Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
4A 20/2011
Urteil vom 11. April 2011
I. zivilrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichterin Klett, Präsidentin,
Bundesrichterinnen Rottenberg Liatowitsch, Kiss,
Gerichtsschreiberin Hotz.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Dr. Christof Bernhart,
Beschwerdeführerin,
gegen
B. und C. X.________,
Beschwerdegegner.
Gegenstand
unentgeltliche Rechtsvertretung,
Beschwerde gegen den Beschluss des Bezirksgerichts Uster, Mietgericht, vom 29. Dezember 2010.
Sachverhalt:
A.
A.________ (Beschwerdeführerin, Mieterin) stellte am 6. Oktober 2010 bei der Schlichtungsbehörde in Mietsachen des Bezirksgerichts Uster die Begehren, es sei festzustellen, dass die Kündigung des Mietverhältnisses vom 12. Januar 2010 formungültig, missbräuchlich und nichtig sei; es sei festzustellen, dass zwischen den Parteien mit Schreiben der Beklagten (Vermieter) vom 12. Februar 2010 ein neues unbefristetes Mietverhältnis zustande gekommen sei, das ungekündigt sei; es sei der Mietpreis um Fr. 455.-- pro Monat herabzusetzen; es sei eventualiter das Mietverhältnis der Parteien um vier Jahre zu erstrecken, alles unter Kosten- und Entschädigungsfolge zulasten der Beklagten. Weiter stellte sie ein Gesuch um unentgeltliche Prozessführung und unentgeltliche Rechtsvertretung. Die Parteien wurden auf den 8. November 2010 zur Schlichtungsverhandlung vorgeladen. Da auf das genannte Datum kein amtlich beglaubigter Gebärdendolmetscher verpflichtet werden konnte, wurde die Schlichtungsverhandlung verschoben.
Mit Schreiben vom 8. November 2010 liess die Mieterin mitteilen, dass sie die übrigen Begehren zurückziehe, da sie in der Hauptsache gesiegt habe. Aufgrund dieses Schreibens, das als Rückzug sämtlicher Begehren zu verstehen sei, beendete die Schlichtungsbehörde das Verfahren mit Beschlüssen vom 15. November 2010. Ein Antrag der Beschwerdeführerin auf Auferlegung der Verfahrenskosten an die Gegenseite wurde abgewiesen. In einem weiteren Beschluss wurde das Gesuch der Beschwerdeführerin um unentgeltliche Prozessführung wegen Gegenstandslosigkeit abgeschrieben und dasjenige um unentgeltliche Rechtsvertretung abgewiesen, im Wesentlichen mit der Begründung, dass der Beizug eines Rechtsanwalts nicht notwendig war. Schliesslich wurde der Rückzug der Rechtsbegehren vorgemerkt und das Verfahren als durch Klagerückzug erledigt abgeschrieben.
B.
Die Beschwerdeführerin erhob gegen die Nichtgewährung der unentgeltlichen Rechtsvertretung Rekurs, den das hierfür zuständige Bezirksgericht Uster, Mietgericht, als Nichtigkeitsbeschwerde behandelte und mit Beschluss vom 29. Dezember 2010 abwies. Das Gesuch der Beschwerdeführerin um unentgeltliche Rechtspflege im Beschwerdeverfahren wies es wegen Aussichtslosigkeit ab.
C.
Die Beschwerdeführerin beantragt mit "Rechtsverweigerungsbeschwerde im Sinne von Art. 94
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 94 Déni de justice et retard injustifié - Le recours est recevable si, sans en avoir le droit, la juridiction saisie s'abstient de rendre une décision sujette à recours ou tarde à le faire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 113 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours constitutionnels contre les décisions des autorités cantonales de dernière instance qui ne peuvent faire l'objet d'aucun recours selon les art. 72 à 89. |
Am 3. Februar 2011 äusserte sich die Beschwerdeführerin zu ihrer Bedürftigkeit und reichte diesbezügliche Unterlagen nach. In der gleichen Eingabe ergänzte sie ihr Rechtsbegehren dahingehend, dass wenn die Vermieterschaft als Partei konstituiert werde, die Kosten und die volle Entschädigung des Rechtsanwalts der Beschwerdeführerin zulasten der Vermieterschaft gehen solle, ansonsten gehe die Kosten- und Entschädigungsfolge zulasten der Vorinstanz.
Am 1. März 2011 stellte die Beschwerdeführerin dem Bundesgericht ein Schreiben ihres Rechtsvertreters an die Schlichtungsbehörde in einem anderen Verfahren zur Kenntnisnahme zu.
Am 7. März 2011 übermittelte die Beschwerdeführerin dem Bundesgericht eine Verfügung des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich vom 10. Februar 2011 sowie diesem eingereichte Unterlagen betreffend Bedürftigkeit zur Kenntnisnahme.
Auf die Einholung von Vernehmlassungen wurde verzichtet.
Erwägungen:
1.
