Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
6B 1078/2020, 6B 1099/2020
Urteil vom 26. Oktober 2022
Strafrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichterin Jacquemoud-Rossari, Präsidentin,
Bundesrichter Denys,
Bundesrichterin van de Graaf,
Bundesrichterin Koch,
Bundesrichter Hurni,
Gerichtsschreiber Stadler.
Verfahrensbeteiligte
6B 1078/2020
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Bruno Bauer,
Beschwerdeführer 1,
und
6B 1099/2020
B.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Vedat Erduran,
und Rechtsanwalt Dr. Hans Wiprächtiger,
Beschwerdeführer 2,
gegen
Oberstaatsanwaltschaft des Kantons Schwyz, Postfach 1201, 6431 Schwyz,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
6B 1078/2020
Freiheitsberaubung, Entführung, rechtliches Gehör, Willkür, Strafzumessung,
6B 1099/2020
Freiheitsberaubung, Raub, Willkür, Strafzumessung,
Beschwerden gegen die Urteile STK 2018 36 und STK 2018 34 des Kantonsgerichts Schwyz, Strafkammer, vom 30. Juni 2020.
Sachverhalt:
A.
Mit separaten Anklagen je vom 26. Oktober 2016 wird A.________ und B.________ im Wesentlichen vorgeworfen, am 1. April 2012 (zusammen mit weiteren Beteiligten) C.________ und D.________ in einem Club in U.________ unter Einsatz einer Waffe überfallen, ausgeraubt und misshandelt sowie anschliessend über Nacht festgehalten zu haben.
B.
Das Strafgericht Schwyz sprach mit separaten Urteilen je vom 12. Februar 2018 A.________ und B.________ wegen Freiheitsberaubung unter erschwerenden Umständen im Sinne von Art. 183 Ziff. 1

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 183 - 1. Quiconque, sans droit, arrête une personne, la retient prisonnière, ou, de toute autre manière, la prive de sa liberté, |
|
1 | Quiconque, sans droit, arrête une personne, la retient prisonnière, ou, de toute autre manière, la prive de sa liberté, |
2 | Encourt la même peine quiconque enlève une personne incapable de discernement ou de résistance ou âgée de moins de 16 ans. |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 184 - La séquestration et l'enlèvement sont punis d'une peine privative de liberté d'un an au moins |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 140 - 1. Quiconque commet un vol en usant de violence à l'égard d'une personne, en la menaçant d'un danger imminent pour la vie ou l'intégrité corporelle ou en la mettant hors d'état de résister est puni d'une peine privative de liberté de six mois à dix ans. |
|
1 | Quiconque commet un vol en usant de violence à l'égard d'une personne, en la menaçant d'un danger imminent pour la vie ou l'intégrité corporelle ou en la mettant hors d'état de résister est puni d'une peine privative de liberté de six mois à dix ans. |
2 | Le brigandage est puni d'une peine privative de liberté d'un an au moins si son auteur se munit d'une arme à feu ou d'une autre arme dangereuse pour commettre le brigandage. |
3 | Le brigandage est puni d'une peine privative de liberté de deux ans au moins, |
4 | L'auteur est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au moins s'il met la victime en danger de mort, lui fait subir une lésion corporelle grave ou la traite avec cruauté. |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 140 - 1. Quiconque commet un vol en usant de violence à l'égard d'une personne, en la menaçant d'un danger imminent pour la vie ou l'intégrité corporelle ou en la mettant hors d'état de résister est puni d'une peine privative de liberté de six mois à dix ans. |
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1 | Quiconque commet un vol en usant de violence à l'égard d'une personne, en la menaçant d'un danger imminent pour la vie ou l'intégrité corporelle ou en la mettant hors d'état de résister est puni d'une peine privative de liberté de six mois à dix ans. |
2 | Le brigandage est puni d'une peine privative de liberté d'un an au moins si son auteur se munit d'une arme à feu ou d'une autre arme dangereuse pour commettre le brigandage. |
3 | Le brigandage est puni d'une peine privative de liberté de deux ans au moins, |
4 | L'auteur est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au moins s'il met la victime en danger de mort, lui fait subir une lésion corporelle grave ou la traite avec cruauté. |
C.
Mit Urteil vom 30. Juni 2020 hiess das Kantonsgericht Schwyz die Berufung von A.________ teilweise gut. Es erklärte ihn wegen Freiheitsberaubung und Entführung im Sinne von Art. 183 Ziff. 1

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 183 - 1. Quiconque, sans droit, arrête une personne, la retient prisonnière, ou, de toute autre manière, la prive de sa liberté, |
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1 | Quiconque, sans droit, arrête une personne, la retient prisonnière, ou, de toute autre manière, la prive de sa liberté, |
2 | Encourt la même peine quiconque enlève une personne incapable de discernement ou de résistance ou âgée de moins de 16 ans. |
D.
D.a. A.________ und B.________ gelangen je mit Beschwerde in Strafsachen ans Bundesgericht. A.________ beantragt, das ihn betreffende Urteil des Kantonsgerichts sei aufzuheben und er vollumfänglich freizusprechen; zudem sei ihm für jeden ausgestandenen Tag der Untersuchungshaft Fr. 200.-- als Genugtuung zuzusprechen. Eventualiter sei die von der Vorinstanz ausgefällte Strafe zu reduzieren. Subeventualiter sei die Sache zur Neubeurteilung an die Vorinstanz zurückzuweisen. B.________ beantragt, das ihn betreffende Urteil des Kantonsgerichts sei aufzuheben und die Sache zur Neubeurteilung an die Vorinstanz zurückzuweisen; er sei vom Vorwurf der Freiheitsberaubung und Entführung unter erschwerenden Umständen sowie des Raubes freizusprechen. Eventualiter sei die Sache zur Neubeurteilung bezüglich Mittäterschaft und Strafzumessung an die Vorinstanz zurückzuweisen.
D.b. Das Kantonsgericht liess sich in beiden Verfahren vernehmen, jeweils ohne einen Antrag zu stellen. Dazu reichten A.________ und B.________ je Replik ein. Die Staatsanwaltschaft liess sich nicht vernehmen.
Erwägungen:
1.
Das Bundesgericht vereinigt mehrere Verfahren, wenn sie in einem engen sachlichen Zusammenhang stehen, namentlich wenn sie den gleich gelagerten Sachverhalt, dieselben Parteien sowie ähnliche oder gleiche Rechtsfragen betreffen (vgl. Art. 71

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 71 - Lorsque la présente loi ne contient pas de dispositions de procédure, les dispositions de la PCF32 sont applicables par analogie. |

