Tribunal administratif fédéral
Tribunale amministrativo federale
Tribunal administrativ federal
Cour III
C-1865/2011
Arrêt du 2 janvier 2013
Vito Valenti (président du collège),
Composition Madeleine Hirsig-Vouilloz et Daniel Stufetti, juges,
Yannick Antoniazza-Hafner, greffier.
A._______,
Parties
recourante,
contre
Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (OAIE),avenue Edmond-Vaucher 18, case postale 3100, 1211 Genève 2,
autorité inférieure.
Objet Assurance-invalidité (décision du 28 février 2011).
Faits :
A.
La recourante A._______ est une ressortissante espagnole née le [...] 1960. Mariée et mère de deux filles nées le 15 février 1985 et le 20 avril 1995 (pce 1 p. 6), elle travaille en Suisse pendant plusieurs périodes d'assurance de 1982 à 1991 dans une fabrique d'habits pour des salaires annuels variant entre 16'863.- et 30'659.- (pces 6). Après avoir obtenu des indemnités de chômage de juin 1991 à juin 1992, elle perçoit à nouveau des revenus de Fr. 17'280.- en 1994 et de Fr. 7'680.- en 1995 puis touche des indemnités de chômage d'octobre 1995 à septembre 1997 (pce 6). De retour en Espagne, elle oeuvre, dès septembre 2006, à raison de 30 heures par semaine en tant que femme de ménage (pces 11 p. 1 n° 3b et 13 p. 1 n° 1 à 5) et est considérée comme salariée par les institutions de sécurité sociale espagnole (pce 2 p. 2). Souffrant de troubles dégénératifs au rachis depuis plusieurs mois (cf. rapport radiographique du 1er février 2007 [pce TAF 1 p. 39]; rapport du 20 juillet 2009 indiquant que les douleurs au dos ont débuté il y a deux ans [pce TAF 1 p. 25]), elle doit cesser l'exercice de toute activité lucrative dès le 5 novembre 2008 pour des raisons de santé (pces 11 p. 3 n° 7a; 15). Le 6 novembre 2008, elle est soumise à une arthrodèse en L4-L5 pour cause de spondylolisthésis isthmique (pce TAF 1 p. 19; pce 15). Elle est dès lors mise au bénéfice de prestations de l'assurance perte de gain (pce 1 p. 4). En date du 31 mars 2010, elle présente une demande de prestations auprès de l'Institut national de la sécurité sociale espagnol (INSS; pce 1 p. 7 n° 14), lequel transmet la requête à l'Office de l'assurance-invalidité pour les personnes résidant à l'étranger (ci-après: OAIE). A partir du 12 novembre 2010, les institutions de sécurité sociale espagnole lui octroient une rente d'invalidité pour cause d'incapacité permanente totale (pce TAF 1 p. 9-12).
B.
Lors de la procédure d'examen de la demande, l'administration recueille divers renseignements économiques et médicaux dont notamment des certificats médicaux des 12 novembre 2008 (pce 15), 7 avril 2010 (pce 17 [rapport médical E 213]), un questionnaire pour assurés travaillant dans le ménage du 13 juin 2010 (pce 9), un questionnaire à l'assuré du 13 juin 2010 (pce 11), et trois questionnaires pour l'employeur des 13 juin 2010 et 10 août 2010 (pces 10, 13 p. 1-2, 13 p. 3-4 [On note que deux questionnaires sont datés du 10 août 2010]).
C.
Le 25 novembre 2010 (pce 24), l'OAIE, s'appuyant sur un rapport de son service médical du 21 octobre 2010 (pce 20) et une comparaison des revenus du 8 novembre 2010 effectuée en application de la méthode mixte (pce 21 [retenant un taux d'invalidité dans l'activité lucrative de 17.71%, un taux d'invalidité dans les activités ménagères de 24% et un taux d'invalidité global de 19.47%]), informe l'intéressée qu'il entend rejeter sa demande de prestations. Selon lui, il ressort du dossier qu'il existe, dans l'exercice à temps partiel de la dernière activité lucrative, à cause de l'atteinte à la santé, une incapacité de travail d'au moins 40% en moyenne pendant une année, au sens de la législation des assurances sociales suisses. En revanche, l'exercice à temps partiel d'une activité lucrative plus légère, mieux adaptée à l'état de santé serait encore exigible à 100% avec une perte de gain de 18%. Par ailleurs, l'intéressée serait encore en mesure d'accomplir les travaux habituels à raison de 76%. Compte tenu du handicap rencontré dans les deux domaines d'activité en question, il en résulterait un degré global d'invalidité de 19% insuffisant pour ouvrir le droit à une rente. Il impartit à l'assurée un délai de 30 jours pour déposer ses observations.
D.
Suite à un e-mail de l'assurée du 10 décembre 2010 demandant à ce qu'on lui traduise le projet de décision dans sa langue maternelle (pce 25), l'administration lui répond que seule une communication dans l'une des langues nationales suisses entre en ligne de compte. Il lui impartit un nouveau délai jusqu'au 14 février 2011 pour solliciter l'éventuel envoi d'un projet de décision rédigé en italien ou en allemand ou déposer ses remarques éventuelles (écrit du 14 décembre 2010 [pce 26]).
E.
Par acte daté du 20 décembre 2010 (pce 27 p. 2 ss.), l'intéressée fait part de son désaccord quant au projet de décision. Faisant valoir ses affections, elle nie être en mesure d'effectuer un travail quelconque, même léger, vu que ses atteintes l'empêchent d'avoir un minimum de rendement sur le marché du travail. Elle estime ainsi avoir droit à une rente d'invalidité basée sur un taux d'invalidité supérieur à 70%.
F.
L'autorité inférieure, par décision du 28 février 2011 (pce 28), rejette la demande de prestations de l'assurée en reprenant la motivation du projet de décision.
G.
Par acte du 28 mars 2011 (pce TAF 1), l'intéressée défère la décision précitée au Tribunal administratif fédéral en réitérant les arguments développés devant l'autorité inférieure. Elle produit des certificats médicaux non encore versés à la cause des 1er février 2007 (rapport radiographique), 21 mai 2008 (rapport hémato-chimique), 18 juillet 2008 (rapport radiologique [mamographie]), 6 novembre 2008 (rapport hémato-chimique), 6 novembre 2008 (rapport chirurgical), 12 novembre 2008 (rapport hémato-chimique), 4 décembre 2008 (rapport hémato-chimique), 5 janvier 2009 (rapport hémato-chimique), 9 avril 2009 (rapport hémato-chimique), 8 juin 2009 (rapport radiologique), 20 juillet 2009 (rapport d'exploration physique), 30 août 2009 (rapport hémato-chimique), 30 août 2009 (rapport du service des urgences), 7 mai 2010 (rapport neurophysiologique), 6 août 2010 (rapport radiologique) et 13 décembre 2010 (rapport radiologique).
H.
Par décision incidente du 18 avril 2011 (pce TAF 2), le Tribunal de céans invite la recourante, jusqu'au 31 mai 2011, à verser une avance sur les frais présumés de procédure de Fr. 400.-. La somme requise est versée sur le compte du Tribunal en date du 29 avril 2011 (pce TAF 3).
I.
Appelée à se déterminer sur le recours, l'autorité inférieure, se basant sur une nouvelle prise de position de son service médical du 28 octobre 2011 (pce 32), confirme les tenants et aboutissants de la décision entreprise (préavis du 18 novembre 2011 [pce TAF 9]). Les documents précités sont transmis à la recourante par ordonnance du 9 décembre 2011 (pce 10 notifiée le 14 décembre 2011 [pce TAF 11; avis de réception]) avec octroi d'un délai de 30 jours dès notification dudit acte pour répliquer. L'assurée renonce à se déterminer dans le délai imparti.
