Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

5A 390/2018

Urteil vom 29. Mai 2019

II. zivilrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichter Herrmann, Präsident,
Bundesrichter Schöbi, Bovey,
Gerichtsschreiberin Friedli-Bruggmann.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Thomas Kübler,
Beschwerdeführer,

gegen

B.________,
vertreten durch Rechtsanwältin Christina Stutz-Berger,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Ehescheidung,

Beschwerde gegen das Urteil des Kantonsgerichts Schwyz, 1. Zivilkammer, vom 27. März 2018
(ZK1 2017 29).

Sachverhalt:

A.

A.a. A.________ (geb. 1964; Beschwerdeführer) und B.________ (geb. 1965) trennten sich 2011 nach fast zwanzigjähriger Ehe. Sie haben zwei gemeinsame, volljährige Kinder. Am 26. Mai 2014 leiteten die Parteien das Scheidungsverfahren ein.

A.b. Im Scheidungsurteil des Bezirksgerichts March vom 23. Mai 2017 wurde der Beschwerdeführer, soweit nachfolgend relevant, verpflichtet, zum Ausgleich der Austrittsleistungen nach FZG Fr. 508'040.55 seiner Freizügigkeitsleistung auf das Vorsorgekonto der Ehefrau überweisen zu lassen, zuzüglich Rückvergütung eines WEF-Vorbezugs. Als Stichtag für die Berechnung wurde der 1. Januar 2017 bezeichnet und für die Berechnung wurden Unterlagen per 31. Oktober 2016 herangezogen. Der vom Beschwerdeführer zu leistende nacheheliche Unterhalt wurde auf Fr. 5'825.-- (ab Vollstreckbarkeit des Scheidungsurteils bis 31. Dezember 2017) bzw. Fr. 5'440.-- (1. Januar 2018 bis zu seinem Eintritt ins ordentliche AHV-Alter) festgesetzt. Das massgebliche Einkommen des Beschwerdeführers veranschlagte das Gericht auf Fr. 17'000.-- (netto, inkl. 13. Monatslohn, exkl. Bonus, Kinderzulagen und Spesen).

B.

B.a. Mit Berufung vom 23. Juni 2017 beantragte der Beschwerdeführer, der Vorsorgeausgleich sei per 26. Mai 2014 vorzunehmen und entsprechend neu zu berechnen. Weiter verlangte er eine Reduktion des Unterhaltsbeitrags auf Fr. 2'778.-- (ab Vollstreckbarkeit des Scheidungsurteils bis 31. Dezember 2017) bzw. Fr. 2'008.-- (1. Januar 2018 bis zu seinem Eintritt ins ordentliche AHV-Alter). Sein Einkommen sei dabei auf Fr. 14'000.-- (netto, inkl. 13. Monatslohn, exkl. Bonus, Kinderzulagen und Spesen) anzusetzen.

B.b. Die Beschwerdegegnerin verlangte die Abweisung der Berufung.

B.c. Mit Urteil vom 27. März 2018 wies das Kantonsgericht Schwyz die Berufung ab und auferlegte die Verfahrenskosten dem Beschwerdeführer.

C.

C.a. Der Beschwerdeführer gelangt hiergegen mit Beschwerde vom 7. Mai 2018 an das Bundesgericht. Er verlangt wie vor der Vorinstanz, der Vorsorgeausgleich sei per 26. Mai 2014 vorzunehmen. Den Unterhaltsanspruch der Beschwerdegegnerin möchte er für die gesamte Anspruchsdauer auf Fr. 2'008.-- reduziert sehen. Weiter verlangt er eine neue Verlegung der kantonalen Gerichtskosten und Zusprechung einer Entschädigung von Fr. 10'000.-- für das erstinstanzliche Verfahren sowie Fr. 2'000.-- für das vorinstanzliche Verfahren.

C.b. Mit Fristerstreckungsgesuch vom 5. September 2018 teilte die Beschwerdegegnerin mit, dass die Parteien daran seien einen Miteigentumsanteil zu übertragen, was Einfluss auf das bundesgerichtliche Verfahren haben könnte (Pensionskasse, Rückzahlung WEF-Vorbezug).

C.c. Mit Vernehmlassung vom 2. Oktober 2018 teilte die Beschwerdegegnerin mit, dass die Übertragung noch nicht habe stattfinden können. Sie beantragt in der Sache, die Beschwerde sei vollumfänglich abzuweisen und das angefochtene Urteil in allen Punkten zu bestätigen. Die Vernehmlassung wurde dem Beschwerdeführer zur Wahrung des rechtlichen Gehörs zugestellt.

C.d. Das Bundesgericht hat sodann die Akten der Vorinstanzen eingeholt. Auf eine Vernehmlassung verzichtete die Vorinstanz.

Erwägungen:

1.

1.1. Das Bundesgericht überprüft von Amtes wegen und mit freier Kognition, ob eine Beschwerde zulässig ist (BGE 144 V 97 E. 1 S. 99; 144 II 184 E. 1 S. 186; 143 III 140 E. 1 S. 143; 141 III 395 E. 2.1 S. 397).