SR 273 Loi fédérale du 4 décembre 1947 de procédure civile fédérale PCF Art. 24 - 1 Le demandeur qui entend exercer plusieurs actions contre le même défendeur peut les joindre dans une seule demande si le Tribunal fédéral est compétent pour connaître de chacune d'elles. Cette condition n'est pas exigée pour des prétentions accessoires. |
|
1 | Le demandeur qui entend exercer plusieurs actions contre le même défendeur peut les joindre dans une seule demande si le Tribunal fédéral est compétent pour connaître de chacune d'elles. Cette condition n'est pas exigée pour des prétentions accessoires. |
2 | Plusieurs personnes peuvent agir comme demandeurs ou être actionnées comme défendeurs par la même demande: |
a | s'il existe entre elles, en raison de l'objet litigieux, une communauté de droit ou si leurs droits ou leurs obligations dérivent de la même cause matérielle et juridique. Le juge peut appeler en cause un tiers qui fait partie de la communauté de droit. L'appelé en cause devient partie au procès; |
b | si des prétentions de même nature et reposant sur une cause matérielle et juridique essentiellement de même nature forment l'objet du litige et que la compétence du Tribunal fédéral soit donnée à l'égard de chacune d'elles. |
3 | Le juge peut en tout état de cause ordonner la disjonction, s'il l'estime opportun. |
2.
2.1. Der Beschwerdeführer 1 rügt eine Verletzung des rechtlichen Gehörs und der Vorschriften über die Beweisverwertung.
Er macht geltend, obwohl er im vorinstanzlichen Verfahren ausgeführt habe, dass Einvernahmen ohne Gewährung der Parteirechte, ohne erforderliche Ermächtigung der Polizei sowie unter falscher Belehrung durchgeführt worden seien, habe die Vorinstanz in ihrem Urteil hierzu bloss festgehalten, dass sämtliche Aussagen der Opfer verwertbar seien. Soweit die Vorinstanz seinen Rügen überhaupt Beachtung geschenkt habe, sei für ihn in keiner Weise nachvollziehbar, weshalb die Einvernahme des Opfers C.________ vom 10. Juli 2013, welche unter Verletzung seines Teilnahmerechts erfolgt sei, dem Urteil zugrunde gelegt worden sei. Gestützt auf Art. 147 Abs. 4

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
Ergebnisse der vorausgegangenen Einvernahme abgestellt. Erschwerend komme hinzu, dass die eigentlich relevante Fotowahlkonfrontation nicht wiederholt worden sei. Entsprechend sei (auch) die Einvernahme vom 5. August 2013 nicht verwertbar. Würden beide Einvernahmen als Beweismittel wegfallen, liesse sich dem Beschwerdeführer 1 gestützt auf die vorhandenen Beweise kein tatbestandsmässiges Verhalten anlasten (Beschwerde 6B 1078/2020 S. 3 ff.).
2.2. Die Vorinstanz erwog, soweit der Beschwerdeführer 1 (im Berufungsverfahren) in formeller Hinsicht bezüglich der Verwertbarkeitsproblematik und dem Anklageprinzip auf die Berufungsbegründung des Verteidigers des Beschwerdeführers 2 verweise, wäre darauf mangels Begründung nicht weiter einzugehen. Immerhin habe der Beschwerdeführer 1 an der der Polizei delegierten Einvernahme von C.________ vom 5. August 2013 teilnehmen können. Auf die Teilnahme an der ebenfalls an die Polizei delegierten Einvernahme des anderen Opfers, D.________, vom 22. Oktober 2013 hätten sowohl der Beschwerdeführer 1 als auch dessen Verteidiger verzichtet. Da sich beide Opfer anlässlich dieser Einvernahmen insoweit selbständig inhaltlich zur Sache geäussert hätten, seien alle ihre Aussagen verwertbar, zumal bei widersprüchlichen Aussagen oder späteren Erinnerungslücken nicht die Verwertbarkeit, sondern die Würdigung der Beweise betroffen sei. Des Weiteren habe die Erstinstanz zutreffend dargelegt, warum trotz der weitgehenden Delegation an die Polizei die Beweiserhebungen verwertbar seien, worauf umso mehr verwiesen werden könne, da sich der Verteidiger des Beschwerdeführers 1 im Berufungsverfahren mit dieser Begründung nicht auseinandersetze
(angefochtenes Urteil STK 2018 36, S. 7 f.).
2.3.
2.3.1. Der Anspruch auf rechtliches Gehör gemäss Art. 29 Abs. 2

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2.3.2. Die Rüge des Beschwerdeführers 1, die Vorinstanz habe seinen Gehörsanspruch verletzt, ist unbegründet, soweit sie überhaupt zulässig ist. Entgegen dem Beschwerdeführer 1 legt die Vorinstanz, wenn auch knapp, dar, weshalb sie sämtliche Aussagen der Opfer, damit auch jene von C.________ in der Einvernahme vom 10. Juli 2013, als verwertbar erachtet (vgl. Urteil STK 2018 36, S. 8). Im Übrigen begründet der Beschwerdeführer 1 nicht, inwiefern sich die Vorinstanz nicht rechtsgenügend mit seinen Vorbringen auseinandergesetzt haben soll. Wenn er hierfür pauschal auf seine Ausführungen in S. 22 ff. des Protokolls der vorinstanzlichen Hauptverhandlung hinweist, genügt dies den Begründungsanforderungen vor Bundesgericht nicht (vgl. Art. 42 Abs. 2

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
2.4.
2.4.1. Gemäss Art. 147 Abs. 1

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 107 Droit d'être entendu - 1 Une partie a le droit d'être entendue; à ce titre, elle peut notamment: |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 101 Consultation des dossiers dans le cadre d'une procédure pendante - 1 Les parties peuvent consulter le dossier d'une procédure pénale pendante, au plus tard après la première audition du prévenu et l'administration des preuves principales par le ministère public; l'art. 108 est réservé. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 108 Restriction du droit d'être entendu - 1 Les autorités pénales peuvent restreindre le droit d'une partie à être entendue: |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 146 Audition de plusieurs personnes et confrontations - 1 Les comparants sont entendus séparément. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 149 En général - 1 S'il y a lieu de craindre qu'un témoin, une personne appelée à donner des renseignements, un prévenu, un expert, un traducteur ou un interprète, ou encore une personne ayant avec lui une relation au sens de l'art. 168, al. 1 à 3 puissent, en raison de leur participation à la procédure, être exposés à un danger sérieux menaçant leur vie ou leur intégrité corporelle ou à un autre inconvénient grave, la direction de la procédure prend, sur demande ou d'office, les mesures de protection appropriées. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
2.4.2. Vor Eröffnung einer Untersuchung durch die Staatsanwaltschaft besteht der Anspruch auf Parteiöffentlichkeit nicht. Bei Beweiserhebungen durch die Polizei, etwa bei polizeilichen Einvernahmen von Auskunftspersonen gestützt auf Art. 306 Abs. 2 lit. b

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 306 Tâches de la police - 1 Lors de ses investigations, la police établit les faits constitutifs de l'infraction; ce faisant, elle se fonde sur les dénonciations, les directives du ministère public ou ses propres constatations. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
Soweit die Polizei nach Eröffnung der Untersuchung Einvernahmen im Auftrag der Staatsanwaltschaft durchführt, stehen den Verfahrensbeteiligten die Verfahrensrechte zu, die ihnen bei Einvernahmen durch die Staatsanwaltschaft zukommen (Art. 312 Abs. 2

