Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
6B 665/2022
Urteil vom 14. September 2022
Strafrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichterin Jacquemoud-Rossari, Präsidentin,
Bundesrichter Muschietti,
Bundesrichterin van de Graaf,
Bundesrichterin Koch,
Bundesrichter Hurni,
Gerichtsschreiberin Pasquini.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Thomas Fingerhuth,
Beschwerdeführer,
gegen
Staatsanwaltschaft des Kantons Basel-Stadt, Binningerstrasse 21, 4051 Basel,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Mehrfacher Mord, versuchter Mord, mehrfache Gefährdung des Lebens etc.; Strafzumessung; Willkür etc.,
Beschwerde gegen das Urteil des Appellationsgerichts des Kantons Basel-Stadt, Kammer, vom 17. Dezember 2021 (SB.2019.37).
Sachverhalt:
A.
Die Staatsanwaltschaft Basel-Stadt wirft A.________ in der Anklageschrift vom 25. Juni 2018 zusammengefasst vor, am 9. März 2017 kurz vor 20.09 Uhr mit einer weiteren Person (beide mit gezogenen Schusswaffen) das Café B.________ betreten zu haben. Während einer der beiden die anwesenden Personen mit der Waffe in Schach gehalten habe, habe der andere in schneller Folge gesamthaft fünf Schüsse aus kurzer Distanz gezielt auf Körper bzw. Kopf der völlig überraschten C.________, D.________ und E.________ abgegeben. Vier Schüsse hätten ihr Ziel getroffen, während der fünfte Schuss ein Fenster durchschlagen und in die gegenüberliegende Häuserfassade eingeschlagen sei. D.________ habe einen Bauchschuss erlitten, an dessen Folge er verstorben sei. E.________ sei im linken Hüftbereich getroffen worden und habe neben dem Bruch des 5. Lendenwirbels und Weichteilverletzungen einen Bandscheibenvorfall, alternativ ein Hämatom sowie eine kleinere Blutung erlitten. Es habe jedoch potentielle Lebensgefahr bestanden. Als C.________ trotz der Schussverletzung in seiner Bauchregion weiter auf den Schützen zugegangen sei, habe jener einen weiteren Schuss abgegeben, der ihn in der Stirnmitte getroffen habe und tödlich gewesen sei.
B.
Das Strafgericht des Kantons Basel-Stadt sprach A.________ am 13. Dezember 2018 des mehrfachen Mordes, des versuchten Mordes, der mehrfachen Gefährdung des Lebens und des Vergehens gegen das Waffengesetz schuldig. Es bestrafte ihn mit einer lebenslänglichen Freiheitsstrafe, unter Anrechnung der Haft, verwies ihn für 15 Jahre des Landes und ordnete die Ausschreibung der Landesverweisung im Schengener Informationssystem (SIS) an. Zudem widerrief es den ihm von der Staatsanwaltschaft Basel-Stadt am 11. März 2016 für eine Geldstrafe von 45 Tagessätzen gewährten bedingten Strafvollzug.
Auf Berufung von A.________ bestätigte das Appellationsgericht des Kantons Basel-Stadt am 17. Dezember 2021 das strafgerichtliche Urteil vollumfänglich.
C.
A.________ führt Beschwerde in Strafsachen und beantragt, das Urteil des Appellationsgerichts des Kantons Basel-Stadt vom 17. Dezember 2021 sei aufzuheben und er sei vom Vorwurf des mehrfachen Mordes, des versuchten Mordes, der mehrfachen Gefährdung des Lebens und des Vergehens gegen das Waffengesetz freizusprechen. Eventualiter sei das Urteil aufzuheben und die Sache zur neuen Beurteilung an die Vorinstanz zurückzuweisen. Ferner ersucht A.________ um Gewährung der unentgeltlichen Rechtspflege und Verbeiständung.
Erwägungen:
1.
1.1. Der Beschwerdeführer wendet ein, die weitschweifige Anklageschrift vom 25. Juni 2018 genüge den gesetzlichen Anforderungen nicht (Beschwerde S. 13 Ziff. 28). Er unterlässt es allerdings, diese Rüge zu begründen, weshalb darauf nicht eingetreten werden kann (Art. 42 Abs. 2

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
1.2. Eventualiter macht der Beschwerdeführer sodann eine Verletzung von Art. 116

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 116 Motifs de recours - Le recours constitutionnel peut être formé pour violation des droits constitutionnels. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 118 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis en violation du droit au sens de l'art. 116. |

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 113 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours constitutionnels contre les décisions des autorités cantonales de dernière instance qui ne peuvent faire l'objet d'aucun recours selon les art. 72 à 89. |
2.
Der Beschwerdeführer rügt, die Vorinstanz komme ihrer Begründungspflicht nicht nach und verletze damit Art. 112 Abs. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 112 Notification des décisions - 1 Les décisions qui peuvent faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral sont notifiées aux parties par écrit. Elles doivent contenir: |
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1 | Les décisions qui peuvent faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral sont notifiées aux parties par écrit. Elles doivent contenir: |
a | les conclusions, les allégués, les moyens de preuves offerts et les déterminations des parties lorsqu'elles ne résultent pas des pièces du dossier; |
b | les motifs déterminants de fait et de droit, notamment les dispositions légales appliquées; |
c | le dispositif; |
d | l'indication des voies de droit, y compris la mention de la valeur litigieuse dans les cas où la présente loi requiert une valeur litigieuse minimale. |
2 | Si le droit fédéral ou le droit cantonal le prévoit, l'autorité notifie généralement sa décision rapidement sans la motiver.105 Les parties peuvent alors en demander, dans les 30 jours, une expédition complète. La décision ne peut pas être exécutée avant que ce délai soit échu sans avoir été utilisé ou que l'expédition complète soit notifiée. |
3 | Si une décision attaquée ne satisfait pas aux exigences fixées à l'al. 1, le Tribunal fédéral peut soit la renvoyer à l'autorité cantonale en invitant celle-ci à la parfaire, soit l'annuler. |
4 | Dans les domaines où les autorités fédérales ont qualité pour recourir devant le Tribunal fédéral, le Conseil fédéral détermine quelles décisions les autorités cantonales doivent leur notifier. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 81 Teneur des prononcés de clôture - 1 Les jugements et autres prononcés clôturant la procédure contiennent: |
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1 | Les jugements et autres prononcés clôturant la procédure contiennent: |
a | une introduction; |
b | un exposé des motifs; |
c | un dispositif; |
d | s'ils sont sujets à recours, l'indication des voies de droit. |
2 | L'introduction contient: |
a | la désignation de l'autorité pénale et celle de ses membres qui ont concouru au prononcé; |
b | la date du prononcé; |
c | une désignation suffisante des parties et de leurs conseils juridiques; |
d | s'agissant d'un jugement, les conclusions finales des parties. |
3 | L'exposé des motifs contient: |
a | dans un jugement, l'appréciation en fait et en droit du comportement reproché au prévenu, ainsi que la motivation des sanctions, des effets accessoires ainsi que des frais et des indemnités; |
b | dans un autre prononcé de clôture, les motifs du règlement de la procédure tel qu'il est envisagé. |
4 | Le dispositif contient: |
a | la désignation des dispositions légales dont il a été fait application; |
b | dans un jugement, le prononcé relatif à la culpabilité et à la sanction, aux frais, aux indemnités et aux éventuelles conclusions civiles; |
c | dans un autre prononcé de clôture, l'ordonnance concernant le règlement de la procédure; |
d | les décisions judiciaires ultérieures; |
e | le prononcé relatif aux effets accessoires; |
f | la désignation des personnes et des autorités qui reçoivent copie du prononcé ou du dispositif. |
Die Vorinstanz begründet ihren Entscheid teilweise sehr knapp, aber insgesamt gerade noch ausreichend. Weiter lässt sich dem angefochtenen Entscheid entnehmen, dass die Vorinstanz den angeklagten Sachverhalt auch in tatsächlicher Hinsicht autonom und umfassend beurteilt. Entgegen der Kritik des Beschwerdeführers geht daraus auch genügend klar hervor, von welchem festgestellten Sachverhalt sie ausgeht. Namentlich auch betreffend Mittäterschaft enthält der angefochtene Entscheid hinreichend tatsächliche Feststellungen und die diesbezüglichen Erwägungen der Vorinstanz sind ohne Weiteres nachvollziehbar (vgl. Beschwerde S. 14 Ziff. 30; Urteil S. 32 ff. E. 4.1.3). Eine Verletzung des Anspruchs auf rechtliches Gehör des Beschwerdeführers oder von Art. 112 Abs. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 112 Notification des décisions - 1 Les décisions qui peuvent faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral sont notifiées aux parties par écrit. Elles doivent contenir: |
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1 | Les décisions qui peuvent faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral sont notifiées aux parties par écrit. Elles doivent contenir: |
a | les conclusions, les allégués, les moyens de preuves offerts et les déterminations des parties lorsqu'elles ne résultent pas des pièces du dossier; |
b | les motifs déterminants de fait et de droit, notamment les dispositions légales appliquées; |
c | le dispositif; |
d | l'indication des voies de droit, y compris la mention de la valeur litigieuse dans les cas où la présente loi requiert une valeur litigieuse minimale. |
2 | Si le droit fédéral ou le droit cantonal le prévoit, l'autorité notifie généralement sa décision rapidement sans la motiver.105 Les parties peuvent alors en demander, dans les 30 jours, une expédition complète. La décision ne peut pas être exécutée avant que ce délai soit échu sans avoir été utilisé ou que l'expédition complète soit notifiée. |
3 | Si une décision attaquée ne satisfait pas aux exigences fixées à l'al. 1, le Tribunal fédéral peut soit la renvoyer à l'autorité cantonale en invitant celle-ci à la parfaire, soit l'annuler. |
4 | Dans les domaines où les autorités fédérales ont qualité pour recourir devant le Tribunal fédéral, le Conseil fédéral détermine quelles décisions les autorités cantonales doivent leur notifier. |
3.
Der Beschwerdeführer bringt in verfahrensrechtlicher Hinsicht ferner vor, die Vorinstanz berücksichtige Beweise, die nicht prozesskonform erhoben worden seien. Damit verletze sie Art. 389 Abs. 2 lit. b

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
|
1 | La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
2 | L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si: |
a | les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes; |
b | l'administration des preuves était incomplète; |
c | les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables. |
3 | L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours. |
3.1. Das Berufungsverfahren setzt das Strafverfahren fort und richtet sich nach den Bestimmungen über die erstinstanzliche Hauptverhandlung (Art. 405 Abs. 1

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 405 Procédure orale - 1 Les dispositions sur les débats de première instance s'appliquent par analogie aux débats d'appel. |
|
1 | Les dispositions sur les débats de première instance s'appliquent par analogie aux débats d'appel. |
2 | La direction de la procédure cite à comparaître aux débats d'appel le prévenu ou la partie plaignante qui a déclaré l'appel ou l'appel joint. Dans les cas simples, elle peut, à leur demande, les dispenser de participer aux débats et les autoriser à déposer par écrit leurs conclusions motivées. |
3 | Elle cite le ministère public à comparaître aux débats: |
a | dans les cas visés à l'art. 337, al. 3 et 4; |
b | s'il a déclaré l'appel ou l'appel joint. |
4 | Si le ministère public n'est pas cité à comparaître, il peut déposer par écrit ses conclusions ainsi que la motivation à l'appui de celles-ci ou comparaître en personne. |
Gemäss Art. 389 Abs. 1

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
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1 | La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
2 | L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si: |
a | les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes; |
b | l'administration des preuves était incomplète; |
c | les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables. |
3 | L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
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1 | La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
2 | L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si: |
a | les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes; |
b | l'administration des preuves était incomplète; |
c | les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables. |
3 | L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours. |
3.2. Im Einzelnen kritisiert der Beschwerdeführer, die Vorinstanz stütze ihre Sachverhaltsfeststellungen in weiten Teilen auf die DNA-Spuren und -analysen. Dies sei nicht zulässig, da allfällige Erkenntnisse aus seinem DNA-Profil einem absoluten Beweisverwertungsverbot unterliegen würden. Die Anordnung einer DNA-Analyse erfordere, dass diese der zwangsmassnahmenunterworfenen Person i.S.v. Art. 85 Abs. 1

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 85 Forme des communications et des notifications - 1 Sauf disposition contraire du présent code, les communications des autorités pénales sont notifiées en la forme écrite. |
|
1 | Sauf disposition contraire du présent code, les communications des autorités pénales sont notifiées en la forme écrite. |
2 | Les autorités pénales notifient leurs prononcés par lettre signature ou par tout autre mode de communication impliquant un accusé de réception, notamment par l'entremise de la police. |
3 | Le prononcé est réputé notifié lorsqu'il a été remis au destinataire, à l'un de ses employés ou à toute personne de plus de seize ans vivant dans le même ménage. Les directives des autorités pénales concernant une communication à adresser personnellement au destinataire sont réservées. |
4 | Le prononcé est également réputé notifié: |
a | lorsque, expédié par lettre signature, il n'a pas été retiré dans les sept jours à compter de la tentative infructueuse de remise du pli, si la personne concernée devait s'attendre à une telle remise; |
b | lorsque, notifié personnellement, il a été refusé et que ce refus a été dûment constaté le jour même par la personne chargée de remettre le pli. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 85 Forme des communications et des notifications - 1 Sauf disposition contraire du présent code, les communications des autorités pénales sont notifiées en la forme écrite. |
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1 | Sauf disposition contraire du présent code, les communications des autorités pénales sont notifiées en la forme écrite. |
2 | Les autorités pénales notifient leurs prononcés par lettre signature ou par tout autre mode de communication impliquant un accusé de réception, notamment par l'entremise de la police. |
3 | Le prononcé est réputé notifié lorsqu'il a été remis au destinataire, à l'un de ses employés ou à toute personne de plus de seize ans vivant dans le même ménage. Les directives des autorités pénales concernant une communication à adresser personnellement au destinataire sont réservées. |
4 | Le prononcé est également réputé notifié: |
a | lorsque, expédié par lettre signature, il n'a pas été retiré dans les sept jours à compter de la tentative infructueuse de remise du pli, si la personne concernée devait s'attendre à une telle remise; |
b | lorsque, notifié personnellement, il a été refusé et que ce refus a été dûment constaté le jour même par la personne chargée de remettre le pli. |
3.2.1. Die Strafprozessordnung enthält Bestimmungen zu den verbotenen Beweiserhebungen (Art. 140