1.2. Die Beschwerde richtet sich gegen einen Endentscheid einer letzten kantonalen Instanz, die als oberes Gericht in einer vermögensrechtlichen Zivilsache, deren Streitwert den gesetzlichen Mindeststreitwert von Fr. 30'000.-- übersteigt (Art. 74 Abs. 1 lit. b
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 74 Valeur litigieuse minimale - 1 Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à:
1    Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à:
a  15 000 francs en matière de droit du travail et de droit du bail à loyer;
b  30 000 francs dans les autres cas.
2    Même lorsque la valeur litigieuse minimale n'est pas atteinte, le recours est recevable:
a  si la contestation soulève une question juridique de principe;
b  si une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
c  s'il porte sur une décision prise par une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
d  s'il porte sur une décision prise par le juge de la faillite ou du concordat;
e  s'il porte sur une décision du Tribunal fédéral des brevets.
BGG), entschieden hat (Art. 72 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 72 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
1    Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
2    Sont également sujettes au recours en matière civile:
a  les décisions en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions prises en application de normes de droit public dans des matières connexes au droit civil, notamment les décisions:
b1  sur la reconnaissance et l'exécution de décisions ainsi que sur l'entraide en matière civile,
b2  sur la tenue des registres foncier, d'état civil et du commerce, ainsi que des registres en matière de protection des marques, des dessins et modèles, des brevets d'invention, des obtentions végétales et des topographies,
b3  sur le changement de nom,
b4  en matière de surveillance des fondations, à l'exclusion des institutions de prévoyance et de libre passage,
b5  en matière de surveillance des exécuteurs testamentaires et autres représentants successoraux,
b6  les décisions prises dans le domaine de la protection de l'enfant et de l'adulte,
b7  ...
, Art. 75
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 75 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
1    Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
2    Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours, sauf si:
a  une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
b  un tribunal spécialisé dans les litiges de droit commercial statue en instance cantonale unique;
c  une action ayant une valeur litigieuse d'au moins 100 000 francs est déposée directement devant le tribunal supérieur avec l'accord de toutes les parties.
und Art. 90
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure.
BGG). Der Beschwerdeführer ist zur Beschwerde berechtigt (Art. 76 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 76 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière civile quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière civile quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et
b  est particulièrement touché par la décision attaquée et a un intérêt digne de protection à son annulation ou sa modification.
2    Ont également qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 72, al. 2, la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux et, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions.41
BGG) und die Beschwerdefrist ist eingehalten (Art. 100 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
1    Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
2    Le délai de recours est de dix jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale;
c  les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93.
d  les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95.
3    Le délai de recours est de cinq jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change;
b  les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales.
4    Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national.
5    En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
6    ...96
7    Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps.
BGG). Insofern ist die Beschwerde in Zivilsachen gegeben.

1.3. Mit der vorliegenden Beschwerde können Rechtsverletzungen gemäss Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
. BGG gerügt werden. Unter Vorbehalt des Bereichs der verfassungsmässigen Rechte wendet das Bundesgericht das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG). Es kann die Beschwerde daher auch aus anderen als den geltend gemachten Gründen gutheissen. Ebenso kann es den Entscheid mit einer Begründung bestätigen, die von derjenigen der Vorinstanz abweicht (BGE 143 V 19 E. 2.3 S. 23 f.; 136 III 247 E. 4 S. 252 mit Hinweis).

1.4. Was den Sachverhalt angeht, legt das Bundesgericht seinem Urteil die vorinstanzlichen Feststellungen zugrunde (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG), soweit der Beschwerdeführer nicht rügt, dieser sei offensichtlich unrichtig oder beruhe auf einer anderen Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG (Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
und Art. 105 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG). Offensichtlich unrichtig ist die Sachverhaltsfeststellung, wenn sie willkürlich ist (BGE 141 IV 249 E. 1.3.1 S. 253; 137 III 226 E. 4.2 S. 234; 135 III 397 E. 1.5 S. 401; 133 II 249 E. 1.2.2 S. 252). Ausserdem muss der Beschwerdeführer darlegen, inwiefern die Behebung des Mangels für den Ausgang des Verfahrens entscheidend sein kann (Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
BGG; BGE 137 III 226 E. 4.2 S. 234; 135 I 19 E. 2.2.2 S. 22; 135 III 127 E. 1.5 S. 129 f.). Es gilt das strenge Rügeprinzip nach Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG (BGE 133 II 249 E. 1.4.3 S. 254 f.). Das Bundesgericht prüft nur klar und detailliert erhobene und, soweit möglich, belegte Rügen, während es auf ungenügend substanziierte Rügen und rein appellatorische Kritik am Sachverhalt nicht eintritt (BGE 141 IV 249 E. 1.3.1 S. 253, 317 E. 5.4 S. 324; 140 III 264 E. 2.3 S. 266; je mit Hinweisen).

1.5. Mit der Beschwerde in Zivilsachen darf der Beschwerdeführer keine neuen Tatsachen und Beweismittel vorbringen, es sei denn, erst der Entscheid der Vorinstanz habe dazu Anlass gegeben (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
BGG). Neu sind Tatsachen, die weder im vorangegangenen Verfahren vorgebracht noch von der Vorinstanz festgestellt wurden (BGE 136 V 362 E. 3.3.1 S. 364 f.; 136 III 123 E. 4.4.3 S. 128 f.). In der Beschwerde ist darzutun, inwiefern die Voraussetzung für die nachträglichen Vorbringen erfüllt sein soll (BGE 133 III 393 E. 3 S. 395).
Daher bleiben die neuen Ausführungen beider Parteien zu den erwachsenen Kindern unbeachtlich. Sie legen nicht dar, inwiefern die Voraussetzungen für das spätere Vorbringen gegeben wären. Soweit die Beschwerdegegnerin damit argumentiert, dass sie bis heute keine Vollzeitstelle gefunden habe, handelt es sich schliesslich um ein echtes Novum, welches im bundesgerichtlichen Beschwerdeverfahren von vornherein nicht berücksichtigt werden kann (BGE 135 I 221 E. 5.2.4 S. 229; 133 IV 342 E. 2.1 S. 343 f.).

2.

2.1. Vor Bundesgericht sind nur noch der Vorsorgeausgleich (siehe sogleich) streitig sowie die Unterhaltsregelung (vgl. E. 3).

2.2. Die Parteien leiteten das Scheidungsverfahren am 26. Mai 2014 ein (vgl. Sachverhalt lit. A.a). Das erstinstanzliche Urteil erging am 23. Mai 2017 (vgl. Sachverhalt lit. A.b). Der Scheidungspunkt erwuchs gemäss unbestrittener vorinstanzlicher Feststellung mangels Anfechtung am 18. August 2017 in Rechtskraft.
Das Übergangsrecht sieht vor, dass für die berufliche Vorsorge bei Scheidung das neue Recht gilt, sobald die Änderung vom 19. Juni 2015 in Kraft getreten ist (Art. 7d Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
SchlT ZGB). Auf Scheidungsprozesse, die beim Inkrafttreten der Änderung vom 19. Juni 2015 vor einer kantonalen Instanz rechtshängig sind, findet das neue Recht Anwendung (Art. 7d Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
SchlT ZGB). Die Vorinstanzen und die Parteien gingen mithin zu Recht von der Anwendbarkeit des per 1. Januar 2017 in Kraft getretenen neuen Rechts zum Vorsorgeausgleich aus. Nach dem klaren Wortlaut von Art. 7d Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
SchlT ZGB ist einzig entscheidend, dass der Entscheid, mit welchem der Richter den Vorsorgeausgleich angeordnet hat, nach dem 1. Januar 2017 erfolgt ist (Urteile 5A 819/2017 vom 20. März 2018 E. 10.2.2; in: FamPra.ch 2018 829; 5A 710/2017 vom 30. April 2018 E. 5.2).

