Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
2C 553/2021
Urteil vom 21. Februar 2022
II. öffentlich-rechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichterin Aubry Girardin, Präsidentin,
Bundesrichter Donzallaz,
Bundesrichterin Hänni,
Bundesrichter Hartmann,
Bundesrichterin Ryter,
Gerichtsschreiber Zollinger.
Verfahrensbeteiligte
Stadt Liestal,
Beschwerdeführerin,
gegen
Regierungsrat des Kantons Basel-Landschaft.
Gegenstand
Einzelbeitrag an die Sozialhilfe, Härtefall /
Dritter Rechtsgang,
Beschwerde gegen das Urteil des Kantonsgerichts Basel-Landschaft, Abteilung Verfassungs- und Verwaltungsrecht, vom 9. Juni 2021 (810 21 11).
Sachverhalt:
A.
Mit Schreiben vom 12. Januar 2016 stellte der Stadtrat der Einwohnergemeinde Liestal (Kanton Basel-Landschaft; nachfolgend: Stadt Liestal) an den Regierungsrat des Kantons Basel-Landschaft ein Gesuch um Ausrichtung eines Einzelbeitrags in der Grössenordnung von rund Fr. 2 Mio. aus dem kantonalen Ressourcenausgleichsfonds für das Jahr 2014. Anlass für das entsprechende Gesuch waren die markant zunehmenden Sozialhilfekosten, die für die Stadt Liestal zu einer finanziellen Belastung geführt hatten.
B.
Mit Beschluss Nr. 1827 vom 20. Dezember 2016 lehnte der Regierungsrat das Gesuch der Stadt Liestal ab. Er erwog im Wesentlichen, dass der kantonale Finanzausgleich für den Sozialhilfebereich bereits eine Lastenabgeltung vorsehe. Die finanzielle Situation der Stadt Liestal sei aufgrund der nur leicht unterdurchschnittlichen Eigenkapitalsituation und der verhältnismässig geringen Verschuldung insgesamt als gut zu beurteilen. Die Sozialhilfekosten hätten für die Stadt Liestal nicht zu einer unzumutbaren Belastung geführt.
B.a. Die gegen den Beschluss vom 20. Dezember 2016 erhobene Beschwerde der Stadt Liestal wies das Kantonsgericht Basel-Landschaft mit Urteil vom 13. September 2017 ab. Mit Urteil 2C 127/2018 vom 30. April 2019 hob das Bundesgericht das Urteil des Kantonsgerichts vom 13. September 2017 infolge einer unrechtmässigen Kognitionsbeschränkung bei der Auslegung und Anwendung des kantonalen Rechts auf und wies die Angelegenheit zur Neubeurteilung an das Kantonsgericht zurück.
B.b. Mit Urteil vom 18. Dezember 2019 wies das Kantonsgericht die Beschwerde erneut ab. Dagegen gelangte die Stadt Liestal erneut an das Bundesgericht und rügte unter anderem in formeller Hinsicht die Verletzung kantonaler Unvereinbarkeitsbestimmungen im Sinne von qualifizierten Ausstandsregeln. Das Bundesgericht hob mit amtlich publiziertem Urteil 2C 455/2020 vom 2. Dezember 2020 (BGE 147 I 173) das Urteil des Kantonsgerichts vom 18. Dezember 2019 aufgrund der Missachtung von Ausstandsvorschriften nach Art. 30 Abs. 1
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 30 Garanties de procédure judiciaire - 1 Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
|
1 | Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
2 | La personne qui fait l'objet d'une action civile a droit à ce que sa cause soit portée devant le tribunal de son domicile. La loi peut prévoir un autre for. |
3 | L'audience et le prononcé du jugement sont publics. La loi peut prévoir des exceptions. |
B.c. In der Folge befasste sich das Kantonsgericht in geänderter Zusammensetzung des Spruchkörpers mit der Angelegenheit und wies mit Urteil vom 9. Juni 2021 die Beschwerde der Stadt Liestal wiederum ab. Es erwog im Wesentlichen, die Ausrichtung eines Einzelbeitrags könne nur in absoluten Härtefällen erfolgen, namentlich dann, wenn alle zuvor ausgeschöpften Instrumente die Härte nicht vermeiden könnten. Da die Ungleichheiten unter den Gemeinden bei den sozialen Kosten bereits durch die Lastenabgeltung ordentlich ausgeglichen würden, müsse der Einzelbeitrag selbst als eine Art "Sozialhilfe für die Gemeinden" betrachtet werden. Als solche diene der Einzelbeitrag nicht dem Zweck, einen einzelnen Aufgabenbereich einer Gemeinde auszugleichen, sondern eine Härte für den Gesamthaushalt einer Gemeinde zu verhindern. Eine solche Härte liege nicht vor, da die Stadt Liestal ihre Eigenfinanzierungsmöglichkeiten nicht im Rahmen des Zumutbaren ausgeschöpft habe.
C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten vom 8. Juli 2021 gelangt die Stadt Liestal an das Bundesgericht. Sie beantragt die Aufhebung des Urteils vom 9. Juni 2021. Es sei ihr Gesuch vom 12. Januar 2016 um Ausrichtung eines Einzelbeitrags gutzuheissen. Eventualiter sei die Sache zur Neubeurteilung an das Kantonsgericht zurückzuweisen.
Die Vorinstanz und der Regierungsrat beantragen im Rahmen der Vernehmlassung die Abweisung der Beschwerde. Die Beschwerdeführerin repliziert mit Eingabe vom 21. Oktober 2021, woraufhin der Regierungsrat mit Eingabe vom 11. Januar 2022 dupliziert. Die Verfahrensbeteiligten halten jeweils an den gestellten Anträgen fest.
Erwägungen:
1.
