Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
5D 136/2015
Urteil vom 6. (recte: 18.) April 2016
II. zivilrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter von Werdt, Präsident,
Bundesrichter Herrmann, Schöbi,
Gerichtsschreiber V. Monn.
Verfahrensbeteiligte
A.A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt I.________,
Beschwerdeführer,
gegen
B.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Diego Quinter,
Beschwerdegegner.
Gegenstand
Absetzung des Willensvollstreckers,
Beschwerde gegen den Entscheid des Kantonsgerichts von Graubünden, I. Zivilkammer, vom 10. Juni 2015.
Sachverhalt:
A.
A.A.________ (geb. 2000) ist der Urenkel von C.A.________ (Erblasserin), die am 15. Juli 2011 in U.________ 73-jährig starb. Die Erblasserin hatte ihren letzten Wohnsitz in V.________. Dort lebte sie in einer Wohnung im Haus von B.________ als dessen Mieterin.
B.
B.a. In einem handschriftlichen Testament vom 16. Juni 2005 hatte die Erblasserin ihre Enkelkinder D.A.________ und E.A.________ auf den Pflichtteil gesetzt und die frei verfügbare Quote B.________ zugewiesen. Weiter hatte die Erblasserin den Enkelkindern das gesamte Inventar und den Hausrat zugewiesen, sofern ihre Mietwohnung binnen vier Wochen nach ihrem Tod ausgeräumt und die Ware abtransportiert werde; andernfalls sollten Inventar und Hausrat an B.________ fallen. Für den Grabunterhalt sollten dem Testament zufolge Fr. 6'000.-- an B.________ übergeben werden. Schliesslich hatte die Erblasserin B.________ auch als ihren Willensvollstrecker eingesetzt.
B.b. Nachdem B.________ erklärt hatte, das Willensvollstreckermandat anzunehmen, stellte ihm der Einzelrichter am Bezirksgericht Surselva am 9. August 2011 die Willensvollstreckerbescheinigung aus. Die Erbenbescheinigung derselben Behörde datiert vom 7. Mai 2013. Sie nennt als gesetzliche Erbin lediglich D.A.________; der im Testament erwähnte Enkel E.A.________ war schon vor dem Tod der Erblasserin verstorben. Als eingesetzten Erben führt die Bescheinigung B.________ auf.
B.c. Am 10. Januar 2014 verstarb in W.________ auch D.A.________. Sie hinterliess gemäss Erbschein des Einzelrichters am Bezirksgericht Zürich vom 30. Juli 2014 als einzigen gesetzlichen Erben ihren Sohn A.A.________. Das Kind ist seit dem 17. Juni 2014 durch Rechtsanwalt I.________ verbeiständet.
C.
C.a. Gestützt auf eine Prozessvollmacht der Kindes- und Erwachsenenschutzbehörde (KESB) des Bezirks Hinwil vom 29. Januar 2015 reichte der Beistand im Namen von A.A.________ am 16. Februar 2015 beim Einzelrichter am Bezirksgericht Surselva eine Beschwerde gegen den Willensvollstrecker B.________ ein. Er verlangte, den Willenvollstrecker abzusetzen und ihn mit einer Busse von mindestens Fr. 1'000.-- zu bestrafen. Das Begehren, dem Willensvollstrecker die Verfügungsmacht über das Mietzinsenkonto bei der Bank F.________ superprovisorisch zu entziehen, wurde am 19. Februar 2015 abgewiesen.
C.b. In der Sache hiess der Einzelrichter am Bezirksgericht Surselva A.A.________s Beschwerde hingegen gut. Mit Entscheid vom 19. März 2015 setzte er B.________ als Willensvollstrecker ab. Von einer Disziplinarbusse sah er allerdings ab.
D.
B.________ wandte sich mit Berufung an das Kantonsgericht von Graubünden. Dieses hiess das Rechtsmittel gut, hob den erstinstanzlichen Sachentscheid (Bst. C.b) auf und wies A.A.________s Beschwerde (Bst. C.a) ab. A.A.________ wurde für beide Instanzen zu den Verfahrenskosten und zur Bezahlung von Parteientschädigungen an B.________ verurteilt. Der Entscheid datiert vom 10. Juni 2015 und wurde am 16. Juni 2015 versandt.
E.
E.a. Mit "Verfassungsbeschwerde im Sinne von Art. 113 ff
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 113 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours constitutionnels contre les décisions des autorités cantonales de dernière instance qui ne peuvent faire l'objet d'aucun recours selon les art. 72 à 89. |
E.b. In prozessualer Hinsicht verlangte der Beschwerdeführer, dem Beschwerdegegner im Sinne einer vorsorglichen Massnahme die Verfügungsmacht über das Nachlasskonto bei der Bank F.________ zu entziehen und der Bank unter Androhung der Doppelzahlungspflicht Auszahlungen an den Beschwerdegegner zu verbieten. Mit Verfügung vom 8. September 2015 erkannte der Präsident der II. zivilrechtlichen Abteilung der Beschwerde die aufschiebende Wirkung zu mit der Folge, dass die Absetzung von B.________ gemäss dem erstinstanzlichen Entscheid vom 19. März 2015 (Bst. C.b) einstweilen bestehen bleibt.