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 312 Mandats du ministère public à la police - 1 Même après l'ouverture de l'instruction, le ministère public peut charger la police d'investigations complémentaires. Il lui donne à cet effet des directives écrites, verbales en cas d'urgence, qui sont limitées à des actes d'enquête précisément définis. |
2.4.3. Die Durchführung einer Einvernahme ohne Teilnahme des Beschuldigten steht einer Wiederholung der Beweiserhebung im Grundsatz zwar nicht entgegen. Wird aber die Einvernahme wiederholt resp. zu einem späteren Zeitpunkt eine Konfrontationseinvernahme durchgeführt, darf die Strafbehörde nicht auf die Ergebnisse der vorausgegangenen Einvernahmen zurückgreifen, soweit diese einem Beweisverwertungsverbot unterliegen (BGE 143 IV 457 E. 1.6.2 f.; Urteile 6B 415/2021 vom 11. Oktober 2021 E. 2.3.4; 6B 14/2021 vom 28. Juli 2021 E. 1.3.3; 6B 1080/2020 vom 10. Juni 2021 E. 5.5). Damit eine hinreichende Konfrontation stattfindet, muss sich der Befragte an der Konfrontationseinvernahme inhaltlich nochmals zur Sache äussern, sodass die beschuldigte Person ihr Fragerecht tatsächlich ausüben kann (BGE 140 IV 172 E. 1.5; Urteile 6B 415/2021 vom 11. Oktober 2021 E. 2.3.5; 6B 14/2021 vom 28. Juli 2021 E. 1.3.4; 6B 1003/2020 vom 21. April 2021 E. 2.2; je mit Hinweisen). Dabei ist keineswegs erforderlich, dass die befragte Person ihre Angaben wortwörtlich wiederholt. Macht sie Angaben zur Sache, so darf im Rahmen einer Gesamtwürdigung auch auf die Ergebnisse der früheren Beweiserhebung ergänzend zurückgegriffen werden. Denn die Frage, ob bei
widersprüchlichen Aussagen oder späteren Erinnerungslücken auf die ersten, in Abwesenheit des Beschuldigten erfolgten Aussagen abgestellt werden kann, betrifft nicht die Verwertbarkeit, sondern die Würdigung der Beweise (Urteile 6B 415/2021 vom 11. Oktober 2021 E. 2.3.5; 6B 14/2021 vom 28. Juli 2021 E. 1.3.4; 6B 1003/2020 vom 21. April 2021 E. 2.2; je mit Hinweisen). Hingegen bleiben die in einer ersten Einvernahme in Verletzung von Art. 147 Abs. 1

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
2021 vom 11. Oktober 2021 E. 2.3.5; 6B 14/2021 vom 28. Juli 2021 E. 1.3.4; 6B 1080/2020 vom 10. Juni 2021 E. 6.1; je mit Hinweisen).
2.4.4. Mangels Kenntnis konnten weder der Beschwerdeführer 1 noch sein (damaliger) Verteidiger an der delegierten Einvernahme von C.________ inklusive der Fotowahlkonfrontation vom 10. Juli 2013 teilnehmen. Der Beschwerdeführer 1 bringt zu Recht vor, dass sein Teilnahmerecht im Sinne von Art. 147 Abs. 1

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
Vorgeschichte und zum eigentlichen Vorfall vom 1./2. April 2012. Dass er nicht sämtliche Details seiner früheren Aussagen wiederholte, ist unerheblich; entscheidend ist vielmehr, dass er seine Vorwürfe in der parteiöffentlichen Befragung in den wesentlichen Zügen bestätigte. Im Anschluss erhielten die Anwesenden Gelegenheit, Ergänzungsfragen zu stellen, wovon insbesondere der (damalige) Verteidiger des Beschwerdeführers 1 Gebrauch machte. Damit handelt es sich bei dieser Einvernahme entgegen dem Beschwerdeführer 1 nicht um eine rein formelle Bestätigung der bisherigen Aussagen von C.________. Am Ganzen ändert nichts, dass der einvernehmende Polizist ihm (C.________) zu Beginn der Einvernahme vom 5. August 2013 vorhielt, er habe in V.________ bei einem Kebabstand erstmals Kontakt "mit A.________, alias A.A.________", gehabt (F 16, S. 4), nachdem C.________ anlässlich der vorangehenden Einvernahme bzw. Fotowahlkonfrontation vom 10. Juli 2013 - d.h. weniger als einen Monat zuvor - den Beschwerdeführer 1 als "A.A.________" identifiziert hatte (vgl. kantonale Untersuchungsakten STK 2018 36 pag. 10.3.08 S. 4 ff. und pag. 10.03.09 S. 1 ff.). Dasselbe gilt hinsichtlich des Umstands, dass er wenig später in derselben Einvernahme auf
Vorhalt (u.a.) der genannten Fotowahlkonfrontation die Frage, ob er zur Kenntnis nehme, dass er (neben dem Beschwerdeführer 2) den Beschwerdeführer 1 als Täter identifiziert habe, zunächst bloss bejahte (vgl. F/A 47 S. 8). Zum einen sagte er auf die nächste Frage hin von sich aus, er sage "das gleiche wie das letzte Mal. Die einzige Person die ich 100 % wieder erkenne ist A.A.________" (F/A 48 S. 8 f.). Zum anderen war es der (damalige) Verteidiger des Beschwerdeführers 1 selbst, welcher, auf den anwesenden Beschwerdeführer 1 zeigend, den C.________ sodann fragte, ob er wisse, "wer dieser Herr ist", und woran er diesen erkenne, worauf C.________ erneut aussagte, "ich habe gesagt, dass ich mir 100 % sicher bin, dass das A.________ ist", und dieser die gleiche Person sei, die er drei Mal getroffen habe, er mit ihm im Auto gefahren sei und er ihn "zu 100 % wieder erkannt" habe (F/A 77 f. S. 9). Damit kann entgegen dem Beschwerdeführer 1 nicht gesagt werden, C.________ habe ihn (als "A.A.________") nur anhand der Fotowahlkonfrontation vom 10. Juli 2013 identifizieren können. Inwiefern die fragliche Einvernahme von C.________ vom 5. August 2013 im Übrigen nicht verwertbar sein sollte, macht der Beschwerdeführer 1 nicht geltend. Unter
dem Aspekt des Teilnahme- und Konfrontationsrechts spricht somit grundsätzlich nichts dagegen, auch auf die Einvernahme sowie die Fotowahlkonfrontation vom 10. Juli 2013 abzustellen. Im Ergebnis wurde es dem Beschwerdeführer 1 nicht verunmöglicht, seine Verteidigungsrechte wirksam wahrzunehmen, weshalb das vorinstanzliche Urteil in diesem Punkt kein Bundesrecht verletzt.
2.4.5. Damit bleibt es beim vorinstanzlichen Schuldspruch des Beschwerdeführers 1 wegen Freiheitsberaubung und Entführung im Sinne von Art. 183 Ziff. 1