2.3. Die Vorinstanz legte Art. 7d
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
SchlT ZGB dahingehend aus, dass als Stichtag bei zur Zeit des Inkrafttretens des neuen Rechts hängigen Scheidungen der 1. Januar 2017 zu gelten habe (wobei sie dann allerdings nicht auf Berechnungen der Pensionskassen per 1. Januar 2017, sondern auf solche per 31. Oktober 2016 abstellte).

2.4. Der Beschwerdeführer rügt sinngemäss eine Verletzung des (neuen) Rechts zum Vorsorgeausgleich. Er ist der Ansicht, als Stichtag für d ie Berechnung der zu teilenden Austrittsleistungen habe der 26. Mai 2014, also der Zeitpunkt der Einleitung des Scheidungsverfahrens, zu gelten, wie dies der neue Art. 122
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 122 - Les prétentions de prévoyance professionnelle acquises durant le mariage et jusqu'à l'introduction de la procédure de divorce sont partagées entre les époux.
ZGB festhalte. Die Beschwerdegegnerin bea ntragt demgegenüber die Bestätigung des angefochtenen Urteils.

2.5. Gemäss dem neuen Art. 122
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 122 - Les prétentions de prévoyance professionnelle acquises durant le mariage et jusqu'à l'introduction de la procédure de divorce sont partagées entre les époux.
ZGB werden bei einer Scheidung die während der Ehe bis zum Zeitpunkt der Einleitung des Scheidungsverfahrens erworbenen Ansprüche aus der beruflichen Vorsorge ausgeglichen. Das Gesetz sieht keinen abweichenden Stichtag vor für übergangsrechtliche Fälle. Dementsprechend hat das Bundesgericht entschieden, dass, unabhängig vom Grund, weshalb ein Scheidungsverfahren beim Inkrafttreten des neuen Rechts noch hängig ist, das neue Recht - inkl. dem neuen Stichtag gemäss Art. 122
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 122 - Les prétentions de prévoyance professionnelle acquises durant le mariage et jusqu'à l'introduction de la procédure de divorce sont partagées entre les époux.
ZGB - zur Anwendung kommt (vgl. Urteile 5A 405/2018 vom 27. Februar 2019 E. 3.2 bis 3.4; 5A 710/2017 vom 30. April 2018; 5A 819/2017 vom 20. März 2018 E. 10.2.2, in: FamPra.ch 2018 829). Durch die Wahl eines anderen als den gesetzlich vorgesehenen Stichtag - sei es nun der 1. Januar 2017 oder faktisch der 31. Oktober 2016 - hat die Vorinstanz Bundesrecht verletzt. Die Beschwerde ist insofern gutzuheissen und die Angelegenheit zur Neuberechnung des Vorsorgeausgleichs per 26. Mai 2014 an die Vorinstanz zurückzuweisen.

3.

3.1. In Bezug auf den nachehelichen Unterhalt schützte die Vorinstanz die Berechnung der ersten Instanz. Demnach wurde der Beschwerdegegnerin ein erweitertes Existenzminimum von Fr. 5'068.-- (Grundbetrag Fr. 1'200.--, Krankenkasse Fr. 338.--, ungedeckte Krankheitskosten Fr. 75.--, zusätzliche Gesundheitskosten Fr. 160.--, Wohnkosten Fr. 2'000.--, Cablecom und Billag Fr. 140.--, Autokosten Fr. 465.--, Tierkosten Fr. 20.--, Steuern Fr. 670.--) zugestanden. Dem Beschwerdeführer ein solches von Fr. 7'330.-- (Grundbetrag Fr. 1'200.--, Krankenkasse Fr. 300.--, ungedeckte Krankheitskosten Fr. 66.--, zusätzliche Gesundheitskosten Fr. 174.--, Wohnkosten Fr. 2'000.--, Cablecom und Billag Fr. 140.--, Autokosten Fr. 2'250.--, Steuern Fr. 1'200.--), womit die erweiterten Existenzminima für beide zusammen Fr. 12'398.-- ausmachten.
In Bezug auf das Einkommen der Beschwerdegegnerin wurde festgestellt, dass diese vor der Trennung netto Fr. 1'000.-- pro Monat verdient habe. Ab 2013 habe sie ein Nettoeinkommen für ein 80%-Pensum von Fr. 3'090.-- erzielt. Ab 1. Januar 2018 wurde ihr sodann ein Einkommen von Fr. 3'860.-- angerechnet (hypothetisches Einkommen bei 100%-Pensum). Das Einkommen des Beschwerdeführers wurde für die Jahre 2008 bis 2010 mit Fr. 22'000.-- pro Monat angegeben (netto, inkl. Bonus, exkl. Spesen) resp. ab einem Stellenwechsel kurz vor der Trennung der Parteien mit durchschnittlich Fr. 17'000.-- pro Monat.
Die Vorinstanz erachtete für die Zeit bis Ende 2010 eine Sparquote von durchschnittlich Fr. 5'000.-- pro Monat als erwiesen.
Dieser finanziellen Situation bis Ende 2010 stellte die Vorinstanz nach dem Vorbild der ersten Instanz die Situation im Scheidungszeitpunkt gegenüber. Dies ergab beim Beschwerdeführer Mindereinnahmen von Fr. 5'000.-- infolge des (noch während des Zusammenlebens erfolgten) Stellenwechsels, bei der Beschwerdegegnerin Mehreinnahmen von Fr. 2'090.-- resp. ab 1. Januar 2018 hypothetisch Fr. 2'860.--, d.h. insgesamt betrachtet Mindereinnahmen von Fr. 2'910.-- resp. ab 1. Januar 2018 Fr. 2'140.--. Zusätzlich stellten die Vorinstanzen scheidungsbedingte Mehrkosten von Fr. 2'700.-- fest.
Die Erwägungen der kantonalen Instanzen mündeten in die Feststellung, dass die Mindereinkünfte der Parteien zusammen mit den scheidungsbedingten Mehrkosten an die Sparquote anzurechnen seien und diese quasi aufheben würden. Mangels verbleibender Sparquote sei der Unterhalt wie von der Beschwerdegegnerin beantragt nach der zweistufigen Methode zu berechnen.
Bei Einnahmen von insgesamt Fr. 20'090.-- (resp. ab 1. Januar 2018 Fr. 20'860.--) und Existenzminima von Fr. 12'398.-- ergab dies einen Überschuss von Fr. 7'692.-- (resp. ab 1. Januar 2018 Fr. 8'462.--), welcher hälftig zu teilen sei. So resultierte ein Unterhaltsanspruch der Beschwerdegegnerin vo n Fr. 5'825.-- bzw. ab 1. Januar 2018 Fr. 5'440.-- ( ihr Existenzminimum plus hälftiger Überschussanteil, abzüglich eigenes Einkommen).

