Tribunal administratif fédéral
Tribunale amministrativo federale
Tribunal administrativ federal
Cour III
C-2584/2017
Arrêt du 13 janvier 2021
Beat Weber (président du collège),
Composition Caroline Gehring, Daniel Stufetti, juges,
Pascal Montavon, greffier.
A._______,
Parties (France)
recourant,
contre
Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger OAIE,
autorité inférieure.
Objet Assurance-invalidité, droit à la rente (décision du 24 avril 2017).
Faits :
A.
Le ressortissant français A._______ (ci-après : assuré ou recourant), né le (...) 1957, employé de commerce de formation avec brevet d'études professionnelles (BEP), a travaillé en Suisse de 1987 à 2014 (excepté les années 2006, 2009, 2010) (AI pce 12). Sa dernière activité, exercée du 20 janvier 2011 au 31 octobre 2014, a été celle de chauffeur de poids lourds (sans importante activité de transbordement de marchandises lourdes; cf. AI pce 13). Atteint d'une nécrose du col du fémur à la hanche droite, son dernier jour d'activité a été le 23 avril 2014. L'assuré a été opéré le 16 juillet 2014 pour une prothèse totale de cette hanche (AI pce 28 p. 6 et 7). Il a été licencié pour cause de maladie au 31 octobre 2014 (cf. AI pce 13).
B.
Le 26 septembre 2014 (date de réception), l'assuré a déposé une demande de prestations d'invalidité auprès de l'Office AI de B._______ (OAI-B._______), indiquant une incapacité de travail de 100% depuis le 24 avril 2014 en raison d'une nécrose du col du fémur à la hanche droite (AI pce 1). En dépit d'une certaine amélioration relevée quelque 3 mois après l'opération par le Dr C._______ (spécialiste en médecine physique et réadaptation) dans un rapport du 22 octobre 2014 (AI pce 22 p. 4), le Dr D._______ (spécialiste en médecine interne, cardiologie et médecine du sport), médecin-conseil de l'assureur perte de gain, a indiqué dans un rapport du 9 novembre 2014 adressé audit assureur la nécessité de surseoir pendant quelques mois à une reprise du travail en raison de problèmes d'obésité, la principale priorité étant de maîtriser le poids (cf. AI pce 22 p. 3).
Le 3 février 2015, l'OAI-B._______ a informé l'assuré que son état de santé ne lui permettait pas de bénéficier de mesures de réadaptations (AI pce 25). L'OAI-B._______ a par ailleurs communiqué le 13 mai 2015 à l'assuré la nécessité d'une expertise rhumatologique vu l'existence de rapports divergents concernant sa capacité de travail (AI pce 31). Le 20 mai 2015, l'assuré a informé l'OAI-B._______ devoir également subir une prothèse totale de la hanche gauche (AI pce 32). Cette opération a eu lieu le 1er juillet 2015 (AI pce 37, p. 3). Dans un rapport du 8 février 2016, le Dr E._______ (spécialiste en médecine générale, médecin du Service médical régional [SMR] de l'AI) a retenu, à la suite des opérations des 16 juillet 2014 et 1er juillet 2015, un statut d'incapacité de travail du 24 avril 2014 au 1er septembre 2014 et du 20 mai 2015 jusqu'au 1er octobre 2015 sur le plan orthopédique (AI pce 44).
B.a L'expertise rhumatologique préconisée par l'OAI-B._______, confiée au Dr F._______ (spécialiste en rhumatologie et médecine interne), a eu lieu le 10 mai 2016 à la suite des opérations des deux hanches. Le rapport daté du 13 mai 2016 a été adressé à l'OAI-B._______. L'expert a posé les diagnostics avec incidence sur la capacité de travail de status après prothèses totales des hanches droite et gauche les 16 juillet 2014 et 1er juillet 2015. Il a retenu sur le plan rhumatologique une capacité de travail de 100% dans une pure activité de chauffeur de poids lourds sans tâches de (dé)chargement et dans une activité adaptée légère, précisant un certain nombre de restrictions. Il a également indiqué une capacité de travail de 100%, notamment dans une activité principalement assise permettant le changement de positions, comme celles en lien avec sa formation commerciale. Se référant aux dates des opérations, le Dr F._______ a relevé une incapacité de travail de 100% du 24 avril 2014 au 16 octobre 2014 (3 mois après l'opération du 16 juillet), de 0% du 17 octobre 2014 au 30 juin 2015, de 100% du 1er juillet 2015 au 1er octobre 2015 (3 mois après l'opération du 1er juillet), de 0% à partir du 2 octobre 2015 (AI pce 47).
B.b Le Dr E._______ (spécialiste en médecine générale) de l'OAI-B._______, dans un rapport SMR du 21 juillet 2016, a confirmé les diagnostics retenus par le Dr F._______ et son appréciation des périodes d'incapacité et de capacité de travail, lui reconnaissant pleine valeur probante (AI pce 49).
C.
C.a Par un projet de décision du 8 novembre 2016, l'OAI-B._______ a fait part à l'assuré de son intention de lui allouer une rente entière du 1er juillet 2015 au 31 décembre 2015. Il a retenu une incapacité de travail entière à partir du 24 avril 2014 portant le délai d'attente au 24 avril 2015 et a indiqué qu'à cette date il avait une capacité de travail entière dans une activité adaptée ne générant pas d'invalidité par comparaison de revenus avec et sans invalidité, mais, qu'à partir du 1er juillet 2015, il présentait une incapacité de travail totale jusqu'au 1er octobre 2015 fondant un droit à une rente entière jusqu'au 31 décembre 2015. L'OAI-B._______ a indiqué qu'à compter du 1er octobre 2015 il ne présentait plus d'invalidité étant en mesure d'exercer à plein temps une activité adaptée à ses limitations fonctionnelles (AI pce 50).
C.b L'assuré s'est opposé à ce projet de décision par un courrier du 15 novembre 2016, faisant valoir être encore dans l'attente de résultats d'examens (AI pce 51). Par courrier du 16 décembre 2016, il a adressé à l'OAI-B._______ un rapport du 28 octobre 2016 du Dr G._______ (spécialiste en neurologie) et un rapport du 28 novembre 2016 du Dr H._______ (spécialiste en angiologie et médecine vasculaire) (AI pce 53).
C.c Invité à se déterminer sur ces rapports, le Dr E._______ du SMR a indiqué, dans une prise de position du 9 février 2017, que les maladies décrites dans les rapports précités n'avaient pas d'incidence sur la capacité de travail (AI pce 55).
C.d Par décision du 24 avril 2017, l'Office AI pour les assurés résidant à l'étranger (OAIE) a alloué à l'assuré une rente entière d'invalidité du 1er juillet 2015 au 31 décembre 2015 avec la motivation du projet de décision complétée de la détermination du Dr E._______ précitée (AI pce 58).
D.
À l'encontre de cette décision, A._______ interjette recours auprès du Tribunal administratif fédéral (ci-après : Tribunal ou TAF) en date du 2 mai 2017 (timbre postal). Il conteste la durée de la rente entière allouée et que celle-ci prenne fin au 31 décembre 2015, faisant valoir que son état de santé s'est gravement détérioré en raison d'une neuropathie au niveau des pieds et de douleurs liées aux prothèses des hanches. Il joint à son recours les rapports médicaux annexés à la contestation du projet de décision et indique être dans l'attente d'autres rapports médicaux (TAF pce 1).
E.
Par réponse du 11 juillet 2017, l'OAIE conclut au rejet du recours et à la confirmation de la décision attaquée, faisant sienne la détermination de l'OAI-B._______ du 6 juillet 2017. Dans celle-ci, l'office se réfère aux constats et aux conclusions de l'expertise du Dr F._______ du 13 mai 2016, relevant que les nouveaux rapports médicaux produits ne sont pas de nature à modifier sa détermination (TAF pce 5).
F.
À titre de réplique, le recourant adresse au Tribunal par pli du 14 août 2017 une copie de son recours, des documents déjà au dossier et un bref rapport du Dr I._______ (psychiatre) indiquant que le recourant s'est présenté à sa consultation le 3 août 2017 (TAF pce 8). Le Tribunal porte à la connaissance de l'autorité inférieure cet envoi par ordonnance du 18 août 2017 et met un terme à l'échange des écritures (TAF pce 9).
G.
Par ordonnance du 1er octobre 2020, le Tribunal procède à un complément d'instruction. Il demande à l'autorité inférieure deux rapports médicaux annoncés dans les actes au dossier mais n'y figurant pas, soit un rapport du Centre Médical J._______ selon un suivi à compter du 28 octobre 2014 à visée hygiéno-diététique avec réentraînement kinésithérapique et mobilisation et un rapport du Dr K._______ suite à une consultation annoncée du 6 novembre 2014. Il invite également l'autorité à produire d'éventuels autres rapports médicaux portant sur la période du 16 juillet 2014 (opération de la hanche droite) au 1er juillet 2015 (opération de la hanche gauche) (TAF pce 11).
Par réponse du 22 octobre 2020, l'OAIE transmet un bordereau de 17 pièces déjà au dossier portant notamment sur la période précitée (TAF pce 13). Les rapports médicaux demandés en particulier ne figurent pas aux actes.
Par acte spontané du 27 octobre 2020 (timbre postal), le recourant, en réponse de sa part à l'ordonnance du 1er octobre 2020, communique au Tribunal n'avoir jamais bénéficié de réentraînement kinésithérapique tant pour la hanche droite que pour la hanche gauche, le Dr K._______ lui ayant préconisé de faire beaucoup de marche. Il mentionne également un état de santé s'étant continuellement dégradé à la suite de la première opération. À son envoi, il joint 13 rapports médicaux dont 2 déjà au dossier (TAF pce 15). Les 11 autres rapports médicaux portent sur la période du 24 octobre 2016 au 2 mars 2020 (TAF pce 15.1-10).
H.
Invité par ordonnance du 28 octobre 2020 à produire les documents médicaux sollicités auprès de l'OAIE par ordonnance du 1er octobre 2020 (TAF pce 14), le recourant adresse au Tribunal par courrier du 18 novembre 2020 les rapports médicaux demandés, rappelant n'avoir pas eu d'entraînement kinésithérapique et n'ayant fait que quelques heures de marche sur tapis, et un rapport d'intervention chirurgicale de la hanche gauche du 1er juillet 2015 (TAF pce 17). Cet envoi est transmis à l'autorité inférieure pour connaissance par ordonnance du Tribunal du 26 novembre 2020 (TAF pce 19).
I.
Les faits déterminants pour la présente procédure seront complétés dans la partie en droit ci-après, en tant que de besoin.
Droit :
1.
1.1 Selon l'art. 31

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 31 Principio - Il Tribunale amministrativo federale giudica i ricorsi contro le decisioni ai sensi dell'articolo 5 della legge federale del 20 dicembre 196821 sulla procedura amministrativa (PA). |

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 32 Eccezioni - 1 Il ricorso è inammissibile contro: |

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 33 Autorità inferiori - Il ricorso è ammissibile contro le decisioni: |

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 5 - 1 Sono decisioni i provvedimenti delle autorità nel singolo caso, fondati sul diritto pubblico federale e concernenti: |
|
1 | Sono decisioni i provvedimenti delle autorità nel singolo caso, fondati sul diritto pubblico federale e concernenti: |
a | la costituzione, la modificazione o l'annullamento di diritti o di obblighi; |
b | l'accertamento dell'esistenza, dell'inesistenza o dell'estensione di diritti o di obblighi; |
c | il rigetto o la dichiarazione d'inammissibilità d'istanze dirette alla costituzione, alla modificazione, all'annullamento o all'accertamento di diritti o di obblighi. |
2 | Sono decisioni anche quelle in materia d'esecuzione (art. 41 cpv. 1 lett. a e b), le decisioni incidentali (art. 45 e 46), le decisioni su opposizione (art. 30 cpv. 2 lett. b e 74), le decisioni su ricorso (art. 61), le decisioni in sede di revisione (art. 68) e l'interpretazione (art. 69).24 |
3 | Le dichiarazioni di un'autorità che rifiuta o solleva pretese da far valere mediante azione non sono considerate decisioni. |
1.2 Selon l'art. 37

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 37 Principio - La procedura dinanzi al Tribunale amministrativo federale è retta dalla PA60, in quanto la presente legge non disponga altrimenti. |

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 3 - Non sono regolate dalla presente legge: |
|
a | la procedura di autorità nel senso dell'articolo 1 capoverso 2 lettera e in quanto contro le loro decisioni non sia ammissibile un ricorso direttamente ad un'autorità federale; |
b | la procedura di prima istanza in materia di personale federale concernente l'istituzione iniziale del rapporto di servizio, la promozione, gli ordini di servizio e l'autorizzazione al procedimento penale contro l'agente; |
c | la procedura di prima istanza nelle cause amministrative penali e la procedura d'accertamento della polizia giudiziaria; |
d | la procedura della giustizia militare, compresa la giustizia militare disciplinare, la procedura in affari in materia di comando giusta l'articolo 37 come pure la procedura speciale giusta gli articoli 38 e 39 della legge militare del 3 febbraio 199517,18 ...19; |
dbis | la procedura in materia di assicurazioni sociali, sempre che la legge federale del 6 ottobre 200021 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali sia applicabile; |
e | la procedura d'imposizione doganale; |

SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 2 Campo d'applicazione e rapporto tra la parte generale e le singole leggi sulle assicurazioni sociali - Le disposizioni della presente legge sono applicabili alle assicurazioni sociali disciplinate dalla legislazione federale, se e per quanto le singole leggi sulle assicurazioni sociali lo prevedano. |

SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 1 - 1 Le disposizioni della legge federale del 6 ottobre 20007 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) sono applicabili all'assicurazione per l'invalidità (art. 1a-26bis e 28-70) sempre che la presente legge non preveda espressamente una deroga.8 |
|
1 | Le disposizioni della legge federale del 6 ottobre 20007 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) sono applicabili all'assicurazione per l'invalidità (art. 1a-26bis e 28-70) sempre che la presente legge non preveda espressamente una deroga.8 |
2 | Gli articoli 32 e 33 LPGA sono pure applicabili al promovimento dell'aiuto agli invalidi (art. 71-76). |
1.3 Selon l'art. 59

SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 59 Legittimazione - Ha diritto di ricorrere chiunque è toccato dalla decisione o dalla decisione su opposizione e ha un interesse degno di protezione al suo annullamento o alla sua modificazione. |
1.4 Déposé en temps utile dans les formes requises par la loi (art. 60

SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 60 Termine di ricorso - 1 Il ricorso deve essere interposto entro 30 giorni dalla notificazione della decisione o della decisione contro cui l'opposizione è esclusa. |
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1 | Il ricorso deve essere interposto entro 30 giorni dalla notificazione della decisione o della decisione contro cui l'opposizione è esclusa. |
2 | Gli articoli 38-41 sono applicabili per analogia. |

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 63 - 1 L'autorità di ricorso mette nel dispositivo le spese processuali, consistenti in una tassa di decisione nelle tasse di cancelleria e negli sborsi, di regola a carico della parte soccombente. Se questa soccombe solo parzialmente, le spese processuali sono ridotte. Per eccezione, si possono condonare le spese processuali. |
|
1 | L'autorità di ricorso mette nel dispositivo le spese processuali, consistenti in una tassa di decisione nelle tasse di cancelleria e negli sborsi, di regola a carico della parte soccombente. Se questa soccombe solo parzialmente, le spese processuali sono ridotte. Per eccezione, si possono condonare le spese processuali. |
2 | Nessuna spesa processuale è messa a carico dell'autorità inferiore ne delle autorità federali, che promuovano il ricorso e soccombano; se l'autorità ricorrente, che soccombe, non è un'autorità federale, le spese processuali le sono addossate in quanto la causa concerna interessi pecuniari di enti o d'istituti autonomi. |
3 | Alla parte vincente possono essere addossate solo le spese processuali che abbia cagionato violando le regole di procedura. |
4 | L'autorità di ricorso, il suo presidente o il giudice dell'istruzione esige dal ricorrente un anticipo equivalente alle presunte spese processuali. Stabilisce un congruo termine per il pagamento con la comminatoria che altrimenti non entrerà nel merito. Se sussistono motivi particolari, può rinunciare interamente o in parte a esigere l'anticipo.100 |
4bis | La tassa di decisione è stabilita in funzione dell'ampiezza e della difficoltà della causa, del modo di condotta processuale e della situazione finanziaria delle parti. Il suo importo oscilla: |
a | da 100 a 5000 franchi nelle controversie senza interesse pecuniario; |
b | da 100 a 50 000 franchi nelle altre controversie.101 |
5 | Il Consiglio federale disciplina i dettagli relativi alla determinazione delle tasse.102 Sono fatti salvi l'articolo 16 capoverso 1 lettera a della legge del 17 giugno 2005103 sul Tribunale amministrativo federale e l'articolo 73 della legge del 19 marzo 2010104 sull'organizzazione delle autorità penali.105 |

SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 69 Rimedi giuridici: disposizioni particolari - 1 In deroga agli articoli 52 e 58 LPGA426: |
|
1 | In deroga agli articoli 52 e 58 LPGA426: |
a | le decisioni degli uffici AI cantonali sono impugnabili direttamente dinanzi al tribunale delle assicurazioni del luogo dell'ufficio AI; |
b | le decisioni dell'Ufficio AI per gli assicurati residenti all'estero sono impugnabili direttamente dinanzi al Tribunale amministrativo federale.428 |
1bis | La procedura di ricorso dinanzi al tribunale cantonale delle assicurazioni in caso di controversie relative a prestazioni dell'AI è soggetta a spese.429 L'entità delle spese è determinata fra 200 e 1000 franchi in funzione delle spese di procedura e senza riguardo al valore litigioso.430 |
2 | Il capoverso 1bis e l'articolo 85bis capoverso 3 LAVS431 si applicano per analogia ai procedimenti dinanzi al Tribunale amministrativo federale.432 |
3 | Le decisioni dei tribunali arbitrali cantonali secondo l'articolo 27quinquies possono essere impugnate con ricorso al Tribunale federale conformemente alla legge del 17 giugno 2005433 sul Tribunale federale.434 |
2.
Le litige porte sur le début de la rente allouée dès le 1er juillet 2015 et la suppression au 31 décembre 2015 du droit à toute rente. Le droit à une rente entière du 1er juillet 2015 au 31 décembre 2015 n'est pas contesté par le recourant.
3.
3.1 L'affaire présente un aspect transfrontalier dans la mesure où le recourant est un ressortissant français domicilié en France voisine - État membre de l'Union européenne (UE) - en même temps qu'il travaillait en Suisse à l'époque des faits déterminants, de sorte qu'il y a lieu d'appliquer, à la présente cause, l'accord du 21 juin 1999 sur la libre circulation des personnes (ALCP, RS 0.142.112. 681) conclu entre la Suisse et la Communauté européenne et ses États membres, dont l'annexe II règle la coordination des systèmes de sécurité sociale (art. 8

IR 0.142.112.681 Accordo del 21 giugno 1999 tra la Confederazione Svizzera, da una parte, e la Comunità europea ed i suoi Stati membri, dall'altra, sulla libera circolazione delle persone (con allegati, protocolli e atto finale) ALC Art. 8 Coordinamento dei sistemi di sicurezza sociale - Conformemente all'allegato II, le parti contraenti disciplinano il coordinamento dei sistemi di sicurezza sociale per garantire in particolare: |
|
a | la parità di trattamento; |
b | la determinazione della normativa applicabile; |
c | il calcolo totale, per la concessione e il mantenimento del diritto alle prestazioni, nonché per il calcolo di queste, di tutti i periodi presi in considerazione dalle diverse legislazioni nazionali; |
d | il pagamento delle prestazioni alle persone che risiedono sul territorio delle parti contraenti; |
e | la mutua assistenza e la cooperazione amministrative tra le autorità e le istituzioni. |

SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 80a - 1 Ai cittadini svizzeri o di uno Stato membro dell'Unione europea che sono o sono stati soggetti alla legislazione in materia di sicurezza sociale della Svizzera o di uno o più Stati membri dell'Unione europea, ai rifugiati o agli apolidi residenti in Svizzera o in uno Stato membro dell'Unione europea, nonché ai familiari e ai superstiti di queste persone, in merito alle prestazioni che rientrano nel campo d'applicazione della presente legge, si applicano i seguenti atti normativi nella versione vincolante per la Svizzera dell'allegato II sezione A dell'Accordo del 21 giugno 1999469 tra la Confederazione Svizzera, da una parte, e la Comunità europea ed i suoi Stati membri, dall'altra, sulla libera circolazione delle persone (Accordo sulla libera circolazione delle persone): |
|
1 | Ai cittadini svizzeri o di uno Stato membro dell'Unione europea che sono o sono stati soggetti alla legislazione in materia di sicurezza sociale della Svizzera o di uno o più Stati membri dell'Unione europea, ai rifugiati o agli apolidi residenti in Svizzera o in uno Stato membro dell'Unione europea, nonché ai familiari e ai superstiti di queste persone, in merito alle prestazioni che rientrano nel campo d'applicazione della presente legge, si applicano i seguenti atti normativi nella versione vincolante per la Svizzera dell'allegato II sezione A dell'Accordo del 21 giugno 1999469 tra la Confederazione Svizzera, da una parte, e la Comunità europea ed i suoi Stati membri, dall'altra, sulla libera circolazione delle persone (Accordo sulla libera circolazione delle persone): |
a | regolamento (CE) n. 883/2004470; |
b | regolamento (CE) n. 987/2009471; |
c | regolamento (CEE) n. 1408/71472; |
d | regolamento (CEE) n. 574/72473. |
2 | Ai cittadini svizzeri, islandesi, norvegesi o del Principato del Liechtenstein che sono o sono stati soggetti alla legislazione in materia di sicurezza sociale della Svizzera, dell'Islanda, della Norvegia o del Principato del Liechtenstein, agli apolidi o ai rifugiati residenti in Svizzera o nel territorio dell'Islanda, della Norvegia o del Principato del Liechtenstein, nonché ai familiari e ai superstiti di queste persone, in merito alle prestazioni che rientrano nel campo d'applicazione della presente legge, si applicano i seguenti atti normativi nella versione vincolante per la Svizzera dell'allegato K appendice 2 della Convenzione del 4 gennaio 1960474 istitutiva dell'Associazione europea di libero scambio (Convenzione AELS): |
a | regolamento (CE) n. 883/2004; |
b | regolamento (CE) n. 987/2009; |
c | regolamento (CEE) n. 1408/71; |
d | regolamento (CEE) n. 574/72. |
3 | Il Consiglio federale adegua i rimandi agli atti normativi dell'Unione europea di cui ai capoversi 1 e 2 ogniqualvolta è adottata una modifica dell'allegato II dell'Accordo sulla libera circolazione delle persone e dell'allegato K appendice 2 della Convenzione AELS. |
4 | Nella presente legge le espressioni «Stati membri dell'Unione europea», «Stati membri della Comunità europea», «Stati dell'Unione europea» e «Stati della Comunità europea» designano gli Stati cui si applica l'Accordo sulla libera circolazione delle persone. |
3.2 Conformément à l'art. 4 du règlement n° 883/2004, les personnes auxquelles ce règlement s'applique, bénéficient en principe des mêmes prestations et sont soumises aux mêmes obligations, en vertu de la législation de tout État membre, que les ressortissants de celui-ci. Dans la mesure où l'ALCP et son annexe II ne prévoient pas de disposition contraire, la procédure ainsi que les conditions à l'octroi d'une rente d'invalidité sont déterminées exclusivement d'après le droit suisse (art. 8 ALPC; art. 46 al. 3 du règlement n° 883/2004; ATF 130 V 253 consid. 2.4). Même après l'entrée en vigueur de l'ALCP, le degré d'invalidité d'un assuré qui prétend à une rente de l'assurance-invalidité suisse est ainsi déterminé exclusivement d'après le droit suisse (ATF 130 V 253 consid. 2.4).
3.3 Aux termes de l'art. 40

SR 831.201 Ordinanza del 17 gennaio 1961 sull'assicurazione per l'invalidità (OAI) OAI Art. 40 - 1 Per la ricezione e l'esame delle richieste è competente: |
4.
4.1 La procédure dans le domaine des assurances sociales est régie par la maxime inquisitoire (ATF 138 V 218 consid. 6). L'autorité administrative et, en cas de recours, le Tribunal constatent les faits d'office (cf. art. 12

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 12 - L'autorità accerta d'ufficio i fatti e si serve, se necessario, dei seguenti mezzi di prova: |
|
a | documenti; |
b | informazioni delle parti; |
c | informazioni o testimonianze di terzi; |
d | sopralluoghi; |
e | perizie. |

SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 43 Accertamento - 1 L'assicuratore esamina le domande, intraprende d'ufficio i necessari accertamenti e raccoglie le informazioni di cui ha bisogno. Le informazioni date oralmente devono essere messe per scritto. |
|
1 | L'assicuratore esamina le domande, intraprende d'ufficio i necessari accertamenti e raccoglie le informazioni di cui ha bisogno. Le informazioni date oralmente devono essere messe per scritto. |
1bis | L'assicuratore determina la natura e l'entità dei necessari accertamenti.35 |
2 | Se sono necessari e ragionevolmente esigibili esami medici o specialistici per la valutazione del caso, l'assicurato deve sottoporvisi. |
3 | Se l'assicurato o altre persone che pretendono prestazioni, nonostante un'ingiunzione, rifiutano in modo ingiustificato di compiere il loro dovere d'informare o di collaborare, l'assicuratore può, dopo diffida scritta e avvertimento delle conseguenze giuridiche e dopo aver impartito un adeguato termine di riflessione, decidere in base agli atti o chiudere l'inchiesta e decidere di non entrare in materia36. |

SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 43 Accertamento - 1 L'assicuratore esamina le domande, intraprende d'ufficio i necessari accertamenti e raccoglie le informazioni di cui ha bisogno. Le informazioni date oralmente devono essere messe per scritto. |
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1 | L'assicuratore esamina le domande, intraprende d'ufficio i necessari accertamenti e raccoglie le informazioni di cui ha bisogno. Le informazioni date oralmente devono essere messe per scritto. |
1bis | L'assicuratore determina la natura e l'entità dei necessari accertamenti.35 |
2 | Se sono necessari e ragionevolmente esigibili esami medici o specialistici per la valutazione del caso, l'assicurato deve sottoporvisi. |
3 | Se l'assicurato o altre persone che pretendono prestazioni, nonostante un'ingiunzione, rifiutano in modo ingiustificato di compiere il loro dovere d'informare o di collaborare, l'assicuratore può, dopo diffida scritta e avvertimento delle conseguenze giuridiche e dopo aver impartito un adeguato termine di riflessione, decidere in base agli atti o chiudere l'inchiesta e decidere di non entrare in materia36. |
4.2 Le Tribunal administratif fédéral applique le droit d'office, sans être lié par les motifs invoqués par les parties (art. 62 al. 4

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 62 - 1 L'autorità di ricorso può modificare la decisione impugnata a vantaggio di una parte. |
|
1 | L'autorità di ricorso può modificare la decisione impugnata a vantaggio di una parte. |
2 | Essa può modificare a pregiudizio di una parte la decisione impugnata quando questa violi il diritto federale o poggi su un accertamento inesatto o incompleto dei fatti; per inadeguatezza, la decisione impugnata non può essere modificata a pregiudizio di una parte, a meno che la modificazione giovi ad una controparte. |
3 | L'autorità di ricorso che intenda modificare la decisione impugnata a pregiudizio di una parte deve informarla della sua intenzione e darle la possibilità di esprimersi. |
4 | L'autorità di ricorso non è vincolata in nessun caso dai motivi del ricorso. |
5.
5.1 Le droit matériel applicable est déterminé par les règles en vigueur au moment où les faits juridiquement déterminants ou ayant des conséquences juridiques se sont produits, le juge n'ayant pas, en principe, à prendre en considération les modifications du droit ou de l'état de fait postérieures à la date déterminante de la décision attaquée, sous réserve de dispositions particulières de droit transitoire (ATF 136 V 24 consid. 4.3, 129 V 1 consid. 1.2). Les faits qui sont survenus postérieurement, et qui ont modifié cette situation, doivent normalement faire l'objet d'une nouvelle décision administrative (ATF 132 V 215 consid. 3.1.1; arrêt du TF 9C_839/ 2017 du 24 avril 2018 consid. 4.2).
5.2 Le Tribunal ne peut prendre en considération que les rapports médicaux établis antérieurement à la décision attaquée, à moins que ceux établis ultérieurement ne permettent de mieux comprendre l'état de santé et la capacité de travail de l'assuré jusqu'à la décision sujette à recours (ATF 121 V 362 consid. 1b, 99 V 98 consid. 4) et qu'ils soient de nature à influencer l'appréciation du cas au moment où la décision attaquée a été rendue (arrêt du TF 9C_34/2017 du 20 avril 2017 consid. 5.2). En particulier, les rapports médicaux produits par le recourant par envoi du 27 octobre 2020, établis largement après la décision attaquée (cf. supra G), ne peuvent être pris en considération dans la présente affaire (cf. consid. 15).
6.
Selon l'art. 36

SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 36 Beneficiari e calcolo - 1 Hanno diritto a una rendita ordinaria gli assicurati che, all'insorgere dell'invalidità, hanno pagato i contributi per almeno tre anni.232 |
|
1 | Hanno diritto a una rendita ordinaria gli assicurati che, all'insorgere dell'invalidità, hanno pagato i contributi per almeno tre anni.232 |
2 | Le disposizioni della LAVS233 si applicano per analogia al calcolo delle rendite ordinarie. Il Consiglio federale può emanare prescrizioni completive.234 |
3 | ...235 |
4 | Le quote pagate all'AVS prima dell'entrata in vigore della presente legge sono computate. |
En l'occurrence, l'assuré a versé des cotisations à l'AVS/AI pendant plus de 3 ans (cf. supra lettre A), de sorte qu'il remplit la condition afférente à la durée minimale de cotisations au moment de l'ouverture du droit à la rente.
7.
7.1 Selon l'art. 28 al. 1

SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 28 Principio - 1 L'assicurato ha diritto a una rendita se: |
|
1 | L'assicurato ha diritto a una rendita se: |
a | la sua capacità al guadagno o la sua capacità di svolgere le mansioni consuete non può essere ristabilita, mantenuta o migliorata mediante provvedimenti d'integrazione ragionevolmente esigibili; |
b | ha avuto un'incapacità al lavoro (art. 6 LPGA209) almeno del 40 per cento in media durante un anno senza notevole interruzione; e |
c | al termine di questo anno è invalido (art. 8 LPGA) almeno al 40 per cento. |
1bis | La rendita secondo il capoverso 1 non è concessa fintantoché non sono esaurite le possibilità d'integrazione secondo l'articolo 8 capoversi 1bis e 1ter.210 |
2 | ...211 |
Dans le cadre du délai d'attente d'une année, une incapacité de travail de 20 % est en règle générale déjà considérée comme significative et est prise en considération pour le calcul du taux moyen sur l'année (Pratique VSI 1998 p. 126; Circulaire sur l'invalidité et l'impotence dans l'assurance-invalidité [CIIAI] n° 2010 [État au 1er janvier 2017]).
7.2 L'assuré a droit à un quart de rente s'il est invalide à 40% au moins, à une demi-rente s'il est invalide à 50% au moins, à trois-quarts de rente s'il est invalide à 60% au moins et à une rente entière s'il est invalide à 70% au moins (art. 28 al. 2

SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 28 Principio - 1 L'assicurato ha diritto a una rendita se: |
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1 | L'assicurato ha diritto a una rendita se: |
a | la sua capacità al guadagno o la sua capacità di svolgere le mansioni consuete non può essere ristabilita, mantenuta o migliorata mediante provvedimenti d'integrazione ragionevolmente esigibili; |
b | ha avuto un'incapacità al lavoro (art. 6 LPGA209) almeno del 40 per cento in media durante un anno senza notevole interruzione; e |
c | al termine di questo anno è invalido (art. 8 LPGA) almeno al 40 per cento. |
1bis | La rendita secondo il capoverso 1 non è concessa fintantoché non sono esaurite le possibilità d'integrazione secondo l'articolo 8 capoversi 1bis e 1ter.210 |
2 | ...211 |

SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 29 Inizio del diritto e versamento della rendita - 1 Il diritto alla rendita nasce al più presto dopo sei mesi dalla data in cui l'assicurato ha rivendicato il diritto alle prestazioni conformemente all'articolo 29 capoverso 1 LPGA220, ma al più presto a partire dal mese seguente il compimento dei 18 anni. |
|
1 | Il diritto alla rendita nasce al più presto dopo sei mesi dalla data in cui l'assicurato ha rivendicato il diritto alle prestazioni conformemente all'articolo 29 capoverso 1 LPGA220, ma al più presto a partire dal mese seguente il compimento dei 18 anni. |
2 | Il diritto non nasce finché l'assicurato può pretendere un'indennità giornaliera ai sensi dell'articolo 22. |
3 | La rendita è versata dall'inizio del mese in cui nasce il diritto. |
4 | Le rendite corrispondenti a un grado d'invalidità inferiore al 50 per cento sono versate solo agli assicurati che sono domiciliati e dimorano abitualmente (art. 13 LPGA) in Svizzera. Questo presupposto deve essere adempiuto anche dai congiunti per i quali è chiesta una prestazione. |

SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 13 Domicilio e dimora abituale - 1 Il domicilio di una persona è determinato secondo le disposizioni degli articoli 23-26 del Codice civile15. |
|
1 | Il domicilio di una persona è determinato secondo le disposizioni degli articoli 23-26 del Codice civile15. |
2 | Una persona ha la propria dimora abituale nel luogo in cui vive16 per un periodo prolungato, anche se la durata del soggiorno è fin dall'inizio limitata. |
7.3 Le droit à la rente prend naissance au plus tôt à l'échéance d'une période de six mois à compter de la date à laquelle l'assuré a fait valoir son droit aux prestations conformément à l'art. 29 al. 1

SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 29 Rivendicazione del diritto alle prestazioni - 1 Colui che rivendica una prestazione deve annunciarsi all'assicuratore competente nella forma prescritta per l'assicurazione sociale interessata. |
|
1 | Colui che rivendica una prestazione deve annunciarsi all'assicuratore competente nella forma prescritta per l'assicurazione sociale interessata. |
2 | Gli assicuratori sociali consegnano gratuitamente i formulari per la domanda e per l'accertamento del diritto a prestazioni; questi formulari devono essere trasmessi al competente assicuratore dopo essere stati compilati interamente e in modo veritiero dal richiedente o dal suo datore di lavoro ed eventualmente dal medico curante. |
3 | Se una domanda non rispetta le esigenze di forma o se è trasmessa a un servizio incompetente, per quanto riguarda l'osservanza dei termini e gli effetti giuridici collegati alla domanda è determinante la data in cui essa è stata consegnata alla posta o inoltrata a tale servizio. |

SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 29 Inizio del diritto e versamento della rendita - 1 Il diritto alla rendita nasce al più presto dopo sei mesi dalla data in cui l'assicurato ha rivendicato il diritto alle prestazioni conformemente all'articolo 29 capoverso 1 LPGA220, ma al più presto a partire dal mese seguente il compimento dei 18 anni. |
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1 | Il diritto alla rendita nasce al più presto dopo sei mesi dalla data in cui l'assicurato ha rivendicato il diritto alle prestazioni conformemente all'articolo 29 capoverso 1 LPGA220, ma al più presto a partire dal mese seguente il compimento dei 18 anni. |
2 | Il diritto non nasce finché l'assicurato può pretendere un'indennità giornaliera ai sensi dell'articolo 22. |
3 | La rendita è versata dall'inizio del mese in cui nasce il diritto. |
4 | Le rendite corrispondenti a un grado d'invalidità inferiore al 50 per cento sono versate solo agli assicurati che sono domiciliati e dimorano abitualmente (art. 13 LPGA) in Svizzera. Questo presupposto deve essere adempiuto anche dai congiunti per i quali è chiesta una prestazione. |

SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 28 Principio - 1 L'assicurato ha diritto a una rendita se: |
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1 | L'assicurato ha diritto a una rendita se: |
a | la sua capacità al guadagno o la sua capacità di svolgere le mansioni consuete non può essere ristabilita, mantenuta o migliorata mediante provvedimenti d'integrazione ragionevolmente esigibili; |
b | ha avuto un'incapacità al lavoro (art. 6 LPGA209) almeno del 40 per cento in media durante un anno senza notevole interruzione; e |
c | al termine di questo anno è invalido (art. 8 LPGA) almeno al 40 per cento. |
1bis | La rendita secondo il capoverso 1 non è concessa fintantoché non sono esaurite le possibilità d'integrazione secondo l'articolo 8 capoversi 1bis e 1ter.210 |
2 | ...211 |

SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 29 Inizio del diritto e versamento della rendita - 1 Il diritto alla rendita nasce al più presto dopo sei mesi dalla data in cui l'assicurato ha rivendicato il diritto alle prestazioni conformemente all'articolo 29 capoverso 1 LPGA220, ma al più presto a partire dal mese seguente il compimento dei 18 anni. |
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1 | Il diritto alla rendita nasce al più presto dopo sei mesi dalla data in cui l'assicurato ha rivendicato il diritto alle prestazioni conformemente all'articolo 29 capoverso 1 LPGA220, ma al più presto a partire dal mese seguente il compimento dei 18 anni. |
2 | Il diritto non nasce finché l'assicurato può pretendere un'indennità giornaliera ai sensi dell'articolo 22. |
3 | La rendita è versata dall'inizio del mese in cui nasce il diritto. |
4 | Le rendite corrispondenti a un grado d'invalidità inferiore al 50 per cento sono versate solo agli assicurati che sono domiciliati e dimorano abitualmente (art. 13 LPGA) in Svizzera. Questo presupposto deve essere adempiuto anche dai congiunti per i quali è chiesta una prestazione. |
L'assuré ayant déposé auprès de l'OAI-B._______ une demande de prestations le 26 septembre 2014, le droit éventuel à une rente ne s'ouvre au plus tôt qu'à partir du 1er avril 2015 à l'issue du délai de carence d'une année suivant l'incapacité de travail ayant débuté le 24 avril 2014.
7.4 En cas de rentes rétroactives limitées dans le temps, les dispositions relatives à la révision sont applicables. Selon l'art. 17 al. 1

SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 17 Revisione della rendita d'invalidità e di altre prestazioni durevoli - 1 Per il futuro la rendita d'invalidità è aumentata, ridotta o soppressa, d'ufficio o su richiesta, se il grado d'invalidità del beneficiario della rendita: |
|
1 | Per il futuro la rendita d'invalidità è aumentata, ridotta o soppressa, d'ufficio o su richiesta, se il grado d'invalidità del beneficiario della rendita: |
a | subisce una modificazione di almeno cinque punti percentuali; o |
b | aumenta al 100 per cento.18 |
2 | Ogni altra prestazione durevole accordata in virtù di una disposizione formalmente passata in giudicato è, d'ufficio o su richiesta, aumentata, diminuita o soppressa se le condizioni che l'hanno giustificata hanno subito una notevole modificazione. |
7.5 En cas de décision simultanée sur l'octroi d'une rente et son remplacement par une autre rente ou même sa suppression, le changement est régi par l'art. 88a

SR 831.201 Ordinanza del 17 gennaio 1961 sull'assicurazione per l'invalidità (OAI) OAI Art. 88a Modificazione del diritto - 1 Se la capacità al guadagno dell'assicurato o la capacità di svolgere le mansioni consuete migliora oppure se la grande invalidità o il bisogno di assistenza o di aiuto dovuto all'invalidità si riduce, il cambiamento va considerato ai fini della riduzione o della soppressione del diritto a prestazioni dal momento in cui si può supporre che il miglioramento constatato perduri. Lo si deve in ogni caso tenere in considerazione allorché è durato tre mesi, senza interruzione notevole, e presumibilmente continuerà a durare. |
7.6 Lorsque seule la gradation ou la limitation dans le temps des prestations est contestée, le pouvoir d'examen du tribunal n'est pas limité au point que les périodes d'allocations de prestations non remises en cause par l'assuré soient exclues de l'appréciation du tribunal (ATF 131 V 164 consid. 2.2, 125 V 417 consid. 2d avec les références).
8.
8.1 Est réputée invalidité, l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée (art. 8

SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 8 Invalidità - 1 È considerata invalidità l'incapacità al guadagno totale o parziale presumibilmente permanente o di lunga durata. |
|
1 | È considerata invalidità l'incapacità al guadagno totale o parziale presumibilmente permanente o di lunga durata. |
2 | Gli assicurati minorenni senza attività lucrativa sono ritenuti invalidi se hanno un danno alla salute fisica, mentale o psichica che probabilmente provocherà un'incapacità al guadagno totale o parziale.12 |
3 | Gli assicurati maggiorenni che prima di subire un danno alla salute fisica, mentale o psichica non esercitavano un'attività lucrativa e dai quali non si può ragionevolmente esigere che l'esercitino sono considerati invalidi se tale danno impedisce loro di svolgere le proprie mansioni consuete. L'articolo 7 capoverso 2 si applica per analogia.13 14 |

SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 4 Invalidità - 1 L'invalidità (art. 8 LPGA47) può essere conseguente a infermità congenita, malattia o infortunio.48 |
|
1 | L'invalidità (art. 8 LPGA47) può essere conseguente a infermità congenita, malattia o infortunio.48 |
2 | L'invalidità è considerata insorgere quando, per natura e gravità, motiva il diritto alla singola prestazione.49 |

SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 4 Invalidità - 1 L'invalidità (art. 8 LPGA47) può essere conseguente a infermità congenita, malattia o infortunio.48 |
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1 | L'invalidità (art. 8 LPGA47) può essere conseguente a infermità congenita, malattia o infortunio.48 |
2 | L'invalidità è considerata insorgere quando, per natura e gravità, motiva il diritto alla singola prestazione.49 |
8.2 L'incapacité de gain constitue toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré, sur un marché du travail équilibré, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles (art. 7 al. 1

SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 7 Incapacità al guadagno - 1 È considerata incapacità al guadagno la perdita, totale o parziale, della possibilità di guadagno sul mercato del lavoro equilibrato che entra in considerazione, provocata da un danno alla salute fisica, mentale o psichica e che perdura dopo aver sottoposto l'assicurato alle cure e alle misure d'integrazione ragionevolmente esigibili. |
|
1 | È considerata incapacità al guadagno la perdita, totale o parziale, della possibilità di guadagno sul mercato del lavoro equilibrato che entra in considerazione, provocata da un danno alla salute fisica, mentale o psichica e che perdura dopo aver sottoposto l'assicurato alle cure e alle misure d'integrazione ragionevolmente esigibili. |
2 | Per valutare la presenza di un'incapacità al guadagno sono considerate esclusivamente le conseguenze del danno alla salute. Inoltre, sussiste un'incapacità al guadagno soltanto se essa non è obiettivamente superabile.11 |

SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 7 Incapacità al guadagno - 1 È considerata incapacità al guadagno la perdita, totale o parziale, della possibilità di guadagno sul mercato del lavoro equilibrato che entra in considerazione, provocata da un danno alla salute fisica, mentale o psichica e che perdura dopo aver sottoposto l'assicurato alle cure e alle misure d'integrazione ragionevolmente esigibili. |
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1 | È considerata incapacità al guadagno la perdita, totale o parziale, della possibilità di guadagno sul mercato del lavoro equilibrato che entra in considerazione, provocata da un danno alla salute fisica, mentale o psichica e che perdura dopo aver sottoposto l'assicurato alle cure e alle misure d'integrazione ragionevolmente esigibili. |
2 | Per valutare la presenza di un'incapacità al guadagno sono considerate esclusivamente le conseguenze del danno alla salute. Inoltre, sussiste un'incapacità al guadagno soltanto se essa non è obiettivamente superabile.11 |
8.3 Par incapacité de travail, l'on entend toute perte, totale ou partielle, de l'aptitude de l'assuré à accomplir dans sa profession ou son domaine d'activité le travail qui peut raisonnablement être exigé de lui, si cette perte résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique. En cas d'incapacité de travail de longue durée, l'activité qui peut être exigée de lui peut aussi relever d'une autre profession ou d'un autre domaine d'activité (art. 6 LPGA).
9.
9.1 Bien que l'invalidité soit ainsi une notion juridique et économique, les données fournies par les médecins constituent un élément utile pour apprécier les conséquences de l'atteinte à la santé et pour déterminer quels travaux on peut encore raisonnablement exiger de l'assuré. Précisément, la tâche des médecins consiste à porter un jugement sur l'état de santé et à indiquer dans quelle mesure et pour quelles activités la personne assurée est incapable de travailler. Il leur appartient de décrire les activités que l'on peut encore raisonnablement attendre de l'assuré compte tenu de ses atteintes à la santé, en exposant les motifs qui les conduisent à retenir telle ou telle limitation de la capacité de travail (ATF 132 V 93 consid. 4, 125 V 256 consid. 4, 115 V 133 consid. 2, 114 V 310 consid. 3c, 105 V 156 consid. 1; voir ég. ATF 140 V 193 consid. 3.2).
9.2 Le juge des assurances sociales doit examiner de manière objective tous les moyens de preuve, quelle que soit leur provenance, puis décider si les documents à disposition permettent de porter un jugement valable sur le droit litigieux. Avant de conférer pleine valeur probante à un rapport médical, il s'assurera que les points litigieux ont fait l'objet d'une étude circonstanciée, que le rapport se fonde sur des examens complets, qu'il prend également en considération les plaintes exprimées par la personne examinée, qu'il a été établi en pleine connaissance de l'anamnèse, que la description du contexte médical et l'appréciation de la situation médicale sont claires et enfin que les conclusions de l'expert sont dûment motivées (ATF 143 V 124 consid. 2.2.2, 134 V 231 consid. 5.1, 125 V 351 consid. 3a; arrêt du TF 9C_453/2017 du 6 mars 2018 consid. 4.2). L'élément déterminant pour la valeur probante n'est ni l'origine du moyen de preuve ni sa désignation comme rapport ou comme expertise, mais bel et bien son contenu (ATF 135 V 465 consid. 4.4, 125 V 351 consid. 3; arrêt du TF 9C_555/2015 du 23 mars 2016 consid 5.2).
9.2.1 Lorsque, au stade de la procédure administrative, une expertise confiée à un médecin indépendant est établie par un spécialiste reconnu (art. 44

SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 44 Perizia - 1 Se, nel quadro di accertamenti medici, ritiene necessaria una perizia, l'assicuratore sceglie il tipo di perizia adeguato alle esigenze del caso tra i tipi seguenti: |
|
1 | Se, nel quadro di accertamenti medici, ritiene necessaria una perizia, l'assicuratore sceglie il tipo di perizia adeguato alle esigenze del caso tra i tipi seguenti: |
a | perizia monodisciplinare; |
b | perizia bidisciplinare; |
c | perizia pluridisciplinare. |
2 | Se per chiarire i fatti deve far ricorso ai servizi di uno o più periti indipendenti, l'assicuratore ne comunica il nome alla parte. Questa può, entro dieci giorni, ricusare un perito per i motivi di cui all'articolo 36 capoverso 1 e presentare controproposte. |
3 | Insieme al nome del perito, l'assicuratore comunica alla parte anche le domande rivolte allo stesso e segnala la possibilità di presentare domande supplementari in forma scritta entro lo stesso termine. L'assicuratore decide in via definitiva le domande da porre al perito. |
4 | L'assicuratore che, nonostante una richiesta di ricusazione, conferma il perito previsto lo comunica alla parte mediante una decisione incidentale. |
5 | Per le perizie di cui al capoverso 1 lettere a e b, le discipline sono stabilite in via definitiva dall'assicuratore, per le perizie di cui al capoverso 1 lettera c dal centro peritale. |
6 | Salvo che l'assicurato vi si opponga, i colloqui tra l'assicurato e il perito sono registrati su supporto audio; le registrazioni sono acquisite agli atti dell'assicuratore. |
7 | Il Consiglio federale: |
a | può disciplinare le modalità di attribuzione dei mandati ai centri peritali, per le perizie di cui al capoverso 1; |
b | emana criteri per l'abilitazione dei periti medici e neuropsicologi, per le perizie di cui al capoverso 1; |
c | istituisce una commissione composta di rappresentanti delle assicurazioni sociali, dei centri peritali, dei medici, dei neuropsicologi, del mondo scientifico, nonché delle organizzazioni dei pazienti e di aiuto ai disabili, incaricata di sorvegliare l'abilitazione dei centri peritali, nonché la procedura e i risultati delle perizie mediche; la commissione pubblica raccomandazioni. |
9.2.2 Quant aux rapports établis par les médecins traitant, le juge peut et doit tenir compte du fait que, selon l'expérience, le médecin traitant est généralement enclin, en cas de doute, à prendre parti pour son patient en raison de la relation de confiance issue du mandat thérapeutique qui l'unit à ce dernier (ATF 135 V 465 consid. 4.5, 125 V 351 consid. 3a/cc). Cette constatation s'applique de même aux médecins non traitant ou spécialistes (expertises privées) consultés par un patient en vue d'obtenir un moyen de preuve à l'appui de sa requête (cf. arrêt du TF I 321/03 du 29 octobre 2003 consid. 3.1; Michel Valterio, Commentaire Loi fédérale sur l'assurance invalidité [LAI], 2018, art. 57 n° 48). Toutefois, le simple fait qu'un certificat médical ou une expertise de partie soit établi et produit pendant la procédure ne justifie pas en soi des doutes quant à sa valeur probante. Ainsi, on en retiendra des éléments, notamment si ceux-ci, objectivement vérifiables, ont été ignorés dans le cadre d'une expertise indépendante et s'avèrent suffisamment pertinents pour remettre en cause les conclusions de l'expert (cf. ATF 125 cité consid. 3b/dd). En particulier, les rapports des médecins traitant peuvent mettre en doute la fiabilité et le caractère concluant des avis médicaux émanant de l'assureur. Il conviendra ainsi d'ordonner une expertise externe (art. 44

SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 44 Perizia - 1 Se, nel quadro di accertamenti medici, ritiene necessaria una perizia, l'assicuratore sceglie il tipo di perizia adeguato alle esigenze del caso tra i tipi seguenti: |
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1 | Se, nel quadro di accertamenti medici, ritiene necessaria una perizia, l'assicuratore sceglie il tipo di perizia adeguato alle esigenze del caso tra i tipi seguenti: |
a | perizia monodisciplinare; |
b | perizia bidisciplinare; |
c | perizia pluridisciplinare. |
2 | Se per chiarire i fatti deve far ricorso ai servizi di uno o più periti indipendenti, l'assicuratore ne comunica il nome alla parte. Questa può, entro dieci giorni, ricusare un perito per i motivi di cui all'articolo 36 capoverso 1 e presentare controproposte. |
3 | Insieme al nome del perito, l'assicuratore comunica alla parte anche le domande rivolte allo stesso e segnala la possibilità di presentare domande supplementari in forma scritta entro lo stesso termine. L'assicuratore decide in via definitiva le domande da porre al perito. |
4 | L'assicuratore che, nonostante una richiesta di ricusazione, conferma il perito previsto lo comunica alla parte mediante una decisione incidentale. |
5 | Per le perizie di cui al capoverso 1 lettere a e b, le discipline sono stabilite in via definitiva dall'assicuratore, per le perizie di cui al capoverso 1 lettera c dal centro peritale. |
6 | Salvo che l'assicurato vi si opponga, i colloqui tra l'assicurato e il perito sono registrati su supporto audio; le registrazioni sono acquisite agli atti dell'assicuratore. |
7 | Il Consiglio federale: |
a | può disciplinare le modalità di attribuzione dei mandati ai centri peritali, per le perizie di cui al capoverso 1; |
b | emana criteri per l'abilitazione dei periti medici e neuropsicologi, per le perizie di cui al capoverso 1; |
c | istituisce una commissione composta di rappresentanti delle assicurazioni sociali, dei centri peritali, dei medici, dei neuropsicologi, del mondo scientifico, nonché delle organizzazioni dei pazienti e di aiuto ai disabili, incaricata di sorvegliare l'abilitazione dei centri peritali, nonché la procedura e i risultati delle perizie mediche; la commissione pubblica raccomandazioni. |
9.2.3 S'agissant des documents produits par le service médical d'un assureur étant partie au procès (art. 59 al. 2bis

SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 59 - 1 Gli uffici AI si organizzano in modo da garantire che i compiti elencati nell'articolo 57 siano eseguiti con professionalità ed efficienza nel rispetto delle prescrizioni legali e delle istruzioni della Confederazione.340 |
|
1 | Gli uffici AI si organizzano in modo da garantire che i compiti elencati nell'articolo 57 siano eseguiti con professionalità ed efficienza nel rispetto delle prescrizioni legali e delle istruzioni della Confederazione.340 |
2 | ...341 |
2bis | ...342 |
3 | Gli uffici AI possono far capo a specialisti dell'aiuto privato agli invalidi, ad esperti, a centri d'osservazione medica e professionale, a servizi specializzati nell'integrazione degli stranieri, a servizi d'interpretariato interculturale, nonché a servizi di altre istituzioni preposte alle assicurazioni sociali.343 |
4 | Gli uffici AI possono concludere con altri assicuratori e con gli organi dell'aiuto sociale pubblico convenzioni relative alla possibilità di far capo ai servizi medici regionali.344 |
5 | Per lottare contro la riscossione indebita delle prestazioni gli uffici AI possono far capo a specialisti.345 |
6 | Nell'erogare le loro prestazioni, gli uffici AI tengono conto delle peculiarità linguistiche, sociali e culturali degli assicurati, senza che per questi ultimi ne derivi il diritto a una prestazione particolare.346 |

SR 831.201 Ordinanza del 17 gennaio 1961 sull'assicurazione per l'invalidità (OAI) OAI Art. 49 Compiti - 1 I servizi medici regionali valutano le condizioni mediche del diritto alle prestazioni. Nel quadro della loro competenza medica e delle istruzioni tecniche di portata generale dell'UFAS, essi sono liberi di scegliere i metodi d'esame idonei. |

