Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

5A 147/2019

Sentenza del 25 marzo 2020

II Corte di diritto civile

Composizione
Giudici federali Herrmann, Presidente,
Marazzi, Bovey,
Cancelliera Antonini.

Partecipanti al procedimento
A.________,
patrocinata dall'avv. Giovanna Bonafede,
ricorrente,

contro

B.________,
patrocinato dall'avv. Luca Gandolfi,
opponente.

Oggetto
protezione dell'unione coniugale,

ricorso contro la sentenza emanata il 18 gennaio 2019 dalla I Camera civile del Tribunale d'appello del
Cantone Ticino (11.2018.30).

Fatti:

A.

A.a. B.________ e A.________ si sono sposati nel 2007; nel 2011 hanno adottato una bambina, C.________, nata quello stesso anno. I coniugi vivono separati dal 15 maggio 2016.

A.b. A.________ ha adito il Pretore del Distretto di Lugano in data 6 settembre 2016 con un'istanza di protezione dell'unione coniugale intesa ad ottenere - per quanto qui ancora controverso - l'affidamento esclusivo della figlia, contributi alimentari per sé e per la figlia oltre alla messa a carico del marito di tutte le spese relative alle attività extrascolastiche e delle spese straordinarie della figlia, infine il versamento di una provisio ad litem, in subordine la concessione del gratuito patrocinio. Dal canto suo, B.________ ha chiesto la custodia alternata della figlia e offerto contributi alimentari ridotti per moglie e figlia, opponendosi altresì alla provisio ad litem richiesta da A.________. In sede di conclusioni, le parti hanno rivisto le proprie richieste rispettivamente offerte pecuniarie; il marito ha postulato una presa a carico delle spese straordinarie della figlia in ragione di metà per ogni coniuge.

A.c. Statuendo in data 28 febbraio 2018, il Pretore ha affidato la figlia alla sola madre, statuito un diritto di visita minimo del padre (un fine settimana su due - dal venerdì pomeriggio al lunedì mattina - e dal martedì sera al mercoledì mattina ogni due settimane durante la scuola, oltre a parte delle vacanze) e fissato i contributi alimentari mensili in fr. 67.50 per A.________ e in fr. 2'397.-- per la figlia, assegni familiari non compresi; ha infine respinto la domanda di provisio ad litem di A.________.

B.
B.________ ha adito con appello del 12 marzo 2018 la I Camera civile del Tribunale di appello del Cantone Ticino, chiedendo la custodia della figlia ogni lunedì e martedì, notti comprese, oltre a un fine settimana su due, la soppressione del contributo alimentare mensile per A.________ e la riduzione di quello per la figlia C.________ a fr. 1'198.50, assegni familiari non compresi. Con il qui impugnato giudizio 18 gennaio 2019, il Tribunale di appello ha parzialmente accolto il gravame e riformato la sentenza di primo grado nel senso che ha instaurato la custodia alternata dei genitori affidando la figlia al padre il lunedì e il martedì (pernottamento compreso), nonché il sabato e la domenica (pernottamento compreso) ogni quindici giorni, ha fissato il domicilio legale della figlia presso la madre, e ha ridotto il contributo alimentare del padre alla figlia a fr. 1'370.-- mensili, lasciando intoccato quello per la moglie. La Corte cantonale ha posto le spese di prima e seconda sede a carico di A.________ nella misura di 9/10 e per il rimanente di B.________, al quale ha riconosciuto ripetibili ridotte di prima e seconda sede.

C.
Contro il giudizio cantonale insorge A.________ (qui di seguito: ricorrente). Con ricorso in materia civile datato 21 febbraio 2019, chiede l'annullamento della sentenza impugnata e la riforma della stessa nel senso che sia respinto l'appello di B.________ (qui di seguito: opponente) e che le spese di giustizia di seconda sede siano poste a carico di lui nella misura di 3/4 e le vengano riconosciute spese ripetibili ridotte di seconda sede. Chiede altresì di essere messa a beneficio dell'assistenza giudiziaria e al gratuito patrocinio, assicurato dalla sua patrocinatrice.

Con decreto presidenziale 14 marzo 2019 è stata respinta l'istanza di concessione dell'effetto sospensivo. Non sono state chieste determinazioni nel merito.

Diritto:

1.

1.1. Il tempestivo (art. 100 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
1    Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
2    Le délai de recours est de dix jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale;
c  les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93.
d  les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95.
3    Le délai de recours est de cinq jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change;
b  les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales.
4    Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national.
5    En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
6    ...96
7    Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps.
LTF) ricorso in materia civile, interposto da una parte parzialmente soccombente nella sede cantonale che ha un interesse degno di protezione alla modifica o all'annullamento della sentenza impugnata (art. 76 cpv. 1 lett. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 76 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière civile quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière civile quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et
b  est particulièrement touché par la décision attaquée et a un intérêt digne de protection à son annulation ou sa modification.
2    Ont également qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 72, al. 2, la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux et, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions.41
e b LTF), è diretto contro una decisione finale (art. 90
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure.
LTF; DTF 133 III 393 consid. 4) emanata su ricorso dall'autorità ticinese di ultima istanza (art. 75 cpv. 1 e
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 75 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
1    Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
2    Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours, sauf si:
a  une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
b  un tribunal spécialisé dans les litiges de droit commercial statue en instance cantonale unique;
c  une action ayant une valeur litigieuse d'au moins 100 000 francs est déposée directement devant le tribunal supérieur avec l'accord de toutes les parties.
2 LTF) in una causa civile (art. 72 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 72 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
1    Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
2    Sont également sujettes au recours en matière civile:
a  les décisions en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions prises en application de normes de droit public dans des matières connexes au droit civil, notamment les décisions:
b1  sur la reconnaissance et l'exécution de décisions ainsi que sur l'entraide en matière civile,
b2  sur la tenue des registres foncier, d'état civil et du commerce, ainsi que des registres en matière de protection des marques, des dessins et modèles, des brevets d'invention, des obtentions végétales et des topographies,
b3  sur le changement de nom,
b4  en matière de surveillance des fondations, à l'exclusion des institutions de prévoyance et de libre passage,
b5  en matière de surveillance des exécuteurs testamentaires et autres représentants successoraux,
b6  les décisions prises dans le domaine de la protection de l'enfant et de l'adulte,
b7  ...
LTF). Essendo controversi i contributi a moglie e figlia nonché l'attribuzione della custodia sulla figlia, il ricorso è ammissibile indipendentemente dal valore litigioso, che peraltro eccede i fr. 30'000.-- (art. 51 cpv. 4 e
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 51 Calcul - 1 La valeur litigieuse est déterminée:
1    La valeur litigieuse est déterminée:
a  en cas de recours contre une décision finale, par les conclusions restées litigieuses devant l'autorité précédente;
b  en cas de recours contre une décision partielle, par l'ensemble des conclusions qui étaient litigieuses devant l'autorité qui a rendu cette décision;
c  en cas de recours contre une décision préjudicielle ou incidente, par les conclusions restées litigieuses devant l'autorité compétente sur le fond;
d  en cas d'action, par les conclusions de la demande.
2    Si les conclusions ne tendent pas au paiement d'une somme d'argent déterminée, le Tribunal fédéral fixe la valeur litigieuse selon son appréciation.
3    Les intérêts, les fruits, les frais judiciaires et les dépens qui sont réclamés comme droits accessoires, les droits réservés et les frais de publication du jugement n'entrent pas en ligne de compte dans la détermination de la valeur litigieuse.
4    Les revenus et les prestations périodiques ont la valeur du capital qu'ils représentent. Si leur durée est indéterminée ou illimitée, le capital est formé par le montant annuel du revenu ou de la prestation, multiplié par vingt, ou, s'il s'agit de rentes viagères, par la valeur actuelle du capital correspondant à la rente.
74 cpv. 1 lett. b LTF; sentenze 5A 994/2018 del 29 ottobre 2019 consid. 1.2; 5A 312/2019 del 17 ottobre 2019 consid. 1.1; 5A 991/2015 del 29 settembre 2016 consid. 1 con rinvio, non pubblicato in DTF 142 III 612). Il gravame si rivela quindi in linea di principio ammissibile.