Die frist- (Art. 100 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
|
1 | Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
2 | Le délai de recours est de dix jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
b | les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale; |
c | les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93. |
d | les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95. |
3 | Le délai de recours est de cinq jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change; |
b | les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales. |
4 | Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national. |
5 | En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
6 | ...96 |
7 | Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours: |
|
a | contre les décisions rendues dans des causes de droit public; |
b | contre les actes normatifs cantonaux; |
c | qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 86 Autorités précédentes en général - 1 Le recours est recevable contre les décisions: |
|
1 | Le recours est recevable contre les décisions: |
a | du Tribunal administratif fédéral; |
b | du Tribunal pénal fédéral; |
c | de l'Autorité indépendante d'examen des plaintes en matière de radio-télévision; |
d | des autorités cantonales de dernière instance, pour autant que le recours devant le Tribunal administratif fédéral ne soit pas ouvert. |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs qui statuent comme autorités précédant immédiatement le Tribunal fédéral, sauf dans les cas où une autre loi fédérale prévoit qu'une décision d'une autre autorité judiciaire peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
3 | Pour les décisions revêtant un caractère politique prépondérant, les cantons peuvent instituer une autorité autre qu'un tribunal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 86 Autorités précédentes en général - 1 Le recours est recevable contre les décisions: |
|
1 | Le recours est recevable contre les décisions: |
a | du Tribunal administratif fédéral; |
b | du Tribunal pénal fédéral; |
c | de l'Autorité indépendante d'examen des plaintes en matière de radio-télévision; |
d | des autorités cantonales de dernière instance, pour autant que le recours devant le Tribunal administratif fédéral ne soit pas ouvert. |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs qui statuent comme autorités précédant immédiatement le Tribunal fédéral, sauf dans les cas où une autre loi fédérale prévoit qu'une décision d'une autre autorité judiciaire peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
3 | Pour les décisions revêtant un caractère politique prépondérant, les cantons peuvent instituer une autorité autre qu'un tribunal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 83 Exceptions - Le recours est irrecevable contre: |
|
a | les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit58 jugée par un tribunal; |
b | les décisions relatives à la naturalisation ordinaire; |
c | les décisions en matière de droit des étrangers qui concernent: |
c1 | l'entrée en Suisse, |
c2 | une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit, |
c3 | l'admission provisoire, |
c4 | l'expulsion fondée sur l'art. 121, al. 2, de la Constitution ou le renvoi, |
c5 | les dérogations aux conditions d'admission, |
c6 | la prolongation d'une autorisation frontalière, le déplacement de la résidence dans un autre canton, le changement d'emploi du titulaire d'une autorisation frontalière et la délivrance de documents de voyage aux étrangers sans pièces de légitimation; |
d | les décisions en matière d'asile qui ont été rendues: |
d1 | par le Tribunal administratif fédéral, sauf celles qui concernent des personnes visées par une demande d'extradition déposée par l'État dont ces personnes cherchent à se protéger, |
d2 | par une autorité cantonale précédente et dont l'objet porte sur une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit; |
e | les décisions relatives au refus d'autoriser la poursuite pénale de membres d'autorités ou du personnel de la Confédération; |
f | les décisions en matière de marchés publics: |
fbis | les décisions du Tribunal administratif fédéral concernant les décisions visées à l'art. 32i de la loi fédérale du 20 mars 2009 sur le transport de voyageurs65; |
f1 | si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe; sont réservés les recours concernant des marchés du Tribunal administratif fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal fédéral des brevets, du Ministère public de la Confédération et des autorités judiciaires supérieures des cantons, ou |
f2 | si la valeur estimée du marché à adjuger est inférieure à la valeur seuil déterminante visée à l'art. 52, al. 1, et fixée à l'annexe 4, ch. 2, de la loi fédérale du 21 juin 2019 sur les marchés publics63; |
g | les décisions en matière de rapports de travail de droit public qui concernent une contestation non pécuniaire, sauf si elles touchent à la question de l'égalité des sexes; |
h | les décisions en matière d'entraide administrative internationale, à l'exception de l'assistance administrative en matière fiscale; |
i | les décisions en matière de service militaire, de service civil ou de service de protection civile; |
j | les décisions en matière d'approvisionnement économique du pays qui sont prises en cas de pénurie grave; |
k | les décisions en matière de subventions auxquelles la législation ne donne pas droit; |
l | les décisions en matière de perception de droits de douane fondée sur le classement tarifaire ou le poids des marchandises; |
m | les décisions sur l'octroi d'un sursis de paiement ou sur la remise de contributions; en dérogation à ce principe, le recours contre les décisions sur la remise de l'impôt fédéral direct ou de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice est recevable, lorsqu'une question juridique de principe se pose ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs; |
n | les décisions en matière d'énergie nucléaire qui concernent: |
n1 | l'exigence d'un permis d'exécution ou la modification d'une autorisation ou d'une décision, |
n2 | l'approbation d'un plan de provision pour les coûts d'évacuation encourus avant la désaffection d'une installation nucléaire, |
n3 | les permis d'exécution; |
o | les décisions en matière de circulation routière qui concernent la réception par type de véhicules; |
p | les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière de télécommunications, de radio et de télévision et en matière postale qui concernent:70 |
p1 | une concession ayant fait l'objet d'un appel d'offres public, |
p2 | un litige découlant de l'art. 11a de la loi du 30 avril 1997 sur les télécommunications71; |
p3 | un litige au sens de l'art. 8 de la loi du 17 décembre 2010 sur la poste73; |
q | les décisions en matière de médecine de transplantation qui concernent: |
q1 | l'inscription sur la liste d'attente, |
q2 | l'attribution d'organes; |
r | les décisions en matière d'assurance-maladie qui ont été rendues par le Tribunal administratif fédéral sur la base de l'art. 3474 de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)75; |
s | les décisions en matière d'agriculture qui concernent: |
s1 | ... |
s2 | la délimitation de zones dans le cadre du cadastre de production; |
t | les décisions sur le résultat d'examens ou d'autres évaluations des capacités, notamment en matière de scolarité obligatoire, de formation ultérieure ou d'exercice d'une profession; |
u | les décisions relatives aux offres publiques d'acquisition (art. 125 à 141 de la loi du 19 juin 2015 sur l'infrastructure des marchés financiers79); |
v | les décisions du Tribunal administratif fédéral en cas de divergences d'opinion entre des autorités en matière d'entraide judiciaire ou d'assistance administrative au niveau national; |
w | les décisions en matière de droit de l'électricité qui concernent l'approbation des plans des installations électriques à courant fort et à courant faible et l'expropriation de droits nécessaires à la construction ou à l'exploitation de telles installations, si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe. |
x | les décisions en matière d'octroi de contributions de solidarité au sens de la loi fédérale du 30 septembre 2016 sur les mesures de coercition à des fins d'assistance et les placements extrafamiliaux antérieurs à 198183, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs; |
y | les décisions prises par le Tribunal administratif fédéral dans des procédures amiables visant à éviter une imposition non conforme à une convention internationale applicable dans le domaine fiscal; |
z | les décisions citées à l'art. 71c, al. 1, let. b, de la loi du 30 septembre 2016 sur l'énergie86 concernant les autorisations de construire et les autorisations relevant de la compétence des cantons destinées aux installations éoliennes d'intérêt national qui y sont nécessairement liées, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 50 - 1 L'autonomie communale est garantie dans les limites fixées par le droit cantonal. |
|
1 | L'autonomie communale est garantie dans les limites fixées par le droit cantonal. |
2 | La Confédération tient compte des conséquences éventuelles de son activité pour les communes. |
3 | Ce faisant, elle prend en considération la situation particulière des villes, des agglomérations urbaines et des régions de montagne. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 89 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque: |
|
1 | A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire; |
b | est particulièrement atteint par la décision ou l'acte normatif attaqué, et |
c | a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification. |
2 | Ont aussi qualité pour recourir: |
a | la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions; |
b | l'organe compétent de l'Assemblée fédérale en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération; |
c | les communes et les autres collectivités de droit public qui invoquent la violation de garanties qui leur sont reconnues par la constitution cantonale ou la Constitution fédérale; |
d | les personnes, organisations et autorités auxquelles une autre loi fédérale accorde un droit de recours. |
3 | En matière de droits politiques (art. 82, let. c), quiconque a le droit de vote dans l'affaire en cause a qualité pour recourir. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 89 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque: |
|
1 | A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire; |
b | est particulièrement atteint par la décision ou l'acte normatif attaqué, et |
c | a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification. |
2 | Ont aussi qualité pour recourir: |
a | la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions; |
b | l'organe compétent de l'Assemblée fédérale en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération; |
c | les communes et les autres collectivités de droit public qui invoquent la violation de garanties qui leur sont reconnues par la constitution cantonale ou la Constitution fédérale; |
d | les personnes, organisations et autorités auxquelles une autre loi fédérale accorde un droit de recours. |
3 | En matière de droits politiques (art. 82, let. c), quiconque a le droit de vote dans l'affaire en cause a qualité pour recourir. |
interkommunalen Finanzausgleich und ähnlichen Regelungen anerkannt (vgl. BGE 135 I 43 E. 1.3; 135 II 156 E. 3.3; Urteile 2C 455/2020 vom 2. Dezember 2020 E. 1, nicht publ. in: BGE 147 I 173; 2C 127/2018 vom 30. April 2019 E. 1.2). Die Beschwerdeführerin macht in vertretbarer Weise geltend, dass sie vom angefochtenen Urteil in qualifizierter Weise in schutzwürdigen hoheitlichen Interessen berührt ist, zumal es ihren kommunalen Finanzhaushalt unmittelbar betrifft. Die Beschwerdeführerin ist damit zur Beschwerde gemäss Art. 89 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 89 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque: |
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1 | A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire; |
b | est particulièrement atteint par la décision ou l'acte normatif attaqué, et |
c | a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification. |
2 | Ont aussi qualité pour recourir: |
a | la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions; |
b | l'organe compétent de l'Assemblée fédérale en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération; |
c | les communes et les autres collectivités de droit public qui invoquent la violation de garanties qui leur sont reconnues par la constitution cantonale ou la Constitution fédérale; |
d | les personnes, organisations et autorités auxquelles une autre loi fédérale accorde un droit de recours. |
3 | En matière de droits politiques (art. 82, let. c), quiconque a le droit de vote dans l'affaire en cause a qualité pour recourir. |
2.