E.c. Im Übrigen hat sich das Bundesgericht die kantonalen Akten überweisen lassen, in der Sache jedoch keinen Schriftenwechsel angeordnet.
Erwägungen:
1.
Der Beschwerdeführer wehrt sich binnen Frist gegen den Endentscheid einer letzten kantonalen Instanz aus dem Gebiet der Aufsicht über die Willensvollstrecker (Art. 72 Abs. 2 Bst. b Ziff. 5
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 72 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile. |
|
1 | Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile. |
2 | Sont également sujettes au recours en matière civile: |
a | les décisions en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
b | les décisions prises en application de normes de droit public dans des matières connexes au droit civil, notamment les décisions: |
b1 | sur la reconnaissance et l'exécution de décisions ainsi que sur l'entraide en matière civile, |
b2 | sur la tenue des registres foncier, d'état civil et du commerce, ainsi que des registres en matière de protection des marques, des dessins et modèles, des brevets d'invention, des obtentions végétales et des topographies, |
b3 | sur le changement de nom, |
b4 | en matière de surveillance des fondations, à l'exclusion des institutions de prévoyance et de libre passage, |
b5 | en matière de surveillance des exécuteurs testamentaires et autres représentants successoraux, |
b6 | les décisions prises dans le domaine de la protection de l'enfant et de l'adulte, |
b7 | ... |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 75 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37 |
|
1 | Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37 |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours, sauf si: |
a | une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique; |
b | un tribunal spécialisé dans les litiges de droit commercial statue en instance cantonale unique; |
c | une action ayant une valeur litigieuse d'au moins 100 000 francs est déposée directement devant le tribunal supérieur avec l'accord de toutes les parties. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
|
1 | Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
2 | Le délai de recours est de dix jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
b | les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale; |
c | les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93. |
d | les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95. |
3 | Le délai de recours est de cinq jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change; |
b | les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales. |
4 | Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national. |
5 | En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
6 | ...96 |
7 | Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 46 Suspension - 1 Les délais fixés en jours par la loi ou par le juge ne courent pas: |
|
1 | Les délais fixés en jours par la loi ou par le juge ne courent pas: |
a | du septième jour avant Pâques au septième jour après Pâques inclus; |
b | du 15 juillet au 15 août inclus; |
c | du 18 décembre au 2 janvier inclus. |
2 | L'al. 1 ne s'applique pas: |
a | aux procédures concernant l'octroi de l'effet suspensif ou d'autres mesures provisionnelles; |
b | à la poursuite pour effets de change; |
c | aux questions relatives aux droits politiques (art. 82, let. c); |
d | à l'entraide pénale internationale ni à l'assistance administrative internationale en matière fiscale; |
e | aux marchés publics.19 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 74 Valeur litigieuse minimale - 1 Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à: |
|
1 | Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à: |
a | 15 000 francs en matière de droit du travail et de droit du bail à loyer; |
b | 30 000 francs dans les autres cas. |
2 | Même lorsque la valeur litigieuse minimale n'est pas atteinte, le recours est recevable: |
a | si la contestation soulève une question juridique de principe; |
b | si une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique; |
c | s'il porte sur une décision prise par une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
d | s'il porte sur une décision prise par le juge de la faillite ou du concordat; |
e | s'il porte sur une décision du Tribunal fédéral des brevets. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 74 Valeur litigieuse minimale - 1 Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à: |
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1 | Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à: |
a | 15 000 francs en matière de droit du travail et de droit du bail à loyer; |
b | 30 000 francs dans les autres cas. |
2 | Même lorsque la valeur litigieuse minimale n'est pas atteinte, le recours est recevable: |
a | si la contestation soulève une question juridique de principe; |
b | si une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique; |
c | s'il porte sur une décision prise par une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
d | s'il porte sur une décision prise par le juge de la faillite ou du concordat; |
e | s'il porte sur une décision du Tribunal fédéral des brevets. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 113 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours constitutionnels contre les décisions des autorités cantonales de dernière instance qui ne peuvent faire l'objet d'aucun recours selon les art. 72 à 89. |
2.
Mit der subsidiären Verfassungsbeschwerde kann nur die Verletzung verfassungsmässiger Rechte gerügt werden (Art. 116
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 116 Motifs de recours - Le recours constitutionnel peut être formé pour violation des droits constitutionnels. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 117 Procédure de recours - Les art. 90 à 94, 99, 100, 102, 103, al. 1 et 3, 104, 106, al. 2, et 107 à 112 s'appliquent par analogie à la procédure du recours constitutionnel. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
Mangel leidet (BGE 134 II 244 E. 2.2 S. 246; 117 Ia 10 E. 4b S. 11 f.). In tatsächlicher Hinsicht legt das Bundesgericht seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 118 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 118 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis en violation du droit au sens de l'art. 116. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 118 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis en violation du droit au sens de l'art. 116. |
3.
