Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
4D 69/2016
Urteil vom 28. November 2016
I. zivilrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichterin Kiss, Präsidentin,
Bundesrichter Kolly, Bundesrichterin Hohl,
Gerichtsschreiber Brugger.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Dr. Peter Steiner,
Beschwerdeführer,
gegen
Obergericht des Kantons Aargau, Zivilgericht,
4. Kammer,
Beschwerdegegner.
Gegenstand
Unentgeltliche Rechtspflege,
Beschwerde gegen den Entscheid des Obergerichts
des Kantons Aargau, Zivilgericht, 4. Kammer,
vom 29. August 2016.
Sachverhalt:
A.
Am 25. August 2014 reichte A.________ (Kläger; Beschwerdeführer) beim Bezirksgericht Bremgarten eine Klage gegen seine Vermieterin ein, verbunden mit dem Antrag um Bewilligung der unentgeltlichen Rechtspflege. Mit Verfügung vom 12. November 2014 bewilligte der Gerichtspräsident das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege und gab dem Kläger Rechtsanwalt Dr. Peter Steiner als unentgeltlichen Rechtsbeistand bei.
Am 11. Juni 2015 entzog der Gerichtspräsident die bewilligte unentgeltliche Rechtspflege rückwirkend per 1. Februar 2015. Diese Verfügung hob das Obergericht des Kantons Aargau in teilweiser Gutheissung der dagegen vom Kläger erhobenen Beschwerde mit Entscheid vom 22. Juli 2015 auf und wies die Sache zu neuer Entscheidung an den Gerichtspräsidenten zurück.
Dieser verfügte am 26. November 2015, dass dem Kläger die mit Verfügung vom 12. November 2014 bewilligte unentgeltliche Rechtspflege rückwirkend per 1. März 2015 entzogen werde. Mit Entscheid vom 19. Januar 2016 wies das Obergericht sowohl die dagegen vom Kläger erhobene Beschwerde als auch dessen Gesuch um Bewilligung der unentgeltlichen Rechtspflege für das Beschwerdeverfahren vor Obergericht ab. Das Bundesgericht schützte mit Urteil 4D 19/2016 vom 11. April 2016 diesen Entscheid des Obergerichts und wies die vom Kläger dagegen erhobene Beschwerde ab, soweit es darauf eintrat.
B.
Mit Eingabe vom 2. Juni 2016 ersuchte der Kläger erneut um Gewährung der unentgeltlichen Rechtspflege und um Bestellung von Rechtsanwalt Dr. Peter Steiner als unentgeltlichen Rechtsbeistand. Mit Verfügung vom 17. Juni 2016 trat der Präsident des Bezirksgerichts auf das Gesuch um Gewährung der unentgeltlichen Rechtspflege nicht ein.
Dagegen erhob der Kläger erneut Beschwerde an das Obergericht, das mit Entscheid vom 29. August 2016 seine Beschwerde abwies. Das Obergericht hob "von Amtes wegen" [sic] Dispositiv-Ziffer 1 der Verfügung des Präsidenten des Bezirksgerichts vom 17. Juni 2016 auf und verfügte, dass das Gesuch des Klägers um Gewährung der unentgeltlichen Rechtspflege abgewiesen werde. Das Obergericht wies auch das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege für das Beschwerdeverfahren vor Obergericht ab, auferlegte dem Kläger die Entscheidgebühr von Fr. 200.-- und entschied, dass der Kläger die obergerichtlichen Parteikosten selbst zu tragen habe.
C.
Der Beschwerdeführer erhob gegen den Entscheid des Obergerichts Beschwerde an das Bundesgericht und beantragt, der Entscheid des Obergerichts sei aufzuheben. Dem Beschwerdeführer sei alsdann im Verfahren vor dem "Gerichtspräsidenten", vor Obergericht und vor dem Bundesgericht die unentgeltliche Rechtspflege zu bewilligen und es sei ihm Rechtsanwalt Dr. Peter Steiner als unentgeltlicher Rechtsbeistand beizugeben.
Es wurde keine Vernehmlassung eingeholt.
Erwägungen:
1.