Da der angefochtene Beschluss vom 29. Dezember 2010 noch im Jahre 2010 eröffnet worden ist (Versand des Beschlusses: 30. Dezember 2010), schadet nicht, dass das Bezirksgericht (Mietgericht) zwar als Rechtsmittelinstanz entschieden hat, aber kein oberes kantonales Gericht im Sinne von 75 Abs. 2 Satz 1 BGG ist (Art. 405 Abs. 1
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors CPC Art. 405 Recours - 1 Les recours sont régis par le droit en vigueur au moment de la communication de la décision aux parties. |
|
1 | Les recours sont régis par le droit en vigueur au moment de la communication de la décision aux parties. |
2 | La révision de décisions communiquées en application de l'ancien droit est régie par le nouveau droit. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 130 Dispositions cantonales d'exécution - 1 Les cantons édictent d'ici à l'entrée en vigueur d'un code de procédure pénale suisse les dispositions d'exécution relatives à la compétence, à l'organisation et à la procédure des autorités précédentes en matière pénale au sens des art. 80, al. 2, et 111, al. 3, y compris les dispositions nécessaires pour garantir l'accès au juge prévu à l'art. 29a de la Constitution. Si un code de procédure pénale suisse n'est pas encore entré en vigueur six ans après l'entrée en vigueur de la présente loi, le Conseil fédéral fixe, après avoir consulté les cantons, le délai dans lequel ceux-ci doivent édicter les dispositions d'exécution. |
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1 | Les cantons édictent d'ici à l'entrée en vigueur d'un code de procédure pénale suisse les dispositions d'exécution relatives à la compétence, à l'organisation et à la procédure des autorités précédentes en matière pénale au sens des art. 80, al. 2, et 111, al. 3, y compris les dispositions nécessaires pour garantir l'accès au juge prévu à l'art. 29a de la Constitution. Si un code de procédure pénale suisse n'est pas encore entré en vigueur six ans après l'entrée en vigueur de la présente loi, le Conseil fédéral fixe, après avoir consulté les cantons, le délai dans lequel ceux-ci doivent édicter les dispositions d'exécution. |
2 | Les cantons édictent d'ici à l'entrée en vigueur d'un code de procédure civile suisse les dispositions d'exécution relatives à la compétence, à l'organisation et à la procédure des autorités précédentes en matière civile au sens des art. 75, al. 2, et 111, al. 3, y compris les dispositions nécessaires pour garantir l'accès au juge prévu à l'art. 29a de la Constitution. Si un code de procédure civile suisse n'est pas encore entré en vigueur six ans après l'entrée en vigueur de la présente loi, le Conseil fédéral fixe, après avoir consulté les cantons, le délai dans lequel ceux-ci doivent édicter les dispositions d'exécution. |
3 | Les cantons édictent, dans les deux ans à compter de l'entrée en vigueur de la présente loi, les dispositions d'exécution relatives à la compétence, à l'organisation et à la procédure des autorités précédentes au sens des art. 86, al. 2 et 3, et 88, al. 2, y compris celles qui sont nécessaires pour garantir l'accès au juge prévu à l'art. 29a de la Constitution. |
4 | Jusqu'à l'adoption de leur législation d'exécution, les cantons peuvent édicter, à titre provisoire, des dispositions d'exécution sous la forme d'actes législatifs non sujets au référendum si cela est nécessaire pour respecter les délais prévus aux al. 1 à 3. |
2.
Angefochten ist ein kantonal letztinstanzlicher Entscheid (Art. 75 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 75 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37 |
|
1 | Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37 |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours, sauf si: |
a | une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique; |
b | un tribunal spécialisé dans les litiges de droit commercial statue en instance cantonale unique; |
c | une action ayant une valeur litigieuse d'au moins 100 000 francs est déposée directement devant le tribunal supérieur avec l'accord de toutes les parties. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 93 Autres décisions préjudicielles et incidentes - 1 Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
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1 | Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
a | si elles peuvent causer un préjudice irréparable, ou |
b | si l'admission du recours peut conduire immédiatement à une décision finale qui permet d'éviter une procédure probatoire longue et coûteuse. |
2 | En matière d'entraide pénale internationale et en matière d'asile, les décisions préjudicielles et incidentes ne peuvent pas faire l'objet d'un recours.88 Le recours contre les décisions relatives à la détention extraditionnelle ou à la saisie d'objets et de valeurs est réservé si les conditions de l'al. 1 sont remplies. |
3 | Si le recours n'est pas recevable en vertu des al. 1 et 2 ou qu'il n'a pas été utilisé, les décisions préjudicielles et incidentes peuvent être attaquées par un recours contre la décision finale dans la mesure où elles influent sur le contenu de celle-ci. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 74 Valeur litigieuse minimale - 1 Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à: |
|
1 | Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à: |
a | 15 000 francs en matière de droit du travail et de droit du bail à loyer; |
b | 30 000 francs dans les autres cas. |
2 | Même lorsque la valeur litigieuse minimale n'est pas atteinte, le recours est recevable: |
a | si la contestation soulève une question juridique de principe; |
b | si une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique; |
c | s'il porte sur une décision prise par une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
d | s'il porte sur une décision prise par le juge de la faillite ou du concordat; |
e | s'il porte sur une décision du Tribunal fédéral des brevets. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 74 Valeur litigieuse minimale - 1 Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à: |
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1 | Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à: |
a | 15 000 francs en matière de droit du travail et de droit du bail à loyer; |
b | 30 000 francs dans les autres cas. |
2 | Même lorsque la valeur litigieuse minimale n'est pas atteinte, le recours est recevable: |
a | si la contestation soulève une question juridique de principe; |
b | si une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique; |
c | s'il porte sur une décision prise par une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
d | s'il porte sur une décision prise par le juge de la faillite ou du concordat; |
e | s'il porte sur une décision du Tribunal fédéral des brevets. |
erweist sich demnach als zulässig (Art. 113
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 113 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours constitutionnels contre les décisions des autorités cantonales de dernière instance qui ne peuvent faire l'objet d'aucun recours selon les art. 72 à 89. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 94 Déni de justice et retard injustifié - Le recours est recevable si, sans en avoir le droit, la juridiction saisie s'abstient de rendre une décision sujette à recours ou tarde à le faire. |
3.
