Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

{T 0/2}

4D_64/2014

Urteil vom 20. Januar 2015

I. zivilrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichterin Kiss, Präsidentin,
Bundesrichterinnen Klett, Hohl,
Gerichtsschreiber Brugger.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Stephan Stulz,
Beschwerdeführer,

gegen

B.________ GmbH,
vertreten durch Rechtsanwalt Stefan Semela,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Forderung,

Verfassungsbeschwerde gegen den Entscheid des Obergerichts des Kantons Aargau, Zivilgericht, 2. Kammer, vom 18. Juni 2014.

Sachverhalt:

A.
Zwischen A.________ (Beklagter, Beschwerdeführer) bzw. dessen Einzelfirma "C.________" und der B.________ GmbH (Klägerin, Beschwerdegegnerin) bestand eine Geschäftsbeziehung. Die Klägerin fordert die Bezahlung von sieben Rechnungen für Waren, welche sie dem Einzelunternehmen des Beklagten in den Jahren 2008 und 2009 verkauft und geliefert haben will. Der Beklagte behauptet, die Waren weder bestellt noch erhalten zu haben.

B.
Mit Klage vom 24. Mai 2012 an das Bezirksgericht Bremgarten beantragte die Klägerin sinngemäss, der Beklagte sei zu verpflichten, ihr den Betrag von Fr. 19'649.15 nebst Zins zu 5 % seit 22. Juli 2011 zu bezahlen und es sei in diesem Umfang der Rechtsvorschlag in der Betreibung Nr. xxx des Betreibungsamts Villmergen aufzuheben.
Das Bezirksgericht hiess die Klage grösstenteils gut. Es verpflichtete den Beklagten, der Klägerin Fr. 19'546.15 nebst Zins zu 5 % seit dem 16. Januar 2012 zu bezahlen und beseitigte den Rechtsvorschlag in diesem Umfang. Zudem verpflichtete es den Beklagten, der Klägerin eine Parteientschädigung von Fr. 8'888.10 zu bezahlen.
Eine gegen diesen Entscheid erhobene Berufung des Beklagten hiess das Obergericht des Kantons Aargau mit Entscheid vom 18. Juni 2014 bezüglich der vom Bezirksgericht festgesetzten Parteientschädigung gut und setzte diese neu auf Fr. 6'279.25 fest. Im Übrigen wies es die Berufung ab.

C.
Der Beschwerdeführer verlangt mit subsidiärer Verfassungsbeschwerde, es sei "das vorinstanzliche Urteil aufzuheben und der Vorinstanz zur Ergänzung des Sachverhalts sowie zur Neubeurteilung zurückzuweisen."
Die Beschwerdegegnerin beantragt, die Beschwerde abzuweisen soweit darauf einzutreten sei. Der Beschwerdeführer reichte dazu eine Replik ein. Die Vorinstanz verzichtete auf eine Vernehmlassung zur Beschwerde.

Erwägungen:

1.
Das Bundesgericht prüft von Amtes wegen und mit freier Kognition, ob ein Rechtsmittel zulässig ist (BGE 139 III 133 E. 1 mit Hinweisen).

1.1. Der angefochtene Entscheid des Obergerichts des Kantons Aargau ist ein verfahrensabschliessender Endentscheid (Art. 117
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 117 Procédure de recours - Les art. 90 à 94, 99, 100, 102, 103, al. 1 et 3, 104, 106, al. 2, et 107 à 112 s'appliquent par analogie à la procédure du recours constitutionnel.
i.V.m. Art. 90
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure.
BGG) einer letzten kantonalen Instanz im Sinne von Art. 114
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 114 Autorités précédentes - Les art. 75 et 86 relatifs aux autorités cantonales précédentes sont applicables par analogie.
i.V.m. Art. 75 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 75 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
1    Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
2    Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours, sauf si:
a  une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
b  un tribunal spécialisé dans les litiges de droit commercial statue en instance cantonale unique;
c  une action ayant une valeur litigieuse d'au moins 100 000 francs est déposée directement devant le tribunal supérieur avec l'accord de toutes les parties.
und 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 75 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
1    Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
2    Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours, sauf si:
a  une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
b  un tribunal spécialisé dans les litiges de droit commercial statue en instance cantonale unique;
c  une action ayant une valeur litigieuse d'au moins 100 000 francs est déposée directement devant le tribunal supérieur avec l'accord de toutes les parties.
BGG. Der Streitwert der vorliegenden Angelegenheit beläuft sich auf Fr. 19'546.15 (Art. 51 Abs. 1 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 51 Calcul - 1 La valeur litigieuse est déterminée:
1    La valeur litigieuse est déterminée:
a  en cas de recours contre une décision finale, par les conclusions restées litigieuses devant l'autorité précédente;
b  en cas de recours contre une décision partielle, par l'ensemble des conclusions qui étaient litigieuses devant l'autorité qui a rendu cette décision;
c  en cas de recours contre une décision préjudicielle ou incidente, par les conclusions restées litigieuses devant l'autorité compétente sur le fond;
d  en cas d'action, par les conclusions de la demande.
2    Si les conclusions ne tendent pas au paiement d'une somme d'argent déterminée, le Tribunal fédéral fixe la valeur litigieuse selon son appréciation.
3    Les intérêts, les fruits, les frais judiciaires et les dépens qui sont réclamés comme droits accessoires, les droits réservés et les frais de publication du jugement n'entrent pas en ligne de compte dans la détermination de la valeur litigieuse.
4    Les revenus et les prestations périodiques ont la valeur du capital qu'ils représentent. Si leur durée est indéterminée ou illimitée, le capital est formé par le montant annuel du revenu ou de la prestation, multiplié par vingt, ou, s'il s'agit de rentes viagères, par la valeur actuelle du capital correspondant à la rente.
BGG) und erreicht damit die Streitwertgrenze von Fr. 30'000.-- für die Zulässigkeit der Beschwerde in Zivilsachen nicht (Art. 74 Abs. 1 lit. b
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 74 Valeur litigieuse minimale - 1 Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à:
1    Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à:
a  15 000 francs en matière de droit du travail et de droit du bail à loyer;
b  30 000 francs dans les autres cas.
2    Même lorsque la valeur litigieuse minimale n'est pas atteinte, le recours est recevable:
a  si la contestation soulève une question juridique de principe;
b  si une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
c  s'il porte sur une décision prise par une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
d  s'il porte sur une décision prise par le juge de la faillite ou du concordat;
e  s'il porte sur une décision du Tribunal fédéral des brevets.
BGG). Die erhobene subsidiäre Verfassungsbeschwerde erweist sich demnach als das zulässige Rechtsmittel (Art. 113
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 113 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours constitutionnels contre les décisions des autorités cantonales de dernière instance qui ne peuvent faire l'objet d'aucun recours selon les art. 72 à 89.
BGG).