In formeller Hinsicht beklagt sich der Beschwerdeführer darüber, dass die Vorinstanz seinen Anspruch auf rechtliches Gehör (Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
Verfassungsmässigkeit hin prüft (E. 2).
4.
Das soeben Gesagte gilt sinngemäss, soweit der Beschwerdeführer verstreut über seine Eingabe wiederholt geltend macht, dass das Kantonsgericht der Vorwurf der Rechtsverweigerung im Sinne von Art. 29 Abs. 1
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
5.
5.1. Der Willensvollstrecker steht von Gesetzes wegen in den Rechten und Pflichten des amtlichen Erbschaftsverwalters und damit unter der Aufsicht der Behörde, bei der die Erben gegen die von ihm beabsichtigten oder getroffenen Massnahmen Beschwerde erheben können (Art. 518 Abs. 1
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 518 - 1 Si le disposant n'en a ordonné autrement, les exécuteurs testamentaires ont les droits et les devoirs de l'administrateur officiel d'une succession. |
|
1 | Si le disposant n'en a ordonné autrement, les exécuteurs testamentaires ont les droits et les devoirs de l'administrateur officiel d'une succession. |
2 | Ils sont chargés de faire respecter la volonté du défunt, notamment de gérer la succession, de payer les dettes, d'acquitter les legs et de procéder au partage conformément aux ordres du disposant ou suivant la loi. |
3 | Lorsque plusieurs exécuteurs testamentaires ont été désignés, ils sont réputés avoir reçu un mandat collectif. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 595 - 1 La liquidation officielle est faite par l'autorité compétente, qui peut aussi charger de ce soin un ou plusieurs administrateurs. |
|
1 | La liquidation officielle est faite par l'autorité compétente, qui peut aussi charger de ce soin un ou plusieurs administrateurs. |
2 | Elle s'ouvre par un inventaire, avec sommation publique. |
3 | L'administrateur est placé sous le contrôle de l'autorité et les héritiers peuvent recourir à celle-ci contre les mesures projetées ou prises par lui. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 518 - 1 Si le disposant n'en a ordonné autrement, les exécuteurs testamentaires ont les droits et les devoirs de l'administrateur officiel d'une succession. |
|
1 | Si le disposant n'en a ordonné autrement, les exécuteurs testamentaires ont les droits et les devoirs de l'administrateur officiel d'une succession. |
2 | Ils sont chargés de faire respecter la volonté du défunt, notamment de gérer la succession, de payer les dettes, d'acquitter les legs et de procéder au partage conformément aux ordres du disposant ou suivant la loi. |
3 | Lorsque plusieurs exécuteurs testamentaires ont été désignés, ils sont réputés avoir reçu un mandat collectif. |
Willensvollstrecker auch selbständig Vermögensgegenstände aus der Erbschaft veräussern, soweit dies erforderlich ist, um die Erbschaft zu erhalten, Schulden zu bezahlen oder Vermächtnisse auszurichten (Urteil 5A 522/2014 vom 16. Dezember 2015 a.a.O.). Schon vor längerer Zeit hat das Bundesgericht klargestellt, dass der Willensvollstrecker zu diesen Zwecken auch Liegenschaften ohne Zustimmung der Erben verkaufen kann (BGE 74 I 423 S. 424). Anders verhält es sich mit Verfügungen des Willensvollstreckers im Hinblick auf die Erbteilung. Allein hierzu darf der Willensvollstrecker einen bestimmten Vermögenswert nicht ohne Einverständnis der Erben veräussern (Urteil 5A 522/2014 vom 16. Dezember 2015 a.a.O.). Der Willensvollstrecker verletzt deshalb seine Pflichten, wenn er ein Grundstück gegen den Willen eines Erben veräussert (BGE 108 II 535 E. 3-5 S. 539 ff.) oder wenn er ein Grundstück freihändig verkauft, obwohl ein Erbe die Versteigerung verlangt hat (BGE 97 II 11 E. 3 ff. S. 15 ff.).
5.2. Die Aufsichtsbehörde prüft lediglich, ob der Willensvollstrecker persönlich geeignet und formell richtig vorgegangen ist, ob er sein Amt pflichtgemäss ausgeübt hat und ob seine Massregeln zweckmässig sind. Die Beurteilung materiellrechtlicher Fragen, etwa die Auslegung letztwilliger Verfügungen, bleibt hingegen dem Zivilrichter überlassen (vgl. BGE 91 II 52 E. 1 S. 56). Als Zivilrechtsstreitigkeiten, die durch das ordentliche Gericht und nicht durch die Aufsichtsbehörde zu beurteilen sind, gelten auch Streitigkeiten über das Willensvollstreckerhonorar (BGE 78 II 123 E. 1a S. 125). Das Bundesgericht hat offengelassen, ob Honorarbezüge des Willensvollstreckers während des laufenden Mandats insoweit im Beschwerdeverfahren geprüft werden können, als Unzulänglichkeiten in formeller Hinsicht oder krass übersetzte Honorarforderungen Anhaltspunkte zur disziplinarischen Beurteilung der Mandatsführung geben. Fest steht, dass das Aufsichtsverfahren jedenfalls nicht bezweckt, die Grundlage für einen Honorarstreit oder einen Verantwortlichkeitsprozess zu schaffen (Urteil 5A 672/2013 vom 24. Februar 2014 E. 6.4).