Mit der Beschwerde kann namentlich die Verletzung von Bundesrecht gerügt werden (Art. 95 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
Urteil legt das Bundesgericht den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
3.
Die Beschwerdeführerin rügt eine Verletzung des Grundsatzes der Justizöffentlichkeit nach Art. 30 Abs. 3
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 30 Garanties de procédure judiciaire - 1 Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
|
1 | Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
2 | La personne qui fait l'objet d'une action civile a droit à ce que sa cause soit portée devant le tribunal de son domicile. La loi peut prévoir un autre for. |
3 | L'audience et le prononcé du jugement sont publics. La loi peut prévoir des exceptions. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
3.1. Die Beschwerdeführerin macht geltend, Art. 30 Abs. 3
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 30 Garanties de procédure judiciaire - 1 Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
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1 | Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
2 | La personne qui fait l'objet d'une action civile a droit à ce que sa cause soit portée devant le tribunal de son domicile. La loi peut prévoir un autre for. |
3 | L'audience et le prononcé du jugement sont publics. La loi peut prévoir des exceptions. |
Ausserdem, so die Beschwerdeführerin weiter, verletze die Vorinstanz ebenso Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
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1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
3.2. Gemäss Art. 30 Abs. 3
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 30 Garanties de procédure judiciaire - 1 Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
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1 | Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
2 | La personne qui fait l'objet d'une action civile a droit à ce que sa cause soit portée devant le tribunal de son domicile. La loi peut prévoir un autre for. |
3 | L'audience et le prononcé du jugement sont publics. La loi peut prévoir des exceptions. |
3.2.1. Der Grundsatz der Justizöffentlichkeit dient einerseits dem Schutz der direkt an gerichtlichen Verfahren beteiligten Parteien im Hinblick auf deren korrekte Behandlung und gesetzmässige Beurteilung. Andererseits ermöglicht er auch nicht verfahrensbeteiligten Dritten, nachzuvollziehen, wie gerichtliche Verfahren geführt, das Recht verwaltet und die Rechtspflege ausgeübt werden, und liegt insoweit auch im öffentlichen Interesse. Er will für Transparenz der Rechtsprechung sorgen und die Grundlage für das Vertrauen in die Gerichtsbarkeit schaffen. Die demokratische Kontrolle durch die Rechtsgemeinschaft soll Spekulationen begegnen, die Justiz benachteilige oder privilegiere einzelne Prozessparteien ungebührlich oder die Ermittlungen würden einseitig und rechtsstaatlich fragwürdig geführt (vgl. BGE 146 I 30 E. 2.2; 143 I 194 E. 3.1).
3.2.2. Der Grundsatz der Justizöffentlichkeit gilt nicht absolut. Er kommt nicht in jedem Verfahrensstadium zum Tragen. Vielmehr bezieht sich der Begriff der Gerichtsverhandlung nach Art. 30 Abs. 3
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 30 Garanties de procédure judiciaire - 1 Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
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1 | Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
2 | La personne qui fait l'objet d'une action civile a droit à ce que sa cause soit portée devant le tribunal de son domicile. La loi peut prévoir un autre for. |
3 | L'audience et le prononcé du jugement sont publics. La loi peut prévoir des exceptions. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 30 Garanties de procédure judiciaire - 1 Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
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1 | Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
2 | La personne qui fait l'objet d'une action civile a droit à ce que sa cause soit portée devant le tribunal de son domicile. La loi peut prévoir un autre for. |
3 | L'audience et le prononcé du jugement sont publics. La loi peut prévoir des exceptions. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 30 Garanties de procédure judiciaire - 1 Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
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1 | Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
2 | La personne qui fait l'objet d'une action civile a droit à ce que sa cause soit portée devant le tribunal de son domicile. La loi peut prévoir un autre for. |
3 | L'audience et le prononcé du jugement sont publics. La loi peut prévoir des exceptions. |
3.2.3. Im Lichte der dargelegten Rechtsprechung zu Art. 30 Abs. 3
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 30 Garanties de procédure judiciaire - 1 Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
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1 | Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
2 | La personne qui fait l'objet d'une action civile a droit à ce que sa cause soit portée devant le tribunal de son domicile. La loi peut prévoir un autre for. |
3 | L'audience et le prononcé du jugement sont publics. La loi peut prévoir des exceptions. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 30 Garanties de procédure judiciaire - 1 Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
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1 | Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
2 | La personne qui fait l'objet d'une action civile a droit à ce que sa cause soit portée devant le tribunal de son domicile. La loi peut prévoir un autre for. |
3 | L'audience et le prononcé du jugement sont publics. La loi peut prévoir des exceptions. |
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
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1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
IR 0.103.2 Pacte international du 16 décembre 1966 relatif aux droits civils et politiques Pacte-ONU-II Art. 14 - 1. Tous sont égaux devant les tribunaux et les cours de justice. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement par un tribunal compétent, indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil. Le huis clos peut être prononcé pendant la totalité ou une partie du procès soit dans l'intérêt des bonnes moeurs, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, soit lorsque l'intérêt de la vie privée des parties en cause l'exige, soit encore dans la mesure où le tribunal l'estimera absolument nécessaire, lorsqu'en raison des circonstances particulières de l'affaire la publicité nuirait aux intérêts de la justice; cependant, tout jugement rendu en matière pénale ou civile sera public, sauf si l'intérêt de mineurs exige qu'il en soit autrement ou si le procès porte sur des différends matrimoniaux ou sur la tutelle des enfants. |
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1 | Tous sont égaux devant les tribunaux et les cours de justice. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement par un tribunal compétent, indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil. Le huis clos peut être prononcé pendant la totalité ou une partie du procès soit dans l'intérêt des bonnes moeurs, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, soit lorsque l'intérêt de la vie privée des parties en cause l'exige, soit encore dans la mesure où le tribunal l'estimera absolument nécessaire, lorsqu'en raison des circonstances particulières de l'affaire la publicité nuirait aux intérêts de la justice; cependant, tout jugement rendu en matière pénale ou civile sera public, sauf si l'intérêt de mineurs exige qu'il en soit autrement ou si le procès porte sur des différe |
2 | Toute personne accusée d'une infraction pénale est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Toute personne accusée d'une infraction pénale a droit, en pleine égalité, au moins aux garanties suivantes: |
a | à être informée, dans le plus court délai, dans une langue qu'elle comprend et de façon détaillée, de la nature et des motifs de l'accusation portée contre elle; |
b | à disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense et à communiquer avec le conseil de son choix; |
c | àêtre jugée sans retard excessif; |
d | à être présente au procès et à se défendre elle-même ou à avoir l'assistance d'un défenseur de son choix; si elle n'a pas de défenseur, à être informée de son droit d'en avoir un, et, chaque fois que l'intérêt de la justice l'exige, à se voir attribuer d'office un défenseur, sans frais, si elle n'a pas les moyens de le rémunérer; |
e | à interroger ou faire interroger les témoins à charge et à obtenir la comparution et l'interrogatoire des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
f | à se faire assister gratuitement d'un interprète si elle ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience; |
g | à ne pas être forcée de témoigner contre elle-même ou de s'avouer coupable. |
4 | La procédure applicable aux jeunes gens qui ne sont pas encore majeurs au regard de la loi pénale tiendra compte de leur âge et de l'intérêt que présente leur rééducation. |