1.2. La sentenza impugnata è stata emanata in materia di misure cautelari ai sensi dell'art. 98
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 98 Motifs de recours limités - Dans le cas des recours formés contre des décisions portant sur des mesures provisionnelles, seule peut être invoquée la violation des droits constitutionnels.
LTF (DTF 133 III 393 consid. 5.1 e 5.2), motivo per cui il ricorrente può unicamente prevalersi della violazione di diritti costituzionali. Giusta l'art. 106 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
LTF il Tribunale federale esamina la violazione di questi diritti soltanto se tale censura è stata sollevata e motivata. Ciò significa che il ricorrente deve indicare in modo chiaro e dettagliato, con riferimento ai motivi della decisione impugnata, in che modo sarebbero stati violati i suoi diritti costituzionali (DTF 143 II 283 consid. 1.2.2; 142 III 364 consid. 2.4; 133 III 393 consid. 6).

Il ricorrente che lamenta una violazione del divieto dell'arbitrio non può limitarsi a criticare la decisione impugnata come in una procedura d'appello, dove l'autorità di ricorso gode di cognizione libera, opponendo semplicemente la propria opinione a quella dell'autorità cantonale (DTF 142 III 364 consid. 2.4; 134 II 349 consid. 3). Per giurisprudenza invalsa l'arbitrio è ravvisabile soltanto quando la decisione impugnata risulti manifestamente insostenibile, in contraddizione palese con la situazione effettiva, gravemente lesiva di una norma o di un chiaro e indiscusso principio giuridico o in contrasto intollerabile con il sentimento di giustizia e di equità. La decisione deve essere inoltre arbitraria anche nel suo risultato e non solo nella sua motivazione. L'arbitrio non si realizza già qualora la soluzione proposta con il ricorso possa apparire sostenibile o addirittura migliore rispetto a quella contestata (DTF 144 I 113 consid. 7.1; 144 I 170 consid. 7.3; 142 II 369 consid. 4.3).

1.3. Il Tribunale federale fonda la sua sentenza sui fatti accertati dall'autorità inferiore (art. 105 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
LTF). Nell'ambito dei ricorsi sottoposti alle limitazioni dell'art. 98
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 98 Motifs de recours limités - Dans le cas des recours formés contre des décisions portant sur des mesures provisionnelles, seule peut être invoquée la violation des droits constitutionnels.
LTF, il ricorrente può ottenere la rettifica o il complemento degli accertamenti di fatto unicamente se essi sono arbitrari e hanno un'influenza sull'esito della causa. Gli art. 97 e
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 98 Motifs de recours limités - Dans le cas des recours formés contre des décisions portant sur des mesures provisionnelles, seule peut être invoquée la violation des droits constitutionnels.
105 cpv. 2 LTF non si applicano direttamente, poiché non sono dei diritti costituzionali (DTF 133 III 393 consid. 7.1; 133 III 585 consid. 4.1).

L'accertamento dei fatti, rispettivamente l'apprezzamento delle prove, viola il divieto dell'arbitrio qualora il tribunale abbia manifestamente misconosciuto il senso e la portata di un mezzo di prova, abbia senza una ragione oggettiva trascurato di considerare un mezzo di prova rilevante e importante per l'esito della causa o qualora tragga dai fatti accertati delle conclusioni insostenibili. La mera divergenza con il punto di vista del ricorrente non attesta arbitrio (DTF 143 IV 500 consid. 1.1; 140 III 264 consid. 2.3 con rinvii).

2.
Controversi rimangono avanti al Tr ibunale federale la custodia sulla figlia C.________ (tema trattato qui di seguito), l'ammontare dei contributi alimentari che l'opponente deve versare alla figlia ( infra consid. 3) e alla ricorrente ( infra consid. 4), infine la ripartizione delle spese e ripetibili ( infra consid. 5).