1.1. Das Bundesgericht prüft von Amtes wegen und mit freier Kognition, ob ein Rechtsmittel zulässig ist (Art. 29 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 29 Examen - 1 Le Tribunal fédéral examine d'office sa compétence. |
|
1 | Le Tribunal fédéral examine d'office sa compétence. |
2 | En cas de doute quant à sa propre compétence, il procède à un échange de vues avec l'autorité dont la compétence lui paraît entrer en ligne de compte. |
1.2. Beim Entscheid der Vorinstanz handelt es sich um einen Zwischenentscheid. Nach Art. 93 Abs. 1 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 93 Autres décisions préjudicielles et incidentes - 1 Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
|
1 | Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
a | si elles peuvent causer un préjudice irréparable, ou |
b | si l'admission du recours peut conduire immédiatement à une décision finale qui permet d'éviter une procédure probatoire longue et coûteuse. |
2 | En matière d'entraide pénale internationale et en matière d'asile, les décisions préjudicielles et incidentes ne peuvent pas faire l'objet d'un recours.88 Le recours contre les décisions relatives à la détention extraditionnelle ou à la saisie d'objets et de valeurs est réservé si les conditions de l'al. 1 sont remplies. |
3 | Si le recours n'est pas recevable en vertu des al. 1 et 2 ou qu'il n'a pas été utilisé, les décisions préjudicielles et incidentes peuvent être attaquées par un recours contre la décision finale dans la mesure où elles influent sur le contenu de celle-ci. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 93 Autres décisions préjudicielles et incidentes - 1 Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
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1 | Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
a | si elles peuvent causer un préjudice irréparable, ou |
b | si l'admission du recours peut conduire immédiatement à une décision finale qui permet d'éviter une procédure probatoire longue et coûteuse. |
2 | En matière d'entraide pénale internationale et en matière d'asile, les décisions préjudicielles et incidentes ne peuvent pas faire l'objet d'un recours.88 Le recours contre les décisions relatives à la détention extraditionnelle ou à la saisie d'objets et de valeurs est réservé si les conditions de l'al. 1 sont remplies. |
3 | Si le recours n'est pas recevable en vertu des al. 1 et 2 ou qu'il n'a pas été utilisé, les décisions préjudicielles et incidentes peuvent être attaquées par un recours contre la décision finale dans la mesure où elles influent sur le contenu de celle-ci. |
1.3. Bei Zwischenentscheiden folgt der Rechtsweg jenem der Hauptsache (BGE 137 III 380 E. 1.1 S. 382; 133 III 645 E. 2.2). In der Hauptsache geht es um eine mietrechtliche Streitigkeit, die nach den vorinstanzlichen Feststellungen den von Art. 74 Abs. 1 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 74 Valeur litigieuse minimale - 1 Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à: |
|
1 | Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à: |
a | 15 000 francs en matière de droit du travail et de droit du bail à loyer; |
b | 30 000 francs dans les autres cas. |
2 | Même lorsque la valeur litigieuse minimale n'est pas atteinte, le recours est recevable: |
a | si la contestation soulève une question juridique de principe; |
b | si une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique; |
c | s'il porte sur une décision prise par une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
d | s'il porte sur une décision prise par le juge de la faillite ou du concordat; |
e | s'il porte sur une décision du Tribunal fédéral des brevets. |
Erreicht der Streitwert den massgebenden Betrag wie in casu nicht, ist die Beschwerde in Zivilsachen dennoch zulässig, wenn sich eine Rechtsfrage von grundsätzlicher Bedeutung stellt (Art. 74 Abs. 2 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 74 Valeur litigieuse minimale - 1 Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à: |
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1 | Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à: |
a | 15 000 francs en matière de droit du travail et de droit du bail à loyer; |
b | 30 000 francs dans les autres cas. |
2 | Même lorsque la valeur litigieuse minimale n'est pas atteinte, le recours est recevable: |
a | si la contestation soulève une question juridique de principe; |
b | si une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique; |
c | s'il porte sur une décision prise par une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
d | s'il porte sur une décision prise par le juge de la faillite ou du concordat; |
e | s'il porte sur une décision du Tribunal fédéral des brevets. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
Der Beschwerdeführer behauptet nicht, dass sich vorliegend eine Rechtsfrage von grundsätzlicher Bedeutung stellen würde, sondern erklärt einzig, dass die Beschwerde "zumindest als subsidiäre Verfassungsbeschwerde anhand zu nehmen" sei. Unter diesen Umständen ist die Beschwerde als subsidiäre Verfassungsbeschwerde entgegen zu nehmen.
1.4. Da auch die übrigen Sachurteilsvoraussetzungen erfüllt sind, ist unter Vorbehalt einer rechtsgenügenden Begründung (vgl. Erwägung 2) grundsätzlich auf die Beschwerde einzutreten.
2.
2.1. Mit subsidiärer Verfassungsbeschwerde kann die Verletzung von verfassungsmässigen Rechten gerügt werden (Art. 116
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 116 Motifs de recours - Le recours constitutionnel peut être formé pour violation des droits constitutionnels. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 117 Procédure de recours - Les art. 90 à 94, 99, 100, 102, 103, al. 1 et 3, 104, 106, al. 2, et 107 à 112 s'appliquent par analogie à la procédure du recours constitutionnel. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
Macht die beschwerdeführende Partei eine Verletzung des Willkürverbots von Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
2.2. Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 118 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 118 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis en violation du droit au sens de l'art. 116. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 118 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis en violation du droit au sens de l'art. 116. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 116 Motifs de recours - Le recours constitutionnel peut être formé pour violation des droits constitutionnels. |
Wird eine verfassungswidrige Nichtberücksichtigung von behaupteten, im angefochtenen Entscheid aber nicht festgestellten Tatsachen geltend gemacht, ist mit Aktenhinweisen darzulegen, dass diese rechtsrelevanten Tatsachen bereits bei der Vorinstanz prozessrechtskonform eingebracht wurden, indessen von jener unter Verletzung eines verfassungsmässigen Rechts unberücksichtigt gelassen worden seien. Ansonsten gelten sie als neu und sind daher unzulässig (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
|
1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 117 Procédure de recours - Les art. 90 à 94, 99, 100, 102, 103, al. 1 et 3, 104, 106, al. 2, et 107 à 112 s'appliquent par analogie à la procédure du recours constitutionnel. |
Diese Grundsätze verkennt der Beschwerdeführer, wenn er unter dem Titel "Sachverhalt" das Verfahren aus seiner Sicht schildert, ohne dabei Sachverhaltsrügen nach den oben genannten Voraussetzungen zu erheben. Darauf kann nicht abgestellt werden.