3.2. Der Beschwerdeführer rügt die Berechnung in verschiedener Hinsicht. Seiner Ansicht nach hätte eine einstufige Berechnungsweise gewählt werden müssen. Die Anwendung der zweistufigen Methode verletze, wie auch die Höhe des Unterhalts per se, Art. 125
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 125 - 1 Si l'on ne peut raisonnablement attendre d'un époux qu'il pourvoie lui-même à son entretien convenable, y compris à la constitution d'une prévoyance vieillesse appropriée, son conjoint lui doit une contribution équitable.
1    Si l'on ne peut raisonnablement attendre d'un époux qu'il pourvoie lui-même à son entretien convenable, y compris à la constitution d'une prévoyance vieillesse appropriée, son conjoint lui doit une contribution équitable.
2    Pour décider si une contribution d'entretien est allouée et pour en fixer, le cas échéant, le montant et la durée, le juge retient en particulier les éléments suivants:
1  la répartition des tâches pendant le mariage;
2  la durée du mariage;
3  le niveau de vie des époux pendant le mariage;
4  l'âge et l'état de santé des époux;
5  les revenus et la fortune des époux;
6  l'ampleur et la durée de la prise en charge des enfants qui doit encore être assurée;
7  la formation professionnelle et les perspectives de gain des époux, ainsi que le coût probable de l'insertion professionnelle du bénéficiaire de l'entretien;
8  les expectatives de l'assurance-vieillesse et survivants et de la prévoyance professionnelle ou d'autres formes de prévoyance privée ou publique, y compris le résultat prévisible du partage des prestations de sortie.
3    L'allocation d'une contribution peut exceptionnellement être refusée en tout ou en partie lorsqu'elle s'avère manifestement inéquitable, en particulier parce que le créancier:
1  a gravement violé son obligation d'entretien de la famille;
2  a délibérément provoqué la situation de nécessité dans laquelle il se trouve;
3  a commis une infraction pénale grave contre le débiteur ou un de ses proches.
ZGB. Dabei habe die Vorinstanz in Verletzung von Art. 2 Abs. 2
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 2 - 1 Chacun est tenu d'exercer ses droits et d'exécuter ses obligations selon les règles de la bonne foi.
1    Chacun est tenu d'exercer ses droits et d'exécuter ses obligations selon les règles de la bonne foi.
2    L'abus manifeste d'un droit n'est pas protégé par la loi.
ZGB Vorbringen von ihm nicht gewürdigt. Schliesslich habe die Vorinstanz aktenwidrig und willkürlich einen in der letzten Phase des Zusammenlebens vorhandenen Sparquotenanteil nur teilweise berücksichtigt.