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 140 Méthodes d'administration des preuves interdites - 1 Les moyens de contrainte, le recours à la force, les menaces, les promesses, la tromperie et les moyens susceptibles de restreindre les facultés intellectuelles ou le libre arbitre sont interdits dans l'administration des preuves. |
|
1 | Les moyens de contrainte, le recours à la force, les menaces, les promesses, la tromperie et les moyens susceptibles de restreindre les facultés intellectuelles ou le libre arbitre sont interdits dans l'administration des preuves. |
2 | Ces méthodes sont interdites même si la personne concernée a consenti à leur mise en oeuvre. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 141 Exploitation des moyens de preuves obtenus illégalement - 1 Les preuves administrées en violation de l'art. 140 ne sont en aucun cas exploitables. Il en va de même lorsque le présent code dispose qu'une preuve n'est pas exploitable. |
|
1 | Les preuves administrées en violation de l'art. 140 ne sont en aucun cas exploitables. Il en va de même lorsque le présent code dispose qu'une preuve n'est pas exploitable. |
2 | Les preuves qui ont été administrées d'une manière illicite ou en violation de règles de validité par les autorités pénales ne sont pas exploitables, à moins que leur exploitation soit indispensable pour élucider des infractions graves. |
3 | Les preuves qui ont été administrées en violation de prescriptions d'ordre sont exploitables. |
4 | Si un moyen de preuve est recueilli grâce à une preuve non exploitable au sens de l'al. 1 ou 2, il n'est exploitable que s'il aurait pu être recueilli même sans l'administration de la première preuve.77 |
5 | Les pièces relatives aux moyens de preuves non exploitables doivent être retirées du dossier pénal, conservées à part jusqu'à la clôture définitive de la procédure, puis détruites. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 141 Exploitation des moyens de preuves obtenus illégalement - 1 Les preuves administrées en violation de l'art. 140 ne sont en aucun cas exploitables. Il en va de même lorsque le présent code dispose qu'une preuve n'est pas exploitable. |
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1 | Les preuves administrées en violation de l'art. 140 ne sont en aucun cas exploitables. Il en va de même lorsque le présent code dispose qu'une preuve n'est pas exploitable. |
2 | Les preuves qui ont été administrées d'une manière illicite ou en violation de règles de validité par les autorités pénales ne sont pas exploitables, à moins que leur exploitation soit indispensable pour élucider des infractions graves. |
3 | Les preuves qui ont été administrées en violation de prescriptions d'ordre sont exploitables. |
4 | Si un moyen de preuve est recueilli grâce à une preuve non exploitable au sens de l'al. 1 ou 2, il n'est exploitable que s'il aurait pu être recueilli même sans l'administration de la première preuve.77 |
5 | Les pièces relatives aux moyens de preuves non exploitables doivent être retirées du dossier pénal, conservées à part jusqu'à la clôture définitive de la procédure, puis détruites. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 141 Exploitation des moyens de preuves obtenus illégalement - 1 Les preuves administrées en violation de l'art. 140 ne sont en aucun cas exploitables. Il en va de même lorsque le présent code dispose qu'une preuve n'est pas exploitable. |
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1 | Les preuves administrées en violation de l'art. 140 ne sont en aucun cas exploitables. Il en va de même lorsque le présent code dispose qu'une preuve n'est pas exploitable. |
2 | Les preuves qui ont été administrées d'une manière illicite ou en violation de règles de validité par les autorités pénales ne sont pas exploitables, à moins que leur exploitation soit indispensable pour élucider des infractions graves. |
3 | Les preuves qui ont été administrées en violation de prescriptions d'ordre sont exploitables. |
4 | Si un moyen de preuve est recueilli grâce à une preuve non exploitable au sens de l'al. 1 ou 2, il n'est exploitable que s'il aurait pu être recueilli même sans l'administration de la première preuve.77 |
5 | Les pièces relatives aux moyens de preuves non exploitables doivent être retirées du dossier pénal, conservées à part jusqu'à la clôture définitive de la procédure, puis détruites. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 141 Exploitation des moyens de preuves obtenus illégalement - 1 Les preuves administrées en violation de l'art. 140 ne sont en aucun cas exploitables. Il en va de même lorsque le présent code dispose qu'une preuve n'est pas exploitable. |
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1 | Les preuves administrées en violation de l'art. 140 ne sont en aucun cas exploitables. Il en va de même lorsque le présent code dispose qu'une preuve n'est pas exploitable. |
2 | Les preuves qui ont été administrées d'une manière illicite ou en violation de règles de validité par les autorités pénales ne sont pas exploitables, à moins que leur exploitation soit indispensable pour élucider des infractions graves. |
3 | Les preuves qui ont été administrées en violation de prescriptions d'ordre sont exploitables. |
4 | Si un moyen de preuve est recueilli grâce à une preuve non exploitable au sens de l'al. 1 ou 2, il n'est exploitable que s'il aurait pu être recueilli même sans l'administration de la première preuve.77 |
5 | Les pièces relatives aux moyens de preuves non exploitables doivent être retirées du dossier pénal, conservées à part jusqu'à la clôture définitive de la procédure, puis détruites. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 141 Exploitation des moyens de preuves obtenus illégalement - 1 Les preuves administrées en violation de l'art. 140 ne sont en aucun cas exploitables. Il en va de même lorsque le présent code dispose qu'une preuve n'est pas exploitable. |
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1 | Les preuves administrées en violation de l'art. 140 ne sont en aucun cas exploitables. Il en va de même lorsque le présent code dispose qu'une preuve n'est pas exploitable. |
2 | Les preuves qui ont été administrées d'une manière illicite ou en violation de règles de validité par les autorités pénales ne sont pas exploitables, à moins que leur exploitation soit indispensable pour élucider des infractions graves. |
3 | Les preuves qui ont été administrées en violation de prescriptions d'ordre sont exploitables. |
4 | Si un moyen de preuve est recueilli grâce à une preuve non exploitable au sens de l'al. 1 ou 2, il n'est exploitable que s'il aurait pu être recueilli même sans l'administration de la première preuve.77 |
5 | Les pièces relatives aux moyens de preuves non exploitables doivent être retirées du dossier pénal, conservées à part jusqu'à la clôture définitive de la procédure, puis détruites. |
Verfahrenshandlung ungültig ist, liegt eine Gültigkeitsvorschrift vor (BGE 144 IV 302 E. 3.4.3; 139 IV 128 E. 1.6; Urteil 6B 1320/2020 vom 12. Januar 2022 E. 5.5.1; je mit Hinweisen).
3.2.2. Gemäss Art. 255 Abs. 2 lit. a

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 255 Conditions en général - 1 Pour élucider le crime ou le délit sur lequel porte la procédure, le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent être ordonnés sur:131 |
|
1 | Pour élucider le crime ou le délit sur lequel porte la procédure, le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent être ordonnés sur:131 |
a | le prévenu; |
b | d'autres personnes, notamment les victimes et les personnes habilitées à se rendre sur les lieux de l'infraction si cela est nécessaire pour distinguer leur matériel biologique de celui du prévenu; |
c | des personnes décédées; |
d | le matériel biologique qui a un rapport avec l'infraction. |
1bis | Le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent aussi être ordonnés sur le prévenu si des indices concrets laissent présumer qu'il pourrait avoir commis d'autres crimes ou délits.132 |
2 | La police peut ordonner: |
a | le prélèvement non invasif d'échantillons; |
b | l'établissement d'un profil d'ADN à partir de matériel biologique ayant un rapport avec l'infraction. |
3 | Si seul le profil d'ADN du chromosome Y peut être établi à partir du matériel biologique ayant un rapport avec l'infraction, le ministère public peut, afin d'élucider un crime, ordonner la comparaison de ce profil dans le système d'information visé à l'art. 10 de la loi du 20 juin 2003 sur les profils d'ADN133.134 |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 199 Communication du prononcé - Lorsqu'une mesure de contrainte est ordonnée par écrit, une copie du mandat et une copie d'un éventuel procès-verbal d'exécution sont remis contre accusé de réception à la personne directement touchée, pour autant que la mesure de contrainte ne soit pas secrète. |
3.2.3. Durchsuchungen und Untersuchungen sind gemäss Art. 241 Abs. 1

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 241 Prononcé de la mesure - 1 Les perquisitions, fouilles et examens font l'objet d'un mandat écrit. En cas d'urgence ces mesures peuvent être ordonnées par oral, mais doivent être confirmées par écrit. |
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1 | Les perquisitions, fouilles et examens font l'objet d'un mandat écrit. En cas d'urgence ces mesures peuvent être ordonnées par oral, mais doivent être confirmées par écrit. |
2 | Le mandat indique: |
a | la personne à fouiller ou les locaux, les documents ou les objets à examiner; |
b | le but de la mesure; |
c | les autorités ou les personnes chargées de l'exécution. |
3 | Lorsqu'il y a péril en la demeure, la police peut ordonner l'examen des orifices et des cavités du corps qu'il est impossible d'examiner sans l'aide d'un instrument et effectuer des perquisitions sans mandat; le cas échéant, elle en informe sans délai l'autorité pénale compétente. |
4 | La police peut fouiller une personne appréhendée ou arrêtée, notamment pour assurer la sécurité de personnes. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 241 Prononcé de la mesure - 1 Les perquisitions, fouilles et examens font l'objet d'un mandat écrit. En cas d'urgence ces mesures peuvent être ordonnées par oral, mais doivent être confirmées par écrit. |
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1 | Les perquisitions, fouilles et examens font l'objet d'un mandat écrit. En cas d'urgence ces mesures peuvent être ordonnées par oral, mais doivent être confirmées par écrit. |
2 | Le mandat indique: |
a | la personne à fouiller ou les locaux, les documents ou les objets à examiner; |
b | le but de la mesure; |
c | les autorités ou les personnes chargées de l'exécution. |
3 | Lorsqu'il y a péril en la demeure, la police peut ordonner l'examen des orifices et des cavités du corps qu'il est impossible d'examiner sans l'aide d'un instrument et effectuer des perquisitions sans mandat; le cas échéant, elle en informe sans délai l'autorité pénale compétente. |
4 | La police peut fouiller une personne appréhendée ou arrêtée, notamment pour assurer la sécurité de personnes. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 255 Conditions en général - 1 Pour élucider le crime ou le délit sur lequel porte la procédure, le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent être ordonnés sur:131 |
|
1 | Pour élucider le crime ou le délit sur lequel porte la procédure, le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent être ordonnés sur:131 |
a | le prévenu; |
b | d'autres personnes, notamment les victimes et les personnes habilitées à se rendre sur les lieux de l'infraction si cela est nécessaire pour distinguer leur matériel biologique de celui du prévenu; |
c | des personnes décédées; |
d | le matériel biologique qui a un rapport avec l'infraction. |
1bis | Le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent aussi être ordonnés sur le prévenu si des indices concrets laissent présumer qu'il pourrait avoir commis d'autres crimes ou délits.132 |
2 | La police peut ordonner: |
a | le prélèvement non invasif d'échantillons; |
b | l'établissement d'un profil d'ADN à partir de matériel biologique ayant un rapport avec l'infraction. |
3 | Si seul le profil d'ADN du chromosome Y peut être établi à partir du matériel biologique ayant un rapport avec l'infraction, le ministère public peut, afin d'élucider un crime, ordonner la comparaison de ce profil dans le système d'information visé à l'art. 10 de la loi du 20 juin 2003 sur les profils d'ADN133.134 |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 259 Applicabilité de la loi sur les profils d'ADN - Au surplus, la loi du 20 juin 2003 sur les profils d'ADN144 est applicable. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 255 Conditions en général - 1 Pour élucider le crime ou le délit sur lequel porte la procédure, le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent être ordonnés sur:131 |
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1 | Pour élucider le crime ou le délit sur lequel porte la procédure, le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent être ordonnés sur:131 |
a | le prévenu; |
b | d'autres personnes, notamment les victimes et les personnes habilitées à se rendre sur les lieux de l'infraction si cela est nécessaire pour distinguer leur matériel biologique de celui du prévenu; |
c | des personnes décédées; |
d | le matériel biologique qui a un rapport avec l'infraction. |
1bis | Le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent aussi être ordonnés sur le prévenu si des indices concrets laissent présumer qu'il pourrait avoir commis d'autres crimes ou délits.132 |
2 | La police peut ordonner: |
a | le prélèvement non invasif d'échantillons; |
b | l'établissement d'un profil d'ADN à partir de matériel biologique ayant un rapport avec l'infraction. |
3 | Si seul le profil d'ADN du chromosome Y peut être établi à partir du matériel biologique ayant un rapport avec l'infraction, le ministère public peut, afin d'élucider un crime, ordonner la comparaison de ce profil dans le système d'information visé à l'art. 10 de la loi du 20 juin 2003 sur les profils d'ADN133.134 |
3.2.4. Fehlerhafte Entscheide sind nach bundesgerichtlicher Rechtsprechung in der Regel nur anfechtbar. Als nichtig erweisen sie sich erst dann, wenn der ihnen anhaftende Mangel besonders schwer ist, wenn er sich als offensichtlich oder zumindest leicht erkennbar erweist und die Rechtssicherheit durch die Annahme der Nichtigkeit nicht ernsthaft gefährdet wird. Inhaltliche Mängel einer Entscheidung führen nur ausnahmsweise zur Nichtigkeit. Als Nichtigkeitsgründe fallen vorab funktionelle und sachliche Unzuständigkeit der entscheidenden Behörde sowie krasse Verfahrensfehler in Betracht (BGE 147 IV 93 E. 1.4.4; 145 III 436 E. 4; 144 IV 362 E. 1.4.3; je mit Hinweisen). Die Nichtigkeit eines Entscheides ist jederzeit und von sämtlichen rechtsanwendenden Behörden von Amtes wegen zu beachten (BGE 145 IV 197 E. 1.3.2; 144 IV 362 E. 1.4.3; 138 II 501 E. 3.1; je mit Hinweisen).
3.2.5. Einleitend ist anzumerken, dass der Beschwerdeführer erstmals vor Bundesgericht einwendet, die Verfügung betreffend Erstellung eines DNA-Profils sei ihm nicht eröffnet worden, womit es an der Schriftlichkeit der entsprechenden Eröffnung fehle, weshalb die DNA-Analysen einem absoluten Verwertungsverbot unterliegen würden. Da sich seine Rügen aber ohnehin als unbegründet erweisen, muss auf sein diesbezügliches Vorbringen, er sei nicht gehalten gewesen, dies bereits im Berufungsverfahren zu beanstanden (Beschwerde S. 7 Ziff. 14), nicht weiter eingegangen werden. Daher ist ebensowenig zu vertiefen, ob bzw. inwiefern mit der - zwar grundsätzlich zu Recht erstmals im bundesgerichtlichen Verfahren - gerügten Verletzung von Art. 389 Abs. 2 lit. b

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
|
1 | La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
2 | L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si: |
a | les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes; |
b | l'administration des preuves était incomplète; |
c | les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables. |
3 | L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 80 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance ou par la Cour des plaintes et la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral.50 |
|
1 | Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance ou par la Cour des plaintes et la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral.50 |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours. Sont exceptés les cas dans lesquels le code de procédure pénale (CPP)51 prévoit un tribunal supérieur ou un tribunal des mesures de contrainte comme instance unique.52 |
I 155 E. 4.4.3 und E. 4.4.6; Urteil 2C 1027/2020 vom 4. Mai 2022 E. 4.4.1).
Der Beschwerdeführer stellt vorliegend die grundsätzliche Zulässigkeit der Entnahme der DNA-Probe und der Erstellung einer DNA-Analyse nicht in Frage. Die Erstellung eines DNA-Profils musste ihm entgegen seiner Meinung nicht zwingend schriftlich eröffnet werden (E. 3.2.3), weshalb insofern weder vom Vorliegen eines absoluten Beweisverwertungsverbots noch von einer Nichtigkeit oder einer Verletzung der strafprozessualen Pflichten durch die Vorinstanz die Rede sein kann. Die Beschwerde ist in diesem Punkt daher abzuweisen, soweit darauf überhaupt eingetreten werden kann.
3.3. Weiter rügt der Beschwerdeführer, eine Verletzung von Art. 389 Abs. 2