5 | Toute personne déclarée coupable d'une infraction a le droit de faire examiner par une juridiction supérieure la déclaration de culpabilité et la condamnation, conformément à la loi. |
6 | Lorsqu'une condamnation pénale définitive est ultérieurement annulée ou lorsque la grâce est accordée parce qu'un fait nouveau ou nouvellement révélé prouve qu'il s'est produit une erreur judiciaire, la personne qui a subi une peine à raison de cette condamnation sera indemnisée, conformément à la loi, à moins qu'il ne soit prouvé que la non-révélation en temps utile du fait inconnu lui est imputable en tout ou partie. |
7 | Nul ne peut être poursuivi ou puni en raison d'une infraction pour laquelle il a déjà été acquitté ou condamné par un jugement définitif conformément à la loi et à la procédure pénale de chaque pays. |
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
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1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
IR 0.103.2 Pacte international du 16 décembre 1966 relatif aux droits civils et politiques Pacte-ONU-II Art. 14 - 1. Tous sont égaux devant les tribunaux et les cours de justice. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement par un tribunal compétent, indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil. Le huis clos peut être prononcé pendant la totalité ou une partie du procès soit dans l'intérêt des bonnes moeurs, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, soit lorsque l'intérêt de la vie privée des parties en cause l'exige, soit encore dans la mesure où le tribunal l'estimera absolument nécessaire, lorsqu'en raison des circonstances particulières de l'affaire la publicité nuirait aux intérêts de la justice; cependant, tout jugement rendu en matière pénale ou civile sera public, sauf si l'intérêt de mineurs exige qu'il en soit autrement ou si le procès porte sur des différends matrimoniaux ou sur la tutelle des enfants. |
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1 | Tous sont égaux devant les tribunaux et les cours de justice. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement par un tribunal compétent, indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil. Le huis clos peut être prononcé pendant la totalité ou une partie du procès soit dans l'intérêt des bonnes moeurs, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, soit lorsque l'intérêt de la vie privée des parties en cause l'exige, soit encore dans la mesure où le tribunal l'estimera absolument nécessaire, lorsqu'en raison des circonstances particulières de l'affaire la publicité nuirait aux intérêts de la justice; cependant, tout jugement rendu en matière pénale ou civile sera public, sauf si l'intérêt de mineurs exige qu'il en soit autrement ou si le procès porte sur des différe |
2 | Toute personne accusée d'une infraction pénale est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Toute personne accusée d'une infraction pénale a droit, en pleine égalité, au moins aux garanties suivantes: |
a | à être informée, dans le plus court délai, dans une langue qu'elle comprend et de façon détaillée, de la nature et des motifs de l'accusation portée contre elle; |
b | à disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense et à communiquer avec le conseil de son choix; |
c | àêtre jugée sans retard excessif; |
d | à être présente au procès et à se défendre elle-même ou à avoir l'assistance d'un défenseur de son choix; si elle n'a pas de défenseur, à être informée de son droit d'en avoir un, et, chaque fois que l'intérêt de la justice l'exige, à se voir attribuer d'office un défenseur, sans frais, si elle n'a pas les moyens de le rémunérer; |
e | à interroger ou faire interroger les témoins à charge et à obtenir la comparution et l'interrogatoire des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
f | à se faire assister gratuitement d'un interprète si elle ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience; |
g | à ne pas être forcée de témoigner contre elle-même ou de s'avouer coupable. |
4 | La procédure applicable aux jeunes gens qui ne sont pas encore majeurs au regard de la loi pénale tiendra compte de leur âge et de l'intérêt que présente leur rééducation. |
5 | Toute personne déclarée coupable d'une infraction a le droit de faire examiner par une juridiction supérieure la déclaration de culpabilité et la condamnation, conformément à la loi. |
6 | Lorsqu'une condamnation pénale définitive est ultérieurement annulée ou lorsque la grâce est accordée parce qu'un fait nouveau ou nouvellement révélé prouve qu'il s'est produit une erreur judiciaire, la personne qui a subi une peine à raison de cette condamnation sera indemnisée, conformément à la loi, à moins qu'il ne soit prouvé que la non-révélation en temps utile du fait inconnu lui est imputable en tout ou partie. |
7 | Nul ne peut être poursuivi ou puni en raison d'une infraction pour laquelle il a déjà été acquitté ou condamné par un jugement définitif conformément à la loi et à la procédure pénale de chaque pays. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 30 Garanties de procédure judiciaire - 1 Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
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1 | Toute personne dont la cause doit être jugée dans une procédure judiciaire a droit à ce que sa cause soit portée devant un tribunal établi par la loi, compétent, indépendant et impartial. Les tribunaux d'exception sont interdits. |
2 | La personne qui fait l'objet d'une action civile a droit à ce que sa cause soit portée devant le tribunal de son domicile. La loi peut prévoir un autre for. |
3 | L'audience et le prononcé du jugement sont publics. La loi peut prévoir des exceptions. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
3.3. § 1 Abs. 4 des Gesetzes des Kantons Basel-Landschaft vom 16. Dezember 1993 über die Verfassungs- und Verwaltungsprozessordnung (Verwaltungsprozessordnung, VPO/BL; SGS 271) sieht vor, dass das Kantonsgericht in klaren Fällen bei Einstimmigkeit im Zirkulationsverfahren entscheiden kann.
3.3.1. Die Vorinstanz legt im Rahmen der Vernehmlassung dar, der im zweiten Rechtsgang mitwirkende Vizepräsident sei durch die Präsidentin ersetzt worden. Der bisherige Referent habe das Gericht darüber in Kenntnis gesetzt, dass er aufgrund eines zwischenzeitlich eingetretenen potenziellen Interessenkonflikts nicht mehr am Verfahren mitwirken könne. Deshalb sei er als Referent durch einen schon am bisherigen Verfahren beteiligten Kantonsrichter ersetzt worden. Der Spruchkörper sei mit sämtlichen Richterinnen und Richtern der Abteilung Verfassungs- und Verwaltungsrecht besetzt worden, die eingesetzt hätten werden dürfen. Ein Kantonsrichter wohne in der Einwohnergemeinde Liestal und sei für das Verfahren von Anfang an nicht zur Verfügung gestanden. Um die Fünferkammer zu komplettieren, sei von der Abteilung Strafrecht eine Kantonsrichterin beigezogen worden.
Im vorliegenden dritten Rechtsgang, so die Vorinstanz weiter, habe der neue Referent die Bestätigung des aus rein formellen Gründen aufgehobenen Urteils vom 18. Dezember 2019 beantragt. Die übrigen Mitglieder des Spruchkörpers hätten keine Wortbegehren angemeldet. Damit habe aus Sicht des Spruchkörpers ein klarer Fall vorgelegen, worüber Einstimmigkeit geherrscht habe. Nach Auffassung der Vorinstanz sind damit die Voraussetzungen für die Durchführung eines Zirkulationsverfahrens erfüllt gewesen.
3.3.2. Die Beschwerdeführerin macht geltend, die Vorinstanz habe kantonales Recht willkürlich angewendet (vgl. E. 2 hiervor; zum Begriff der Willkür vgl. auch E. 4.4 hiernach). Sie bringt vor, es sei zweifelhaft, ob ein klarer Fall im Sinne von § 1 Abs. 4 VPO/BL vorliege. Ihr ist nicht zu folgen: Im vorliegenden dritten (kantonalen) Rechtsgang beantragte der Referent die Abweisung der Beschwerde. Die übrigen Mitglieder des Spruchkörpers stellten keine Gegenanträge und meldeten keine Wortbegehren an. Im Lichte des Willkürverbots ist nicht zu beanstanden, dass die Vorinstanz unter diesen Umständen von einem klaren Fall und Einstimmigkeit unter den Mitgliedern des Spruchkör-pers ausging. Es ist folglich nicht zu erkennen, dass die Vorinstanz bei der Anwendung des kantonalen Rechts in Willkür verfiel.
3.4. Nach Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
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1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
3.4.1. Das rechtliche Gehör dient einerseits der Sachaufklärung. Andererseits stellt es ein persönlichkeitsbezogenes Mitwirkungsrecht beim Erlass eines Entscheids dar, welcher in die Rechtsstellung des Einzelnen eingreift. Dazu gehört insbesondere das Recht der betroffenen Person, sich vor Fällung eines solchen Entscheids zur Sache zu äussern, erhebliche Beweise beizubringen und Einsicht in die Akten zu nehmen. Wie weit dieses Recht geht, lässt sich nicht generell, sondern nur unter Würdigung der konkreten Umstände beurteilen. Massgebend ist, dass es der betroffenen Person ermöglicht worden ist, ihren Standpunkt wirksam zur Geltung zu bringen (vgl. BGE 144 I 11 E. 5.3; 136 I 265 E. 3.2; 135 II 286 E. 5.1).