3.
Die Erstinstanz erwog, der Beschwerdeführer habe mit seinem Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege und Bestellung eines unentgeltlichen Rechtsbeistands vom 2. Juni 2016 sinngemäss um Wiedererwägung der Verfügung vom 26. November 2015 ersucht, mit der ihm die unentgeltliche Rechtspflege rückwirkend per 1. März 2015 entzogen worden sei. Die Erstinstanz kam zum Schluss, dass der Beschwerdeführer keine veränderten Verhältnisse angeführt habe und trat auf das Gesuch nicht ein.
Die Vorinstanz teilte diese Auffassung der Erstinstanz nicht. Sie erwog, die Erstinstanz habe in der Verfügung vom 26. November 2015 angenommen, der Beschwerdeführer habe die Miete ab März 2015 nicht bezahlt, weshalb diese bei der Berechnung des Existenzminimums nicht berücksichtigt werden könne. Ferner habe die Erstinstanz angenommen, der Beschwerdeführer und seine Ehefrau würden von der Sozialhilfe mit Fr. 2'766.-- unterstützt. Der Beschwerdeführer habe dagegen im Gesuch vom 2. Juni 2016 geltend gemacht, er verfüge aktuell einzig über Arbeitslosengeld von Fr. 2'336.-- (April 2016) bzw. Fr. 2'558.45 (März 2016), und dazu die entsprechenden Belege eingereicht. Ferner habe er behauptet, er wohne in einer Wohnung, für welche er Fr. 1'690.-- bezahle, und habe für diese Behauptung den entsprechenden Mietvertrag und Belege für die Bezahlung der Mieten April und Mai 2016 eingereicht. Es lasse sich demnach entgegen der Auffassung der Erstinstanz nicht behaupten, der Beschwerdeführer habe im neuen Gesuch [vom 2. Juni 2016] keine veränderten Verhältnisse angeführt. Da es sich zumindest teilweise um "echte Noven" handle, sei ein neues Gesuch anzunehmen, auf das einzutreten sei.
Die Vorinstanz prüfte in der Folge das Gesuch des Beschwerdeführers um unentgeltliche Rechtspflege und kam zum Schluss, dass sich die Mittellosigkeit des Beschwerdeführers aufgrund der mangelhaften Angaben und Belege nicht beurteilen lasse. Da der Beschwerdeführer anwaltlich vertreten sei, sei ihm keine Nachfrist zur Verbesserung anzusetzen. Vielmehr sei die Mittellosigkeit zufolge Verletzung der Mitwirkungspflicht zu verneinen und das Gesuch abzuweisen. Damit erübrige es sich zu entscheiden, ob der Beschwerdeführer seit dem Entzug der unentgeltlichen Rechtspflege per 1. März 2015 bis zur Stellung des neuen Gesuchs [am 2. Juni 2016] einen Überschuss von Fr. 6'562.50 erwirtschaftet habe, der zu berücksichtigen wäre, wie dies die Erstinstanz angenommen habe. Die Beschwerde sei daher abzuweisen. Das Gesuch um Bewilligung der unentgeltlichen Rechtspflege für das Beschwerdeverfahren sei ebenfalls abzuweisen, weil zu seiner Begründung bloss auf die Verhältnisse im Gesuch vom 2. Juni 2016 verwiesen worden sei, was nach dem Gesagten nicht genügte.
4.
Dagegen macht der Beschwerdeführer die Verletzung verfassungsmässiger Rechte geltend (Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 3 Cantons - Les cantons sont souverains en tant que leur souveraineté n'est pas limitée par la Constitution fédérale et exercent tous les droits qui ne sont pas délégués à la Confédération. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29a Garantie de l'accès au juge - Toute personne a droit à ce que sa cause soit jugée par une autorité judiciaire. La Confédération et les cantons peuvent, par la loi, exclure l'accès au juge dans des cas exceptionnels. |
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
|
1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29a Garantie de l'accès au juge - Toute personne a droit à ce que sa cause soit jugée par une autorité judiciaire. La Confédération et les cantons peuvent, par la loi, exclure l'accès au juge dans des cas exceptionnels. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
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1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
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1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
Soweit der Beschwerdeführer im Weiteren bezüglich der unentgeltlichen Rechtspflege eine Verletzung von Art. 6 Ziff. 1
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
|
1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
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1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
5.