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 183 - 1. Quiconque, sans droit, arrête une personne, la retient prisonnière, ou, de toute autre manière, la prive de sa liberté, |
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1 | Quiconque, sans droit, arrête une personne, la retient prisonnière, ou, de toute autre manière, la prive de sa liberté, |
2 | Encourt la même peine quiconque enlève une personne incapable de discernement ou de résistance ou âgée de moins de 16 ans. |
3.
3.1. Der Beschwerdeführer 2 macht zunächst eine Verletzung des Anklageprinzips geltend. Bei der von der Staatsanwaltschaft eingereichten Anklageschrift handle es sich um eine unzulässige Alternativanklage. Die Anklage konkretisiere in der Anklageschrift keine Umstände, welche es erlauben würden, auf ein weiteres mittäterschaftliches Zusammenwirken seinerseits mit den anderen Tätern zu schliessen (Beschwerde 6B 1099/2020 S. 12).
3.2. Die Vorinstanz hielt im Wesentlichen fest, die Anklage beschreibe die tatsächliche Mitwirkung aller im Club befindlichen Männer bei der Tatausführung, die auf ein die Gefangenhaltung, die Beraubung und die aktenkundigen Verletzungen der Opfer billigendes Zusammenwirken hinsichtlich der konkret angeklagten Handlungen Einzelner schliessen lasse. Damit enthalte die Anklageschrift die erforderlichen Elemente für die dem Beschwerdeführer 2 vorgeworfene Mittäterschaft (angefochtenes Urteil STK 2018 34, S. 18 f.). Mit dieser Erwägung setzt sich der Beschwerdeführer 2 nicht auseinander. Seine Behauptung, allein der Nachweis seiner Anwesenheit im Clubraum genüge in beweisrechtlicher Hinsicht nicht zur Annahme der mittäterschaftlichen Tatbegehung, ist für die Beanstandung einer Verletzung des Anklageprinzips unbeheflich. Die Rüge ist unbegründet, soweit darauf überhaupt eingetreten werden kann.
4.
4.1. Die Vorinstanz erachtet die Täterschaft des Beschwerdeführers 2 an erster Stelle deshalb als erwiesen, da einerseits er von C.________ als einer der Täter, die ihn (und D.________) am Liftausgang bewaffnet abgepasst hätten, erkannt worden sei und andererseits seine DNA an einem Zigarettenstummel im Club in einem neben der Brille von C.________ herumstehenden Aschenbecher gefunden worden sei (Urteil STK 2018 34, S. 21 ff.).
4.2. Soweit diesen Sachverhalt betreffend rügt auch der Beschwerdeführer 2 eine Gehörsverletzung sowie die Verletzung von Beweisverwertungsvorschriften.
Er bringt vor, entgegen der Vorinstanz sei seinem Anspruch auf rechtliches Gehör bzw. seinem Teilnahme- und Fragerecht durch die Wiederholung der Einvernahme von C.________ vom 5. August 2013 nicht Rechnung getragen worden. So sei die Antwort von C.________ in dieser Einvernahme zur Frage des Polizisten, er habe anlässlich von Fotowahlkonfrontationen (vom 11. April 2012 sowie 10. Juli 2013) zwei Personen eindeutig als Täter identifiziert, dies seien A.________ und B.________, ob er dies zur Kenntnis nehme, nicht verwertbar. Weiter habe sich die Vorinstanz nicht mit den Widersprüchen im Aussageverhalten von C.________ auseinandergesetzt, zumal dieser in der nächsten Frage derselben Einvernahme unmissverständlich gesagt habe, er sage das gleiche wie das letzte Mal, die einzige Person, die er 100 % wiedererkenne, sei "A.A.________". Die fragliche, ihn betreffende Fotowahlkonfrontation vom 11. April 2012 sei ohnehin mangelbehaftet bzw. unverwertbar: Es fehle der Nachweis, dass C.________ die allgemeinen Informationen zur Fotowahlkonfrontation zur Kenntnis genommen habe. Zudem sei völlig unklar, an welchem Datum er das Kreuzchen und seine Unterschrift an den jeweiligen Stellen angebracht habe. Weiter sei nicht nachvollziehbar, weshalb
nach Vorlage von Foto-Nr. 6 die Fotowahlkonfrontation abgebrochen worden sei. Dies alles würde den Beweiswert der Fotowahlkonfrontation drastisch herabsetzen, weshalb die Vorinstanz bundesrechtswidrig bezüglich des Personalbeweises auf dieses Beweismittel abgestellt habe. Eine Wiederholung der Fotowahlkonfrontation sei auch nicht mehr zweckmässig gewesen, weil der Mangel nicht mehr korrigierbar gewesen sei. Entgegen der Vorinstanz handle es sich bei der fraglichen Fotowahlkonfrontation sodann um eine (von der Staatsanwaltschaft delegierte) Beweiserhebung im Sinne von Art. 147 Abs. 1

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 130 Défense obligatoire - Le prévenu doit avoir un défenseur dans les cas suivants: |
Verteidigung sichergestellt, so hätte diese dafür sorgen können, dass sie an der Beweiserhebung vom 11. April 2012 hätte teilnehmen können. Schliesslich begründe die Vorinstanz nicht, inwieweit sie sich für die Verwertbarkeit der Fotowahlkonfrontation im Falle der Verletzung einer Gültigkeitsvorschrift auf Art. 141 Abs. 2

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 141 Exploitation des moyens de preuves obtenus illégalement - 1 Les preuves administrées en violation de l'art. 140 ne sont en aucun cas exploitables. Il en va de même lorsque le présent code dispose qu'une preuve n'est pas exploitable. |
4.3.
4.3.1. Die Vorinstanz erwog im Wesentlichen, die während der Einvernahme vom 11. April 2012 durchgeführte Fotowahlkonfrontation diene der Personenidentifizierung und sei soweit ein sachliches (augenscheinliches) Beweismittel im Sinne von Art. 192 ff

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 192 Pièces à conviction - 1 Les autorités pénales versent au dossier les pièces à conviction originales dans leur intégralité. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 312 Mandats du ministère public à la police - 1 Même après l'ouverture de l'instruction, le ministère public peut charger la police d'investigations complémentaires. Il lui donne à cet effet des directives écrites, verbales en cas d'urgence, qui sont limitées à des actes d'enquête précisément définis. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 193 Inspection - 1 Le ministère public, le tribunal et, dans les cas simples, la police inspectent sur place les objets, les lieux et les processus qui revêtent de l'importance pour l'appréciation d'un état de fait mais ne peuvent être utilisés directement comme pièces à conviction. |
hinreichend in die Lage versetzt, diese Beweiserhebung in inhaltlicher und formeller Hinsicht zu prüfen sowie allenfalls deren Verwertbarkeit infrage zu stellen. Daher könne, selbst wenn im Sinne von Art. 147 Abs. 3

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 141 Exploitation des moyens de preuves obtenus illégalement - 1 Les preuves administrées en violation de l'art. 140 ne sont en aucun cas exploitables. Il en va de même lorsque le présent code dispose qu'une preuve n'est pas exploitable. |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 183 - 1. Quiconque, sans droit, arrête une personne, la retient prisonnière, ou, de toute autre manière, la prive de sa liberté, |
|
1 | Quiconque, sans droit, arrête une personne, la retient prisonnière, ou, de toute autre manière, la prive de sa liberté, |
2 | Encourt la même peine quiconque enlève une personne incapable de discernement ou de résistance ou âgée de moins de 16 ans. |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 184 - La séquestration et l'enlèvement sont punis d'une peine privative de liberté d'un an au moins |
StGB eröffnet. Im Übrigen habe der Beschwerdeführer 2 nicht aufgezeigt, dass er bzw. sein Verteidiger rechtzeitig die Wiederholung von Beweiserhebungen verlangt habe, nachdem der Verteidiger ab November 2012 mandatiert worden sei. Deshalb sei insofern sein Anspruch auf Wiederholung von Beweiserhebungen nicht nur im Sinne von Art. 147 Abs. 3

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 131 Mise en oeuvre de la défense obligatoire - 1 En cas de défense obligatoire, la direction de la procédure pourvoit à ce que le prévenu soit assisté aussitôt d'un défenseur. |
4.3.2.
4.3.2.1. Ebenso mangels Kenntnis konnte der - damals noch unverteidigte - Beschwerdeführer 2 an der delegierten Einvernahme von C.________ inklusive der Fotowahlkonfrontation vom 11. April 2012 nicht teilnehmen. Nicht anders wie beim Beschwerdeführer 1 (vgl. E. 2.4.4), wurde damit das Teilnahmerecht des Beschwerdeführers 2 an diesen Beweiserhebungen verletzt. Was die Vorinstanz hierzu, insbesondere die Fotowahlkonfrontation betreffend, ausführt, überzeugt nicht.
Gemäss Abs. 2 von Art. 146

