'enseignant primaire ainsi qu'un spécialiste en orthopédie l'a souligné, en même temps qu'il a émis un nouveau diagnostic (cf. rapport du 28 novembre 2017 du Dr AA._______ [pce AI 131]), suggérant la mise en oeuvre d'un complément d'instruction ignorée par l'assurance-invalidité.
11.2 Sur le plan psychique, le dossier contient un courrier de M._______, docteur en psychologie, daté du 24 octobre 2017, attestant du suivi de l'intéressé en psychothérapie depuis 2015. Il y est notamment fait mention d'une dépression post-traumatique, l'assuré ne parvenant pas à faire le deuil de son activité passée de paysagiste, de troubles de l'humeur, du sommeil et de l'alimentation (pce AI 129, p. 2). En outre, une note de l'Office D._______ datée du 25 janvier 2012 évoquait déjà un état psychique dégradé et un suivi auprès d'un spécialiste en psychiatrie (pce AI 13). Enfin, la décision litigieuse invite l'assuré à suivre un traitement psychiatrique et à épuiser toutes les options diagnostiques et thérapeutiques (pce AI 137, p. 10 : « Es wäre Ihnen aber gemäss RAD zumutbar, sich in eine fachpsychiatrische Behandlung unter Ausschöpfung aller diagnostischen und therapeutischen Optionen zu begeben »), reconnaissant ainsi un potentiel impact de la santé psychique de A._______ sur sa capacité de travail.
Dans ces circonstances, même si dans son rapport du 14 novembre 2017, le Dr K._______, médecin SMR, indique à juste titre que M._______, qui n'est pas médecin psychiatre, ne pose aucun diagnostic psychiatrique fondé sur un système de classification reconnu, l'OAIE ne pouvait pas opposer au recourant une pleine capacité de travail dans une activité adaptée sans procéder à une instruction complémentaire sur le plan psychique.
11.3 En conclusion, compte tenu des divergences dans les avis de praticiens spécialistes ayant examiné l'assuré sous l'angle somatique (ci-dessus, consid. 11.1) et des doutes quant à l'état de santé psychique de l'assuré (ci-dessus, consid. 11.2), l'examen du cas d'espèce ne se résume pas à l'appréciation d'un état de fait médical stabilisé, non contesté et établi de manière concordante par les médecins. Dans ces circonstances, l'OAIE ne pouvait pas statuer sur la seule base des prises de position SMR établies sur dossier les 17 août 2017, 27 octobre 2017 et 14 novembre 2017 par le Dr K._______.
12.
12.1 Au regard des éléments évoqués précédemment, le Tribunal estime qu'il subsiste des doutes quant à l'état de santé du recourant, d'une part, et quant à sa capacité de travail, en particulier dans son activité de reconversion en tant qu'enseignant primaire, d'autre part. En présence de doutes relatifs à la fiabilité des conclusions du médecin-conseil de l'autorité inférieure, principalement s'agissant de la capacité de travail de A._______ dans une activité adaptée, il n'est en l'état actuel pas possible de se prononcer en connaissance de cause sur le droit à la rente. Aussi, le dossier doit-il être renvoyé à l'autorité inférieure afin qu'elle procède aux mesures d'instruction complémentaire nécessaires et propres à clarifier l'état de santé de A._______, respectivement à déterminer sa capacité de travail en application de l'art. 61 al. 1
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SR 172.021 Bundesgesetz vom 20. Dezember 1968 über das Verwaltungsverfahren (Verwaltungsverfahrensgesetz, VwVG) - Verwaltungsverfahrensgesetz VwVG Art. 61 - 1 Die Beschwerdeinstanz entscheidet in der Sache selbst oder weist diese ausnahmsweise mit verbindlichen Weisungen an die Vorinstanz zurück. |
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1 | Die Beschwerdeinstanz entscheidet in der Sache selbst oder weist diese ausnahmsweise mit verbindlichen Weisungen an die Vorinstanz zurück. |
2 | Der Beschwerdeentscheid enthält die Zusammenfassung des erheblichen Sachverhalts, die Begründung (Erwägungen) und die Entscheidungsformel (Dispositiv). |
3 | Er ist den Parteien und der Vorinstanz zu eröffnen. |