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
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1 | La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
2 | L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si: |
a | les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes; |
b | l'administration des preuves était incomplète; |
c | les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables. |
3 | L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
|
1 | Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
2 | Celui qui fait valoir son droit de participer à la procédure ne peut exiger que l'administration des preuves soit ajournée. |
3 | Une partie ou son conseil juridique peuvent demander que l'administration des preuves soit répétée lorsque, pour des motifs impérieux, le conseil juridique ou la partie non représentée n'a pas pu y prendre part. Il peut être renoncé à cette répétition lorsqu'elle entraînerait des frais et démarches disproportionnés et que le droit des parties d'être entendues, en particulier celui de poser des questions aux comparants, peut être satisfait d'une autre manière. |
4 | Les preuves administrées en violation du présent article ne sont pas exploitables à la charge de la partie qui n'était pas présente. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
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1 | Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
2 | Celui qui fait valoir son droit de participer à la procédure ne peut exiger que l'administration des preuves soit ajournée. |
3 | Une partie ou son conseil juridique peuvent demander que l'administration des preuves soit répétée lorsque, pour des motifs impérieux, le conseil juridique ou la partie non représentée n'a pas pu y prendre part. Il peut être renoncé à cette répétition lorsqu'elle entraînerait des frais et démarches disproportionnés et que le droit des parties d'être entendues, en particulier celui de poser des questions aux comparants, peut être satisfait d'une autre manière. |
4 | Les preuves administrées en violation du présent article ne sont pas exploitables à la charge de la partie qui n'était pas présente. |
3.3.1.
3.3.1.1. Im Strafverfahren gilt der Untersuchungsgrundsatz. Danach klären die Strafbehörden von Amtes wegen alle für die Beurteilung der Tat und der beschuldigten Person bedeutsamen Tatsachen ab (Art. 6 Abs. 1

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 6 Maxime de l'instruction - 1 Les autorités pénales recherchent d'office tous les faits pertinents pour la qualification de l'acte et le jugement du prévenu. |
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1 | Les autorités pénales recherchent d'office tous les faits pertinents pour la qualification de l'acte et le jugement du prévenu. |
2 | Elles instruisent avec un soin égal les circonstances qui peuvent être à la charge et à la décharge du prévenu. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 6 Maxime de l'instruction - 1 Les autorités pénales recherchent d'office tous les faits pertinents pour la qualification de l'acte et le jugement du prévenu. |
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1 | Les autorités pénales recherchent d'office tous les faits pertinents pour la qualification de l'acte et le jugement du prévenu. |
2 | Elles instruisent avec un soin égal les circonstances qui peuvent être à la charge et à la décharge du prévenu. |
3.3.1.2. Die Parteien haben das Recht, bei Beweiserhebungen durch die Staatsanwaltschaft und die Gerichte anwesend zu sein und einvernommenen Personen Fragen zu stellen (Grundsatz der Parteiöffentlichkeit, Art. 147 Abs. 1

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
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1 | Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
2 | Celui qui fait valoir son droit de participer à la procédure ne peut exiger que l'administration des preuves soit ajournée. |
3 | Une partie ou son conseil juridique peuvent demander que l'administration des preuves soit répétée lorsque, pour des motifs impérieux, le conseil juridique ou la partie non représentée n'a pas pu y prendre part. Il peut être renoncé à cette répétition lorsqu'elle entraînerait des frais et démarches disproportionnés et que le droit des parties d'être entendues, en particulier celui de poser des questions aux comparants, peut être satisfait d'une autre manière. |
4 | Les preuves administrées en violation du présent article ne sont pas exploitables à la charge de la partie qui n'était pas présente. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 107 Droit d'être entendu - 1 Une partie a le droit d'être entendue; à ce titre, elle peut notamment: |
|
1 | Une partie a le droit d'être entendue; à ce titre, elle peut notamment: |
a | consulter le dossier; |
b | participer à des actes de procédure; |
c | se faire assister par un conseil juridique; |
d | se prononcer au sujet de la cause et de la procédure; |
e | déposer des propositions relatives aux moyens de preuves. |
2 | Les autorités pénales attirent l'attention des parties sur leurs droits lorsqu'elles ne sont pas versées dans la matière juridique. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 108 Restriction du droit d'être entendu - 1 Les autorités pénales peuvent restreindre le droit d'une partie à être entendue: |
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1 | Les autorités pénales peuvent restreindre le droit d'une partie à être entendue: |
a | lorsqu'il y a de bonnes raisons de soupçonner que cette partie abuse de ses droits; |
b | lorsque cela est nécessaire pour assurer la sécurité de personnes ou pour protéger des intérêts publics ou privés au maintien du secret. |
2 | Le conseil juridique d'une partie ne peut faire l'objet de restrictions que du fait de son comportement. |
3 | Les restrictions sont limitées temporairement ou à des actes de procédure déterminés. |
4 | Tant que le motif qui a justifié la restriction subsiste, les autorités pénales ne peuvent fonder leurs décisions sur des pièces auxquelles une partie n'a pas eu accès que si celle-ci a été informée de leur contenu essentiel. |
5 | Lorsque le motif qui a justifié la restriction disparaît, le droit d'être entendu doit être accordé sous une forme adéquate. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 146 Audition de plusieurs personnes et confrontations - 1 Les comparants sont entendus séparément. |
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1 | Les comparants sont entendus séparément. |
2 | Les autorités pénales peuvent confronter des personnes, y compris celles qui ont le droit de refuser de déposer. Les droits spéciaux de la victime sont réservés. |
3 | Elles peuvent obliger les comparants qui, à l'issue des auditions, devront probablement être confrontés à d'autres personnes à rester sur le lieu des débats jusqu'à leur confrontation. |
4 | La direction de la procédure peut exclure temporairement une personne des débats dans les cas suivants: |
a | il y a collision d'intérêts; |
b | cette personne doit encore être entendue dans la procédure à titre de témoin, de personne appelée à donner des renseignements ou d'expert. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 149 En général - 1 S'il y a lieu de craindre qu'un témoin, une personne appelée à donner des renseignements, un prévenu, un expert, un traducteur ou un interprète, ou encore une personne ayant avec lui une relation au sens de l'art. 168, al. 1 à 3 puissent, en raison de leur participation à la procédure, être exposés à un danger sérieux menaçant leur vie ou leur intégrité corporelle ou à un autre inconvénient grave, la direction de la procédure prend, sur demande ou d'office, les mesures de protection appropriées. |
|
1 | S'il y a lieu de craindre qu'un témoin, une personne appelée à donner des renseignements, un prévenu, un expert, un traducteur ou un interprète, ou encore une personne ayant avec lui une relation au sens de l'art. 168, al. 1 à 3 puissent, en raison de leur participation à la procédure, être exposés à un danger sérieux menaçant leur vie ou leur intégrité corporelle ou à un autre inconvénient grave, la direction de la procédure prend, sur demande ou d'office, les mesures de protection appropriées. |
2 | À cette fin, la direction de la procédure peut limiter de façon appropriée les droits de procédure des parties et notamment: |
a | assurer l'anonymat de la personne à protéger; |
b | procéder à des auditions en l'absence des parties ou à huis clos; |
c | vérifier l'identité de la personne à protéger en l'absence des parties ou à huis clos; |
d | modifier l'apparence et la voix de la personne à protéger ou la masquer à la vue des autres personnes; |
e | limiter le droit de consulter le dossier. |
3 | La direction de la procédure peut autoriser les personnes à protéger à se faire accompagner d'un conseil juridique ou d'une personne de confiance. |
4 | Elle peut également ordonner des mesures de protection au sens de l'art. 154, al. 2 et 4, lorsque des personnes âgées de moins de 18 ans sont entendues à titre de témoins ou de personnes appelées à donner des renseignements. |
5 | Elle s'assure pour chaque mesure de protection que le droit d'être entendu des parties, en particulier les droits de la défense du prévenu, soit garanti. |
6 | Si l'anonymat a été garanti à la personne à protéger, la direction de la procédure prend les mesures appropriées pour empêcher les confusions et les interversions de personnes. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 101 Consultation des dossiers dans le cadre d'une procédure pendante - 1 Les parties peuvent consulter le dossier d'une procédure pénale pendante, au plus tard après la première audition du prévenu et l'administration des preuves principales par le ministère public; l'art. 108 est réservé. |
|
1 | Les parties peuvent consulter le dossier d'une procédure pénale pendante, au plus tard après la première audition du prévenu et l'administration des preuves principales par le ministère public; l'art. 108 est réservé. |
2 | D'autres autorités peuvent consulter le dossier lorsqu'elles en ont besoin pour traiter une procédure civile, pénale ou administrative pendante et si aucun intérêt public ou privé prépondérant ne s'y oppose. |
3 | Des tiers peuvent consulter le dossier s'ils font valoir à cet effet un intérêt scientifique ou un autre intérêt digne de protection et qu'aucun intérêt public ou privé prépondérant ne s'y oppose. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
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1 | Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
2 | Celui qui fait valoir son droit de participer à la procédure ne peut exiger que l'administration des preuves soit ajournée. |
3 | Une partie ou son conseil juridique peuvent demander que l'administration des preuves soit répétée lorsque, pour des motifs impérieux, le conseil juridique ou la partie non représentée n'a pas pu y prendre part. Il peut être renoncé à cette répétition lorsqu'elle entraînerait des frais et démarches disproportionnés et que le droit des parties d'être entendues, en particulier celui de poser des questions aux comparants, peut être satisfait d'une autre manière. |
4 | Les preuves administrées en violation du présent article ne sont pas exploitables à la charge de la partie qui n'était pas présente. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
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1 | Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
2 | Celui qui fait valoir son droit de participer à la procédure ne peut exiger que l'administration des preuves soit ajournée. |
3 | Une partie ou son conseil juridique peuvent demander que l'administration des preuves soit répétée lorsque, pour des motifs impérieux, le conseil juridique ou la partie non représentée n'a pas pu y prendre part. Il peut être renoncé à cette répétition lorsqu'elle entraînerait des frais et démarches disproportionnés et que le droit des parties d'être entendues, en particulier celui de poser des questions aux comparants, peut être satisfait d'une autre manière. |
4 | Les preuves administrées en violation du présent article ne sont pas exploitables à la charge de la partie qui n'était pas présente. |
3.3.1.3. Die beschuldigte Person hat gemäss Art. 6 Ziff. 3 lit. d

IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
|
1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
3.3.1.4. Auf die Teilnahme resp. Konfrontation kann vorgängig oder auch im Nachhinein ausdrücklich oder stillschweigend verzichtet werden, wobei der Verzicht des Beschuldigten auch von seinem Verteidiger ausgehen kann (BGE 143 IV 397 E. 3.3.1). Der Beschuldigte kann den Behörden nach ständiger Rechtsprechung grundsätzlich nicht vorwerfen, gewisse Zeugen zwecks Konfrontation nicht vorgeladen zu haben, wenn er es unterlässt, rechtzeitig und formgerecht entsprechende Anträge zu stellen (BGE 143 IV 397 E. 3.3.1; 125 I 127 E. 6c/bb; Urteil 6B 1320/2020 vom 12. Januar 2022 E. 4.2.3, nicht publ. in: BGE 148 IV 22; je mit Hinweisen).
Beweisanträge sind im Berufungsverfahren - Noven vorbehalten - in der Berufungserklärung (Art. 399 Abs. 3 lit. c

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 399 Annonce et déclaration d'appel - 1 La partie annonce l'appel au tribunal de première instance par écrit ou oralement pour mention au procès-verbal dans le délai de dix jours à compter de la communication du jugement. |
|
1 | La partie annonce l'appel au tribunal de première instance par écrit ou oralement pour mention au procès-verbal dans le délai de dix jours à compter de la communication du jugement. |
2 | Lorsque le jugement motivé est rédigé, le tribunal de première instance transmet l'annonce et le dossier à la juridiction d'appel. |
3 | La partie qui annonce l'appel adresse une déclaration d'appel écrite à la juridiction d'appel dans les 20 jours à compter de la notification du jugement motivé. Dans sa déclaration, elle indique: |
a | si elle entend attaquer le jugement dans son ensemble ou seulement sur certaines parties; |
b | les modifications du jugement de première instance qu'elle demande; |
c | ses réquisitions de preuves. |
4 | Quiconque attaque seulement certaines parties du jugement est tenu d'indiquer dans la déclaration d'appel, de manière définitive, sur quelles parties porte l'appel, à savoir: |
a | la question de la culpabilité, le cas échéant en rapport avec chacun des actes; |
b | la quotité de la peine; |
c | les mesures qui ont été ordonnées; |
d | les prétentions civiles ou certaines d'entre elles; |
e | les conséquences accessoires du jugement; |
f | les frais, les indemnités et la réparation du tort moral; |
g | les décisions judiciaires ultérieures. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 405 Procédure orale - 1 Les dispositions sur les débats de première instance s'appliquent par analogie aux débats d'appel. |
|
1 | Les dispositions sur les débats de première instance s'appliquent par analogie aux débats d'appel. |
2 | La direction de la procédure cite à comparaître aux débats d'appel le prévenu ou la partie plaignante qui a déclaré l'appel ou l'appel joint. Dans les cas simples, elle peut, à leur demande, les dispenser de participer aux débats et les autoriser à déposer par écrit leurs conclusions motivées. |
3 | Elle cite le ministère public à comparaître aux débats: |
a | dans les cas visés à l'art. 337, al. 3 et 4; |
b | s'il a déclaré l'appel ou l'appel joint. |
4 | Si le ministère public n'est pas cité à comparaître, il peut déposer par écrit ses conclusions ainsi que la motivation à l'appui de celles-ci ou comparaître en personne. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 345 Clôture de la procédure probatoire - Avant de clore la procédure probatoire, le tribunal donne aux parties l'occasion de proposer l'administration de nouvelles preuves. |
3.3.1.5. Die beschuldigte Person muss sich nicht selbst belasten. Sie hat namentlich das Recht, die Aussage und ihre Mitwirkung im Strafverfahren zu verweigern (Art. 113 Abs. 1

