Tribunal administratif fédéral
Tribunale amministrativo federale
Tribunal administrativ federal
Abteilung III
C-7291/2014
Urteil vom 22. April 2016
Richter Antonio Imoberdorf (Vorsitz),
Richter Daniele Cattaneo,
Besetzung
Richter Yannick Antoniazza-Hafner,
Gerichtsschreiberin Mirjam Angehrn.
A._______,
vertreten durch Géraldine Walker, Rechtsanwältin,
Parteien
Kernstrasse 10, Postfach 1149, 8026 Zürich,
Beschwerdeführer,
gegen
Staatssekretariat für Migration SEM, Quellenweg 6, 3003 Bern,
Vorinstanz.
Gegenstand Nichtigerklärung der erleichterten Einbürgerung.
Sachverhalt:
A.
A._______, tunesischer Staatsangehöriger, geboren 1983, lernte im Jahr 2003 in Tunesien seine zukünftige schweizerische Ehefrau kennen. Anfang 2004 reiste er zur Vorbereitung der Eheschliessung in die Schweiz ein. Am 30. Januar 2004 heiratete er B.________, geboren 1959, und er erhielt daraufhin im Kanton Zürich eine Aufenthaltsbewilligung.
B.
Gestützt auf seine Ehe ersuchte der Beschwerdeführer am 21. Dezember 2009 um erleichterte Einbürgerung gemäss Art. 27

SR 141.0 Loi du 20 juin 2014 sur la nationalité suisse (LN) - Loi sur la nationalité LN Art. 27 Réintégration ensuite de péremption, de libération ou de perte de la nationalité suisse - 1 Quiconque a perdu la nationalité suisse peut former une demande de réintégration dans un délai de dix ans. |
|
1 | Quiconque a perdu la nationalité suisse peut former une demande de réintégration dans un délai de dix ans. |
2 | Quiconque séjourne en Suisse depuis trois ans peut demander sa réintégration après l'échéance du délai fixé à l'al. 1. |
C.
Zwischenzeitlich wurde er am 20. Februar 2010 Vater eines ausserehelichen Kindes (C._______). Am 4. Oktober 2010 anerkannte er seine Tochter (SEM-pag. 6).
D.
Am 31. Mai 2012 trennten sich die Ehegatten, indem der Beschwerdeführer aus der gemeinsamen Wohnung auszog und seitdem unbekannten Aufenthalts war. Infolgedessen wurde er von der Gemeinde D._______ per 31. Mai 2013 definitiv abgemeldet (SEM-pag. 2, 5 und 19).
E.
Im Juni 2013 erhielt die Vorinstanz Kenntnis von der Trennung der Ehegatten (SEM-pag. 2). In der Folge eröffnete sie gegen A._______ ein Verfahren betreffend Nichtigerklärung der erleichterten Einbürgerung gemäss Art. 41

SR 141.0 Loi du 20 juin 2014 sur la nationalité suisse (LN) - Loi sur la nationalité LN Art. 41 Droits de cité multiples - 1 Le citoyen suisse qui possède le droit de cité de plusieurs cantons peut présenter la demande dans le canton d'origine de son choix. |
|
1 | Le citoyen suisse qui possède le droit de cité de plusieurs cantons peut présenter la demande dans le canton d'origine de son choix. |
2 | Lorsqu'un canton d'origine donne une suite favorable à la demande, la notification de la décision entraîne la perte de la nationalité suisse et de tous les droits de cité cantonaux et communaux. |
3 | Le canton qui a statué sur la libération en informe d'office les autres cantons d'origine. |
F.
Aufgrund des unbekannten Aufenthalts des Beschwerdeführers lud die Vorinstanz ihn mittels Publikation im Bundesblatt (Notifikation vom 8. April 2014) zu einer abschliessenden Stellungnahme ein (SEM-Page. 15).
G.
Am 16. April 2014 machte die Ehefrau beim Bezirksgericht E._______ eine Klage auf Scheidung gegen den Beschwerdeführer anhängig (SEM-pag. 24).
H.
Am 22. September 2014 teilte die Rechtsvertreterin des Beschwerdeführers der Vorinstanz die Wohnadresse ihres Mandanten mit. Gleichentags wurde bei ihm nachträglich eine abschliessende Stellungnahme eingeholt (SEM-pag. 32), welche er in der Folge einreichte (SEM-pag. 31).
I.
Der Kanton Zürich als Heimatkanton des Beschwerdeführers erteilte am 20. Oktober 2014 die Zustimmung zur Nichtigerklärung der erleichterten Einbürgerung (SEM-pag. 34).
J.
Mit Verfügung vom 10. November 2014 erklärte die Vorinstanz die erleichterte Einbürgerung des Beschwerdeführers für nichtig (SEM-pag. 36).
K.
In seiner Rechtsmitteleingabe vom 15. Dezember 2014 liess der Beschwerdeführer durch seine Rechtsvertreterin die Aufhebung der Verfügung beantragen. Eventualiter sei er persönlich anzuhören. In formeller Hinsicht liess er um unentgeltliche Rechtspflege ersuchen. Es wurden zwei Referenzschreiben zu den Akten gereicht.
L.
Mit Zwischenverfügung vom 24. Februar 2015 wurde dem Beschwerdeführer mitgeteilt, dass über das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege zu einem späteren Zeitpunkt befunden werde.
M.
Mit Verfügung und Urteil vom 18. März 2015 des Bezirksgerichts E._______ wurde die Ehe des Beschwerdeführers mit B.________ geschieden.
N.
Am 27. März 2015 reichte die Rechtsvertreterin diverse Fotos des Beschwerdeführers mit seiner Ehefrau, den Schwiegereltern und weiteren Personen sowie zwei Schreiben der Ehefrau, datiert vom 25. März 2015, zu den Akten.
O.
In ihrer Vernehmlassung vom 22. April 2015 beantragte die Vorinstanz die Abweisung der Beschwerde.
P.
Vom Recht auf Replik wurde - trotz gewährter Fristerstreckung - kein Gebrauch gemacht. Am 23. Juli 2015 reichte die Rechtsvertreterin ihre Honorarnote ein.
Q.
Auf den weiteren Akteninhalt wird, soweit rechtserheblich, in den Erwägungen eingegangen.
Das Bundesverwaltungsgericht zieht in Erwägung:
1.
1.1 Verfügungen des SEM über die Nichtigerklärung einer erleichterten Einbürgerung unterliegen der Beschwerde an das Bundesverwaltungsgericht (Art. 51 Abs. 1

SR 141.0 Loi du 20 juin 2014 sur la nationalité suisse (LN) - Loi sur la nationalité LN Art. 51 Acquisition de la nationalité suisse en vertu du droit transitoire - 1 L'enfant étranger né du mariage d'une Suissesse et d'un étranger et dont la mère possédait la nationalité suisse avant sa naissance ou à sa naissance peut former une demande de naturalisation facilitée s'il a des liens étroits avec la Suisse. |
|
1 | L'enfant étranger né du mariage d'une Suissesse et d'un étranger et dont la mère possédait la nationalité suisse avant sa naissance ou à sa naissance peut former une demande de naturalisation facilitée s'il a des liens étroits avec la Suisse. |
2 | L'enfant étranger né d'un père suisse avant le 1er janvier 2006 peut former une demande de naturalisation facilitée s'il remplit les conditions prévues à l'art. 1, al. 2, et s'il a des liens étroits avec la Suisse. |
3 | L'enfant étranger né d'un père suisse avant le 1er janvier 2006 et dont les parents se marient ensemble acquiert la nationalité suisse comme s'il l'avait acquise à la naissance s'il remplit les conditions prévues à l'art. 1, al. 2. |
4 | L'enfant acquiert le droit de cité cantonal et communal de son père ou de sa mère suisse ou le droit de cité cantonal et communal que possédait son père ou sa mère suisse en dernier lieu et obtient ainsi la nationalité suisse. |
5 | Les conditions prévues à l'art. 20 sont applicables par analogie. |

SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF) LTAF Art. 31 Principe - Le Tribunal administratif fédéral connaît des recours contre les décisions au sens de l'art. 5 de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)20. |

SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF) LTAF Art. 37 Principe - La procédure devant le Tribunal administratif fédéral est régie par la PA57, pour autant que la présente loi n'en dispose pas autrement. |
1.2 Der Beschwerdeführer ist zur Ergreifung des Rechtsmittels legitimiert. Auf seine frist- und formgerecht eingereichte Beschwerde ist einzutreten (Art. 48 ff

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 48 - 1 A qualité pour recourir quiconque: |
|
1 | A qualité pour recourir quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité inférieure ou a été privé de la possibilité de le faire; |
b | est spécialement atteint par la décision attaquée, et |
c | a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification. |
2 | A également qualité pour recourir toute personne, organisation ou autorité qu'une autre loi fédérale autorise à recourir. |
2.
Mit Beschwerde ans Bundesverwaltungsgericht kann die Verletzung von Bundesrecht einschliesslich Überschreitung oder Missbrauch des Ermessens, die unrichtige oder unvollständige Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts und - sofern nicht eine kantonale Behörde als Beschwerdeinstanz verfügt hat - die Unangemessenheit gerügt werden (vgl. Art. 49

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 49 - Le recourant peut invoquer: |
|
a | la violation du droit fédéral, y compris l'excès ou l'abus du pouvoir d'appréciation; |
b | la constatation inexacte ou incomplète des faits pertinents; |
c | l'inopportunité: ce grief ne peut être invoqué lorsqu'une autorité cantonale a statué comme autorité de recours. |

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 62 - 1 L'autorité de recours peut modifier la décision attaquée à l'avantage d'une partie. |
|
1 | L'autorité de recours peut modifier la décision attaquée à l'avantage d'une partie. |
2 | Elle peut modifier au détriment d'une partie la décision attaquée, lorsque celle-ci viole le droit fédéral ou repose sur une constatation inexacte ou incomplète des faits: pour inopportunité, la décision attaquée ne peut être modifiée au détriment d'une partie, sauf si la modification profite à la partie adverse. |
3 | Si l'autorité de recours envisage de modifier, au détriment d'une partie, la décision attaquée, elle l'informe de son intention et lui donne l'occasion de s'exprimer. |
4 | Les motifs invoqués à l'appui du recours ne lient en aucun cas l'autorité de recours. |
3.
3.1 Gemäss Art. 27 Abs. 1

SR 141.0 Loi du 20 juin 2014 sur la nationalité suisse (LN) - Loi sur la nationalité LN Art. 27 Réintégration ensuite de péremption, de libération ou de perte de la nationalité suisse - 1 Quiconque a perdu la nationalité suisse peut former une demande de réintégration dans un délai de dix ans. |
|
1 | Quiconque a perdu la nationalité suisse peut former une demande de réintégration dans un délai de dix ans. |
2 | Quiconque séjourne en Suisse depuis trois ans peut demander sa réintégration après l'échéance du délai fixé à l'al. 1. |

SR 141.0 Loi du 20 juin 2014 sur la nationalité suisse (LN) - Loi sur la nationalité LN Art. 26 Conditions - 1 La réintégration est accordée si le requérant remplit les conditions suivantes: |
|
1 | La réintégration est accordée si le requérant remplit les conditions suivantes: |
a | il séjourne en Suisse: son intégration est réussie; |
b | il vit à l'étranger: il a des liens étroits avec la Suisse; |
c | il respecte la sécurité et l'ordre publics; |
d | il respecte les valeurs de la Constitution; |
e | il ne met pas en danger la sûreté intérieure ou extérieure de la Suisse. |
2 | Les conditions prévues à l'al. 1, let. c à e, s'appliquent par analogie aux requérants qui ne séjournent pas en Suisse. |
3.2 Der Begriff der ehelichen Gemeinschaft bedeutet nach der bundesgerichtlichen Rechtsprechung mehr als nur das formelle Bestehen einer Ehe. Verlangt wird vielmehr die tatsächliche Lebensgemeinschaft, getragen vom beidseitigen Willen, die Ehe auch künftig aufrecht zu erhalten. Mit Art. 27

SR 141.0 Loi du 20 juin 2014 sur la nationalité suisse (LN) - Loi sur la nationalité LN Art. 27 Réintégration ensuite de péremption, de libération ou de perte de la nationalité suisse - 1 Quiconque a perdu la nationalité suisse peut former une demande de réintégration dans un délai de dix ans. |
|
1 | Quiconque a perdu la nationalité suisse peut former une demande de réintégration dans un délai de dix ans. |
2 | Quiconque séjourne en Suisse depuis trois ans peut demander sa réintégration après l'échéance du délai fixé à l'al. 1. |
3.3 Die erleichterte Einbürgerung kann mit Zustimmung des Heimatkantons nichtig erklärt werden, wenn sie durch falsche Angaben oder Verheimlichung erheblicher Tatsachen erschlichen (Art. 41 Abs. 1

SR 141.0 Loi du 20 juin 2014 sur la nationalité suisse (LN) - Loi sur la nationalité LN Art. 41 Droits de cité multiples - 1 Le citoyen suisse qui possède le droit de cité de plusieurs cantons peut présenter la demande dans le canton d'origine de son choix. |
|
1 | Le citoyen suisse qui possède le droit de cité de plusieurs cantons peut présenter la demande dans le canton d'origine de son choix. |
2 | Lorsqu'un canton d'origine donne une suite favorable à la demande, la notification de la décision entraîne la perte de la nationalité suisse et de tous les droits de cité cantonaux et communaux. |
3 | Le canton qui a statué sur la libération en informe d'office les autres cantons d'origine. |

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 13 - 1 Les parties sont tenues de collaborer à la constatation des faits: |
|
1 | Les parties sont tenues de collaborer à la constatation des faits: |
a | dans une procédure qu'elles introduisent elles-mêmes; |
b | dans une autre procédure, en tant qu'elles y prennent des conclusions indépendantes; |
c | en tant qu'une autre loi fédérale leur impose une obligation plus étendue de renseigner ou de révéler. |
1bis | L'obligation de collaborer ne s'étend pas à la remise d'objets et de documents concernant des contacts entre une partie et son avocat, si celui-ci est autorisé à pratiquer la représentation en justice en vertu de la loi du 23 juin 2000 sur les avocats34.35 |
2 | L'autorité peut déclarer irrecevables les conclusions prises dans une procédure au sens de l'al. 1, let. a ou b, lorsque les parties refusent de prêter le concours nécessaire qu'on peut attendre d'elles. |
4.
Die Möglichkeit der Nichtigerklärung geht durch Zeitablauf unter. Art. 41 Abs. 1