5.3. Die Aufsichtsbehörde kann einen Willensvollstrecker wegen Unfähigkeit oder grober Pflichtwidrigkeit von seinem Amt abberufen (BGE 90 II 376 E. 3 S. 383; 66 II 148 E. 2 S. 150). Auch im Bereich der Willensvollstreckung gilt als Grundregel, dass Prävention (z.B. Empfehlungen, Weisungen, Ermahnung) vor Sanktion (z.B. Verweis, Absetzung) und mildere vor schärferer Anordnung geht. Eine Amtsenthebung muss sich als notwendig und verhältnismässig erweisen (Urteil 5A 794/2011 vom 16. Februar 2012 E. 3.1, in: ZBGR 94/2013 S. 314; s. auch Urteil 5A 414/2012 vom 19. Oktober 2012 E. 8.4.2). Eine fehlende persönliche Eignung führt nach der Rechtsprechung unter anderem dann zur Absetzung eines Willensvollstreckers, wenn dieser sich als vertrauensunwürdig erweist. Dies ist beispielsweise der Fall, wenn der Willensvollstrecker finanzielle Mittel aus dem Nachlass eigenmächtig seinem eigenen Konto gutschreibt, anstatt die Gelder zinsbringend auf einem Konto der Erblasserin anzulegen (vgl. Urteil 5P.190/1993 vom 17. August 1993), oder wenn er sonstige "Mischgeschäfte" (z.B. einen Überbrückungskredit an Dritte) tätigt und sein Privatvermögen vom Nachlass nicht klar abgrenzt (vgl. Urteil 5P.439/1993 vom 14. November 1994 E. 7). Häufig ist der
Verlust der Vertrauenswürdigkeit auch auf Interessenkollisionen des Willensvollstreckers zurückzuführen, die ihrerseits die Ursache für schwere Pflichtverletzungen sein können (zum ganzen Urteil 5A 794/2011 vom 16. Februar 2012 E. 3.3).
6.
6.1. In tatsächlicher Hinsicht bemängelt der Beschwerdeführer, das Kantonsgericht nehme verschiedene Elemente nicht als unbestritten zur Kenntnis. Damit stelle es den Sachverhalt in willkürlicher Art und Weise verkürzt dar. Die Kritik ist unbegründet. Entgegen dem, was der Beschwerdeführer glauben machen will, ist dem Kantonsgericht nicht entgangen, dass der Beschwerdegegner auf Anfragen des gesetzlichen Erben hin bereits in Rechnung gestellte Honorare erhöht und dann auch bezogen hat. Die Vorinstanz nimmt explizite Kenntnis von diesem Vorgehen, das "auf jeden Fall als problematisch zu bezeichnen" sei und "Fragen" aufwerfe. Dasselbe gilt für den Aufwand von 14.5 Stunden bzw. Fr. 1'883.35, die der Beschwerdegegner dem Nachlass für die schriftliche Rechtfertigung seiner Honorarbezüge belastet haben soll ("Rechtfertigungsschreiben" vom 6. September 2014), für den vierseitigen Rechtfertigungsbrief an Rechtsanwältin G.________ von den stadtzürcherischen Behörden, für den er laut Beschwerdeführer 14 Stunden und 46 Minuten aufgewendet hat, sowie für den Betrag von Fr. 30.--, der dem Nachlass für einen Gang zur Post berechnet worden sei. Das Kantonsgericht hält ausdrücklich fest, dass der Aufwand, der dem Beschwerdegegner im Zusammenhang
mit der Geltendmachung seines Willensvollstreckerhonorars entstand ist, "auf jeden Fall nicht als Willensvollstreckerhonorar zu entschädigen" sei.
6.2. Der Beschwerdeführer beanstandet, das Kantonsgericht erachte die "Honorarexzesse" des Beschwerdegegners als reine Honorarstreitigkeit zwischen den Parteien, die vom Zivilrichter zu beurteilen sei. Diese Einschätzung liege "ausserhalb des Rahmens des noch Vertretbaren" und erweise sich deshalb als willkürlich. Dieser Vorwurf richtet sich offensichtlich gegen die vorinstanzliche Erwägung, wonach Streitigkeiten über die Höhe des Stundenansatzes oder die Notwendigkeit des Aufwands grundsätzlich im ordentlichen Zivilprozess zu erledigen sind, die Honorarabrechnungen des Beschwerdegegners in formeller Hinsicht keinen Grund zur Beanstandung geben und die bezogenen Beträge in aufsichtsrechtlicher Hinsicht auch nicht als "krass übersetzt" gelten können. Ob sich der Beschwerdegegner tatsächlich zu "Honorarexzessen" hat hinreissen lassen, braucht hier nicht erörtert zu werden. Selbst wenn die Höhe der Bezüge Bedenken erwecken sollte, bedeutet dies nicht zwingend, dass die Sichtweise des Kantonsgerichts mit dem Willkürverbot (Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
Rechtsprechung (s. E. 5.2).