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SR 101 Bundesverfassung der Schweizerischen Eidgenossenschaft vom 18. April 1999 BV Art. 29 Allgemeine Verfahrensgarantien - 1 Jede Person hat in Verfahren vor Gerichts- und Verwaltungsinstanzen Anspruch auf gleiche und gerechte Behandlung sowie auf Beurteilung innert angemessener Frist. |
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1 | Jede Person hat in Verfahren vor Gerichts- und Verwaltungsinstanzen Anspruch auf gleiche und gerechte Behandlung sowie auf Beurteilung innert angemessener Frist. |
2 | Die Parteien haben Anspruch auf rechtliches Gehör. |
3 | Jede Person, die nicht über die erforderlichen Mittel verfügt, hat Anspruch auf unentgeltliche Rechtspflege, wenn ihr Rechtsbegehren nicht aussichtslos erscheint. Soweit es zur Wahrung ihrer Rechte notwendig ist, hat sie ausserdem Anspruch auf unentgeltlichen Rechtsbeistand. |
12.2 Avant de statuer sur l'éventuel droit du recourant à une rente pour la période ultérieure au 31 décembre 2012, l'autorité inférieure actualisera le dossier médical et statuera sur la base de l'état de santé présenté par le recourant au moment de la nouvelle décision. Elle entreprendra toutes les investigations nécessaires pour l'établissement complet et actuel de l'état de santé de l'intéressé ainsi que sa capacité de travail. Compte tenu de la maxime inquisitoire prévalant en droit des assurances-sociales et des défauts de l'instruction du dossier ainsi que de la constatation des faits exposés précédemment, elle mettra notamment en oeuvre une expertise médicale pluridisciplinaire en Suisse dans les disciplines de l'orthopédie ou/et de la rhumatologie, de la psychiatrie et de la neurologie ainsi que dans d'autres disciplines si elle l'estime nécessaire (ATF 139 V 349 consid. 3.3). Cette expertise devra principalement déterminer les limitations fonctionnelles de l'assuré et l'évolution de son état de santé depuis le 1er octobre 2012 et évaluer de façon précise et cohérente sa capacité de travail dans une activité lucrative adaptée, en examinant tout particulièrement - ce qui a été omis jusqu'à présent - dite capacité dans l'activité d'enseignant primaire, laquelle peut nécessiter la tenue fréquente et prolongée de la position debout (enseignement au tableau, assistance aux pupitres de l'élève,...) entraînant une mobilisation intense de la cheville gauche. Sur le plan de la santé mentale, elle devra, le cas échéant, répondre aux exigences de la jurisprudence du Tribunal fédéral relative aux troubles somatoformes douloureux et aux affectations psychiques (ATF 143 V 409, 143 V 418 et 141 V 281). Enfin, il s'agira d'investiguer, dans le cadre du volet neurologique de l'expertise, les raisons et éventuelles conséquences de l'inflammation du nerf sciatique évoquée en fin de procédure et qui a été attestée par la médecine du travail (pce TAF 18 et annexe). Pour réaliser cette expertise, l'organisme d'évaluation mandaté devra maîtriser les principes d'évaluation prévalant dans la médecine d'assurance suisse (arrêt du Tribunal fédéral 9C_235/2013 du 10 septembre 2013 consid. 3.2), notamment en application de la plateforme d'attribution aléatoire SuisseMED@P au sens de l'art. 72bis al. 2
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SR 831.201 Verordnung vom 17. Januar 1961 über die Invalidenversicherung (IVV) IVV Art. 72bis - 1 Medizinische Gutachten, an denen drei und mehr Fachdisziplinen beteiligt sind, haben bei einer Gutachterstelle zu erfolgen, mit welcher das BSV eine Vereinbarung getroffen hat. |
|
1 | Medizinische Gutachten, an denen drei und mehr Fachdisziplinen beteiligt sind, haben bei einer Gutachterstelle zu erfolgen, mit welcher das BSV eine Vereinbarung getroffen hat. |
1bis | Medizinische Gutachten, an denen zwei Fachdisziplinen beteiligt sind, haben bei einer Gutachterstelle oder einem Sachverständigen-Zweierteam zu erfolgen, mit der oder dem das BSV eine Vereinbarung getroffen hat.304 |
2 | Die Vergabe der Aufträge erfolgt nach dem Zufallsprinzip. |
13.