Droit :
1.1 Sous réserve des exceptions - non réalisées en l'espèce - prévues à l'art. 32
SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 32 Eccezioni - 1 Il ricorso è inammissibile contro: |
|
1 | Il ricorso è inammissibile contro: |
a | le decisioni in materia di sicurezza interna o esterna del Paese, neutralità, protezione diplomatica e altri affari esteri, in quanto il diritto internazionale pubblico non conferisca un diritto al giudizio da parte di un tribunale; |
b | le decisioni in materia di diritto di voto dei cittadini nonché di elezioni e votazioni popolari; |
c | le decisioni in materia di salario al merito del personale federale, in quanto non concernano la parità dei sessi; |
d | ... |
e | le decisioni nel settore dell'energia nucleare concernenti: |
e1 | le autorizzazioni di massima per impianti nucleari, |
e2 | l'approvazione del programma di smaltimento, |
e3 | la chiusura di depositi geologici in profondità, |
e4 | la prova dello smaltimento; |
f | le decisioni in materia di rilascio o estensione di concessioni di infrastrutture ferroviarie; |
g | le decisioni dell'autorità indipendente di ricorso in materia radiotelevisiva; |
h | le decisioni in materia di rilascio di concessioni per case da gioco; |
i | le decisioni in materia di rilascio, modifica o rinnovo della concessione della Società svizzera di radiotelevisione (SSR); |
j | le decisioni in materia di diritto ai sussidi di una scuola universitaria o di un altro istituto accademico. |
2 | Il ricorso è inoltre inammissibile contro: |
a | le decisioni che, in virtù di un'altra legge federale, possono essere impugnate mediante opposizione o ricorso dinanzi a un'autorità ai sensi dell'articolo 33 lettere c-f; |
b | le decisioni che, in virtù di un'altra legge federale, possono essere impugnate mediante ricorso dinanzi a un'autorità cantonale. |
SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 31 Principio - Il Tribunale amministrativo federale giudica i ricorsi contro le decisioni ai sensi dell'articolo 5 della legge federale del 20 dicembre 196819 sulla procedura amministrativa (PA). |
SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 33 Autorità inferiori - Il ricorso è ammissibile contro le decisioni: |
|
a | del Consiglio federale e degli organi dell'Assemblea federale in materia di rapporti di lavoro del personale federale, compreso il rifiuto dell'autorizzazione a procedere penalmente; |
b | del Consiglio federale concernenti: |
b1 | la destituzione di un membro del Consiglio della banca o della direzione generale o di un loro supplente secondo la legge del 3 ottobre 200325 sulla Banca nazionale, |
b10 | la revoca di un membro del consiglio d'amministrazione del Servizio svizzero di assegnazione delle tracce o l'approvazione della risoluzione del rapporto di lavoro del direttore da parte del consiglio d'amministrazione secondo la legge federale del 20 dicembre 195743 sulle ferrovie; |
b2 | la revoca di un membro del consiglio di amministrazione dell'Autorità federale di vigilanza sui mercati finanziari o l'approvazione dello scioglimento del rapporto di lavoro del direttore da parte del consiglio di amministrazione secondo la legge del 22 giugno 200726 sulla vigilanza dei mercati finanziari, |
b3 | il blocco di valori patrimoniali secondo la legge del 18 dicembre 201528 sui valori patrimoniali di provenienza illecita, |
b4 | il divieto di determinate attività secondo la LAIn30, |
b4bis | il divieto di organizzazioni secondo la LAIn, |
b5 | la revoca di un membro del Consiglio d'istituto dell'Istituto federale di metrologia secondo la legge federale del 17 giugno 201133 sull'Istituto federale di metrologia, |
b6 | la revoca di un membro del consiglio di amministrazione dell'Autorità federale di sorveglianza dei revisori o l'approvazione dello scioglimento del rapporto di lavoro del direttore da parte del consiglio di amministrazione secondo la legge del 16 dicembre 200535 sui revisori, |
b7 | la revoca di un membro del Consiglio dell'Istituto svizzero per gli agenti terapeutici secondo la legge del 15 dicembre 200037 sugli agenti terapeutici, |
b8 | la revoca di un membro del consiglio di amministrazione dell'istituto secondo la legge del 16 giugno 201739 sui fondi di compensazione, |
b9 | la revoca di un membro del consiglio d'Istituto dell'Istituto svizzero di diritto comparato secondo la legge federale del 28 settembre 201841 sull'Istituto svizzero di diritto comparato, |
c | del Tribunale penale federale in materia di rapporti di lavoro dei suoi giudici e del suo personale; |
cbis | del Tribunale federale dei brevetti in materia di rapporti di lavoro dei suoi giudici e del suo personale; |
cquater | del procuratore generale della Confederazione in materia di rapporti di lavoro dei procuratori pubblici federali da lui nominati e del personale del Ministero pubblico della Confederazione; |
cquinquies | dell'autorità di vigilanza sul Ministero pubblico della Confederazione in materia di rapporti di lavoro del personale della sua segreteria; |
cter | dell'autorità di vigilanza sul Ministero pubblico della Confederazione in materia di rapporti di lavoro dei membri del Ministero pubblico della Confederazione eletti dall'Assemblea federale plenaria; |
d | della Cancelleria federale, dei dipartimenti e dei servizi dell'Amministrazione federale loro subordinati o aggregati amministrativamente; |
e | degli stabilimenti e delle aziende della Confederazione; |
f | delle commissioni federali; |
g | dei tribunali arbitrali costituiti in virtù di contratti di diritto pubblico sottoscritti dalla Confederazione, dai suoi stabilimenti o dalle sue aziende; |
h | delle autorità o organizzazioni indipendenti dall'Amministrazione federale che decidono nell'adempimento di compiti di diritto pubblico loro affidati dalla Confederazione; |
i | delle autorità cantonali, in quanto una legge federale preveda che le loro decisioni sono impugnabili mediante ricorso dinanzi al Tribunale amministrativo federale. |
SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 69 Rimedi giuridici: disposizioni particolari - 1 In deroga agli articoli 52 e 58 LPGA427: |
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1 | In deroga agli articoli 52 e 58 LPGA427: |
a | le decisioni degli uffici AI cantonali sono impugnabili direttamente dinanzi al tribunale delle assicurazioni del luogo dell'ufficio AI; |
b | le decisioni dell'Ufficio AI per gli assicurati residenti all'estero sono impugnabili direttamente dinanzi al Tribunale amministrativo federale.429 |
1bis | La procedura di ricorso dinanzi al tribunale cantonale delle assicurazioni in caso di controversie relative a prestazioni dell'AI è soggetta a spese.430 L'entità delle spese è determinata fra 200 e 1000 franchi in funzione delle spese di procedura e senza riguardo al valore litigioso.431 |
2 | Il capoverso 1bis e l'articolo 85bis capoverso 3 LAVS432 si applicano per analogia ai procedimenti dinanzi al Tribunale amministrativo federale.433 |
3 | Le decisioni dei tribunali arbitrali cantonali secondo l'articolo 27quinquies possono essere impugnate con ricorso al Tribunale federale conformemente alla legge del 17 giugno 2005434 sul Tribunale federale.435 |
1.2 En vertu de l'art. 3
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 3 - Non sono regolate dalla presente legge: |
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a | la procedura di autorità nel senso dell'articolo 1 capoverso 2 lettera e in quanto contro le loro decisioni non sia ammissibile un ricorso direttamente ad un'autorità federale; |
b | la procedura di prima istanza in materia di personale federale concernente l'istituzione iniziale del rapporto di servizio, la promozione, gli ordini di servizio e l'autorizzazione al procedimento penale contro l'agente; |
c | la procedura di prima istanza nelle cause amministrative penali e la procedura d'accertamento della polizia giudiziaria; |
d | la procedura della giustizia militare, compresa la giustizia militare disciplinare, la procedura in affari in materia di comando giusta l'articolo 37 come pure la procedura speciale giusta gli articoli 38 e 39 della legge militare del 3 febbraio 199517,18 ...19; |
dbis | la procedura in materia di assicurazioni sociali, sempre che la legge federale del 6 ottobre 200021 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali sia applicabile; |
e | la procedura d'imposizione doganale; |
fbis | la procedura di prima istanza in altre cause amministrative, quando la loro natura esige di dirimerle sul posto con decisione immediatamente esecutiva. |
SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 37 Principio - La procedura dinanzi al Tribunale amministrativo federale è retta dalla PA56, in quanto la presente legge non disponga altrimenti. |
SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 2 Campo d'applicazione e rapporto tra la parte generale e le singole leggi sulle assicurazioni sociali - Le disposizioni della presente legge sono applicabili alle assicurazioni sociali disciplinate dalla legislazione federale, se e per quanto le singole leggi sulle assicurazioni sociali lo prevedano. |
SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 1 - 1 Le disposizioni della legge federale del 6 ottobre 20007 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) sono applicabili all'assicurazione per l'invalidità (art. 1a-26bis e 28-70) sempre che la presente legge non preveda espressamente una deroga.8 |
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1 | Le disposizioni della legge federale del 6 ottobre 20007 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) sono applicabili all'assicurazione per l'invalidità (art. 1a-26bis e 28-70) sempre che la presente legge non preveda espressamente una deroga.8 |
2 | Gli articoli 32 e 33 LPGA sono pure applicabili al promovimento dell'aiuto agli invalidi (art. 71-76). |
SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 1a - Le prestazioni della presente legge si prefiggono di: |
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a | prevenire, ridurre o eliminare l'invalidità mediante provvedimenti d'integrazione adeguati, semplici e appropriati; |
b | compensare le conseguenze economiche permanenti dell'invalidità mediante un'adeguata copertura del fabbisogno vitale; |
c | aiutare gli assicurati interessati a condurre una vita autonoma e responsabile. |
SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 26bis Scelta tra personale sanitario ausiliario, stabilimenti e fornitori di mezzi ausiliari - 1 L'assicurato ha libera scelta tra il personale sanitario ausiliario, gli stabilimenti e i laboratori, nonché le aziende presenti sul mercato generale del lavoro, che eseguono i provvedimenti d'integrazione, e i fornitori di mezzi ausiliari, in quanto essi soddisfino le prescrizioni cantonali e le esigenze dell'assicurazione.197 |
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1 | L'assicurato ha libera scelta tra il personale sanitario ausiliario, gli stabilimenti e i laboratori, nonché le aziende presenti sul mercato generale del lavoro, che eseguono i provvedimenti d'integrazione, e i fornitori di mezzi ausiliari, in quanto essi soddisfino le prescrizioni cantonali e le esigenze dell'assicurazione.197 |
2 | Il Consiglio federale, consultati i Cantoni e le organizzazioni interessate, emana le prescrizioni sul riconoscimento degli agenti esecutori indicati nel capoverso 1. |
SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 28 Principio - 1 L'assicurato ha diritto a una rendita se: |
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1 | L'assicurato ha diritto a una rendita se: |
a | la sua capacità al guadagno o la sua capacità di svolgere le mansioni consuete non può essere ristabilita, mantenuta o migliorata mediante provvedimenti d'integrazione ragionevolmente esigibili; |
b | ha avuto un'incapacità al lavoro (art. 6 LPGA210) almeno del 40 per cento in media durante un anno senza notevole interruzione; e |
c | al termine di questo anno è invalido (art. 8 LPGA) almeno al 40 per cento. |
1bis | La rendita secondo il capoverso 1 non è concessa fintantoché non sono esaurite le possibilità d'integrazione secondo l'articolo 8 capoversi 1bis e 1ter.211 |
2 | ...212 |
SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 70 Disposizioni penali - Gli articoli 87 a 91 della LAVS436 sono applicabili alle persone che violano le disposizioni della presente legge in uno dei modi indicati in detti articoli. |
1.3 Selon l'art. 59
SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 59 Legittimazione - Ha diritto di ricorrere chiunque è toccato dalla decisione o dalla decisione su opposizione e ha un interesse degno di protezione al suo annullamento o alla sua modificazione. |
1.4 Déposé en temps utile et dans les formes requises par la loi (art. 38 al. 4 let. a
SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 38 Computo e sospensione dei termini - 1 Se il termine è computato in giorni o in mesi e deve essere notificato alle parti, inizia a decorrere il giorno dopo la notificazione. |
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1 | Se il termine è computato in giorni o in mesi e deve essere notificato alle parti, inizia a decorrere il giorno dopo la notificazione. |
2 | Se non deve essere notificato alle parti, esso inizia a decorrere il giorno dopo l'evento che lo ha provocato. |
2bis | Una comunicazione consegnata soltanto contro firma del destinatario o di un'altra persona autorizzata a ritirarla è considerata avvenuta il più tardi il settimo giorno dopo il primo infruttuoso tentativo di recapito.31 |
3 | Se l'ultimo giorno del termine è un sabato, una domenica o un giorno festivo riconosciuto dal diritto federale o cantonale, il termine scade il primo giorno feriale seguente. È determinante il diritto del Cantone in cui ha domicilio o sede la parte o il suo rappresentante.32 |
4 | I termini stabiliti dalla legge o dall'autorità in giorni o in mesi non decorrono: |
a | dal settimo giorno precedente la Pasqua al settimo giorno successivo alla Pasqua incluso; |
b | dal 15 luglio al 15 agosto incluso; |
c | dal 18 dicembre al 2 gennaio incluso. |
SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 60 Termine di ricorso - 1 Il ricorso deve essere interposto entro 30 giorni dalla notificazione della decisione o della decisione contro cui l'opposizione è esclusa. |
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1 | Il ricorso deve essere interposto entro 30 giorni dalla notificazione della decisione o della decisione contro cui l'opposizione è esclusa. |
2 | Gli articoli 38-41 sono applicabili per analogia. |
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 52 - 1 L'atto di ricorso deve contenere le conclusioni, i motivi, l'indicazione dei mezzi di prova e la firma del ricorrente o del suo rappresentante; devono essere allegati la decisione impugnata e i documenti indicati come mezzi di prova, se sono in possesso del ricorrente. |
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1 | L'atto di ricorso deve contenere le conclusioni, i motivi, l'indicazione dei mezzi di prova e la firma del ricorrente o del suo rappresentante; devono essere allegati la decisione impugnata e i documenti indicati come mezzi di prova, se sono in possesso del ricorrente. |
2 | Se il ricorso non soddisfa a questi requisiti o se le conclusioni o i motivi del ricorrente non sono sufficientemente chiari, e il ricorso non sembra manifestamente inammissibile, l'autorità di ricorso assegna al ricorrente un breve termine suppletorio per rimediarvi. |
3 | Essa gli assegna questo termine con la comminatoria che, decorrendo infruttuoso, deciderà secondo l'inserto o, qualora manchino le conclusioni, i motivi oppure la firma, non entrerà nel merito del ricorso. |
La recourante est citoyenne d'un Etat membre de la Communauté européenne. Dans ce contexte, il sied de relever que l'accord entre la Suisse et la Communauté européenne et ses Etats membres sur la libre circulation des personnes du 21 juin 1999 (ALCP, RS 0.142.112.681) est entré en vigueur le 1er juin 2002 avec notamment son annexe II qui règle la coordination des systèmes de sécurité sociale par renvoi statique au droit européen. A cette date sont ainsi également entrés en vigueur, le règlement (CEE) n° 1408/71 du Conseil du 14 juin 1971 relatif à l'application des régimes de sécurité sociale aux travailleurs salariés, aux travailleurs non salariés et aux membres de leur famille qui se déplacent à l'intérieur de la Communauté, de même que le règlement (CEE) n° 574/72 du Conseil du 21 mars 1972 relatif à l'application du règlement (CEE) n° 1408/71 (concernant les nouveaux règlements de l'Union européenne [CEE] n° 883/2004 et 987/2009, on note que ceux-ci sont entrés en vigueur pour la relation avec la Suisse et les Etats de l'Union européenne depuis le 1er avril 2012 et ne trouvent ainsi pas application dans la présente affaire).
2.1 Le droit applicable est déterminé par les règles en vigueur au moment où les faits juridiquement déterminants se sont produits, le juge n'ayant pas à prendre en considération les modifications du droit ou de l'état de fait postérieures à la date déterminante de la décision litigieuse (ATF 129 V 4 consid. 1.2). En l'espèce, dès lors que la recourante fait valoir être victime d'une atteinte incapacitante à partir du 5 novembre 2008 (pces 11 p. 2 n° 5a; 13 p. 2 n° 9) et que la demande y afférente a été déposée le 31 mars 2010 (pce 1 p. 7 n° 14), le droit à des prestations doit donc être examiné à l'aune des modifications de la LAI consécutives à la 5ème révision de cette loi, entrée en vigueur le 1er janvier 2008 (cf. arrêts du Tribunal fédéral 8C_249/2010 du 1er juin 2010 consid. 2.1 et la référence citée; 9C_562/2012 du 18 octobre 2012 consid. 3.4). Ne sont en revanche pas applicables les dispositions de la 6ème révision (1er volet) valables dès le 1er janvier 2012.
2.2 En dérogation à l'art. 24
SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 24 Estinzione del diritto - 1 Il diritto a prestazioni o contributi arretrati si estingue cinque anni dopo la fine del mese per cui era dovuta la prestazione e cinque anni dopo lo scadere dell'anno civile per cui il contributo doveva essere pagato. |
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1 | Il diritto a prestazioni o contributi arretrati si estingue cinque anni dopo la fine del mese per cui era dovuta la prestazione e cinque anni dopo lo scadere dell'anno civile per cui il contributo doveva essere pagato. |
2 | Se il responsabile del pagamento di contributi si è sottratto a quest'obbligo con una procedura punibile per la quale il diritto penale prevede un termine di prescrizione più lungo, è quest'ultimo a determinare il momento in cui il credito si estingue. |
SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 29 Inizio del diritto e versamento della rendita - 1 Il diritto alla rendita nasce al più presto dopo sei mesi dalla data in cui l'assicurato ha rivendicato il diritto alle prestazioni conformemente all'articolo 29 capoverso 1 LPGA221, ma al più presto a partire dal mese seguente il compimento dei 18 anni. |
|
1 | Il diritto alla rendita nasce al più presto dopo sei mesi dalla data in cui l'assicurato ha rivendicato il diritto alle prestazioni conformemente all'articolo 29 capoverso 1 LPGA221, ma al più presto a partire dal mese seguente il compimento dei 18 anni. |
2 | Il diritto non nasce finché l'assicurato può pretendere un'indennità giornaliera ai sensi dell'articolo 22. |
3 | La rendita è versata dall'inizio del mese in cui nasce il diritto. |
4 | Le rendite corrispondenti a un grado d'invalidità inferiore al 50 per cento sono versate solo agli assicurati che sono domiciliati e dimorano abitualmente (art. 13 LPGA) in Svizzera. Questo presupposto deve essere adempiuto anche dai congiunti per i quali è chiesta una prestazione. |
SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 29 Rivendicazione del diritto alle prestazioni - 1 Colui che rivendica una prestazione deve annunciarsi all'assicuratore competente nella forma prescritta per l'assicurazione sociale interessata. |
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1 | Colui che rivendica una prestazione deve annunciarsi all'assicuratore competente nella forma prescritta per l'assicurazione sociale interessata. |
2 | Gli assicuratori sociali consegnano gratuitamente i formulari per la domanda e per l'accertamento del diritto a prestazioni; questi formulari devono essere trasmessi al competente assicuratore dopo essere stati compilati interamente e in modo veritiero dal richiedente o dal suo datore di lavoro ed eventualmente dal medico curante. |
3 | Se una domanda non rispetta le esigenze di forma o se è trasmessa a un servizio incompetente, per quanto riguarda l'osservanza dei termini e gli effetti giuridici collegati alla domanda è determinante la data in cui essa è stata consegnata alla posta o inoltrata a tale servizio. |
3.