6.3. Schliesslich betont der Beschwerdeführer, dass der Beschwerdegegner nicht nur Honorarforderungen nachträglich erhöht habe, sondern auch Forderungen, die er als vormaliger Vermieter der Erblasserin geltend mache. Der Beschwerdegegner missbrauche seine Stellung als Willensvollstrecker, um "sich nach seinem Gutdünken für behauptete Mieterschäden etc. zu bedienen". Auch diese Vorkommnisse seien unbestritten, würden vom Kantonsgericht aber ausgeklammert. Damit ist der Beschwerdeführer vor Bundesgericht mangels materieller Erschöpfung des Instanzenzuges nicht zu hören, denn er hat diesen Einwand im Berufungsverfahren nicht erhoben. Untersteht ein Vorbringen im Verfahren vor Bundesgericht - wie diese Sachverhaltsrüge (s. E. 2) - dem Rügeprinzip, so folgt aus dem Erfordernis der Letztinstanzlichkeit des angefochtenen Entscheids (Art. 75 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 75 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37 |
|
1 | Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37 |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours, sauf si: |
a | une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique; |
b | un tribunal spécialisé dans les litiges de droit commercial statue en instance cantonale unique; |
c | une action ayant une valeur litigieuse d'au moins 100 000 francs est déposée directement devant le tribunal supérieur avec l'accord de toutes les parties. |
der Beklagtenseite stand (Urteil 5A 136/2014 vom 5. November 2014 E. 3.3.3). Mithin hat es sich der Beschwerdeführer selbst zuzuschreiben, wenn er in seiner Berufungsantwort die angeblichen mietvertraglichen Schadenersatzforderungen des Beschwerdegegners und deren nachträgliche Erhöhung nicht hinlänglich zur Sprache brachte. Der Beschwerdeführer begnügte sich dort mit unspezifischen Andeutungen und nicht einschlägigen Verweisen auf seine Aufsichtsbeschwerde; auch sein Hinweis auf die angebliche "Selbstkontrahiererei" des Beschwerdegegners bezieht sich nicht auf angebliche Schadenersatzforderungen aus Mietvertrag, sondern steht im Kontext der Aufräumarbeiten des Beschwerdegegners.
7.
7.1. Als schwere Pflichtverletzung, die ohne weiteres nach einer aufsichtsrechtlichen Sanktion rufe, geisselt der Beschwerdeführer das "eigenmächtige Vorgehen" des Beschwerdegegners beim Verkauf des Wohnhauses "H.________" in der Gemeinde V.________. In diesem Zusammenhang sei der angefochtene Entscheid - auf falschen Tatsachen beruhend - willkürlich. Obwohl der Beschwerdegegner gewusst habe, dass die gesetzliche Erbin D.A.________ (Sachverhalt Bst. B.a) verbeiständet war, habe er die Veräusserung der Liegenschaft ohne jede Absprache mit den für die Führung der Beistandschaft zuständigen Behörden an die Hand genommen und vollzogen. Die von Gesetzes wegen vorgeschriebene behördliche Genehmigung des Grundstückgeschäfts sei bis heute nicht erfolgt, weshalb der Verkauf nach wie vor nicht perfekt sei und ein hinkendes Rechtsgeschäft vorliege. Ausserdem sei auch nie eine Zustimmung zum Verkaufspreis erfolgt, den der Beschwerdegegner gegenüber dem inserierten Verkaufspreis ohne Rückfrage um Fr. 30'000.-- reduziert habe. Dazu komme, dass D.A.________ am 10. Januar 2014, also noch vor dem Verkauf des Hauses verstorben sei (s. Sachverhalt Bst. B.c). Mithin sei der Beschwerdegegner am 17. Januar 2014, dem Tag des Vertragsabschlusses, als
Willensvollstrecker für eine Erbengemeinschaft aufgetreten, die in der fraglichen Zusammensetzung gemäss Grundbuch gar nicht mehr bestanden habe. Weil im Grundbuch die richtigen Erben eingetragen sein müssen, stelle sich die Frage, ob der Kaufvertrag sogar nichtig sei. Dem Kantonsgericht wirft der Beschwerdeführer vor, fälschlicherweise davon auszugehen, dass der Beschwerdegegner den Verkauf selbständig abwickeln konnte. Sei ein Grundstückverkauf genehmigungsbedürftig, so habe der Willensvollstrecker kein ausschliessliches Verfügungsrecht und seien die Rechte der Erben auch nicht sistiert. Nachdem die Ermittlung der Erben noch nicht abgeschlossen und dementsprechend ungewiss gewesen sei, ob ein Erbe die Liegenschaft "H.________" allenfalls selbst hätte übernehmen können, verfalle das Kantonsgericht in Willkür, wenn es behaupte, der Verkauf des Hauses "H.________" sei unbestrittenermassen von Anfang an geplant gewesen und vom Beschwerdegegner erfolgreich abgewickelt worden.