Au demeurant, la Cour de céans indique qu'il n'est pas nécessaire d'attirer l'attention du recourant sur la possibilité de retirer son recours, dès lors qu'il n'encourt pas le risque d'une reformatio in pejus (cf. ATF 137 V 314 consid. 3.2.4), le droit à une rente entière d'invalidité du 1er mars 2012 au 31 décembre 2012 étant incontesté tant par les parties que par les éléments figurant au dossier. En effet, tous les médecins consultés s'accordent sur le fait qu'entre le 10 août 2010 et le 1er octobre 2012, l'assuré était totalement inapte au travail, quelle que soit l'activité lucrative, considérations partagées par l'intégralité des praticiens qui se sont prononcés à ce propos au cours de la présente procédure.
14.
Sur le vu de ce qui précède, le recours doit être admis. Partant, la décision du 2 mai 2018, en tant qu'elle reconnaît au recourant le droit à l'octroi d'une rente entière d'invalidité du 1er mars 2012 au 31 décembre 2012, est confirmée. Elle est annulée au surplus. La cause est renvoyée à l'autorité inférieure pour instruction complémentaire afin d'établir la capacité de travail du recourant à compter du 1er octobre 2012 et nouvelle décision quant au droit à la rente au-delà du 1er janvier 2013.
15.
15.1 Etant donné l'issue du litige, il n'y a pas lieu de percevoir des frais de procédure. Le recourant a en effet obtenu gain de cause par le renvoi de l'affaire à l'OAIE (cf. ATF 132 V 215 consid. 2.6) et aucun frais de procédure ne peut être mis à la charge de l'autorité inférieure (art. 63 al. 2
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SR 172.021 Bundesgesetz vom 20. Dezember 1968 über das Verwaltungsverfahren (Verwaltungsverfahrensgesetz, VwVG) - Verwaltungsverfahrensgesetz VwVG Art. 63 - 1 Die Beschwerdeinstanz auferlegt in der Entscheidungsformel die Verfahrenskosten, bestehend aus Spruchgebühr, Schreibgebühren und Barauslagen, in der Regel der unterliegenden Partei. Unterliegt diese nur teilweise, so werden die Verfahrenskosten ermässigt. Ausnahmsweise können sie ihr erlassen werden. |
|
1 | Die Beschwerdeinstanz auferlegt in der Entscheidungsformel die Verfahrenskosten, bestehend aus Spruchgebühr, Schreibgebühren und Barauslagen, in der Regel der unterliegenden Partei. Unterliegt diese nur teilweise, so werden die Verfahrenskosten ermässigt. Ausnahmsweise können sie ihr erlassen werden. |
2 | Keine Verfahrenskosten werden Vorinstanzen oder beschwerdeführenden und unterliegenden Bundesbehörden auferlegt; anderen als Bundesbehörden, die Beschwerde führen und unterliegen, werden Verfahrenskosten auferlegt, soweit sich der Streit um vermögensrechtliche Interessen von Körperschaften oder autonomen Anstalten dreht. |
3 | Einer obsiegenden Partei dürfen nur Verfahrenskosten auferlegt werden, die sie durch Verletzung von Verfahrenspflichten verursacht hat. |
4 | Die Beschwerdeinstanz, ihr Vorsitzender oder der Instruktionsrichter erhebt vom Beschwerdeführer einen Kostenvorschuss in der Höhe der mutmasslichen Verfahrenskosten. Zu dessen Leistung ist dem Beschwerdeführer eine angemessene Frist anzusetzen unter Androhung des Nichteintretens. Wenn besondere Gründe vorliegen, kann auf die Erhebung des Kostenvorschusses ganz oder teilweise verzichtet werden.102 |
4bis | Die Spruchgebühr richtet sich nach Umfang und Schwierigkeit der Streitsache, Art der Prozessführung und finanzieller Lage der Parteien. Sie beträgt: |
a | in Streitigkeiten ohne Vermögensinteresse 100-5000 Franken; |
b | in den übrigen Streitigkeiten 100-50 000 Franken.103 |
5 | Der Bundesrat regelt die Bemessung der Gebühren im Einzelnen.104 Vorbehalten bleiben Artikel 16 Absatz 1 Buchstabe a des Verwaltungsgerichtsgesetzes vom 17. Juni 2005105 und Artikel 73 des Strafbehördenorganisationsgesetzes vom 19. März 2010106.107 |
Partant l'avance de frais acquittée le 25 juin 2018 sera restituée au recourant à l'entrée en force du présent arrêt.