3.1 Die Beschwerdeschrift hat ein Rechtsbegehren zu enthalten (Art. 42 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 117 Procédure de recours - Les art. 90 à 94, 99, 100, 102, 103, al. 1 et 3, 104, 106, al. 2, et 107 à 112 s'appliquent par analogie à la procédure du recours constitutionnel. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 107 Arrêt - 1 Le Tribunal fédéral ne peut aller au-delà des conclusions des parties. |
|
1 | Le Tribunal fédéral ne peut aller au-delà des conclusions des parties. |
2 | Si le Tribunal fédéral admet le recours, il statue lui-même sur le fond ou renvoie l'affaire à l'autorité précédente pour qu'elle prenne une nouvelle décision. Il peut également renvoyer l'affaire à l'autorité qui a statué en première instance. |
3 | Si le Tribunal fédéral considère qu'un recours en matière d'entraide pénale internationale ou d'assistance administrative internationale en matière fiscale est irrecevable, il rend une décision de non-entrée en matière dans les quinze jours qui suivent la fin d'un éventuel échange d'écritures. Dans le domaine de l'entraide pénale internationale, le Tribunal fédéral n'est pas lié par ce délai lorsque la procédure d'extradition concerne une personne dont la demande d'asile n'a pas encore fait l'objet d'une décision finale entrée en force.100 |
4 | Le Tribunal fédéral statue sur tout recours contre une décision du Tribunal fédéral des brevets portant sur l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets101 dans le mois qui suit le dépôt du recours.102 |
3.2 Die Beschwerdeführerin beantragt lediglich, den Beschluss des Mietgerichts vom 29. Dezember 2010 aufzuheben und die Sache zur Neubeurteilung an die Schlichtungsstelle Uster zurückzuweisen. Einen materiellen Antrag stellt sie nicht. Sie begründet in der Beschwerde auch in keiner Weise, dass das Bundesgericht im Falle der Gutheissung der Beschwerde nicht selbst in der Lage wäre, ein Urteil zu fällen, und die Streitsache an die Schlichtungsbehörde, mithin an die erste Instanz, zurückweisen müsste.
Bei dieser Sachlage wäre an sich mangels rechtsgenüglichem Antrag auf die Beschwerde nicht einzutreten. Der Beschwerdeführerin kann allerdings insoweit entgegengekommen werden, als wenigstens aus der Beschwerdebegründung hinreichend klar hervorgeht, dass sie die Gewährung der unentgeltlichen Rechtsverbeiständung im Verfahren vor der Schlichtungsbehörde anstrebt. Von einem entsprechenden Rechtsbegehren ist auszugehen.
4.
Mit der Verfassungsbeschwerde kann einzig die Verletzung von verfassungsmässigen Rechten gerügt werden (Art. 116
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 116 Motifs de recours - Le recours constitutionnel peut être formé pour violation des droits constitutionnels. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 117 Procédure de recours - Les art. 90 à 94, 99, 100, 102, 103, al. 1 et 3, 104, 106, al. 2, et 107 à 112 s'appliquent par analogie à la procédure du recours constitutionnel. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
Die Beschwerde richtet sich gegen den Entscheid des Bezirksgerichts als einer Rechtsmittelinstanz, der dieselben Rügen unterbreitet werden konnten wie dem Bundesgericht. In einem solchen Fall ist unter Auseinandersetzung mit den Erwägungen dieser Instanz aufzuzeigen, inwiefern sie die gerügte Verfassungsverletzung durch das vorher entscheidende Gericht, vorliegend die Schlichtungsbehörde in Mietsachen, zu Unrecht verneint haben soll. Das Gebot, den kantonalen Instanzenzug auszuschöpfen (Art. 75 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 75 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37 |
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1 | Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37 |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours, sauf si: |
a | une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique; |
b | un tribunal spécialisé dans les litiges de droit commercial statue en instance cantonale unique; |
c | une action ayant une valeur litigieuse d'au moins 100 000 francs est déposée directement devant le tribunal supérieur avec l'accord de toutes les parties. |
Diese Begründungsanforderungen missachtet die Beschwerdeführerin über weite Strecken. Sie richtet ihre Rügen einer Verletzung von Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 8 Égalité - 1 Tous les êtres humains sont égaux devant la loi. |
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1 | Tous les êtres humains sont égaux devant la loi. |
2 | Nul ne doit subir de discrimination du fait notamment de son origine, de sa race, de son sexe, de son âge, de sa langue, de sa situation sociale, de son mode de vie, de ses convictions religieuses, philosophiques ou politiques ni du fait d'une déficience corporelle, mentale ou psychique. |
3 | L'homme et la femme sont égaux en droit. La loi pourvoit à l'égalité de droit et de fait, en particulier dans les domaines de la famille, de la formation et du travail. L'homme et la femme ont droit à un salaire égal pour un travail de valeur égale. |
4 | La loi prévoit des mesures en vue d'éliminer les inégalités qui frappent les personnes handicapées. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
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1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
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1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
5.
Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat. Es kann die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz von Amtes wegen berichtigen oder ergänzen, wenn sie auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 116
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 116 Motifs de recours - Le recours constitutionnel peut être formé pour violation des droits constitutionnels. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 118 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis en violation du droit au sens de l'art. 116. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
|
1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 117 Procédure de recours - Les art. 90 à 94, 99, 100, 102, 103, al. 1 et 3, 104, 106, al. 2, et 107 à 112 s'appliquent par analogie à la procédure du recours constitutionnel. |
6.