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 113 Statut - 1 Le prévenu n'a pas l'obligation de déposer contre lui-même. Il a notamment le droit de refuser de déposer et de refuser de collaborer à la procédure. Il est toutefois tenu de se soumettre aux mesures de contrainte prévues par la loi. |
|
1 | Le prévenu n'a pas l'obligation de déposer contre lui-même. Il a notamment le droit de refuser de déposer et de refuser de collaborer à la procédure. Il est toutefois tenu de se soumettre aux mesures de contrainte prévues par la loi. |
2 | La procédure est poursuivie même si le prévenu refuse de collaborer. |
3.3.2. Die Beschwerde ist in diesem Punkt ebenfalls abzuweisen, soweit darauf eingetreten werden kann. Es kann erneut offenbleiben, ob auf die erstmals vor Bundesgericht vorgetragenen Rügen der Verletzung des Konfrontationsanspruchs und des Teilnahmerechts überhaupt eingetreten werden kann (vgl. Art. 80 Abs. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 80 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance ou par la Cour des plaintes et la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral.50 |
|
1 | Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance ou par la Cour des plaintes et la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral.50 |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours. Sont exceptés les cas dans lesquels le code de procédure pénale (CPP)51 prévoit un tribunal supérieur ou un tribunal des mesures de contrainte comme instance unique.52 |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
|
1 | La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
2 | L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si: |
a | les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes; |
b | l'administration des preuves était incomplète; |
c | les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables. |
3 | L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 6 Maxime de l'instruction - 1 Les autorités pénales recherchent d'office tous les faits pertinents pour la qualification de l'acte et le jugement du prévenu. |
|
1 | Les autorités pénales recherchent d'office tous les faits pertinents pour la qualification de l'acte et le jugement du prévenu. |
2 | Elles instruisent avec un soin égal les circonstances qui peuvent être à la charge et à la décharge du prévenu. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 343 Administration des preuves - 1 Le tribunal procède à l'administration de nouvelles preuves ou complète les preuves administrées de manière insuffisante. |
|
1 | Le tribunal procède à l'administration de nouvelles preuves ou complète les preuves administrées de manière insuffisante. |
2 | Le tribunal réitère l'administration des preuves qui, lors de la procédure préliminaire, n'ont pas été administrées en bonne et due forme. |
3 | Il réitère l'administration des preuves qui, lors de la procédure préliminaire, ont été administrées en bonne et due forme lorsque la connaissance directe du moyen de preuve apparaît nécessaire au prononcé du jugement. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
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1 | La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
2 | L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si: |
a | les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes; |
b | l'administration des preuves était incomplète; |
c | les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables. |
3 | L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours. |
machen oder nicht. Weder das Teilnahmerecht noch das Recht auf Konfrontation mit den Belastungszeugen noch der Untersuchungsgrundsatz oder die Unschuldsvermutung stehen einer Verwertung der Aussagen entgegen. Folglich erweist sich die Rüge der Verletzung von Art. 389 Abs. 2

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
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1 | La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
2 | L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si: |
a | les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes; |
b | l'administration des preuves était incomplète; |
c | les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables. |
3 | L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
|
1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
Beschwerdeführer und G.________ habe Letzterer äusserst ausweichende Aussagen gemacht [S. 21 E. 1.10]). Damit ist entgegen der Meinung des Beschwerdeführers auch nicht ersichtlich, inwiefern erst der angefochtene Entscheid hätte Anlass dazu geben sollen, die Frage der Verwertbarkeit von (belastenden) Aussagen aufzuwerfen, die der hier gerügten Verletzung von Art. 389 Abs. 2

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
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1 | La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
2 | L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si: |
a | les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes; |
b | l'administration des preuves était incomplète; |
c | les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables. |
3 | L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |
4.
4.1. Ferner rügt der Beschwerdeführer eine offensichtlich unrichtige Sachverhaltsfeststellung, denn die Beweiswürdigung der Vorinstanz sei unvollständig, einseitig und nicht nachvollziehbar, weshalb unklar bleibe, welchen tatsächlichen Lebenssachverhalt sie überhaupt als erstellt erachte (Beschwerde S. 3 und S. 10 ff.).
4.2. Einleitend stellt die Vorinstanz fest, einerseits könne auf diverse objektive Beweismittel und Indizien abgestellt werden, andererseits gelte es auch auf die Aussagen des Beschwerdeführers einzugehen (Urteil S. 12 E. 3.3.1). Die Polizei habe am 9. März 2017 kurz nach 20.00 Uhr im bzw. vor dem fraglichen Café drei Personen mit Schussverletzungen vorgefunden, wovon eine ihren Verletzungen bereits erlegen gewesen (C.________) und eine zweite während der Notoperation verstorben sei (D.________). Die angetroffene Situation sei durch Tatortfotos belegt. Die Spurensicherung habe fünf Patronenhülsen und vier Projektile zutage gefördert; ein fünftes Projektil sei aus dem Hüftkamm von E.________ entfernt worden. Aufgrund der kriminaltechnischen Untersuchung der Tatmunition sei auch erstellt, dass die fünf Schüsse aus einer einzigen Waffe abgegeben worden seien (Urteil S. 13 E. 3.4.1). Sodann habe der unfalltechnische Dienst der Kantonspolizei Bern eine Laservermessung des Tatortes durchgeführt und anhand dieser Daten ein 3D-Modell des Lokals erstellt. Innerhalb dieses Modells seien aufgrund der Lokalisation der Einschusslöcher und der Körpergrösse sowie Verletzungen der Opfer die mutmasslichen Schussbahnen rekonstruiert worden. Es
müsse offenbleiben, in welcher Reihenfolge die Schüsse gefallen seien. Aufgrund der Rekonstruktion sei jedoch davon auszugehen, dass der Schütze mindestens zwei Schüsse, womöglich auch einen dritten, direkt nach Betreten des Lokals abgegeben habe, sich dann auf die ins Untergeschoss führende Treppe zurückgezogen und von dort nochmals zwei Schüsse abgegeben habe (Urteil S. 13 f. E. 3.4.2). Die rekonstruierten mutmasslichen Schussbahnen würden sich auch mit den spärlichen Angaben der zum Tatzeitpunkt im Lokal anwesenden Personen decken. Gemäss übereinstimmenden Aussagen seien vier Gäste (C.________, D.________, E.________ und H.________) an zwei Tischen auf der vom Eingang her gesehen rechten Seite am Fenster gesessen, während sich I.________ (ein Freund des Geschäftsführers des Cafés) und J.________, dessen Bekannte, in der Nähe der Bar befunden hätten. Mehrere Personen hätten angegeben, dass zwei Männer mit Waffen ins Lokal gekommen seien und angefangen hätten zu schiessen (Urteil S. 14 E. 3.4.3). Das Café sei zum Tatzeitpunkt durch das Betäubungsmitteldezernat mittels installierter Videoüberwachung observiert worden. Von Interesse seien dabei drei kurze Videosequenzen. Die ersten zwei stammten vom Nachmittag des Tattages, als ein
silbernes Auto vor das Lokal gefahren sei, aus dem zwei männliche Personen ausgestiegen seien. Ca. nach zwanzig Minuten hätten die beiden Männer das Lokal wieder verlassen, seien in das Fahrzeug gestiegen und davongefahren. Der Beifahrer könne klar als der Beschwerdeführer identifiziert werden. Dass es sich bei der Person, die auf der Fahrerseite aus dem Auto gestiegen sei, um K.________ handle, habe dieser sowie der Beschwerdeführer bestätigt und lasse sich auch anhand von Fotoabgleichen verifizieren. Die weitere relevante Videosequenz stamme ebenfalls vom 9. März 2017 und zeige, wie um 20:08:47 Uhr zwei männliche Personen zügigen Schrittes zum Café gehen, in demselben verschwinden und es rund siebzehn Sekunden später wieder verlassen. Bevor sie das Café betreten hätten, habe der vordere der beiden Männer mit der rechten Hand unter der Jacke in den Hosengurt gegriffen; der hintere Mann habe seine rechte Hand in der rechten Jackentasche gehabt. In der Videosequenz seien wenige Sekunden, nachdem die Männer das Lokal betreten hätten, weisse Blitze im Fenster zu sehen, die mit Mündungsfeuer aus einer Schusswaffe erklärbar seien. Bei genauer Analyse der Sequenz sei ein Schuss zu erkennen, welcher die Fensterscheibe durchschlage und
eine Splitterwolke verursache. Es stehe daher mit an Sicherheit grenzender Wahrscheinlichkeit fest, dass es sich bei den in jener Videosequenz ersichtlichen Männern um die Täter handeln müsse (Urteil S. 14 f. E. 3.4.4).
Weiter hält die Vorinstanz fest, dass auf der Fahrer- und Beifahrerseite des VW Touran, der mit an Sicherheit grenzender Wahrscheinlichkeit als Fluchtfahrzeug gedient habe, jeweils eine Person gesessen und sich angeschnallt haben müsse, welche derart mit Schmauchpartikeln in Kontakt gekommen gewesen sei, dass sie sich zum Zeitpunkt der Schussabgabe mit der bei der Tat verwendeten Munition in dessen unmittelbaren Nähe befunden haben müsse. Diesbezüglich sei davon auszugehen, dass K.________ jeweils unmittelbar vor und nach der Tat das Fahrzeug gelenkt habe. Zudem seien Blutantragungen von C.________ in den Fussräumen der Fahrer- und Beifahrerseite sowie am Plastiksack im Fussraum der Beifahrerseite nachgewiesen worden. Die Personen im Fahrzeug hätten demnach mit ihren Schuhen in Kontakt mit diesem Blut gekommen sein müssen (Urteil S. 18 E. 3.4.5). Ausserdem habe die DNA einer Person, die sich zum Tatzeitpunkt in unmittelbarer Nähe der Schussabgabe (in der Schmauchwolke) befunden habe, auf der Gurtschnalle des Beifahrergurtes nachgewiesen werden können (Urteil S. 19 f. E. 3.4.6)
Nach einer eingehenden Würdigung stellt die Vorinstanz fest, im Ergebnis könne bereits aufgrund der dargelegten objektiven Beweismittel und Indizien mit hoher Wahrscheinlichkeit als erstellt gelten, dass es sich beim Beschwerdeführer um eine der zwei Personen handle, welche zum Tatzeitpunkt das fragliche Café betreten und nach dem Schusswechsel rund siebzehn Sekunden später wieder verlassen hätten. Auch könne als erwiesen gelten, dass eine der beiden Personen Schüsse auf die Opfer abgegeben bzw. diese tödlich verletzt habe (Urteil S. 20 E. 3.4.8). Im Weiteren geht die Vorinstanz vertieft auf die Aussagen von K.________ (Urteil S. 21 ff. E. 3.5) und auf diejenigen des Beschwerdeführers (Urteil S. 24 ff. E. 3.6) ein. Dabei erwägt sie unter anderem, die Erstaussagen des Beschwerdeführers seien vorliegend zentral. Nachdem dieser am 10. März 2017 um 20.20 Uhr - also rund 24 Stunden nach der Tat - eine Polizeipatrouille angesprochen und dieser gegenüber angegeben habe, der Schütze gewesen zu sein, sei er am 11. März 2017 ein erstes Mal einvernommen worden. Die (später widerrufenen) Erstaussagen des Beschwerdeführers würden ein derart detailliertes Täterwissen aufweisen, dass von Selbsterlebtem auszugehen sei. Im Ergebnis sei
festzuhalten, dass die Erstaussagen des Beschwerdeführers einerseits mit diversen objektiven Beweismitteln in Einklang gebracht werden könnten und sie andererseits einen derartigen Detailreichtum aufweisen würden, dass sie nicht aus dritter Hand stammen können. Habe schon aufgrund der objektiven Beweismittel und Indizien - insbesondere aufgrund der Schmauch- sowie der DNA-Spuren im Fluchtfahrzeug - mit an Sicherheit grenzender Wahrscheinlichkeit eine Tatbeteiligung des Beschwerdeführers angenommen werden können, so könne nach seinen Erstaussagen kein Zweifel mehr daran bestehen. Als erstellt habe auch zu gelten, dass beide Personen eine Waffe mit sich geführt bzw. im Lokal in den Händen gehalten hätten (Urteil S. 30 E. 3.7).
Weiter stellt die Vorinstanz fest, gestützt auf den kriminaltechnischen Bericht seien alle Schüsse aus einer einzigen Waffe abgefeuert worden. Es müsse offengelassen werden, wer der effektive Schütze gewesen sei. Gemäss dem Grundsatz "in dubio pro reo" sei davon auszugehen, dass nicht der Beschwerdeführer die Schüsse abgegeben habe (Urteil S. 30 E. 3.8).
4.3.
4.3.1. Die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz kann vor Bundesgericht nur gerügt werden, wenn sie willkürlich ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.90 |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
4.3.2. Liegen keine direkten Beweise vor, ist nach der Rechtsprechung auch ein indirekter Beweis zulässig. Beim Indizienbeweis wird aus bestimmten Tatsachen, die nicht unmittelbar rechtserheblich, aber bewiesen sind (Indizien), auf die zu beweisende, unmittelbar rechtserhebliche Tatsache geschlossen. Eine Mehrzahl von Indizien, welche für sich allein betrachtet nur mit einer gewissen Wahrscheinlichkeit auf eine bestimmte Tatsache oder Täterschaft hindeuten und insofern Zweifel offenlassen, können in ihrer Gesamtheit ein Bild erzeugen, das den Schluss auf den vollen rechtsgenügenden Beweis von Tat oder Täter erlaubt (Urteile 6B 173/2022 vom 27. April 2022 E. 1.1; 6B 295/2021 vom 31. März 2022 E. 3.3.3; 6B 390/2021 vom 18. März 2022 E. 1.2.2; je mit Hinweisen).
Würdigt das Gericht einzelne belastende Indizien willkürlich oder lässt es entlastende Umstände willkürlich ausser Acht, führt dies nicht zwingend zur Aufhebung des angefochtenen Urteils durch das Bundesgericht. Die Beschwerde ist nur gutzuheissen, wenn der Entscheid auch bei objektiver Würdigung des gesamten Beweisergebnisses offensichtlich unhaltbar und damit willkürlich ist. Der Beschwerdeführer, der vor Bundesgericht eine willkürliche Beweiswürdigung rügt, darf sich daher nicht darauf beschränken aufzuzeigen, wie einzelne Indizien willkürfrei zu würdigen gewesen wären. Er muss sich vielmehr mit der gesamten Beweislage befassen und darlegen, inwiefern aus seiner Sicht auch der aus der Gesamtheit der verschiedenen Indizien gezogene Schluss geradezu willkürlich ist (Urteile 6B 295/2021 vom 31. März 2022 E. 3.3.4; 6B 390/2021 vom 18. März 2022 E. 1.2.2; 6B 45/2020 vom 14. März 2022 E. 2.3.4; je mit Hinweisen).
4.4. Diesen Anforderungen kommt der Beschwerdeführer nicht nach. Anstatt sich mit der gesamten Beweislage zu befassen, greift er lediglich einzelne von der Vorinstanz genannten Indizien heraus, die er anders gewürdigt haben möchte. Damit kann er jedoch keine Willkür aufzeigen. Was der Beschwerdeführer gegen die vorinstanzliche Beweiswürdigung vorbringt, erschöpft sich grösstenteils in einer appellatorischen Kritik am angefochtenen Entscheid, auf die das Bundesgericht nicht eintritt.
4.4.1. Der Einwand des Beschwerdeführers, die Sachverhaltsfeststellungen seien offensichtlich unrichtig, da die Vorinstanz in weiten Teilen auf nicht prozessrechtskonforme Beweise abstelle (vgl. Beschwerde S. 12 Ziff. 26), ist unbegründet (E. 3).
4.4.2. Nicht gehört werden kann der Beschwerdeführer sodann, soweit er vorbringt, die Vorinstanz begnüge sich mit einer Plausibilitätsprüfung der erstinstanzlichen Erwägungen, womit sie der ihr gemäss Art. 398 ff