3.3. Ist es einem Ehegatten nicht zuzumuten, für den ihm gebührenden Unterhalt unter Einschluss einer angemessenen Altersvorsorge selbst aufzukommen, so hat ihm der andere Ehegatte einen angemessenen Beitrag zu leisten (Art. 125 Abs. 1
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 125 - 1 Si l'on ne peut raisonnablement attendre d'un époux qu'il pourvoie lui-même à son entretien convenable, y compris à la constitution d'une prévoyance vieillesse appropriée, son conjoint lui doit une contribution équitable.
1    Si l'on ne peut raisonnablement attendre d'un époux qu'il pourvoie lui-même à son entretien convenable, y compris à la constitution d'une prévoyance vieillesse appropriée, son conjoint lui doit une contribution équitable.
2    Pour décider si une contribution d'entretien est allouée et pour en fixer, le cas échéant, le montant et la durée, le juge retient en particulier les éléments suivants:
1  la répartition des tâches pendant le mariage;
2  la durée du mariage;
3  le niveau de vie des époux pendant le mariage;
4  l'âge et l'état de santé des époux;
5  les revenus et la fortune des époux;
6  l'ampleur et la durée de la prise en charge des enfants qui doit encore être assurée;
7  la formation professionnelle et les perspectives de gain des époux, ainsi que le coût probable de l'insertion professionnelle du bénéficiaire de l'entretien;
8  les expectatives de l'assurance-vieillesse et survivants et de la prévoyance professionnelle ou d'autres formes de prévoyance privée ou publique, y compris le résultat prévisible du partage des prestations de sortie.
3    L'allocation d'une contribution peut exceptionnellement être refusée en tout ou en partie lorsqu'elle s'avère manifestement inéquitable, en particulier parce que le créancier:
1  a gravement violé son obligation d'entretien de la famille;
2  a délibérément provoqué la situation de nécessité dans laquelle il se trouve;
3  a commis une infraction pénale grave contre le débiteur ou un de ses proches.
ZGB). Der gebührende Unterhalt gemäss Art. 125
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 125 - 1 Si l'on ne peut raisonnablement attendre d'un époux qu'il pourvoie lui-même à son entretien convenable, y compris à la constitution d'une prévoyance vieillesse appropriée, son conjoint lui doit une contribution équitable.
1    Si l'on ne peut raisonnablement attendre d'un époux qu'il pourvoie lui-même à son entretien convenable, y compris à la constitution d'une prévoyance vieillesse appropriée, son conjoint lui doit une contribution équitable.
2    Pour décider si une contribution d'entretien est allouée et pour en fixer, le cas échéant, le montant et la durée, le juge retient en particulier les éléments suivants:
1  la répartition des tâches pendant le mariage;
2  la durée du mariage;
3  le niveau de vie des époux pendant le mariage;
4  l'âge et l'état de santé des époux;
5  les revenus et la fortune des époux;
6  l'ampleur et la durée de la prise en charge des enfants qui doit encore être assurée;
7  la formation professionnelle et les perspectives de gain des époux, ainsi que le coût probable de l'insertion professionnelle du bénéficiaire de l'entretien;
8  les expectatives de l'assurance-vieillesse et survivants et de la prévoyance professionnelle ou d'autres formes de prévoyance privée ou publique, y compris le résultat prévisible du partage des prestations de sortie.
3    L'allocation d'une contribution peut exceptionnellement être refusée en tout ou en partie lorsqu'elle s'avère manifestement inéquitable, en particulier parce que le créancier:
1  a gravement violé son obligation d'entretien de la famille;
2  a délibérément provoqué la situation de nécessité dans laquelle il se trouve;
3  a commis une infraction pénale grave contre le débiteur ou un de ses proches.
ZGB entspricht der Lebenshaltung, welche die Eheleute während ihres Zusammenlebens erreicht und entsprechend ihrer Übereinkunft gepflegt und auf deren Weiterführung sie im Rahmen ihrer finanziellen Möglichkeiten auch nach der Scheidung ihrer Ehe jedenfalls dann grundsätzlich Anspruch haben, wenn ihre Ehe lebensprägend war. Massgebend ist der zuletzt erreichte, gemeinsam gelebte Lebensstandard. Dieser stellt gleichzeitig auch die Obergrenze des gebührenden Unterhalts dar (vgl. zum Ganzen: BGE 137 III 102 E. 4.2.1.1 S. 106; 134 III 145 E. 4 S. 146).
Nach der Rechtsprechung ist der gebührende Unterhalt im Sinne von Art. 125 Abs. 1
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 125 - 1 Si l'on ne peut raisonnablement attendre d'un époux qu'il pourvoie lui-même à son entretien convenable, y compris à la constitution d'une prévoyance vieillesse appropriée, son conjoint lui doit une contribution équitable.
1    Si l'on ne peut raisonnablement attendre d'un époux qu'il pourvoie lui-même à son entretien convenable, y compris à la constitution d'une prévoyance vieillesse appropriée, son conjoint lui doit une contribution équitable.
2    Pour décider si une contribution d'entretien est allouée et pour en fixer, le cas échéant, le montant et la durée, le juge retient en particulier les éléments suivants:
1  la répartition des tâches pendant le mariage;
2  la durée du mariage;
3  le niveau de vie des époux pendant le mariage;
4  l'âge et l'état de santé des époux;
5  les revenus et la fortune des époux;
6  l'ampleur et la durée de la prise en charge des enfants qui doit encore être assurée;
7  la formation professionnelle et les perspectives de gain des époux, ainsi que le coût probable de l'insertion professionnelle du bénéficiaire de l'entretien;
8  les expectatives de l'assurance-vieillesse et survivants et de la prévoyance professionnelle ou d'autres formes de prévoyance privée ou publique, y compris le résultat prévisible du partage des prestations de sortie.
3    L'allocation d'une contribution peut exceptionnellement être refusée en tout ou en partie lorsqu'elle s'avère manifestement inéquitable, en particulier parce que le créancier:
1  a gravement violé son obligation d'entretien de la famille;
2  a délibérément provoqué la situation de nécessité dans laquelle il se trouve;
3  a commis une infraction pénale grave contre le débiteur ou un de ses proches.
ZGB grundsätzlich konkret, das heisst anhand der tatsächlich getätigten Ausgaben zu ermitteln (BGE 134 III 145 E. 4 S. 146 f.). Indessen hat das Bundesgericht präzisiert, dass die Methode der Existenzminimumberechnung mit (allfälliger) Überschussverteilung (zweistufige Methode) jedenfalls dann zu zulässigen Ergebnissen führt, wenn sich die zuletzt gelebte Lebenshaltung nicht zuverlässig ermitteln lässt (Urteil 5A 267/2014 vom 15. September 2014 E. 5.1, in: FamPra.ch 2015 S. 212), wenn feststeht, dass die Ehegatten während des Zusammenlebens das verfügbare Einkommen für den laufenden Unterhalt verbraucht haben, oder aber wenn eine bisherige Sparquote durch die trennungsbedingten Mehrkosten oder neue Bedarfspositionen aufgebraucht wird (BGE 140 III 485 E. 3.3 S. 488; 137 III 102 E. 4.2.1.1 S. 106 f.; 134 III 577 E. 3 S. 578). Diese Voraussetzungen können auch bei guten finanziellen Verhältnissen gegeben sein, weshalb allein der Umstand, dass die Ehegatten während des Zusammenlebens ein überdurchschnittlich hohes Einkommen erzielten, der Anwendung der zweistufigen Methode nicht entgegensteht (vgl. BGE 140 III 337 E. 4.2.2 S. 339; zum Ganzen vgl. auch
Urteile 5A 202/2017 vom 22. Mai 2018 E. 5.1.2 und E. 5.2.1; 5A 24/2016 vom 23. August 2016, in: ZBJV 153/2017 S. 486).

3.3.1. Die Vorinstanz hat sich für die Wahl der Methode - ohne dies ausdrücklich zu sagen - auf die letzte Phase des Zusammenlebens der Parteien abgestützt, nämlich auf die Zeit ab dem Stellenwechsel des Beschwerdeführers (1. Oktober 2010). Zu diesem Zeitpunkt reduzierte sich das massgebliche Einkommen des Beschwerdeführers gemäss Feststellung der Vorinstanz um rund Fr. 5'000.-- pro Monat. Die Trennung erfolgte am 5. Mai 2011. Die tatsächlichen Feststellungen zur zeitlichen Abfolge werden vom Beschwerdeführer nicht gerügt und sind daher für das Bundesgericht verbindlich (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG).
Da die berufliche Neuausrichtung noch während des Zusammenlebens erfolgte, ist davon auszugehen, dass der Entschluss von den Ehegatten gemeinsam getragen wurde. Weder dem angefochtenen Urteil noch den Eingaben der Parteien an das Bundesgericht lässt sich etwas anderes entnehmen. Damit hat die Vorinstanz kein Bundesrecht verletzt, wenn sie (auch) auf die dadurch geschaffene neue Situation abgestellt hat.