5.1. Der Beschwerdeführer vertritt die Ansicht, er habe vor der Erstinstanz ein neues Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege aufgrund veränderter Verhältnisse gestellt, wie die Vorinstanz auf seine Beschwerde hin bestätigt habe. Die Erstinstanz hätte also auf sein Gesuch eintreten müssen. Aus diesem Grund hätte die Vorinstanz die angefochtene Verfügung der Erstinstanz aufheben, an die Erstinstanz zurückweisen und ihm eine Parteientschädigung zusprechen müssen. Die Vorinstanz habe damit "das Recht offensichtlich willkürlich angewendet". Es komme weiter hinzu, dass es willkürlich sei, dass die Vorinstanz im Beschwerdeverfahren "selber nach neuen Gründen" gesucht habe, "um die Beschwerde abzuweisen, die von der Vorinstanz [recte: Erstinstanz] gar nicht vorgebracht worden" seien. Es sei willkürlich, dass die Vorinstanz "wie eine Partei neue Tatsachen behauptet und Noven" vorgebracht habe, "anstatt sich auf eine Rechtskontrolle" zu beschränken. Es sei willkürlich, den Sachverhalt gegenüber den Feststellungen der Erstinstanz zu ergänzen, zu ändern und neu in Frage zu stellen. Die Einnahmeseite sei von der Erstinstanz gar nicht in Frage gestellt worden.
5.2. Vorliegend trat die Erstinstanz auf das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege des Beschwerdeführers nicht ein und beurteilte demnach das Gesuch nicht materiell. Die Vorinstanz trat demgegenüber auf das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege ein, beurteilte das Gesuch materiell und wies es ab.
Dieses Vorgehen vermag der Beschwerdeführer nicht als willkürlich auszuweisen : Der Beschwerdeführer beantragte vor der Vorinstanz neben der Aufhebung des erstinstanzlichen Entscheids einzig, dass ihm die unentgeltliche Rechtspflege zu bewilligen und ihm ein unentgeltlicher Rechtsbeistand zu bestellen sei. Die Rückweisung der Sache an die Erstinstanz zur materiellen Beurteilung des Gesuchs begehrte er nicht. Damit brachte er vor der Vorinstanz zum Ausdruck, dass er nicht auf einer Rückweisung der Sache an die Erstinstanz bestehe, sondern im Gegenteil verlange, dass die Vorinstanz neu in der Sache entscheide. Der Beschwerdeführer behauptet sodann nicht, dass die Sache vor der Vorinstanz nicht spruchreif im Sinne von Art. 327 Abs. 3 lit. b
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors CPC Art. 327 Procédure et décision - 1 L'instance de recours demande le dossier à l'instance précédente. |
|
1 | L'instance de recours demande le dossier à l'instance précédente. |
2 | Elle peut statuer sur pièces. |
3 | Si elle admet le recours, elle: |
a | annule la décision ou l'ordonnance d'instruction et renvoie la cause à l'instance précédente; |
b | rend une nouvelle décision, si la cause est en état d'être jugée. |
4 | Si l'instance de recours constate un retard injustifié, elle peut impartir à l'instance précédente un délai pour traiter la cause. |
5 | L'instance de recours communique sa décision aux parties avec une motivation écrite. |
Unter diesen Umständen erscheint es nicht als offensichtlich unhaltbar, dass die Vorinstanz die Sache nicht an die Erstinstanz zur materiellen Beurteilung des Gesuchs um unentgeltliche Rechtspflege zurückwies, sondern das Gesuch des Beschwerdeführers selbst neu materiell beurteilte (vgl. aber BGE 140 III 234 E. 3.2.3; 138 III 46 E. 1.2 S. 48 für das bundesgerichtliche Verfahren). Es ist sodann widersprüchlich, vor der Vorinstanz keine Rückweisung an die Erstinstanz, sondern nur einen reformatorischen Entscheid durch die Vorinstanz zu verlangen, und sich anschliessend vor Bundesgericht zu beklagen, dass die Vorinstanz die Sache nicht an die Erstinstanz zurückwies.
5.3.
5.3.1. Sodann erblickt der Beschwerdeführer Willkür darin, dass ihm für das vorinstanzliche Beschwerdeverfahren keine Parteientschädigung zugesprochen worden sei.