1.2. Die Beschwerde hat ein Rechtsbegehren zu enthalten (Art. 42 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG). Dieses ist unter Berücksichtigung der Beschwerdebegründung nach Treu und Glauben auszulegen (BGE 136 V 131 E. 1.2 S. 136; 123 IV 125 E. 1; 105 II 149 E. 2a). Die subsidiäre Verfassungsbeschwerde ist wie die Beschwerde in Zivilsachen ein reformatorisches Rechtsmittel (Art. 117
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 117 Procédure de recours - Les art. 90 à 94, 99, 100, 102, 103, al. 1 et 3, 104, 106, al. 2, et 107 à 112 s'appliquent par analogie à la procédure du recours constitutionnel.
i.V.m. Art. 107 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 107 Arrêt - 1 Le Tribunal fédéral ne peut aller au-delà des conclusions des parties.
1    Le Tribunal fédéral ne peut aller au-delà des conclusions des parties.
2    Si le Tribunal fédéral admet le recours, il statue lui-même sur le fond ou renvoie l'affaire à l'autorité précédente pour qu'elle prenne une nouvelle décision. Il peut également renvoyer l'affaire à l'autorité qui a statué en première instance.
3    Si le Tribunal fédéral considère qu'un recours en matière d'entraide pénale internationale ou d'assistance administrative internationale en matière fiscale est irrecevable, il rend une décision de non-entrée en matière dans les quinze jours qui suivent la fin d'un éventuel échange d'écritures. Dans le domaine de l'entraide pénale internationale, le Tribunal fédéral n'est pas lié par ce délai lorsque la procédure d'extradition concerne une personne dont la demande d'asile n'a pas encore fait l'objet d'une décision finale entrée en force.100
4    Le Tribunal fédéral statue sur tout recours contre une décision du Tribunal fédéral des brevets portant sur l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets101 dans le mois qui suit le dépôt du recours.102
BGG). Der Beschwerdeführer darf sich daher grundsätzlich nicht darauf beschränken, die Aufhebung des angefochtenen Entscheids zu beantragen, sondern muss einen Antrag in der Sache stellen. Er hat demnach anzugeben, welche Teile des Entscheiddispositivs angefochten und welche Abänderungen beantragt werden. Ein Antrag auf Rückweisung der Sache an die Vorinstanz zur neuen Entscheidung oder blosse Aufhebungsanträge genügen nicht und machen die Beschwerde unzulässig. Ein blosser Rückweisungsantrag reicht ausnahmsweise aus, wenn das Bundesgericht im Falle der Gutheissung nicht selbst in der Sache entscheiden könnte, weil die erforderlichen Sachverhaltsfeststellungen der Vorinstanz fehlen (BGE 136 V 131 E. 1.2 S. 135; 134 III 379 E. 1.3; 133 III 489 E. 3.1).
Der Beschwerdeführer beantragt in seinem Rechtsbegehren sinngemäss lediglich die Aufhebung des angefochtenen Urteils und die Rückweisung der Sache zur Neubeurteilung. Einen Antrag in der Sache stellt er nicht und gibt nicht an, inwiefern das Dispositiv des angefochtenen Entscheids zu ändern wäre. Auch aus seiner Beschwerdebegründung ergibt sich nicht ohne weiteres, was für einen materiellen Antrag der Beschwerdeführer stellen möchte. Er rügt jedoch in mehrfacher Hinsicht eine Verletzung seines Anspruchs auf rechtliches Gehör (Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
1    Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
2    Les parties ont le droit d'être entendues.
3    Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert.
BV). D as Bundesgericht könnte, sollte es die Rechtsauffassung des Beschwerdeführers in diesen Punkten teilen, nicht selbst entscheiden, sondern müsste die Sache zur Behebung der angeblichen Verfahrensmängel und zur weiteren Abklärung der tatsächlichen Grundlagen an die Vorinstanz zurückweisen. Der Rückweisungsantrag des Beschwerdeführers genügt daher.

1.3. Da auch die übrigen Sachurteilsvoraussetzungen erfüllt sind, ist - unter Vorbehalt einer hinreichenden Begründung (Art. 42 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG) - auf die Beschwerde einzutreten.

2.