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 398 Recevabilité et motifs d'appel - 1 L'appel est recevable contre les jugements des tribunaux de première instance qui ont clos tout ou partie de la procédure, contre les décisions judiciaires ultérieures indépendantes et contre les décisions de confiscation indépendantes.273 |
|
1 | L'appel est recevable contre les jugements des tribunaux de première instance qui ont clos tout ou partie de la procédure, contre les décisions judiciaires ultérieures indépendantes et contre les décisions de confiscation indépendantes.273 |
2 | La juridiction d'appel jouit d'un plein pouvoir d'examen sur tous les points attaqués du jugement. |
3 | L'appel peut être formé pour: |
a | violation du droit, y compris l'excès et l'abus du pouvoir d'appréciation, le déni de justice et le retard injustifié; |
b | constatation incomplète ou erronée des faits; |
c | inopportunité. |
4 | Lorsque seules des contraventions ont fait l'objet de la procédure de première instance, l'appel ne peut être formé que pour le grief que le jugement est juridiquement erroné ou que l'état de fait a été établi de manière manifestement inexacte ou en violation du droit. Aucune nouvelle allégation ou preuve ne peut être produite. |
5 | Si un appel ne porte que sur les conclusions civiles, la juridiction d'appel n'examine le jugement de première instance que dans la mesure où le droit de procédure civile applicable au for autoriserait l'appel. |
4.4.3. Weiter beanstandet der Beschwerdeführer die vorinstanzliche Feststellung, wonach beide Männer, die ins Lokal gekommen seien, bewaffnet gewesen seien. Die Vorinstanz würdige die Aussagen inhaltlich nicht und begründe nicht, warum sie nur einzelne Aussagepassagen weniger Zeugen sowie Auskunftspersonen berücksichtige (Beschwerde S. 11 Ziff. 25).
Diese Vorbringen sind unbehelflich, weil die Vorinstanz diese Feststellung nicht nur auf die Aussagen mehrerer Personen abstützt. Vielmehr hält sie diesbezüglich fest, auch die Videoaufnahmen würden nahelegen, dass nicht nur eine Person bewaffnet gewesen sei. So sei darauf zu sehen, wie die beiden Männer kurz vor dem Eintreten in das Lokal etwas zu behändigen scheinen (Urteil S. 22 f. E. 3.4.8). Es ist daher nicht zu beanstanden, dass die Vorinstanz zum Schluss gelangt, dass beide Männer, die ins Lokal gingen, bewaffnet waren.
4.4.4. Der Beschwerdeführer wendet überdies ein, die Vorinstanz verkenne, dass er die gegen ihn erhobenen Anklagevorwürfe nicht widerlegen müsse (Beschwerde S. 10 f. Ziff. 24).
Diese Rüge ist ebenfalls unbegründet. Es nicht ersichtlich, inwiefern die Vorinstanz davon ausgegangen wäre, dass der Beschwerdeführer seine Unschuld hätte beweisen müssen.
4.5. Die Vorbringen des Beschwerdeführers sind unbegründet, soweit darauf eingetreten werden kann.
5.
5.1. Der Beschwerdeführer beanstandet die Annahme einer Mittäterschaft. Da gemäss den vorinstanzlichen Feststellungen von Anfang an geplant gewesen sei, dass er die Waffe nicht benutze, stelle seine blosse Anwesenheit im Café keinen mittäterschaftlichen Tatbeitrag dar, sondern sei als psychische Gehilfenschaft zu werten. Ob er als Gehilfe zu erkennen gewesen sei, der nur Rückendeckung gegeben habe, könne nicht mittels Zeugenaussagen geklärt werden, sondern sei eine von der Vorinstanz zu klärende Rechtsfrage. Die Vorinstanz selber verneine eine Tatbeteiligung, die über eine blosse Anwesenheit am Tatort hinausgehe. Er habe nach den Umständen und dem Tatplan keinen wesentlichen Tatbeitrag geleistet (Beschwerde S. 14 ff.).
5.2. Die Vorinstanz erwägt in Bezug auf den Tatbeitrag bei der Ausführung, der Beschwerdeführer habe zur Tatzeit zusammen mit K.________ das Café betreten. Beide hätten eine Waffe mitgeführt bzw. im Lokal in den Händen gehalten. Einer von beiden habe die Waffe abgefeuert. Nach der Tat seien sie mit dem Auto geflüchtet. Diverse Aussagen von Anwesenden würden darauf hindeuten, dass der Beschwerdeführer und K.________ bereits in deren Augen offensiv aufgetreten seien und sich - weil beide eine Waffe auf sich getragen hätten - als Schützen gebärdet hätten. Keiner sei lediglich als Gehilfe, der nur Rückendeckung gegeben habe, zu erkennen gewesen. Hätte der Beschwerdeführer im Sinne einer Fluchthilfe oder als Aufpasser Schmierestehen sollen, so wäre er wohl während der Tatausführung vor dem Lokal geblieben. Schon aufgrund der kurzen Dauer der Tatausführung sei ein solcher Aufpasser nicht nötig gewesen. Beide seien zielstrebig in das Lokal gegangen und seien gemeinsam so zielstrebig auch wieder hinaus gekommen. Weder der Beschwerdeführer noch K.________ hätten den Anschein gemacht, dass sie von den Geschehnissen im Innern des Lokals überrascht worden wären. Die Täterschaft habe während der Tat koordiniert vorgehen müssen, da aufgrund der
engen Raumverhältnisse ein Handgemenge jederzeit möglich gewesen wäre. So habe sich denn auch ein Opfer gewehrt und sich auf die Täterschaft zubewegt. Ein Einzeltäter wäre in dieser Situation möglicherweise überwältigt worden, weshalb sich der Beschwerdeführer und K.________ gegenseitig hätten absichern müssen. Zusammen hätten sie eine stärkere Bedrohungskulisse aufbauen können. Im Lokal seien beide eng beieinander gestanden resp. gemeinsam aufgetreten; beide hätten übereinstimmend Blut sowie Schmauchspuren in das Fluchtfahrzeug getragen. Somit habe der Beschwerdeführer bereits bei der Tatausführung in objektiv massgebender Weise mit K.________ so wesentlich zusammengewirkt, dass er als Hauptbeteiligter erscheine, ohne den die Tat nicht hätte verübt werden können (Urteil S. 32 f. E. 4.1.3).
Was die subjektive Komponente und insbesondere den gemeinsamen Tatentschluss betreffe, so die Vorinstanz weiter, müsse aufgrund des vorgenannten Auftretens, der kurzen Dauer und der koordinierten Flucht von einer eigentlichen Kommandoaktion ausgegangen werden, welche auf diese Art und Weise nur durchgeführt werden könne, wenn sie geplant worden sei. Innerhalb der rund 17 Sekunden, welche beide Personen im Lokal verbracht hätten, habe keinerlei Spielraum für situative Entscheidungen oder Spontanabsprachen bestanden. Dass vielmehr eine vorherige Absprache stattgefunden haben müsse, zeige der Umstand, dass zielgenaue Schüsse auf drei Einzelpersonen abgegeben worden, andere Anwesende jedoch verschont worden seien. Für eine gemeinsame Planung der Tat spreche sodann, dass sich der Beschwerdeführer und K.________ bereits am Nachmittag des fraglichen Tages in dieses Café begeben hätten, was nicht anders gedeutet werden könne, als dass sie die Umgebung und die Lokalität im Vorfeld der Tat ausgekundschaftet hätten. Schliesslich seien beide einschlägig vorbestraft. Die Tat sei im Drogenmilieu zu verorten. Endlich lasse sich eine Absprache auch aus den Umständen ableiten, dass der Beschwerdeführer und K.________ sich nach der Tat gezielt
abgesetzt bzw. die Waffen sowie die Kleider im Ausland entsorgt hätten und sich der Beschwerdeführer die Haare geschnitten habe (Urteil S. 33 f. E. 4.1.3).
Im Ergebnis geht die Vorinstanz davon aus, dass der Beschwerdeführer und K.________ einen gemeinsamen Tatentschluss im Sinne einer vorgängigen Absprache gefasst hätten, die betreffenden Opfer in einem gemeinsamen Zusammenwirken zu eliminieren. Die Tat sei daher planmässig gemeinsam ausgeführt resp. der Erfolg bei den drei Opfern kausal durch die mittäterschaftlichen Beiträge herbeigeführt worden. Beide Täter hätten auch Vorsatz hinsichtlich des Taterfolgs gehabt (Urteil S. 34 E. 4.1.3).
5.3.
5.3.1. Nach der Rechtsprechung ist Mittäter, wer bei der Entschliessung, Planung oder Ausführung eines Deliktes vorsätzlich und in massgeblicher Weise mit anderen Tätern zusammenwirkt, sodass er als Hauptbeteiligter dasteht. Dabei kommt es darauf an, ob der Tatbeitrag nach den Umständen des konkreten Falls und dem Tatplan für die Ausführung des Delikts so wesentlich ist, dass sie mit ihm steht oder fällt. Das blosse Wollen der Tat, der subjektive Wille allein genügt zur Begründung von Mittäterschaft jedoch nicht. Daraus folgt aber nicht, dass Mittäter nur ist, wer an der eigentlichen Tatausführung beteiligt ist oder sie zu beeinflussen vermag. Tatbestandsmässige Ausführungshandlungen sind keine notwendige Voraussetzung für die Annahme von Mittäterschaft (vgl. BGE 143 IV 361 E. 4.10; 135 IV 152 E. 2.3.1; 130 IV 58 E. 9.2.1; je mit Hinweisen).
Mittäterschaft setzt unter anderem einen gemeinsamen Tatentschluss voraus, wobei dieser nicht ausdrücklich bekundet werden muss; es genügt, wenn er konkludent zum Ausdruck kommt. Dabei ist nicht erforderlich, dass der Mittäter bei der Entschlussfassung mitwirkt, sondern es reicht aus, dass er sich später den Vorsatz seiner Mittäter zu eigen macht. Wenn die Rechtsprechung angenommen hat, Mittäterschaft könne auch darin liegen, dass einer der Teilnehmer massgeblich bei der Entschliessung oder Planung des Deliktes mitgewirkt hat, so darf daraus nicht geschlossen werden, Mittäterschaft sei ausschliesslich möglich, wenn die Tat im Voraus geplant und aufgrund eines vorher gefassten gemeinsamen Tatentschlusses ausgeführt wurde (BGE 135 IV 152 E. 2.3.1; 120 IV 265 E. 2c/aa; je mit Hinweisen).
5.3.2. Gehilfe im Sinne von Art. 25

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 25 - La peine est atténuée à l'égard de quiconque a intentionnellement prêté assistance à l'auteur pour commettre un crime ou un délit. |
5.4. Die Vorinstanz verletzt kein Bundesrecht, indem sie den Beschwerdeführer als Mittäter von K.________ qualifiziert. Soweit sich der Beschwerdeführer mit seinen Einwänden über die vorinstanzlichen Feststellungen hinwegsetzt und eine eigene Beweiswürdigung vornimmt, ohne dass sich aus seinen Ausführungen ergibt, dass und inwiefern die vorinstanzliche Beweiswürdigung willkürlich und ihre Feststellungen offensichtlich unrichtig wären (E. 4.3.1), kann auf die Beschwerde nicht eingetreten werden. Dies ist etwa der Fall, wenn er geltend macht, sowohl er als auch K.________ hätten ausgesagt, nicht gewusst zu haben, dass der jeweils andere bewaffnet gewesen sei (Beschwerde S. 16 Ziff. 36). Obwohl der Beschwerdeführer selber nicht geschossen hat, war er an der eigentlichen Tatausführung nicht "bloss anwesend". Vielmehr ist er zusammen mit K.________ zügig in das Lokal getreten. Dort stand er dann ebenfalls mit einer Schusswaffe in der Hand so nahe neben diesem, dass er ebenso viele Schmauchspuren im Fluchtfahrzeug hinterliess wie der eigentliche Schütze. Entgegen der Behauptung des Beschwerdeführers kann unter diesen Umständen von einem Nichtbenutzen der Waffe offensichtlich nicht die Rede sein, zumal er sie während der Tat im Lokal in
der Hand hielt und so nicht nur die Bedrohung durch den eigentlichen Schützen verstärkte, sondern diesem damit auch die nötige Sicherheit gab, sich auf die Zielpersonen und das Schiessen zu konzentrieren. Unter anderem auch aufgrund der sehr kurzen Dauer der Tat von 17 Sekunden muss von einem derart koordinierten Zusammenwirken der beiden Täter und einer vorab detailliert geklärten Aufgabenteilung ausgegangen werden, dass bei der eigentlichen Tatausführung für keinen der beiden Unklarheiten oder Unsicherheiten mehr bestanden. Die Vorinstanz weist in diesem Zusammenhang zutreffend darauf hin, dass eine Einzelperson in den sehr engen räumlichen Verhältnissen im Café möglicherweise hätte überwältigt werden können, weshalb sich der Beschwerdeführer und K.________ gegenseitig hätten absichern müssen und sie zusammen eine stärkere Bedrohungkulisse hätten aufbauen können. Schliesslich haben die beiden am Nachmittag vor der Tat auch noch zusammen die Lokalität erkundet. Im Lichte dieser Umstände hat der Beschwerdeführer in derart massgebender Weise am Geschehen im Café mitgewirkt, dass er neben dem eigentlichen Schützen ebenfalls als Hauptbeteiligter gilt, auch wenn die Vorinstanz zu seinen Gunsten davon ausgeht, dass er nicht geschossen
hat. In Mittäterschaft begangene Tatbeiträge werden jedem Mittäter zugerechnet (BGE 143 IV 361 E. 4.10; Urteile 6B 789/2020 vom 31. Januar 2022 E. 2.3.6; 6B 1437/2020 vom 22. September 2021 E. 1.2.2; je mit Hinweisen).
6.
6.1. Weiter bringt der Beschwerdeführer vor, die Vorinstanz bejahe zu Unrecht das Mordmerkmal der skrupellosen Art der Tatausführung. Aus der Tat selber würden sich keine konstitutiven Elemente für die Bejahung einer Mordqualifikation ergeben (Beschwerde S. 3 f. und S. 17 ff.).
6.2. Die Vorinstanz erwägt, durch die Schüsse seien zwei Menschen getötet worden. Die Täterschaft habe beiden Opfern in den Bauch geschossen und habe bei C.________, der durch den Bauchschuss nicht ausser Gefecht gesetzt worden sei, mit einem gezielten Kopfschuss nachgedoppelt. Die Täterschaft habe mit direktem Tötungsvorsatz gehandelt. Dasselbe gelte für den Schuss auf das dritte Opfer - E.________. Auch dieses habe einen Bauschuss erlitten. Dass lebensgefährliche Folgen ausgeblieben seien, sei einzig dem Zufall zu verdanken. Entsprechend sei eine direkt vorsätzliche versuchte Tötung zu bejahen. In Bezug auf die Qualifikation als Mord könne hinsichtlich der Hintergründe der Tat wahrscheinlich auf eine Abrechnung im Betäubungsmittelmilieu geschlossen werden. In diesem Fall wäre von einem sog. Eliminationsmord auszugehen. Aufgrund des ungeklärten Tathintergrunds könne über das Tatmotiv aber kein abschliessendes Urteil gefällt werden. Dies schliesse jedoch die Annahme des Mordtatbestandes nicht aus, wenn etwa aufgrund der Tatausführung und des Nachtatverhaltens auf besondere Skrupellosigkeit zu erkennen sei. Die Täterschaft sei äusserst schnell und zielgerichtet vorgegangen. Der Angriff sei für die Opfer völlig überraschend - und
damit heimtückisch - sowie in einem beengtem Raum erfolgt; die Opfer hätten daher gar keine Möglichkeit gehabt, zu flüchten oder sich zu schützen. Die Ausführung sei überaus gefühlskalt gewesen und zeuge von einer unglaublichen Entschlossenheit zu töten. Als besonders grausam erscheine dabei, dass die Täterschaft die ihr - aufgrund der fehlenden Fluchtmöglichkeiten - völlig ausgelieferten Opfer nacheinander niedergeschossen bzw. eins der Opfer praktisch exekutiert habe. Das Vorgehen bei C.________, der durch den Schuss in den Bauch noch nicht widerstandsunfähig gemacht worden sei, mittels eines Nahschusses in die Stirn regelrecht hingerichtet worden sei, müsse als besonders verwerfliches "konsequentes Zuendeführen der Tötung" angesehen werden. Dass die Täterschaft mit fünf Schüssen viermal getroffen, zwei Menschen getötet und einen dritten verletzt habe, beweise ebenfalls die Zielgerichtetheit und kaltblütige Professionalität ihres Vorgehens und zeuge von einer völligen Selbstbeherrschung, den Taterfolg herbeiführen zu wollen. Schliesslich sei die Tat sorgfältig vorbereitet und geplant worden. Die dargestellten Elemente genügten für die Annahme des qualifizierenden Mordelements der skrupellosen Art der Tatausführung (Urteil S. 35
ff. E. 4.2.3).
6.3. Wer vorsätzlich einen Menschen tötet, wird mit Freiheitsstrafe nicht unter fünf Jahren bestraft (Art. 111