Nach Meinung der Beschwerdeführerin erfüllt der angefochtene Beschluss "die verfassungsmässigen Anforderungen an einen Gerichtsentscheid nicht". Konkret bemängelt sie, dass der Beschluss nicht die Unterschrift eines befassten Richters trage.
Der angefochtene Beschluss führt im Rubrum die Namen der mitwirkenden Richterin und Richter sowie der juristischen Sekretärin auf. Unterzeichnet ist er einzig von der juristischen Sekretärin.
Im Rahmen einer schriftlichen Eröffnung ist die Unterzeichnung des Entscheids Gültigkeitsvoraussetzung. Wer einen kantonalen Entscheid zu unterschreiben hat, richtet sich nach kantonalem Recht. Dieses kann vorsehen, dass lediglich ein Gerichtsschreiber unterzeichnet (Urteil des Bundesgerichts I 252/06 vom 14. Juli 2006 E. 1 in Präzisierung von BGE 131 V 483; so nunmehr auch unter der ZPO: OBERHAMMER, in: Basler Kommentar, Schweizerische Zivilprozessordnung, 2010, N. 2 zu Art. 238
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors CPC Art. 238 Contenu - La décision contient: |
|
a | la désignation et la composition du tribunal; |
b | le lieu et la date de son prononcé; |
c | la désignation des parties et des personnes qui les représentent; |
d | le dispositif; |
e | l'indication des personnes et des autorités auxquelles elle est communiquée; |
f | l'indication des voies de recours si les parties n'ont pas renoncé à recourir; |
g | le cas échéant, les considérants; |
h | la signature du tribunal. |
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors CPC Art. 238 Contenu - La décision contient: |
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a | la désignation et la composition du tribunal; |
b | le lieu et la date de son prononcé; |
c | la désignation des parties et des personnes qui les représentent; |
d | le dispositif; |
e | l'indication des personnes et des autorités auxquelles elle est communiquée; |
f | l'indication des voies de recours si les parties n'ont pas renoncé à recourir; |
g | le cas échéant, les considérants; |
h | la signature du tribunal. |
7.
Weiter bringt die Beschwerdeführerin vor, sowohl der Beschluss der Schlichtungsbehörde als auch der angefochtene Beschluss der Vorinstanz verletzen ihren Anspruch auf rechtliches Gehör nach Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
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1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
7.1 Soweit sie entsprechende Vorwürfe direkt gegenüber der Schlichtungsbehörde erhebt (unzureichende Begründung, angebliche Verletzung des Akteneinsichtsrechts und des Gebots einer ordnungsgemässen Aktenführung), kann darauf mangels Letztinstanzlichkeit nicht eingetreten werden. Sie hätte die Verletzung des rechtlichen Gehörs durch die Schlichtungsbehörde bei der Vorinstanz rügen können und müssen (vgl. Erwägung 4). Soweit die Vorinstanz entsprechende Rügen abgewiesen hätte, hätte die Beschwerdeführerin in Auseinandersetzung mit den diesbezüglichen Erwägungen der Vorinstanz vor Bundesgericht aufzeigen müssen, inwiefern die Abweisung dieser Rügen verfassungsmässige Rechte verletzt. Da sie nicht so vorgeht, ist auf ihre Rügen nicht einzutreten. Namentlich ist auch nicht dargetan, dass der Beschwerdeführerin von der Schlichtungsbehörde nicht schon vor Erlass des angefochtenen Beschlusses der Vorinstanz Akteneinsicht gewährt worden wäre, wenn sie dies verlangt hätte, sodass sie nicht schon bei der Vorinstanz die beanstandeten Mängel hätte vorbringen können.
7.2 Gegenüber der Vorinstanz erblickt die Beschwerdeführerin konkret in folgenden Punkten eine Verletzung des rechtlichen Gehörs:
7.2.1 Die Vorinstanz habe das Recht auf Begründung verletzt, weil sie mit keinem Wort auf die "verfahrensrelevante Rüge" eingegangen sei, dass die Vermieterin unter dem Druck des Schlichtungsverfahrens einen Rückzug der Kündigung erklärt habe. Bereits aus der Wortwahl "Rückzug" ergebe sich, dass die Vermieterin von der Gültigkeit der Kündigung per 31. Oktober 2010 ausgegangen sei. Offenbar habe die Vorinstanz "ihre Eingabe" nicht gelesen, was ebenfalls eine Gehörsverletzung sei.
Der verfassungsmässige Anspruch auf rechtliches Gehör umfasst das Recht des Betroffenen, sich vor Erlass eines in seine Rechtsstellung eingreifenden Akts zur Sache äussern zu können (BGE 122 II 274 E. 6b S. 286 f. mit Hinweisen). Er verlangt von der Behörde, dass sie seine Vorbringen tatsächlich hört, ernsthaft prüft und in ihrer Entscheidfindung angemessen berücksichtigt (BGE 136 I 186 E. 2.2.1 S.188; 123 I 31 E. 2c S. 34 mit Hinweisen). Dies gilt für alle form- und fristgerechten Äusserungen, Eingaben und Anträge, die zur Klärung der konkreten Streitfrage geeignet und erforderlich erscheinen (BGE 112 Ia 1 E. 3c S. 3). Die Begründung muss so abgefasst sein, dass der Betroffene den Entscheid gegebenenfalls sachgerecht anfechten kann. Sie muss kurz die wesentlichen Überlegungen nennen, von denen sich das Gericht hat leiten lassen und auf die es seinen Entscheid stützt. Nicht erforderlich ist, dass sich die Begründung mit allen Parteistandpunkten einlässlich auseinandersetzt und jedes einzelne Vorbringen ausdrücklich widerlegt (BGE 136 I 184 E. 2.2.1 S. 188 mit Hinweisen).