3.3.2. Weiter ist die Vorinstanz - ebenfalls ohne dies klar festzuhalten - von der Prämisse ausgegangen, dass die Parteien angesichts der Mindereinnahmen von Fr. 5'000.-- ihre Sparquote um diesen Betrag reduziert und nicht ihren Lebensstandard eingeschränkt haben.
Der Beschwerdeführer knüpft in seiner Beschwerde durchwegs an eine Sparquote an, welche die Zeit vor dem Stellenwechsel betrifft. Hätten die Parteien trotz Mindereinnahmen von Fr. 5'000.-- monatlich gleich viel Geld auf die Seite legen wollen wie vor dem Stellenwechsel, hätte dies bedeutet, dass die Parteien anstatt dessen ihre Lebenshaltung um Fr. 5'000.-- monatlich hätten reduzieren müssen. Dass die Parteien gemeinsam - oder er allein - seinen Lebensstandard mit dem Stellenwechsel reduziert hätten, bringt nun aber selbst der Beschwerdeführer nicht vor. Die Annahme der Vorinstanz, die Mindereinnahmen und die trennungsbedingten Mehrkosten seien vorab der Sparquote anzurechnen, ist damit grundsätzlich nicht zu beanstanden. Auf die genaue Höhe der Sparquote wir d noch einzugehen sein.

3.3.3. Der Beschwerdeführer rügt, die Sparquote habe mindestens Fr. 8'000.-- betragen, nicht Fr. 5'000.--. Erstens ha be die Vorinstanz zu Unrecht ein Konto bei der Raiffeisenbank (Kunden-Nr. 60238) bei der Berechnung der Sparquote nicht berücksichtigt. Vor erster Instanz habe er ausgeführt, am Konto sei seine Mutter wirtschaftlich berechtigt. Die Erstinstanz sei dann zum Schluss gekommen, dass es sich dabei um Errungenschaft von ihm handle, habe den Vermögenszuwachs auf dem Konto aber nicht an die Sparquote angerechnet. Die Mutter sei inzwischen verstorben. Dass er das Konto an die Sparquote angerechnet haben wollte, habe die Vorinstanz in Verletzung von Art. 2 Abs. 2
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 2 - 1 Chacun est tenu d'exercer ses droits et d'exécuter ses obligations selon les règles de la bonne foi.
1    Chacun est tenu d'exercer ses droits et d'exécuter ses obligations selon les règles de la bonne foi.
2    L'abus manifeste d'un droit n'est pas protégé par la loi.
ZGB als rechtsmissbräuchlich erachtet, was stossend sei. Angesichts des Vermögenszuwachses auf dem Konto sei die Sparquote um Fr. 2'000.-- pro Monat zu erhöhen.
Ob dem Beschwerdeführer Rechtsmissbrauch vorgeworfen werden kann, kann offen bleiben. So oder anders liegt die Beweislast für die behauptete zusätzliche Sparquote von Fr. 2'000.-- bei ihm (BGE 140 III 485 E. 3.3 S. 488). Diesen Beweis hat er nicht erbracht. Allein die Behauptung, wonach seine Mutter wirtschaftlich Berechtigte am besagten Konto gewesen sei, reicht dafür nicht aus. Daran ändert auch nichts, dass die Mutter mittlerweile verstorben sei und daher selbstredend als Zeugin ausscheidet. Allein die Schwierigkeit, einen Beweis zu führen, ist noch kein Grund, dem Beschwerdeführer mit einer Umkehr der Beweislast oder einem reduzierten Beweismass entgegenzukommen. Er hätte aufzeigen müssen, weshalb der Vermögenszuwachs auf dem Konto ihm als Sparquote hätte angerechnet werden müssen.

3.3.4. Zweitens rügt der Beschwerdeführer in Bezug auf die Sparquote, die Einzahlungen in die Pensionskasse seien aktenwidrig und willkürlich nicht in voller Höhe berücksichtigt worden. Die Vorinstanz behaupte, er habe sich nur einen Betrag von Fr. 500.-- anrechnen lassen wollen. Bei den Fr. 500.-- habe es sich aber um einen Betrag gehandelt, den er in seinem Bedarf aufgeführt habe. Es sei unbestrittenerweise festgestellt, dass er in den Jahren 2008 bis 2010 Fr. 30'000.-- bzw. Fr. 36'000.-- und Fr. 30'000.-- eingezahlt habe, was einen Schnitt von Fr. 32'000.-- pro Jahr ergebe und damit Fr. 1'000.-- mehr pro Monat als von der Vorinstanz zugestanden. Damit sei auch abwegig, ihm Rechtsmissbrauch vorzuwerfen, wenn er den ganzen Betrag berücksichtigt haben wolle und nicht nur Fr. 500.--.
Die Frage kann insofern offen gelassen werden, als der Beschwerdeführer nicht darlegt - und auch nicht behauptet vor den Vorinstanzen belegt zu haben -, dass es nach 2010 weiterhin Einkäufe in die Pensionskasse gegeben hätte. Die Parteien waren aber noch bis Mai 2011 zusammen, weshalb nicht einfach vom Schnitt der Jahre 2008 bis 2010 ausgegangen werden kann. Der Beschwerdeführer hätte dies um so mehr aufzeigen müssen, als ab Ende 2010 sein Einkommen wesentlich tiefer war und nicht ohne weiteres von einer Fortsetzung der Einzahlungen im bisherigen Umfang ausgegangen werden kann.