2.1. Se i coniugi hanno figli minorenni, il giudice delle misure a protezione dell'unione coniugale prende le misure necessarie secondo le disposizioni sugli effetti della filiazione (art. 176 cpv. 3
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 176 - 1 À la requête d'un époux et si la suspension de la vie commune est fondée, le juge:216
1    À la requête d'un époux et si la suspension de la vie commune est fondée, le juge:216
1  fixe les contributions d'entretien à verser respectivement aux enfants et à l'époux;
2  prend les mesures en ce qui concerne le logement et le mobilier de ménage;
3  ordonne la séparation de biens si les circonstances le justifient.
2    La requête peut aussi être formée par un époux lorsque la vie commune se révèle impossible, notamment parce que son conjoint la refuse sans y être fondé.
3    Lorsqu'il y a des enfants mineurs, le juge ordonne les mesures nécessaires, d'après les dispositions sur les effets de la filiation.
CC), segnatamente in relazione alla custodia. Con l'entrata in vigore delle nuove disposizioni di legge sull'autorità parentale entrate in vigore il 1° luglio 2014, la nozione di "custodia parentale" (v. DTF 128 III 9, regesto) è stata sostituita con il "diritto di determinare il luogo di dimora del figlio" (art. 301a cpv. 1
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 301a - 1 L'autorité parentale inclut le droit de déterminer le lieu de résidence de l'enfant.
1    L'autorité parentale inclut le droit de déterminer le lieu de résidence de l'enfant.
2    Un parent exerçant conjointement l'autorité parentale ne peut modifier le lieu de résidence de l'enfant qu'avec l'accord de l'autre parent ou sur décision du juge ou de l'autorité de protection de l'enfant dans les cas suivants:
a  le nouveau lieu de résidence se trouve à l'étranger;
b  le déménagement a des conséquences importantes pour l'exercice de l'autorité parentale par l'autre parent et pour les relations personnelles.
3    Un parent exerçant seul l'autorité parentale qui souhaite modifier le lieu de résidence de l'enfant doit informer en temps utile l'autre parent.
4    Un parent qui souhaite modifier son propre lieu de résidence a le même devoir d'information.
5    Si besoin est, les parents s'entendent, dans le respect du bien de l'enfant, pour adapter le régime de l'autorité parentale, la garde, les relations personnelles et la contribution d'entretien. S'ils ne peuvent pas s'entendre, la décision appartient au juge ou à l'autorité de protection de l'enfant.
CC). Il concetto generico di "custodia" si esaurisce ormai nella sola "custodia di fatto", ovvero la gestione quotidiana del figlio e l'esercizio dei diritti e doveri legati alla sua cura e alla sua educazione (DTF 142 III 617 consid. 3.2.2 con rinvii dottrinali; 142 III 612 consid. 4.1 con rinvii dottrinali).
L'autorità parentale congiunta, ormai la regola (art. 296 cpv. 2
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 296 - 1 L'autorité parentale sert le bien de l'enfant.
1    L'autorité parentale sert le bien de l'enfant.
2    L'enfant est soumis, pendant sa minorité, à l'autorité parentale conjointe de ses père et mère.
3    Les parents mineurs ou sous curatelle de portée générale n'ont pas l'autorité parentale. Celle-ci revient aux parents lorsqu'ils deviennent majeurs. Lorsque la curatelle de portée générale est levée, l'autorité de protection de l'enfant statue sur l'attribution de l'autorité parentale selon le bien de l'enfant.
CC), non implica necessariamente una custodia alternata. Chiamato a statuire in proposito, tuttavia, il giudice deve esaminare se una custodia alternata è possibile e compatibile con il bene del minore (v. art. 298 cpv. 2 ter
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 298 - 1 Dans le cadre d'une procédure de divorce ou d'une procédure de protection de l'union conjugale, le juge confie à l'un des parents l'autorité parentale exclusive si le bien de l'enfant le commande.
1    Dans le cadre d'une procédure de divorce ou d'une procédure de protection de l'union conjugale, le juge confie à l'un des parents l'autorité parentale exclusive si le bien de l'enfant le commande.
2    Lorsqu'aucun accord entre les parents ne semble envisageable sur ce point, le juge peut aussi se limiter à statuer sur la garde de l'enfant ainsi que sur les relations personnelles ou la participation de chaque parent à sa prise en charge.
2bis    Lorsqu'il statue sur la garde de l'enfant, les relations personnelles ou la participation de chaque parent à la prise en charge de l'enfant, le juge tient compte du droit de l'enfant d'entretenir régulièrement des relations personnelles avec ses deux parents.357
2ter    Lorsque l'autorité parentale est exercée conjointement, le juge examine, selon le bien de l'enfant, la possibilité de la garde alternée, si le père, la mère ou l'enfant la demande.358
3    Il invite l'autorité de protection de l'enfant à nommer un tuteur si aucun des deux parents n'est apte à assumer l'exercice de l'autorité parentale.
CC; sentenza 5A 512/2017 del 22 dicembre 2017 consid. 5.1), principio fondamentale per l'attribuzione dei diritti parentali, al quale gli interessi dei genitori devono cedere il passo. La possibilità concreta di instaurare una custodia alternata e la sua compatibilità con il bene del figlio dipendono dalle circostanze del caso di specie, sicché i numerosi studi psicologici che si esprimono in modo assoluto in favore di o contro una tale variante della custodia, senza considerare i parametri rilevanti nella pratica, non possono essere determinanti. Al giudice incombe infatti verificare, alla luce delle situazioni di fatto attuale e previgente, se una custodia alternata appare effettivamente idonea a preservare il bene del figlio (DTF 142 III 617 consid. 3.2.3 con rinvii; 142 III 612 consid. 4.2 con rinvii).
Fra i criteri da esaminare sono da citare le capacità educative dei genitori, che devono essere date per entrambi, e l'esistenza, pure qui presso entrambi i genitori, di una buona capacità e volontà comunicativa, essenziale viste le misure d'organizzazione e lo scambio regolare di informazioni che un tale metodo di custodia richiede. La mera opposizione di uno dei genitori alla custodia alternata non permette invero di ritenere un'incapacità di cooperazione fra i genitori. Un conflitto marcato e durevole fra di loro, avente per tema questioni legate al figlio, lascia per contro presagire difficoltà future e avrà in linea di principio per conseguenza che il minore sarà ripetutamente esposto a situazioni conflittuali, ciò che a sua volta potrebbe apparire contrario al suo bene. La situazione geografica e la distanza fra i luoghi di residenza dei genitori, la possibilità dei genitori di occuparsi personalmente del figlio, l'età di quest'ultimo e la presenza di fratelli o di una cerchia sociale sono ulteriori fattori di cui si deve tener conto, così come della stabilità che deriva dal mantenimento della situazione previgente, nel senso che una custodia alternata potrà essere instaurata più facilmente se già prima della separazione
entrambi i genitori si occupavano in alternanza del figlio. Né va trascurato il desiderio del figlio, anche qualora non disponga (ancora) della capacità di discernimento necessaria per valutare la portata della questione. Incomberà al giudice, che accerta i fatti d'ufficio, determinare la necessità di fare appello a uno specialista, o di richiedere un rapporto di valutazione sociale o una perizia, per interpretare il desiderio del minore e coglierne la genuinità. Fatta riserva per le capacità educative dei due genitori, evidentemente imprescindibili per l'instaurazione di una custodia alternata, tutti gli altri criteri sono interdipendenti, e la loro rispettiva importanza varia secondo le circostanze del caso. I criteri della stabilità e della possibilità per un genitore di occuparsi personalmente di un figlio avranno così un ruolo preminente in caso di lattanti e i figli in bassa età, mentre che per un adolescente l'appartenenza a una cerchia sociale sarà particolarmente importante. La capacità di collaborazione dei genitori sarà di contro più importante quando il figlio frequenta la scuola o quando la distanza fra i luoghi di residenza dei genitori esige un'organizzazione più complessa (DTF 142 III 617 consid. 3.2.3 con rinvii;
142 III 612 consid. 4.3 con rinvii).
Se giunge alla conclusione che una custodia alternata non è nell'interesse del minore, il giudice attribuisce la custodia a uno dei genitori, prendendo in considerazione essenzialmente i medesimi criteri, ai quali va aggiunto l'esame della capacità di ognuno di loro di favorire i contatti del figlio con l'altro genitore (DTF 142 III 617 consid. 3.2.4; 142 III 612 consid. 4.4).
Nel presente contesto, il giudice dispone di un ampio potere di apprezzamento. Il Tribunale federale interviene unicamente se egli si è distanziato senza motivo dai principi stabiliti dalla dottrina e dalla giurisprudenza, se si è basato su fattori che non dovevano giocare alcun ruolo nel caso di specie, oppure se, al contrario, ha omesso di tenere conto di circostanze da prendere imperativamente in considerazione (DTF 142 III 617 consid. 3.2.5; 142 III 612 consid. 4.5).