Selon les normes applicables, tout requérant, pour avoir droit à une rente de l'assurance-invalidité suisse, doit remplir cumulativement les conditions suivantes: d'une part être invalide au sens de la LPGA et de la LAI (art. 8
SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 8 Invalidità - 1 È considerata invalidità l'incapacità al guadagno totale o parziale presumibilmente permanente o di lunga durata. |
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1 | È considerata invalidità l'incapacità al guadagno totale o parziale presumibilmente permanente o di lunga durata. |
2 | Gli assicurati minorenni senza attività lucrativa sono ritenuti invalidi se hanno un danno alla salute fisica, mentale o psichica che probabilmente provocherà un'incapacità al guadagno totale o parziale.12 |
3 | Gli assicurati maggiorenni che prima di subire un danno alla salute fisica, mentale o psichica non esercitavano un'attività lucrativa e dai quali non si può ragionevolmente esigere che l'esercitino sono considerati invalidi se tale danno impedisce loro di svolgere le proprie mansioni consuete. L'articolo 7 capoverso 2 si applica per analogia.13 14 |
SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 4 Invalidità - 1 L'invalidità (art. 8 LPGA47) può essere conseguente a infermità congenita, malattia o infortunio.48 |
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1 | L'invalidità (art. 8 LPGA47) può essere conseguente a infermità congenita, malattia o infortunio.48 |
2 | L'invalidità è considerata insorgere quando, per natura e gravità, motiva il diritto alla singola prestazione.49 |
SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 28 Principio - 1 L'assicurato ha diritto a una rendita se: |
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1 | L'assicurato ha diritto a una rendita se: |
a | la sua capacità al guadagno o la sua capacità di svolgere le mansioni consuete non può essere ristabilita, mantenuta o migliorata mediante provvedimenti d'integrazione ragionevolmente esigibili; |
b | ha avuto un'incapacità al lavoro (art. 6 LPGA210) almeno del 40 per cento in media durante un anno senza notevole interruzione; e |
c | al termine di questo anno è invalido (art. 8 LPGA) almeno al 40 per cento. |
1bis | La rendita secondo il capoverso 1 non è concessa fintantoché non sono esaurite le possibilità d'integrazione secondo l'articolo 8 capoversi 1bis e 1ter.211 |
2 | ...212 |
SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 28a - 1 Per valutare il grado d'invalidità di un assicurato che esercita un'attività lucrativa si applica l'articolo 16 LPGA215. Il Consiglio federale definisce i redditi lavorativi determinanti per la valutazione del grado d'invalidità e i fattori di correzione applicabili.216 |
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1 | Per valutare il grado d'invalidità di un assicurato che esercita un'attività lucrativa si applica l'articolo 16 LPGA215. Il Consiglio federale definisce i redditi lavorativi determinanti per la valutazione del grado d'invalidità e i fattori di correzione applicabili.216 |
2 | Il grado d'invalidità dell'assicurato che non esercita un'attività lucrativa ma svolge le mansioni consuete e dal quale non si può ragionevolmente esigere che intraprenda un'attività lucrativa è valutato, in deroga all'articolo 16 LPGA, in funzione dell'incapacità di svolgere le mansioni consuete.217 |
3 | Se l'assicurato esercita un'attività lucrativa a tempo parziale o collabora gratuitamente nell'azienda del coniuge, il grado d'invalidità per questa attività è valutato secondo l'articolo 16 LPGA. Se svolge anche le mansioni consuete, il grado d'invalidità per questa attività è valutato secondo il capoverso 2.218 In tal caso, occorre determinare la parte dell'attività lucrativa o della collaborazione gratuita nell'azienda del coniuge e la parte dello svolgimento delle mansioni consuete e valutare il grado d'invalidità nei due ambiti. |
SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 29 Inizio del diritto e versamento della rendita - 1 Il diritto alla rendita nasce al più presto dopo sei mesi dalla data in cui l'assicurato ha rivendicato il diritto alle prestazioni conformemente all'articolo 29 capoverso 1 LPGA221, ma al più presto a partire dal mese seguente il compimento dei 18 anni. |
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1 | Il diritto alla rendita nasce al più presto dopo sei mesi dalla data in cui l'assicurato ha rivendicato il diritto alle prestazioni conformemente all'articolo 29 capoverso 1 LPGA221, ma al più presto a partire dal mese seguente il compimento dei 18 anni. |
2 | Il diritto non nasce finché l'assicurato può pretendere un'indennità giornaliera ai sensi dell'articolo 22. |
3 | La rendita è versata dall'inizio del mese in cui nasce il diritto. |
4 | Le rendite corrispondenti a un grado d'invalidità inferiore al 50 per cento sono versate solo agli assicurati che sono domiciliati e dimorano abitualmente (art. 13 LPGA) in Svizzera. Questo presupposto deve essere adempiuto anche dai congiunti per i quali è chiesta una prestazione. |
SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 36 Beneficiari e calcolo - 1 Hanno diritto a una rendita ordinaria gli assicurati che, all'insorgere dell'invalidità, hanno pagato i contributi per almeno tre anni.233 |
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1 | Hanno diritto a una rendita ordinaria gli assicurati che, all'insorgere dell'invalidità, hanno pagato i contributi per almeno tre anni.233 |
2 | Le disposizioni della LAVS234 si applicano per analogia al calcolo delle rendite ordinarie. Il Consiglio federale può emanare prescrizioni completive.235 |
3 | ...236 |
4 | Le quote pagate all'AVS prima dell'entrata in vigore della presente legge sono computate. |
4.1 L'invalidité au sens de la LPGA et de la LAI est l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée, qui peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident (art. 8
SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 8 Invalidità - 1 È considerata invalidità l'incapacità al guadagno totale o parziale presumibilmente permanente o di lunga durata. |
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1 | È considerata invalidità l'incapacità al guadagno totale o parziale presumibilmente permanente o di lunga durata. |
2 | Gli assicurati minorenni senza attività lucrativa sono ritenuti invalidi se hanno un danno alla salute fisica, mentale o psichica che probabilmente provocherà un'incapacità al guadagno totale o parziale.12 |
3 | Gli assicurati maggiorenni che prima di subire un danno alla salute fisica, mentale o psichica non esercitavano un'attività lucrativa e dai quali non si può ragionevolmente esigere che l'esercitino sono considerati invalidi se tale danno impedisce loro di svolgere le proprie mansioni consuete. L'articolo 7 capoverso 2 si applica per analogia.13 14 |
SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 7 Incapacità al guadagno - 1 È considerata incapacità al guadagno la perdita, totale o parziale, della possibilità di guadagno sul mercato del lavoro equilibrato che entra in considerazione, provocata da un danno alla salute fisica, mentale o psichica e che perdura dopo aver sottoposto l'assicurato alle cure e alle misure d'integrazione ragionevolmente esigibili. |
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1 | È considerata incapacità al guadagno la perdita, totale o parziale, della possibilità di guadagno sul mercato del lavoro equilibrato che entra in considerazione, provocata da un danno alla salute fisica, mentale o psichica e che perdura dopo aver sottoposto l'assicurato alle cure e alle misure d'integrazione ragionevolmente esigibili. |
2 | Per valutare la presenza di un'incapacità al guadagno sono considerate esclusivamente le conseguenze del danno alla salute. Inoltre, sussiste un'incapacità al guadagno soltanto se essa non è obiettivamente superabile.11 |
SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 28 Principio - 1 L'assicurato ha diritto a una rendita se: |
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1 | L'assicurato ha diritto a una rendita se: |
a | la sua capacità al guadagno o la sua capacità di svolgere le mansioni consuete non può essere ristabilita, mantenuta o migliorata mediante provvedimenti d'integrazione ragionevolmente esigibili; |
b | ha avuto un'incapacità al lavoro (art. 6 LPGA210) almeno del 40 per cento in media durante un anno senza notevole interruzione; e |
c | al termine di questo anno è invalido (art. 8 LPGA) almeno al 40 per cento. |
1bis | La rendita secondo il capoverso 1 non è concessa fintantoché non sono esaurite le possibilità d'integrazione secondo l'articolo 8 capoversi 1bis e 1ter.211 |
2 | ...212 |
4.2 La notion d'invalidité, dont il est question à l'art. 8
SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 8 Invalidità - 1 È considerata invalidità l'incapacità al guadagno totale o parziale presumibilmente permanente o di lunga durata. |
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1 | È considerata invalidità l'incapacità al guadagno totale o parziale presumibilmente permanente o di lunga durata. |
2 | Gli assicurati minorenni senza attività lucrativa sono ritenuti invalidi se hanno un danno alla salute fisica, mentale o psichica che probabilmente provocherà un'incapacità al guadagno totale o parziale.12 |
3 | Gli assicurati maggiorenni che prima di subire un danno alla salute fisica, mentale o psichica non esercitavano un'attività lucrativa e dai quali non si può ragionevolmente esigere che l'esercitino sono considerati invalidi se tale danno impedisce loro di svolgere le proprie mansioni consuete. L'articolo 7 capoverso 2 si applica per analogia.13 14 |
SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 4 Invalidità - 1 L'invalidità (art. 8 LPGA47) può essere conseguente a infermità congenita, malattia o infortunio.48 |
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1 | L'invalidità (art. 8 LPGA47) può essere conseguente a infermità congenita, malattia o infortunio.48 |
2 | L'invalidità è considerata insorgere quando, per natura e gravità, motiva il diritto alla singola prestazione.49 |
SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 16 Grado d'invalidità - Per valutare il grado d'invalidità, il reddito che l'assicurato invalido potrebbe conseguire esercitando l'attività ragionevolmente esigibile da lui dopo la cura medica e l'eventuale esecuzione di provvedimenti d'integrazione, tenuto conto di una situazione equilibrata del mercato del lavoro, è confrontato con il reddito che egli avrebbe potuto ottenere se non fosse diventato invalido. |
SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 28a - 1 Per valutare il grado d'invalidità di un assicurato che esercita un'attività lucrativa si applica l'articolo 16 LPGA215. Il Consiglio federale definisce i redditi lavorativi determinanti per la valutazione del grado d'invalidità e i fattori di correzione applicabili.216 |
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1 | Per valutare il grado d'invalidità di un assicurato che esercita un'attività lucrativa si applica l'articolo 16 LPGA215. Il Consiglio federale definisce i redditi lavorativi determinanti per la valutazione del grado d'invalidità e i fattori di correzione applicabili.216 |
2 | Il grado d'invalidità dell'assicurato che non esercita un'attività lucrativa ma svolge le mansioni consuete e dal quale non si può ragionevolmente esigere che intraprenda un'attività lucrativa è valutato, in deroga all'articolo 16 LPGA, in funzione dell'incapacità di svolgere le mansioni consuete.217 |
3 | Se l'assicurato esercita un'attività lucrativa a tempo parziale o collabora gratuitamente nell'azienda del coniuge, il grado d'invalidità per questa attività è valutato secondo l'articolo 16 LPGA. Se svolge anche le mansioni consuete, il grado d'invalidità per questa attività è valutato secondo il capoverso 2.218 In tal caso, occorre determinare la parte dell'attività lucrativa o della collaborazione gratuita nell'azienda del coniuge e la parte dello svolgimento delle mansioni consuete e valutare il grado d'invalidità nei due ambiti. |
SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 8 Invalidità - 1 È considerata invalidità l'incapacità al guadagno totale o parziale presumibilmente permanente o di lunga durata. |
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1 | È considerata invalidità l'incapacità al guadagno totale o parziale presumibilmente permanente o di lunga durata. |
2 | Gli assicurati minorenni senza attività lucrativa sono ritenuti invalidi se hanno un danno alla salute fisica, mentale o psichica che probabilmente provocherà un'incapacità al guadagno totale o parziale.12 |
3 | Gli assicurati maggiorenni che prima di subire un danno alla salute fisica, mentale o psichica non esercitavano un'attività lucrativa e dai quali non si può ragionevolmente esigere che l'esercitino sono considerati invalidi se tale danno impedisce loro di svolgere le proprie mansioni consuete. L'articolo 7 capoverso 2 si applica per analogia.13 14 |
SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 28a - 1 Per valutare il grado d'invalidità di un assicurato che esercita un'attività lucrativa si applica l'articolo 16 LPGA215. Il Consiglio federale definisce i redditi lavorativi determinanti per la valutazione del grado d'invalidità e i fattori di correzione applicabili.216 |
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1 | Per valutare il grado d'invalidità di un assicurato che esercita un'attività lucrativa si applica l'articolo 16 LPGA215. Il Consiglio federale definisce i redditi lavorativi determinanti per la valutazione del grado d'invalidità e i fattori di correzione applicabili.216 |
2 | Il grado d'invalidità dell'assicurato che non esercita un'attività lucrativa ma svolge le mansioni consuete e dal quale non si può ragionevolmente esigere che intraprenda un'attività lucrativa è valutato, in deroga all'articolo 16 LPGA, in funzione dell'incapacità di svolgere le mansioni consuete.217 |
3 | Se l'assicurato esercita un'attività lucrativa a tempo parziale o collabora gratuitamente nell'azienda del coniuge, il grado d'invalidità per questa attività è valutato secondo l'articolo 16 LPGA. Se svolge anche le mansioni consuete, il grado d'invalidità per questa attività è valutato secondo il capoverso 2.218 In tal caso, occorre determinare la parte dell'attività lucrativa o della collaborazione gratuita nell'azienda del coniuge e la parte dello svolgimento delle mansioni consuete e valutare il grado d'invalidità nei due ambiti. |
4.3 Le choix de la méthode d'évaluation de l'invalidité (méthode générale de la comparaison des revenus, méthode spécifique, méthode mixte) dépendra du statut du bénéficiaire potentiel de la rente: assuré exerçant une activité lucrative à temps complet, assuré non actif, assuré exerçant une activité lucrative à temps partiel. On décidera que l'assuré appartient à l'une ou l'autre de ces trois catégories en fonction de ce qu'il aurait fait dans les mêmes circonstances si l'atteinte à la santé n'était pas survenue. Pour les assurés travaillant dans le ménage, il y a lieu d'examiner si l'assuré, étant valide, aurait consacré l'essentiel de son activité à son ménage ou à une occupation lucrative, cela à la lumière de sa situation personnelle, familiale, sociale et professionnelle. Ainsi, pour déterminer, voire circonscrire, le champ d'activité probable de l'assuré, s'il était demeuré valide, on tiendra compte d'éléments tels que la situation financière du ménage, l'éducation des enfants, l'âge de l'assuré, ses qualifications professionnelles, sa formation ainsi que ses affinités et talents personnels (ATF 117 V 195 consid. 3b, arrêts du Tribunal fédéral I 930/05 du 15 décembre 2006 consid. 3.1 et I 603/04 du 5 septembre 2005 consid. 3).