15.2 Selon l'art. 64 al. 1
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SR 172.021 Bundesgesetz vom 20. Dezember 1968 über das Verwaltungsverfahren (Verwaltungsverfahrensgesetz, VwVG) - Verwaltungsverfahrensgesetz VwVG Art. 64 - 1 Die Beschwerdeinstanz kann der ganz oder teilweise obsiegenden Partei von Amtes wegen oder auf Begehren eine Entschädigung für ihr erwachsene notwendige und verhältnismässig hohe Kosten zusprechen. |
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1 | Die Beschwerdeinstanz kann der ganz oder teilweise obsiegenden Partei von Amtes wegen oder auf Begehren eine Entschädigung für ihr erwachsene notwendige und verhältnismässig hohe Kosten zusprechen. |
2 | Die Entschädigung wird in der Entscheidungsformel beziffert und der Körperschaft oder autonomen Anstalt auferlegt, in deren Namen die Vorinstanz verfügt hat, soweit sie nicht einer unterliegenden Gegenpartei auferlegt werden kann. |
3 | Einer unterliegenden Gegenpartei kann sie je nach deren Leistungsfähigkeit auferlegt werden, wenn sich die Partei mit selbständigen Begehren am Verfahren beteiligt hat. |
4 | Die Körperschaft oder autonome Anstalt, in deren Namen die Vorinstanz verfügt hat, haftet für die einer unterliegenden Gegenpartei auferlegte Entschädigung, soweit sich diese als uneinbringlich herausstellt. |
5 | Der Bundesrat regelt die Bemessung der Entschädigung.108 Vorbehalten bleiben Artikel 16 Absatz 1 Buchstabe a des Verwaltungsgerichtsgesetzes vom 17. Juni 2005109 und Artikel 73 des Strafbehördenorganisationsgesetzes vom 19. März 2010110.111 |
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SR 173.320.2 Reglement vom 21. Februar 2008 über die Kosten und Entschädigungen vor dem Bundesverwaltungsgericht (VGKE) VGKE Art. 14 Festsetzung der Parteientschädigung - 1 Die Parteien, die Anspruch auf Parteientschädigung erheben, und die amtlich bestellten Anwälte und Anwältinnen haben dem Gericht vor dem Entscheid eine detaillierte Kostennote einzureichen. |
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1 | Die Parteien, die Anspruch auf Parteientschädigung erheben, und die amtlich bestellten Anwälte und Anwältinnen haben dem Gericht vor dem Entscheid eine detaillierte Kostennote einzureichen. |
2 | Das Gericht setzt die Parteientschädigung und die Entschädigung für die amtlich bestellten Anwälte und Anwältinnen auf Grund der Kostennote fest. Wird keine Kostennote eingereicht, so setzt das Gericht die Entschädigung auf Grund der Akten fest. |
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SR 173.320.2 Reglement vom 21. Februar 2008 über die Kosten und Entschädigungen vor dem Bundesverwaltungsgericht (VGKE) VGKE Art. 14 Festsetzung der Parteientschädigung - 1 Die Parteien, die Anspruch auf Parteientschädigung erheben, und die amtlich bestellten Anwälte und Anwältinnen haben dem Gericht vor dem Entscheid eine detaillierte Kostennote einzureichen. |