SR 141.0 Loi du 20 juin 2014 sur la nationalité suisse (LN) - Loi sur la nationalité LN Art. 41 Droits de cité multiples - 1 Le citoyen suisse qui possède le droit de cité de plusieurs cantons peut présenter la demande dans le canton d'origine de son choix. |
|
1 | Le citoyen suisse qui possède le droit de cité de plusieurs cantons peut présenter la demande dans le canton d'origine de son choix. |
2 | Lorsqu'un canton d'origine donne une suite favorable à la demande, la notification de la décision entraîne la perte de la nationalité suisse et de tous les droits de cité cantonaux et communaux. |
3 | Le canton qui a statué sur la libération en informe d'office les autres cantons d'origine. |

SR 141.0 Loi du 20 juin 2014 sur la nationalité suisse (LN) - Loi sur la nationalité LN Art. 41 Droits de cité multiples - 1 Le citoyen suisse qui possède le droit de cité de plusieurs cantons peut présenter la demande dans le canton d'origine de son choix. |
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1 | Le citoyen suisse qui possède le droit de cité de plusieurs cantons peut présenter la demande dans le canton d'origine de son choix. |
2 | Lorsqu'un canton d'origine donne une suite favorable à la demande, la notification de la décision entraîne la perte de la nationalité suisse et de tous les droits de cité cantonaux et communaux. |
3 | Le canton qui a statué sur la libération en informe d'office les autres cantons d'origine. |
5.
5.1 Das Verfahren zur Nichtigerklärung der erleichterten Einbürgerung richtet sich nach den Bestimmungen des Verwaltungsverfahrensgesetzes (vgl. Art. 1 Abs. 1

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 1 - 1 La présente loi s'applique à la procédure dans les affaires administratives qui doivent être réglées par les décisions d'autorités administratives fédérales statuant en première instance ou sur recours. |
|
1 | La présente loi s'applique à la procédure dans les affaires administratives qui doivent être réglées par les décisions d'autorités administratives fédérales statuant en première instance ou sur recours. |
2 | Sont réputées autorités au sens de l'al. 1: |
a | le Conseil fédéral, ses départements, la Chancellerie fédérale et les divisions, entreprises, établissements et autres services de l'administration fédérale qui leur sont subordonnés; |
b | les organes de l'Assemblée fédérale et des tribunaux fédéraux pour les décisions de première instance et les décisions prises sur recours, conformément au Statut des fonctionnaires du 30 juin 19277; |
c | les établissements ou entreprises fédéraux autonomes; |
cbis | le Tribunal administratif fédéral; |
d | les commissions fédérales; |
e | d'autres autorités ou organisations indépendantes de l'administration fédérale, en tant qu'elles statuent dans l'accomplissement de tâches de droit public à elles confiées par la Confédération. |
3 | Seuls les art. 34 à 38 et 61, al. 2 et 3, concernant la notification des décisions, et l'art. 55, al. 2 et 4, concernant le retrait de l'effet suspensif, s'appliquent à la procédure devant les autorités cantonales de dernière instance qui ne statuent pas définitivement en vertu du droit public fédéral. Est réservé l'art. 97 de la loi fédérale du 20 décembre 1946 sur l'assurance-vieillesse et survivants9 relatif au retrait de l'effet suspensif pour les recours formés contre les décisions des caisses de compensation.10 11 |

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 12 - L'autorité constate les faits d'office et procède s'il y a lieu à l'administration de preuves par les moyens ci-après: |
|
a | documents; |
b | renseignements des parties; |
c | renseignements ou témoignages de tiers; |
d | visite des lieux; |
e | expertises. |
5.2 Die natürliche Vermutung gehört zur freien Beweiswürdigung (vgl. Art. 19

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 19 - Sont en outre applicables par analogie à la procédure probatoire les art. 37, 39 à 41 et 43 à 61 de la procédure civile fédérale49; les sanctions pénales prévues par ladite loi envers les parties ou les tierces personnes défaillantes sont remplacées par celles qui sont mentionnées à l'art. 60 de la présente loi. |

SR 273 Loi fédérale du 4 décembre 1947 de procédure civile fédérale PCF Art. 40 - Le juge apprécie les preuves selon sa libre conviction. Il prend en considération l'attitude des parties au cours du procès, par exemple le défaut d'obtempérer à une convocation personnelle, le refus de répondre à une question du juge ou de produire des moyens de preuve requis. |
6.
Im vorliegenden Verfahren hat der Heimatkanton die von Art. 41 Abs. 1

SR 141.0 Loi du 20 juin 2014 sur la nationalité suisse (LN) - Loi sur la nationalité LN Art. 41 Droits de cité multiples - 1 Le citoyen suisse qui possède le droit de cité de plusieurs cantons peut présenter la demande dans le canton d'origine de son choix. |
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1 | Le citoyen suisse qui possède le droit de cité de plusieurs cantons peut présenter la demande dans le canton d'origine de son choix. |
2 | Lorsqu'un canton d'origine donne une suite favorable à la demande, la notification de la décision entraîne la perte de la nationalité suisse et de tous les droits de cité cantonaux et communaux. |
3 | Le canton qui a statué sur la libération en informe d'office les autres cantons d'origine. |

SR 141.0 Loi du 20 juin 2014 sur la nationalité suisse (LN) - Loi sur la nationalité LN Art. 41 Droits de cité multiples - 1 Le citoyen suisse qui possède le droit de cité de plusieurs cantons peut présenter la demande dans le canton d'origine de son choix. |
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1 | Le citoyen suisse qui possède le droit de cité de plusieurs cantons peut présenter la demande dans le canton d'origine de son choix. |
2 | Lorsqu'un canton d'origine donne une suite favorable à la demande, la notification de la décision entraîne la perte de la nationalité suisse et de tous les droits de cité cantonaux et communaux. |
3 | Le canton qui a statué sur la libération en informe d'office les autres cantons d'origine. |
7.
7.1 Die Vorinstanz führte in der angefochtenen Verfügung vom 10. November 2014 aus, die Beziehung des Beschwerdeführers mit seiner Schweizer Ehefrau sei bereits während des Einbürgerungsverfahrens mit finanziellen und sonstigen Problemen behaftet gewesen. Dafür zeuge zum einen, dass die Ehefrau bereits ab Juli 2010 bemerkt habe, dass "irgendetwas schief laufe" und zum andern, dass die Ehegatten nur gerade sechs Monate nach der rechtskräftigen Einbürgerung getrennt gelebt hätten und es in der Folge zu keiner Wiederaufnahme der ehelichen Gemeinschaft mehr gekommen sei. Der Beschwerdeführer habe zum Zeitpunkt der erleichterten Einbürgerung bzw. bis zur Rechtskraft der erleichterten Einbürgerung die Einbürgerungsbehörde weder über die ehelichen Spannungen noch über sein ausserhalb der Ehe geborenes Kind informiert. Demzufolge habe er den materiellen Tatbestand von Art. 41