4.4 Conformément à la jurisprudence, une enquête ménagère effectuée au domicile de la personne assurée constitue en règle générale une base appropriée et suffisante pour évaluer les empêchements dans l'accomplissement des travaux habituels en raison d'une atteinte à la santé. En rapport avec sa valeur probante, il est essentiel que le rapport d'enquête ait été établi par une personne qualifiée ayant connaissance de la situation locale et des limitations et handicaps résultant des diagnostics médicaux. Il y a par ailleurs lieu de tenir compte des indications de l'assuré et de consigner dans le rapport les éventuelles opinions divergentes des participants. Enfin, le texte du rapport doit apparaître plausible, être motivé et rédigé de manière suffisamment détaillée par rapport aux différentes limitations, de même qu'il doit correspondre aux indications relevées sur place (arrêt du Tribunal fédéral I 733/06 du 16 juillet 2007 consid. 4.2.1 et les références citées).
4.5 Si on peut admettre qu'en raison de circonstances liées au domicile à l'étranger d'un assuré, l'évaluation de l'invalidité dans les travaux habituels soit effectuée avec le concours d'un médecin et non d'un enquêteur qualifié, encore faut-il que le praticien mandaté à ce titre se détermine de manière circonstanciée sur les limitations alléguées par la personne concernée, en principe après entretien avec cette dernière (arrêt du Tribunal fédéral I 733/06 du 16 juillet 2007 consid. 4.2; arrêts du Tribunal administratif fédéral C-5517/2007 du 5 janvier 2010 consid. 12.4.1; C-5593/2008 du 29 septembre 2010 consid. 11.5).
5.
Conformément au principe inquisitoire, l'administration est tenue de prendre d'office les mesures d'instruction nécessaires et de recueillir les renseignements dont elle a besoin. En particulier, elle doit mettre en oeuvre une expertise lorsqu'il apparaît nécessaire de clarifier les aspects médicaux du cas (ATF 117 V 282). Si l'administration ou le juge, se fondant sur une appréciation consciencieuse des preuves fournies par les investigations auxquelles ils doivent procéder d'office, sont convaincus que certaines faits présentent un degré de vraisemblance prépondérante et que d'autres mesures probatoires ne pourraient plus modifier cette appréciation, il est superflu d'administrer d'autres preuves (appréciation anticipée des preuves. Une telle manière de procéder ne viole pas le droit d'être entendu selon l'art. 29 al. 2
SR 101 Costituzione federale della Confederazione Svizzera del 18 aprile 1999 Cost. Art. 29 Garanzie procedurali generali - 1 In procedimenti dinanzi ad autorità giudiziarie o amministrative, ognuno ha diritto alla parità ed equità di trattamento, nonché ad essere giudicato entro un termine ragionevole. |
|
1 | In procedimenti dinanzi ad autorità giudiziarie o amministrative, ognuno ha diritto alla parità ed equità di trattamento, nonché ad essere giudicato entro un termine ragionevole. |
2 | Le parti hanno diritto d'essere sentite. |
3 | Chi non dispone dei mezzi necessari ha diritto alla gratuità della procedura se la sua causa non sembra priva di probabilità di successo. Ha inoltre diritto al patrocinio gratuito qualora la presenza di un legale sia necessaria per tutelare i suoi diritti. |
6.
Le juge des assurances sociales doit examiner de manière objective tous les moyens de preuve, quelle que soit leur provenance, puis décider si les documents à disposition permettent de porter un jugement valable sur le droit litigieux. Avant de conférer pleine valeur probante à un rapport médical, il s'assurera que les points litigieux ont fait l'objet d'une étude circonstanciée, que le rapport se fonde sur des examens complets, qu'il prend également en considération les plaintes exprimées par la personne examinée, qu'il a été établi en pleine connaissance de l'anamnèse, que la description du contexte médical et l'appréciation de la situation médicale sont claires et enfin que les conclusions de l'expert sont dûment motivées (ATF 125 V 352 consid. 3a et les références).
7.
En l'espèce, le litige porte sur les répercussions des atteintes dont est victime la recourante sur sa capacité de travail, singulièrement sur le point de savoir si celle-ci présente un taux d'invalidité suffisant pour prétendre à des prestations de l'assurance-invalidité.
8.
A titre liminaire, il sied de relever que l'octroi d'une rente étrangère d'invalidité ne préjuge pas l'appréciation de l'invalidité selon la loi suisse (arrêt du Tribunal fédéral I 435/02 du 4 février 2003 consid. 2). Ainsi, même après l'entrée en vigueur de l'ALCP, le degré d'invalidité d'un assuré qui prétend une rente de l'assurance-invalidité suisse est déterminé exclusivement d'après le droit suisse (ATF 130 V 253 consid. 2.4; arrêt du Tribunal fédéral I 376/05 du 5 août 2005 consid. 3.1), étant précisé que la documentation médicale et administrative fournie par les institutions de sécurité sociale d'un autre Etat membre doivent être prise en considération (art. 40 du Règlement [CEE] n° 574/72). Quoiqu'en dise l'assurée, il n'est donc pas en soi déterminant que les institutions de sécurité sociale espagnoles lui ait reconnu le droit à des prestations pour cause d'incapacité permanente totale dans sa profession habituelle (cf. pce TAF 1 p. 9-12). Par ailleurs, selon un principe général valable en assurances sociales, l'assuré a l'obligation de diminuer le dommage et doit entreprendre de son propre chef tout ce qu'on peut raisonnablement attendre de lui afin d'atténuer autant que possible les conséquences de son invalidité. En particulier, si l'assuré ne peut plus exercer sa profession habituelle et qu'un changement de métier est médicalement exigible de sa part, il est tenu de chercher un emploi adapté dans un autre secteur d'activités dans un temps raisonnable (ATF 130 V 97 consid. 3.2 et les références; arrêt du Tribunal fédéral 9C_361/2008 du 9 février 2009 consid. 6.1).
9.1 En ce qui concerne le statut de l'assurée, il appert que les données économiques versées au dossier sont ténues. Aussi, par lettre du 26 juillet 2010 (pce 12), l'OAIE a constaté que l'intéressée avait répondu elle-même au formulaire pour l'employeur et, pour cette raison, invité cette dernière à produire, jusqu'au 26 septembre 2010, un formulaire pour l'employeur rempli par l'employeur lui-même. Or, la recourante s'est bornée, par lettre du 10 août 2010, à retourner à l'administration deux questionnaires pour l'employeur à nouveau complétés par ses soins au contenu presque identique (pce 13 p. 1-2 et p. 3-4). A cela s'ajoute le fait que les données fournies à la cause sont insuffisantes pour identifier l'employeur de la recourante (cf. pces 9, 10, 13). Ce nonobstant, l'administration a finalement admis que l'assurée a exercé une activité lucrative en Espagne à raison de 30 heures par semaine de septembre 2006 à novembre 2008 en se basant sur les simples affirmations de l'assurée. Vu l'issue de la cause et compte tenu des particularités du cas concret, le Tribunal de céans ne voit pas de motifs suffisants pour remettre en question ces conclusions concordantes des parties, d'autant que le rapport médical E 213 du 7 avril 2010 (pce 17 p. 2 n 3.4.3) ainsi que les formulaires E 204 et E 205 produits par l'INSS confirment l'exercice d'une activité lucrative de l'intéressée en tant que salariée dès septembre 2006 (pces 2 p. 2 et 1 p. 4).