3.4.2. Die Beschwerdeführerin erkennt eine Verletzung ihres Gehörsanspruchs, da die Vorinstanz das aufgehobene Urteil des zweiten Rechtsgangs vom 18. Dezember 2019 in der Sache wörtlich in das dritte und vorliegend angefochtene Urteil vom 9. Juni 2021 übernehme, ohne dass sie auf die Argumente eingehe, die die Beschwerdeführerin im bundesgerichtlichen Verfahren 2C 455/2020 vorgebracht habe. Der Auffassung der Beschwerdeführerin ist nicht zu folgen: Sie lässt ausser Acht, dass das Bundesgericht das vorinstanzliche Urteil vom 18. Dezember 2019 infolge Missachtung von Ausstandsvorschriften aufhob. In materieller Hinsicht äusserte es sich nicht zur Angelegenheit. Damit ergaben sich für die Vorinstanz aus dem bundesgerichtlichen Verfahren 2C 455/2020 keine Hinweise, die sie in ihrer materiellen (Neu-) Beurteilung zu beachten hatte. Insofern ordnete die Vorinstanz nach der Rückweisung auch zu Recht keinen erneuten Schriftenwechsel an (vgl. Urteil 8C 668/2012 vom 26. Februar 2013 E. 5.1). Die Rüge ist bereits deshalb unbegründet. Ferner legt die Beschwerdeführerin nicht rechtsgenüglich dar, weshalb die Vorinstanz Eingaben aus einem anderen, nicht bei ihr hängigen Verfahren zu beachten hätte. Nach dem Dargelegten musste sich die
Vorinstanz nicht mit der bundesgerichtlichen Beschwerde und Replik der Beschwerdeführerin auseinandersetzen. Eine Verletzung des Anspruchs auf rechtliches Gehör liegt nicht vor. Auch die Rüge einer Verletzung des Willkürverbots stösst ins Leere.
3.4.3. Insoweit die Beschwerdeführerin im Zusammenhang mit § 1 Abs. 4 VPO/BL und dem durchgeführten Zirkulationsverfahren überdies geltend macht (vgl. E. 3.3 hiervor), die Vorinstanz verletze auch den Begründungsanspruch als Teilgehalt des Anspruchs auf rechtliches Gehör, da nicht nachvollziehbar sei, wie der Entscheid zustandegekommen sei, ist ihr ebenfalls nicht zu folgen. In der vorliegenden Konstellation lässt sich ohne Weiteres nachvollziehen, wie das angefochtene Urteil zustande gekommen ist (vgl. auch E. 3.3.1 hiervor). Eine Verletzung des Anspruchs auf rechtliches Gehör ist auch diesbezüglich nicht zu erkennen.
3.5. Zusammenfassend ergibt sich, dass die Vorinstanz durch den Verzicht auf eine öffentliche Urteilsberatung den Grundsatz der Justizöffentlichkeit nicht verletzte. Überdies durfte die Vorinstanz ohne Widerspruch zum Anspruch auf rechtliches Gehör das aufgehobene Urteil des zweiten Rechtsgangs vom 18. Dezember 2019 wörtlich wiederholen, ohne auf die Argumente einzugehen, die die Beschwerdeführerin in der bundesgerichtlichen Beschwerde und Replik im Verfahren 2C 455/2020 vorbrachte. Die formellen Rügen der Beschwerdeführerin sind unbegründet.
4.
In der Sache rügt die Beschwerdeführerin eine willkürliche Auslegung und Anwendung von § 8 des Finanzausgleichsgesetzes des Kantons Basel-Landschaft vom 25. Juni 2009 (FAG/BL; SGS 185).
4.1. Gemäss § 134 der Verfassung des Kantons Basel-Landschaft vom 17. Mai 1984 (KV/BL; SGS 100; SR 131.222.2) stellt der Kanton den Finanzausgleich sicher, wodurch ausgewogene Verhältnisse in der Steuerbelastung sowie in den Leistungen der Gemeinden erreicht werden sollen. Gestützt auf § 135 KV/BL, wonach das Gesetz die Grundzüge des Finanzausgleichs regelt, hat der Landrat des Kantons Basel-Landschaft das Finanzausgleichsgesetz erlassen. In der bis zum 31. Dezember 2014 in Kraft stehenden Fassung des § 8 FAG/BL wird unter der Bezeichnung "Einzelbeitrag" Folgendes geregelt:
1 Eine Einwohnergemeinde erhält einen Einzelbeitrag, wenn sie sonst alle oder einzelne ihrer Aufgaben nur bei einer unzumutbaren Belastung erfüllen könnte.
2 Voraussetzungen für die Beitragsausrichtung sind eine angemessene Ausschöpfung der Eigenfinanzierungsmöglichkeiten sowie ein gemäss der Gemeindefinanzverordnung geführtes Rechnungswesen.
Der Regierungsrat gewährt Einzelbeiträge auf Gesuch hin (vgl. § 6 Abs. 1 der Finanzausgleichsverordnung des Kantons Basel-Landschaft vom 15. Dezember 2009 [FAV/BL; SGS 185.11; Stand der Fassung: 1. Januar 2014]). Gemäss § 7 Abs. 1 FAV/BL wird das Gesuch anhand der Notwendigkeit und Angemessenheit des Bedarfs (lit. a), der Einhaltung der Gemeindefinanzverordnung (lit. b), den Ursachen eines allfälligen Haushaltsungleichgewichts (lit. c), der Art und dem Anteil der Eigenfinanzierung (lit. d) sowie einem interkommunalen Belastungsvergleich insbesondere hinsichtlich Steuern und Gebühren (lit. e) geprüft. In der im Zeitpunkt des angefochtenen Urteils in Kraft stehenden Fassung des § 8 FAG/BL wird anstelle von Einzelbeitrag der Begriff des "Härtebeitrags" verwendet (vgl. auch Urteil 2C 127/2018 vom 30. April 2019 E. 2.1).
4.2. Nach Auffassung der Beschwerdeführerin verstösst die vorinstanzliche Auslegung und Anwendung von § 8 FAG/BL gegen das Willkürverbot, da sie ein offensichtlich falsches Verständnis für Finanz- und Staatshaushaltsfragen widerspiegle. Bereits bei der Auslegung unterlasse es die Vorinstanz, die einzelnen Auslegungselemente konsequent zu würdigen. In der Folge wähle die Vorinstanz zwei von acht Kennzahlen zur Beurteilung der unzumutbaren Belastung aus, welche inhaltlich falsch und unzureichend gewürdigt würden. Ausserdem vernachlässige die Vorinstanz bei der Beurteilung der Finanzlage der Beschwerdeführerin aus sachlich nicht nachvollziehbaren Gründen die getätigten Investitionen und die künftige finanzielle Entwicklung. Es liege eine willkürliche Auslegung und Anwendung kantonalen Rechts vor.
4.3. Die Vorinstanz erwägt, da § 8 Abs. 1 FAG/BL keine Kann-Bestimmung sei, liege die Ausrichtung eines Einzelbeitrags nicht im Entschliessungsermessen des Regierungsrats. Umstritten sei daher, ob die gesetzlichen Anspruchsvoraussetzungen erfüllt seien: Die Sozialhilfekosten müssten zu einer unzumutbaren Belastung der Beschwerdeführerin geführt und diese ihre Eigenfinanzierungsmöglichkeiten gemäss § 8 Abs. 2 FAG/BL ausgeschöpft haben (vgl. E. 4 und E. 5.2 des angefochtenen Urteils). Nach Auffassung der Vorinstanz ist der Sinn und Zweck des Einzelbeitrags, die gesetzliche Aufgabenerfüllung durch die Gemeinde zu gewährleisten. Die unzumutbare Belastung betreffe daher nicht den Aufwand in einem einzelnen Aufgabengebiet, sondern die daraus allfällig resultierende untragbare Steuer- und Gebührenbelastung der Einwohnerinnen und Einwohner. Der Einzelbeitrag diene mithin dem Zweck, eine Härte für den Gesamthaushalt der Gemeinde zu verhindern. Eine im interkommunalen Vergleich überdurchschnittliche Belastung in einem einzelnen Sachbereich für sich sei nicht entscheidend, da immer die Möglichkeit bestünde, dass das betreffende Gemeinwesen zugleich in einem anderen Bereich unterdurchschnittliche Lasten zu tragen habe. Dadurch könne die
aussergewöhnliche Belastung in einem Aufgabenbereich kompensiert werden (vgl. E. 5.3 des angefochtenen Urteils).