SR 141.0 Loi du 20 juin 2014 sur la nationalité suisse (LN) - Loi sur la nationalité LN Art. 41 Droits de cité multiples - 1 Le citoyen suisse qui possède le droit de cité de plusieurs cantons peut présenter la demande dans le canton d'origine de son choix. |
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1 | Le citoyen suisse qui possède le droit de cité de plusieurs cantons peut présenter la demande dans le canton d'origine de son choix. |
2 | Lorsqu'un canton d'origine donne une suite favorable à la demande, la notification de la décision entraîne la perte de la nationalité suisse et de tous les droits de cité cantonaux et communaux. |
3 | Le canton qui a statué sur la libération en informe d'office les autres cantons d'origine. |
7.2 Der Beschwerdeführer liess in der Rechtsmitteleingabe vom 15. Dezember 2014 dagegen halten, nur allein aufgrund der Tatsache, dass sie sich acht Monate nach Rechtskraft der Einbürgerung getrennt hätten, bedeute noch lange nicht, dass die Ehe bereits zum Zeitpunkt der Einbürgerung in Schieflage gewesen sei. Sie hätten bis im Frühling 2012 keinerlei Trennungsabsichten gehabt. Noch im Februar 2012 hätten sie gemeinsam einen Mietvertrag für eine neue Wohnung unterzeichnet. Mitte März 2012 sei seine Mutter verstorben. In der Folge sei er zu seiner Familie nach Tunesien gereist und habe versucht, persönlichen und finanziellen Beistand zu leisten. Dank seiner Ehefrau habe er seine Familie finanziell unterstützen können. Aufgrund des Todes seiner Mutter habe er grosse psychische Probleme bekommen und sei in eine tiefe Krise gefallen. Er sei von Mitte März bis Mitte Mai 2012 in Tunesien geblieben. Seine Ehefrau habe den Umzug alleine machen müssen und sei aufgrund der Umzugskosten und seiner finanziellen Unterstützung in finanzielle Schwierigkeiten geraten. Als er in die Schweiz zurückgekehrt sei, habe ihn seine Ehefrau vom Flughafen abgeholt. Nach ein paar Tagen habe sie ihn aus der Wohnung geworfen. Er habe teilweise auf der Strasse gelebt und sei bei Kollegen untergekommen. Schliesslich habe er Unterschlupf bei seiner Schwester in Deutschland gefunden.
Wäre seine Mutter nicht gestorben, so wäre er nicht in eine psychische Krise gefallen und es wäre auch keine finanzielle Doppelbelastung mit Umzug und Unterstützung der Trauerfeierlichkeiten seiner Familie in Tunesien entstanden. Mit grosser Wahrscheinlichkeit wäre dann die Ehe noch intakt. Auslöser der Krise sei der Todesfall seiner Mutter gewesen.
Aus dem Erhebungsbericht der Polizei vom 22. September 2010 und dem Schreiben des Gemeindeschreibers vom 28. Oktober 2010 würden trotz ursprünglicher Vorbehalte wegen des Altersunterschieds keinerlei Zweifel bezüglich einer gelebten Ehe hervorgehen.
Dem Fragebogen seiner Ehefrau an die Vorinstanz könne entnommen werden, dass die Ehe bis April/Mai 2012 gut verlaufen sei. Sie habe ausgeführt, dass sie bis zum Zeitpunkt, wo sie ihn aus der Wohnung geworfen habe, nicht einmal den Gedanken gehabt habe, in jemals zu verlassen. Von einer definitiven Trennung sei erst im September/Oktober 2012 die Rede gewesen. Sie habe vom unehelichen Kind gewusst und sich für ihn gefreut.
Der Beschwerdeführer liess weiter vorbringen, er habe lediglich eine einmalige Affäre mit einer Frau gehabt und erst nach der Geburt vom Kind erfahren und es sofort seiner Frau gebeichtet. Mit der offiziellen Anerkennung der Vaterschaft sei er davon ausgegangen, dass die Vorinstanz es nun auch wisse. Er habe nicht gewusst, dass er dies der Vorinstanz separat hätte mitteilen müssen.
Mit der Veränderung seines psychischen Zustands habe sich wahrscheinlich auch seine Persönlichkeit verändert. Dies habe zu einer Kurzschlussreaktion geführt und sie hätten sich getrennt. Es gebe immer wieder Kurzschlusstrennungen oder Trennungen aufgrund einer psychischen Belastung. Es komme in den perfektesten Ehen immer wieder zur Trennung, nachdem das Paar oder eine Person alleine einen Schicksalsschlag, wie eine schwere Krankheit oder einen Todesfall, erlitten habe. Während der Zeit, als er in Tunesien gewesen sei, sei er mit seiner Ehefrau in Kontakt gewesen. Somit sei es nicht, wie die Vorinstanz ausführte, sechs Monate nach Rechtskraft der Einbürgerung, sondern erst acht Monate danach zur Trennung gekommen. Da das aussereheliche Kind kein Trennungsgrund gewesen sei, sei er auch nicht verpflichtet gewesen, dies der Ausländerbehörde zu melden. Wie die Behörde nun wegen des Kindes automatisch den Schluss ziehe, die Ehe sei nicht mehr intakt gewesen, sei nicht nachvollziehbar. Er habe lediglich einmal einen "one night stand" gehabt. Unzählige Personen würden ihre Ehepartner mit einem Seitensprung betrügen. Dies bedeute noch lange nicht, dass eine Ehe unwiderruflich zerrüttet sei.
7.3 In ihrer Vernehmlassung vom 22. April 2015 führte die Vorinstanz ergänzend aus, das Ehepaar habe seit 2004 finanzielle Schwierigkeiten gehabt. Die Ehefrau habe für sämtliche Kosten der ehelichen Gemeinschaft aufkommen müssen. Sie habe sogar einen Kredit aufnehmen müssen, um die Lebenshaltungskosten bezahlen zu können. Es sei nachvollziehbar, dass sie diese Belastung nicht mehr habe ertragen können. Die sich zuspitzende finanzielle Schieflage der ehelichen Finanzen habe sich über die Jahre hinweg akkumuliert und im Frühjahr 2012 ein derartiges Ausmass angenommen, dass sich die Ehefrau gezwungen gesehen habe, sich von ihrem Ehemann zu trennen und die Scheidung einzureichen. Aufgrund der Ereignisabfolge (kurze Zeit der Bekanntschaft bis zur Eheschliessung [4 Monate], grosser Altersunterschied zwischen den Ehegatten [24 Jahre], definitive Trennung nach nur acht Monaten seit der rechtskräftig erleichterten Einbürgerung) werde von der tatsächlichen Vermutung ausgegangen, der Beschwerdeführer habe bei der Unterzeichnung der Erklärung vom 2. Mai 2011 und zum Zeitpunkt der rechtskräftig erleichterten Einbürgerung am 16. September 2011 nicht mehr in einer stabilen, unbelasteten und zukunftsgerichteten Ehe mit seiner schweizerischen Ehefrau gelebt.
Aufgrund der Mitwirkungspflicht nach Art. 13 Abs. 1