2.1. Mit der subsidiären Verfassungsbeschwerde kann nur die Verletzung von verfassungsmässigen Rechten gerügt werden (Art. 116
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 116 Motifs de recours - Le recours constitutionnel peut être formé pour violation des droits constitutionnels.
BGG). Diesbezüglich gilt eine qualifizierte Rügepflicht. Das Bundesgericht prüft die Verletzung verfassungsmässiger Rechte nur, wenn diese Rüge gemäss den Anforderungen von Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
i.V.m. Art. 117
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 117 Procédure de recours - Les art. 90 à 94, 99, 100, 102, 103, al. 1 et 3, 104, 106, al. 2, et 107 à 112 s'appliquent par analogie à la procédure du recours constitutionnel.
BGG ausdrücklich vorgebracht und klar und detailliert begründet wird (BGE 138 I 171 E. 1.4; 136 I 332 E. 2.1; 134 V 138 E. 2.1; 133 III 439 E. 3.2 S. 444). In einer Verfassungsbeschwerde muss rechtsgenügend dargelegt werden, welche verfassungsmässigen Rechte durch das kantonale Gericht inwiefern verletzt worden sind, und solche Rügen sind unter Bezugnahme auf die Erwägungen des angefochtenen Entscheids klar und detailliert zu begründen (BGE 135 III 232 E. 1.2; 133 III 589 E. 2). Der Beschwerdeführer soll in der Beschwerdeschrift nicht bloss die Rechtsstandpunkte, die er im kantonalen Verfahren eingenommen hat, erneut bekräftigen, sondern mit seiner Kritik an den als rechtsfehlerhaft erachteten Erwägungen der Vorinstanz ansetzen (vgl. BGE 134 II 244 E. 2.1 S. 245 f.).
Macht die beschwerdeführende Partei eine Verletzung des Willkürverbots von Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
BV geltend, genügt es nicht, wenn sie einfach behauptet, der angefochtene Entscheid sei willkürlich (BGE 134 II 349 E. 3 S. 352; 133 I 1 E. 5.5). Willkür liegt nicht schon dann vor, wenn eine andere Lösung ebenfalls in Betracht zu ziehen oder gar vorzuziehen wäre, sondern nur, wenn der angefochtene Entscheid offensichtlich unhaltbar ist, mit der tatsächlichen Situation in klarem Widerspruch steht, eine Norm oder einen unumstrittenen Rechtsgrundsatz krass verletzt oder in stossender Weise dem Gerechtigkeitsgedanken zuwiderläuft (BGE 140 III 16 E. 2.1; 139 III 334 E. 3.2.5 S. 339; 138 IV 13 E. 5.1 S. 22; 134 II 124 E. 4.1). Die Beweiswürdigung ist nicht schon dann willkürlich, wenn vom Sachrichter gezogene Schlüsse nicht mit der Darstellung der beschwerdeführenden Partei übereinstimmen (BGE 140 III 264 E. 2.3 S. 266), sondern bloss, wenn sie offensichtlich unhaltbar ist (BGE 135 II 356 E. 4.2.1; 129 I 8 E. 2.1; 116 Ia 85 E. 2b). Dies ist insbesondere dann der Fall, wenn das Sachgericht offensichtlich unhaltbare Schlüsse zieht, erhebliche Beweise übersieht oder solche willkürlich ausser Acht lässt (vgl. BGE 140 III 264 E. 2.3 S. 266; 129 I 8 E. 2.1; 120
Ia 31
E. 4b). Inwiefern der angefochtene Entscheid offensichtlich unhaltbar ist, muss der Beschwerdeführer im Einzelnen aufzeigen (BGE 134 II 244 E. 2.2; 130 I 258 E. 1.3 S. 262). Namentlich genügt es nicht, einzelne Beweise anzuführen, die anders als im angefochtenen Entscheid gewichtet werden sollen, und dem Bundesgericht in appellatorischer Kritik die eigene Auffassung zu unterbreiten, als ob diesem eine freie Sachverhaltsprüfung zukäme (vgl. BGE 116 Ia 85 E. 2b).

2.2. Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 118 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 118 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis en violation du droit au sens de l'art. 116.
BGG). Dazu gehören sowohl die Feststellungen über den Lebenssachverhalt, der dem Streitgegenstand zugrunde liegt, als auch jene über den Ablauf des vor- und erstinstanzlichen Verfahrens, also die Feststellungen über den Prozesssachverhalt (BGE 140 III 16 E. 1.3.1). Es kann davon nur abweichen, wenn die Sachverhaltsfeststellung unter Verletzung eines verfassungsmässigen Rechts zustande kam (Art. 118 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 118 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis en violation du droit au sens de l'art. 116.
und Art. 116
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 116 Motifs de recours - Le recours constitutionnel peut être formé pour violation des droits constitutionnels.
BGG). Wird Letzteres geltend gemacht, ist neben der Erheblichkeit der gerügten Tatsachenfeststellung für den Ausgang des Verfahrens klar und detailliert darzutun, inwiefern diese verfassungswidrig, insbesondere willkürlich, sein soll (BGE 136 I 332 E. 2.2; 133 III 393 E. 7.1, 585 E. 4.1 S. 588 f.). Wird eine verfassungswidrige Nichtberücksichtigung von behaupteten, im angefochtenen Entscheid aber nicht festgestellten Tatsachen geltend gemacht, ist mit Aktenhinweisen darzulegen, dass diese rechtsrelevanten Tatsachen bereits bei der Vorinstanz prozessrechtskonform eingebracht wurden, indessen von jener unter Verletzung eines verfassungsmässigen Rechts unberücksichtigt gelassen worden seien. Ansonsten
gelten sie als neu und daher unzulässig (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
i.V.m. Art. 117
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 117 Procédure de recours - Les art. 90 à 94, 99, 100, 102, 103, al. 1 et 3, 104, 106, al. 2, et 107 à 112 s'appliquent par analogie à la procédure du recours constitutionnel.
BGG; Urteil 4D_41/2009 vom 14. Mai 2009 E. 2.2; vgl. BGE 140 III 86 E. 2 S. 90 für die Beschwerde in Zivilsachen).