Die Einzelbeitragsregelung, so die Vorinstanz folgernd, könne daher nur in absoluten Härtefällen zur Anwendung gelangen, wenn alle zuvor ausgeschöpften Instrumente die Härte nicht vermeiden könnten. Da die Ungleichheiten unter den Gemeinden bei den sozialen Kosten bereits durch die Lastenabgeltung ordentlich ausgeglichen worden seien, müsse der Einzelbeitrag selbst als eine Art "Sozialhilfe für die Gemeinden" betrachtet werden. Die Vorinstanz gelangt zum Schluss, dass demnach eine aussergewöhnliche, objektive, finanzielle Bedrängnis im Gesamthaushalt der Beschwerdeführerin vorliegen müsse, welche die gehörige Erfüllung der gesetzlichen Aufgaben mit den zumutbarerweise erhältlich zu machenden Mitteln als gefährdet erscheinen lasse. Einer Gemeinde sei es zuzumuten, erst ihre eigenen Mittel anzuzehren, bevor ein Einzelbeitrag ausgerichtet werde. Dies verdeutliche auch die explizit in § 8 Abs. 2 FAG genannte Voraussetzung, wonach die Eigenfinanzierungsmöglichkeiten angemessen ausgeschöpft sein müssten (vgl. E. 5.5 des angefochtenen Urteils). Diese Beurteilung sei anhand von Finanzkennzahlen vorzunehmen (vgl. E. 6 des angefochtenen Urteils; vgl. auch E. 4.4.2 hiernach). Aus der Betrachtung der massgebenden Kennzahlen ergebe sich, dass
die Beschwerdeführerin ihre Eigenfinanzierungsmöglichkeiten nicht im Rahmen des Zumutbaren ausgeschöpft habe. Damit seien die Anspruchsvoraussetzungen für die Ausrichtung eines Beitrags aus dem kantonalen Ressourcenausgleichfonds nicht erfüllt (vgl. E. 7 des angefochtenen Urteils).
4.4. Beim Finanzausgleichsgesetz und bei der Finanzausgleichsverordnung handelt es sich um kantonales Recht. Kantonales Recht prüft das Bundesgericht im Grundsatz nur auf dessen Vereinbarkeit mit dem Bundesrecht (vgl. E. 2 hiervor; Art. 95 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
4.4.1. Die vorinstanzliche Auffassung, wonach der Sinn und Zweck der Einzelbeitragsregelung eine aussergewöhnliche, objektive, finanzielle Bedrängnis im Gesamthaushalt der betroffenen Gemeinde verlange, welche die gehörige Erfüllung der gesetzlichen Aufgaben mit den zumutbarerweise erhältlich zu machenden Mitteln als gefährdet erscheinen lasse, ist im Lichte ihrer Erwägungen nicht unhaltbar (vgl. E. 4.3 hiervor). Die vorinstanzliche Auslegung ist unter dem Gesichtspunkt des Willkürverbots insbesondere deswegen nicht zu beanstanden, da der Einzelbeitrag gemäss § 8 FAG/BL ein subsidiäres und ausserordentliches Instrument des interkommunalen Ausgleichs darstellt, das erst zum Tragen kommt, wenn der ordentliche Finanzausgleich (vgl. §§ 4 ff. FAG/BL; heute: Ressourcenausgleich) und die Lastenabgeltung (vgl. §§ 10 ff. FAG/BL) einen Härtefall nicht zu verhindern vermögen (vgl. auch E. 5.5 hiernach). Entgegen der Auffassung der Beschwerdeführerin gelangt die Vorinstanz mit dieser Auslegung nicht zum Schluss, dass finanzstarke Gemeinden nicht in den Genuss eines Einzelbeitrags kommen könnten. Die Vorinstanz erwägt lediglich, auch eine finanzstarke Gemeinde müsse in ihrem Gesamthaushalt zuerst in eine finanzielle Bedrängnis gelangen, obwohl
sie ihre Eigenfinanzierungsmöglichkeiten bereits angemessen ausgeschöpft habe. Die vorinstanzliche Auslegung von § 8 FAG/BL ist unter dem Blickwinkel des Willkürverbots von Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
4.4.2. Die Vorinstanz beurteilt anhand der beiden Kennzahlen des Nettoverschuldungsquotients und des Kapitaldienstanteils, ob die Beschwerdeführerin ihre Eigenfinanzierungsmöglichkeiten angemessen ausgeschöpft hat. Sie verneint aufgrund der Berechnung dieser beiden Kennzahlen die Voraussetzung der angemessenen Ausschöpfung der Eigenfinanzierungsmöglichkeiten, weshalb auch keine unzumutbare Belastung für die Beschwerdeführerin vorliegen könne (vgl. E. 7.1 des angefochtenen Urteils). Die Beschwerdeführerin bemängelt die Auswahl der Kennzahlen und die Beurteilung der Anspruchsvoraussetzungen anhand dieser beiden Kennzahlen.
4.4.2.1. Während der Nettoverschuldungsquotient angibt, welcher Anteil der Steuererträge erforderlich ist, um die Nettoschulden (Fremdkapital abzüglich Finanzvermögen) abzutragen, stellt der Kapitaldienst-anteil ein Mass für die Belastung des Finanzhaushalts durch die Kapitalkosten (Zinsen und Abschreibungen) dar (vgl. auch E. 6.2 und E. 6.5 des angefochtenen Urteils). Dass die Vorinstanz die beiden Kennzahlen offensichtlich unrichtig ermittelt und anhand eines offensichtlich falschen Massstabs bewertet hätte, macht die Beschwerdeführerin nicht geltend (vgl. Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
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1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
verwendet werden muss (vgl. auch E. 6.2, E. 6.5 und E. 7.1 des angefochtenen Urteils).
4.4.2.2. Die Beschwerdeführerin legt nicht hinreichend dar, dass die beiden Kennzahlen ungeeignet wären, um zu beurteilen, ob sie ihre Eigenfinanzierungsmöglichkeiten angemessen ausgeschöpft hat. Wie die Beschwerdeführerin zwar zu Recht vorbringt, sind auch der Selbstfinanzierungsgrad und der Zinsbelastungsanteil anerkannte Finanzkennzahlen. Jedoch zeigt die Beschwerdeführerin nicht auf, dass die Verwendung dieser oder anderer Kennzahlen ein erheblich anderes Bild ihrer finanziellen Gesamtsituation zeichnete. Hierfür unzureichend ist insbesondere, lediglich vorzubringen, gemäss den Empfehlungen der kantonalen Finanzdirektoren würden neben dem Nettoverschuldungsquotienten die Finanzkennzahlen des Selbstfinanzierungsgrads und des Zinsbelastungsanteils als prioritär gelten. Die Vorinstanz begründet, weshalb sie diese und andere Kennzahlen für die Beurteilung der Anspruchsvoraussetzungen von § 8 FAG/BL als ungeeignet ansieht (vgl. E. 6.3 und E. 6.6 des angefochtenen Urteils; vgl. auch E. 6.4 und E. 6.7 des angefochtenen Urteils). Die Beschwerdeführerin hätte sich mit der vorinstanzlichen Begründung auseinandersetzen und darin aufzeigen müssen, dass deren Beachtung ein massgeblich anderes Ergebnis zur Folge hätte.
4.4.2.3. Überdies weist der Regierungsrat in seiner Vernehmlassung darauf hin, dass die Berücksichtigung anderer Finanzkennzahlen ein (noch) besseres Bild der Finanzlage der Beschwerdeführerin gezeichnet hätte. Entgegen der Auffassung der Beschwerdeführerin erweist sich die vorinstanzliche Beurteilung der Anspruchsvoraussetzungen, die sich im Wesentlichen auf die Berechnung zweier Kennzahlen abstützt, damit als haltbar. Es ist nicht ersichtlich, dass das vorinstanzliche Ergebnis in klarem Widerspruch zur tatsächlichen Situation steht.