Diesen Anforderungen wird der angefochtene Beschluss gerecht. Es ist nicht nachvollziehbar, worin eine verfahrensrelevante "Rüge" zu erblicken wäre, auf welche die Vorinstanz nicht eingegangen wäre. Sofern die Beschwerdeführerin geltend machen will, die Vorinstanz sei auf eine entsprechende Behauptung, dass die Vermieterin unter dem Druck des Schlichtungsverfahrens den Rückzug der Kündigung erklärt habe, nicht eingegangen, legt sie nicht mit Aktenhinweisen dar, dass sie eine solche prozesskonform eingebracht hätte. Die Vorinstanz hat sich mit dem Thema befasst, ob die Vermieterschaft aus der Kündigung vom 12. Januar 2010 Rechtsfolgen abgeleitet hatte, wie die Beschwerdeführerin geltend machte. Dabei stützte sie die Feststellung der Schlichtungsbehörde als nicht aktenwidrig, wonach "zumindest soweit die Akten Aufschluss geben", keinerlei Schritte in die Wege geleitet worden seien, um aus der betreffenden Kündigung Rechtsfolgen abzuleiten. Für die Vorinstanz war nicht ersichtlich, dass sich aus den Akten etwas anderes ergeben würde. Wenn sie in diesem Zusammenhang die nicht weiter belegte Meinung der Beschwerdeführerin, dass aus der Wortwahl "Rückzug" zu schliessen sei, dass die Vermieterschaft von der Gültigkeit der Kündigung per
31. Oktober 2010 ausgegangen sei, nicht teilte, liegt darin keine Verletzung des rechtlichen Gehörs.
Ebenso wenig vermag die Beschwerdeführerin in diesem Zusammenhang eine "krass unvollständige sowie unrichtige und damit willkürliche" Feststellung des Sachverhalts und damit eine Verletzung von Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
keine willkürliche Sachverhaltsfeststellung aufzuzeigen.
7.2.2 Weiter moniert die Beschwerdeführerin, dass die Vorinstanz über die Gewährung der unentgeltlichen Rechtspflege zusammen mit dem Endentscheid und nicht vorab in einer gesonderten Verfügung entschieden habe. Sie hätte über die Verweigerung der unentgeltlichen Rechtspflege vorab informiert werden müssen, was es ihr ermöglicht hätte, ihr Begehren "unter Kostenfreiheit und ohne negative Folgen" zurückzuziehen. Damit sei der Anspruch auf Orientierung über den Verfahrensgang sowie das Mitwirkungsrecht verletzt worden. Im monierten Vorgehen erblickt die Beschwerdeführerin überdies einen Verstoss gegen Treu und Glauben.
Die Beschwerdeführerin wirft damit die Frage nach dem Zeitpunkt auf, in dem über ein Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege entschieden werden muss (für die davon zu unterscheidende Frage der zeitlichen Wirkung der Gewährung der unentgeltlichen Rechtspflege, vgl. BGE 122 I 203). Konkret ist zu beantworten, ob über ein Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege stets umgehend in einer separaten Verfügung zu entscheiden ist oder ob - wie dies in der Praxis auch des Bundesgerichts vorkommt - darüber zusammen mit dem Endentscheid bzw. erst im Rahmen der Kostenregelung befunden werden kann. Nach der bundesgerichtlichen Rechtsprechung ist die Beurteilung eines Gesuchs um unentgeltliche Rechtspflege zusammen mit dem Endentscheid bzw. im Rahmen der Kostenregelung in denjenigen Fällen nicht zu beanstanden, in denen das Gesuch mit der Eingabe in der Hauptsache verbunden wird und keine weiteren Vorkehren des Rechtsvertreters erforderlich sind. Anders verhält es sich aber, wenn der Rechtsvertreter nach Einreichung des Gesuchs gehalten ist, weitere Verfahrensschritte zu unternehmen. In diesen Fällen ist es unabdingbar, dass die Behörden über das Gesuch um unentgeltliche Verbeiständung umgehend entscheiden, damit Klient und Rechtsvertreter sich über
das finanzielle Verfahrensrisiko Klarheit verschaffen können. Der Anspruch auf unentgeltliche Verbeiständung würde seines Gehalts entleert, wenn die Behörden den Entscheid über das Gesuch hinausschieben, um es im Rahmen der Kostenregelung abzuweisen. Im Hinblick auf das aus Art. 29 Abs. 1
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
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1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
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1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
Die Beschwerdeführerin stellte ihr Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege im vorinstanzlichen Verfahren zusammen mit ihrem "Rekurs" vom 1. Dezember 2010. Über das Verfassen der Rekursschrift hinaus waren seitens des Rechtsanwalts der Beschwerdeführerin keine weiteren prozessualen Schritte zu unternehmen, namentlich keine solchen, die mit erheblichen Kosten verbunden gewesen wären. Das vorinstanzliche Rechtsmittelverfahren lief schriftlich ab und endete mit dem angefochtenen Beschluss der Beschwerdeinstanz. Sodann ist nicht dargetan, dass - wie die Beschwerdeführerin bloss behauptet, aber nicht belegt - ein Rückzug des Rekurses nach einer vorab mitgeteilten Verweigerung der unentgeltlichen Rechtspflege "unter Kostenfreiheit und ohne negative Folgen" möglich gewesen wäre, ist doch die Abschreibung eines Verfahrens infolge Rückzugs des erhobenen Rechtsmittels in der Regel mit Kosten verbunden. Bei dieser Ausgangslage ist es nicht zu beanstanden, wenn die Vorinstanz über das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege nicht vorab, sondern erst zusammen mit dem Endentscheid befand. Die von der Beschwerdeführerin angerufenen Verfahrensgarantien sind dadurch nicht verletzt worden.