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 13 - 1 Les parties sont tenues de collaborer à la constatation des faits: |
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1 | Les parties sont tenues de collaborer à la constatation des faits: |
a | dans une procédure qu'elles introduisent elles-mêmes; |
b | dans une autre procédure, en tant qu'elles y prennent des conclusions indépendantes; |
c | en tant qu'une autre loi fédérale leur impose une obligation plus étendue de renseigner ou de révéler. |
1bis | L'obligation de collaborer ne s'étend pas à la remise d'objets et de documents concernant des contacts entre une partie et son avocat, si celui-ci est autorisé à pratiquer la représentation en justice en vertu de la loi du 23 juin 2000 sur les avocats34.35 |
2 | L'autorité peut déclarer irrecevables les conclusions prises dans une procédure au sens de l'al. 1, let. a ou b, lorsque les parties refusent de prêter le concours nécessaire qu'on peut attendre d'elles. |
Referenzschreiben würden den Beweis einer intakten und auf die Zukunft gerichtete Ehe nicht erbringen können, da sich die Wahrnehmung auf das äussere Erscheinungsbild der Ehegatten beschränke.
Die einzelnen Indizien, wie etwa der erhebliche Altersunterschied zwischen den Ehegatten, eine kurze Zeit der Bekanntschaft bis zur Eheschliessung und der rasche Zerfall der ehelichen Gemeinschaft nach erfolgter Einbürgerung, würden für sich alleine zwar keine Rückschlüsse auf den Zustand der Ehe geben, aber vor dem Hintergrund des gesamten Ablaufs der Ereignisse Indizien darstellen.
Da die Ehegatten seit dem 31. Mai 2012 faktisch getrennt gelebt hätten und es in der Folge zu keiner Wiederaufnahme der ehelichen Gemeinschaft gekommen sei, werde für den Trennungszeitpunkt auf die offizielle Abmeldung des Beschwerdeführers aus der Gemeinde D._______ vom 31. Mai 2012 abgestellt.
Auch wenn die aussereheliche Tochter des Beschwerdeführers von der Ehefrau akzeptiert worden sei, gehe die Rechtsprechung davon aus, dass Kinder ein Indiz für die Instabilität einer Ehe darstellen würden. Zusammen mit der finanziellen Schieflage stelle die Geburt seiner Tochter ein weiteres Indiz dafür dar, dass die Ehe zum Zeitpunkt der Einbürgerung nicht mehr stabil und zukunftsgerichtet gewesen sei. Dass sich die Ehegatten während ihrer Ehe emotional gut verstanden und miteinander eine schöne Zeit verbracht hätten, werde nicht in Abrede gestellt. Damit jedoch eine Ehe auch in Zukunft Bestand haben könne, müsse auch die finanzielle Seite ausgeglichen sein.
Mit Schreiben vom 25. März 2015 an das Bundesverwaltungsgericht habe die Ex-Ehefrau vorgebracht, die finanziellen Probleme seien mit jedem Monat schlimmer und ihre Sorgen immer grösser geworden. Ihre Ehe sei schlussendlich nicht daran zerbrochen, weil sie sich nicht geliebt hätten, sondern an den "knallharten Lebensumständen". Sie sei sich sicher, dass er den Pass nicht erschlichen habe.
Diesen Schilderungen zufolge sei die Ehe schlussendlich an der finanziellen Schieflage zerbrochen. Diese habe bereits während des Einbürgerungsverfahrens bestanden.
8.
Aus dem Akteninhalt geht hervor, dass der Beschwerdeführer, seine 24 Jahre ältere schweizerische Ehefrau im Jahr 2003 in Tunesien kennen gelernt hatte. Am 10. Januar 2004 reiste er zur Ehevorbereitung in die Schweiz ein. Nach der Heirat vom 30. Januar 2004 erhielt er eine Aufenthaltsbewilligung. Die Ehe blieb kinderlos. Noch im Jahr 2009 muss er eine Affäre mit einer anderen Frau, der Mutter seines Kindes, gehabt haben. Am 21. Dezember 2009 stellte er ein Gesuch um erleichterte Einbürgerung. Zwei Monate später wurde er Vater eines unehelichen Kindes. Er anerkannte die Vaterschaft seiner Tochter am 4. Oktober 2010. Rund sieben Monate später unterzeichneten er und seine Ehefrau die Erklärung zur ehelichen Gemeinschaft, woraufhin mit Verfügung vom 9. August 2011 seine erleichterte Einbürgerung ausgesprochen wurde. Am 31. Mai 2012 zog der Beschwerdeführer aus der Familienwohnung aus. Ohne dass es noch zu einer Annäherung der Ehegatten gekommen wäre, klagte die Ehefrau am 16. April 2014 auf Scheidung. Am 18. August 2015 wurde die Ehe geschieden.
9.
9.1 Der Beschwerdeführer hat während der Ehe mit der Schweizer Ex-Gattin - als das Einbürgerungsverfahren bereits im Gange war - ein aussereheliches Kind gezeugt. Die Eheleute haben die Geburt des Kindes sowie die Anerkennung der Vaterschaft durch den Beschwerdeführer der Einbürgerungsbehörde vorenthalten (das Kind wurde vor der Unterzeichnung der Erklärung der ehelichen Gemeinschaft geboren). Aussereheliche Kinder können unbestreitbarermassen ein Indiz für die Instabilität einer Ehe darstellen und zwar unabhängig davon, ob die Ehefrau darüber informiert ist (vgl. Urteil des BGer 1C_178/2010 vom 10. Juni 2010 E. 3.3.3 oder E. 3.2 weiter vorne). Dass die Geburt eines ausserehelichen Kindes für das Einbürgerungsverfahren von Bedeutung ist, darüber mussten sich die Betroffenen im Klaren sein. Sie wären daher in jedem Fall verpflichtet gewesen, diese Tatsache anlässlich des Einbürgerungsverfahrens anzugeben (vgl. Urteil des BVGer C-4576/2013 vom 12. Juni 2014 E. 10.1 m.H.). Hervorzuheben wäre an dieser Stelle, dass die Mitwirkungs- und Auskunftspflicht selbst dann gilt, wenn sich die Auskunft zum Nachteil der betreffenden Person auswirkt (zum Ganzen vgl. BGE 140 II 65 E. 3.4.2 S. 70 f. und BGE 132 II 113 E. 3.2 S. 115 f.).
9.2 Der Beschwerdeführer liess in der Replik vorbringen, es sei nicht nachvollziehbar, wie die Behörde wegen des Kindes automatisch den Schluss ziehe, die Ehe sei nicht mehr intakt gewesen. Er habe lediglich einmal einen "one night stand" gehabt. Unzählige Personen würden ihre Ehepartner mit einem Seitensprung betrügen. Dies bedeute noch lange nicht, dass eine Ehe unwiderruflich zerrüttet sei. Das aussereheliche Kind sei kein Trennungsgrund gewesen und die Ex-Ehefrau habe sich für ihn gefreut.
9.3 Wie bereits erwähnt, ist gemäss ständiger Rechtsprechung des Bundesgerichts unter ehelicher Gemeinschaft im Sinne von Art. 27 Abs. 1 Bst. c