4.4.3. Gleiches gilt auch für das Vorbringen der Beschwerdeführerin, die Vorinstanz klammere aus sachlich nicht nachvollziehbaren Gründen die Investitionen bei der Beurteilung ihrer Finanzlage aus. Die Vorinstanz legt diesbezüglich dar, dass Investitionsentscheide beeinflussbar und von Jahr zu Jahr starken Schwankungen unterworfen seien. Deshalb sei deren Berücksichtigung nicht geeignet, die Finanzlage einer Gemeinde abzubilden (vgl. E. 6.6 des angefochtenen Urteils). Diese vorinstanzliche Auffassung ist nicht unhaltbar, auch wenn der Einbezug der Investitionstätigkeit ein besseres Gesamtbild über den finanziellen Gesamthaushalt geben könnte. Die Beschwerdeführerin legt denn auch in diesem Zusammenhang nicht dar, dass die Berücksichtigung der Investitionen ein wesentlich anderes Bild ihres finanziellen Gesamthaushalts ergäbe. Unter dem Gesichtspunkt des Willkürverbots ist es im Ergebnis daher auch nicht zu beanstanden, wenn die Vorinstanz für die Beurteilung der Anspruchsvoraussetzungen von § 8 FAG/BL die Investitionstätigkeit nicht berücksichtigt.
4.4.4. Die Beschwerdeführerin macht sodann geltend, dass durch die Ermittlung von Kennzahlen lediglich die Vergangenheit berücksichtigt werde. Die finanzielle Situation einer Gemeinde stehe jedoch auch in grosser Abhängigkeit von künftigen, mittelfristigen Aufwendungen und Erträgen. Die Beurteilung der Unzumutbarkeit der Belastung und der Ausschöpfung der Eigenfinanzierungsmöglichkeiten bedinge eine Zukunftsbetrachtung. Dass die Vorinstanz die künftige Entwicklung nicht beachte, sei willkürlich.
Der Beschwerdeführerin ist nicht zu folgen: Es mag aus betriebswirtschaftlichen Überlegungen zwar zutreffen, dass die Finanzlage im Grundsatz unter Einbezug der künftigen Ertragslage zu beurteilen ist. Die Beschwerdeführerin lässt jedoch ausser Acht, dass sie einen Einzelbeitrag jederzeit erneut beantragen kann. Einem sich verschlechternden kommunalen Gesamthaushalt kann der Regierungsrat auch in Zukunft noch Rechnung tragen. Deshalb erweist es sich nicht als willkürlich, für die Beurteilung der Anspruchsvoraussetzungen für das Jahr 2014 primär auf die aktuelle finanzielle Situation im Sinne einer Momentaufnahme abzustellen. Insoweit die Beschwerdeführerin in diesem Zusammenhang anhand der "Discounted Free Cash Flow"-Methode (nachfolgend: DCF-Methode) aufzuzeigen versucht, dass in Zukunft ihre Mittel ausgeschöpft sind, stösst ihre Darlegung ins Leere. Mit der DCF-Methode wird in erster Linie der Ertragswert eines Unternehmens ermittelt. Eine Aussage über die angemessene Ausschöpfung der Eigenfinanzierungsmöglichkeiten einer Gemeinde lässt sich mit Hilfe dieser Methode nur bedingt treffen. Insbesondere werden damit die bestehende Steuerbelastung sowie der Spielraum für eine künftige Verschuldung oder Steuerfusserhöhung nicht
berücksichtigt.
4.5. Nach dem Dargelegten verfällt die Vorinstanz nicht in Willkür, wenn sie zum Schluss gelangt, die Anspruchsvoraussetzungen für einen Einzelbeitrag im Sinne von § 8 FAG/BL lägen nicht vor. Es erweist sich ohne Weiteres als haltbar, darauf hinzuweisen, dass die Ungleichheiten unter den Gemeinden bei den sozialen Kosten bereits durch die Lastenabgeltung ordentlich ausgeglichen würden (vgl. E. 4.4.1 hiervor). Daran vermag auch der von der Beschwerdeführerin vorgetragene Umstand nichts ändern, wonach die Lastenabgeltung weniger als die Hälfte der überdurchschnittlichen Sozialhilfekosten zu decken vermöge. Entgegen der Auffassung der Beschwerdeführerin resultiert aus einer unzureichenden ordentlichen Lastenabgeltung gemäss § 8 FAG/BL jedenfalls kein Anspruch auf einen Einzelbeitrag.
Im Ergebnis erwägt die Vorinstanz in bundesrechtskonformer Weise, dass die Einzelbeitragsregelung nur in absoluten Härtefällen zur Anwendung gelangen könne und die Beschwerdeführerin nicht vor jeglicher Neuverschuldung oder Heranziehung des kommunalen Vermögenssubstrats bewahre. Die Vorinstanz zeigt verfassungskonform auf, dass die Beschwerdeführerin im Beurteilungszeitpunkt 2014 ihre Eigenfinanzierungsmöglichkeiten nicht angemessen ausgeschöpft hat, weshalb kein Anspruch auf einen Einzelbeitrag besteht. Insoweit die Beschwerdeführerin letztlich eine Verletzung des Rechtsgleichheitsgebots nach Art. 8 Abs. 1
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 8 Égalité - 1 Tous les êtres humains sont égaux devant la loi. |
|
1 | Tous les êtres humains sont égaux devant la loi. |
2 | Nul ne doit subir de discrimination du fait notamment de son origine, de sa race, de son sexe, de son âge, de sa langue, de sa situation sociale, de son mode de vie, de ses convictions religieuses, philosophiques ou politiques ni du fait d'une déficience corporelle, mentale ou psychique. |
3 | L'homme et la femme sont égaux en droit. La loi pourvoit à l'égalité de droit et de fait, en particulier dans les domaines de la famille, de la formation et du travail. L'homme et la femme ont droit à un salaire égal pour un travail de valeur égale. |
4 | La loi prévoit des mesures en vue d'éliminer les inégalités qui frappent les personnes handicapées. |
5.
Die Beschwerdeführerin rügt im Weiteren eine Verletzung ihrer Gemeindeautonomie.
5.1. Die Beschwerdeführerin macht geltend, die Vorinstanz lasse die Wechselwirkung zwischen der Gemeindeautonomie und dem Finanzausgleich ausser Acht. Ein weiterer Verbrauch von Eigenkapital oder ein zusätzlicher Anstieg der Verschuldung dürfe nicht verlangt werden. Zudem liege sie mit ihrem Steuerfuss bereits über dem kantonalen Durchschnitt. Nur zehn weitere Gemeinden hätten einen gleichen oder höheren Steuerfuss. Weitere Mittel könnten nicht über die Steuereinnahmen generiert werden.
5.2. Gemäss Art. 50 Abs. 1
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 50 - 1 L'autonomie communale est garantie dans les limites fixées par le droit cantonal. |
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1 | L'autonomie communale est garantie dans les limites fixées par le droit cantonal. |
2 | La Confédération tient compte des conséquences éventuelles de son activité pour les communes. |
3 | Ce faisant, elle prend en considération la situation particulière des villes, des agglomérations urbaines et des régions de montagne. |
5.2.1. Gemeinden sind in einem Sachbereich autonom, wenn das kantonale Recht diesen nicht abschliessend ordnet, sondern ihn ganz oder teilweise der Gemeinde zur Regelung überlässt und ihr dabei eine relativ erhebliche Entscheidungsfreiheit einräumt. Die Existenz und der Umfang der Gemeindeautonomie in einem konkreten Sachbereich bestimmten sich folglich nach Massgabe des kantonalen Verfassungs- und Gesetzesrechts. Der geschützte Autonomiebereich kann sich auf die Befugnis zum Erlass oder Vollzug eigener kommunaler Vorschriften beziehen oder einen entsprechenden Spielraum bei der Anwendung kantonalen oder eidgenössischen Rechts betreffen. Der Schutz der Gemeindeautonomie setzt eine solche nicht in einem ganzen Aufgabengebiet, sondern lediglich im streitigen Bereich voraus (vgl. BGE 147 I 136 E. 2.1; 146 I 83 E. 2.1).