Das Gleiche gilt im Übrigen für das Vorgehen der Schlichtungsbehörde. Die Beschwerdeführerin stellte gleichzeitig mit ihrer Eingabe vom 6. Oktober 2010 das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege. Noch bevor eine Schlichtungsverhandlung abgehalten werden konnte und vom Rechtsvertreter weitere prozessuale Schritte zu unternehmen gewesen wären, zog sie ihre Begehren am 8. November 2010 wieder zurück, sodass die Schlichtungsbehörde nur noch die Abschreibung des Verfahrens zufolge Klagerückzugs und die Kostenregelung zu treffen hatte, in deren Rahmen sie ohne Nachteil für die Beschwerdeführerin und ohne Verletzung verfassungsmässiger Rechte auch über ihr Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege entscheiden durfte.
8.
Die Beschwerdeführerin macht geltend, die Schlichtungsbehörde und die Vorinstanz hätten mit der Verweigerung der unentgeltlichen Rechtspflege Art. 29 Abs. 3
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
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2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
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8.1 Der Anspruch auf unentgeltliche Prozessführung und Verbeiständung wird, solange die Schweizerische Zivilprozessordnung nicht zur Anwendung kommt, in erster Linie durch das kantonale Prozessrecht geregelt. Unabhängig davon besteht ein solcher Anspruch unmittelbar aufgrund von Art. 29 Abs. 3
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3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
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1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
Danach hat jede Person, die nicht über die erforderlichen Mittel verfügt, Anspruch auf unentgeltliche Rechtspflege, wenn ihr Rechtsbegehren nicht aussichtslos erscheint. Soweit es zur Wahrung ihrer Rechte notwendig ist, hat sie ausserdem Anspruch auf unentgeltlichen Rechtsbeistand.
Ob eine unentgeltliche Rechtsverbeiständung sachlich notwendig ist, beurteilt sich nach den konkreten Umständen des Einzelfalles. Die Rechtsnatur des Verfahrens ist ohne Belang. Grundsätzlich fällt die unentgeltliche Verbeiständung für jedes staatliche Verfahren in Betracht, in das der Gesuchsteller einbezogen wird oder das zur Wahrung seiner Rechte notwendig ist (BGE 130 I 180 E. 2.2; 128 I 225 E. 2.3 S. 227; 125 V 32 E. 4). Die bedürftige Partei hat Anspruch auf unentgeltliche Verbeiständung, wenn ihre Interessen in schwerwiegender Weise betroffen sind und der Fall in tatsächlicher und rechtlicher Hinsicht Schwierigkeiten bietet, die den Beizug eines Rechtsvertreters erforderlich machen. Droht das in Frage stehende Verfahren besonders stark in die Rechtsposition der betroffenen Person einzugreifen, ist die Bestellung eines unentgeltlichen Rechtsvertreters grundsätzlich geboten, sonst nur dann, wenn zur relativen Schwere des Falles besondere tatsächliche oder rechtliche Schwierigkeiten hinzukommen, denen der Gesuchsteller auf sich alleine gestellt nicht gewachsen wäre (BGE 130 I 180 E. 2.2 mit Hinweisen).
Das Bundesgericht prüft frei, ob der Anspruch auf Gewährung eines unentgeltlichen Rechtsbeistands nach Art. 29 Abs. 3
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
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1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
8.2 Die Vorinstanz stützte die Begründung der Schlichtungsbehörde für die Verweigerung der unentgeltlichen Rechtsvertretung als zutreffend, zumal die Beschwerdeführerin sie nicht substanziiert in Zweifel gezogen habe. Die Schlichtungsbehörde hatte erwogen, die Beschwerdeführerin habe mit ihrer Eingabe vom 6. Oktober 2010 in der Hauptsache die Nichtigkeit bzw. die Missbräuchlichkeit einer am 12. Januar 2010 (auf Ende April 2010) ausgesprochenen Kündigung feststellen lassen wollen, obschon die Vermieterschaft - zumindest soweit die Akten Aufschluss geben würden - keinerlei Schritte in die Wege geleitet habe, um aus der Kündigung irgendwelche Rechtsfolgen abzuleiten. Offenbar seien die Vermieter vielmehr von der Annahme ausgegangen, dass die Durchsetzung eines bereits seit Monaten verstrichenen Kündigungstermins wohl kaum von Erfolg gekrönt sein könnte, hätten sie dem Rechtsvertreter doch bereits vor dem 12. Oktober 2010 - mithin wenige Tage nach Anhängigmachung der Rechtsbegehren bei der Schlichtungsbehörde - ihre Bereitschaft erklärt, die Angelegenheit einvernehmlich und ohne unnötigen Aufwand zu regeln. Gegenteiliges bringe die Beschwerdeführerin nicht vor. Allein schon diese Ausgangslage zeige deutlich, dass von Beginn weg keine
akute Gefährdung der Rechtsstellung der Beschwerdeführerin vorgelegen habe. Daran vermöge auch der Umstand nichts zu ändern, dass die Beschwerdeführerin offenbar gehörlos sei und deshalb gewisse Schwierigkeiten haben dürfte, ihren Standpunkt im Rahmen von Einigungsgesprächen darzutun. Es sei nicht einzusehen, inwiefern ein Rechtsbeistand, der selbst der Gebärdensprache nicht mächtig sei, diesen Nachteil beheben könnte. Das Verfahren vor der Schlichtungsbehörde wäre unter Beizug eines Gebärdendolmetschers durchgeführt worden. Das Erfordernis der Verbeiständung müsse sich auf die rechtliche und nicht die persönliche Betreuung der bedürftigen Partei beziehen. Die sich stellenden Fragen seien weder in tatsächlicher noch in rechtlicher Hinsicht schwierig zu beantworten gewesen. Vielmehr könne mit guten Gründen davon ausgegangen werden, dass bereits ein klärendes Schreiben der Beschwerdeführerin an die Vermieterschaft ausgereicht hätte, um Gewissheit darüber zu erlangen, dass diese aus der (wohl vergessen gegangenen) Kündigung vom 12. Januar 2010 keine Rechtsfolgen habe ableiten wollen. Eine andere Einschätzung der Sachlage dränge sich angesichts des vorbehaltlosen und auf die Überflüssigkeit des eingeleiteten Verfahrens hinweisenden
"Rückzugs" der Kündigung durch die Vermieter vom 27. Oktober 2010 nicht auf und werde durch die Beschwerdeführerin auch in keiner Art und Weise argumentativ nahegelegt. Der vorliegende Fall erweise sich demnach als derart unkompliziert - wenn nicht gar unstrittig -, dass sich der Beizug eines unentgeltlichen Rechtsbeistands nicht rechtfertigen lasse.