3.3.5. Es bleibt somit bei der von der Vorinstanz festgestellten Sparquote von rund Fr. 5'000.-- bis zum Stellenwechsel im Oktober 2010 und bei der Feststellung, dass die Sparquote in der letzten Phase des Zusammenlebens durch Mindereinnahmen und trennungsbedingte Mehrkosten aufgehoben wurde.
Wie dargelegt, ist die zweistufige Methode gerade in Situationen zulässig, in denen eine bis herige Sparquote durch die trennungsbedingten Mehrkosten oder neue Bedarfspositionen aufgebraucht wird (vgl. hierzu oben E. 3.3 mit Hinweis auf BGE 140 III 485 E. 3.3 S. 488; 137 III 102 E. 4.2.1.1 S. 106 f.; 134 III 577 E. 3 S. 578). Die Vorinstanz hat kein Bundesrecht verlet zt, wenn sie die zweistufige Methode vorliegend zur Anwendung brachte, wo die ursprüngliche Sparquote durch eine Kombination aus Mindereinnahmen und trennungsbedingten Mehrkosten aufgebraucht wird.

3.4. Weiter rügt der Beschwerdeführer, die Beschwerdegegnerin habe einen gebührenden Bedarf von Fr. 7'023.-- geltend gemacht. Er sei der Ansicht, ihr gebührender Bedarf betrage nur Fr. 5'868.--. In jedem Fall könne ihr nicht mehr als die Fr. 7'023.-- zugesprochen werden, da der gebührende Bedarf die Obergrenze des nachehelichen Unterhalts bilde. Die Beschwerdegegnerin habe nun aber über den gebührenden Unterhalt hinaus eine Beteiligung an der Sparquote verlangt - und erhalten. Gemäss dem vorinstanzlichen Urteil stünden der Beschwerdegegnerin ab der Scheidung inkl. eigenem Einkommen mehr als Fr. 9'000.-- pro Monat zu. Das sei offensichtlich unbillig und in stossender Weise ungerecht.
Die Rüge geht insofern ins Leere, als bereits die Vorinstanz festgestellt hat, dass die Beschwerdegegnerin "erstinstanzlich zwar einen Bedarf von Fr. 7'102.-- geltend machte (...), darüber hinaus aber entsprechend der zweistufigen Mehode eine Überschussverteilung vornahm (...) ". Diese sei "demnach von einem über dem familienrechtlichen Bedarf liegenden gebührenden Bedarf für die Unterhaltsberechnung aus [ gegangen] ".
Der Blick in die Akten und die Vernehmlassung vom 2. Oktober 2018 bestätigt, dass die Beschwerdegegnerin in der Tat die Begriffe unpräzise verwendet, indem sie bereits den Bedarf mit "gebührend" betitelt. Aus dem Zusammenhang erhellt aber, dass sie damit nicht den "gebührenden Unterhalt" i.S.v. Art. 125
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 125 - 1 Si l'on ne peut raisonnablement attendre d'un époux qu'il pourvoie lui-même à son entretien convenable, y compris à la constitution d'une prévoyance vieillesse appropriée, son conjoint lui doit une contribution équitable.
1    Si l'on ne peut raisonnablement attendre d'un époux qu'il pourvoie lui-même à son entretien convenable, y compris à la constitution d'une prévoyance vieillesse appropriée, son conjoint lui doit une contribution équitable.
2    Pour décider si une contribution d'entretien est allouée et pour en fixer, le cas échéant, le montant et la durée, le juge retient en particulier les éléments suivants:
1  la répartition des tâches pendant le mariage;
2  la durée du mariage;
3  le niveau de vie des époux pendant le mariage;
4  l'âge et l'état de santé des époux;
5  les revenus et la fortune des époux;
6  l'ampleur et la durée de la prise en charge des enfants qui doit encore être assurée;
7  la formation professionnelle et les perspectives de gain des époux, ainsi que le coût probable de l'insertion professionnelle du bénéficiaire de l'entretien;
8  les expectatives de l'assurance-vieillesse et survivants et de la prévoyance professionnelle ou d'autres formes de prévoyance privée ou publique, y compris le résultat prévisible du partage des prestations de sortie.
3    L'allocation d'une contribution peut exceptionnellement être refusée en tout ou en partie lorsqu'elle s'avère manifestement inéquitable, en particulier parce que le créancier:
1  a gravement violé son obligation d'entretien de la famille;
2  a délibérément provoqué la situation de nécessité dans laquelle il se trouve;
3  a commis une infraction pénale grave contre le débiteur ou un de ses proches.
ZGB meint. Mit der Vorinstanz ist davon auszugehen, dass die Beschwerdegegnerin den Bedarf plus den hälftigen Überschussanteil als gebührenden Unterhalt geltend machen wollte. Die Rüge ist damit unbegründet. Dass ihr gebührender Unterhalt effektiv tiefer gewesen wäre, legt der Beschwerdeführer im Übrigen nicht dar.

3.5. Der Vollständigkeit halber ist festzuhalten, dass der Beschwerdeführer nicht vorbringt, dass er selbst seinen gebührenden Unterhalt nicht mehr decken kann oder die Unterhaltsbeiträge in der von der Vorinstanz angeordneten Höhe nicht leisten könne. Dies ist somit nicht zu prüfen.
Zusammengefasst ist die Beschwerde in Bezug auf den nachehelichen Unterhalt abzuweisen.

4.
Bei diesem Ausgang des Verfahrens rechtfertigt es sich, die Gerichtskosten zu 3/4 dem Beschwerdeführer und zu 1/4 der Beschwerdegegnerin aufzuerlegen (A rt. 66 Abs. 1 BGG). Der Beschwerdeführer hat die Beschwerdegegnerin zu entschädigen (Art. 68 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
und 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
BGG).
Die Vorinstanz hat mit der neuen Entscheidung über den Vorsorgeausgleich auch über die Gerichtskosten und Entschädigungen im Berufungsverfahren neu zu befinden.

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird in Bezug auf den Vorsorgeausgleich gutgeheissen, das Urteil des Kantonsgerichts Schwyz vom 27. März 2018diesbezüglich aufgehoben, und die Sache wird zur Neuberechnung des Vorsorgeausgleichs per 26. Mai 2014und zur Neuverlegung der Kosten und Parteientschädigungen des Berufungsverfahrens an die Vorinstanz zurückgewiesen. Im Übrigen wird die Beschwerde abgewiesen.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 8'000.-- werden im Umfang von Fr. 6'000.-- dem Beschwerdeführer und im Umfang von Fr. 2'000.-- der Beschwerdegegnerin auferlegt.