2.3. Wie nachstehend aufzuzeigen ist, genügt die vorliegende Beschwerdeschrift diesen Anforderungen in weiten Teilen nicht. So wirft der Beschwerdeführer der Vorinstanz namentlich mannigfach, ohne jegliche Systematik vor, in Willkür verfallen zu sein und seinen Anspruch auf rechtliches Gehör verletzt zu haben, ohne rechtsgenügend auf die Erwägungen im angefochtenen Entscheid Bezug zu nehmen und unter hinlänglicher Auseinandersetzung mit den entsprechenden Ausführungen aufzuzeigen, inwiefern der damit begründete Entscheid die angerufenen verfassungsmässigen Rechte verletzen soll. Auch soweit der Beschwerdeführer bloss einzelne Gesetzesbestimmungen anruft, ohne dabei eine Verletzung von verfassungsmässigen Rechten darzulegen oder sich seine Vorbringen in blosser appellatorischer Kritik am angefochtenen Entscheid erschöpft, kann auf seine Rügen nicht eingetreten werden (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG; BGE 134 II 244 E. 2.1). Soweit auf die Vorbringen in der Beschwerde überhaupt einzugehen ist, ist dazu was folgt auszuführen:

3.
Die Erstinstanz, deren Entscheid die Vorinstanz schützte, war zum Schluss gekommen, dass der Beschwerdeführer bei der Beschwerdegegnerin Waren bestellt habe, wobei die Bestellungen auf zwei Arten erfolgt seien: Einerseits habe der Beschwerdeführer vorab mit der Beschwerdegegnerin telefoniert und Waren bestellt. Die Waren seien dann von der Beschwerdegegnerin zur Abholung durch D.________ bereitgestellt worden. Anderseits habe der Beschwerdeführer D.________ mit einem Zettel zur Beschwerdegegnerin geschickt, auf welchem er die abzuholenden Waren aufgeschrieben habe. In beiden Varianten habe D.________ die Abholung der Waren jeweils mit seiner Unterschrift auf den ihm vorgelegten Rechnungen bestätigt. In einem Fall habe der Beschwerdeführer die Waren sodann selbst abgeholt und mit seiner Unterschrift den Empfang der Waren bestätigt.
In den Fällen, in denen der Beschwerdeführer bei der Beschwerdegegnerin angerufen und Waren telefonisch bestellt habe, so die Vorinstanz weiter, seien die Kaufverträge durch Austausch übereinstimmender Willenserklärungen unmittelbar unter Anwesenden zustande gekommen. Im restlichen Teil der Fälle habe sich der Beschwerdeführer beim Vertragsschluss D.________ als Bote bedient. Im Übrigen wären die Kaufverträge auch zwischen den Parteien zustande gekommen, wenn der Beschwerdeführer nicht telefonisch oder via Bestellzettel am Vertragsschluss beteiligt gewesen wäre, sondern D.________ selber Waren bestellt hätte, da die Beschwerdegegnerin nach den Umständen doch auf eine Bevollmächtigung von D.________ durch den Beschwerdeführer hätte schliessen dürfen.

4.
Strittig ist, ob die streitgegenständlichen Verträge mit dem Beschwerdeführer als Vertragspartei geschlossen worden waren, ob die betreffenden Waren an diesen geliefert wurden, ob für einzelne Lieferungen eine Vorauszahlung erfolgt war und ob die streitgegenständlichen sieben Teilforderungen einheitlich beurteilt werden können.