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1 | Die Parteien, die Anspruch auf Parteientschädigung erheben, und die amtlich bestellten Anwälte und Anwältinnen haben dem Gericht vor dem Entscheid eine detaillierte Kostennote einzureichen. |
2 | Das Gericht setzt die Parteientschädigung und die Entschädigung für die amtlich bestellten Anwälte und Anwältinnen auf Grund der Kostennote fest. Wird keine Kostennote eingereicht, so setzt das Gericht die Entschädigung auf Grund der Akten fest. |
En l'espèce, il apparaît équitable d'allouer au recourant, représenté par le Comité de protection des travailleurs frontaliers européens, à charge de l'OAIE, une indemnité à titre de dépens fixée à 600 francs (frais compris ; cf. art. 9 al. 1 let. c
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SR 173.320.2 Reglement vom 21. Februar 2008 über die Kosten und Entschädigungen vor dem Bundesverwaltungsgericht (VGKE) VGKE Art. 9 Kosten der Vertretung - 1 Die Kosten der Vertretung umfassen: |
|
1 | Die Kosten der Vertretung umfassen: |
a | das Anwaltshonorar oder die Entschädigung für eine nichtanwaltliche berufsmässige Vertretung; |
b | die Auslagen, namentlich die Kosten für das Kopieren von Schriftstücken, die Reise-, Verpflegungs- und Unterkunftskosten, die Porti und die Telefonspesen; |
c | die Mehrwertsteuer für die Entschädigungen nach den Buchstaben a und b, soweit eine Steuerpflicht besteht und die Mehrwertsteuer nicht bereits berücksichtigt wurde. |
2 | Keine Entschädigung ist geschuldet, wenn der Vertreter oder die Vertreterin in einem Arbeitsverhältnis zur Partei steht. |
(Le dispositif est porté à la page suivante)
Par ces motifs, le Tribunal administratif fédéral prononce :
1.
Le recours est admis et la décision du 2 mai 2018 de l'OAIE est annulée dans la mesure où elle dénie à l'assuré tout droit à la rente à partir du 1er janvier 2013, la cause étant renvoyée à l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger qui rendra une nouvelle décision après avoir complété sur le point précité l'instruction du dossier conformément aux considérants du présent arrêt. La décision litigieuse est confirmée dans la mesure où elle reconnaît à l'assuré le droit à une rente entière d'invalidité du 1er mars 2012 au 31 décembre 2012.
2.
Il n'est pas perçu de frais de procédure. L'avance sur les frais de procédure présumés, d'un montant de 800 francs, sera remboursée au recourant à l'entrée en force du présent arrêt.
3.
Il est alloué au recourant une indemnité de dépens de 600 francs, à charge de l'autorité inférieure.
4.
Le présent arrêt est adressé :
- au recourant (recommandé avec avis de réception)
- à l'autorité inférieure (n° de réf. [...] ; recommandé)
- à l'Office fédéral des assurances sociales (recommandé)
L'indication des voies de droit se trouve à la page suivante.