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 146 Audition de plusieurs personnes et confrontations - 1 Les comparants sont entendus séparément. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 146 Audition de plusieurs personnes et confrontations - 1 Les comparants sont entendus séparément. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 146 Audition de plusieurs personnes et confrontations - 1 Les comparants sont entendus séparément. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 146 Audition de plusieurs personnes et confrontations - 1 Les comparants sont entendus séparément. |
Teilnahmerecht der Privatklägerschaft nach Art. 147

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
METTLER, a.a.O., N. 3 zu Art. 147

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
Aus den vorinstanzlichen Erwägungen ergibt sich ferner nicht, dass die Strafverfolgungsbehörden für die fragliche Einvernahme einschliesslich der Fotowahlkonfrontation vom 11. April 2012 das Teilnahmerecht des Beschwerdeführers 2 im Sinne der gesetzlichen Ausnahmen (vorläufig) einschränken wollten. Dass die Polizei das Ergebnis der Fotowahlkonfrontation "aus ermittlungstaktischen Gründen" zunächst zurückhalten und den Beschwerdeführer 2 damit erst in Anwesenheit dessen Verteidigers am 6. November 2012 konfrontieren wollte, genügt insoweit nicht. Die Vorinstanz geht fehl in der Annahme, die Dokumentation der Fotowahlkonfrontation sowie die zusätzliche Aufnahme der Identifizierung in das Einvernahmeprotokoll habe den Beschwerdeführer 2 hinreichend in die Lage versetzt, die Fotowahlkonfrontation als Beweiserhebung in inhaltlicher und formeller Hinsicht zu prüfen sowie allenfalls deren Verwertbarkeit infrage zu stellen. Hierfür hätte dem Beschwerdeführer 2 die Gelegenheit eingeräumt werden müssen, den Beweiswert der ohne seine Mitwirkung erfolgten Fotowahlkonfrontation auf die Probe zu stellen. Solches ist hier nicht geschehen: Zwar wurde C.________ (auch) im Beisein des Verteidigers des Beschwerdeführers 2 am 5. August 2013 erneut
zur Sache befragt, wobei der Verteidiger ihm Fragen stellen konnte (vgl. kantonale Untersuchungsakten STK 2018 34 pag. 10.3.11 S. 1 ff.). Was indes die Fotowahlkonfrontation vom 11. April 2012 betrifft, äusserte sich C.________ in derselben Einvernahme auf Vorhalt (u.a.) dieser Fotowahlkonfrontation und die Frage, ob er zur Kenntnis nehme, dass er (neben dem Beschwerdeführer 1) den Beschwerdeführer 2 als Täter identifiziert habe, bloss mit "Ja" (vgl. F/A 47 S. 8). In der Folge wiederholte er weder die im Rahmen der eben genannten Fotowahlkonfrontation gemachten Aussagen, noch bestätigte er diese. Im Gegenteil sagte er nunmehr aus, er sage "das gleiche wie das letzte Mal". Die einzige Person, die er "100 % wieder erkenne ist A.A.________" (womit der Beschwerdeführer 1 gemeint war; vgl. F/A 48 ff. S. 8 ff.; zum Ganzen bereits E. 2.4.4). Damit äusserte sich C.________ in dieser Einvernahme nicht frei bzw. gar nicht erst zur fraglichen Fotowahlkonfrontation bzw. deren Ergebnis den Beschwerdeführer 2 betreffend. Vor diesem Hintergrund kann dem Verteidiger des Beschwerdeführers 2 nicht zum Vorwurf gemacht werden, er hätte C.________ in derselben Einvernahme auch Fragen zur durchgeführten Fotowahlkonfrontation stellen und so allenfalls
zu deren Verwertbarkeit beitragen müssen. Indem C.________ auch im weiteren Verlauf der Untersuchung und später im gerichtlichen Hauptverfahren nicht mehr zu (dem Ergebnis) der Fotowahlkonfrontation befragt oder mit ihm keine neue (Fotowahl-) Konfrontation durchgeführt wurde, konnte der Beschwerdeführer 2 zumindest insofern seine Verteidigungsrechte nicht wirksam ausüben.
4.3.2.2. Soweit der Beschwerdeführer 2 geltend macht, er sei zum Zeitpunkt der Einvernahme von C.________ vom 11. April 2012 nicht verteidigt gewesen, obwohl er in diesem Verfahrensstadium gemäss Art. 130 lit. b

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 130 Défense obligatoire - Le prévenu doit avoir un défenseur dans les cas suivants: |
Werden in Fällen, in denen die Verteidigung erkennbar notwendig gewesen wäre, Beweise erhoben, bevor ein Verteidiger bestellt worden ist, so ist die Beweiserhebung nur gültig, wenn die beschuldigte Person auf ihre Wiederholung verzichtet (Art. 131 Abs. 3

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 131 Mise en oeuvre de la défense obligatoire - 1 En cas de défense obligatoire, la direction de la procédure pourvoit à ce que le prévenu soit assisté aussitôt d'un défenseur. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 141 Exploitation des moyens de preuves obtenus illégalement - 1 Les preuves administrées en violation de l'art. 140 ne sont en aucun cas exploitables. Il en va de même lorsque le présent code dispose qu'une preuve n'est pas exploitable. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 141 Exploitation des moyens de preuves obtenus illégalement - 1 Les preuves administrées en violation de l'art. 140 ne sont en aucun cas exploitables. Il en va de même lorsque le présent code dispose qu'une preuve n'est pas exploitable. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 131 Mise en oeuvre de la défense obligatoire - 1 En cas de défense obligatoire, la direction de la procédure pourvoit à ce que le prévenu soit assisté aussitôt d'un défenseur. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 141 Exploitation des moyens de preuves obtenus illégalement - 1 Les preuves administrées en violation de l'art. 140 ne sont en aucun cas exploitables. Il en va de même lorsque le présent code dispose qu'une preuve n'est pas exploitable. |
unter Wahrung der Teilnahmerechte des Beschuldigten wiederholte Einvernahme - d.h. selbst im Falle einer Unverwertbarkeit der Ersteinvernahme gestützt auf Art. 147 Abs. 4

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 141 Exploitation des moyens de preuves obtenus illégalement - 1 Les preuves administrées en violation de l'art. 140 ne sont en aucun cas exploitables. Il en va de même lorsque le présent code dispose qu'une preuve n'est pas exploitable. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 131 Mise en oeuvre de la défense obligatoire - 1 En cas de défense obligatoire, la direction de la procédure pourvoit à ce que le prévenu soit assisté aussitôt d'un défenseur. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 141 Exploitation des moyens de preuves obtenus illégalement - 1 Les preuves administrées en violation de l'art. 140 ne sont en aucun cas exploitables. Il en va de même lorsque le présent code dispose qu'une preuve n'est pas exploitable. |
Parteirechte der beschuldigten Person, a.a.O., S. 208 f. Fn. 90; STEFAN CHRISTEN, Anwesenheitsrecht im schweizerischen Strafprozessrecht mit einem Exkurs zur Vorladung, 2010, S. 179 und 257; LINDA BLÄSI, Bemerkungen zum Urteil STBER.2018.15 des Obergerichts des Kantons Solothurn vom 13. September 2018, forumpoenale 2021, S. 97). Ist die beschuldigte Person in einem Fall notwendiger Verteidigung bei einer bereits durchgeführten Konfrontationseinvernahme noch nicht verteidigt gewesen, hat sie jedenfalls - zwecks ausreichender und wirksamer Ausübung ihrer Verteidigungsrechte - einen Anspruch auf eine nochmalige Konfrontation (vgl. im Übrigen die Regelung von Art. 147 Abs. 3