4.1. Zum ersten Punkt machte der Beschwerdeführer vor der Vorinstanz geltend, sämtliche Rechnungen seien auf die Einzelfirma in U.________ ausgestellt worden und die Verbindlichkeiten aus dem Geschäft in U.________ könnten nicht ohne weiteres ihm zugerechnet werden; er habe anlässlich der Parteibefragung ausdrücklich festgehalten, dass die Geschäfte in U.________ von seinem Sohn E.________ geführt würden.
Die Vorinstanz hielt dazu fest, dass nach den Behauptungen in der Klagebegründung der Beschwerdeführer im relevanten Zeitraum von Dezember 2008 bis Februar 2009 die Einzelfirma C.________ betrieben habe. Diese Einzelfirma sei mit dem Übernahmevertrag vom 29. Juni 2010 auf dem Weg der Vermögensübertragung in die F.________ GmbH überführt worden. Nach Art. 75 Abs. 1
SR 221.301 Loi fédérale du 3 octobre 2003 sur la fusion, la scission, la transformation et le transfert de patrimoine (Loi sur la fusion, LFus) - Loi sur la fusion
LFus Art. 75 Responsabilité solidaire - 1 Les anciens débiteurs restent solidairement obligés pendant trois ans avec le nouveau débiteur de l'exécution des dettes nées avant le transfert de patrimoine.
1    Les anciens débiteurs restent solidairement obligés pendant trois ans avec le nouveau débiteur de l'exécution des dettes nées avant le transfert de patrimoine.
2    Les prétentions envers le sujet transférant se prescrivent par trois ans à compter de la publication du transfert de patrimoine. Si la créance ne devient exigible qu'après cette publication, le délai de prescription court à compter de l'exigibilité.
3    Les sujets participant au transfert de patrimoine garantissent les créances:
a  si la responsabilité solidaire s'éteint avant la fin du délai de trois ans;
b  si les créanciers rendent vraisemblable que la responsabilité solidaire ne constitue pas une protection suffisante.
4    Les sujets participant au transfert de patrimoine qui sont tenus de fournir des sûretés peuvent, en lieu et place, exécuter la créance dans la mesure où il n'en résulte aucun dommage pour les autres créanciers.
FusG hafteten die bisherigen Schuldner für die vor der Vermögensübertragung begründeten Schulden während dreier Jahre solidarisch mit dem neuen Schuldner. Ein Angestellter des Beschwerdeführers sei jeweils in den Laden der Beschwerdegegnerin gekommen und habe namens und im Auftrag der C.________ die Unterhaltungselektronikgegenstände gegen Rechnung gekauft. Der Beschwerdeführer habe dazu in der Klageantwort ausgeführt, er streite alles ab; die Ware habe er nie bekommen, mit der Beschwerdegegnerin habe er "geschäftet"; sein Sohn habe gekauft, die Beschwerdegegnerin habe die Ware geliefert, welche sie gleich bezahlt hätten. Indessen habe der Beschwerdeführer im erstinstanzlichen Verfahren nie prozesskonform behauptet, dass es sich bei den durch seinen Sohn bestellten und gelieferten Waren um die hier strittigen Waren handle; vielmehr habe er behauptet, die strittigen Waren
nie bekommen zu haben. Er habe nicht behauptet, Vertragspartner bezüglich der strittigen Kaufverträge sei nicht er selbst, sondern sein Sohn.
Der Beschwerdeführer rügt, die Vorinstanz sei in Willkür verfallen, wenn sie einfach annehme, ausschliesslich er habe in eigenem Namen gehandelt und somit Rechte und Pflichten begründet. Er habe schon in der erstinstanzlichen mündlichen Klageantwort Folgendes ausgeführt: "[...] Mit der Klägerin geschäftete ich, mein Sohn kaufte, die Klägerin lieferte Ware, welche wir gleich bezahlten [...]". Er habe den klägerischen Behauptungen damit offensichtlich widersprochen. Mit diesen Vorbringen weist er indessen die vorinstanzliche Feststellung, er habe im erstinstanzlichen Verfahren nicht behauptet, Vertragspartner bezüglich der strittigen Kaufverträge sei nicht er selbst, sondern sein Sohn, nicht einmal ansatzweise als verfassungswidrig aus. Die sinngemässe Rüge, die Vorinstanz habe willkürlich den Beschwerdeführer als Vertragspartner angesehen, entbehrt damit jeglicher Grundlage. Mangels hinreichender Behauptung darüber, dass nicht der Beschwerdeführer, sondern dessen Sohn Partei der strittigen Verträge sei, kann der Vorinstanz von vornherein keine Verletzung des Anspruchs auf rechtliches Gehör des Beschwerdeführers vorgeworfen werden, indem sie seinen Sohn dazu nicht als Zeuge anhörte.

4.2. Der Beschwerdeführer bestritt vor der Vorinstanz den Erhalt der Warenlieferungen. Die Erstinstanz habe Art. 8
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 8 - Chaque partie doit, si la loi ne prescrit le contraire, prouver les faits qu'elle allègue pour en déduire son droit.
ZGB verletzt, indem sie allein aufgrund der Unterschrift des Zeugen D.________ auf der Warenquittung, welcher der deutschen Sprache nicht mächtig sei und nicht verstanden habe, was auf dem Dokument gestanden sei, und ohne weitere Erhebungen davon ausgehe, die Beschwerdegegnerin habe dem Beschwerdeführer tatsächlich die aufgeführten Geräte geliefert.
Die Vorinstanz führte dazu aus, nach den erstinstanzlichen Feststellungen, welche der Beschwerdeführer in der Berufung nicht substanziiert gerügt habe, sei davon auszugehen, dass der Beschwerdeführer den Zeugen D.________ zur Beschwerdegegnerin geschickt habe, um Waren abzuholen. Wer eine andere Person damit beauftrage, Waren von einem gewissen Wert abzuholen, müsse damit rechnen, dass diese Person den Empfang der Waren zu quittieren habe. Der Beschwerdeführer könne sich in der Folge nicht darauf berufen, die Person sei sprach- und fachunkundig. Vielmehr habe er sich die Unterschrift derselben entgegenhalten zu lassen. Es sei deshalb nicht zu beanstanden, dass die Erstinstanz davon ausgegangen sei, die Beschwerdegegnerin habe ihre Pflichten aus den Kaufverträgen erfüllt.
Der Beschwerdeführer legt nicht unter rechtsgenügender Auseinandersetzung mit diesen Erwägungen und gestützt auf die Feststellungen im angefochtenen Urteil dar, inwiefern die Vorinstanz damit verfassungsmässige Rechte verletzt haben soll. Vielmehr begnügt er sich im Wesentlichen damit, der Vorinstanz unter Wiederholung seiner im Berufungsverfahren gemachten Vorbringen eine willkürliche Verletzung von Art. 8
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 8 - Chaque partie doit, si la loi ne prescrit le contraire, prouver les faits qu'elle allègue pour en déduire son droit.
ZGB vorzuwerfen, ohne sich mit der Argumentation der Vorinstanz auseinanderzusetzen, wobei er auch neu behauptet, der Zeuge habe nach dessen Aussagen nicht wissen können, was er abgeholt habe, da die Waren verpackt gewesen seien. Darauf kann nicht eingetreten werden.
Nicht gehört werden kann der Beschwerdeführer auch, wenn er unter Berufung auf die Aussagen des Zeugen, in Frage stellt, dass die Unterschriften auf den erstinstanzlichen Klagebeilagen 5 und 6 von diesem stammten. Den vorinstanzlichen Feststellungen ist nicht zu entnehmen, dass er im kantonalen Verfahren entsprechende Behauptungen prozesskonform aufgestellt hätte bzw. dass er eine diesbezügliche Würdigung der Erstinstanz vor der Vorinstanz bestritten hätte, und solches wird vom Beschwerdeführer auch nicht dargetan.