2.2. Il Tribunale di appello ha ritenuto, come già il Pretore, che in favore della custodia alternata depone il fatto che i genitori si erano avvicendati nella cura della figlia sin dalla loro separazione nel 2016, la capacità educativa di entrambi, la loro buona volontà e la prossimità; le difficoltà di dialogo lamentate dalla qui ricorrente sono senza effetto sulla figlia, che non vi è coinvolta e, anzi, mantiene un rapporto costruttivo con entrambi i genitori. Controversa è la rilevanza dell'asserita impossibilità per il padre di accudire personalmente la bambina i lunedì e martedì dopo la scuola, fino al rientro verso le ore 19.00: mentre il Pretore vi aveva ravveduto un fattore di impedimento per la custodia alternata, il Tribunale di appello ha rammentato che far parzialmente capo ad aiuti esterni, segnatamente da parte dei nonni, non è censurabile, né controindicazioni sarebbero state formulate dalla psicologa che aveva sentito C.________. I Giudici cantonali hanno refutato le obiezioni della qui ricorrente: ella non avrebbe provato l'asserita impossibilità per il padre di occuparsi della bambina già il mattino né un'asserita ansia della figlia dovuta al passaggio da un genitore all'altro; una perizia sulle capacità
educative del padre non sarebbe indispensabile, mentre la custodia esercitata esclusivamente da lei prima della separazione sarebbe inconferente, posto che dopo la separazione anche il padre si è occupato attivamente di C.________. La cadenza dell'alternanza della custodia finora praticata avrebbe dato buona prova. Il Tribunale di appello ha pertanto affidato C.________ alla custodia alternata dei genitori, confermando i ritmi adottati dai genitori dopo la separazione, senza fissare precisi orari, considerati superflui in assenza di una richiesta in tal senso.

2.3. Le censure ricorsuali non riescono a scalfire la correttezza del giudizio impugnato.

2.3.1. Come leggere il rapporto della psicologa delegata all'ascolto della figlia è questione di apprezzamento delle prove, che il Tribunale federale riesamina nella prospettiva dell'arbitrio ( supra consid. 1.3). Ribadire la propria lettura, come fa la ricorrente, significa proporre una critica meramente appellatoria, dunque inammissibile.

2.3.2. Riguardo al criterio della stabilità, non è di beneficio per la tesi ricorsuale ribadire che fosse la madre ad accudire la figlia prima della separazione, quando il Tribunale di appello ha già spiegato, come visto, per quale ragione l'argomento sia inconferente, senza venir contraddetto dalla ricorrente. Mera ripetizione di argomenti già giudicati senza peso dal Tribunale di appello è poi l'ipotesi sulle ragioni che abbiano spinto l'opponente ad aderire al sistema di " affido condiviso ". Anche il rimprovero mosso al padre di non potersi occupare della figlia nemmeno al mattino viene semplicemente riproposto: la menzione di quattro date alle quali il padre non avrebbe accompagnato la figlia a scuola, accompagnata dall'apodittica affermazione che tali eventi si siano ripetuti, non fa apparire la divergente conclusione dei Giudici cantonali assolutamente insostenibile e, come tale, arbitraria.

2.3.3. La ridiscussione delle possibilità, per il padre, di prendersi cura personalmente della figlia, poi, ha carattere puramente appellatorio nella misura in cui si esaurisce nella ripetizione della propria opinione in merito al concetto di " tenera età " e nell'apprezzamento del giudizio pretorile. Non importa, peraltro, disquisire sul fatto che l'aiuto dei nonni a un genitore nel quadro della propria partecipazione alla cura del figlio rappresenti un " principio giurisprudenziale consolidato " o soltanto la soluzione di un caso di specie, dal momento che in questo come in quel caso, la ricorrente nemmeno tenta di dimostrare che l'intervento delle nonne sia in un qualsiasi modo nocivo per C.________.

2.3.4. Appellatoria è, da ultimo, la relativizzazione della durata reale della custodia alternata, che si esaurisce nella menzione di date diverse da quelle ritenute dal Tribunale di appello, senza alcun tentativo di dimostrare l'insostenibilità di queste ultime.

2.3.5. Nella ridotta misura in cui le critiche testé esposte non siano appellatorie, e come tali inammissibili, esse si rivelano in definitiva infondate.

3.