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
hierzu Fragen stellen können müssen.
4.3.2.3. Was die Fotowahlkonfrontation vom 11. April 2012 betrifft, wurde dem Teilnahme- und Konfrontationsrecht des Beschwerdeführers 2 nicht genügend Rechnung getragen (vgl. E. 4.3.2.1), weshalb diese Beweiserhebung samt der dazugehörigen Aussagen von C.________ in der Einvernahme vom 11. April 2012 sowie dessen sich darauf beziehenden Aussagen in der Einvernahme vom 5. August 2013 zu Lasten des Beschwerdeführers 2 nicht verwertbar sind. In diesem Umfang erweist sich die Beschwerde als begründet.
Inwiefern die fragliche Einvernahme von C.________ vom 5. August 2013 über die genannte Fotowahlkonfrontation hinaus unter dem Gesichtspunkt der Teilnahmerechte des Beschwerdeführers 2 nicht verwertbar sein sollte und insoweit nicht auch auf die frühere Einvernahme von C.________ vom 11. April 2012 ergänzend zurückgegriffen werden kann, ist nicht ersichtlich. Wie bereits zum Beschwerdeführer 1 beschrieben (vgl. E. 2.4.4), hat sich C.________ in der Einvernahme vom 5. August 2013, an der der Verteidiger des (auf die Teilnahme verzichtenden) Beschwerdeführers 2 teilnehmen und im Anschluss Ergänzungsfragen stellen konnte, ausführlich und frei zur Sache bzw. den Vorwürfen geäussert, womit er seine bisherigen Aussagen vom 11. April 2012 nicht bloss rein formell bestätigte. Mit Ausnahme der Fotowahlkonfrontation wurde es dem Beschwerdeführer 2 damit nicht verunmöglicht, seine Verteidigungsrechte wirksam wahrzunehmen. Daran ändert nach dem Gesagten nichts, selbst wenn der Beschwerdeführer 2 zum Zeitpunkt der Einvernahme von C.________ vom 11. April 2012 hätte notwendig verteidigt sein müssen.
4.4. Im Weiteren macht der Beschwerdeführer 2 eine Verletzung von Art. 255

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 255 Conditions en général - 1 Pour élucider le crime ou le délit sur lequel porte la procédure, le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent être ordonnés sur:131 |
Er beanstandet, seine im Rahmen eines früheren Verfahrens abgenommene DNA-Probe hätte in der DNA-Datenbank gelöscht bzw. vernichtet werden müssen, nachdem er im dortigen Verfahren freigesprochen worden sei. Da diese Nichtlöschung gesetzeswidrig gewesen sei, hätte die Vorinstanz den Abgleich des aus dem am Tatort gefundenen Zigarettenstummel sichergestellten DNA-Profils mit seiner DNA-Probe von Amtes wegen nicht verwerten dürfen. Im Übrigen sei der Auftrag für die Erstellung des DNA-Profils im hiesigen Verfahren unrechtmässig durch die Polizei, anstatt die Staatsanwaltschaft erfolgt. Rechtsfolge davon sei die Nichtigkeit des DNA-Profils und somit auch des DNA-Beweises. Dass er vor bzw. bei seiner erkennungsdienstlichen Behandlung von der Kantonspolizei einen Befehl mit einer Einsprachebelehrung erhalten habe und hernach auf die Erhebung einer Einsprache verzichtet habe, sei angesichts der Nichtigkeit des DNA-Beweises irrelevant (Beschwerde 6B 1099/2020 S. 11 f.).
4.5. Der DNA-Beweis, welcher zur Verurteilung des Beschwerdeführers 2 beitrug, geht nach den verbindlichen Feststellungen der Vorinstanz auf eine Übereinstimmung zwischen dem auf einer Tatortspur sichergestellten DNA-Profil und einem bereits im Informationssystem enthaltenen DNA-Profil des Beschwerdeführers 2 zurück. Für die Frage der Verwertung dieses Beweises ist demnach unerheblich, dass die Kantonspolizei Schwyz den Beschwerdeführer 2 (zusätzlich) erkennungsdienstlich erfasst hatte und die Erstellung eines (neuen) DNA-Profils in Auftrag gegeben haben soll (vgl. zum Ganzen: Urteil STK 2018 34, S. 16 f.). Sichert die Polizei tatrelevantes biologisches Material, kann sie davon auch die Erstellung eines DNA-Profils selbständig - d.h. ohne Auftrag der Staatsanwaltschaft - anordnen (Art. 255 Abs. 2 lit. b

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 255 Conditions en général - 1 Pour élucider le crime ou le délit sur lequel porte la procédure, le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent être ordonnés sur:131 |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 255 Conditions en général - 1 Pour élucider le crime ou le délit sur lequel porte la procédure, le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent être ordonnés sur:131 |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 255 Conditions en général - 1 Pour élucider le crime ou le délit sur lequel porte la procédure, le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent être ordonnés sur:131 |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 306 Tâches de la police - 1 Lors de ses investigations, la police établit les faits constitutifs de l'infraction; ce faisant, elle se fonde sur les dénonciations, les directives du ministère public ou ses propres constatations. |
nicht nur sicherzustellen, sondern auch auszuwerten hat (FRICKER/MAEDER, a.a.O., N. 30 zu Art. 255

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 255 Conditions en général - 1 Pour élucider le crime ou le délit sur lequel porte la procédure, le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent être ordonnés sur:131 |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 255 Conditions en général - 1 Pour élucider le crime ou le délit sur lequel porte la procédure, le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent être ordonnés sur:131 |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 255 Conditions en général - 1 Pour élucider le crime ou le délit sur lequel porte la procédure, le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent être ordonnés sur:131 |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 255 Conditions en général - 1 Pour élucider le crime ou le délit sur lequel porte la procédure, le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent être ordonnés sur:131 |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 255 Conditions en général - 1 Pour élucider le crime ou le délit sur lequel porte la procédure, le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent être ordonnés sur:131 |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 182 Recours à un expert - Le ministère public et les tribunaux ont recours à un ou plusieurs experts lorsqu'ils ne disposent pas des connaissances et des capacités nécessaires pour constater ou juger un état de fait. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 255 Conditions en général - 1 Pour élucider le crime ou le délit sur lequel porte la procédure, le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent être ordonnés sur:131 |
JOSITSCH, Praxiskommentar, a.a.O., N. 15 zu Art. 255