7.2. Tatsächlich stellt das Kantonsgericht fest, dass der Beschwerdeführer die Verkaufsvorbereitungen und -verhandlungen übernahm, den Verkaufsabschluss tätigte und bei all diesen Tätigkeiten "auf sich allein gestellt" war. Diese Erkenntnis deckt sich mit dem aktenkundigen Grundstückkaufvertrag vom 17. Januar 2014. Der öffentlichen Urkunde ist ohne Weiteres (Art. 118 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 118 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis en violation du droit au sens de l'art. 116. |
- belastet gewesen sei, sowie zwei Konti bei der Bank F.________ mit Guthaben von insgesamt rund Fr. 48'000.--. Als weiteren Bestandteil des Inventars erwähnt die Vorinstanz eine Zusammenstellung von bezahlten und noch offenen Rechnungen im Betrag von Fr. 19'000.-- bzw. Fr. 2'000.--.
7.3. Der Beschwerdeführer behauptet nicht, dass sich die Vorinstanz in der Zusammensetzung des Nachlasses geirrt habe. Er vermag auch nicht zu erklären, wie der Beschwerdegegner die Schulden von Fr. 117'700.--, mit denen die Erbschaft in Gestalt der besagten Hypothek belastet war, auf andere Weise als durch den Verkauf der Liegenschaft "H.________" hätte begleichen können, nachdem die Barmittel von rund Fr. 48'000.-- dafür offensichtlich nicht ausreichten. Zwar stellt sich der Beschwerdeführer auf den Standpunkt, der Beschwerdegegner habe, als er die Liegenschaft kurz nach D.A.________s Tod veräusserte, gar nicht wissen können, ob Erben vorhanden sind, die wirtschaftlich leistungsfähig und bereit wären, die Liegenschaft "H.________" gegebenenfalls zu übernehmen. Dieser Einwand erweist sich aber als reine Mutmassung, die nicht geeignet ist, den angefochtenen Entscheid als verfassungswidrig auszuweisen: Dass seine Mutter neben ihm weitere Erben hinterlassen hätte, macht der Beschwerdeführer nicht geltend. Soweit er unterstellt, dass er die fragliche Hypothek selbst hätte ablösen können, verstrickt er sich in Widersprüche, wenn er im Zusammenhang mit seinem Armenrechtsgesuch zugleich beteuert, dass seine Erbanwartschaften für die
Kosten seiner Fremdplatzierung in Anspruch genommen würden und dass er über kein Vermögen verfüge. Im Ergebnis durfte das Kantonsgericht willkürfrei davon ausgehen, dass der Beschwerdegegner die Liegenschaft "H.________" im Rahmen der Erbschaftsverwaltung liquidierte, um die von der Erblasserin hinterlassenen Hypothekarverbindlichkeiten zu tilgen. In rechtlicher Hinsicht setzt sich der Beschwerdeführer mit seinen Vorwürfen über die dargelegte Rechtsprechung hinweg, wonach zwischen Verfügungen des Willensvollstreckers zur Geldbeschaffung und solchen im Hinblick auf die Erbteilung zu unterscheiden ist. Insbesondere stellt er nicht in Abrede, dass der Willensvollstrecker auch Liegenschaften ohne Zustimmung der Erben verkaufen kann, falls dies zur Bezahlung von Erbschaftsschulden objektiv notwendig ist (s. E. 5.1). Scheitert der Beschwerdeführer aber schon mit dem Nachweis, dass sich das Kantonsgericht dem Willkürvorwurf aussetzt, wenn es die selbständige Abwicklung des Liegenschaftsgeschäfts billigt und nicht auf einer Zustimmung durch die Erben beharrt, so laufen auch seine weiteren Vorwürfe ins Leere, wonach das Kantonsgericht übersehe, dass der Beschwerdegegner nach D.A.________s Tod pflichtwidrig keine Rücksprache mit der
zuständigen Kindes- und Erwachsenenschutzbehörde gehalten und die Liegenschaft in Unkenntnis der tatsächlichen Eigentumsverhältnisse veräussert habe. Die Beschwerde erweist sich insofern als unbegründet.
8.