5.3.2. Die Prozesskosten werden nach Art. 106 Abs. 1
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors CPC Art. 106 Règles générales de répartition - 1 Les frais sont mis à la charge de la partie succombante. La partie succombante est le demandeur lorsque le tribunal n'entre pas en matière et en cas de désistement d'action; elle est le défendeur en cas d'acquiescement. |
|
1 | Les frais sont mis à la charge de la partie succombante. La partie succombante est le demandeur lorsque le tribunal n'entre pas en matière et en cas de désistement d'action; elle est le défendeur en cas d'acquiescement. |
2 | Lorsqu'aucune des parties n'obtient entièrement gain de cause, les frais sont répartis selon le sort de la cause. |
3 | Lorsque plusieurs personnes participent au procès en tant que parties principales ou accessoires, le tribunal détermine la part de chacune aux frais du procès. Il peut les tenir pour solidairement responsables. |
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors CPC Art. 106 Règles générales de répartition - 1 Les frais sont mis à la charge de la partie succombante. La partie succombante est le demandeur lorsque le tribunal n'entre pas en matière et en cas de désistement d'action; elle est le défendeur en cas d'acquiescement. |
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1 | Les frais sont mis à la charge de la partie succombante. La partie succombante est le demandeur lorsque le tribunal n'entre pas en matière et en cas de désistement d'action; elle est le défendeur en cas d'acquiescement. |
2 | Lorsqu'aucune des parties n'obtient entièrement gain de cause, les frais sont répartis selon le sort de la cause. |
3 | Lorsque plusieurs personnes participent au procès en tant que parties principales ou accessoires, le tribunal détermine la part de chacune aux frais du procès. Il peut les tenir pour solidairement responsables. |
Dabei greift das Bundesgericht in vorinstanzliche Ermessensentscheide nur mit grösster Zurückhaltung ein (BGE 139 III 334 E. 3.2.5 S. 339). Es schreitet nur ein, wenn die Vorinstanz grundlos von in Lehre und Rechtsprechung anerkannten Grundsätzen abgewichen ist, wenn Tatsachen berücksichtigt wurden, die keine Rolle hätten spielen dürfen, oder wenn umgekehrt Umstände ausser Betracht geblieben sind, die zwingend hätten beachtet werden müssen. In derartige Ermessensentscheide wird ferner eingegriffen, wenn sich diese als offensichtlich unbillig, als in stossender Weise ungerecht erweisen (BGE 141 III 97 E. 11.2 mit Hinweisen).
5.3.3. Bezüglich der Kosten- und Entschädigungsfolgen für das vorinstanzliche Beschwerdeverfahren kam die Vorinstanz zum Schluss, dass "bei diesem Ausgang des Verfahrens" der Beschwerdeführer die obergerichtliche Entscheidgebühr zu bezahlen habe, welche in Anbetracht seiner finanziellen Verhältnisse auf Fr. 200.-- festgesetzt werde. Ebenso habe er seine Parteikosten selbst zu tragen.
Wenn die Vorinstanz erwog, dass bei "diesem Ausgang des Verfahrens" dem Beschwerdeführer keine Parteientschädigung zuzusprechen ist und auf die Bestimmung von Art. 106
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors CPC Art. 106 Règles générales de répartition - 1 Les frais sont mis à la charge de la partie succombante. La partie succombante est le demandeur lorsque le tribunal n'entre pas en matière et en cas de désistement d'action; elle est le défendeur en cas d'acquiescement. |
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1 | Les frais sont mis à la charge de la partie succombante. La partie succombante est le demandeur lorsque le tribunal n'entre pas en matière et en cas de désistement d'action; elle est le défendeur en cas d'acquiescement. |
2 | Lorsqu'aucune des parties n'obtient entièrement gain de cause, les frais sont répartis selon le sort de la cause. |
3 | Lorsque plusieurs personnes participent au procès en tant que parties principales ou accessoires, le tribunal détermine la part de chacune aux frais du procès. Il peut les tenir pour solidairement responsables. |
Nachdem die Vorinstanz auf Beschwerde des Beschwerdeführers hin im Gegensatz zur Erstinstanz auf sein Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege eintrat, hätte die Beschwerde des Beschwerdeführers zumindest teilweise, nämlich in Bezug auf die Eintretensfrage, gutgeheissen werden müssen. Korrekterweise wäre sodann die Verfügung des Präsidenten des Bezirksgerichts in teilweiser Gutheissung der Beschwerde und nicht "von Amtes wegen" aufzuheben gewesen (vgl. Art. 327 Abs. 3
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors CPC Art. 327 Procédure et décision - 1 L'instance de recours demande le dossier à l'instance précédente. |
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1 | L'instance de recours demande le dossier à l'instance précédente. |
2 | Elle peut statuer sur pièces. |
3 | Si elle admet le recours, elle: |
a | annule la décision ou l'ordonnance d'instruction et renvoie la cause à l'instance précédente; |
b | rend une nouvelle décision, si la cause est en état d'être jugée. |
4 | Si l'instance de recours constate un retard injustifié, elle peut impartir à l'instance précédente un délai pour traiter la cause. |
5 | L'instance de recours communique sa décision aux parties avec une motivation écrite. |
5.4.
5.4.1. Der Beschwerdeführer wendet sich gegen die vorinstanzliche Auffassung, dass es nicht belegt sei, dass er die Miete nicht bezahlt habe. Er bringt vor, Eigentümer seiner Mietwohnung sei B.________ und sein Mietvertrag sei mit der C.________ GmbH, die damals Verwalterin gewesen sei, abgeschlossen worden. Er habe sich einfach an die Weisungen der "Vermieterseite" gehalten und die Mietzinsen gemäss deren Anweisung bezahlt. Das Vorgehen der Vorinstanz sei sodann willkürlich, weil vom Beschwerdeführer nie irgendwelche weitere Informationen und Belege einverlangt worden seien, obschon die Sachlage nicht klar gewesen sei.