4.3. Der Beschwerdeführer behauptete im vorinstanzlichen Verfahren unter Berufung auf die auf den Rechnungen vom 9. Januar 2009 und vom 31. Dezember 2008 enthaltene Bemerkung "Vorauszahlung", es sei davon auszugehen, dass insoweit Vorauszahlungen geleistet worden seien. Die Vorinstanz hielt dazu fest, die Erstinstanz habe ihrem Entscheid zu Recht keine Vorauszahlungen zugrunde gelegt, da solche im erstinstanzlichen Verfahren nicht behauptet worden seien, und demnach zu diesem Punkt auch keine Beweise abzunehmen gewesen wären.
Der Beschwerdeführer rügt, die Vorinstanz stelle willkürlich fest, dass die Leistung einer Vorauszahlung nicht behauptet worden sei. Er habe in seiner Klageantwort ausgeführt, er streite alles ab; die Ware habe er nie bekommen, mit der Beschwerdegegnerin habe er geschäftet, sein Sohn habe gekauft, die Beschwerdegegnerin habe die Ware geliefert, welche sie gleich bezahlt hätten.
Mit der angerufenen bloss pauschalen Bestreitungen der Klagevorbringen und der allgemeinen Behauptung Waren, die der Sohn gekauft habe, seien gleich bezahlt worden, vermag er die gerügte Feststellung indessen nicht als offensichtlich unhaltbar auszuweisen. Wenn die Vorinstanz davon ausging, der Beschwerdeführer habe damit bezüglich der beiden genannten Rechnungen, auf denen unter Zahlungskonditionen "Vorauszahlung" vermerkt ist, eine Vorauszahlung nicht, jedenfalls nicht substanziiert behauptet, erscheint dies nicht als willkürlich.
Mangels (hinreichender) Behauptungen von Vorauszahlungen stossen die weiteren Rügen des Beschwerdeführers, nämlich die Vorinstanz habe seinen Gehörsanspruch verletzt, indem sie dieser Frage keine weitere Beachtung geschenkt habe, und die Vorinstanz habe Rechnungen mit dem Vermerk "Vorauszahlung" willkürlich gewürdigt, ins Leere. Unabhängig davon erscheinen die Vorbringen des Beschwerdeführers bezüglich der Würdigung der Rechnungen als rein appellatorisch und vermögen von vornherein keine Willkür aufzuzeigen, so beispielsweise, wenn ausgeführt wird, es sei willkürlich, wenn einfach alle Feststellungen auf diesen Dokumenten, die sich zugunsten der Beschwerdegegnerin auswirkten (Preis, Menge, Abholdatum etc.) erstellt betrachtet würden, nicht aber die ebensolche schriftliche Tatsache der Vorauszahlung auf einzelnen Rechnungen.

4.4. Der Beschwerdeführer beanstandet sodann die einheitliche Beurteilung der sieben verschiedenen Teilforderungen als eine einzige Gesamtforderung. Die behaupteten Forderungen seien nach Auffassung des Gerichts zu ganz unterschiedlichen Zeitpunkten und auf unterschiedliche Art und Weise zustande gekommen. Das Unterlassen einer Differenzierung zwischen den sieben Teilforderungen habe zu einer lückenhaften, willkürlichen Erstellung des Sachverhalts und Beweiswürdigung geführt.
Die Vorinstanz hielt zum nämlichen, in der Berufung erhobenen Vorwurf fest, es sei nicht zu beanstanden, dass die Erstinstanz nicht für jede einzelne Teilforderung den exakten Sachverhalt festgestellt habe; es sei nicht dargetan, dass die unterschiedlichen Zeitpunkte und die unterschiedliche Art und Weise des Zustandekommens der Teilforderungen zu unterschiedlichen Rechtsfolgen führen könnten. Der Beschwerdeführer setzt sich mit dieser Begründung der Vorinstanz nicht auseinander und legt nicht dar, inwiefern diese damit gegen verfassungsmässige Rechte verstossen haben soll, sondern er begnügt sich im Wesentlichen mit der Wiederholung seiner Vorbringen im vorinstanzlichen Verfahren. Darauf kann mit Blick auf die vorstehend (Erwägung 2) dargestellten Begründungsanforderungen nicht eingetreten werden.