3.1. Il giudice delle misure a tutela dell'unione coniugale stabilisce i contributi di mantenimento destinati ai figli (art. 176 cpv. 1 n
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 176 - 1 À la requête d'un époux et si la suspension de la vie commune est fondée, le juge:216
1    À la requête d'un époux et si la suspension de la vie commune est fondée, le juge:216
1  fixe les contributions d'entretien à verser respectivement aux enfants et à l'époux;
2  prend les mesures en ce qui concerne le logement et le mobilier de ménage;
3  ordonne la séparation de biens si les circonstances le justifient.
2    La requête peut aussi être formée par un époux lorsque la vie commune se révèle impossible, notamment parce que son conjoint la refuse sans y être fondé.
3    Lorsqu'il y a des enfants mineurs, le juge ordonne les mesures nécessaires, d'après les dispositions sur les effets de la filiation.
. 1 CC) secondo le disposizioni sugli effetti della filiazione (art. 176 cpv. 3
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 176 - 1 À la requête d'un époux et si la suspension de la vie commune est fondée, le juge:216
1    À la requête d'un époux et si la suspension de la vie commune est fondée, le juge:216
1  fixe les contributions d'entretien à verser respectivement aux enfants et à l'époux;
2  prend les mesures en ce qui concerne le logement et le mobilier de ménage;
3  ordonne la séparation de biens si les circonstances le justifient.
2    La requête peut aussi être formée par un époux lorsque la vie commune se révèle impossible, notamment parce que son conjoint la refuse sans y être fondé.
3    Lorsqu'il y a des enfants mineurs, le juge ordonne les mesures nécessaires, d'après les dispositions sur les effets de la filiation.
). Il mantenimento del figlio consiste nella cura, nell'educazione e in prestazioni pecuniarie (art. 276 cpv. 1
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 276 - 1 L'entretien est assuré par les soins, l'éducation et des prestations pécuniaires.324
1    L'entretien est assuré par les soins, l'éducation et des prestations pécuniaires.324
2    Les père et mère contribuent ensemble, chacun selon ses facultés, à l'entretien convenable de l'enfant et assument en particulier les frais de sa prise en charge, de son éducation, de sa formation et des mesures prises pour le protéger.325
3    Les père et mère sont déliés de leur obligation d'entretien dans la mesure où l'on peut attendre de l'enfant qu'il subvienne à son entretien par le produit de son travail ou par ses autres ressources.
CC). Esso è dunque prestato in natura e sotto forma di contributo pecuniario; le due forme sono equivalenti. I genitori provvedono in comune, ciascuno nella misura delle sue forze, al debito mantenimento del figlio (art. 276 cpv. 2
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 276 - 1 L'entretien est assuré par les soins, l'éducation et des prestations pécuniaires.324
1    L'entretien est assuré par les soins, l'éducation et des prestations pécuniaires.324
2    Les père et mère contribuent ensemble, chacun selon ses facultés, à l'entretien convenable de l'enfant et assument en particulier les frais de sa prise en charge, de son éducation, de sa formation et des mesures prises pour le protéger.325
3    Les père et mère sont déliés de leur obligation d'entretien dans la mesure où l'on peut attendre de l'enfant qu'il subvienne à son entretien par le produit de son travail ou par ses autres ressources.
prima parte CC). Anche dopo la riformulazione dell'art. 276 cpv. 2
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 276 - 1 L'entretien est assuré par les soins, l'éducation et des prestations pécuniaires.324
1    L'entretien est assuré par les soins, l'éducation et des prestations pécuniaires.324
2    Les père et mère contribuent ensemble, chacun selon ses facultés, à l'entretien convenable de l'enfant et assument en particulier les frais de sa prise en charge, de son éducation, de sa formation et des mesures prises pour le protéger.325
3    Les père et mère sont déliés de leur obligation d'entretien dans la mesure où l'on peut attendre de l'enfant qu'il subvienne à son entretien par le produit de son travail ou par ses autres ressources.
CC, entrata in vigore il 1° gennaio 2017, vale il principio che il genitore che non contribuisce in natura alla cura e all'educazione del figlio (o vi contribuisce in misura irrilevante) sopporta le prestazioni pecuniarie necessarie, mentre l'altro genitore vi contribuisce in natura. Per contro, se i genitori si suddividono la cura e l'educazione del figlio, debbono in linea di principio versare entrambi prestazioni pecuniarie, in proporzione inversa a quella nella quale provvedono alla cura del figlio in natura (sentenza 5A 727/2018 del 22 agosto 2019 consid. 4.3.2.1 con rinvii, in FamPra.ch 2019 pag. 1215).
Il contributo di mantenimento deve essere commisurato ai bisogni del figlio, alla situazione sociale e alle possibilità dei genitori (art. 285 cpv. 1
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 285 - 1 La contribution d'entretien doit correspondre aux besoins de l'enfant ainsi qu'à la situation et aux ressources de ses père et mère; il est tenu compte de la fortune et des revenus de l'enfant.
1    La contribution d'entretien doit correspondre aux besoins de l'enfant ainsi qu'à la situation et aux ressources de ses père et mère; il est tenu compte de la fortune et des revenus de l'enfant.
2    La contribution d'entretien sert aussi à garantir la prise en charge de l'enfant par les parents et les tiers.
3    Elle doit être versée d'avance. Le juge fixe les échéances de paiement.
prima parte CC). Esso serve anche a garantire la cura del figlio da parte dei genitori o di terzi (art. 285 cpv. 2
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 285 - 1 La contribution d'entretien doit correspondre aux besoins de l'enfant ainsi qu'à la situation et aux ressources de ses père et mère; il est tenu compte de la fortune et des revenus de l'enfant.
1    La contribution d'entretien doit correspondre aux besoins de l'enfant ainsi qu'à la situation et aux ressources de ses père et mère; il est tenu compte de la fortune et des revenus de l'enfant.
2    La contribution d'entretien sert aussi à garantir la prise en charge de l'enfant par les parents et les tiers.
3    Elle doit être versée d'avance. Le juge fixe les échéances de paiement.
CC). Il contributo di mantenimento del figlio si suddivide in contributo alle spese dirette e in contributo alle spese derivanti dalla sua cura. Il contributo alle spese dirette comprende per l'essenziale un montante di base (alimentazione, vestiti e biancheria, cura personale e della salute ecc.), le spese di alloggio (partecipazione al canone di locazione; in caso di custodia alternata, con riferimento alle spese abitative di entrambi i genitori), i premi di cassa malati, le eventuali spese dirette legate alla cura del figlio da parte di terzi, e altre spese direttamente connesse con il figlio (sentenze 5A 743/2017 del 22 maggio 2019 consid. 5.2.3, in FamPra.ch 2019 pag. 1000; 5A 583/2018 del 18 gennaio 2019 consid. 5.1); idealmente, il giudice dovrebbe mettere a carico di un solo genitore le spese usualmente indivise (come i premi di cassa malati) e attribuirgli le prestazioni usualmente indivise (come gli assegni familiari; sentenza 5A 743/2017 cit. consid. 5.4.3).
Il contributo per la cura del figlio corrisponde all'importo che manca al genitore per coprire il proprio fabbisogno, se tale ammanco è la conseguenza del fatto che in ragione della cura del figlio, egli non è in grado di mettere a profitto la propria capacità lavorativa (DTF 144 III 377 consid. 7.1.3; sentenza 5A 743/2017 cit. loc. cit.).

3.2. I Giudici cantonali hanno riassunto in primo luogo i calcoli effettuati dal Pretore, il quale " in applicazione dell'usuale metodo fondato sul riparto paritario dell'eccedenza nel bilancio familiare " è giunto all'importo di fr. 2'397.-- quale fabbisogno complessivo di C.________. Dedotti i fabbisogni dei due genitori e della figlia dal totale dei redditi e suddivisa l'eccedenza di fr. 135.-- mensili a metà fra i coniugi, il Pretore ha fissato il contributo alimentare dovuto dal padre alla figlia in fr. 2'397.-- e quello dovuto dal marito alla moglie in fr. 67.50. Posta l'adozione della custodia alternata, il Tribunale di appello ha accolto le censure ricorsuali nella misura in cui ha conferito anche al qui opponente il supplemento di fr. 150.-- mensili al minimo esistenziale riconosciuto dal diritto esecutivo - supplemento che il Pretore aveva attribuito alla sola madre. Inoltre, rimasti incontestati i fattori di calcolo, esso ha posto il contributo alimentare per C.________ a carico del padre in ragione del 57 % (pari a fr. 1'370.-- arrotondati mensili) e della madre del 43 % - ossia nella proporzione inversa della presa a carico diretta della figlia.

3.3. Le censure ricorsuali non sono tali da sovvertire il giudizio impugnato.

3.3.1. Già non è sufficiente, per invocare una violazione del divieto d'arbitrio (art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
Cost.), affermare apoditticamente e senza ulteriori argomenti - come invece fa la ricorrente - l'arbitrarietà dell'applicazione dell'art. 285
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 285 - 1 La contribution d'entretien doit correspondre aux besoins de l'enfant ainsi qu'à la situation et aux ressources de ses père et mère; il est tenu compte de la fortune et des revenus de l'enfant.
1    La contribution d'entretien doit correspondre aux besoins de l'enfant ainsi qu'à la situation et aux ressources de ses père et mère; il est tenu compte de la fortune et des revenus de l'enfant.
2    La contribution d'entretien sert aussi à garantir la prise en charge de l'enfant par les parents et les tiers.
3    Elle doit être versée d'avance. Le juge fixe les échéances de paiement.
CC da parte dei Giudici cantonali.