9.2 Le fait que l'assurée a travaillé seulement 30 heures par semaine de septembre 2006 à novembre 2008 a également incité l'OAIE à retenir que celle-ci avait oeuvré à temps partiel, dès lors que le temps usuel moyen dans le secteur concerné en Suisse se montait à 41.7 heures semaines en 2008. Ici également le Tribunal peut en principe se rallier à l'avis de l'autorité inférieure, étant relevé que la recourante n'a jamais remis en cause cette manière de procéder de l'OAIE. Il convient toutefois d'apporter les précisions qui suivent.
D'une part, force est de constater que l'assurée a oeuvré 30 heures (ou 1'800 minutes) par semaine en Espagne, de sorte qu'il conviendrait en principe de se référer à l'horaire usuel moyen dans ce pays en 2008 pour déterminer le statut de l'assurée. Or, comme le relève à juste titre l'autorité inférieure, les données y afférentes fournies par le Bureau International du Travail ne donnent pas d'indications suffisamment fiables en la matière (cf. http://laborsta.ilo.org/, site consulté le 22 novembre 2012). On note également que les trois formulaires pour l'employeur versés à la cause par l'assurée ne donnent aucune information sur ce point (cf. pces 10 p. 1 n° 6; 13 p. 1 n° 6 et 13 p. 3 n° 6). Vu le manque de références suffisamment sures, on ne saurait donc faire grief à l'autorité inférieure de s'être rabattue sur les données ressortant de l'ESS.
D'autre part, on relève que, selon la nomenclature 2008, le temps usuel de travail dans le secteur "activités de services administratifs et de soutien" (qui correspond au mieux au secteur d'activité exercé par la recourante [cf. consid. 12.2, 1er paragraphe, ci-après]) était de 42 h./sem. (respectivement 2'520 min./sem.) en 2008, à savoir l'année depuis laquelle les affections de l'assurée ont entraîné une incapacité de travail au sens de la LAI. Il convient donc de se référer à cette référence (42 h./sem.) en l'espèce.
9.3 Compte tenu de ce qui précède, le Tribunal de céans peut considérer que, jusqu'au moment où l'atteinte à la santé a revêti un caractère invalidant, l'assurée a consacré 71% de son temps à l'exercice d'une activité lucrative (1'800 minutes x 100 : 2'520) et 29% à l'accomplissement des travaux ménagers.
10.
Cela étant, en rapport avec l'exercice d'une activité lucrative, il convient de relever ce qui suit.
10.1 Dans des rapports des 21 octobre 2010 (pce 20 [signée par le Dr B._______]) et 28 octobre 2011 (pce 32 [établie par le Dr C._______]), le service médical de l'OAIE, s'appuyant sur l'ensemble des pièces versées au dossier, estime que l'assurée présente une incapacité de travail de 70% dans l'activité habituelle et de 0% dans une activité de substitution exercée principalement en position assise, ne nécessitant pas le port de charges excédant 10 kg et permettant l'alternance des positions. Il cite à titre d'exemples les activités/professions de "surveillant de parking/musée; vendeur de billets; accueil/réceptionniste; standardiste/téléphoniste; saisie de données/scannage".
10.2 Or, force est de constater que cette prise de position est tout à fait compatible avec le reste de la documentation médicale versée au dossier.
10.2.1 Ainsi, dans un rapport médical E 213 du 7 avril 2010 faisant suite à un examen personnel de l'assurée en date du 5 avril 2010 (pce 17 p. 2 n° 2.1), la Dresse D._______ pose les diagnostics de status après arthrodèse en L4-L5 effectuée en novembre 2008, de spondylolisthésis I-II en L4-L5, de cervicobrachialgie gauche avec discopathie et pincement en C5-C6 et d'arthrose de l'épaule gauche avec élévation humérale (pce 17 p. 8 n° 7). Elle constate que l'assurée présente un état mental et émotionnel normal (pce 17 p. 3 n° 4.1) ainsi que des mouvements et réflexes conservés sur le plan neurologique (pce 17 p. 5 n° 4.10). Par ailleurs, en rapport avec l'examen de l'appareil locomoteur, elle indique une flexion lombaire limitée ainsi qu'une manoeuvre de balance doigts de pieds/talons effectuée avec difficulté (pce 17 p. 5 n° 4.8.1). Pour ce qui est des membres supérieurs, elle signale une abduction et flexion de l'épaule gauche limitée dans les derniers degrés, en précisant que des études complémentaires sont en cours quant à ce dernier point (pce 17 p. 5 n° 4.8.2). Sur la base de ces constats, le médecin de l'INSS conclut que l'activité de femme de ménage n'est plus exigible de la part de l'assurée (pce 17 p. 2 n° 3.4.3 et p. 10 n° 11.4) mais qu'en revanche cette dernière est en mesure d'effectuer de manière régulière une activité mi-lourde (pce 17 p. 8 n° 9 et p. 10 n° 11.5) moyennant un certain nombre de limitations fonctionnelles à savoir pas d'activités requérant le port/transport fréquent de charges ou qui nécessitent l'usage de rampes, d'escaliers ou d'échelles; nécessité d'un poste de travail permettant de varier les positions et qui ne met pas l'intéressée sous pression particulière quand aux limites de temps [pce 17 p. 8 n° 8 in fine et p. 9 n° 10). En particulier, un travail devant un écran de vidéo est exigible de la part de l'assurée (pce 17 p. 9 n° 11.1). Cela étant, le rapport médical E 213 du 7 avril 2010 est donc de nature à corroborer les conclusions du service médical de l'OAIE, dès lors que les indications médicales qu'il contient permettent de confirmer une capacité de travail de l'assurée à temps complet dans un travail adapté.
10.2.2 Il en va de même de l'acte du 12 avril 2010 établi par les institutions de sécurité sociale espagnole (pce TAF 1 p. 12) et le rapport médical du 21 juin 2010 rédigé au Centre médical de réhabilitation F._______ (pce 18). En effet, le premier document cité relève des limitations fonctionnelles chez l'assurée pour l'exercice d'activités requérant de manière prononcée de la marche, des stations debout ou accroupie ou le port de poids. Quant au certificat du 21 juin 2010, il pose les diagnostics de cervicalgie et rigidité cervicale, de brachialgie gauche C6-C7, de syndrome du tunnel carpien avec prédominance clinique du côté gauche ainsi que de lombalgie chronique mécanique et rigidité lombaire sévère et atteste que, suite aux atteintes cervicales et lombaires, l'intéressée présente une incapacité de travail permanente pour les travaux de force et pour les activités requérant des efforts physiques du rachis. Interprété selon le principe de confiance, ces rapports ne permettent donc aucunement de conclure que la recourante présente une incapacité de travail totale pour toute activité. Bien plutôt, ils sont de nature à confirmer les conclusions du service médical de l'OAIE et de l'INSS, en ce sens que, a contrario, les activités qui n'exigent pas des travaux de force et ne rendent pas nécessaire de manière prolongée le port de charges, la marche et les stations debout prolongées, sont encore exigibles de la part de la recourante.
10.2.3 Ensuite, force est de constater que les autres rapports médicaux versés au dossier ne se prononcent pas sur la capacité de travail de l'intéressée et ne contiennent pas de constats médicaux susceptibles de remettre en cause l'évaluation de l'autorité inférieure.
Ainsi, un rapport du 30 août 2009 établi au Centre F._______ indique la présence de douleurs lombaires de type mécanique sans pathologie urgente actuellement (pce TAF 1 p. 15).
Par ailleurs, le Dr G._______, dans un rapport neurophysiologique du 7 mai 2010, fait notamment part d'une atteinte des deux nerfs médians du tunnel carpien d'un degré modéré-moyen de prédominance gauche et de trouble neurogène chronique en C6-C7 gauche de grade léger sans signe d'évolution en l'état actuel (pce TAF 1 p. 21-24).
Pour sa part, le Dr H._______, dans un rapport radiologique de la colonne cervicale du 6 août 2010, mentionne l'absence de constats significatifs (pce TAF 1 p. 42).
Finalement, dans un rapport radiologique du 13 décembre 2010 (pce TAF 1 p. 13), le Dr I._______ relève l'absence de ruptures des tendons et d'épanchement synovial ainsi que la présence de calcification au niveau du muscle du tendon supra épineux compatible avec ténosynovite.
Cela étant, l'OAIE a demandé à son service médical de prendre position sur ces certificats médicaux. Dans une prise de position du 28 octobre 2011 (pce 32), le Dr C._______, spécialiste en médecine interne, a confirmé que ces documents ne permettaient pas de retenir une incapacité de travail supérieure à celle retenue dans le rapport précédent du 21 octobre 2010. Or, rien au dossier ne permet de remettre en cause cette appréciation, d'autant que l'assurée n'a produit aucun moyen de preuve probant démontrant que l'atteinte au tunnel carpien ou la ténosynovite feraient l'objet d'un traitement particulier ou engendreraient une quelconque incapacité de travail dans un travail adapté (sur le principe inquisitoire et ses limites cf. arrêts du Tribunal fédéral 9C_106/2011 du 14 octobre 2011 consid. 3.3; 9C_166/2011 du 24 octobre 2011 consid. 5.3; arrêt du Tribunal administratif fédéral C-7181/2010 du 25 mai 2012 consid. 13.3.2, 2ème paragraphe in fine; en rapport avec l'atteinte au tunnel carpien, cf. arrêt du Tribunal administratif fédéral C-4732/2009 du 19 octobre 2009 consid. 9).