SR 831.201 Ordinanza del 17 gennaio 1961 sull'assicurazione per l'invalidità (OAI) OAI Art. 49 Compiti - 1 I servizi medici regionali valutano le condizioni mediche del diritto alle prestazioni. Nel quadro della loro competenza medica e delle istruzioni tecniche di portata generale dell'UFAS, essi sono liberi di scegliere i metodi d'esame idonei. |
10.
10.1 L'OAI-B._______ a procédé à l'instruction de la présente demande de rente d'invalidité et porté au dossier les documents médicaux suivants:
- un rapport de radiographie du 18 janvier 2014 du bassin et de la hanche droite ainsi que d'une échographie de la cuisse droite montrant une coxarthrose droite avec un discret remaniement morphologique de la tête fémorale (AI pce 47 p. 40) ;
- un rapport du 5 mai 2014 du Dr L._______ faisant état d'une infiltration sous contrôle scopique de la hanche droite en raison de douleurs (AI pce 47 p. 38) ;
- un rapport du 5 juin 2014 du Dr K._______ (spécialiste en chirurgie orthopédique et traumatologie) adressé au Dr M._______ (médecine générale, médecin traitant) faisant mention d'une première consultation en mars 2014, l'assuré présentant une ostéonécrose aseptique de la tête fémorale droite avec une situation fonctionnelle s'étant considérablement dégradée depuis ces dernières semaines, notant une inaptitude totale au travail, préconisant une arthroplastie totale de la hanche droite avec arrêt de travail de trois mois (AI pce 16 p. 15) ;
- un rapport de radiographie du 15 juillet 2014 du bassin de face et de la hanche droite mentionnant une coxarthrose à droite (AI pce 47 p. 37) ;
- un compte rendu opératoire de l'intervention chirurgicale du 16 juillet 2014 (AI pce 28 p. 7) ;
- un rapport de radiographie du 18 juillet 2014 de la hanche droite face et profil sans constatation d'anomalies (AI pce 47 p. 36) ;
- un rapport de radiographie du 28 août 2014 du bassin et de la hanche droite indiquant un bon positionnement de la prothèse de la hanche et un bassin équilibré (AI pce 16 p. 14) ;
- un rapport du 1erseptembre 2014 du Dr K._______ (spécialiste en chirurgie orthopédique et traumatologie) à l'attention du Dr N._______ (médecine générale) notant une opération pour prothèse totale de la hanche droite il y a six semaines dont les suites ont été simples, le patient ayant retrouvé un schéma de marche normal, les phénomènes douloureux étant minimes, le bilan radiologique étant normal, seul demeurant interdit le port de charges lourdes (AI pce 15, p. 5) ;
- un rapport du 19 septembre 2014 du Dr D._______ (spécialiste en médecine interne, cardiologie, médecine du sport) à l'attention du Dr N._______ (médecine générale), relevant un patient (117kg/BMI 34.6) présentant un profil de risque cardiovasculaire-métabolique (AI pce 16 p. 13) ;
- un rapport du 19 septembre 2014 d'examen du Dr D._______ à l'assureur perte de gain O._______ relevant une incapacité de travail en tant que chauffeur de poids lourds depuis le 24 avril 2014 suivie d'une opération de la hanche le 16 juillet 2014. Le rapport note que l'assuré ne fait pas état de douleurs mais présente un profil de risque cardiovasculaire à traiter, dont la reprise de travail dépend. L'horizon d'une reprise de travail dès novembre 2014 au plus tôt est mentionné (AI pce 16 p. 12) ;
- un rapport du 22 octobre 2014 du Dr C._______ (spécialiste en médecine physique et réadaptation) à l'attention du Dr D._______, mentionnant une importante surcharge pondérale, de l'hypertension artérielle, un diabète non insulino-dépendant, un réentraînement kinésithérapique depuis le 28 octobre 2014 (AI pce 22 p. 4) ;
- un rapport du 9 novembre 2014 du Dr D._______ à l'assureur O._______ faisant référence au rapport du Dr C._______ du 22 octobre 2014 et indiquant la nécessité de reporter de quelques mois sa détermination sur la reprise de travail de l'assuré en raison de l'incidence de l'obésité sur la capacité de travail (AI pce 22 p. 3) ;
- un rapport du 30 janvier 2015 de radiographie du bassin et de la hanche gauche mentionnant un bon positionnement de la prothèse à droite, ne signalant pas d'anomalie significative à la hanche gauche (AI pce 47 p. 34) ;
- un rapport du 9 mars 2015 d'infiltration de la hanche gauche faisant état de douleurs invalidantes (AI pce 47 p. 33) ;
- un rapport du 12 mai 2015 du Dr E._______ (spécialiste en médecine générale, médecin SMR) préconisant une expertise rhumatologique (AI pce 30) ;
- un rapport du 26 mai 2015 d'examens de laboratoire (AI pce 47 p. 43) ;
- un rapport du 1erjuin 2015 du Dr E._______ préconisant d'annuler l'expertise rhumatologique compte tenu de la nouvelle opération à la hanche gauche annoncée (AI pce 34) ;
- un rapport du 30 juin 2015 de radiographie du bassin et de la hanche droite ne notant pas de bascule du bassin suite à la prothèse totale de la hanche ni de déformation ostéophytique coxo-fémorale (AI pce 47 p. 32) ;
- un compte rendu opératoire du 1erjuillet 2015 de prothèse totale de la hanche gauche (AI pce p. 37 p. 3) ;
- un rapport du 2 juillet 2015 de radiographie post-opératoire de la hanche gauche (AI pce 47 p. 31) ;
- un rapport du 17 août 2015 de radiographie du bassin et de la hanche gauche n'indiquant pas d'anomalie notable, notant une bascule modérée du bassin (10 mm) (AI pce 47 p. 30) ;
- un rapport du 25 août 2015 du Dr K._______ (spécialiste en chirurgie orthopédique et traumatologie) au Dr N._______ (médecine générale) faisant état d'une consultation sept semaines suivant l'opération, indiquant un patient se déplaçant sans canne, sans boiterie, les douleurs étant inexistantes, présentant un bilan radiographique sans particularité, indiquant un arrêt de travail jusqu'à début octobre 2015 et un prochain contrôle radio clinique dans un an (AI pce 42) ;
- un courrier du 3 décembre 2015 du Dr K._______ à l'OAI-B._______ renvoyant à son rapport du 25 août 2015 pour information quant au statut actuel (AI pce 42 p. 3) ;
- un rapport du 8 février 2016 du Dr E._______ (spécialiste en médecine générale, médecin SMR) rapportant, suite aux opérations des hanches droite et gauche des 16 juillet 2014 et 1erjuillet 2015, un status d'incapacité de travail du 24 avril 2014 au 1erseptembre 2014 et du 20 mai 2015 jusqu'au 1eroctobre 2015 sur le plan orthopédique. Ce médecin relate cependant que le médecin conseil de l'assureur O._______ a noté dans un rapport du 9 septembre 2014 une obésité fondant une incapacité de travail sans plus de précision quant à la durée. Il préconise une expertise rhumatologique (AI pce 44) ;
- un rapport du 16 février 2016 d'examens de laboratoire (AI pce 47 p. 41) ;
- un rapport du 18 février 2016 du Dr G._______ (spécialiste en neurologie) indiquant un bilan de paresthésies douloureuses de l'extrémité distale des membres inférieurs chez un diabétique, évoquant selon l'anamnèse et l'examen clinique une neuropathie périphérique. Ce médecin relève un EMG objectivant une polyneuropathie périphérique sensitive et motrice mixte à prédominance axonale, diagnostic à vérifier par des examens biologiques, un bilan hépatique et un examen EMG de contrôle au 2esemestre 2016 (AI pce 47 p. 48) ;
- un rapport du 13 avril 2016 d'échographie abdomino-pelvienne faisant état d'une hépatomégalie à contours réguliers et d'une stéatose hépatique marquée (AI pce 47 p. 39) ;
- un rapport du 13 mai 2016 (examen du 10 mai 2016) d'expertise rhumatologique du Dr F._______ (spécialiste en rhumatologie et médecine interne), notant à l'anamnèse des plaintes de douleurs aux hanches lors de changements de temps et de positions assises de longue durée (nécessité de se lever après 2 h.), un périmètre de marche lente d'une heure, une perte de sensations aux deux pieds depuis une année, indiquant à l'examen clinique un bon état général, ne relevant pas de limitations fonctionnelles du tronc et des membres supérieurs et inférieurs, n'indiquant pas d'atrophie musculaire. L'expert pose les diagnostics avec incidence sur la capacité de travail de douleurs résiduelles apparemment mécaniques bilatérales au niveau des grands trochanters, de status après prothèses totales des hanches droite et gauche les 16 juillet 2014 et 1erjuillet 2015 pour nécrose des têtes de fémur et les diagnostics sans incidence sur la capacité de travail notamment d'hypertension artérielle, obésité de grade II (183cm/128.4kg/BMI 38.3 kg/m2), diabète mellitus de type II, polyneuropathie probablement dans le contexte du diabète, taux sérologique élevé de ferritine, discrètes douleurs résiduelles après opération d'une hernie discale lombaire en 1996, status après arthroscopie du genou droit en 1989 non douloureux, diastase rectale. L'expert a retenu sur le plan rhumatologique une capacité de travail de 100% dans une pure activité de chauffeur de poids lourds sans tâches de (dé)chargement, idéalement sans poste de conduite d'accès surélevé. Dans le cadre d'une activité adaptée légère sans port, soulèvement, traction et poussée de poids supérieurs à 10 kg, sans position contraignante sur la durée telle qu'être seulement assis, debout, en déplacement, répétitivement plié, accroupi, sans usage sur la durée d'échelle et échafaudage, l'usage d'escaliers et rampes étant possible. L'expert a indiqué une capacité de travail de 100%, notamment dans une activité principalement assise permettant le changement de positions, comme celles en lien avec sa formation commerciale. Il n'a pas retenu de capacité de travail dans une activité moyenne à lourde. Se référant aux dates des opérations, le Dr F._______ a relevé une incapacité de travail de 100% du 24 avril 2014 au 16 octobre 2014 (3 mois après l'opération), de 0% du 17 octobre 2014 au 30 juin 2015, de 100% du 1erjuillet 2015 au 1eroctobre 2015 (3 mois après l'opération), de 0% à partir du 2 octobre 2015. L'expert a noté la participation de l'assuré à un cours obligatoire de conduite de poids lourds de 5 jours en octobre 2015 et qu'il s'était annoncé au chômage en France le 8 décembre 2015 en tant que chauffeur de poids lourds à 100%. Il a indiqué que les réserves du Dr D._______
étaient difficiles à comprendre, que certes l'assuré souffrait d'obésité, diabète et hypertension mais que ces atteintes l'affectaient depuis de nombreuses années sans entraîner per se un obstacle à la reprise du travail, une incapacité de travail durable (AI pce 47) ;
- un rapport du 21 juillet 2016 du Dr E._______ (spécialiste en médecine générale, médecin SMR) résumant le rapport d'expertise du Dr F._______, confirmant les diagnostics et son appréciation des périodes d'incapacité de travail et de capacité de travail. Le Dr E._______ a reconnu à ce rapport pleine valeur probante (AI pce 49) ;
- un rapport du 28 octobre 2016 du Dr G._______ (spécialiste en neurologie) notant les plaintes de paresthésies douloureuses prédominant à l'extrémité proximale des deux membres inférieurs surtout droit, relevant notamment à l'examen clinique des douleurs à la mobilisation passive des deux hanches, un Lasègue bilatéral à 45°, un testing 5 [normal], des réflexes rotuliens présents faibles et symétriques, des réflexes L5 et S1 abolis, un bilan biologique mettant en évidence des arguments évocateurs d'une hépatopathie, un syndrome d'ataxie proprioceptive (trouble de l'équilibre à la station debout et à la marche), une légère accentuation de la polyneuropathie périphérique sensitive et motrice mixte à prédominance axonale déjà retenue le 18 février 2016. Le rapport recommande des investigations complémentaires à orientation gastro-hépatologique (AI pce 53 p. 1) ;
- un rapport du 28 novembre 2016 du Dr H._______ (spécialiste en angiologie et médecine vasculaire), établi dans le cadre d'une surveillance, notant l'évocation par le patient de troubles sensitifs des pieds, ne notant pas de claudication. Ce médecin indique à l'examen des membres inférieurs un bilan vasculaire artériel en faveur d'une artérite de stade 1 distale bilatérale compensée et à l'examen des troncs supra aortiques un bilan fonctionnel en faveur d'une artérite carotidienne interne bilatérale mineure non significative, une bonne perfusion vertébro-sous-clavière bilatérale, un bilan artériel globalement compensé, une neuropathie périphérique (AI pce 53 p. 4) ;
- un rapport du 9 février 2017 du Dr E._______ (spécialiste en médecine générale, médecin SMR) se référant aux deux rapports précédents, indiquant que les atteintes étaient connues, que les rapports précités, de même que les compléments d'examens préconisés qui ne retiennent pas de troubles vasculaires à la tête et à l'innervation des extrémités, n'avaient pas d'incidence sur la capacité de travail (AI pce 55) ;
- une attestation du 3 août 2017 de consultation psychiatrique du Dr I._______ sans autre indication (TAF pce 8, annexe).
10.2 Sur le plan médical, le TAF a reçu de l'assuré et concernant l'état de santé de ce dernier jusqu'à la décision du 24 avril 2017 :
- un rapport médical du 6 novembre 2014 du Dr K._______ (spécialiste en chirurgie orthopédique et traumatologie) notant une bonne évolution et un bon pronostic avec une reprise de travail envisagée au 1erjanvier 2015 (TAF pce 17.2) ;
- un rapport d'intervention chirurgicale de la hanche gauche du 1erjuillet 2015 (TAF pce 17.3) ;
- un rapport du Centre médical J._______ notant une hospitalisation normale du 2 au 6 mars 2015 et le 18 mai 2015 (TAF pce 17.1) ;
- un rapport du 24 octobre 2016 du Dr P._______ (praticien hospitalier) faisant état d'une hépatomégalie, d'un nodule surrénalien gauche compatible avec un adénome et d'une ascite abdomino-pelvienne de faible abondance (TAF pce 15.12).
10.3 Sur le plan économique, l'OAI-B._______ a notamment porté au dossier :
- l'extrait de compte individuel de l'assuré (AI pce 12) ;
- le questionnaire à l'employeur daté du 15 octobre 2014 indiquant une activité de chauffeur de poids lourds exercée à 100% du 20 janvier 2011 au 31 octobre 2014 (dernier jour de travail le 23 avril 2014), le contrat ayant été résilié par l'employeur pour cause de maladie (AI pce 13).
11.
11.1 L'OAIE, respectivement l'OAI-B._______, a retenu dans sa décision du 24 avril 2017, d'une part, une incapacité de travail totale à partir du 24 avril 2014 en lien avec la pose d'une prothèse totale de la hanche droite le 16 juillet 2014, relevant qu'à compter du 24 avril 2015, à l'issue du délai de carence d'une année, l'assuré avait recouvré déjà avant cette date, soit trois mois après l'opération, une capacité de travail entière dans une activité adaptée ne générant pas d'invalidité par comparaison de revenus avec et sans invalidité. D'autre part, l'OAIE a retenu, en lien avec la pose de la prothèse totale de la hanche gauche, qu'à partir de l'opération du 1er juillet 2015 l'assuré présentait une incapacité de travail totale jusqu'au 1er octobre 2015, date à partir de laquelle l'assuré était en mesure de reprendre une activité adaptée à plein temps, ce qui fondait l'octroi d'une rente entière du 1er juillet 2015 au 31 décembre 2015 (cf. supra consid.7.4 et 7.5).
Dans son appréciation, l'OAIE s'est fondé sur le rapport d'expert du 13 mai 2016 du Dr F._______ (spécialiste en rhumatologie et médecine interne), résumé et confirmé par le Dr E._______ (spécialiste en médecine générale, médecin SMR) dans son rapport du 21 juillet 2016. Dans ses écritures, l'OAIE, respectivement l'OAI-B._______ (détermination du 6 juillet 2017) a indiqué, s'étant référé aux constats et aux conclusions de l'expertise du Dr F._______, que, du moment qu'aucun élément ou indice contraire n'était apporté à son encontre, ledit rapport pouvait être retenu à la base de la décision rendue. Il a relevé que les rapports médicaux que le recourant indiquait attendre ne seraient pas de nature à modifier la décision, qu'en l'occurrence les valeurs sérologiques attendues n'avaient en elles-mêmes pas d'incidence sur la capacité de travail. S'agissant du rapport du 28 octobre 2016 du Dr G._______ (spécialiste en neurologie), l'OAI-B._______ a indiqué qu'il était assez semblable à celui de ce médecin du 18 février 2016, connu du Dr F._______, qu'il mentionnait une légère accentuation de la polyneuropathie sans d'ailleurs que le Dr G._______ ait pris position sur la capacité de travail. S'agissant du rapport du 28 novembre 2016 du Dr H._______ (spécialiste en angiologie), l'OAI-B._______ a indiqué qu'il n'y avait pas de limitation de la capacité de travail sous l'angle angiologique, le Dr H._______ n'ayant par ailleurs également pas pris position à ce sujet. Notant que les rapports médicaux produits n'étaient pas de nature à contredire les conclusions de l'expertise du 13 mai 2016 du Dr F._______, l'OAI-B._______ a conclu que, s'il devait survenir une péjoration de l'état de santé après la décision attaquée, il appartenait au recourant de déposer une nouvelle demande auprès de l'office AI.
11.2 Le recourant conteste le début de la rente à partir du 1er juillet 2015 et qu'elle soit limitée dans le temps au 31 décembre 2015. Il fait valoir un état de santé qui s'est gravement dégradé en raison d'une neuropathie au niveau des pieds et de douleurs liées aux prothèses des hanches. À l'appui de son recours, il produit des rapports médicaux joints à la contestation du projet de décision, soit ceux des Drs G._______ du 28 octobre 2016 et H._______ du 28 novembre 2016, et réserve d'autres rapports médicaux. Avec sa réplique, il produit une attestation de consultation psychiatrique du 3 août 2017.
12.
12.1 Le recourant a été en incapacité de travail totale à compter du 24 avril 2014 et a été opéré le 16 juillet 2014. À cette date, il a subi l'implantation d'une prothèse complète de la hanche droite. Selon le rapport d'expertise du 13 mai 2016 du Dr F._______ (spécialiste en rhumatologie et médecine interne), l'assuré a recouvré sur le plan rhumatologique une capacité de travail totale dans son activité habituelle de chauffeur de poids lourds dans le transport de containers sans obligation de [dé]chargements le 17 octobre 2014, trois mois après l'opération. Idéalement, le poste de conduite ne devrait pas être trop surélevé, ce qui pourrait être un problème. Une capacité de travail totale dans une activité adaptée a également été retenue à cette même date, notamment dans une position assise permettant le changement de position, sans port, soulèvement, traction et poussée de poids supérieurs à 10 kg, sans position contraignante sur la durée telle qu'être seulement assis, debout, en déplacement, en position pliée, accroupie de façon répétée, sans usage sur la durée d'échelle et échafaudage, l'usage d'escaliers et de rampes étant possible. Le Dr F._______ a relevé qu'une activité dans le cadre de la formation initiale de l'assuré d'employé de commerce était également entièrement adaptée. Selon le Dr F._______, la pleine capacité de travail recouvrée tant dans l'activité antérieure que dans une activité adaptée a perduré jusqu'au 30 juin 2015.
12.2 L'appréciation médico-théorique du 13 mai 2016 du Dr F._______, selon laquelle il peut être retenu au 17 octobre 2014 une pleine capacité de travail avec les limitations fonctionnelles évoquées, n'est pas contredite par le rapport du 1er septembre 2014 du Dr K._______ (spécialiste en chirurgie orthopédique et traumatologie) qui a relevé, six semaines après l'opération, que le patient avait retrouvé un schéma de marche normal, les phénomènes douloureux étant minimes, que le bilan radiologique était normal et que seul demeurait interdit le port de charges lourdes. Toutefois, il sied de relever que le Dr K._______ dans un rapport du 6 novembre 2014 a maintenu l'incapacité de travail de l'assuré jusqu'à la fin de l'année 2014 notant une bonne évolution, un bon pronostic et une reprise d'activité au 1er janvier 2015 (TAF pce 17.2).
À l'encontre de cette approche orthopédique, il y a toutefois lieu de signaler le rapport du 22 octobre 2014 du Dr C._______ (spécialiste médecine physique et de réhabilitation) mentionnant notamment une importante surcharge pondérale et de l'hypertension artérielle et le rapport du 9 novembre 2014 du Dr D._______ (spécialiste en médecine interne, cardiologie et médecine du sport) à l'assureur O._______ indiquant la nécessité de reporter de quelques mois sa détermination sur la reprise de travail de l'assuré (licencié au 31 octobre 2014) en raison de l'incidence de l'obésité sur la capacité de travail. Le report de la reprise de travail ultérieurement au 17 octobre 2014 a certes été indiqué par un médecin spécialiste. Le bien-fondé de ce report de reprise d'activité est toutefois contesté par le Dr F._______ dans son rapport d'expertise du 13 mai 2016 du fait que l'assuré a fait face auparavant à son problème d'obésité. Cet avis divergeant se base sur un examen clinique approfondi postérieur de quelque 6 mois à celui du Dr D._______ et sa communication à l'assureur O._______ sans que ce médecin l'ait cliniquement étayé notamment en relation avec l'activité jusqu'alors exercée et la nature invalidante retenue du surpoids. Constatant qu'un suivi au Centre Médical J._______ à visée hygiéno-diététique avait été prévu le 28 octobre 2014 avec réentraînement kinésithérapique et mobilisation, le TAF a requis le rapport en question ; or, de l'information même du recourant, un tel suivi n'a pas eu lieu (cf. TAF pce 15), le traitement s'est limité à quelques heures de marche sur tapis (cf. TAF pce 17).
Le 20 mai 2015, le recourant a informé l'OAI-B._______ de la nécessité d'une opération pour une prothèse de la hanche gauche, laquelle a eu effectivement lieu le 1er juillet 2015, date qu'il avait indiquée. La question de savoir si l'assuré présentait une incapacité de travail liée aux problèmes de la hanche gauche déjà avant l'opération, comme cela s'est avéré avec la hanche droite, dont l'incapacité de travail totale de l'assuré a été reconnue quelque 3 mois avant l'opération de cette hanche, a été tranchée positivement par le Dr E._______ du SMR de l'OAI-B._______ dans son rapport du 8 février 2016. Il a retenu pour la deuxième hanche une incapacité de travail totale médico-théorique dès le 20 mai 2015 (date de communication du jour de l'opération le 1er juillet 2015) jusqu'au 1er octobre 2015 (AI pce 44).
La Cour ne peut retenir comme l'a fait l'OAI-B._______ que l'assuré a présenté une incapacité totale de travail à compter seulement du jour de l'opération de la 2ème hanche le 1er juillet 2015 alors que déjà le 20 mai 2015 (cf. pce AI 32) l'assuré connaissait la date de l'opération qui n'a pu être décidée qu'au vu d'atteintes concrètes à la santé et de constats médicaux. Le Dr F._______ n'a pas indiqué les raisons pour lesquelles il n'a retenu une incapacité de travail totale qu'à compter du jour de l'opération contrairement au Dr E._______. La date du 20 mai 2015, prise en compte par le Dr E._______ dans son rapport du 8 février 2016, peut être retenue et même déjà antérieurement au 11 mai 2015. Un rapport de radiographie du 30 janvier 2015 n'a certes pas relevé d'anomalie significative au niveau de la hanche gauche et un rapport du 9 mars 2015 mentionne des douleurs invalidantes et des infiltrations sans toutefois indiquer la nécessité d'une opération. Toutefois, un rapport IRM de la hanche gauche du 11 mai 2015, listé par le Dr F._______ dans son rapport (p. 8), note une nécrose de cette hanche. Ce constat a fondé avec une vraisemblance prépondérante l'opération subséquente. Vu ce qui précède, une incapacité de travail totale doit être reconnue à compter du 11 mai 2015 et non à compter seulement du 1er juillet 2015. Cette première date est reportée au 1er mai 2015.
12.3 Dans son rapport d'expertise du 13 mai 2016, le Dr F._______ a retenu, trois mois après la deuxième opération de la hanche le 1er juillet 2015, soit à compter du 1er octobre 2015, une capacité de travail entière dans l'activité habituelle de chauffeur de poids lourds sans (dé)chargement, sans poste de conduite surélevé ainsi que dans une activité adaptée. Il n'appert pas du dossier de rapports médicaux contestant une capacité de travail précitée exigible recouvrée à la date médico-théorique du 1er octobre 2015. Dans un rapport du 25 août 2015, le Dr K._______ (spécialiste en chirurgie orthopédique et traumatologie) a indiqué, sept semaines après l'opération, un patient se déplaçant sans canne, sans boiterie, sans douleurs, présentant un bilan radiologique sans particularité. Ce médecin a noté également un arrêt de travail jusqu'au 1er octobre 2015. Par ailleurs, comme il en résulte du rapport du Dr F._______, l'assuré a effectué un cours obligatoire de 5 jours en octobre 2015 de chauffeur de poids lourds pour le maintien de son permis et s'est annoncé au chômage en France comme conducteur de poids lourds à 100% le 8 décembre 2015. Ces faits accréditent la date du 1er octobre 2015.
Au dossier, entre le rapport précité du Dr K._______ du 25 août 2015 et l'expertise du Dr F._______ du 13 mai 2016, ne figurent qu'un rapport du 13 avril 2016 d'échographie abdomino-pelvienne faisant état d'une stéatose hépatique marquée et un rapport du Dr G._______ (spécialiste en neurologie) du 18 février 2016 indiquant un bilan de paresthésies douloureuses de l'extrémité distale des membres inférieurs chez un diabétique, évoquant selon l'anamnèse et l'examen clinique une neuropathie périphérique, préconisant des examens biologiques, un bilan hépatique, un EMG de contrôle. Ce dernier rapport, ne s'exprimant pas sur la capacité de travail de l'assuré, mentionné dans le rapport d'expertise du Dr F._______, n'a pas été discuté en particulier par l'expert. Dans sa prise de position suite au recours, l'OAI-B._______ a cependant indiqué au sujet d'un autre rapport du Dr G._______ du 28 octobre 2016 qu'il était assez semblable à celui de ce médecin du 18 février 2016, connu du Dr F._______, et qu'il mentionnait une légère accentuation de la polyneuropathie sans d'ailleurs que le Dr G._______ ait pris position sur la capacité de travail. S'agissant du rapport du Dr H._______ (spécialiste en angiologie et médecine vasculaire) du 28 novembre 2016, l'OAI-B._______ a indiqué qu'il n'y avait pas de limitation de la capacité de travail sous l'angle angiologique, le Dr H._______ ne s'étant d'ailleurs pas prononcé à ce sujet. Enfin, notons que le rapport du 24 octobre 2016, non au dossier de l'OAIE, produit par le recourant avec son écriture du 27 octobre 2020, antérieur à la décision attaquée du 24 avril 2017, fait état d'une hépatomégalie et d'une ascite abdomino-pelvienne de faible abondance (TAF pce 15.12). Ces constats, signes certes d'atteintes à la santé, n'ont en soi pas d'incidence sur la capacité de travail de l'assuré sous réserve de dégradations autrement documentées de l'état de santé.
Le rapport d'expertise du Dr F._______ du 13 mai 2016 a été établi par un spécialiste en rhumatologie. Il résume le contenu essentiel des pièces médicales figurant au dossier, de sorte qu'il a été établi en pleine connaissance de l'anamnèse. Il évoque les plaintes de l'assuré, se fonde sur un examen complet pratiqué sur la personne expertisée dont il ressort un bon état de santé général et rhumatologique. La logique est constante, de même que l'argumentation est exempte de contradiction, cohérente et convaincante. La description et l'appréciation du contexte médical sont claires. Les conclusions de l'expert relatives aux diagnostics et à l'appréciation de la capacité de travail du recourant à la suite de sa deuxième opération de la hanche sont motivées. Le Tribunal de céans retient toutefois en lien avec l'opération de la hanche gauche une incapacité totale de travail à compter du 11 mai 2015 (rapport IRM du 11 mai 2015 établissant une nécrose de la hanche) en lieu et place du 1er juillet 2015 (date de l'opération). Il y a également lieu de retenir l'existence d'une capacité entière de travail dans une activité adaptée recouvrée au 1er octobre 2015, soit une amélioration de l'état de santé, avec les limitations indiquées par le Dr F._______ dans son rapport d'expertise et reprises dans la décision attaquée.
À l'instar de l'OAI-B._______, respectivement de l'OAIE, il y a lieu de considérer que, compte tenu du tableau médical (obésité, hypertension artérielle, status post prothèses totales des hanches droite et gauche) et des liens entre les périodes rapprochées d'incapacité de travail liées aux interventions sur les deux hanches, l'ensemble des atteintes à la santé constitue un seul cas d'assurance (cf. arrêt du TF 9C_692/2018 du 19 décembre 2018 consid. 4.2.3).
13.
Avec son recours, l'assuré a produit une attestation de consultation du 3 août 2017 du Dr I._______ (psychiatre) sans autre indication (TAF pce 8 annexe). Cette attestation ne posant aucun diagnostic et étant émise plus de trois mois après la décision dont est recours, elle ne saurait être prise en compte (cf. supra consid. 5.2).
S'agissant des rapports médicaux produits par l'assuré avec son écriture spontanée du 27 octobre 2020, le Tribunal constate qu'à l'exception d'un rapport du 24 octobre 2016, non déterminant in casu (cf. consid. 12.3 par. 2 in fine), les autres nouveaux rapports concernent l'état de santé somatique de l'assuré largement après la décision attaquée. Ils ne peuvent pas être pris en considération dans le cadre du présent recours.
14.
Il sied à présent de déterminer si l'évaluation du taux d'invalidité effectuée par l'autorité inférieure par comparaison de revenus avec et sans invalidité en 2015 est conforme au droit.
14.1 Pour évaluer le taux d'invalidité des assurés ayant exercé précédemment une activité à plein temps, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut être raisonnablement exigée de lui, après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré (cf. art. 28a al. 1

SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 28a - 1 Per valutare il grado d'invalidità di un assicurato che esercita un'attività lucrativa si applica l'articolo 16 LPGA214. Il Consiglio federale definisce i redditi lavorativi determinanti per la valutazione del grado d'invalidità e i fattori di correzione applicabili.215 |
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1 | Per valutare il grado d'invalidità di un assicurato che esercita un'attività lucrativa si applica l'articolo 16 LPGA214. Il Consiglio federale definisce i redditi lavorativi determinanti per la valutazione del grado d'invalidità e i fattori di correzione applicabili.215 |
2 | Il grado d'invalidità dell'assicurato che non esercita un'attività lucrativa ma svolge le mansioni consuete e dal quale non si può ragionevolmente esigere che intraprenda un'attività lucrativa è valutato, in deroga all'articolo 16 LPGA, in funzione dell'incapacità di svolgere le mansioni consuete.216 |
3 | Se l'assicurato esercita un'attività lucrativa a tempo parziale o collabora gratuitamente nell'azienda del coniuge, il grado d'invalidità per questa attività è valutato secondo l'articolo 16 LPGA. Se svolge anche le mansioni consuete, il grado d'invalidità per questa attività è valutato secondo il capoverso 2.217 In tal caso, occorre determinare la parte dell'attività lucrativa o della collaborazione gratuita nell'azienda del coniuge e la parte dello svolgimento delle mansioni consuete e valutare il grado d'invalidità nei due ambiti. |
14.1.1 Pour procéder à la comparaison des revenus, il convient de se placer au moment de la naissance du droit à la rente. En outre, les revenus avec et sans invalidité doivent être déterminés par rapport à un même moment et les modifications de ces revenus susceptibles d'influencer le droit à la rente survenues jusqu'au moment où la décision est rendue doivent être prises en compte (ATF 132 V 393 consid. 2.1, 129 V 222 consid. 4.1 et 4.2). Selon la jurisprudence, les revenus avant et après invalidité doivent être établis indexés jusqu'à la date de la survenance du droit à la rente suite au délai d'attente d'une année (ATF 129 V 222 consid. 4.1, 128 V 174 consid. 4).
14.1.2 Les revenus à comparer doivent être évalués de manière aussi concrète que possible si bien qu'il convient, dans la mesure du possible, de se référer aux salaires réellement gagnés par l'assuré avant l'atteinte à la santé et après l'ouverture du droit éventuel à la rente. À défaut d'un salaire de référence, un salaire théorique doit être évalué sur la base des statistiques salariales retenues par les enquêtes suisses sur la structure des salaires (ci-après : ESS), publiées par l'Office fédéral de la statistique (ci-après : OFS) ou sur la base des données salariales résultant des descriptions de postes de travail établies par la Caisse nationale suisse d'assurance en cas d'accidents (CNA; ATF 139 V 592 consid. 2.3, 129 V 472, 126 V 75 consid. 3b/aa et bb; arrêt du TF 9C_719/2015 du 3 juin 2016 consid. 5.1). Les données de l'ESS relatives aux années déterminantes servent à fixer le montant du gain que l'assuré pourrait obtenir, sur un marché équilibré du travail, en mettant pleinement à profit sa capacité résiduelle de travail dans un emploi adapté à son handicap (arrêt du TF I 222/05 du 13 octobre 2005 consid. 6.1). Il y a lieu de se référer en principe toujours aux données les plus récentes (ATF 143 V 295 consid. 2.3 et 4, 142 V 178 consid. 2.5.8.1; arrêts du TF 9C_725/2015 du 5 avril 2016 consid. 4.3.1, 8C_520/2016 du 14 août 2017 consid. 4.3.1). Sont déterminantes les données publiées au moment de la décision attaquée et non celles qui l'ont été plus tard (arrêt du TF 9C_699/2015 du 6 juillet 2016 consid. 5.2 et les réf.; Valterio, Commentaire LAI, art. 28a

SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 28a - 1 Per valutare il grado d'invalidità di un assicurato che esercita un'attività lucrativa si applica l'articolo 16 LPGA214. Il Consiglio federale definisce i redditi lavorativi determinanti per la valutazione del grado d'invalidità e i fattori di correzione applicabili.215 |
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1 | Per valutare il grado d'invalidità di un assicurato che esercita un'attività lucrativa si applica l'articolo 16 LPGA214. Il Consiglio federale definisce i redditi lavorativi determinanti per la valutazione del grado d'invalidità e i fattori di correzione applicabili.215 |
2 | Il grado d'invalidità dell'assicurato che non esercita un'attività lucrativa ma svolge le mansioni consuete e dal quale non si può ragionevolmente esigere che intraprenda un'attività lucrativa è valutato, in deroga all'articolo 16 LPGA, in funzione dell'incapacità di svolgere le mansioni consuete.216 |
3 | Se l'assicurato esercita un'attività lucrativa a tempo parziale o collabora gratuitamente nell'azienda del coniuge, il grado d'invalidità per questa attività è valutato secondo l'articolo 16 LPGA. Se svolge anche le mansioni consuete, il grado d'invalidità per questa attività è valutato secondo il capoverso 2.217 In tal caso, occorre determinare la parte dell'attività lucrativa o della collaborazione gratuita nell'azienda del coniuge e la parte dello svolgimento delle mansioni consuete e valutare il grado d'invalidità nei due ambiti. |
14.1.3 L'administration doit de plus tenir compte pour le salaire d'invalide de référence d'une diminution de celui-ci, cas échéant, pour raison d'âge, de limitations dans les travaux dits légers ou de circonstances particulières (années de service, nationalité / catégorie d'autorisation de séjour et taux d'occupation). La jurisprudence n'admet à ce titre pas de déduction globale supérieure à 25% (ATF 126 V 75 consid. 5). La hauteur de la réduction dépend de chaque cas d'espèce - une réduction automatique n'est pas admissible (arrêt du TF 9C_187/2011 du 30 mai 2011 consid. 4.2.1) - et relève en premier lieu de l'office AI qui dispose pour cela d'un large pouvoir d'appréciation.
14.1.4 Lorsqu'il apparait qu'un assuré a réalisé un revenu nettement inférieur à la moyenne en raison de facteurs étrangers à l'invalidité et que les circonstances ne permettent pas de supposer que l'assuré s'est contenté délibérément d'un salaire plus modeste que celui auquel il aurait pu prétendre, il convient d'abord d'effectuer un parallélisme des deux revenus à comparer. En pratique, celui-ci peut être effectué soit au regard du revenu sans invalidité en augmentant de manière appropriée le revenu effectivement réalisé ou en se référant aux données statistiques, soit au regard du revenu d'invalide en réduisant de manière appropriée la valeur statistique (cf. ATF 134 V 322 consid. 4.1). Dans une seconde phase, il convient d'examiner si une déduction doit être opérée sur le revenu d'invalide obtenu à partir des valeurs moyennes statistiques. À cet égard, il faut remarquer que les facteurs étrangers à l'invalidité éventuellement déjà pris en considération lors de la mise en oeuvre du parallélisme des revenus à comparer ne peuvent pas être pris en compte une seconde fois dans le cadre de la déduction pour circonstances personnelles et professionnelles (ATF 134 V 322 consid. 5.2 et 6.2). Lorsqu'il s'agit de déterminer si le revenu sans invalidité effectivement réalisé est inférieur à la moyenne, il faut partir du salaire que l'assuré a obtenu pour son activité à temps complet dans le cadre de l'horaire de travail convenu contractuellement, sans y inclure l'indemnisation des heures supplémentaires effectuées (ATF 141 V 1 consid. 5) ou d'autres indemnités forfaitaires couvrant des frais effectifs. En cas d'un salaire effectivement perçu nettement inférieur aux salaires habituels de la branche, c'est-à-dire inférieur d'au moins 5%, le parallélisme des revenus à comparer porte sur la part qui excède le taux déterminant de 5% (ATF 135 V 297 consid. 6.1.3; voir ég. CIIAI [Éd. 2017] cm 3020).
14.1.5 S'agissant d'assurés résidant à l'étranger, la comparaison des revenus doit se faire sur le même marché du travail car les salaires et le coût de la vie ne sont pas les mêmes entre deux pays et ne permettent pas une comparaison objective (ATF 110 V 273 consid. 4b; arrêt du TF 9C_606/ 2019 du 20 mai 2020 consid. 6.2.1).
14.1.6 La notion de marché équilibré du travail est une notion théorique et abstraite qui sert de critère de distinction entre les cas tombant sous le coup de l'assurance-chômage et ceux qui relèvent de l'assurance-invalidité. Elle implique, d'une part, un certain équilibre entre l'offre et la demande de main d'oeuvre et, d'autre part, un marché du travail structuré de telle sorte qu'il offre un éventail d'emplois diversifiés, tant au regard des exigences professionnelles et intellectuelles qu'au niveau des sollicitations physiques. L'administration n'a pas à démontrer l'existence d'offres de travail concrètes disponibles et correspondant aux limitations de l'assuré (arrêt du TF 9C_633/2016 du 28 décembre 2016 consid. 4.2).
14.2 En l'espèce, l'éventuel droit du recourant à une rente peut s'ouvrir au plus tôt le 1er avril 2015 (cf. supra consid. 7.3). Il y a lieu in casu, vu les évolutions des états de santé retenus, d'évaluer au 1er avril, au 1er mai et au 1er octobre 2015 les degrés d'invalidité de l'assuré à l'aune, d'une part, d'une incapacité totale de travail du recourant dans son métier de chauffeur de poids lourds depuis le 24 avril 2014, d'autre part, d'une capacité entière de travail dans une activité lucrative adaptée recouvrée antérieurement au 1er avril 2015 et à cette date, d'une incapacité totale de travail du 1er mai au 30 septembre 2015 et d'une capacité entière de travail dans une activité lucrative adaptée recouvrée au 1er octobre 2015. Le recourant ayant été licencié au 31 octobre 2014, il convient d'évaluer son invalidité en se référant aux tabelles des ESS permettant la prise en compte de salaires avec invalidité variés.
14.2.1 Tant au 1er avril qu'au 1er octobre 2015, l'activité adaptée est en référence à une activité exercée notamment dans une position assise permettant le changement de positions, sans port, soulèvement, traction et poussée de poids supérieurs à 10 kg, sans position contraignante sur la durée telle qu'être seulement assis, debout, en déplacement, en position pliée, accroupie de façon répétée, sans travail sur échelle et échafaudage, l'usage d'escaliers et de rampes étant possible.
14.2.2 Dans sa décision du 24 avril 2017, l'OAIE, respectivement l'OAI-B._______, s'est référé au revenu annuel de l'assuré annoncé par son ancien employeur de 54'600.- francs en 2014 et à un revenu annuel avec invalidité de 66'158.- francs établi selon l'ESS 2012 Tabelle TA1_tirage_skill_level, total secteur privé, niveau de compétence 1, homme : 5'210.- francs par mois, basé sur une durée de travail de 40 h./sem., adapté par une indexation de 1.5% pour 2014 et la prise en compte d'une durée de travail de 41.7 h./sem. Un abattement sur le revenu avec invalidité n'a pas été retenu. Il n'est pas résulté de taux d'invalidité de la comparaison des revenus (cf. AI pce 58 p. 11) du fait même d'un revenu avec invalidité supérieur au revenu sans invalidité. Ce calcul ne peut être validé.
14.2.3 Selon le questionnaire à l'employeur du 15 octobre 2014 (cf. pce AI 13), sans invalidité, le recourant aurait réalisé, en 2014 (indice 2220; base 1939: 100), un revenu de 54'600.- francs. Ce montant est nettement inférieur au revenu statistique des branches 49-52 des transports terrestres, par eau, aériens et de l'entreposage selon l'ESS 2014 TA1-tirage_skill-level qui indique pour le niveau de qualification 1 (tâches physiques manuelles simples) pour les hommes un montant de 5'447.- francs par mois, soit 65'364.- francs par année. La différence entre ce dernier montant et celui effectivement annoncé pour 2014 par l'employeur est de 16.46%. Il s'ensuit que le revenu sans invalidité à prendre en compte pour la comparaison de revenus sans et avec invalidité doit être majoré, après déduction de 5% sur 16.46%, de 11.46% (cf. consid. 14.1.4). Il n'est en effet pas établi des actes au dossier que le recourant se serait accommodé volontairement d'un revenu moins élevé. Il s'établit ainsi à 60'857.16 francs valeur 2014. Indexé valeur 2015 (2226; base 1939: 100), ce montant s'établit à 61'021.63 francs.
Il n'appert pas du dossier que le salaire perçu par le recourant relativement bas par rapport aux branches 49-52 de l'ESS 2014 correspondrait à un salaire établi selon une convention collective et que, de ce fait, il devrait être retenu comme usuel dans la branche (cf. arrêt du TF 9C_138/2019 du 29 mai 2019 consid. 6.2). Même si cela était néanmoins le cas (la question n'a pas été instruite par l'autorité inférieure), ceci serait toutefois sans incidence du fait que le revenu avec invalidité selon l'ESS 2014 TA1 est supérieur au revenu sans invalidité du recourant même augmenté selon le parallélisme des revenus.
14.2.4 Pour l'établissement du revenu avec invalidité en 2015, il y a lieu - le recourant ayant été licencié - de se référer à l'ESS 2014 table TA1_tirage_skill_level (h.) indexé 2015. Le revenu mensuel brut (valeur médiane) toutes branches confondues du secteur privé est en 2014 pour les hommes de 5'312.- francs par mois pour 40 h./sem. et de 5'537.76 francs par mois pour un temps de travail de 41.7 h./sem. (durée de travail hebdomadaire moyenne 2014/2015). Il est ainsi de 66'453.12 francs par année en 2014 et de 66'652.47.- francs en 2015 (+0.3%). L'OAI-B._______, respectivement l'OAIE, n'a pas effectué d'abattement sur ce revenu avec invalidité (cf. AI pce 58 p. 11). Dans la mesure où le recourant peut exercer une activité adaptée à 100%, sans diminution de rendement et ni restriction particulière de la mobilité dans une activité s'exerçant principalement assise, permettant le changement de positions, sans port, soulèvement, traction, poussée de charges de plus de 10 kg, il n'y a pas lieu, sur le pur plan des limitations fonctionnelles, de retenir un abattement sur le revenu d'invalide. En effet, selon la jurisprudence, un abattement sur le revenu d'invalide doit être accordé en particulier lorsque la capacité de travail de l'assuré est réduite même pour des travaux de manoeuvre peu astreignants (ATF 126 V 75 consid. 5a/bb). Ceci découle du fait que les tableaux de l'ESS correspondant au niveau d'exigences 1 (dès l'ESS 2012) englobent un grand nombre d'activités légères ou moyennement lourdes (cf. arrêt du TF 8C_381/2017 du 7 août 2017 consid. 4.2.2 et les références, 9C_187/2011 du 30 mai 2011 consid. 4.2.1 et références; Valterio, Commentaire LAI, art. 28a n° 85). À la date du rapport d'expertise du Dr F._______, l'assuré avait 58 ans, cet âge ne constitue pas en soi un motif d'abattement, le Tribunal fédéral considère que la soixantaine, et encore selon les circonstances du cas d'espèce, peut justifier un abattement sur le salaire d'invalide (cf. arrêts du TF 9C_638/2018 du 7 février 2019 consid. 4.2, 9C_160/2013 du 28 août 2013 consid. 4.2; U 436/04 du 12 avril 2005 consid. 4.2; Valterio, Commentaire LAI, art. 28a n° 90).
14.2.5 Il appert de la comparaison des revenus sans et avec invalidité susmentionnés (CHF 61'021.63.- / CHF 66'652.47.-) que le recourant ne subit aucune perte de gain par la reprise d'une activité adaptée à ses limitations fonctionnelles à compter tant au 1er avril 2015 qu'au 1er octobre 2015, respectivement au 1er janvier 2016 (art. 88a al. 1