8.1. Aktenwidrig und willkürlich sind in den Augen des Beschwerdeführers auch die vorinstanzlichen Erkenntnisse betreffend die Erfüllung der Informationspflicht. Dass der Beschwerdegegner jeweils auf Anfrage hin Auskunft erteilt habe, treffe "so jedenfalls für das letzte Quartal 2014 nicht zu". Der Beschwerdegegner habe sich damals nur unter Androhung gerichtlicher Schritte zur Auskunft bewegen lassen. Am 22. Dezember 2014 habe er dann einen Beleg per 30. September 2014 geliefert, ohne seine Absicht anzukündigen, weitere Bezüge in vierstelliger Höhe zu tätigen. Als aktenwidrig und willkürlich bezeichnet der Beschwerdeführer auch die vorinstanzliche Würdigung, wonach der Beschwerdegegner im Rahmen seiner Aufwandabrechnung seine Tätigkeiten für den Nachlass "geradezu akribisch genau" auf die Minute chronologisch aufgezeichnet habe. Dabei handle es sich nicht um eine kontinuierliche Erfassung von Arbeitsleistungen, sondern um eine Niederschrift in einem Zug, die der Beschwerdegegner häufig erst Monate später vorgenommen bzw. "fabriziert" habe, als seine Informations- und Honorarpolitik massiv hinterfragt worden war. Als Beispiel schildert der Beschwerdeführer Unstimmigkeiten, die er zwischen den abgerechneten Arbeitszeiten für die
Räumung der Liegenschaft "H.________" und den Uhrzeiten ausgemacht haben will, die auf den Kassabons für die Bezahlung der Mittagessen an den fraglichen Tagen abgedruckt sind. Ohnehin komme der Räumung der Liegenschaft "H.________" nicht die Bedeutung zu, die ihr das Kantonsgericht beimesse. Gemessen an den tatsächlichen Gegebenheiten sei es willkürlich, dem Beschwerdegegner in diesem Zusammenhang Verdienste einzuräumen, die sein Fehlverhalten mehr als aufwiegen sollen. Der Beschwerdeführer betont, dass es ihm nicht "in erster Linie" um die zu Unrecht bezogenen Honorare, sondern darum gehe, die fehlende Vertrauenswürdigkeit des Beschwerdegegners aufzuzeigen. Nach der Meinung des Beschwerdeführers haben die vom Beschwerdegegner an sich selbst adressierten Rechnungen "ein ganz anderes Gewicht", als ihnen das Kantonsgericht beimessen will. Dessen Annahmen würden sich demnach als "aktenwidrig" und die hinsichtlich der "Informationspolitik" gezogenen Folgerungen als "willkürlich" erweisen. Entsprechend sei es willkürlich, aufsichtsrechtlich nicht einzuschreiten. Dem Beschwerdegegner zuzubilligen, dass er seiner Informationspflicht nachgekommen sei, hält der Beschwerdeführer für nicht vertretbar. Auch von einer schonenden Verwaltung des
Nachlasses kann in den Augen des Beschwerdeführers keine Rede sein. Vielmehr suche der Beschwerdegegner geradezu zwanghaft nach jeder Gelegenheit, um sich daran zu bedienen. Nachdem er den Nachlass bereits zu einem Drittel an sich selbst versilbert habe, sei es willkürlich, wenn das Kantonsgericht keinerlei Anlass zu einem Einschreiten sehe und die Vorgehensweise des Beschwerdegegners als Honorarstreitigkeit zur Seite schiebe. Das Kantonsgericht übersehe, dass der Beschwerdegegner ohne Rücksicht auf die Natur der konkret verrechneten Arbeiten als Honorar immer den gleichen Stundenansatz in Rechnung stelle. Das Kantonsgericht setze sich dem Vorwurf der Willkür aus, indem es gegen das völlig undifferenzierte Vorgehen des Beschwerdegegners nicht eingeschritten sei und beispielsweise eine Abstufung angeordnet habe.
8.2. Wie seine resümierten Vorbringen zeigen, begnügt sich der Beschwerdeführer damit, seine eigene Würdigung der Sach- und Rechtslage vorzutragen und Gründe aufzuzählen, weshalb das Kantonsgericht zu anderen Schlüssen hätte gelangen sollen. Um mit seinen verschiedenen Willkürrügen vor Bundesgericht durchzudringen, müsste der Beschwerdeführer jedoch dartun, inwiefern der angefochtene Entscheid selbst, so wie ihn das Kantonsgericht gefällt hat, an einem qualifizierten und offensichtlichen Mangel leidet. Das aber tut er nicht. Mit der vorinstanzlichen Erkenntnis, wonach der Beschwerdegegner nicht wie ein Treuhänder fachmännisch Rechenschaft abgelegt habe, dies aber gar nicht verlangt werde, setzt er sich nicht auseinander. Ebenso wenig stellt er die tatsächliche Feststellung des Kantonsgerichts in Abrede, wonach der Beschwerdegegner auf Wunsch der Erben über seine Handlungen und den Stand bzw. die Bewegung des Nachlassvermögens informiert habe. Stattdessen ereifert er sich in Belehrungen darüber, dass der Beschwerdegegner jeweils erst auf vielfaches Insistieren hin und unter Androhung rechtlicher Schritte Rechenschaft abgelegt habe. Dies allein bedeutet aber nicht, dass sich das Kantonsgericht dem Willkürvorwurf aussetzt, wenn es
die Berichterstattungspflicht des Beschwerdegegners nicht an der Fachkunde eines Treuhänders misst.