10.3 Compte tenu de l'ensemble de ces circonstances, le Tribunal administratif fédéral peut conclure que, au moment déterminant et sur le plan strictement médical, l'assurée était en mesure d'accomplir une activité respectant les limitations fonctionnelles retenues par le médecin de l'INSS et le service médical de l'OAIE (à savoir notamment un travail exercé principalement en position assise et permettant l'alternance des positions, sans port de poids au-delà de 10 kg). Quoiqu'en dise la recourante, on ajoutera que la mise à profit d'une capacité de travail ainsi réduite ne paraît aucunement irréaliste sur un marché équilibré du travail, étant relevé que cette dernière notion est théorique et abstraite; elle sert avant tout de critère de distinction entre les cas tombant sous le coup de l'assurance-chômage et ceux qui relèvent de l'assurance-invalidité. Elle implique, d'une part, un certain équilibre entre l'offre et la demande de main-d'oeuvre et, d'autre part, un marché du travail structuré de telle sorte qu'il offre un éventail d'emplois diversifiés (voire, parmi d'autres, arrêt du Tribunal administratif fédéral C-6814/2009 du 9 mai 2011 consid. 11 et les références citées). En particulier, le fait que la recourante ne dispose d'aucune formation particulière (cf. pce 13 p. 1 n° 7) ne constitue pas un critère déterminant au sens du droit des assurances sociales suisse (cf. arrêt du Tribunal fédéral I 634/00 du 2 mai 2011 consid. 2a). Au vu de cette jurisprudence, il y a lieu de conclure que le marché du travail contient un nombre de place suffisant requérant un travail respectant les limitations fonctionnelles retenues (cf., parmis d'autres, arrêts du Tribunal fédéral 8C_283/2011 du 26 mai 2011 consid. 4; 9C_108/2011 du 24 octobre 2011 consid. 3.2).
11.
Il convient encore d'examiner si la comparaison des revenus effectuées par l'administration par acte du 8 novembre 2010 (pce 21) a été faite de manière conforme au droit.
11.1 Selon l'art. 16
SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 16 Grado d'invalidità - Per valutare il grado d'invalidità, il reddito che l'assicurato invalido potrebbe conseguire esercitando l'attività ragionevolmente esigibile da lui dopo la cura medica e l'eventuale esecuzione di provvedimenti d'integrazione, tenuto conto di una situazione equilibrata del mercato del lavoro, è confrontato con il reddito che egli avrebbe potuto ottenere se non fosse diventato invalido. |
11.2 En l'occurrence, il est admis que la recourante a travaillé en dernier lieu en Espagne comme femme de ménage salariée (cf. let. A et infra consid. 10). Or, conformément à la jurisprudence précitée (cf. infra consid. 12.1), l'autorité inférieure était en droit de se fonder sur les statistiques suisses pour déterminer le salaire de valide. Comme le droit éventuel à une rente a pu naître in casu au plus tôt en 2010, il sied donc de se référer aux données ESS 2010, étant précisé que ces dernières se basent nouvellement sur la nomenclature générale des activités économiques 2008 (cf. Office fédéral de la statistique [ci-après OFS], NOGA 2008, Nomenclature générale des activités économiques, Notes explicatives, Neuchâtel 2008) qui est plus détaillée que celle utilisée lors de la dernière publication statistique de l'ESS en 2008. Cela étant, l'administration, dans la comparaison des revenus du 8 novembre 2010 (pce 21), estime que le salaire de valide de l'assurée doit être déterminé en se basant sur la catégorie générale "Service", travaux simples et répétitifs (Fr. 4'206.- pour 40 h./sem. en 2010 et Fr. 4'384.76 pour 41.7 h./sem. [temps usuel de travail dans ce secteur selon les données ESS]), quand bien même la dernière activité de la recourante portait sur des travaux de nettoyage et correspondait ainsi à la sous-catégorie "activités de services administratifs et de soutien" (Fr. 3'372.- pour 40 h./sem en 2010; cf. OFS, op. cit., p. 209 n° 812100). La question de savoir si cette manière de procéder est conforme au droit peut rester ouverte. En effet, comme cela démontré ci-après, même en se fondant sur la catégorie "Service" (et non pas le secteur "activités de services administratifs et de soutien") pour déterminer le salaire de valide ce qui plus avantageux pour l'assurée , cette dernière ne parvient pas à un taux d'invalidité suffisant pour ouvrir le droit à une rente. Le salaire de valide retenu ci-après sera donc de Fr. 4'384.76.
En ce qui concerne le salaire d'invalide, force est de constater que l'autorité inférieure ne s'est pas fondée sur le salaire moyen obtenu dans le niveau de qualification 4, tout secteur confondu, comme cela est fait en règle générale (cf., parmi d'autres, arrêts du Tribunal fédéral 8C_879/2011 du 26 janvier 2012 consid. 3.4.3; 9C_380/2011 du 14 décembre 2011 consid. 4.2) mais a pris comme référence la moyenne de salaires médians dans trois secteurs particuliers de la catégorie "service", à savoir les domaines d'activité "Autres services collectifs et personnels", "Commerce de détails" et "Services fournis aux entreprise", en précisant qu'elle renonçait à prendre en considération le secteur "commerce de gros" car le salaire ainsi obtenu était supérieur à celui de valide. Le point de savoir si cette manière de procéder est conforme à la jurisprudence y afférente peut rester ouvert. En effet, il appert que même en reprenant cette méthode qui est tout à l'avantage de la recourante avec les données ESS 2010, l'assurée ne parvient manifestement pas à un taux suffisant pour ouvrir le droit à une rente. Dans ce contexte, il convient de relever que le salaire moyen, niveau de qualification 4, dans le secteur "soutien aux entreprises" selon les données 2010 (secteur qui correspond in casu au mieux à la sous-catégorie "Services fournis aux entreprise" retenu par l'autorité inférieure qui se basait, dans la comparaison des revenu effectuée le 8 novembre 2001, sur l'ancienne nomenclature 2002) est supérieur au salaire de valide, de sorte qu'il n'en est pas tenu compte. Ainsi, la moyenne des salaires moyens mensuels obtenus en 2010 dans les secteurs "Commerce de détails (Fr. 4'164.- pour 40 h./sem.) et "Autres activités de services" (Fr. 3'950.-), adaptée au temps de travail usuel (41.7 et 41.8 h./sem.), correspond à Fr. 4'234.36. Par ailleurs, l'administration a estimé qu'il était opportun de procéder à un abattement du salaire d'invalide de 15% afin de tenir compte des nombreuses limitations fonctionnelles de la recourante (85% de 4'234.36 = Fr. 3'599.21). Ce faisant, elle a agi dans les limites de son pouvoir d'appréciation, de sorte que le Tribunal de céans n'a aucune raison de s'écarter de cette évaluation. La comparaison du revenu de valide au revenu d'invalide fait ainsi apparaître un préjudice économique de 17.92 % ([{4'384.76 - 3'599.21} x 100] : 4'384.76). Comme on l'a vu (cf. infra consid. 10.3), il y a lieu de retenir que, sans atteinte à la santé, la recourante aurait continué à être active au taux de 71%. En application de la méthode mixte, le taux d'invalidité pondéré pour l'activité lucrative est donc de 12.78 (18 x 0.71).
12.1 En rapport avec l'incapacité de travail dans les travaux ménagers, il appert que la recourante n'a vraisemblablement pas rempli correctement le formulaire pour assurés travaillant dans le ménage qu'elle a signé en date du 13 juin 2010 (pce 9). En effet, comme l'a relevé à juste titre l'administration dans un écrit du 27 septembre 2011 (pce 31, 2ème paragraphe), celle-ci indique qu'elle vit dans un logement situé au 3ème, 4ème et 7ème étage et que son ménage serait composé de 8 adultes et de 8 enfants âgés entre 4 et 14 ans (pce 9 p. 1 let. A). Or, il semble qu'elle se réfère aux appartements qu'elle était chargée de nettoyer en tant que femme de ménage et non pas à son propre ménage, vu qu'elle mentionne que son travail doit dorénavant être exécuté par des tiers à raison de 30 h./sem. (cf. pce 9 p. 3 let. D in fine). Quoiqu'il en soit, la question de savoir si, au moment déterminant, le ménage de la recourante était composé uniquement de son mari et de sa fille alors âgée de 16 ans ou si d'autres personnes en faisaient partie (dont notamment la fille aînée âgée de 26 ans en 2010 et les autres personnes mentionnées par l'assurée) ne saurait être déterminant pour les raisons indiquées ci-après.