4.5. Nach dem Ausgeführten vermag der Beschwerdeführer hinsichtlich der Hauptbegründung der Vorinstanz, wonach der Abschluss der Kaufverträge zwischen dem Beschwerdeführer und der Beschwerdegegnerin unmittelbar unter Anwesenden via Telefon bzw. mittels D.________ als Bote erfolgt sei, keine Verletzung seiner verfassungsmässigen Rechte aufzuzeigen. Demnach braucht auf die vorinstanzliche Eventualbegründung betreffend Annahme einer Duldungsvollmacht und die dagegen erhobene Rüge nicht weiter eingegangen zu werden.

5.

5.1. Der Beschwerdeführer rügt schlussendlich, dass er vor der ersten Instanz keine Gelegenheit hatte, zur Kostennote des Rechtsvertreters der Beschwerdegegnerin Stellung zu nehmen, weshalb die erste Instanz sein rechtliches Gehör verletzt habe. Die Kostennote hätte aus dem Recht gewiesen werden müssen. Daher gelte allein die kantonale Tarifordnung und die nachträglich gestellten Erhöhungsgründe zum Grundtarif seien nicht zu berücksichtigen. Die Vorinstanz habe zudem zutreffend festgestellt, dass kein Zuschlag von 25 % auf die Grundentschädigung zu gewähren sei. Trotzdem sei dem Rechtsvertreter der Beschwerdegegnerin durch die Vorinstanz aber wieder ein Zuschlag von 10 % gewährt worden, was im Resultat willkürlich sei.

5.2. Die Vorinstanz hielt fest, dass dem Beschwerdeführer die erst am 4. Dezember 2012 eingereichte Kostennote vor Zustellung des Entscheids der ersten Instanz nicht zur Kenntnisnahme zugestellt wurde, weshalb sein Anspruch auf rechtliches Gehör verletzt worden sei. Die Vorinstanz sah von einer Aufhebung des erstinstanzlichen Urteils ab, nachdem der Beschwerdeführer vor der Rechtsmittelinstanz Gelegenheit zur Äusserung erhalten hatte. Wenn der Beschwerdeführer dagegen ohne weitere Begründung und ohne auf diese Erwägung der Vorinstanz einzugehen, bloss vorbringt, er habe nie Gelegenheit gehabt, zur angeblich zu spät eingereichten Kostennote Stellung zu nehmen "und dies nun im Rechtsmittelverfahren nachholen müsse", wiederholt er bloss seine Vorbringen im vorinstanzlichen Verfahren. Damit genügt er den Anforderungen an die Begründung einer Gehörsrüge nicht und es kann darauf nicht eingetreten werden.

5.3. In der Sache hielt die Vorinstanz fest, es sei weder gestützt auf § 7 Abs. 1 des Dekrets [des Kantons Aargau] über die Entschädigung der Anwälte vom 10. November 1987 (Anwaltstarif, AnwT; SAR 291.150) noch gestützt auf § 6 Abs. 3 AnwT ein Zuschlag auf der Grundentschädigung für die anwaltlich vertretene Beschwerdegegnerin zu gewähren. Demnach sei die Parteientschädigung ausgehend von einer Grundentschädigung von Fr. 4'781.90 festzusetzen, unter Berücksichtigung des bezüglich der Höhe unbeanstandet gebliebenen Zuschlags von 10 % für eine zweite Verhandlung. Der Beschwerdeführer setzt sich, soweit er den Zuschlag von 10 % beanstandet, in keiner Weise mit dieser Erwägung auseinander und macht namentlich nicht geltend, dass die Vorinstanz willkürlich davon ausgegangen wäre, der Zuschlag von 10 % sei unbestritten. Auch insoweit genügt er, indem er bloss die Willkürlichkeit des Zuschlags behauptet, den Anforderungen an die Begründung einer Willkürrüge in keiner Weise und es kann auf seine Rüge nicht eingetreten werden.

6.
Damit ist die Beschwerde abzuweisen, soweit darauf überhaupt einzutreten ist. Dem Ausgang des Verfahrens entsprechend wird der Beschwerdeführer kosten- und entschädigungspflichtig (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
und Art. 68 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 2'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.

3.
Der Beschwerdeführer hat die Beschwerdegegnerin für das bundesgerichtliche Verfahren mit Fr. 2'500.-- zu entschädigen.

4.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Obergericht des Kantons Aargau, Zivilgericht, 2. Kammer, schriftlich mitgeteilt.

Lausanne, 20. Januar 2015

Im Namen der I. zivilrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Die Präsidentin: Kiss

Der Gerichtsschreiber: Brugger
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 4D_64/2014
Date : 20 janvier 2015
Publié : 05 février 2015
Source : Tribunal fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Droit des obligations (général)
Objet : Forderung