8.3. Was den Streit um die Honorare bzw. dessen Bedeutung im aufsichtsrechtlichen Verfahren anbelangt, erinnert das Kantonsgericht daran, dass im Aufsichtsbeschwerdeverfahren nur das formelle Vorgehen des Willensvollstreckers, seine persönliche Eignung sowie die pflichtgemässe Amtsführung und deren Zweckmässigkeit geprüft werden können, materielle Fragen jedoch nicht zu entscheiden sind. Entsprechend könne im Streit um Honoraransprüche nur geprüft werden, ob der Willensvollstrecker formell richtig abgerechnet habe, ob die behaupteten Tätigkeiten für den Nachlass in den Abrechnungen vollständig aufgeführt sind etc., während Auseinandersetzungen über die Höhe des Stundenansatzes oder die Notwendigkeit des Aufwands grundsätzlich vom ordentlichen Zivilrichter zu beurteilen seien. Angesichts dessen könne die "schwelende Honorarstreitigkeit" auch nicht dazu dienen, die fehlende Vertrauenswürdigkeit des Willensvollstreckers zu begründen, so die Folgerung des Kantonsgericht. Inwiefern sich das Kantonsgericht mit diesen Schlüssen in geradezu stossender, schlechterdings nicht nachvollziehbarer Weise über die erörterte Rechtsprechung (s. E. 5.2) hinwegsetzt, zeigt der Beschwerdeführer nicht auf. Insbesondere tut der er auch nicht dar, warum
das Kantonsgericht den von ihm aufgeworfenen Fragen rund um das Honorar des Willensvollstreckers im Rahmen der disziplinarischen Beurteilung der Mandatsführung des Beschwerdegegners zwingend hätte auf den Grund gehen müssen, obwohl die bundesgerichtliche Rechtsprechung gerade offenlässt, ob formelle Unzulänglichkeiten hinsichtlich der Honorarbezüge oder krass übersetzte Honorarforderungen im aufsichtsrechtlichen (Rechtsmittel-) Verfahren eine Rolle spielen können. Allein der Umstand, dass sich vereinzelte Stimmen im Schrifttum in dieser Richtung äussern (vgl. in diesem Sinne PETER BREITSCHMID, Die Stellung des Willensvollstreckers in der Erbteilung, in: Druey/Breitschmid [Hrsg.], Praktische Probleme der Erbteilung, 1997, S. 109 ff., S. 131 f., sowie A. ESCHER/ARNOLD ESCHER, Zürcher Kommentar, 3. Aufl. 1959, N 10a zu Art. 517
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 517 - 1 Le testateur peut, par une disposition testamentaire, charger de l'exécution de ses dernières volontés une ou plusieurs personnes capables d'exercer les droits civils. |
|
1 | Le testateur peut, par une disposition testamentaire, charger de l'exécution de ses dernières volontés une ou plusieurs personnes capables d'exercer les droits civils. |
2 | Les exécuteurs testamentaires sont avisés d'office du mandat qui leur a été conféré et ils ont quatorze jours pour déclarer s'ils entendent l'accepter; leur silence équivaut à une acceptation. |
3 | Ils ont droit à une indemnité équitable. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 517 - 1 Le testateur peut, par une disposition testamentaire, charger de l'exécution de ses dernières volontés une ou plusieurs personnes capables d'exercer les droits civils. |
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1 | Le testateur peut, par une disposition testamentaire, charger de l'exécution de ses dernières volontés une ou plusieurs personnes capables d'exercer les droits civils. |
2 | Les exécuteurs testamentaires sont avisés d'office du mandat qui leur a été conféré et ils ont quatorze jours pour déclarer s'ils entendent l'accepter; leur silence équivaut à une acceptation. |
3 | Ils ont droit à une indemnité équitable. |
bedeutet nicht, dass der angefochtene Entscheid verfassungsmässigen Rechten des Beschwerdeführers zuwiderläuft.
9.
Schliesslich beklagt sich der Beschwerdeführer verschiedentlich darüber, dass ihm das Kantonsgericht für die beiden kantonalen Instanzen Verfahrenskosten "von (teilweise virtuell) rund Fr. 20'000.--" auferlege. Es sei willkürlich, ihm diese Kosten vollumfänglich zu überwälzen, "obwohl die Beschwerdeführung - wie im Detail belegt - mehr als gerechtfertigt" gewesen sei. Allein aus diesen Vorbringen wird nicht in einer dem Rügeprinzip (s. E. 2) genügenden Weise deutlich, ob und gegebenenfalls in welchem Umfang der Beschwerdeführer die Regelung der Kosten- und Entschädigungsfolgen des kantonalen Verfahrens überhaupt unabhängig vom Ausgang des hiesigen Verfahrens anficht. Entsprechend braucht das Bundesgericht auch nicht näher auf die Frage einzugehen, was der Beschwerdeführer mit dem Ausdruck "teilweise virtuell" gemeint haben könnte.
10.
Im Ergebnis erweist sich die Beschwerde als unbegründet. Sie ist abzuweisen. Der Beschwerdeführer unterliegt. Er hat für die Gerichtskosten aufzukommen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
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1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
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1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Das Gesuch des Beschwerdeführers um unentgeltliche Rechtspflege für das bundesgerichtliche Verfahren wird gutgeheissen.
3.
Die Gerichtskosten von Fr. 1'500.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt, indes vorläufig auf die Gerichtskasse genommen.
4.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Kantonsgericht von Graubünden, I. Zivilkammer, und der Bank F.________, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 18. April 2016
Im Namen der II. zivilrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: von Werdt
Der Gerichtsschreiber: V. Monn