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 111 - Quiconque tue une personne intentionnellement est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au moins, en tant que les conditions prévues aux articles suivants ne sont pas réalisées. |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 112 - Si l'auteur tue avec une absence particulière de scrupules, notamment si son mobile, son but ou sa façon d'agir est particulièrement odieux, il est puni d'une peine privative de liberté à vie ou d'une peine privative de liberté de dix ans au moins. |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 22 - 1 Le juge peut atténuer la peine si l'exécution d'un crime ou d'un délit n'est pas poursuivie jusqu'à son terme ou que le résultat nécessaire à la consommation de l'infraction ne se produit pas ou ne pouvait pas se produire. |
|
1 | Le juge peut atténuer la peine si l'exécution d'un crime ou d'un délit n'est pas poursuivie jusqu'à son terme ou que le résultat nécessaire à la consommation de l'infraction ne se produit pas ou ne pouvait pas se produire. |
2 | L'auteur n'est pas punissable si, par grave défaut d'intelligence, il ne s'est pas rendu compte que la consommation de l'infraction était absolument impossible en raison de la nature de l'objet visé ou du moyen utilisé. |
Eine vorsätzliche Tötung stellt sich als Mord dar, wenn fremdes Leben aussergewöhnlich krass missachtet wird. Die Generalklausel "besondere Skrupellosigkeit" wird durch eine nicht abschliessende Aufzählung qualifizierender Merkmale konkretisiert. Neben den Absichten und Motiven des Täters (Beweggründe, Ziel und Zweck) können auch Faktoren massgebend sein, die dem nach aussen hin in Erscheinung tretenden Tathergang zuzuordnen sind. Indessen lässt sich auch die Art der Ausführung nicht losgelöst von inneren Faktoren beurteilen, muss sie doch ebenfalls Ausdruck einer besonders skrupellosen Haltung des Täters sein. Art. 112

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 112 - Si l'auteur tue avec une absence particulière de scrupules, notamment si son mobile, son but ou sa façon d'agir est particulièrement odieux, il est puni d'une peine privative de liberté à vie ou d'une peine privative de liberté de dix ans au moins. |
aufweisen und zur Klärung der Täterpersönlichkeit beitragen. Entscheidend ist eine Gesamtwürdigung der inneren und äusseren Umstände. Dabei können besonders belastende Momente durch entlastende ausgeglichen werden; die Tötung kann auch erst aufgrund des Zusammentreffens mehrerer belastender Umstände, die je einzeln womöglich nicht ausgereicht hätten, als besonders skrupelloses Verbrechen erscheinen. Eine besondere Skrupellosigkeit kann beispielsweise fehlen, wenn das Tatmotiv einfühlbar und nicht krass egoistisch war, so etwa, wenn die Tat durch eine schwere Konfliktsituation ausgelöst wurde (BGE 144 IV 345 E. 2.1; 141 IV 61 E. 4.1; 127 IV 10 E. 1a; vgl. Urteile 6B 1052/2020 vom 19. Juli 2021 E. 2.1.1; 6B 690/2020 vom 7. Januar 2021 E. 3.3; je mit Hinweisen).
Unter das Mordmerkmal der Heimtücke fällt die Ausnutzung besonderer Arg- und Wehrlosigkeit, so etwa wenn der Ehegatte oder nahe Blutsverwandte im Schlaf getötet werden oder wenn das Opfer, zu dem der Täter eine Liebesbeziehung unterhalten hatte, unter bewusster Ausnutzung seiner Arglosigkeit in einen Hinterhalt gelockt wird (vgl. BGE 101 IV 279 E. 2; Urteile 6B 55/2015 vom 7. April 2015 E. 2.1; 6B 678/2013 vom 3. Februar 2014 E. 6.3; 6S.216/1991 vom 22. Mai 1992 E. 4c; je mit Hinweisen).
6.4. Die Vorinstanz verletzt kein Bundesrecht, wenn sie in Würdigung der gesamten Umstände auf Morde bzw. versuchten Mord erkennt. Auch wenn das Tatmotiv vorliegend nicht abschliessend festgelegt werden konnte, gelangt sie aufgrund der Tatausführung und des Vor- sowie des Nachtatverhaltens zu Recht zum Schluss, dass die Täterschaft besonders skrupellos handelte. Gestützt auf die tatsächlichen Feststellungen der Vorinstanz gingen der Beschwerdeführer und K.________ ausgesprochen zielstrebig und äusserst gefühlskalt vor. Innert 17 Sekunden streckten sie mit fünf Schüssen zwei Personen nieder, wobei sie bei einem der Opfer nach dem ersten, nicht unmittelbar tödlichen Bauchschuss, mit einem gezielten Schuss in die Mitte der Stirn nachdoppelten, und verletzten eine weitere Person lebensgefährlich. Angesichts des Vortatverhaltens, u.a. des gemeinsamen Auskundschaftens des Lokals und der Umgebung am Nachmittag vor der Tat, sowie der sehr kurzen Dauer der eigentlichen Ausführung muss auf eine detailliert vorbereitete Tat, d.h. auf berechnende Tötungen, geschlossen werden. Die auffallend schnelle und zielgerichtete Ausführungsweise zeugt nicht nur von einer abgebrühten Professionalität, sondern ist insbesondere auch deshalb als besonders
grausam zu werten, weil mit diesem überraschenden Angriff aufgrund der gegebenen engen Platzverhältnisse zudem noch gnadenlos die Wehrlosigkeit der Opfer ausgenutzt wurde. Diese konnten sich weder schützen noch fliehen und waren der Täterschaft somit völlig ausgeliefert. Unter diesen Umständen hat die Tatsache, dass eine Schusswaffe verwendet wurde, die in Anbetracht der konkreten Situation aus Sicht der Täter wohl das zweckmässigste Tatmittel war, keinen Einfluss auf die Mordqualifikation, selbst wenn die Hemmschwelle, die überwunden werden muss, um zu töten, bei der Benutzung einer Schusswaffe niedriger ist als bei anderen Arten tödlicher Gewalt. Soweit der Beschwerdeführer geltend machen will, der Angriff sei nicht überraschend erfolgt, weil E.________ ausgesagt habe, dass er die Täter habe vorbeifahren sehen, wobei diese ins Café gestarrt hätten (Beschwerde S. 18 Ziff. 41), entfernt er sich erneut von den tatsächlichen Feststellungen der Vorinstanz, ohne Willkür darzutun. Auf die Beschwerde kann diesbezüglich nicht eingetreten werden. Die Vorinstanz erachtet den Tatbestand des mehrfachen, teilweise versuchten Mordes zu Recht als erfüllt. Was der Beschwerdeführer weiter vorbringt, führt zu keinem anderen Ergebnis. Es ist ihm
zwar beizupflichten, dass die Vorgehensweise nicht in dem Sinne als heimtückisch bezeichnet werden kann, als die Täterschaft die Opfer nicht durch List in einen Hinterhalt gelockt oder sie ein zuvor erschlichenes Vertrauen ausgenutzt hätten (Beschwerde S. 18 Ziff. 41; Bsp. für Fälle mit heimtückischem Vorgehen: BGE 104 IV 150 E. 2 S. 153 unerwarteter Schuss in den Rücken des Ehemannes; Urteile 6B 305/2013 vom 22. August 2013 E. 4.6 Angriff mit einem Beil, als das Opfer [die Tochter] gebückt bzw. auf den Knien dem Täter [dem Vater] den Rücken zuwandte; 6S.104/2002 vom 22. Oktober 2003 E. 2 Messerstiche in den Rücken einer Prostituierten in ihrem Zimmer; 6S.881/2000 vom 7. März 2001 E. 1c Erschiessen des schlafenden Ehemannes in der ehelichen Wohnung; 6S.601/1995 vom 2. November 1995 E. 2b/aa und E. 2d Schüsse in den Rücken des Vaters sowie Erschiessen der ahnungslos hinzukommenden Mutter). Gleichwohl sind die vorliegend zu beurteilenden Taten unter Berücksichtigung des von der Täterschaft ausgenützten Überraschungsmoments der Opfer und deren völligen Wehrlosigkeit aufgrund der engen räumlichen Verhältnisse als besonders skrupellos zu qualifizieren. Schliesslich sind die vorinstanzlichen Erwägungen, wonach die Täterschaft die Opfer
nacheinander niedergeschossen habe, C.________ regelrecht exekutiert worden sei und die Täterschaft eine unglaubliche Entschlossenheit zu töten gezeigt habe (Beschwerde S. 18 Ziff. 42 f.), nach den tatsächlichen Feststellungen der Vorinstanz nicht zu beanstanden. Die Beschwerde ist in diesem Punkt ebenfalls unbegründet, soweit darauf eingetreten werden kann.
7.
7.1. Der Beschwerdeführer wendet sich auch gegen den Schuldspruch der mehrfachen Gefährdung des Lebens nach Art. 129

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 129 - Quiconque, sans scrupules, met autrui en danger de mort imminent, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
7.2. Die Vorinstanz hält - teilweise unter Verweis auf die erstinstanzlichen Erwägungen - fest, aufgrund der Annahme der Mittäterschaft, die sich auf den mehrfachen (teilweise) versuchten Mord sowie die mehrfache Gefährdung des Lebens beziehe, spiele es keine Rolle, wer auf welche Person gezielt oder wer welchen Schuss abgegeben habe. Vier der fünf abgegebenen Schüsse hätten die Personen getroffen, denen der Angriff mutmasslich gegolten habe. In dem relativ kleinen Lokal (Grundfläche ca. 28 m²) hätten sich auch noch drei weitere Personen aufgehalten. Gemäss der Untersuchung des Instituts für Rechtsmedizin seien drei Schüsse durch die Opfer hindurch gedrungen und wieder aus den Körpern ausgetreten. Insofern habe die nahe Möglichkeit bestanden, dass die Geschosse eine weitere Person hätten treffen und diese lebensgefährlich hätten verletzen können. Im Übrigen hätten die Projektile abprallen und als Querschläger auch den anderen im Lokal anwesenden Personen gefährlich werden können. Schliesslich habe einer der fünf Schüsse das Fenster zur Strasse durchschlagen, sei an der gegenüberliegenden Hausfassade abgeprallt und sei letztlich auf dem Trottoir vor dem Lokal zu liegen gekommen. Daran sei zu erkennen, welche Bewegungsenergie die
Geschosse aufgewiesen hätten, weshalb von Querschlägern innerhalb eines geschlossenen Raumes zweifellos eine reelle Gefahr ausgehe. Darüber hinaus seien auch die auf der Strasse befindlichen Passanten gefährdet worden. So habe sich L.________ zum Tatzeitpunkt in unmittelbarer Nähe des Cafés auf dem Trottoir befunden, als einer der Schüsse die Fensterscheibe Richtung Trottoir durchschlagen habe. Alle diese Personen hätten sich in akuter Gefahr befunden. Es sei dem Zufall zu verdanken, dass niemand von der Munition getroffen worden sei. Im Ergebnis ergehe ein Schuldspruch wegen mehrfacher Gefährdung des Lebens in vier Fällen (Urteil S. 38 E. 4.3.3; erstinstanzliches Urteil S. 39 f. E. 3.2).
7.3. Den Tatbestand der Gefährdung des Lebens erfüllt, wer einen Menschen in skrupelloser Weise in unmittelbare Lebensgefahr bringt (Art. 129

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 129 - Quiconque, sans scrupules, met autrui en danger de mort imminent, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
schussbereiten Waffen stets gegeben ist (Urteile 6B 824/2016 vom 10. April 2017 E. 10.2, nicht publ. in: BGE 143 IV 214; 6B 317/2012 vom 21. Dezember 2012 E. 3.2 f.).
Die Gefährdung des Lebens erfordert in subjektiver Hinsicht direkten Vorsatz in Bezug auf die unmittelbare Lebensgefahr. Eventualvorsatz genügt nicht (BGE 133 IV 1 E. 5.1). Bei sicherem Wissen um den Eintritt der tödlichen Verletzung liegt Tötungsvorsatz vor, sodass die Art. 111 ff

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 111 - Quiconque tue une personne intentionnellement est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au moins, en tant que les conditions prévues aux articles suivants ne sont pas réalisées. |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 129 - Quiconque, sans scrupules, met autrui en danger de mort imminent, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
6B 698/2017 vom 13. Oktober 2017 E. 4.2 mit Hinweisen).
Was der Täter wusste, wollte und in Kauf nahm, betrifft sogenannte innere Tatsachen und ist damit Tatfrage. Als solche prüft sie das Bundesgericht nur unter dem Gesichtspunkt der Willkür (Art. 9