SR 141.0 Loi du 20 juin 2014 sur la nationalité suisse (LN) - Loi sur la nationalité LN Art. 27 Réintégration ensuite de péremption, de libération ou de perte de la nationalité suisse - 1 Quiconque a perdu la nationalité suisse peut former une demande de réintégration dans un délai de dix ans. |
|
1 | Quiconque a perdu la nationalité suisse peut former une demande de réintégration dans un délai de dix ans. |
2 | Quiconque séjourne en Suisse depuis trois ans peut demander sa réintégration après l'échéance du délai fixé à l'al. 1. |
9.4 In der Rechtsprechung wird davon ausgegangen, dass allein das Eingehen einer ausserehelichen sexuellen Beziehung schon als ein Indiz für den fehlenden Willen zu einer stabilen ehelichen Gemeinschaft anzusehen ist. Eine einmalige oder kurzfristige vorübergehende Untreue braucht indes noch nicht zwingend das Scheitern einer bestehenden Ehe zu bedeuten. Sexuell offen gestaltete Beziehungsmodelle und die aussereheliche Zeugung von Kindern als Ergebnis von Seitensprüngen können in der heutigen Zeit denn auch nicht mehr als gesellschaftsfremd betrachtet werden. Wie eben angetönt, bildet die Tatsache, dass es überhaupt zu ausserehelichen sexuellen Kontakten kam, jedoch ein starkes Indiz gegen das Bestehen einer intakten Ehe. Denn die sexuelle Treue gilt trotz gewandelter Moral nach wie vor als zentrales Element einer Ehe (siehe Urteil des BVGer C-5500/2013 vom 1. Dezember 2014 E. 11.2.2 m.H.), weshalb im Widerspruch dazu stehende Verhaltensweisen typischer für nicht intakte Ehen sind als für intakte (zur Beweiskraft von Indizien als Quotient von Merkmalwahrscheinlichkeiten vgl. Bender et al., Tatsachenfeststellungen vor Gericht, 3. Aufl., München 2007, Rz. 679 ff.). Entgegen den Ausführungen auf Beschwerdeebene hat die Vorinstanz in der angefochtenen Verfügung indessen längst nicht allein auf dieses eine Indiz abgestellt. Anzumerken wäre an dieser Stelle, dass es im Rahmen des vorliegenden Verfahrens nicht darum geht, das Verhalten des Beschwerdeführers moralisch zu werten. Der Rückgriff auf herrschende Wertvorstellungen ist nur insofern von Bedeutung, als sie zusammen mit dem Verhalten der Beteiligten Wahrscheinlichkeitsschlüsse auf den Zustand der Ehe zum Zeitpunkt der erleichterten Einbürgerung zulassen (siehe Urteil des BVGer C-5500/2013 vom 1. Dezember 2014 E. 11.2.2 m.H.).
9.5 Die Zeugung bzw. die Geburt der ausserehelichen Tochter hätte tatsächlich einen Hinderungsgrund für die erleichterte Einbürgerung dargestellt. Ob seine damalige Ehefrau den Seitensprung tolerierte, ist in diesem Zusammenhang nicht von Belang, handelt es sich bei der verschwiegenen Schwangerschaft und der bevorstehenden Geburt doch um rechtlich relevante Vorkommnisse, welche die Einbürgerung verhindert oder zumindest bis zur Klärung der ehelichen Verhältnisse hinausgezögert hätten. Die Betroffenen wären mithin so oder so gehalten gewesen, die Behörden über diese Umstände zu orientieren. Das Verhalten der Eheleute erscheint umso unverständlicher, als die Tochter während des Einbürgerungsverfahrens zur Welt kam. Durch die absichtlich unterlassene Aufklärung über die Vaterschaft für ein aussereheliches Kind setzte der Beschwerdeführer demzufolge direkt den Nichtigkeitsgrund des Erschleichens im Sinne von Art. 41 Abs. 1

SR 141.0 Loi du 20 juin 2014 sur la nationalité suisse (LN) - Loi sur la nationalité LN Art. 41 Droits de cité multiples - 1 Le citoyen suisse qui possède le droit de cité de plusieurs cantons peut présenter la demande dans le canton d'origine de son choix. |
|
1 | Le citoyen suisse qui possède le droit de cité de plusieurs cantons peut présenter la demande dans le canton d'origine de son choix. |
2 | Lorsqu'un canton d'origine donne une suite favorable à la demande, la notification de la décision entraîne la perte de la nationalité suisse et de tous les droits de cité cantonaux et communaux. |
3 | Le canton qui a statué sur la libération en informe d'office les autres cantons d'origine. |
10.
Unbesehen dieses Nichtigkeitsgrundes lassen weitere Indizien darauf schliessen, dass die Zerrüttung der Ehe bereits vor Abgabe der Erklärung zur ehelichen Gemeinschaft und der bald darauf erfolgten erleichterten Einbürgerung eingesetzt haben muss.
10.1 Bis zur erleichterten Einbürgerung am 9. August 2011 dauerte die Ehe des Beschwerdeführers mit der schweizerischen Ehefrau siebeneinhalb Jahre. Ungefähr 10 Monate später haben sich die Eheleute getrennt. Nach der gesetzlichen Frist des Getrenntlebens von zwei Jahren klagte die Ex-Ehefrau auf Scheidung (vgl. Art. 114

SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 114 - Un époux peut demander le divorce lorsque, au début de la litispendance ou au jour du remplacement de la requête par une demande unilatérale, les conjoints ont vécu séparés pendant deux ans au moins. |
10.2 Die vor diesem Hintergrund vorgenommenen weiteren Abklärungen der Vorinstanz bestätigen die Wahrscheinlichkeit einer solchen Schlussfolgerung und weisen sogar darauf hin, dass die Beziehung der Ehegatten schon lange vor der Einbürgerung des Ehemannes auseinanderzubrechen drohte.
10.2.1 Zu den Fragen der Vorinstanz führte die Ex-Ehefrau aus, ihren Ehemann habe sie in Tunesien am Strand kennengelernt. Vier Monate später hätten sie in Tunesien eine "interne Hochzeit" gefeiert. Der Anstoss zur Heirat sei von ihrem Mann aus gekommen. Bis April/Mai 2012 sei die Ehe gut verlaufen. Ab Juli 2011 habe sie gemerkt, dass irgendetwas schief laufen würde. Sie habe im Mai den Kredit erhöht, weil ihr Mann sich selbständig habe machen wollen. Dafür habe er ein "Auto LW für Autotransporte" benötigt. Im Juli 2011 habe er seinen Führerausweis wegen Drogenkonsums abgeben müssen. Dies sei für sie ein riesiger Schock gewesen. Ab dem Jahr 2007 und auch vorher habe es finanzielle Probleme in ihrer Ehe gegeben. Ihr Ehemann habe zwar von 2004 bis 2007 gearbeitet, aber nicht genügend Einkommen erzielt. Sie habe deshalb einen Kredit aufnehmen müssen, um ihre Kosten decken zu können. Sie habe immer alles alleine bezahlt. Im Jahr 2006 seien sie gemeinsam in Tunesien im Urlaub gewesen. Danach seien gemeinsame Ferien aus finanziellen Gründen nicht mehr möglich gewesen.
Ihr Ehemann habe Kinder mit ihr haben wollen, aber sie habe nicht zugestimmt, weil er keine Arbeit gehabt habe und sie nicht noch grössere finanzielle Schwierigkeiten habe haben wollte. Erst ab dem Jahr 2009 sei ihr Ehemann regelmässig nach Tunesien gereist. Meistens sei er ein bis zwei Monate geblieben. Sie sei nicht mitgereist, weil dafür das Geld nicht gereicht habe. Sie habe ihren Ehemann Mitte Mai 2012 aus der Wohnung geworfen. Bis zu jenem Zeitpunkt sei ihr nicht einmal der Gedanke gekommen, ihren Ehemann zu verlassen. Ab September/Oktober 2012 sei von Trennung resp. Scheidung die Rede gewesen. Zum Zeitpunkt seiner erleichterten Einbürgerung sei die Ehe stabil gewesen. Die Schwierigkeiten hätten darin bestanden, dass er nicht genügend gearbeitet habe, sie finanzielle Schwierigkeiten gehabt hätten und sie sämtliche Kosten alleine habe tragen müssen. Sie habe im April oder Mai 2011 einen Kredit von Fr. 8'000.- aufgenommen resp. ihren alten Kredit erhöht, damit er sich habe selbständig machen können. Dies sei ihre letzte Hoffnung gewesen. Sie habe den Kredit nochmals erhöht, als ihr Ehemann wegen des Todes seiner Mutter im Jahr 2012 nach Tunesien habe reisen müssen. Sie habe ihm über Fr. 1'000.- mitgegeben. Als er in Tunesien gewesen sei, habe er angerufen und noch mehr Geld verlangt. Sogar ihr Sohn und ihre Mutter hätten ihm Geld gegeben.
Der Trennungswunsch sei von ihr aus gegangen. Sie habe acht Jahre lang alle Rechnungen bezahlt. Ihr Ehemann habe nur von 2004 bis 2007 ein bisschen gearbeitet, nie länger als 2 bis 3 Monate oder manchmal nur einen Tag und im Mai 2012 habe er sie im Stich gelassen. Sie habe im April den ganzen Umzug nach D._______ alleine machen müssen. Sie habe ihr Bankkonto überzogen (Fr. 2'000.-) und habe kein Geld mehr zum Leben gehabt (Sperrung des Bankkontos). Als ihr Ehemann im Mai 2012 nach Hause gekommen sei, habe sie von ihm verlangt, dass er sich eine Arbeit suche. Als er dies nicht getan habe, habe sie ihn aus der Wohnung geworfen. Für seine aussereheliche Tochter habe sie sich für ihn gefreut. Sie liebe ihren Ehemann noch immer, aber sie habe aufgrund der Belastung das Leben mit ihm nicht mehr weiter führen können. Sie sei krank geworden und in psychologischer Behandlung (SEM-pag. 9).
10.2.2 Der Beschwerdeführer brachte in seiner Stellungnahme vor, seine Ehefrau nötige ihn, die Scheidungsvereinbarung zu unterschreiben. Im Herbst 2008 habe er nach einer Feier eine "einmalige Affäre" mit einer anderen Frau gehabt. Dass diese Frau schwanger geworden sei, habe er erst mit der Geburt des Kindes am 20. Februar 2010 erfahren. Er habe dies sofort seiner Ehefrau gebeichtet. Sie habe sich über seine Ehrlichkeit und darüber gefreut, dass er Vater werde. Mit der Anerkennung seiner Tochter sei er davon ausgegangen, dass die Vorinstanz über die Geburt seiner Tochter informiert sei. Leider habe er nicht gewusst, dass er die Vorinstanz darüber hätte informieren müssen.
Am 19. März 2012 sei seine Mutter gestorben. Seine Ehefrau sei wütend gewesen und habe nicht verstanden, dass er seinem Vater und seinem körperlich behinderten Bruder habe beistehen müssen. Er sei damals zwei Monate in Tunesien geblieben. Nach seiner Rückkehr hätten sie bereits in ihrer neuen Wohnung in D._______ gelebt. Er habe sich dort im Mai 2012 angemeldet. Seine Ehefrau sei wie ausgewechselt gewesen. Sie habe ihn ständig beschimpft. Alle seine Versöhnungsversuche seien gescheitert. Er denke, dass sie in jener Zeit einen anderen Mann kennenglernt habe und ihn deshalb habe loswerden wollen. Er habe psychische Probleme gehabt. Der Tod seiner Mutter, die erfolglose Jobsuche und die Gemeinheiten seiner Ehefrau hätten ihm sehr zugesetzt. Anfang 2013 habe er deshalb seine Schwester in Deutschland besucht. Irgendwann nach seiner Rückkehr sei er in eine Polizeikontrolle gekommen und habe erfahren, dass er nirgendwo angemeldet sei. Er habe seine Ehefrau darauf angesprochen. Sie habe ihm geantwortet, dass sie genug von ihm habe und nicht meinen müsse, dass er auch nur einen "Cent" von ihr erhalte. Sie habe den Hausschlüssel von ihm verlangt. Dieser Aufforderung sei er nachgekommen. Die Trennung sei nicht von ihm ausgegangen. Die Scheidung habe er schlussendlich eingereicht, weil es keinen Sinn mehr gemacht habe, seine Ehefrau umzustimmen (SEM-pag. 31).
10.2.3 Festzuhalten ist, dass die finanziellen Probleme der Eheleute bereits im Jahr der Eheschliessung (2004) auftraten und von da ab das Zusammenleben der Ehegatten prägten. Laut Ex-Ehefrau hat der Beschwerdeführer während ihrer Ehe lediglich von 2004 bis 2007 hin und wieder gearbeitet. Zur Deckung der Lebenshaltungskosten habe sie sogar einen Kredit aufgenommen, den sie zwei Mal habe erhöhen müssen. Auch der Ehemann sprach von finanzieller Doppelbelastung aufgrund des Umzuges und der Unterstützung der Trauerfeierlichkeiten seiner Familie. Er stellt nicht in Abrede, dass die finanziellen Schwierigkeiten bereits im Jahr 2004 begonnen haben. Die sich zuspitzende finanzielle Schieflage der ehelichen Finanzen hat sich gemäss den Schilderungen der Ehefrau über die Jahre hinweg akkumuliert und im Frühjahr 2012 ein derartiges Ausmass angenommen (Überziehen des Bankkontos um Fr. 2'000.-, Sperrung des Kontos), dass sie sich gezwungen sah, sich von ihrem Ehemann zu trennen und die Scheidung einzureichen. Der Beschwerdeführer hat jahrelang auf Kosten seiner Ex-Ehefrau gelebt und ist ihrem Wunsch auf finanzielle Entlastung nicht nachgekommen.
10.3 Demzufolge durfte die Vorinstanz zu Recht vermuten, dass die vom Beschwerdeführer am 2. Mai 2011 unterschriftlich bestätigte intakte Ehegemeinschaft zu diesem Zeitpunkt längst nicht mehr bestand.
11.
Damit stellt sich die Frage, ob die vom Beschwerdeführer im Rechtsmittelverfahren vorgebrachten weiteren Argumente eine andere Schlussfolgerung erlauben. Insofern müsste der Beschwerdeführer glaubhaft aufzeigen, dass ein erst nach der Einbürgerung eingetretenes, ausserordentliches Ereignis zum Scheitern der Ehe führte, oder aber, dass er die Schwere der ehelichen Probleme nicht erkannte und aufrichtig an den Fortbestand der Ehe glaubte (vgl. E. 5.2).
11.1 Der Beschwerdeführer liess geltend machen, die Eheleute hätten bis im Frühling 2012 keinerlei Trennungsabsichten gehabt. Noch im Februar 2012 hätten sie gemeinsam einen Mietvertrag für eine neue Wohnung unterzeichnet. Dies gehe auch aus dem Fragebogen der Ehefrau an die Vorinstanz hervor, wonach von einer definitiven Trennung erst im September/Oktober 2012 die Rede gewesen sei. Auslöser der Krise sei der Todesfall seiner Mutter und seine damit einhergehende psychische Krise gewesen. Mit der Veränderung seines psychischen Zustands habe sich wahrscheinlich auch seine Persönlichkeit verändert. Dies habe zu einer Kurzschlussreaktion geführt und sie hätten sich getrennt.
11.2 Ob die Eheleute ihre Trennung tatsächlich erst im September/Oktober 2012 thematisierten oder diese eine Kurzschlusshandlung gewesen sein soll, kann dahin gestellt bleiben. Der Beschwerdeführer musste sich aufgrund ihrer desolaten finanziellen Situation schon lange vor der Einbürgerung über die destruktive Entwicklung des Zusammenlebens und die insoweit fehlenden Zukunftsperspektiven im Klaren gewesen sein (vgl. E. 10.2.3)
11.3 Bezüglich der Referenzschreiben der Mutter der Ex-Ehefrau und einer weiteren Person gilt es festzuhalten, dass Referenzen von Verwandten, Freunden und Bekannten die Wahrnehmung durch Drittpersonen über das äussere Erscheinungsbild des Ehepaares (gemeinsame Wohnung bzw. gemeinsames Auftreten in der Öffentlichkeit) schildern. Für die Beurteilung der hier wesentlichen Frage, ob die Ehe im fraglichen Zeitpunkt stabil und auf die Zukunft gerichtet war, erweisen sich solche Bestätigungen regelmässig nicht als besonders aufschlussreich (vgl. dazu Urteil des BVGer C-439/2013 vom 22. Oktober 2014 E. 8.6 m.H.). Dies gilt auch für die von der Rechtsvertreterin eingereichten, undatierten Fotos, die den Beschwerdeführer im Kreise seiner Familie zeigen.
11.4. Zu keinem anderen Ergebnis führt, dass die Initiative zur Trennung und Scheidung einseitig von der damaligen Ehefrau des Beschwerdeführers ausgegangen sein soll, kann die erleichterte Einbürgerung doch nicht als "Belohnung" für eigenes eheliches Wohlverhalten betrachtet werden. Mit dem einheitlichen Bürgerrecht der Ehegatten wollte der Gesetzgeber vielmehr ihre gemeinsame Zukunft fördern (vgl. BGE 130 II 482 E. 2 S. 483 f.). Es kommt mit anderen Worten nicht darauf an, welcher Ehepartner für die Auflösung der Ehe die Hauptverantwortung trägt. Zu prüfen ist lediglich, ob aufgrund der gesamten Umstände für den Zeitpunkt der gemeinsamen Erklärung und der Einbürgerung eine intakte und stabile Ehesituation angenommen werden kann (siehe Urteil des BVGer C-4576/2013 vom 12. Juni 2014 E. 11.4 m.H.).
12.
Sofern der Beschwerdeführer eventualiter geltend machen liess, er sei persönlich anzuhören, ist festzustellen, dass Auskünfte von Parteien und Dritten (Art. 12 Bst. b