La présidente du collège : Le greffier :
Caroline Gehring Jean-Luc Bettin
Indication des voies de droit :
Pour autant que les conditions au sens des art. 82 ss
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SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 82 Grundsatz - Das Bundesgericht beurteilt Beschwerden: |
|
a | gegen Entscheide in Angelegenheiten des öffentlichen Rechts; |
b | gegen kantonale Erlasse; |
c | betreffend die politische Stimmberechtigung der Bürger und Bürgerinnen sowie betreffend Volkswahlen und -abstimmungen. |
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SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 90 Endentscheide - Die Beschwerde ist zulässig gegen Entscheide, die das Verfahren abschliessen. |
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SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 48 Einhaltung - 1 Eingaben müssen spätestens am letzten Tag der Frist beim Bundesgericht eingereicht oder zu dessen Handen der Schweizerischen Post oder einer schweizerischen diplomatischen oder konsularischen Vertretung übergeben werden. |
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1 | Eingaben müssen spätestens am letzten Tag der Frist beim Bundesgericht eingereicht oder zu dessen Handen der Schweizerischen Post oder einer schweizerischen diplomatischen oder konsularischen Vertretung übergeben werden. |
2 | Im Falle der elektronischen Einreichung ist für die Wahrung einer Frist der Zeitpunkt massgebend, in dem die Quittung ausgestellt wird, die bestätigt, dass alle Schritte abgeschlossen sind, die auf der Seite der Partei für die Übermittlung notwendig sind.20 |
3 | Die Frist gilt auch als gewahrt, wenn die Eingabe rechtzeitig bei der Vorinstanz oder bei einer unzuständigen eidgenössischen oder kantonalen Behörde eingereicht worden ist. Die Eingabe ist unverzüglich dem Bundesgericht zu übermitteln. |
4 | Die Frist für die Zahlung eines Vorschusses oder für eine Sicherstellung ist gewahrt, wenn der Betrag rechtzeitig zu Gunsten des Bundesgerichts der Schweizerischen Post übergeben oder einem Post- oder Bankkonto in der Schweiz belastet worden ist. |
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SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 42 Rechtsschriften - 1 Rechtsschriften sind in einer Amtssprache abzufassen und haben die Begehren, deren Begründung mit Angabe der Beweismittel und die Unterschrift zu enthalten. |
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1 | Rechtsschriften sind in einer Amtssprache abzufassen und haben die Begehren, deren Begründung mit Angabe der Beweismittel und die Unterschrift zu enthalten. |
1bis | Wurde in einer Zivilsache das Verfahren vor der Vorinstanz in englischer Sprache geführt, so können Rechtsschriften in dieser Sprache abgefasst werden.14 |
2 | In der Begründung ist in gedrängter Form darzulegen, inwiefern der angefochtene Akt Recht verletzt. Ist eine Beschwerde nur unter der Voraussetzung zulässig, dass sich eine Rechtsfrage von grundsätzlicher Bedeutung stellt oder aus anderen Gründen ein besonders bedeutender Fall vorliegt, so ist auszuführen, warum die jeweilige Voraussetzung erfüllt ist. 15 16 |
3 | Die Urkunden, auf die sich die Partei als Beweismittel beruft, sind beizulegen, soweit die Partei sie in Händen hat; richtet sich die Rechtsschrift gegen einen Entscheid, so ist auch dieser beizulegen. |
4 | Bei elektronischer Einreichung muss die Rechtsschrift von der Partei oder ihrem Vertreter beziehungsweise ihrer Vertreterin mit einer qualifizierten elektronischen Signatur gemäss Bundesgesetz vom 18. März 201617 über die elektronische Signatur versehen werden. Das Bundesgericht bestimmt in einem Reglement: |
a | das Format der Rechtsschrift und ihrer Beilagen; |
b | die Art und Weise der Übermittlung; |
c | die Voraussetzungen, unter denen bei technischen Problemen die Nachreichung von Dokumenten auf Papier verlangt werden kann.18 |
5 | Fehlen die Unterschrift der Partei oder ihrer Vertretung, deren Vollmacht oder die vorgeschriebenen Beilagen oder ist die Vertretung nicht zugelassen, so wird eine angemessene Frist zur Behebung des Mangels angesetzt mit der Androhung, dass die Rechtsschrift sonst unbeachtet bleibt. |
6 | Unleserliche, ungebührliche, unverständliche, übermässig weitschweifige oder nicht in einer Amtssprache verfasste Rechtsschriften können in gleicher Weise zur Änderung zurückgewiesen werden. |
7 | Rechtsschriften, die auf querulatorischer oder rechtsmissbräuchlicher Prozessführung beruhen, sind unzulässig. |
Expédition :