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.90 |
7.4. Der Schuldspruch wegen mehrfacher Gefährdung des Lebens in drei Fällen verletzt kein Bundesrecht. Das Vorbringen des Beschwerdeführers (Beschwerde S. 19 Ziff. 45), der Tatbestand der mehrfachen Gefährdung des Lebens sei mangels Zurechnung der abgegebenen Schüsse nicht erfüllt, ist unbegründet (vgl. E. 5 vorstehend). Indem der Mittäter des Beschwerdeführers in diesem kleinen Lokal fünf Schüsse abgab, in welchem sich neben den drei Zielpersonen noch weitere drei Personen befanden, hat er mit jeder Schussabgabe eine unmittelbare Lebensgefahr geschaffen. Dies ergibt sich auch aus den vorinstanzlichen Ausführungen bei der Strafzumessung, wonach die mehrfache Gefährdung des Lebens in unmittelbarem Zusammenhang mit der Ausführung der Tötungen gestanden habe. Die Möglichkeit der Verletzung des Lebens in den vier Fällen sei äusserst naheliegend gewesen, hätten H.________, I.________ und J.________ innerhalb sowie L.________ ausserhalb des Lokals doch mit grosser Wahrscheinlichkeit von einem der Durchschüsse oder Querschläger getroffen werden können (Urteil S. 43 E. 5.7.1). Was der Beschwerdeführer sodann geltend machen will, wenn er darlegt, der Tatbestand der Lebensgefährdung erfordere im Gegensatz zu demjenigen der Tötung resp.
dessen Qualifikation als Mord direkten Vorsatz (Beschwerde S. 19 Ziff. 45), ist unklar. Die Vorinstanz erwägt in Bezug auf die Mittäterschaft, die Tat sei auch planmässig gemeinsam ausgeführt resp. der Erfolg bei den drei Opfern kausal durch die mittäterschaftlichen Beiträge herbeigeführt worden. Beide Täter hätten dadurch auch Vorsatz hinsichtlich des Taterfolgs gehabt (Urteil S. 34 E. 4.1.3). Aus diesen Ausführungen ergibt sich, dass die Vorinstanz grundsätzlich ein direktvorsätzliches Handeln der beiden Mittäter annimmt. Gestützt darauf kann geschlossen werden, dass sie auch von direktvorsätzlichen Lebensgefährdungen ausgeht (vgl. Urteil S. 38 E. 4.3.3). Indem die Vorinstanz dem Beschwerdeführer eine direktvorsätzliche Gefährdung im Sinne von Art. 129

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 129 - Quiconque, sans scrupules, met autrui en danger de mort imminent, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
Hinsichtlich des Schuldspruchs wegen Lebensgefährdung zum Nachteil der Passantin L.________ ist dem Beschwerdeführer allerdings beizupflichten, dass dieser bundesrechtswidrig ist. Zwar ist gemäss dem angefochtenen Entscheid erstellt, dass L.________ unmittelbar neben dem Fenster war, als der Schuss dieses durchschlug. Weil der Täter die Lebensgefahr aber mit direktem Vorsatz herbeigeführt haben muss, hätte die Täterschaft wissen müssen, dass sich L.________ bei der Schussabgabe dort befand, was nicht erstellt ist. Damit erweist sich die Beschwerde in diesem Punkt als begründet. Die Aufhebung des Schuldspruchs wegen Lebensgefährdung zum Nachteil von L.________ wirkt sich hier aber nicht auf die ausgefällte Strafe aus. Die Einsatzstrafe von 17 Jahren für den Mord an C.________ erhöht die Vorinstanz in Anwendung des Asperationsprinzips für den Mord an D.________ um 11 Jahre. Sie hält fest, weil damit das Höchstmass der Freiheitsstrafe von 20 Jahren bereits überschritten sei, müsse auf eine lebenslängliche Freiheitsstrafe erkannt werden. Die Hinzunahme der übrigen hypothetischen Einsatzstrafen (u.a. diejenigen für die Lebensgefährdungen) und deren Asperation erübrige sich deshalb (Urteil S. 44 E. 5.9.3; vgl. nachstehend E. 9.2). Das
Bundesgericht kann vorliegend somit reformatorisch entscheiden und den Beschwerdeführer vom Vorwurf der Lebensgefährdung zum Nachteil von L.________ freisprechen (Art. 107 Abs. 2

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 107 Arrêt - 1 Le Tribunal fédéral ne peut aller au-delà des conclusions des parties. |
|
1 | Le Tribunal fédéral ne peut aller au-delà des conclusions des parties. |
2 | Si le Tribunal fédéral admet le recours, il statue lui-même sur le fond ou renvoie l'affaire à l'autorité précédente pour qu'elle prenne une nouvelle décision. Il peut également renvoyer l'affaire à l'autorité qui a statué en première instance. |
3 | Si le Tribunal fédéral considère qu'un recours en matière d'entraide pénale internationale ou d'assistance administrative internationale en matière fiscale est irrecevable, il rend une décision de non-entrée en matière dans les quinze jours qui suivent la fin d'un éventuel échange d'écritures. Dans le domaine de l'entraide pénale internationale, le Tribunal fédéral n'est pas lié par ce délai lorsque la procédure d'extradition concerne une personne dont la demande d'asile n'a pas encore fait l'objet d'une décision finale entrée en force.101 |
4 | Le Tribunal fédéral statue sur tout recours contre une décision du Tribunal fédéral des brevets portant sur l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets102 dans le mois qui suit le dépôt du recours.103 |
8.
8.1. Der Beschwerdeführer beanstandet des Weiteren den Schuldspruch des mehrfachen Vergehens gegen das Waffengesetz vom 20. Juni 1997 (SR 514.54; Beschwerde S. 20 f.).
8.2. Entgegen der (zumindest sinngemässen) Rüge des Beschwerdeführers (Beschwerde S. 20 Ziff. 48 ff.) verletzt die Vorinstanz weder ihre Überprüfungs- noch ihre Begründungspflicht, indem sie betreffend den Schuldspruch des mehrfachen Vergehens gegen das Waffengesetz vollumfänglich auf die Erwägungen der ersten Instanz verweist, die sie als zutreffend bewertet (Urteil S. 38 E. 4.4; erstinstanzliches Urteil S. 40 E. 4). Mit diesem Vorgehen macht sich die Vorinstanz die Ausführungen der ersten Instanz vollumfänglich zu eigen (vgl. Art. 82 Abs. 4

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 82 Restrictions à l'obligation de motiver - 1 Le tribunal de première instance renonce à une motivation écrite du jugement aux conditions suivantes: |
|
1 | Le tribunal de première instance renonce à une motivation écrite du jugement aux conditions suivantes: |
a | il motive le jugement oralement; |
b | il ne prononce pas de peine privative de liberté supérieure à deux ans, d'internement au sens de l'art. 64 CP36, de traitement au sens de l'art. 59 CP ou, lors de la révocation d'un sursis, de privation de liberté de plus de deux ans. |
2 | Le tribunal notifie ultérieurement aux parties un jugement motivé dans les cas suivants: |
a | une partie le demande dans les dix jours qui suivent la notification du dispositif du jugement; |
b | une partie forme un recours. |
3 | Si la partie plaignante est seule à demander un jugement motivé ou à former un recours, le jugement n'est motivé que dans la mesure où il concerne le comportement punissable à l'origine du préjudice subi par la partie plaignante ainsi que les prétentions civiles de celle-ci. |
4 | Lors de la procédure de recours, le tribunal peut, s'agissant de l'appréciation en fait et en droit des faits faisant l'objet de l'accusation, renvoyer à l'exposé des motifs de l'autorité inférieure. |
8.3. Weiter argumentiert der Beschwerdeführer, es sei nicht erstellt, dass er eine funktionsfähige, geladene und entsicherte Waffe mit sich geführt und auf Menschen gerichtet habe (Beschwerde S. 20 f. Ziff. 51 f.). Zum einen entfernt er sich dabei erneut von den tatsächlichen Feststellungen der Vorinstanz. Zum anderen gehen seine Vorbringen fehl, denn die Verurteilung wegen des (mehrfachen) Vergehens gegen das Waffengesetz im Sinne von Art. 33 Abs. 1 lit. a des Waffengesetzes erfolgte, weil er als Albanischer Staatsangehöriger in der Schweiz - gemäss seinen eigenen Angaben - eine unter das Waffengesetz fallende Pistole erworben und besessen hat. Ob er mit dieser Waffe geschossen hat, wie ihm die Beschwerdegegnerin zusätzlich vorwirft, lassen die kantonalen Instanzen ausdrücklich offen (Urteil S. 38 E. 4.4; erstinstanzliches Urteil S. 40 E. 4).
9.
9.1. Der Beschwerdeführer wendet sich gegen die Strafzumessung. Er rügt eine Verletzung von Art. 47

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 47 - 1 Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
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1 | Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
2 | La culpabilité est déterminée par la gravité de la lésion ou de la mise en danger du bien juridique concerné, par le caractère répréhensible de l'acte, par les motivations et les buts de l'auteur et par la mesure dans laquelle celui-ci aurait pu éviter la mise en danger ou la lésion, compte tenu de sa situation personnelle et des circonstances extérieures. |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 49 - 1 Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine. |
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1 | Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine. |
2 | Si le juge doit prononcer une condamnation pour une infraction que l'auteur a commise avant d'avoir été condamné pour une autre infraction, il fixe la peine complémentaire de sorte que l'auteur ne soit pas puni plus sévèrement que si les diverses infractions avaient fait l'objet d'un seul jugement. |
3 | Si l'auteur a commis une ou plusieurs infractions avant l'âge de 18 ans, le juge fixe la peine d'ensemble en application des al. 1 et 2 de sorte qu'il ne soit pas plus sévèrement puni que si les diverses infractions avaient fait l'objet de jugements distincts. |
9.2. Die Vorinstanz erwägt zur Strafzumessung zusammengefasst, im Ergebnis sei für sämtliche Delikte eine Freiheitsstrafe als gleichartige Strafe auszufällen (Urteil S. 40 E. 5.3.3). Der mehrfach erfüllte Tatbestand des (teilweise versuchten) Mordes sehe den abstrakt höchsten Strafrahmen vor. Verschuldensmässig sei der Mord an C.________ am schwersten zu werten. Die anhand des Tathergangs ermittelte objektive Tatschwere wiege schwer. Im Ergebnis würden sich die subjektiven Tatkomponenten nicht verschuldenserhöhend auswirken. Insgesamt wiege das Tatverschulden des Beschwerdeführers für den Mord an C.________ schwer, weshalb eine Einsatzstrafe von 17 Jahren Freiheitsstrafe gerechtfertigt sei (Urteil S. 41 E. 5.4). Verschuldensmässig nur wenig hinter diesem Mord falle derjenige an D.________. Hinsichtlich der objektiven Tatkomponenten könne auf das bereits Ausgeführte verwiesen werden. Dass D.________ nicht aus kurzer Distanz in die Stirn geschossen worden sei, vermöge das Verschulden nur geringfügig zu vermindern, da dies in erster Linie dem zufälligen Umstand zu verdanken sei, dass das Opfer bereits durch den ersten Schuss widerstandsunfähig gemacht worden sei. Das objektive Verschulden des Beschwerdeführers sei daher mindestens
als mittelschwer bis schwer einzustufen. Auch hinsichtlich der subjektiven Tatkomponenten könne auf die bereits gemachten Erwägungen verwiesen werden. Das Tatverschulden des Beschwerdeführers für den Mord an D.________ wiege somit mittelschwer bis schwer, weshalb hierfür eine (hypothetische) Einsatzstrafe von 15 Jahren Freiheitsstrafe angemessen sei (Urteil S. 42 E. 5.5). Betreffend den versuchten Mord an E.________ könne für die objektiven und subjektiven Tatkomponenten grundsätzlich auf das bereits Dargelegte verwiesen werden. Auch hierfür sei von einem mindestens mittelschweren Verschulden auszugehen. Der Mord an E.________ sei lediglich ins Versuchsstadium gelangt, was allerdings nur dem Zufall zu verdanken sei. Das Opfer habe aufgrund seiner Schussverletzung jedoch starke Schmerzen erlitten und sei durch die Erlebnisse jenes Abends traumatisiert. Der Umstand des Versuchs sei somit nach Art. 22 Abs. 1

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 22 - 1 Le juge peut atténuer la peine si l'exécution d'un crime ou d'un délit n'est pas poursuivie jusqu'à son terme ou que le résultat nécessaire à la consommation de l'infraction ne se produit pas ou ne pouvait pas se produire. |
|
1 | Le juge peut atténuer la peine si l'exécution d'un crime ou d'un délit n'est pas poursuivie jusqu'à son terme ou que le résultat nécessaire à la consommation de l'infraction ne se produit pas ou ne pouvait pas se produire. |
2 | L'auteur n'est pas punissable si, par grave défaut d'intelligence, il ne s'est pas rendu compte que la consommation de l'infraction était absolument impossible en raison de la nature de l'objet visé ou du moyen utilisé. |
das Tatverschulden bei den mehrfachen Gefährdungen des Lebens zumindest mittelschwer. Es rechtfertige sich mithin, jeweils eine (hypothetische) Einsatzstrafe von 14 Monaten Freiheitsstrafe festzusetzen (Urteil S. 43 E. 5.7). Schliesslich gelte es noch, das Verschulden für das Vergehen gegen das Waffengesetz festzulegen. Es sei hierfür eine - gemäss den Strafmassrichtlinien am unteren Rand denkbaren Bandbreite anzusiedelnde - (hypothetische) Einsatzstrafe von einem Monat Freiheitsstrafe auszusprechen (Urteil S. 43 E. 5.8). In Anwendung des Asperationsprinzips nimmt die Vorinstanz folgende Gesamtstrafenbildung vor: Die Einsatzstrafe von 17 Jahre für den Mord an C.________ werde für den Mord an D.________ um 11 Jahre erhöht. Damit sei das Höchstmass der zeitigen Freiheitsstrafe von 20 Jahren bereits überschritten, weshalb auf eine lebenslängliche Freiheitsstrafe erkannt werden müsse. Die Hinzunahme der übrigen hypothetischen Einsatzstrafen zur Gesamtstrafenbildung erübrige sich deshalb (Urteil S. 44 E. 5.9.3). Die allgemeinen Täterkomponenten führten schliesslich zu einer Straferhöhung, was indessen angesichts der ohnehin bereits erreichten Höchststrafe keine Wirkung entfalte. In Würdigung sämtlicher relevanter
Strafzumessungsfaktoren sei über den Beschwerdeführer somit eine lebenslängliche Freiheitsstrafe auszufällen (Urteil S. 44 E. 5.10 f.).
9.3. Das Bundesgericht hat die Grundsätze der Strafzumessung nach Art. 47 ff