3.3.2. L'ammissibilità della censura è inoltre dubbia anche in ragione del fatto che la ricorrente non afferma, né tanto meno dimostra, di aver sollevato gli argomenti qui proposti già in istanza di appello, sicché ella con tali argomenti non ha esaurito le istanze di ricorso (art. 75 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 75 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
1    Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
2    Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours, sauf si:
a  une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
b  un tribunal spécialisé dans les litiges de droit commercial statue en instance cantonale unique;
c  une action ayant une valeur litigieuse d'au moins 100 000 francs est déposée directement devant le tribunal supérieur avec l'accord de toutes les parties.
LTF; DTF 143 III 290 consid. 1.1; sentenza 5A 848-849/2017 del 15 maggio 2018 consid. 6.2).

3.3.3. Ma anche a prescindere da queste lacune - in sé motivo di inammissibilità dell'intera censura - gli argomenti sollevati dalla ricorrente sono infondati nel migliore dei casi. La critica ai Giudici di appello di non aver indicato quale dei due genitori dovrà provvedere ai costi fissi e diretti della figlia è pretestuosa, visto che la ricorrente medesima è perfettamente in grado di esporli nella lista che presenta; peraltro, se è vero che una messa a carico di un solo genitore delle spese usualmente indivise può apparire auspicabile ( supra consid. 3.1), detta soluzione non è imperativa quando la divergente soluzione adottata dal giudice non crea confusione né incertezza - ciò che la ricorrente non pretende sia il caso nella circostanza. Infine, la ripartizione degli alimenti fra i genitori nella proporzione inversa a quella in cui essi esercitano la custodia sulla figlia è, come visto, conforme alla giurisprudenza.

3.3.4. Queste censure appaiono, in definitiva, infondate nella misura della loro ricevibilità.

4.

4.1. In virtù dell'art. 176 cpv. 1 n
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 176 - 1 À la requête d'un époux et si la suspension de la vie commune est fondée, le juge:216
1    À la requête d'un époux et si la suspension de la vie commune est fondée, le juge:216
1  fixe les contributions d'entretien à verser respectivement aux enfants et à l'époux;
2  prend les mesures en ce qui concerne le logement et le mobilier de ménage;
3  ordonne la séparation de biens si les circonstances le justifient.
2    La requête peut aussi être formée par un époux lorsque la vie commune se révèle impossible, notamment parce que son conjoint la refuse sans y être fondé.
3    Lorsqu'il y a des enfants mineurs, le juge ordonne les mesures nécessaires, d'après les dispositions sur les effets de la filiation.
. 1 CC, il giudice delle misure a protezione dell'unione coniugale stabilisce i contributi di mantenimento destinati al coniuge, fissandoli in applicazione dell'art. 163 cpv. 1
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 163 - 1 Les époux contribuent, chacun selon ses facultés, à l'entretien convenable de la famille.214
1    Les époux contribuent, chacun selon ses facultés, à l'entretien convenable de la famille.214
2    Ils conviennent de la façon dont chacun apporte sa contribution, notamment par des prestations en argent, son travail au foyer, les soins qu'il voue aux enfants ou l'aide qu'il prête à son conjoint dans sa profession ou son entreprise.
3    Ce faisant, ils tiennent compte des besoins de l'union conjugale et de leur situation personnelle.
CC. Secondo questa norma, i coniugi provvedono in comune, ciascuno nella misura delle sue forze, al debito mantenimento della famiglia.

4.2. Il Tribunale di appello, ritenuto che a seguito dell'attribuzione della custodia alternata ai genitori, al qui opponente rimaneva un'eccedenza sufficiente per versare un contributo alla moglie che avrebbe potuto ammontare fino a fr. 447.-- mensili, ha tuttavia rammentato che la qui ricorrente nelle sue osservazioni all'appello non aveva formulato conclusioni cifrate in caso di custodia alternata della figlia. Citando la DTF 137 III 617 consid. 4.3, ne ha concluso che l'opponente non poteva essere condannato al versamento di una contribuzione che eccedesse quanto riconosciuto alla ricorrente in prima istanza.

4.3. Le censure ricorsuali sono votate all'insuccesso.
In primo luogo, anche in questo contesto la censura di violazione del divieto d'arbitrio (art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
Cost.) è semplicemente affermata in termini generici, ma non è accompagnata da una motivazione che soddisfi le esigenze note ( supra consid. 1.2).
Laddove la ricorrente lamenta una "violazione del principio dell'obbligo di mantenimento fra coniugi" ai sensi dell'art. 163
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 163 - 1 Les époux contribuent, chacun selon ses facultés, à l'entretien convenable de la famille.214
1    Les époux contribuent, chacun selon ses facultés, à l'entretien convenable de la famille.214
2    Ils conviennent de la façon dont chacun apporte sa contribution, notamment par des prestations en argent, son travail au foyer, les soins qu'il voue aux enfants ou l'aide qu'il prête à son conjoint dans sa profession ou son entreprise.
3    Ce faisant, ils tiennent compte des besoins de l'union conjugale et de leur situation personnelle.
CC, è evidente la mancanza di un rinvio alla violazione di un diritto costituzionale.
Le censure si rivelano, in conclusione, inammissibili.

5.

5.1. Le spese processuali sono fissate e ripartite d'ufficio (art. 105 cpv. 1
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 105 Fixation et répartition des frais - 1 Les frais judiciaires sont fixés et répartis d'office.
1    Les frais judiciaires sont fixés et répartis d'office.
2    Le tribunal fixe les dépens selon le tarif (art. 96). Les parties peuvent produire une note de frais.
CPC). Conclusioni delle parti sull'ammontare delle spese processuali sono da considerarsi semplici proposte (Rüegg/Rüegg, in Basler Kommentar, Schweizeriche Zivilprozessordnung, 3aed. 2017, n. 1 ad art. 105
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 105 Fixation et répartition des frais - 1 Les frais judiciaires sont fixés et répartis d'office.
1    Les frais judiciaires sont fixés et répartis d'office.
2    Le tribunal fixe les dépens selon le tarif (art. 96). Les parties peuvent produire une note de frais.
CPC).

5.2. Il Tribunale di appello, pur consapevole delle conclusioni del qui opponente, ha ripartito le spese processuali di prima e di seconda sede conformemente alla reciproca soccombenza (art. 106 cpv. 2
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 106 Règles générales de répartition - 1 Les frais sont mis à la charge de la partie succombante. La partie succombante est le demandeur lorsque le tribunal n'entre pas en matière et en cas de désistement d'action; elle est le défendeur en cas d'acquiescement.
1    Les frais sont mis à la charge de la partie succombante. La partie succombante est le demandeur lorsque le tribunal n'entre pas en matière et en cas de désistement d'action; elle est le défendeur en cas d'acquiescement.
2    Lorsqu'aucune des parties n'obtient entièrement gain de cause, les frais sont répartis selon le sort de la cause.
3    Lorsque plusieurs personnes participent au procès en tant que parties principales ou accessoires, le tribunal détermine la part de chacune aux frais du procès. Il peut les tenir pour solidairement responsables.
CPC) nella misura di 1/10 a carico del medesimo, e il rimanente a carico della qui ricorrente con l'obbligo di versare ripetibili ridotte alla controparte.