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 255 Conditions en général - 1 Pour élucider le crime ou le délit sur lequel porte la procédure, le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent être ordonnés sur:131 |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 255 Conditions en général - 1 Pour élucider le crime ou le délit sur lequel porte la procédure, le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent être ordonnés sur:131 |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 255 Conditions en général - 1 Pour élucider le crime ou le délit sur lequel porte la procédure, le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent être ordonnés sur:131 |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 255 Conditions en général - 1 Pour élucider le crime ou le délit sur lequel porte la procédure, le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent être ordonnés sur:131 |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 255 Conditions en général - 1 Pour élucider le crime ou le délit sur lequel porte la procédure, le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent être ordonnés sur:131 |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 198 Compétence - 1 Les mesures de contrainte peuvent être ordonnées par: |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 255 Conditions en général - 1 Pour élucider le crime ou le délit sur lequel porte la procédure, le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent être ordonnés sur:131 |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 197 Principes - 1 Les mesures de contrainte ne peuvent être prises qu'aux conditions suivantes: |
Soweit der Beschwerdeführer 2 behauptet, sein vorbestehendes DNA-Profil hätte im vorliegenden Strafverfahren nicht verwendet werden dürfen, nachdem er im früheren Verfahren wegen Angriffs bzw. Raufhandels freigesprochen worden sei, kann ihm nicht gefolgt werden. Aus der gesetzlichen Regelung des DNA-Informationssystems ergibt sich, dass es systematisch zu Zufallsfunden kommen kann. So ist denkbar, dass ein solcher Zufallsfund entsteht, bevor die entsprechende Person als Tatverdächtige der Anlasstat ausscheidet und ihr Profil nach Art. 16 Abs. 1 lit. a

SR 363 Loi fédérale du 20 juin 2003 sur l'utilisation de profils d'ADN dans les procédures pénales et sur l'identification de personnes inconnues ou disparues (Loi sur les profils d'ADN) - Loi sur les profils d'ADN Loi-sur-les-profils-d'ADN Art. 16 Effacement des profils d'ADN de personnes - 1 Fedpol efface les profils d'ADN établis en vertu des art. 255 et 257 CPP41 ou 73s et 73u PPM42: |
|
1 | Fedpol efface les profils d'ADN établis en vertu des art. 255 et 257 CPP41 ou 73s et 73u PPM42: |
a | sitôt qu'il s'avère, au cours de la procédure, que la personne en cause ne peut être l'auteur du crime ou du délit; |
b | 10 ans après le décès de la personne en cause; |
c | lorsque la procédure en cause est close par un acquittement entré en force; |
d | un an après l'entrée en force de l'ordonnance de classement ou de non-entrée en matière. |
2 | Il efface les profils d'ADN établis en vertu des art. 255 et 257 CPP ou 73s et 73u PPM: |
a | dans le cas d'une condamnation à une peine privative de liberté avec sursis, à une peine pécuniaire avec sursis ou à un travail d'intérêt général: après 10 ans; |
b | dans le cas d'une condamnation à une peine privative de liberté sans sursis de 3 ans au plus, à une peine privative de liberté de substitution ou à une peine pécuniaire sans sursis: après 20 ans; |
c | dans le cas d'une condamnation à une peine privative de liberté de plus de 3 ans et n'excédant pas 10 ans: après 30 ans; |
d | dans le cas d'une condamnation à une peine privative de liberté de plus de 10 ans: après 40 ans; |
e | dans le cas d'une mesure de protection au sens des art. 12 à 14 du droit pénal des mineurs du 20 juin 2003 (DPMin)43, d'une réprimande ou d'une condamnation à une prestation personnelle ou à une amende au sens des art. 22 à 24 DPMin: après 5 ans; |
f | dans le cas d'une privation de liberté au sens de l'art. 25 DPMin ou d'un placement au sens de l'art. 15 DPMin: après 10 ans; |
g | dans le cas d'une interdiction d'exercer une activité, d'une interdiction de contact ou d'une interdiction géographique au sens des art. 67 ou 67b CP44, 50 ou 50b du code pénal militaire du 13 juin 1927 (CPM)45 ou 16a DPMin, si aucune autre sanction n'a été prononcée: après 5 ans; |
h | dans le cas d'une expulsion au sens des art. 66a ou 66abis CP ou 49a ou 49abis CPM: après 30 ans; si la mesure a été prononcée à vie: après le décès de la personne en cause. |
3 | Les délais d'effacement visés à l'al. 2 courent à partir de la date du jugement, pour autant qu'il soit entré en force. |
4 | Lorsque, dans un cas visé à l'al. 1, let. c ou d, certains faits permettent de supposer que le profil d'ADN d'un prévenu servira à élucider de futures infractions, ce profil peut, avec l'autorisation de la direction de la procédure, être conservé et utilisé durant 10 ans au plus à compter de l'entrée en force de la décision d'acquittement ou de l'ordonnance de classement ou de non-entrée en matière. |
5 | Si les décisions au sens de l'al. 1, let. c et d, sont prises pour cause d'irresponsabilité de l'auteur, le profil d'ADN est effacé 20 ans après la décision. |
6 | Lorsque la personne est internée ou se voit appliquer une mesure thérapeutique, le profil d'ADN établi en vertu des art. 255 et 257 CPP ou 73s et 73u PPM est effacé 20 ans après la libération définitive de l'internement ou l'exécution définitive de la mesure thérapeutique. |
7 | Dans tous les autres cas qui ne sont pas visés aux al. 2 à 6, le profil d'ADN est effacé après 10 ans à partir de la date du jugement entré en force. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 255 Conditions en général - 1 Pour élucider le crime ou le délit sur lequel porte la procédure, le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent être ordonnés sur:131 |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 255 Conditions en général - 1 Pour élucider le crime ou le délit sur lequel porte la procédure, le prélèvement d'un échantillon et l'établissement d'un profil d'ADN peuvent être ordonnés sur:131 |
Folge, dass die mit Ermittlungsbericht der Kantonspolizei Schwyz vom 23. August 2013 festgehaltene Übereinstimmung der hier interessierenden DNA-Profile (vgl. kantonale Untersuchungsakten STK 2018 34 pag. 8.1.32) unverwertbar wurde. Damit erweist sich der DNA-Beweis als im vorliegenden Strafverfahren verwertbar.
4.6. Die Vorinstanz stützt die Verurteilung des Beschwerdeführers 2 namentlich auf den Umstand, dass C.________ ihn im Rahmen der Fotowahlkonfrontation wiedererkannt habe (vgl. bereits E. 4.1). Nach dem Gesagten sind die Fotokonfrontation, die diesbezüglichen Aussagen von C.________ in der Einvernahme vom 11. April 2012 sowie die sich darauf beziehenden Aussagen in der Einvernahme vom 5. August 2013 zu Lasten des Beschwerdeführers 2 nicht verwertbar, weshalb dessen Beschwerde insofern gutzuheissen ist. Das angefochtene Urteil den Beschwerdeführer 2 betreffend ist aufzuheben und die Sache zu neuer Beurteilung an die Vorinstanz zurückzuweisen. Diese wird zu prüfen haben, ob sich eine Verurteilung des Beschwerdeführers 2 auch ohne Berücksichtigung der ebengenannten Beweismittel begründen lässt.
Damit erübrigt es sich, auf die weiteren, die Mittäterschaft und die Strafzumessung betreffenden Einwendungen des Beschwerdeführers 2 einzugehen.
5.
5.1. Der Beschwerdeführer 1 rügt im Weiteren die vorinstanzliche Strafzumessung und in diesem Zusammenhang eine Verletzung von Art. 47

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 47 - 1 Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
|
1 | Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
2 | La culpabilité est déterminée par la gravité de la lésion ou de la mise en danger du bien juridique concerné, par le caractère répréhensible de l'acte, par les motivations et les buts de l'auteur et par la mesure dans laquelle celui-ci aurait pu éviter la mise en danger ou la lésion, compte tenu de sa situation personnelle et des circonstances extérieures. |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 50 - Si le jugement doit être motivé, le juge indique dans les motifs les circonstances pertinentes pour la fixation de la peine et leur importance. |
acht Jahre zurückliegen. Auch aus diesem Grund rechtfertigte sich die ausgesprochene Strafe nicht (Beschwerde 6B 1078/2020 S. 8 ff.).
5.2. Gemäss Art. 47 Abs. 1