12.2 Ainsi, la recourante mentionne, dans le formulaire précité pour assurés travaillant dans le ménage du 13 juin 2010, qu'elle est dans l'incapacité totale d'accomplir l'ensemble des travaux relatifs au ménage (pce 10). Appelé à prendre position sur ces allégations, le Dr B._______, spécialiste en orthopédie du service médical de l'OAIE, a estimé la part des différentes activités accomplies par l'intéressée dans le ménage selon la circulaire sur l'invalidité et l'impotence dans l'assurance-invalidité et retenu un taux d'invalidité respectif (conduite du ménage: 5% avec invalidité de 0%; alimentation: 40% avec une invalidité de 20%; entretien du logement: 20% avec une invalidité de 40%; achat: 10% avec une invalidité de 20%; lessive et entretien des vêtements: 20% avec une invalidité de 30%; divers: 5% avec une invalidité de 0%). Il conclut à un taux d'invalidité global de 24% pour la conduite du ménage (rapport du 21 décembre 2010 [pce 20 p. 4]]). Le Tribunal de céans relève que cette appréciation, bien que succincte, n'a pas fait l'objet d'une quelconque contestation précise de la part de l'intéressée. Il n'y a donc aucune raison pour s'en écarter, eu égard aux circonstances particulières du cas concret. En effet, quoiqu'en dise la recourante, rien au dossier ne permet de retenir que celle-ci présente une incapacité de travail dans les activités légères. Bien plus, le rapport médical du 21 juin 2010, établi au Centre de réhabilitation E._______, se borne à indiquer que l'intéressée présente une incapacité de travail dans la vie quotidienne pour les travaux de force (pce 18 p. 2), ce qui est de nature à confirmer les conclusions du service médical de l'OAIE. Sous cette angle, l'argumentation développée par la recourante, selon laquelle elle présenterait une incapacité de travail totale dans les travaux ménagers n'est pas suffisamment corroborée et ne saurait donc convaincre. Ensuite, il sied de relever que le Dr B._______ dispose d'une formation spécifique en orthopédie et dispose ainsi des connaissances nécessaires pour juger de la capacité de travail sur la base des actes au dossier, étant relevé qu'une atteinte radiculaire significative n'a pas été mise en évidence en l'espèce (cf. rapports médicaux des 1er février 2007 [pce TAF 1 p. 39], 7 mai 2010 [pce TAF 1 p. 22] et 6 août 2010 [pce TAF 1 p. 42]). En outre, il convient de tenir compte du fait que l'assurée peut mieux gérer son temps dans le ménage que dans une activité lucrative et qu'on peut s'attendre de ses proches qu'ils l'aident de façon accrue dans la mesure où cela est raisonnablement exigible de leur part (arrêt du Tribunal fédéral 8C_440/2011 du 11 juillet 2011 consid. 4.2). Or, l'assurée n'a jamais prétendu qu'elle ne pouvait
recourir à l'aide de son entourage. Dans ces conditions, il n'apparaissait pas indispensable de procéder à une enquête économique respectivement à ce que le service médical du SMR examine lui-même l'assurée pour écarter les affirmations contraires de cette dernière (cf. infra consid. 5.5). Le taux d'invalidité dans les activités ménagères se monte donc à 24% comme l'a retenu l'administration, sans qu'il n'apparaisse de motifs suffisamment pertinents pour remettre en cause cette évaluation. Ce pourcentage doit encore être pondéré en application de la méthode mixte, ce qui donne une incapacité de travail de 6.72% (24 x 0.29). Le taux global d'invalidité de la recourante est donc de 19.74% ([18 x 0.71] + [24 x 0.29]), ce qui n'est pas suffisant pour ouvrir le droit à une rente. Finalement, on précisera à titre superfétatoire que, dans la présente affaire, le taux d'invalidité dans les activités ménagères devrait se monter à au moins 93% (93 x 0.29 = 26.97% [part pondérée]) pour que, en application de la méthode mixte, l'assurée présente un taux d'invalidité global de 40% ouvrant le droit à une rente (12.78 [cf. supra consid. 12.2 in fine] + 26.97 = 39.75), ce qui est tout à fait exclu en l'espèce compte tenu de la documentation médicale versée en cause, étant précisé que sur l'ensemble des travaux ménagers, déjà ceux de nature légères atteignent au moins le seuil de 10%.
13.
Au vu de tout ce qui précède, il appert que la décision entreprise doit être confirmée et le recours rejeté.
14.
Vu l'issue de la cause, les frais de procédure, fixés par le Tribunal de céans à Fr. 400.-, sont mis à la charge de la recourante déboutée (art. 69 al. 2
SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 69 Rimedi giuridici: disposizioni particolari - 1 In deroga agli articoli 52 e 58 LPGA427: |
|
1 | In deroga agli articoli 52 e 58 LPGA427: |
a | le decisioni degli uffici AI cantonali sono impugnabili direttamente dinanzi al tribunale delle assicurazioni del luogo dell'ufficio AI; |
b | le decisioni dell'Ufficio AI per gli assicurati residenti all'estero sono impugnabili direttamente dinanzi al Tribunale amministrativo federale.429 |
1bis | La procedura di ricorso dinanzi al tribunale cantonale delle assicurazioni in caso di controversie relative a prestazioni dell'AI è soggetta a spese.430 L'entità delle spese è determinata fra 200 e 1000 franchi in funzione delle spese di procedura e senza riguardo al valore litigioso.431 |
2 | Il capoverso 1bis e l'articolo 85bis capoverso 3 LAVS432 si applicano per analogia ai procedimenti dinanzi al Tribunale amministrativo federale.433 |
3 | Le decisioni dei tribunali arbitrali cantonali secondo l'articolo 27quinquies possono essere impugnate con ricorso al Tribunale federale conformemente alla legge del 17 giugno 2005434 sul Tribunale federale.435 |
SR 173.320.2 Regolamento del 21 febbraio 2008 sulle tasse e sulle spese ripetibili nelle cause dinanzi al Tribunale amministrativo federale (TS-TAF) TS-TAF Art. 3 Tassa di giustizia nelle cause senza interesse pecuniario - Nelle cause senza interesse pecuniario, la tassa di giustizia varia: |
|
a | tra 200 e 3000 franchi se la causa è giudicata da un giudice unico; |
b | tra 200 e 5000 franchi negli altri casi. |
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 64 - 1 L'autorità di ricorso, se ammette il ricorso in tutto o in parte, può, d'ufficio o a domanda, assegnare al ricorrente una indennità per le spese indispensabili e relativamente elevate che ha sopportato. |
|
1 | L'autorità di ricorso, se ammette il ricorso in tutto o in parte, può, d'ufficio o a domanda, assegnare al ricorrente una indennità per le spese indispensabili e relativamente elevate che ha sopportato. |
2 | Il dispositivo indica l'ammontare dell'indennità e l'addossa all'ente o all'istituto autonomo, nel cui nome l'autorità inferiore ha deciso, in quanto non possa essere messa a carico di una controparte soccombente. |
3 | Se una controparte soccombente ha presentato conclusioni indipendenti, l'indennità può essere messa a suo carico, secondo la propria solvenza. |
4 | L'ente o l'istituto autonomo, nel cui nome l'autorità inferiore ha deciso, risponde dell'indennità addossata a una controparte soccombente, in quanto non possa essere riscossa. |
5 | Il Consiglio federale disciplina la determinazione delle spese ripetibili.106 Sono fatti salvi l'articolo 16 capoverso 1 lettera a della legge del 17 giugno 2005107 sul Tribunale amministrativo federale e l'articolo 73 della legge del 19 marzo 2010108 sull'organizzazione delle autorità penali.109 |
SR 173.320.2 Regolamento del 21 febbraio 2008 sulle tasse e sulle spese ripetibili nelle cause dinanzi al Tribunale amministrativo federale (TS-TAF) TS-TAF Art. 7 Principio - 1 La parte vincente ha diritto alle ripetibili per le spese necessarie derivanti dalla causa. |
|
1 | La parte vincente ha diritto alle ripetibili per le spese necessarie derivanti dalla causa. |
2 | Se la parte vince solo parzialmente, le spese ripetibili sono ridotte in proporzione. |
3 | Le autorità federali e, di regola, le altre autorità con qualità di parte non hanno diritto a un'indennità a titolo di ripetibili. |
4 | Se le spese sono relativamente modeste, si può rinunciare a concedere alla parte un'indennità a titolo di ripetibili. |
5 | L'articolo 6a è applicabile per analogia.7 |
Par ces motifs, le Tribunal administratif fédéral prononce :
1.
Le recours est rejeté.
2.
Les frais de procédure, d'un montant de Fr. 400.-, sont mis à la charge de la recourante. Ce montant est compensé par l'avance de frais déjà fournie de Fr. 400.-.
3.
Il n'est pas alloué de dépens.
4.
Le présent arrêt est adressé :
- à la recourante (Recommandé avec avis de réception)
- à l'autorité inférieure (n° de réf.)
- à l'Office fédéral des assurances sociales.
Le président du collège : Le greffier :
Vito Valenti Yannick Antoniazza-Hafner
Indication des voies de droit :
Le présent arrêt peut être attaqué devant le Tribunal fédéral, Schweizerhofquai 6, 6004 Lucerne, par la voie du recours en matière de droit public, dans les trente jours qui suivent la notification (art. 44 ss
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 44 Decorrenza - 1 I termini la cui decorrenza dipende da una notificazione o dal verificarsi di un evento decorrono a partire dal giorno successivo. |
|
1 | I termini la cui decorrenza dipende da una notificazione o dal verificarsi di un evento decorrono a partire dal giorno successivo. |
2 | Una notificazione recapitabile soltanto dietro firma del destinatario o di un terzo autorizzato a riceverla è reputata avvenuta al più tardi il settimo giorno dopo il primo tentativo di consegna infruttuoso. |
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 82 Principio - Il Tribunale federale giudica i ricorsi: |
|
a | contro le decisioni pronunciate in cause di diritto pubblico; |
b | contro gli atti normativi cantonali; |
c | concernenti il diritto di voto dei cittadini nonché le elezioni e votazioni popolari. |
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 42 Atti scritti - 1 Gli atti scritti devono essere redatti in una lingua ufficiale, contenere le conclusioni, i motivi e l'indicazione dei mezzi di prova ed essere firmati. |
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1 | Gli atti scritti devono essere redatti in una lingua ufficiale, contenere le conclusioni, i motivi e l'indicazione dei mezzi di prova ed essere firmati. |
2 | Nei motivi occorre spiegare in modo conciso perché l'atto impugnato viola il diritto. Qualora il ricorso sia ammissibile soltanto se concerne una questione di diritto di importanza fondamentale o un caso particolarmente importante per altri motivi, occorre spiegare perché la causa adempie siffatta condizione.14 15 |
3 | Se sono in possesso della parte, i documenti indicati come mezzi di prova devono essere allegati; se l'atto scritto è diretto contro una decisione, anche questa deve essere allegata. |
4 | In caso di trasmissione per via elettronica, la parte o il suo patrocinatore deve munire l'atto scritto di una firma elettronica qualificata secondo la legge del 18 marzo 201616 sulla firma elettronica. Il Tribunale federale determina mediante regolamento: |
a | il formato dell'atto scritto e dei relativi allegati; |
b | le modalità di trasmissione; |
c | le condizioni alle quali può essere richiesta la trasmissione successiva di documenti cartacei in caso di problemi tecnici.17 |
5 | Se mancano la firma della parte o del suo patrocinatore, la procura dello stesso o gli allegati prescritti, o se il patrocinatore non è autorizzato in quanto tale, è fissato un congruo termine per sanare il vizio, con la comminatoria che altrimenti l'atto scritto non sarà preso in considerazione. |
6 | Gli atti illeggibili, sconvenienti, incomprensibili, prolissi o non redatti in una lingua ufficiale possono essere del pari rinviati al loro autore affinché li modifichi. |
7 | Gli atti scritti dovuti a condotta processuale da querulomane o altrimenti abusiva sono inammissibili. |
Expédition :