SR 831.201 Ordinanza del 17 gennaio 1961 sull'assicurazione per l'invalidità (OAI) OAI Art. 88a Modificazione del diritto - 1 Se la capacità al guadagno dell'assicurato o la capacità di svolgere le mansioni consuete migliora oppure se la grande invalidità o il bisogno di assistenza o di aiuto dovuto all'invalidità si riduce, il cambiamento va considerato ai fini della riduzione o della soppressione del diritto a prestazioni dal momento in cui si può supporre che il miglioramento constatato perduri. Lo si deve in ogni caso tenere in considerazione allorché è durato tre mesi, senza interruzione notevole, e presumibilmente continuerà a durare. |

SR 831.201 Ordinanza del 17 gennaio 1961 sull'assicurazione per l'invalidità (OAI) OAI Art. 88a Modificazione del diritto - 1 Se la capacità al guadagno dell'assicurato o la capacità di svolgere le mansioni consuete migliora oppure se la grande invalidità o il bisogno di assistenza o di aiuto dovuto all'invalidità si riduce, il cambiamento va considerato ai fini della riduzione o della soppressione del diritto a prestazioni dal momento in cui si può supporre che il miglioramento constatato perduri. Lo si deve in ogni caso tenere in considerazione allorché è durato tre mesi, senza interruzione notevole, e presumibilmente continuerà a durare. |
15.
Dans le cadre de la présente procédure, le recourant a adressé au Tribunal 11 rapports médicaux en date du 27 octobre 2020 qui portent sur son état de santé ultérieur à la décision attaquée (TAF pce 15). Il apparaît de ceux-ci une éventuelle péjoration de son état de santé (risque cardiovasculaire absolu élevé, paresthésies douloureuses de l'extrémité distale des deux membres inférieurs, syndrome ataxique proprioceptif symptomatique d'une polyneuropathie périphérique). Lesdits rapports sont transmis à l'autorité inférieure en tant que nouvelle demande de prestations AI déposée par le recourant en date du 27 octobre 2020 (art. 8 al. 1

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 8 - 1 L'autorità che si reputa incompetente trasmette senz'indugio la causa a quella competente. |
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1 | L'autorità che si reputa incompetente trasmette senz'indugio la causa a quella competente. |
2 | L'autorità che dubita di essere competente provoca senza indugio uno scambio d'opinioni con quella che potrebbe esserlo. |
16.
16.1 En application de l'art. 63 al. 1

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 63 - 1 L'autorità di ricorso mette nel dispositivo le spese processuali, consistenti in una tassa di decisione nelle tasse di cancelleria e negli sborsi, di regola a carico della parte soccombente. Se questa soccombe solo parzialmente, le spese processuali sono ridotte. Per eccezione, si possono condonare le spese processuali. |
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1 | L'autorità di ricorso mette nel dispositivo le spese processuali, consistenti in una tassa di decisione nelle tasse di cancelleria e negli sborsi, di regola a carico della parte soccombente. Se questa soccombe solo parzialmente, le spese processuali sono ridotte. Per eccezione, si possono condonare le spese processuali. |
2 | Nessuna spesa processuale è messa a carico dell'autorità inferiore ne delle autorità federali, che promuovano il ricorso e soccombano; se l'autorità ricorrente, che soccombe, non è un'autorità federale, le spese processuali le sono addossate in quanto la causa concerna interessi pecuniari di enti o d'istituti autonomi. |
3 | Alla parte vincente possono essere addossate solo le spese processuali che abbia cagionato violando le regole di procedura. |
4 | L'autorità di ricorso, il suo presidente o il giudice dell'istruzione esige dal ricorrente un anticipo equivalente alle presunte spese processuali. Stabilisce un congruo termine per il pagamento con la comminatoria che altrimenti non entrerà nel merito. Se sussistono motivi particolari, può rinunciare interamente o in parte a esigere l'anticipo.100 |
4bis | La tassa di decisione è stabilita in funzione dell'ampiezza e della difficoltà della causa, del modo di condotta processuale e della situazione finanziaria delle parti. Il suo importo oscilla: |
a | da 100 a 5000 franchi nelle controversie senza interesse pecuniario; |
b | da 100 a 50 000 franchi nelle altre controversie.101 |
5 | Il Consiglio federale disciplina i dettagli relativi alla determinazione delle tasse.102 Sono fatti salvi l'articolo 16 capoverso 1 lettera a della legge del 17 giugno 2005103 sul Tribunale amministrativo federale e l'articolo 73 della legge del 19 marzo 2010104 sull'organizzazione delle autorità penali.105 |

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 37 Principio - La procedura dinanzi al Tribunale amministrativo federale è retta dalla PA60, in quanto la presente legge non disponga altrimenti. |

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 63 - 1 L'autorità di ricorso mette nel dispositivo le spese processuali, consistenti in una tassa di decisione nelle tasse di cancelleria e negli sborsi, di regola a carico della parte soccombente. Se questa soccombe solo parzialmente, le spese processuali sono ridotte. Per eccezione, si possono condonare le spese processuali. |
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1 | L'autorità di ricorso mette nel dispositivo le spese processuali, consistenti in una tassa di decisione nelle tasse di cancelleria e negli sborsi, di regola a carico della parte soccombente. Se questa soccombe solo parzialmente, le spese processuali sono ridotte. Per eccezione, si possono condonare le spese processuali. |
2 | Nessuna spesa processuale è messa a carico dell'autorità inferiore ne delle autorità federali, che promuovano il ricorso e soccombano; se l'autorità ricorrente, che soccombe, non è un'autorità federale, le spese processuali le sono addossate in quanto la causa concerna interessi pecuniari di enti o d'istituti autonomi. |
3 | Alla parte vincente possono essere addossate solo le spese processuali che abbia cagionato violando le regole di procedura. |
4 | L'autorità di ricorso, il suo presidente o il giudice dell'istruzione esige dal ricorrente un anticipo equivalente alle presunte spese processuali. Stabilisce un congruo termine per il pagamento con la comminatoria che altrimenti non entrerà nel merito. Se sussistono motivi particolari, può rinunciare interamente o in parte a esigere l'anticipo.100 |
4bis | La tassa di decisione è stabilita in funzione dell'ampiezza e della difficoltà della causa, del modo di condotta processuale e della situazione finanziaria delle parti. Il suo importo oscilla: |
a | da 100 a 5000 franchi nelle controversie senza interesse pecuniario; |
b | da 100 a 50 000 franchi nelle altre controversie.101 |
5 | Il Consiglio federale disciplina i dettagli relativi alla determinazione delle tasse.102 Sono fatti salvi l'articolo 16 capoverso 1 lettera a della legge del 17 giugno 2005103 sul Tribunale amministrativo federale e l'articolo 73 della legge del 19 marzo 2010104 sull'organizzazione delle autorità penali.105 |
16.2 Conformément aux art. 64 al. 1

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 64 - 1 L'autorità di ricorso, se ammette il ricorso in tutto o in parte, può, d'ufficio o a domanda, assegnare al ricorrente una indennità per le spese indispensabili e relativamente elevate che ha sopportato. |
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1 | L'autorità di ricorso, se ammette il ricorso in tutto o in parte, può, d'ufficio o a domanda, assegnare al ricorrente una indennità per le spese indispensabili e relativamente elevate che ha sopportato. |
2 | Il dispositivo indica l'ammontare dell'indennità e l'addossa all'ente o all'istituto autonomo, nel cui nome l'autorità inferiore ha deciso, in quanto non possa essere messa a carico di una controparte soccombente. |
3 | Se una controparte soccombente ha presentato conclusioni indipendenti, l'indennità può essere messa a suo carico, secondo la propria solvenza. |
4 | L'ente o l'istituto autonomo, nel cui nome l'autorità inferiore ha deciso, risponde dell'indennità addossata a una controparte soccombente, in quanto non possa essere riscossa. |
5 | Il Consiglio federale disciplina la determinazione delle spese ripetibili.106 Sono fatti salvi l'articolo 16 capoverso 1 lettera a della legge del 17 giugno 2005107 sul Tribunale amministrativo federale e l'articolo 73 della legge del 19 marzo 2010108 sull'organizzazione delle autorità penali.109 |

SR 173.320.2 Regolamento del 21 febbraio 2008 sulle tasse e sulle spese ripetibili nelle cause dinanzi al Tribunale amministrativo federale (TS-TAF) TS-TAF Art. 7 Principio - 1 La parte vincente ha diritto alle ripetibili per le spese necessarie derivanti dalla causa. |
|
1 | La parte vincente ha diritto alle ripetibili per le spese necessarie derivanti dalla causa. |
2 | Se la parte vince solo parzialmente, le spese ripetibili sono ridotte in proporzione. |
3 | Le autorità federali e, di regola, le altre autorità con qualità di parte non hanno diritto a un'indennità a titolo di ripetibili. |
4 | Se le spese sono relativamente modeste, si può rinunciare a concedere alla parte un'indennità a titolo di ripetibili. |
5 | L'articolo 6a è applicabile per analogia.7 |
Par ces motifs, le Tribunal administratif fédéral prononce :
1.
Le recours est partiellement admis.
2.
La décision de l'OAIE du 24 avril 2017 est réformée dans le sens de l'octroi d'une rente entière d'invalidité du 1er mai 2015 au 31 décembre 2015.
3.
Des frais de procédure réduits de 400.- francs sont mis à la charge du recourant. Ils sont compensés avec l'avance de frais de 800.- francs effectuée en cours de procédure. Un montant de 400.- francs est remboursé au recourant dès l'entrée en force du présent arrêt.
4.
Il n'est pas alloué de dépens.
5.
Les rapports médicaux adressés au Tribunal par le recourant avec son écriture du 27 octobre 2020 (TAF pce 15) sont transmis à l'autorité inférieure en tant que nouvelle demande de prestations AI déposée le 27 octobre 2020.
6.
Le présent arrêt est adressé :
- au recourant (Recommandé avec avis de réception ; annexe : 1 formulaire « adresse de paiement »)
- à l'autorité inférieure (Recommandé, n° de réf. [...] ; annexe : selon chiffre 5 du dispositif)
- à l'Office fédéral des assurances sociales (Recommandé)
- à l'assureur perte de gain O._______, (N° de réf. [...] ; Recommandé)
Le président du collège : Le greffier :
Beat Weber Pascal Montavon
Indication des voies de droit :
La présente décision peut être attaquée devant le Tribunal fédéral, Schweizerhofquai 6, 6004 Lucerne, par la voie du recours en matière de droit public, dans les trente jours qui suivent la notification (art. 82 ss

SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 82 Principio - Il Tribunale federale giudica i ricorsi: |
|
a | contro le decisioni pronunciate in cause di diritto pubblico; |
b | contro gli atti normativi cantonali; |
c | concernenti il diritto di voto dei cittadini nonché le elezioni e votazioni popolari. |

SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 90 Decisioni finali - Il ricorso è ammissibile contro le decisioni che pongono fine al procedimento. |

SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 48 Osservanza - 1 Gli atti scritti devono essere consegnati al Tribunale federale oppure, all'indirizzo di questo, alla posta svizzera o a una rappresentanza diplomatica o consolare svizzera al più tardi l'ultimo giorno del termine. |
|
1 | Gli atti scritti devono essere consegnati al Tribunale federale oppure, all'indirizzo di questo, alla posta svizzera o a una rappresentanza diplomatica o consolare svizzera al più tardi l'ultimo giorno del termine. |
2 | In caso di trasmissione per via elettronica, per il rispetto di un termine è determinante il momento in cui è rilasciata la ricevuta attestante che la parte ha eseguito tutte le operazioni necessarie per la trasmissione.20 |
3 | Il termine è reputato osservato anche se l'atto scritto perviene in tempo utile all'autorità inferiore o a un'autorità federale o cantonale incompetente. In tal caso, l'atto deve essere trasmesso senza indugio al Tribunale federale. |
4 | Il termine per il versamento di anticipi o la prestazione di garanzie è osservato se, prima della sua scadenza, l'importo dovuto è versato alla posta svizzera, o addebitato a un conto postale o bancario in Svizzera, in favore del Tribunale federale. |

SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 42 Atti scritti - 1 Gli atti scritti devono essere redatti in una lingua ufficiale, contenere le conclusioni, i motivi e l'indicazione dei mezzi di prova ed essere firmati. |
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1 | Gli atti scritti devono essere redatti in una lingua ufficiale, contenere le conclusioni, i motivi e l'indicazione dei mezzi di prova ed essere firmati. |
1bis | Se un procedimento in materia civile si è svolto in inglese dinanzi all'autorità inferiore, gli atti scritti possono essere redatti in tale lingua.14 |
2 | Nei motivi occorre spiegare in modo conciso perché l'atto impugnato viola il diritto. Qualora il ricorso sia ammissibile soltanto se concerne una questione di diritto di importanza fondamentale o un caso particolarmente importante per altri motivi, occorre spiegare perché la causa adempie siffatta condizione.15 16 |
3 | Se sono in possesso della parte, i documenti indicati come mezzi di prova devono essere allegati; se l'atto scritto è diretto contro una decisione, anche questa deve essere allegata. |
4 | In caso di trasmissione per via elettronica, la parte o il suo patrocinatore deve munire l'atto scritto di una firma elettronica qualificata secondo la legge del 18 marzo 201617 sulla firma elettronica. Il Tribunale federale determina mediante regolamento: |
a | il formato dell'atto scritto e dei relativi allegati; |
b | le modalità di trasmissione; |
c | le condizioni alle quali può essere richiesta la trasmissione successiva di documenti cartacei in caso di problemi tecnici.18 |
5 | Se mancano la firma della parte o del suo patrocinatore, la procura dello stesso o gli allegati prescritti, o se il patrocinatore non è autorizzato in quanto tale, è fissato un congruo termine per sanare il vizio, con la comminatoria che altrimenti l'atto scritto non sarà preso in considerazione. |
6 | Gli atti illeggibili, sconvenienti, incomprensibili, prolissi o non redatti in una lingua ufficiale possono essere del pari rinviati al loro autore affinché li modifichi. |
7 | Gli atti scritti dovuti a condotta processuale da querulomane o altrimenti abusiva sono inammissibili. |
Expédition :