5.4.2. Die Vorinstanz erwog, gerichtsnotorisch sei, dass der Beschwerdeführer per Ende August 2015 aus der Wohnung in U.________ nach V.________ gezogen sei. Der Beginn der Miete an der neuen Adresse [in V.________] sei gemäss Mietvertrag der 1. September 2015. Nicht bekannt und belegt sei dagegen, ob der Beschwerdeführer den Mietzins im neuen Mietverhältnis von Anfang an regelmässig bezahlt habe. Zwar werde der Nachweis der Bezahlung der Miete in aller Regel von der um unentgeltliche Rechtspflege ersuchenden Person nicht verlangt, da angenommen werden dürfe, dass die Miete, in Anbetracht der einschneidenden Folgen bei Nichtbezahlung, gewöhnlich bezahlt werde. Anders verhalte es sich jedoch beim Beschwerdeführer, dem in den früheren Verfahren die Nichtbezahlung der Miete vorgeworfen worden sei und der die regelmässige Bezahlung der Miete nicht habe nachweisen können. Deshalb genüge die Behauptung, der neue Vermieter habe nie moniert, die Mietzinse würden nicht bezahlt, nicht. Von ihm sei vielmehr zu verlangen, dass er den Nachweis erbringe, dass er die Miete im neuen Mietverhältnis regelmässig bezahle.
Diesen Nachweis habe der Beschwerdeführer, so die Vorinstanz weiter, nicht erbracht. Er habe bloss zwei Belege für die Bezahlung der Mieten April und Mai 2016 vorgelegt, die zudem nicht beweiskräftig seien. Es handle sich um Ausdrucke aus dem E-Banking des Beschwerdeführers, denen zu entnehmen sei, dass am 1. April und am 2. Mai 2016 ein Auftrag an B.________ betreffend Miete D.________ und A.________ erteilt worden sei. Wer dieser B.________ mit gleicher Adresse wie der Beschwerdeführer sei und ob damit die Mieten tatsächlich der neuen Vermieterin, der C.________ GmbH mit Sitz in W.________, vertreten durch E.________ und F.________, gutgeschrieben worden seien, lasse sich daraus nicht ablesen.
5.4.3. Es obliegt dem Gesuchsteller, der die unentgeltliche Rechtspflege begehrt, seine aktuellen Einkommens- und Vermögensverhältnisse umfassend darzustellen und soweit möglich zu belegen. Diesbezüglich trifft ihn eine umfassende Mitwirkungsobliegenheit. An die klare und gründliche Darstellung der finanziellen Situation durch die gesuchstellende Person selbst dürfen umso höhere Anforderungen gestellt werden, je komplexer diese Verhältnisse sind (BGE 125 IV 161 E. 4a S. 164 f.; 120 Ia 179 E. 3a S. 181 f.). Das Gericht hat den Sachverhalt aber immerhin dort weiter abzuklären, wo Unsicherheiten und Unklarheiten bestehen, und es hat allenfalls unbeholfene Rechtsuchende auf die Angaben hinzuweisen, die es zur Beurteilung des Gesuchs benötigt (Urteil 4A 667/2015 vom 22. Januar 2016 E. 3.2 mit Hinweisen). Bei einer anwaltlich vertretenen Partei ist das Gericht nach Art. 97
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors CPC Art. 97 Information sur les frais - Le tribunal informe la partie qui n'est pas assistée d'un avocat sur le montant probable des frais38 et sur l'assistance judiciaire. |
Wenn der Gesuchsteller seinen Obliegenheiten nicht (genügend) nachkommt, kann das Gesuch mangels ausreichender Substantiierung oder mangels Bedürftigkeitsnachweises abgewiesen werden (BGE 125 IV 161 E. 4a S. 165.; 120 Ia 179 E. 3a S. 182; Urteil 4A 484/2015 vom 1. April 2016 E. 5.3).
5.4.4. Die Vorinstanz ist nach dem Gesagten davon ausgegangen, dass es in der vorliegenden konkreten Situation dem Beschwerdeführer obliegt, den Nachweis der regelmässigen Zahlung der Miete nachzuweisen. Dies wird vom Beschwerdeführer vor Bundesgericht nicht beanstandet, zumindest nicht hinreichend, indem er lediglich behauptet, dass die Vorlage eines Mietvertrages "nach der Praxis der Gerichtsbehörden im Normalfall als Beleg für die Mietkosten" genüge oder die Vorinstanz lediglich Gründe produziert habe, um seine Beschwerde abzuweisen. Dementsprechend ist davon auszugehen, dass in der vorliegenden konkreten Situation der Beschwerdeführer nachzuweisen hat, dass er die Mietzinsen in der neuen Wohnung in V.________ regelmässig bezahlt.
Der Beschwerdeführer argumentiert zunächst, dass B.________ der Vermieter und die C.________ GmbH die Verwalterin seiner neuen Wohnung sei und er sich für die Zahlung der Mietzinsen an "Weisungen der Vermieterseite" gehalten habe. Damit stützt er sich auf tatsächliche Elemente, die im vorinstanzlichen Sachverhalt nicht festgestellt wurden, ohne dabei Sachverhaltsrügen nach den oben erwähnten Grundsätzen zu erheben (Erwägung 2.2). Darauf kann nicht abgestellt werden.