8.2.1 Die Beschwerdeführerin gesteht selbst zu, dass eine rechtskundige Verbeiständung im Schlichtungsverfahren sicher nicht generell geboten sei. Zu berücksichtigen seien die Umstände des Einzelfalles, was die Vorinstanz mit ihrem pauschalen Hinweis auf die "Finanzen" verkenne. Weshalb gerade bei den Schwächsten unserer Gesellschaft gespart werden solle, sei nicht nachvollziehbar.
Der Einwand verfängt nicht. Die Bundesverfassung selbst gewährt den Anspruch auf unentgeltliche Rechtsverbeiständung nicht bedingungslos, sondern knüpft ihn an die Voraussetzung, dass dies zur Wahrung der Rechte der bedürftigen Partei notwendig ist (Art. 29 Abs. 3
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
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1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
Sie zog dabei namentlich in Betracht, dass die Beschwerdeführerin offenbar gehörlos ist und deshalb gewisse Schwierigkeiten haben dürfte, ihren Standpunkt im Rahmen von Einigungsgesprächen darzutun. Wenn sie allein aus diesem Umstand noch nicht auf eine Notwendigkeit einer Rechtsverbeiständung im fraglichen Verfahren schloss, ist dies verfassungsrechtlich nicht zu beanstanden. In der Tat hätte diesem Nachteil eher durch den beabsichtigten Beizug eines Gebärdendolmetschers begegnet werden können als durch einen Rechtsvertreter, welcher der Gebärdensprache nicht mächtig ist. Zu Recht wurde auch darauf hingewiesen, dass das Erfordernis einer Verbeiständung sich auf die rechtliche, nicht auf die persönliche Betreuung bezieht (BGE 119 Ia 264 E. 4d S. 270). Nicht zielführend ist daher auch das Vorbringen, die Anwesenheit einer Vertrauensperson, die den Betroffenen durch das Verfahren begleite, sei elementar und zum Schutz der Menschenwürde (Art. 7
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 7 Dignité humaine - La dignité humaine doit être respectée et protégée. |
aufzufangen.
8.2.2 Die Beschwerdeführerin macht sodann geltend, es sei darum gegangen, ob sie und ihre Kinder obdachlos werden würden, mithin um ein existenzielles Problem. Die Vermieterschaft sei von einer professionellen Liegenschaftsverwaltung vertreten gewesen, die "vor keinen noch so primitiven Machenschaften zurückgeschreckt sei, die Beschwerdeführerin loszuwerden". Die Waffengleichheit habe nur durch eine anwaltliche Vertretung der Beschwerdeführerin gewahrt werden können. Es hätten sich schwierige Rechtsfragen gestellt, wie, ob eine gültige Kündigung überhaupt vorgelegen bzw. ob ein neuer unbefristeter Mietvertrag zustande gekommen sei.
Mit diesen Vorbringen vermag die Beschwerdeführerin die vorinstanzliche Beurteilung der Notwendigkeit einer Rechtsverbeiständung im konkreten Fall nicht umzustossen. Nach den verbindlichen Feststellungen der Vorinstanz bzw. der Schlichtungsbehörde (vgl. Erwägung 5) hatte die Vermieterschaft keinerlei Schritte unternommen, um aus der auf den 30. April 2010 ausgesprochenen Kündigung vom 12. Januar 2010 irgendwelche Rechtsfolgen abzuleiten, etwa ein Ausweisungsverfahren einzuleiten. Das Gegenteil vermochte die Beschwerdeführerin mit ihrer pauschalen, durch nichts belegten Behauptung angeblicher "primitiver Machenschaften, um die Beschwerdeführerin loszuwerden" nicht darzutun. Es ist daher verfassungsrechtlich nicht zu beanstanden, dass die Vorinstanz (bzw. die Schlichtungsbehörde) davon ausging, die Rechtsstellung der Beschwerdeführerin sei von Beginn weg nicht gefährdet gewesen. Es kann also nicht gesagt werden, die Interessen der Beschwerdeführerin seien in schwerwiegender Weise betroffen gewesen, geschweige denn, dass das in Frage stehende Verfahren besonders stark in ihre Rechtsposition einzugreifen drohte. Im Gegenteil, geht aus den vorinstanzlichen Erwägungen eher hervor, dass das von der Beschwerdeführerin initiierte Verfahren
gar nicht nötig gewesen wäre, ist doch nicht erstellt, dass die Vermieter etwas unternommen hätten, um die Beschwerdeführerin aus der Wohnung zu weisen. Auch galt es nicht, schwierige Rechtsfragen zu beantworten. Vielmehr hätte - nach den verbindlichen Feststellungen der Vorinstanz bzw. der Schlichtungsbehörde (vgl. Erwägung 5) - die Situation offenbar mit einem einfachen Schreiben an die Vermieterschaft geklärt werden können. Angesichts dieser Umstände wurde das Erfordernis der Notwendigkeit einer Rechtsverbeiständung im konkreten Fall zu Recht verneint.