5.3. La ricorrente ritiene che in tal modo, il Tribunale di appello sia andato oltre le conclusioni dell'opponente, violando in tal modo l'art. 58 cpv. 1
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 58 Principe de disposition et maxime d'office - 1 Le tribunal ne peut accorder à une partie ni plus ni autre chose que ce qui est demandé, ni moins que ce qui est reconnu par la partie adverse.
1    Le tribunal ne peut accorder à une partie ni plus ni autre chose que ce qui est demandé, ni moins que ce qui est reconnu par la partie adverse.
2    Les dispositions prévoyant que le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties sont réservées.
CPC. Posto che - ancora una volta - non è criticata alcuna violazione di un qualsiasi diritto di rango costituzionale, la censura si appalesa di primo acchito inammissibile.

6.
In conclusione, nella ridotta misura della sua ricevibilità il ricorso deve essere respinto. Come si evince dai considerandi che precedono, il gravame non aveva sin dall'inizio alcuna possibilità di successo; viene così a mancare uno dei presupposti per la concessione del postulato gratuito patrocinio (art. 64 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens.
1    Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens.
2    Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires.
3    La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies.
4    Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire.
LTF). Le spese giudiziarie - fissate tenendo conto della situazione economica delle parti - seguono allora la soccombenza (art. 66 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
LTF). La ricorrente è peraltro condannata a rifondere all'opponente ripetibili per le spese da lui sopportate in relazione all'istanza di concessione dell'effetto sospensivo (art. 68 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
LTF).

Per questi motivi, il Tribunale federale pronuncia:

1.
Nella misura in cui è ammissibile, il ricorso è respinto.

2.
La domanda di assistenza giudiziaria della ricorrente è respinta.

3.
Le spese giudiziarie di fr. 1'000.-- sono poste a carico della ricorrente.

4.
La ricorrente verserà all'opponente la somma di fr. 200.-- a titolo di ripetibili per la procedura innanzi al Tribunale federale.

5.
Comunicazione ai patrocinatori delle parti e alla I Camera civile del Tribunale d'appello del Cantone Ticino.

Losanna, 25 marzo 2020
In nome della II Corte di diritto civile
del Tribunale federale svizzero

Il Presidente: Herrmann

La Cancelliera: Antonini
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 5A_147/2019
Date : 25 mars 2020
Publié : 28 avril 2020
Source : Tribunal fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Droit de la famille
Objet : protezione dell'unione coniugale