Sodann ist die Erwägung der Vorinstanz, dass der Beschwerdeführer den Nachweis nicht erbracht habe, dass er die Mietzinsen regelmässig bezahlt, entgegen dem Vorwurf des Beschwerdeführers, nicht unhaltbar. Im Gegenteil ist es überzeugend, wenn die Vorinstanz gestützt auf zwei Ausdrucke von Zahlungsaufträgen an eine Person, die nach dem vom Beschwerdeführer eingereichten Mietvertrag nicht die Vermieterin seiner neuen Wohnung in V.________ ist, zum Schluss kam, dass dem Beschwerdeführer der Nachweis nicht gelungen ist, dass er die Mietzinsen regelmässig bezahlt.
Wenn der Beschwerdeführer seine Willkürrüge schliesslich damit begründet, dass die Vorinstanz "bei dieser unklaren Sachlage" von ihm weitere Unterlagen hätte einfordern müssen, kann ihm auch nicht gefolgt werden: Es ist zwar zutreffend, dass das Gericht einen unbeholfenen Rechtssuchenden auf die Angaben hinzuweisen hat, die es zur Beurteilung des Gesuchs um unentgeltliche Rechtspflege benötigt. Beim Beschwerdeführer handelt es sich jedoch nicht um eine unbeholfene Partei, ist er doch seit Beginn des Verfahrens durch Rechtsanwalt Dr. Peter Steiner anwaltlich vertreten, und hatte er schon für sein erstes Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege im gleichen Hauptverfahren seine finanzielle Situation zu belegen. Der Vorinstanz kann daher in der vorliegenden Situation kein Vorwurf gemacht werden, wenn sie dem Beschwerdeführer keine Nachfrist zur Ergänzung seines Gesuchs um unentgeltliche Rechtspflege ansetzte und das Gesuch infolge Verletzung der Mitwirkungsobliegenheit abwies.
5.5.
5.5.1. Der Beschwerdeführer bringt vor, es sei "absolut willkürlich", wenn die Vorinstanz ausführe, die Darstellung seiner Einnahmeseite sei nicht glaubhaft, weil er keinen Beschluss der Gemeinde V.________ vorgelegt habe, mit dem sein Gesuch um Sozialhilfe abgewiesen worden wäre. Er habe im vorliegenden Verfahren gar nicht behauptet, es bestehe ein solcher Beschluss. Er und seine Ehefrau lebten einzig von seinem Arbeitslosengeld. Es sei willkürlich, wenn sich die Vorinstanz auf eine frühere Aussage bezogen habe, die längstens nicht mehr aktuell sei. Massgebend seien die aktuellen Verhältnisse und nicht diejenigen vor einem Jahr. Die Vorinstanz verfalle in Willkür, wenn es für die Prüfung der Verhältnisse auf die nicht mehr aktuellen Verhältnisse vor über einem Jahr abstellen möchte. Er sei verpflichtet, wahrheitsgemässe Angaben zu machen und es wäre überspitzt [formalistisch], wenn er bei jedem Gesuch noch Jahre zurück allfällige Veränderungen seitenweise kommentieren müsste. Zudem sei es willkürlich, wenn die Vorinstanz die Auffassung vertrete, er habe die Mitwirkungspflicht verletzt, weil er nicht existierende Unterlagen nicht vorgelegt habe.
5.5.2. Die Vorinstanz erwog, dass die Verhältnisse des Beschwerdeführers auch auf der Einnahmeseite unklar geblieben seien. Er habe zwar bereits in der Beschwerde vom 10. Dezember 2015 [bezüglich seinem ersten Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege] geltend gemacht, er erhalte Arbeitslosengeld, aber gleichzeitig erklärt, das genüge ihm und seiner Ehefrau nicht zur Deckung des Existenzminimums, sodass beide ergänzend Sozialhilfe benötigten. Dazu habe er ein entsprechendes Gesuch vorgelegt. Im [vorliegend zu beurteilenden] Gesuch vom 2. Juni 2016 habe er zwar behauptet, er verfüge aktuell einzig über Arbeitslosengeld, aber keinen Beschluss der Gemeinde V.________ vorgelegt, mit dem sein Gesuch um Sozialhilfe abgewiesen worden wäre. Die Behauptung, er verfüge aktuell einzig über Arbeitslosengeld, sei demnach nicht glaubhaft gemacht.
5.5.3. Der Beschwerdeführer bestreitet die vorinstanzliche Feststellung nicht, dass er im Rahmen seines ersten Gesuchs um unentgeltliche Rechtspflege vorgebracht habe, dass er und seine Ehefrau Sozialhilfe benötigten und er der Vorinstanz ein entsprechendes Gesuch um Sozialhilfe vorlegt habe. Entsprechend ist darauf abzustellen.