Der Beschwerdeführerin hilft auch nicht weiter, wenn sie den Grundsatz der Waffengleichheit anruft. Es trifft zu, dass der Anspruch auf unentgeltliche Rechtspflege auch als Ausfluss des Prinzips der Waffengleichheit zu verstehen ist (BGE 120 Ia 217 E. 1 S. 218 f.). Eine besondere Ausprägung kommt dem Prinzip zu, wenn es um die unentgeltliche Verbeiständung geht und die Gegenseite einen Anwalt beizieht. Allerdings gibt es auch in diesem Fall keinen Automatismus, sondern es sind alle Umstände des Einzelfalles zu prüfen (Urteil 5A 145/2010 vom 7. April 2010 E. 3.5 mit Hinweisen).
Vorliegend geht die Berufung auf Waffengleichheit schon deshalb fehl, weil die Vermieterschaft nicht durch einen Rechtsanwalt vertreten war, sondern - wie die Vorinstanz verbindlich feststellte (vgl. Erwägung 5) - sich lediglich bei der Verwaltung ihrer Wohnung durch eine Immobilienverwaltung vertreten liess. Allein dieser Umstand rechtfertigt die Beigabe eines unentgeltlichen Rechtsbeistands für ein Schlichtungsverfahren noch nicht. Dies hat die Vorinstanz zutreffend erkannt.
8.3 Zusammenfassend erweist sich die Rüge einer Verletzung von Art. 29 Abs. 3
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
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1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
9.
Auch die weiteren Rügen der Beschwerdeführerin sind unbegründet, soweit darauf überhaupt eingetreten werden kann:
9.1 Sie moniert eine Rechtsverweigerung und einen Verstoss gegen die derogatorische Kraft des Bundesrechts mit der Begründung, ein Kanton dürfe von Bundesrechts wegen nicht bestimmen, dass dem Kläger vor der Schlichtungsbehörde in Mietsachen keine unentgeltliche Rechtspflege gewährt werde und dass dieser Punkt nur unter dem Aspekt der Willkür von den Gerichten überprüft werden dürfe.
Die Rüge geht ins Leere. Der Beschwerdeführerin wurde die unentgeltliche Rechtsverbeiständung vor der Schlichtungsbehörde verweigert, weil eine solche in ihrem konkreten Einzelfall nicht notwendig war, nicht weil die Prozessgesetzgebung des Kantons Zürich generell im Verfahren vor der Schlichtungsbehörde in Mietsachen eine unentgeltliche Rechtsverbeiständung ausschliessen würde. Ebenso wenig unterlag die Vorinstanz betreffend die Überprüfung der verweigerten unentgeltlichen Rechtsverbeiständung einer blossen Willkürkognition, zählt doch der Anspruch auf unentgeltliche Rechtspflege nach Art. 29 Abs. 3
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
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1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
dargetan noch ersichtlich ist, inwiefern dieser Frage hier Entscheidrelevanz zukommen sollte.
9.2 Nach Meinung der Beschwerdeführerin ist sowohl der Beschluss der Schlichtungsbehörde als auch der Beschluss der Vorinstanz grob unverhältnismässig.
Das Verhältnismässigkeitsprinzip ist ein allgemeiner Verfassungsgrundsatz (Art. 5 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 5 Principes de l'activité de l'État régi par le droit - 1 Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État. |
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1 | Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État. |
2 | L'activité de l'État doit répondre à un intérêt public et être proportionnée au but visé. |
3 | Les organes de l'État et les particuliers doivent agir de manière conforme aux règles de la bonne foi. |
4 | La Confédération et les cantons respectent le droit international. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 98 Motifs de recours limités - Dans le cas des recours formés contre des décisions portant sur des mesures provisionnelles, seule peut être invoquée la violation des droits constitutionnels. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 116 Motifs de recours - Le recours constitutionnel peut être formé pour violation des droits constitutionnels. |
10.
Die Begehren der Beschwerdeführerin, soweit sie überhaupt als rechtsgenüglich gestellt zu betrachten sind, erschienen von vornherein aussichtslos, weshalb ihrem Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege für das bundesgerichtliche Verfahren nicht entsprochen werden kann (Art. 64 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
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1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Das Gesuch der Beschwerdeführerin um Gewährung der unentgeltlichen Rechtspflege für das bundesgerichtliche Verfahren wird abgewiesen.
2.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
3.
Die Gerichtskosten von Fr. 500.-- werden der Beschwerdeführerin auferlegt.
4.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Bezirksgericht Uster, Mietgericht, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 11. April 2011
Im Namen der I. zivilrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Die Präsidentin: Die Gerichtsschreiberin:
Klett Hotz