3.
Der Beschwerdeführer hat die Beschwerdegegnerin für das bundesgerichtliche Verfahren mit Fr. 2'000.-- zu entschädigen.

4.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Kantonsgericht Schwyz, 1. Zivilkammer, schriftlich mitgeteilt.

Lausanne, 29. Mai 2019

Im Namen der II. zivilrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Der Präsident: Herrmann

Die Gerichtsschreiberin: Friedli-Bruggmann
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 5A_390/2018
Date : 29 mai 2019
Publié : 05 juillet 2019
Source : Tribunal fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Droit de la famille
Objet : Ehescheidung


Répertoire des lois
CC: 2 
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 2 - 1 Chacun est tenu d'exercer ses droits et d'exécuter ses obligations selon les règles de la bonne foi.
1    Chacun est tenu d'exercer ses droits et d'exécuter ses obligations selon les règles de la bonne foi.
2    L'abus manifeste d'un droit n'est pas protégé par la loi.
122 
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 122 - Les prétentions de prévoyance professionnelle acquises durant le mariage et jusqu'à l'introduction de la procédure de divorce sont partagées entre les époux.
125
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 125 - 1 Si l'on ne peut raisonnablement attendre d'un époux qu'il pourvoie lui-même à son entretien convenable, y compris à la constitution d'une prévoyance vieillesse appropriée, son conjoint lui doit une contribution équitable.
1    Si l'on ne peut raisonnablement attendre d'un époux qu'il pourvoie lui-même à son entretien convenable, y compris à la constitution d'une prévoyance vieillesse appropriée, son conjoint lui doit une contribution équitable.
2    Pour décider si une contribution d'entretien est allouée et pour en fixer, le cas échéant, le montant et la durée, le juge retient en particulier les éléments suivants:
1  la répartition des tâches pendant le mariage;
2  la durée du mariage;
3  le niveau de vie des époux pendant le mariage;
4  l'âge et l'état de santé des époux;
5  les revenus et la fortune des époux;
6  l'ampleur et la durée de la prise en charge des enfants qui doit encore être assurée;
7  la formation professionnelle et les perspectives de gain des époux, ainsi que le coût probable de l'insertion professionnelle du bénéficiaire de l'entretien;
8  les expectatives de l'assurance-vieillesse et survivants et de la prévoyance professionnelle ou d'autres formes de prévoyance privée ou publique, y compris le résultat prévisible du partage des prestations de sortie.
3    L'allocation d'une contribution peut exceptionnellement être refusée en tout ou en partie lorsqu'elle s'avère manifestement inéquitable, en particulier parce que le créancier:
1  a gravement violé son obligation d'entretien de la famille;
2  a délibérément provoqué la situation de nécessité dans laquelle il se trouve;
3  a commis une infraction pénale grave contre le débiteur ou un de ses proches.
CC tit fin: 7d
LTF: 68 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
72 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 72 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
1    Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
2    Sont également sujettes au recours en matière civile:
a  les décisions en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions prises en application de normes de droit public dans des matières connexes au droit civil, notamment les décisions:
b1  sur la reconnaissance et l'exécution de décisions ainsi que sur l'entraide en matière civile,
b2  sur la tenue des registres foncier, d'état civil et du commerce, ainsi que des registres en matière de protection des marques, des dessins et modèles, des brevets d'invention, des obtentions végétales et des topographies,
b3  sur le changement de nom,
b4  en matière de surveillance des fondations, à l'exclusion des institutions de prévoyance et de libre passage,
b5  en matière de surveillance des exécuteurs testamentaires et autres représentants successoraux,
b6  les décisions prises dans le domaine de la protection de l'enfant et de l'adulte,
b7  ...
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 74 Valeur litigieuse minimale - 1 Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à:
1    Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à:
a  15 000 francs en matière de droit du travail et de droit du bail à loyer;
b  30 000 francs dans les autres cas.
2    Même lorsque la valeur litigieuse minimale n'est pas atteinte, le recours est recevable:
a  si la contestation soulève une question juridique de principe;
b  si une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
c  s'il porte sur une décision prise par une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
d  s'il porte sur une décision prise par le juge de la faillite ou du concordat;
e  s'il porte sur une décision du Tribunal fédéral des brevets.
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 75 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
1    Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
2    Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours, sauf si:
a  une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
b  un tribunal spécialisé dans les litiges de droit commercial statue en instance cantonale unique;
c  une action ayant une valeur litigieuse d'au moins 100 000 francs est déposée directement devant le tribunal supérieur avec l'accord de toutes les parties.
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 76 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière civile quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière civile quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et
b  est particulièrement touché par la décision attaquée et a un intérêt digne de protection à son annulation ou sa modification.
2    Ont également qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 72, al. 2, la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux et, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions.41
90 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure.
95 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
97 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
99 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
100 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
1    Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
2    Le délai de recours est de dix jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale;
c  les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93.
d  les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95.
3    Le délai de recours est de cinq jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change;
b  les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales.
4    Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national.
5    En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
6    ...96
7    Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps.
105 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
106
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
Répertoire ATF
133-II-249 • 133-III-393 • 133-IV-342 • 134-III-145 • 134-III-577 • 135-I-19 • 135-I-221 • 135-III-127 • 135-III-397 • 136-III-123 • 136-III-247 • 136-V-362 • 137-III-102 • 137-III-226 • 140-III-264 • 140-III-337 • 140-III-485 • 141-III-395 • 141-IV-249 • 143-III-140 • 143-V-19 • 144-II-184 • 144-V-97
Weitere Urteile ab 2000
5A_202/2017 • 5A_24/2016 • 5A_267/2014 • 5A_390/2018 • 5A_405/2018 • 5A_710/2017 • 5A_819/2017
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
autorité inférieure • tribunal fédéral • mois • changement d'emploi • jour déterminant • conjoint • état de fait • frais judiciaires • tribunal cantonal • mère • mariage • jugement de divorce • entrée en vigueur • première instance • violation du droit • frais de maladie • frais de logement • recours en matière civile • allocation pour enfant • abus de droit
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2015 S.212
RJB
153/2017 S.486