Répertoire des lois
CC: 8
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 8 - Chaque partie doit, si la loi ne prescrit le contraire, prouver les faits qu'elle allègue pour en déduire son droit.
Cst: 9 
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
29
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
1    Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
2    Les parties ont le droit d'être entendues.
3    Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert.
LFus: 75
SR 221.301 Loi fédérale du 3 octobre 2003 sur la fusion, la scission, la transformation et le transfert de patrimoine (Loi sur la fusion, LFus) - Loi sur la fusion
LFus Art. 75 Responsabilité solidaire - 1 Les anciens débiteurs restent solidairement obligés pendant trois ans avec le nouveau débiteur de l'exécution des dettes nées avant le transfert de patrimoine.
1    Les anciens débiteurs restent solidairement obligés pendant trois ans avec le nouveau débiteur de l'exécution des dettes nées avant le transfert de patrimoine.
2    Les prétentions envers le sujet transférant se prescrivent par trois ans à compter de la publication du transfert de patrimoine. Si la créance ne devient exigible qu'après cette publication, le délai de prescription court à compter de l'exigibilité.
3    Les sujets participant au transfert de patrimoine garantissent les créances:
a  si la responsabilité solidaire s'éteint avant la fin du délai de trois ans;
b  si les créanciers rendent vraisemblable que la responsabilité solidaire ne constitue pas une protection suffisante.
4    Les sujets participant au transfert de patrimoine qui sont tenus de fournir des sûretés peuvent, en lieu et place, exécuter la créance dans la mesure où il n'en résulte aucun dommage pour les autres créanciers.
LTF: 42 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
51 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 51 Calcul - 1 La valeur litigieuse est déterminée:
1    La valeur litigieuse est déterminée:
a  en cas de recours contre une décision finale, par les conclusions restées litigieuses devant l'autorité précédente;
b  en cas de recours contre une décision partielle, par l'ensemble des conclusions qui étaient litigieuses devant l'autorité qui a rendu cette décision;
c  en cas de recours contre une décision préjudicielle ou incidente, par les conclusions restées litigieuses devant l'autorité compétente sur le fond;
d  en cas d'action, par les conclusions de la demande.
2    Si les conclusions ne tendent pas au paiement d'une somme d'argent déterminée, le Tribunal fédéral fixe la valeur litigieuse selon son appréciation.
3    Les intérêts, les fruits, les frais judiciaires et les dépens qui sont réclamés comme droits accessoires, les droits réservés et les frais de publication du jugement n'entrent pas en ligne de compte dans la détermination de la valeur litigieuse.
4    Les revenus et les prestations périodiques ont la valeur du capital qu'ils représentent. Si leur durée est indéterminée ou illimitée, le capital est formé par le montant annuel du revenu ou de la prestation, multiplié par vingt, ou, s'il s'agit de rentes viagères, par la valeur actuelle du capital correspondant à la rente.
66 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
68 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
74 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 74 Valeur litigieuse minimale - 1 Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à:
1    Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à:
a  15 000 francs en matière de droit du travail et de droit du bail à loyer;
b  30 000 francs dans les autres cas.
2    Même lorsque la valeur litigieuse minimale n'est pas atteinte, le recours est recevable:
a  si la contestation soulève une question juridique de principe;
b  si une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
c  s'il porte sur une décision prise par une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
d  s'il porte sur une décision prise par le juge de la faillite ou du concordat;
e  s'il porte sur une décision du Tribunal fédéral des brevets.
75 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 75 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
1    Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
2    Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours, sauf si:
a  une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
b  un tribunal spécialisé dans les litiges de droit commercial statue en instance cantonale unique;
c  une action ayant une valeur litigieuse d'au moins 100 000 francs est déposée directement devant le tribunal supérieur avec l'accord de toutes les parties.
90 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure.
99 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
106 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
107 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 107 Arrêt - 1 Le Tribunal fédéral ne peut aller au-delà des conclusions des parties.
1    Le Tribunal fédéral ne peut aller au-delà des conclusions des parties.
2    Si le Tribunal fédéral admet le recours, il statue lui-même sur le fond ou renvoie l'affaire à l'autorité précédente pour qu'elle prenne une nouvelle décision. Il peut également renvoyer l'affaire à l'autorité qui a statué en première instance.
3    Si le Tribunal fédéral considère qu'un recours en matière d'entraide pénale internationale ou d'assistance administrative internationale en matière fiscale est irrecevable, il rend une décision de non-entrée en matière dans les quinze jours qui suivent la fin d'un éventuel échange d'écritures. Dans le domaine de l'entraide pénale internationale, le Tribunal fédéral n'est pas lié par ce délai lorsque la procédure d'extradition concerne une personne dont la demande d'asile n'a pas encore fait l'objet d'une décision finale entrée en force.100
4    Le Tribunal fédéral statue sur tout recours contre une décision du Tribunal fédéral des brevets portant sur l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets101 dans le mois qui suit le dépôt du recours.102
113 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 113 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours constitutionnels contre les décisions des autorités cantonales de dernière instance qui ne peuvent faire l'objet d'aucun recours selon les art. 72 à 89.
114 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 114 Autorités précédentes - Les art. 75 et 86 relatifs aux autorités cantonales précédentes sont applicables par analogie.
116 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 116 Motifs de recours - Le recours constitutionnel peut être formé pour violation des droits constitutionnels.
117 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 117 Procédure de recours - Les art. 90 à 94, 99, 100, 102, 103, al. 1 et 3, 104, 106, al. 2, et 107 à 112 s'appliquent par analogie à la procédure du recours constitutionnel.
118
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 118 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis en violation du droit au sens de l'art. 116.
Répertoire ATF
105-II-149 • 116-IA-85 • 120-IA-31 • 123-IV-125 • 129-I-8 • 130-I-258 • 133-I-1 • 133-III-393 • 133-III-439 • 133-III-489 • 133-III-589 • 134-II-124 • 134-II-244 • 134-II-349 • 134-III-379 • 134-V-138 • 135-II-356 • 135-III-232 • 136-I-332 • 136-V-131 • 138-I-171 • 138-IV-13 • 139-III-133 • 139-III-334 • 140-III-16 • 140-III-264 • 140-III-86
Weitere Urteile ab 2000
4D_41/2009 • 4D_64/2014
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
autorité inférieure • tribunal fédéral • défendeur • témoin • signature • argovie • état de fait • droit d'être entendu • raison individuelle • recours en matière civile • réponse • première instance • emploi • téléphone • avocat • constatation des faits • conclusions • partie au contrat • intérêt • greffier
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