Répertoire des lois
CC: 163 
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 163 - 1 Les époux contribuent, chacun selon ses facultés, à l'entretien convenable de la famille.214
1    Les époux contribuent, chacun selon ses facultés, à l'entretien convenable de la famille.214
2    Ils conviennent de la façon dont chacun apporte sa contribution, notamment par des prestations en argent, son travail au foyer, les soins qu'il voue aux enfants ou l'aide qu'il prête à son conjoint dans sa profession ou son entreprise.
3    Ce faisant, ils tiennent compte des besoins de l'union conjugale et de leur situation personnelle.
176 
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 176 - 1 À la requête d'un époux et si la suspension de la vie commune est fondée, le juge:216
1    À la requête d'un époux et si la suspension de la vie commune est fondée, le juge:216
1  fixe les contributions d'entretien à verser respectivement aux enfants et à l'époux;
2  prend les mesures en ce qui concerne le logement et le mobilier de ménage;
3  ordonne la séparation de biens si les circonstances le justifient.
2    La requête peut aussi être formée par un époux lorsque la vie commune se révèle impossible, notamment parce que son conjoint la refuse sans y être fondé.
3    Lorsqu'il y a des enfants mineurs, le juge ordonne les mesures nécessaires, d'après les dispositions sur les effets de la filiation.
276 
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 276 - 1 L'entretien est assuré par les soins, l'éducation et des prestations pécuniaires.324
1    L'entretien est assuré par les soins, l'éducation et des prestations pécuniaires.324
2    Les père et mère contribuent ensemble, chacun selon ses facultés, à l'entretien convenable de l'enfant et assument en particulier les frais de sa prise en charge, de son éducation, de sa formation et des mesures prises pour le protéger.325
3    Les père et mère sont déliés de leur obligation d'entretien dans la mesure où l'on peut attendre de l'enfant qu'il subvienne à son entretien par le produit de son travail ou par ses autres ressources.
285 
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 285 - 1 La contribution d'entretien doit correspondre aux besoins de l'enfant ainsi qu'à la situation et aux ressources de ses père et mère; il est tenu compte de la fortune et des revenus de l'enfant.
1    La contribution d'entretien doit correspondre aux besoins de l'enfant ainsi qu'à la situation et aux ressources de ses père et mère; il est tenu compte de la fortune et des revenus de l'enfant.
2    La contribution d'entretien sert aussi à garantir la prise en charge de l'enfant par les parents et les tiers.
3    Elle doit être versée d'avance. Le juge fixe les échéances de paiement.
296 
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 296 - 1 L'autorité parentale sert le bien de l'enfant.
1    L'autorité parentale sert le bien de l'enfant.
2    L'enfant est soumis, pendant sa minorité, à l'autorité parentale conjointe de ses père et mère.
3    Les parents mineurs ou sous curatelle de portée générale n'ont pas l'autorité parentale. Celle-ci revient aux parents lorsqu'ils deviennent majeurs. Lorsque la curatelle de portée générale est levée, l'autorité de protection de l'enfant statue sur l'attribution de l'autorité parentale selon le bien de l'enfant.
298 
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 298 - 1 Dans le cadre d'une procédure de divorce ou d'une procédure de protection de l'union conjugale, le juge confie à l'un des parents l'autorité parentale exclusive si le bien de l'enfant le commande.
1    Dans le cadre d'une procédure de divorce ou d'une procédure de protection de l'union conjugale, le juge confie à l'un des parents l'autorité parentale exclusive si le bien de l'enfant le commande.
2    Lorsqu'aucun accord entre les parents ne semble envisageable sur ce point, le juge peut aussi se limiter à statuer sur la garde de l'enfant ainsi que sur les relations personnelles ou la participation de chaque parent à sa prise en charge.
2bis    Lorsqu'il statue sur la garde de l'enfant, les relations personnelles ou la participation de chaque parent à la prise en charge de l'enfant, le juge tient compte du droit de l'enfant d'entretenir régulièrement des relations personnelles avec ses deux parents.357
2ter    Lorsque l'autorité parentale est exercée conjointement, le juge examine, selon le bien de l'enfant, la possibilité de la garde alternée, si le père, la mère ou l'enfant la demande.358
3    Il invite l'autorité de protection de l'enfant à nommer un tuteur si aucun des deux parents n'est apte à assumer l'exercice de l'autorité parentale.
301a
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 301a - 1 L'autorité parentale inclut le droit de déterminer le lieu de résidence de l'enfant.
1    L'autorité parentale inclut le droit de déterminer le lieu de résidence de l'enfant.
2    Un parent exerçant conjointement l'autorité parentale ne peut modifier le lieu de résidence de l'enfant qu'avec l'accord de l'autre parent ou sur décision du juge ou de l'autorité de protection de l'enfant dans les cas suivants:
a  le nouveau lieu de résidence se trouve à l'étranger;
b  le déménagement a des conséquences importantes pour l'exercice de l'autorité parentale par l'autre parent et pour les relations personnelles.
3    Un parent exerçant seul l'autorité parentale qui souhaite modifier le lieu de résidence de l'enfant doit informer en temps utile l'autre parent.
4    Un parent qui souhaite modifier son propre lieu de résidence a le même devoir d'information.
5    Si besoin est, les parents s'entendent, dans le respect du bien de l'enfant, pour adapter le régime de l'autorité parentale, la garde, les relations personnelles et la contribution d'entretien. S'ils ne peuvent pas s'entendre, la décision appartient au juge ou à l'autorité de protection de l'enfant.
CPC: 58 
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 58 Principe de disposition et maxime d'office - 1 Le tribunal ne peut accorder à une partie ni plus ni autre chose que ce qui est demandé, ni moins que ce qui est reconnu par la partie adverse.
1    Le tribunal ne peut accorder à une partie ni plus ni autre chose que ce qui est demandé, ni moins que ce qui est reconnu par la partie adverse.
2    Les dispositions prévoyant que le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties sont réservées.
105 
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 105 Fixation et répartition des frais - 1 Les frais judiciaires sont fixés et répartis d'office.
1    Les frais judiciaires sont fixés et répartis d'office.
2    Le tribunal fixe les dépens selon le tarif (art. 96). Les parties peuvent produire une note de frais.
106
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 106 Règles générales de répartition - 1 Les frais sont mis à la charge de la partie succombante. La partie succombante est le demandeur lorsque le tribunal n'entre pas en matière et en cas de désistement d'action; elle est le défendeur en cas d'acquiescement.
1    Les frais sont mis à la charge de la partie succombante. La partie succombante est le demandeur lorsque le tribunal n'entre pas en matière et en cas de désistement d'action; elle est le défendeur en cas d'acquiescement.
2    Lorsqu'aucune des parties n'obtient entièrement gain de cause, les frais sont répartis selon le sort de la cause.
3    Lorsque plusieurs personnes participent au procès en tant que parties principales ou accessoires, le tribunal détermine la part de chacune aux frais du procès. Il peut les tenir pour solidairement responsables.
Cst: 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
LTF: 51 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 51 Calcul - 1 La valeur litigieuse est déterminée:
1    La valeur litigieuse est déterminée:
a  en cas de recours contre une décision finale, par les conclusions restées litigieuses devant l'autorité précédente;
b  en cas de recours contre une décision partielle, par l'ensemble des conclusions qui étaient litigieuses devant l'autorité qui a rendu cette décision;
c  en cas de recours contre une décision préjudicielle ou incidente, par les conclusions restées litigieuses devant l'autorité compétente sur le fond;
d  en cas d'action, par les conclusions de la demande.
2    Si les conclusions ne tendent pas au paiement d'une somme d'argent déterminée, le Tribunal fédéral fixe la valeur litigieuse selon son appréciation.
3    Les intérêts, les fruits, les frais judiciaires et les dépens qui sont réclamés comme droits accessoires, les droits réservés et les frais de publication du jugement n'entrent pas en ligne de compte dans la détermination de la valeur litigieuse.
4    Les revenus et les prestations périodiques ont la valeur du capital qu'ils représentent. Si leur durée est indéterminée ou illimitée, le capital est formé par le montant annuel du revenu ou de la prestation, multiplié par vingt, ou, s'il s'agit de rentes viagères, par la valeur actuelle du capital correspondant à la rente.
64 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens.
1    Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens.
2    Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires.
3    La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies.
4    Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire.
66 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
68 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
72 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 72 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
1    Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
2    Sont également sujettes au recours en matière civile:
a  les décisions en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions prises en application de normes de droit public dans des matières connexes au droit civil, notamment les décisions:
b1  sur la reconnaissance et l'exécution de décisions ainsi que sur l'entraide en matière civile,
b2  sur la tenue des registres foncier, d'état civil et du commerce, ainsi que des registres en matière de protection des marques, des dessins et modèles, des brevets d'invention, des obtentions végétales et des topographies,
b3  sur le changement de nom,
b4  en matière de surveillance des fondations, à l'exclusion des institutions de prévoyance et de libre passage,
b5  en matière de surveillance des exécuteurs testamentaires et autres représentants successoraux,
b6  les décisions prises dans le domaine de la protection de l'enfant et de l'adulte,
b7  ...
75 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 75 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
1    Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
2    Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours, sauf si:
a  une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
b  un tribunal spécialisé dans les litiges de droit commercial statue en instance cantonale unique;
c  une action ayant une valeur litigieuse d'au moins 100 000 francs est déposée directement devant le tribunal supérieur avec l'accord de toutes les parties.
76 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 76 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière civile quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière civile quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et
b  est particulièrement touché par la décision attaquée et a un intérêt digne de protection à son annulation ou sa modification.
2    Ont également qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 72, al. 2, la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux et, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions.41
90 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure.
97e  98 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 98 Motifs de recours limités - Dans le cas des recours formés contre des décisions portant sur des mesures provisionnelles, seule peut être invoquée la violation des droits constitutionnels.
100 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
1    Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
2    Le délai de recours est de dix jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale;
c  les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93.
d  les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95.
3    Le délai de recours est de cinq jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change;
b  les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales.
4    Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national.
5    En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
6    ...96
7    Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps.
105 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
106
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
Répertoire ATF
128-III-9 • 133-III-393 • 133-III-585 • 134-II-349 • 137-III-617 • 140-III-264 • 142-II-369 • 142-III-364 • 142-III-612 • 142-III-617 • 143-II-283 • 143-III-290 • 143-IV-500 • 144-I-113 • 144-I-170 • 144-III-377
Weitere Urteile ab 2000
5A_147/2019 • 5A_312/2019 • 5A_512/2017 • 5A_583/2018 • 5A_727/2018 • 5A_743/2017 • 5A_991/2015 • 5A_994/2018
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
recourant • garde alternée • tribunal fédéral • questio • dépens • protection de l'union conjugale • droit constitutionnel • décision • obligation d'entretien • calcul • enfant • cio • examinateur • entrée en vigueur • frais judiciaires • conjoint • interdiction de l'arbitraire • autorité parentale • motivation de la décision • répartition des tâches
... Les montrer tous