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 47 - 1 Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
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1 | Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
2 | La culpabilité est déterminée par la gravité de la lésion ou de la mise en danger du bien juridique concerné, par le caractère répréhensible de l'acte, par les motivations et les buts de l'auteur et par la mesure dans laquelle celui-ci aurait pu éviter la mise en danger ou la lésion, compte tenu de sa situation personnelle et des circonstances extérieures. |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 49 - 1 Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine. |
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1 | Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine. |
2 | Si le juge doit prononcer une condamnation pour une infraction que l'auteur a commise avant d'avoir été condamné pour une autre infraction, il fixe la peine complémentaire de sorte que l'auteur ne soit pas puni plus sévèrement que si les diverses infractions avaient fait l'objet d'un seul jugement. |
3 | Si l'auteur a commis une ou plusieurs infractions avant l'âge de 18 ans, le juge fixe la peine d'ensemble en application des al. 1 et 2 de sorte qu'il ne soit pas plus sévèrement puni que si les diverses infractions avaient fait l'objet de jugements distincts. |
9.4. Die Vorinstanz setzt sich mit den wesentlichen schuldrelevanten Komponenten auseinander und würdigt sämtliche Zumessungsfaktoren zutreffend. Dass sie sich von unmassgeblichen Gesichtspunkten hätte leiten lassen oder wesentliche Aspekte nicht einbezogen hätte, ist nicht ersichtlich. Sowohl im Ergebnis als auch hinsichtlich des methodischen Vorgehens ist die vorinstanzliche Strafzumessung nicht zu beanstanden.
9.4.1. Soweit die Rügen des Beschwerdeführers auf der geltend gemachten willkürlichen Sachverhaltserstellung beruhen (z.B. Beschwerde S. 22 Ziff. 55), sind sie unbegründet (E. 4 vorstehend). Gleich verhält es sich, sofern er seine Kritik mit den seiner Auffassung nach zu Unrecht erfolgten Schuldsprüchen untermauert (Beschwerde S. 22 Ziff. 55 oder S. 23 Ziff. 57).
9.4.2. Der Beschwerdeführer führt aus, inwieweit sein objektives Verschulden aufgrund der Tatumstände in Bezug auf die beiden Tötungsdelikte als schwer gewichtet werden könne, zeige die Vorinstanz nicht auf. Namentlich sei nicht ersichtlich, dass und inwieweit die Art der Tatausführung im Vergleich zu anderen Morddelikten ein schweres Verschulden resp. eine Strafe rechtfertigen könne, die deutlich über der Mindeststrafe liege (Beschwerde S. 22 f. Ziff. 56 f.).
Dem kann nicht gefolgt werden. Die Vorinstanz hält in Bezug auf die objektiven Tatkomponenten beim Mord an C.________ zutreffend fest, die Art der Tatausführung sei mit Blick auf ihre Verwerflichkeit am oberen Rand skrupellosen Handelns anzusiedeln. Die Ausführungsweise sei selbst im Vergleich zu anderen Morddelikten äusserst zielstrebig, konsequent und gefühlskalt, was sich insbesondere durch den Schuss in die Mitte der Stirn zeige. Dieses Vorgehen zeige auch auf, dass die Täterschaft gewillt gewesen sei, die Tötung am sich wehrenden Opfer konsequent zu Ende zu führen. Das vorherige Auskundschaften des Tatorts, das Bereitstellen des Fluchtfahrzeugs sowie die schnelle - und dadurch genau durchgeplante - Tatausführung belegten zudem, dass die Täterschaft im Hinblick auf die Tatbegehung einen überdurchschnittlichen Aufwand betrieben habe, was auf eine hohe kriminelle Energie hinweise. Dies manifestiere sich auch in der Wahl des Tatortes, da aufgrund der beengten Raumverhältnisse die Situation der Opfer ungleich auswegsloser erscheine, sei ihnen doch keine Möglichkeit geblieben, zu flüchten oder sich zu schützen. Dadurch sei es den Tätern auch möglich gewesen, die völlig ausgelieferten Opfer problemlos nacheinander niederzuschiessen.
Die im Vergleich zu anderen Tötungsdelikten überdurchschnittlich grosse Kaltblütigkeit zeige sich ferner darin, dass die Täter keinen Moment gezögert hätten, sondern zielstrebig und relativ ruhig mit den Händen an den Waffen in ihren Taschen in das Lokal hineingegangen und wenige Sekunden später ebenso zielstrebig wieder herausgekommen seien und sich unauffällig schnellen Schrittes Richtung Fluchtauto begeben hätten, ohne vom eben Geschehenen gezeichnet zu sein. Das Vorgehen sei äusserst professionell und abgeklärt. Der Täterschaft könne lediglich zugute gehalten werden, dass die Opfer nicht gequält worden seien. Zusammenfassend wiege die anhand des Tathergangs ermittelte objektive Tatschwere schwer (Urteil S. 41 E. 5.4.1). Der im angefochtenen Urteil gezogene Schluss auf ein schweres Verschulden ist nicht zu beanstanden. Mit diesen Erwägungen trägt die Vorinstanz dem konkreten Ausmass der Tatausführung unter Verschuldensgesichtspunkten Rechnung. Eine Verletzung des Doppelverwertungsverbots liegt nicht vor (Beschwerde S. 23 Ziff. 58).
9.4.3. Ausserdem wendet der Beschwerdeführer ein, die Vorinstanz hätte berücksichtigen müssen, dass die Täterschaft davon abgesehen habe, E.________ zu töten. Dies sei als Rücktritt vom Versuch eines Tötungsdelikts mindestens in erheblichem Umfang strafmildernd einzubeziehen (Art. 23 Abs. 1

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 23 - 1 Si, de sa propre initiative, l'auteur a renoncé à poursuivre l'activité punissable jusqu'à son terme ou qu'il a contribué à empêcher la consommation de l'infraction, le juge peut atténuer la peine ou exempter l'auteur de toute peine. |
|
1 | Si, de sa propre initiative, l'auteur a renoncé à poursuivre l'activité punissable jusqu'à son terme ou qu'il a contribué à empêcher la consommation de l'infraction, le juge peut atténuer la peine ou exempter l'auteur de toute peine. |
2 | Si plusieurs auteurs ou participants prennent part à l'acte, le juge peut atténuer la peine ou exempter de toute peine quiconque, de sa propre initiative, a contribué à empêcher la consommation de l'infraction. |
3 | Le juge peut également atténuer la peine ou exempter de toute peine l'auteur ou le participant dont le désistement aurait empêché la consommation de l'infraction si d'autres causes ne l'avaient évitée. |
4 | Le juge peut atténuer la peine ou exempter de toute peine l'auteur ou le participant si celui-ci s'est, de sa propre initiative, sérieusement efforcé d'empêcher la consommation de l'infraction et que celle-ci a été commise indépendamment de sa contribution. |
Gemäss Art. 23 Abs. 1

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 23 - 1 Si, de sa propre initiative, l'auteur a renoncé à poursuivre l'activité punissable jusqu'à son terme ou qu'il a contribué à empêcher la consommation de l'infraction, le juge peut atténuer la peine ou exempter l'auteur de toute peine. |
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1 | Si, de sa propre initiative, l'auteur a renoncé à poursuivre l'activité punissable jusqu'à son terme ou qu'il a contribué à empêcher la consommation de l'infraction, le juge peut atténuer la peine ou exempter l'auteur de toute peine. |
2 | Si plusieurs auteurs ou participants prennent part à l'acte, le juge peut atténuer la peine ou exempter de toute peine quiconque, de sa propre initiative, a contribué à empêcher la consommation de l'infraction. |
3 | Le juge peut également atténuer la peine ou exempter de toute peine l'auteur ou le participant dont le désistement aurait empêché la consommation de l'infraction si d'autres causes ne l'avaient évitée. |
4 | Le juge peut atténuer la peine ou exempter de toute peine l'auteur ou le participant si celui-ci s'est, de sa propre initiative, sérieusement efforcé d'empêcher la consommation de l'infraction et que celle-ci a été commise indépendamment de sa contribution. |
Die Rüge ist unbegründet. Die Vorinstanz trägt dem Umstand, dass der Mord an E.________ lediglich ins Versuchsstadium gelangt ist, nach Art. 22 Abs. 1

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 22 - 1 Le juge peut atténuer la peine si l'exécution d'un crime ou d'un délit n'est pas poursuivie jusqu'à son terme ou que le résultat nécessaire à la consommation de l'infraction ne se produit pas ou ne pouvait pas se produire. |
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1 | Le juge peut atténuer la peine si l'exécution d'un crime ou d'un délit n'est pas poursuivie jusqu'à son terme ou que le résultat nécessaire à la consommation de l'infraction ne se produit pas ou ne pouvait pas se produire. |
2 | L'auteur n'est pas punissable si, par grave défaut d'intelligence, il ne s'est pas rendu compte que la consommation de l'infraction était absolument impossible en raison de la nature de l'objet visé ou du moyen utilisé. |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 23 - 1 Si, de sa propre initiative, l'auteur a renoncé à poursuivre l'activité punissable jusqu'à son terme ou qu'il a contribué à empêcher la consommation de l'infraction, le juge peut atténuer la peine ou exempter l'auteur de toute peine. |
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1 | Si, de sa propre initiative, l'auteur a renoncé à poursuivre l'activité punissable jusqu'à son terme ou qu'il a contribué à empêcher la consommation de l'infraction, le juge peut atténuer la peine ou exempter l'auteur de toute peine. |
2 | Si plusieurs auteurs ou participants prennent part à l'acte, le juge peut atténuer la peine ou exempter de toute peine quiconque, de sa propre initiative, a contribué à empêcher la consommation de l'infraction. |
3 | Le juge peut également atténuer la peine ou exempter de toute peine l'auteur ou le participant dont le désistement aurait empêché la consommation de l'infraction si d'autres causes ne l'avaient évitée. |
4 | Le juge peut atténuer la peine ou exempter de toute peine l'auteur ou le participant si celui-ci s'est, de sa propre initiative, sérieusement efforcé d'empêcher la consommation de l'infraction et que celle-ci a été commise indépendamment de sa contribution. |
9.4.4. Soweit der Beschwerdeführer vorbringt, der Widerruf der bedingten Geldstrafe von 45 Tagessätzen sei bundesrechtswidrig (Beschwerde S. 21 Ziff. 53), kann auf die Beschwerde nicht eingetreten werden. Er setzt sich nicht mit den diesbezüglichen Erwägungen im angefochtenen Entscheid auseinander (Urteil S. 44 f. E. 5.12; erstinstanzliches Urteil S. 43) und genügt damit den Begründungsanforderungen nicht (Art. 42 Abs. 2

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
9.5. Schliesslich erweist sich die Rüge der Verletzung von Art. 50

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 50 - Si le jugement doit être motivé, le juge indique dans les motifs les circonstances pertinentes pour la fixation de la peine et leur importance. |
10.
10.1. Der Beschwerdeführer kritisiert, die erste Instanz begründe den Kostenpunkt nicht. Dem erstinstanzlichen Urteil lasse sich nicht entnehmen, wie sich die enormen Verfahrenskosten (in der Höhe von Fr. 97'969.95) im Einzelnen zusammensetzen würden. So enthalte zum Beispiel der Kostenbogen der Beschwerdegegnerin etliche Positionen, die offensichtlich nicht verrechenbar und teilweise völlig unklar seien (Beschwerde S. 24 ff. Ziff. 59 ff.).
Diese Einwände erhebt der Beschwerdeführer erstmals vor Bundesgericht. Er behauptet nicht, die Vorinstanz sei auf entsprechende Vorbringen und Anträge nicht eingegangen. Damit fehlt es diesbezüglich an der Ausschöpfung des kantonalen Instanzenzugs (Art. 80 Abs. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 80 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance ou par la Cour des plaintes et la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral.50 |
|
1 | Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance ou par la Cour des plaintes et la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral.50 |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours. Sont exceptés les cas dans lesquels le code de procédure pénale (CPP)51 prévoit un tribunal supérieur ou un tribunal des mesures de contrainte comme instance unique.52 |
10.2. Auf die Rüge der Verletzung von Art. 428 Abs. 1

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 428 Frais dans la procédure de recours - 1 Les frais de la procédure de recours sont mis à la charge des parties dans la mesure où elles ont obtenu gain de cause ou succombé. La partie dont le recours est irrecevable ou qui retire le recours est également considérée avoir succombé. |
|
1 | Les frais de la procédure de recours sont mis à la charge des parties dans la mesure où elles ont obtenu gain de cause ou succombé. La partie dont le recours est irrecevable ou qui retire le recours est également considérée avoir succombé. |
2 | Lorsqu'une partie qui interjette un recours obtient une décision qui lui est plus favorable, les frais de la procédure peuvent être mis à sa charge dans les cas suivants: |
a | les conditions qui lui ont permis d'obtenir gain de cause n'ont été réalisées que dans la procédure de recours; |
b | la modification de la décision est de peu d'importance. |
3 | Si l'autorité de recours rend elle-même une nouvelle décision, elle se prononce également sur les frais fixés par l'autorité inférieure. |
4 | S'ils annulent une décision et renvoient la cause pour une nouvelle décision à l'autorité inférieure, la Confédération ou le canton supportent les frais de la procédure de recours et, selon l'appréciation de l'autorité de recours, les frais de la procédure devant l'autorité inférieure. |
5 | Lorsqu'une demande de révision est admise, l'autorité pénale appelée à connaître ensuite de l'affaire fixe les frais de la première procédure selon son pouvoir d'appréciation. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
11.
Die Beschwerde ist teilweise gutzuheissen. Der Beschwerdeführer ist vom Vorwurf der Gefährdung des Lebens zum Nachteil von L.________ freizusprechen. Das Dispositiv des vorinstanzlichen Urteils ist entsprechend anzupassen. Zur Neuregelung der Kosten- und Entschädigungsfolgen des Berufungsverfahrens wird die Sache an die Vorinstanz zurückgewiesen. Im Übrigen ist die Beschwerde abzuweisen, soweit darauf eingetreten werden kann.
Die Parteien werden im Umfang ihres Unterliegens grundsätzlich kosten- und entschädigungspflichtig (Art. 66 Abs. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
|
1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
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1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
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1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird teilweise gutgeheissen, das Dispositiv des Urteils des Appellationsgerichts des Kantons Basel-Stadt vom 17. Dezember 2021 wird wie folgt ergänzt:
"A.________ ist vom Vorwurf der Gefährdung des Lebens zum Nachteil von L.________ freizusprechen."
Das Urteil des Appellationsgerichts des Kantons Basel-Stadt vom 17. Dezember 2021 wird aufgehoben und die Sache zu neuer Entscheidung der Kosten- und Entschädigungsfolgen des Berufungsverfahrens an die Vorinstanz zurückgewiesen. Im Übrigen wird die Beschwerde abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
2.
Das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege und Verbeiständung wird gutgeheissen, soweit es nicht gegenstandslos geworden ist.
3.
Es werden keine Gerichtskosten erhoben.
4.
Der Kanton Basel-Stadt hat den Rechtsvertreter des Beschwerdeführers, Rechtsanwalt Thomas Fingerhuth, für das bundesgerichtliche Verfahren mit Fr. 250.-- zu entschädigen.
5.
Dem Rechtsvertreter des Beschwerdeführers, Rechtsanwalt Thomas Fingerhuth, wird für das bundesgerichtliche Verfahren eine Entschädigung von Fr. 2'750.-- aus der Bundesgerichtskasse ausgerichtet.
6.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Appellationsgericht des Kantons Basel-Stadt, Kammer, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 14. September 2022
Im Namen der Strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Die Präsidentin: Jacquemoud-Rossari
Die Gerichtsschreiberin: Pasquini