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 47 - 1 Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
|
1 | Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
2 | La culpabilité est déterminée par la gravité de la lésion ou de la mise en danger du bien juridique concerné, par le caractère répréhensible de l'acte, par les motivations et les buts de l'auteur et par la mesure dans laquelle celui-ci aurait pu éviter la mise en danger ou la lésion, compte tenu de sa situation personnelle et des circonstances extérieures. |
Das Bundesgericht hat die Grundsätze der Strafzumessung nach Art. 47 ff

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 47 - 1 Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
|
1 | Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
2 | La culpabilité est déterminée par la gravité de la lésion ou de la mise en danger du bien juridique concerné, par le caractère répréhensible de l'acte, par les motivations et les buts de l'auteur et par la mesure dans laquelle celui-ci aurait pu éviter la mise en danger ou la lésion, compte tenu de sa situation personnelle et des circonstances extérieures. |
Nach Art. 50

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 50 - Si le jugement doit être motivé, le juge indique dans les motifs les circonstances pertinentes pour la fixation de la peine et leur importance. |
mit Hinweisen; Urteile 6B 199/2022 vom 25. April 2022 E. 4.1; 6B 140/2020 vom 3. Juni 2021 E. 4.3; 6B 572/2019 vom 8. April 2020 E. 2.5).
5.3. Soweit die Vorbringen des Beschwerdeführers 1 überhaupt den formellen Erfordernissen genügen, sind die vorinstanzlichen Erwägungen zur Strafzumessung (vgl. Urteil STK 2018 36, S. 14) insgesamt nicht zu beanstanden.
Entgegen dem Beschwerdeführer 1 legt die Vorinstanz dar, inwiefern ihm ein "eher leichtes bis mittelschweres" Verschulden anzulasten ist. Sie hält fest, ihm kann kein besonders verwerfliches Vorgehen angelastet werden, zumal ihm nicht nachgewiesen werden kann, dass er abgesehen von einer zumindest vorübergehenden Zurückhaltung der Opfer im Club von den weiteren Absichten der anderen Tatbeteiligten wusste. Inwiefern die Feststellung der Vorinstanz, wonach der Beschwerdeführer 1 mit dem Locken der Opfer in den Club dennoch einen wesentlichen Tatbeitrag hinsichtlich der Entführung der beiden Opfer geleistet hat, mit Blick auf die ihm nachgewiesene Entführung im Sinne von Art. 183 Ziff. 1

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 183 - 1. Quiconque, sans droit, arrête une personne, la retient prisonnière, ou, de toute autre manière, la prive de sa liberté, |
|
1 | Quiconque, sans droit, arrête une personne, la retient prisonnière, ou, de toute autre manière, la prive de sa liberté, |
2 | Encourt la même peine quiconque enlève une personne incapable de discernement ou de résistance ou âgée de moins de 16 ans. |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 183 - 1. Quiconque, sans droit, arrête une personne, la retient prisonnière, ou, de toute autre manière, la prive de sa liberté, |
|
1 | Quiconque, sans droit, arrête une personne, la retient prisonnière, ou, de toute autre manière, la prive de sa liberté, |
2 | Encourt la même peine quiconque enlève une personne incapable de discernement ou de résistance ou âgée de moins de 16 ans. |
ist dies im Ergebnis nicht unhaltbar. Die Vorinstanz weist zwar nicht aus, in welchem Umfang ("neutral", "leicht", "stark" etc.) sie die einzelnen Strafzumessungsfaktoren in Rechnung stellt. Indes ist weder ersichtlich noch legt der Beschwerdeführer 1 dar, inwiefern die Vorinstanz mit der ausgesprochenen Strafhöhe nach dem Gesagten ihr sachrichterliches Ermessen überschritten haben sollte. Inwieweit die knappen, aber gerade noch nachvollziehbaren Strafzumessungserwägungen den Begründungsanforderungen von Art. 50

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 50 - Si le jugement doit être motivé, le juge indique dans les motifs les circonstances pertinentes pour la fixation de la peine et leur importance. |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 34 - 1 Sauf disposition contraire, la peine pécuniaire est de trois jours-amende au moins et ne peut excéder 180 jours-amende.23 Le juge fixe leur nombre en fonction de la culpabilité de l'auteur. |
|
1 | Sauf disposition contraire, la peine pécuniaire est de trois jours-amende au moins et ne peut excéder 180 jours-amende.23 Le juge fixe leur nombre en fonction de la culpabilité de l'auteur. |
2 | En règle générale, le jour-amende est de 30 francs au moins et de 3000 francs au plus.24 Le juge peut exceptionnellement, lorsque la situation personnelle et économique de l'auteur le justifie, réduire le montant du jour-amende à concurrence d'un minimum de 10 francs. Il peut dépasser le montant maximal du jour-amende lorsque la loi le prévoit.25 Il fixe le montant du jour amende selon la situation personnelle et économique de l'auteur au moment du jugement, notamment en tenant compte de son revenu et de sa fortune, de son mode de vie, de ses obligations d'assistance, en particulier familiales, et du minimum vital.26 |
3 | Les autorités fédérales, cantonales et communales fournissent au juge les informations dont il a besoin pour fixer le montant du jour-amende. |
4 | Le jugement indique le nombre et le montant des jours-amende. |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 183 - 1. Quiconque, sans droit, arrête une personne, la retient prisonnière, ou, de toute autre manière, la prive de sa liberté, |
|
1 | Quiconque, sans droit, arrête une personne, la retient prisonnière, ou, de toute autre manière, la prive de sa liberté, |
2 | Encourt la même peine quiconque enlève une personne incapable de discernement ou de résistance ou âgée de moins de 16 ans. |
6.
Die Beschwerde des Beschwerdeführers 1 ist abzuweisen, soweit darauf eingetreten werden kann. Der Beschwerdeführer 1 wird ausgangsgemäss kostenpflichtig (Art. 66 Abs. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Die Beschwerde des Beschwerdeführers 2 ist teilweise gutzuheissen; im Übrigen ist sie abzuweisen, soweit auf sie eingetreten werden kann. Bei diesem Verfahrensausgang wird der Beschwerdeführer 2 für das bundesgerichtliche Verfahren im Umfang seines Unterliegens kostenpflichtig (Art. 66 Abs. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
|
1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
|
1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Verfahren 6B 1078/2020 und 6B 1099/2020 werden vereinigt.
2.
Die Beschwerde im Verfahren 6B 1078/2020 wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
3.
Die Beschwerde im Verfahren 6B 1099/2020 wird teilweise gutgeheissen. Im Übrigen wird sie abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist. Das Urteil STK 2018 34 des Kantonsgerichts Schwyz vom 30. Juni 2020 wird aufgehoben und die Sache zur neuen Entscheidung an die Vorinstanz zurückgewiesen.
4.
Die Gerichtskosten werden dem Beschwerdeführer 1 im Umfang von Fr. 3'000.-- und dem Beschwerdeführer 2 im Umfang von Fr. 1'000.-- auferlegt.
5.
Der Kanton Schwyz hat den Beschwerdeführer 2 für das bundesgerichtliche Verfahren mit insgesamt Fr. 2'000.-- zu entschädigen.
6.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Kantonsgericht Schwyz, Strafkammer, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 26. Oktober 2022
Im Namen der Strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Die Präsidentin: Jacquemoud-Rossari
Der Gerichtsschreiber: Stadler