Es ist sodann zwar richtig, dass sich die prozessuale Bedürftigkeit im Zeitpunkt der Einreichung des Gesuchs um unentgeltliche Rechtspflege beurteilt (BGE 141 III 369 E. 4.1 S. 371). Die Vorinstanz, die dem Beschwerdeführer vorwarf, dass er keinen Beschluss seiner Wohngemeinde über die Abweisung des Gesuchs um Sozialhilfe vorgelegt habe, ist aber, zumindest implizit, davon ausgegangen, dass die Frage der Sozialhilfe im Zeitpunkt der Einreichung des zweiten Gesuchs immer noch aktuell und daher zu berücksichtigen sei. Inwiefern dies offensichtlich unhaltbar wäre, legt der Beschwerdeführer nicht hinreichend dar, indem er lediglich behauptet, dass er die Frage der Sozialhilfe im zweiten Gesuch nicht vorgebracht habe und dies nicht mehr aktuell sei. Vielmehr ist es in dieser Situation nachvollziehbar, dass die Vorinstanz zum Schluss kam, dass der Beschwerdeführer in seinem zweiten Gesuch nicht glaubhaft gemacht habe, dass er nur Arbeitslosengeld beziehe und in der konkreten Situation von ihm verlangte, Unterlagen über den Stand der von ihm anbegehrten Sozialhilfe einzureichen. Entgegen der Ansicht des Beschwerdeführers hatte er auch nicht "seitenweise" Veränderungen zu kommentieren, sondern einzig einen Beleg über den Status der von
ihm beantragten Unterstützung durch die Sozialhilfebehörde einzureichen. Die Willkürrüge ist damit unbegründet.
5.6. Der Beschwerdeführer hält den Entscheid der Vorinstanz sodann für willkürlich, weil nicht berücksichtigt worden sei, dass er ausweislich der Betreibungsunterlagen Schulden von weit "über Fr. 200'000.--" habe. Diese Schulden müssten bei der Prüfung der Prozessarmut berücksichtigt werden. Einen Menschen, der kein Vermögen, sondern Schulden von weit über "Fr. 260'000.--" habe, als nicht prozessarm zu behandeln, sei "absolut willkürlich".
Dies beanstandete der Beschwerdeführer bereits in seiner Beschwerde vor Bundesgericht bezüglich dem ersten Gesuch um unentgeltlichen Rechtspflege. Das Bundesgericht hat schon damals diese Rüge verworfen (vgl. Urteil 4D 19/2016 vom 11. April 2016 E. 5.5). Es hat damit sein Bewenden.
5.7.
5.7.1. Schliesslich bringt der Beschwerdeführer vor, die Vorinstanz habe sein rechtliches Gehör und die Begründungspflicht verletzt, weil sie nicht berücksichtigte, dass er Schulden von weit "über Fr. 200'000.--" habe.
5.7.2. Das rechtliche Gehör nach Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
5.7.3. Es ist zutreffend, dass der Beschwerdeführer in der Beschwerde vor der Vorinstanz ausführte, dass er kein Vermögen habe, "sondern nur Schulden von über Fr. 200'000.--". Im angefochtenen Entscheid ist die Vorinstanz zwar nicht auf die Problematik der Schulden des Beschwerdeführers eingegangen. Schulden sind aber bei der Berechnung der Mittellosigkeit nur zu berücksichtigen, wenn der Beschwerdeführer regelmässige Abzahlungen belegten kann (Urteil 4D 19/2016 vom 11. April 2016 E. 4.1 und E. 5.5). Dass der Beschwerdeführer vor der Vorinstanz solche Abzahlungen seiner Schulden behauptete, geschweige denn belegte, legt der Beschwerdeführer nicht dar und ist auch nicht ersichtlich. Dementsprechend musste sich die Vorinstanz mit diesem nicht wesentlichen Punkt auch nicht auseinandersetzen. Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
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1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
5.8. Die Vorbringen des Beschwerdeführers gegen die Verweigerung der unentgeltlichen Rechtspflege für das erstinstanzliche Verfahren erweisen sich als unbegründet, soweit auf sie eingetreten werden kann.
6.
Als Grund für die Verweigerung der unentgeltlichen Rechtspflege für das kantonale Beschwerdeverfahren gab die Vorinstanz an, der Beschwerdeführer verweise bloss auf die Verhältnisse für das Gesuch im erstinstanzlichen Verfahren. Dem hält der Beschwerdeführer nichts entgegen, was über seine - verworfene (Erwägung 5) - Ansicht hinausginge, seine Beschwerde hätte gutheissen werden müssen. Es hat damit sein Bewenden.
7.
Nach dem Gesagten ist die Beschwerde abzuweisen, soweit auf sie eingetreten werden kann. Da die Beschwerde als von vornherein aussichtslos erscheint, ist das Gesuch um Gewährung der unentgeltlichen Rechtspflege und Bestellung eines unentgeltlichen Rechtsbeistands für das bundesgerichtliche Verfahren abzuweisen (Art. 64 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
|
1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
Dem Ausgang des Verfahrens entsprechend wird der Beschwerdeführer kostenpflichtig (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
|
1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
2.
Das Gesuch des Beschwerdeführers um Gewährung der unentgeltlichen Rechtspflege für das bundesgerichtliche Verfahren wird abgewiesen.
3.
Die Gerichtskosten von Fr. 1'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
4.
Dieses Urteil wird dem Beschwerdeführer und dem Obergericht des Kantons Aargau, Zivilgericht, 4. Kammer, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 28. November 2016
Im Namen der I. zivilrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Die Präsidentin: Kiss
Der Gerichtsschreiber: Brugger