5.2.2. Die Gemeindeautonomie gilt nicht absolut, sondern besteht nur innerhalb der vom übergeordneten Recht festgelegten Grenzen. Den Gemeinden kommt im interkommunalen Finanzausgleich regelmässig kein Selbstbestimmungsrecht zu, da weder der Vollzug solcher kantonaler Vorschriften den Gemeinden übertragen wird noch die Art der zu regelnden Materie den einzelnen Gemeinden Raum belässt. Ein geschützter Autonomiebereich wäre aber insofern zu bejahen, wenn der Finanzausgleich die Gemeinde bei der Erfüllung von Aufgaben behindern kann, die sie autonom erledigen darf (vgl. BGE 144 I 193 E. 7.4; 135 I 43 E. 1.2; 119 Ia 214 E. 3b; Urteil 2C 127/2018 vom 30. Mai 2018 E. 1.2; vgl. auch BGE 147 I 136 E. 2.3.4 f.).
5.2.3. Laut § 45 Abs. 1 KV/BL sind die Gemeinden im Rahmen von Verfassung und Gesetz befugt, sich selbst zu organisieren, ihre Behördenmitglieder sowie Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter zu wählen oder anzustellen, ihre eigenen Aufgaben nach freiem Ermessen zu erfüllen und ihre öffentlichen Sachen selbständig zu verwalten. Alle kantonalen Organe achten und schützen die Selbständigkeit der Gemeinden (vgl. § 45 Abs. 2 KV/BL). Kanton, Gemeinden und Zweckverbände erheben die zur Erfüllung ihrer Aufgaben notwendigen Abgaben (vgl. § 130 Abs. 1 KV/BL), wobei die Gemeinden nach dem kantonalen Recht Einkommens- und Vermögenssteuern von den natürlichen Personen sowie Ertrags- und Kapitalsteuern von den juristischen Personen erheben und den Steuerfuss innerhalb eines gesetzlich begrenzten Rahmens festsetzen (vgl. § 132 Abs. 1 und Abs. 2 KV/BL). Ge-mäss § 134 KV/BL stellt der Kanton den Finanzausgleich sicher, wodurch ausgewogene Verhältnisse in der Steuerbelastung sowie in den Leistungen der Gemeinden erreicht werden sollen.
5.3. Die Vorinstanz erwägt, die Gemeinden könnten ihre Aufgaben nur erfüllen und von ihrer Autonomie nur Gebrauch machen, wenn ihnen genügend finanzielle Mittel zur Verfügung stünden. Das sei zunächst dadurch gewährleistet, dass die Gemeinden gemäss § 130 Abs. 1 KV/BL befugt seien, die zur Erfüllung ihrer Aufgaben notwendigen Abgaben zu erheben. Darunter fielen insbesondere Steuern (vgl. § 132 KV/BL). Entgegen der Auffassung der Beschwerdeführerin, so die Vorinstanz, bleibe sie frei, den Steuerfuss festzusetzen und sich auf diese Weise die benötigten Mittel zu verschaffen. Dass sie dabei von gewissen faktischen Zwängen nicht verschont werde, bewirke keinen Eingriff in ihre Autonomie. Gemäss § 134 KV/BL stelle der Kanton den Finanzausgleich sicher, wodurch ausgewogene Verhältnisse in der Steuerbelastung sowie in den Leistungen der Gemeinden erreicht werden sollten. Dabei handle es sich indes um eine programmatische Norm, die sich an den kantonalen Gesetzgeber richte. Die Gemeindeautonomie der Beschwerdeführerin verleihe ihr keine Ansprüche, die über das im Finanzausgleichsgesetz Geregelte hinausgingen (vgl. E. 9 des angefochtenen Urteils).
5.4. Den Gemeinden kommt im interkommunalen Finanzausgleich regelmässig kein Selbstbestimmungsrecht zu (vgl. E. 5.2.2 hiervor). Dies gilt auch für die vorliegende Angelegenheit, da der interkommunale Finanzausgleich in erster Linie durch den Regierungsrat festgelegt und vollzogen wird (vgl. § 1 Abs. 1 FAV/BL; § 3 Abs. 1 FAV/BL; § 6 Abs. 1 FAV/BL). Es ist auch nicht zu erkennen, dass die Ausgestaltung des Finanzausgleichs, wozu der umstrittene Einzelbeitrag zählt, die Beschwerdeführerin bei der Erfüllung von Aufgaben behindert, die sie autonom erledigen darf. Die Beschwerdeführerin bringt nicht vor, dass sie mangels Gewährung des Einzelbeitrags die gesetzlich vorgesehenen und übertragenen Aufgaben nicht mehr angemessen erfüllen könne. Ebenso wenig legt sie dar, dass sie wegen des verweigerten Einzelbeitrags bei der Erfüllung ihrer Aufgaben behindert würde.
5.5. Ausserdem verschafft der interkommunale Finanzausgleich der kantonsverfassungsrechtlich verankerten Gemeindeautonomie ausreichend Nachachtung: Es besteht ein Finanzausgleich nach §§ 4 ff. FAG/BL (heute: Ressourcenausgleich), der anhand der finanziellen Gesamtlage die Gemeinden in Geber- und Nehmergemeinden unterteilt. Auf diese Weise besteht zwischen den Gemeinden ein solidarischer Ausgleich. Ausserdem besteht eine Lastenabgeltung nach §§ 10 ff. FAG/BL, die gemäss § 12 FAG/BL unter anderem die Sonderlasten im Bereich der Sozialhilfe beachtet. Der Einzelbeitrag für Härtefälle im Sinne von § 8 FAG/BL stellt in diesem System des interkommunalen Finanzausgleichs ein subsidiäres und ausserordentliches Instrument dar (vgl. auch E. 4.4.1 hiervor). Im Weiteren stösst auch das Vorbringen der Beschwerdeführerin ins Leere, die Vorinstanz verletze ihre Gemeindeautonomie, da sie den Anspruch auf einen Einzelbeitrag mit der Begründung verweigere, die Beschwerdeführerin habe zur Ausschöpfung ihrer Eigenfinanzierungsmöglichkeiten den Steuerfuss anzuheben. Dieser Vorwurf trifft nicht zu. Vielmehr erwägt die Vorinstanz, die Regelung des Einzelbeitrags bewahre die Beschwerdeführerin nicht vor jeglicher Neuverschuldung oder Heranziehung des
kommunalen Vermögenssubstrats (vgl. E. 4.5 hiervor). Im vorinstanzlichen Hinweis darauf, dass die Beschwerdeführerin von gewissen faktischen Zwängen nicht verschont werde, ist jedenfalls keine implizite Forderung nach einer Steuerfusserhöhung zu erkennen.
5.6. Nachdem die Vorinstanz verfassungskonform davon hat ausgehen dürfen, dass die Anspruchsvoraussetzungen für einen Einzelbeitrag nicht gegeben seien (vgl. E. 4 hiervor),sowie angesichts der übrigen Instrumente des interkommunalen Finanzausgleichs kann keine Verletzung der Gemeindeautonomie erblickt werden. Der interkommunale Finanzausgleich im Sinne von § 134 KV/BL trägt der in § 45 KV/BL verankerten Gemeindeautonomie in der vorliegenden Angelegenheit hinreichend Rechnung.
6.
Im Ergebnis erweist sich die Beschwerde als unbegründet, weshalb sie abzuweisen ist. Bei diesem Verfahrensausgang trägt die Beschwerdeführerin, die in ihrem Vermögensinteresse handelt, die Gerichtskosten (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 2'000.-- werden der Beschwerdeführerin auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Verfahrensbeteiligten und dem Kantonsgericht Basel-Landschaft, Abteilung Verfassungs- und Verwaltungsrecht, mitgeteilt.
Lausanne, 21. Februar 2022
Im Namen der II. öffentlich-rechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Die Präsidentin: F. Aubry Girardin
Der Gerichtsschreiber: M. Zollinger