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 12 - L'autorité constate les faits d'office et procède s'il y a lieu à l'administration de preuves par les moyens ci-après: |
|
a | documents; |
b | renseignements des parties; |
c | renseignements ou témoignages de tiers; |
d | visite des lieux; |
e | expertises. |
13.
Zusammenfassend ist es dem Beschwerdeführer nicht gelungen, eine plausible Alternative zur dargestellten Vermutungsfolge zu präsentieren und damit die gegen ihn sprechende tatsächliche Vermutung in Frage zu stellen, wonach er und seine damalige Ehefrau im Zeitpunkt der Unter-zeichnung der gemeinsamen Erklärung bzw. der erleichterten Einbürge-rung nicht (mehr) in einer tatsächlichen und stabilen ehelichen Gemein-schaft lebten. Es ist demnach davon auszugehen, dass die erleichterte Ein-bürgerung im Sinne von Art. 41

SR 141.0 Loi du 20 juin 2014 sur la nationalité suisse (LN) - Loi sur la nationalité LN Art. 41 Droits de cité multiples - 1 Le citoyen suisse qui possède le droit de cité de plusieurs cantons peut présenter la demande dans le canton d'origine de son choix. |
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1 | Le citoyen suisse qui possède le droit de cité de plusieurs cantons peut présenter la demande dans le canton d'origine de son choix. |
2 | Lorsqu'un canton d'origine donne une suite favorable à la demande, la notification de la décision entraîne la perte de la nationalité suisse et de tous les droits de cité cantonaux et communaux. |
3 | Le canton qui a statué sur la libération en informe d'office les autres cantons d'origine. |
14.
Die angefochtene Verfügung ist als rechtmässig und angemessen zu bestätigen (Art. 49

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 49 - Le recourant peut invoquer: |
|
a | la violation du droit fédéral, y compris l'excès ou l'abus du pouvoir d'appréciation; |
b | la constatation inexacte ou incomplète des faits pertinents; |
c | l'inopportunité: ce grief ne peut être invoqué lorsqu'une autorité cantonale a statué comme autorité de recours. |
15.
15.1 Bei diesem Verfahrensausgang würde der Beschwerdeführer grundsätzlich kostenpflichtig (Art. 63 Abs. 1

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 63 - 1 En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis. |
|
1 | En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis. |
2 | Aucun frais de procédure n'est mis à la charge des autorités inférieures, ni des autorités fédérales recourantes et déboutées; si l'autorité recourante qui succombe n'est pas une autorité fédérale, les frais de procédure sont mis à sa charge dans la mesure où le litige porte sur des intérêts pécuniaires de collectivités ou d'établissements autonomes. |
3 | Des frais de procédure ne peuvent être mis à la charge de la partie qui a gain de cause que si elle les a occasionnés en violant des règles de procédure. |
4 | L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur perçoit du recourant une avance de frais équivalant aux frais de procédure présumés. Elle lui impartit pour le versement de cette créance un délai raisonnable en l'avertissant qu'à défaut de paiement elle n'entrera pas en matière. Si des motifs particuliers le justifient, elle peut renoncer à percevoir la totalité ou une partie de l'avance de frais.101 |
4bis | L'émolument d'arrêté est calculé en fonction de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la manière de procéder des parties et de leur situation financière. Son montant est fixé: |
a | entre 100 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 100 et 50 000 francs dans les autres contestations.102 |
5 | Le Conseil fédéral établit un tarif des émoluments.103 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral104 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales105 sont réservés.106 |

SR 173.320.2 Règlement du 21 février 2008 concernant les frais, dépens et indemnités fixés par le Tribunal administratif fédéral (FITAF) FITAF Art. 1 Frais de procédure - 1 Les frais de procédure devant le Tribunal administratif fédéral (tribunal) comprennent l'émolument judiciaire et les débours. |
|
1 | Les frais de procédure devant le Tribunal administratif fédéral (tribunal) comprennent l'émolument judiciaire et les débours. |
2 | L'émolument judiciaire couvre les frais de photocopie des mémoires et les frais administratifs normaux, tels que les frais pour le personnel, les locaux et le matériel ainsi que les frais postaux, téléphoniques et de télécopie. |
3 | Les débours comprennent notamment les frais de traduction et les frais occasionnés par l'administration des preuves. Les frais de traduction ne sont pas facturés lorsqu'il s'agit de la traduction d'une langue officielle à une autre. |

SR 173.320.2 Règlement du 21 février 2008 concernant les frais, dépens et indemnités fixés par le Tribunal administratif fédéral (FITAF) FITAF Art. 2 Calcul de l'émolument judiciaire - 1 L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. Les modes de calcul des frais prévus par des lois spéciales sont réservés. |
|
1 | L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. Les modes de calcul des frais prévus par des lois spéciales sont réservés. |
2 | Le tribunal peut fixer un émolument judiciaire dépassant les montants maximaux visés aux art. 3 et 4, si des motifs particuliers le justifient, notamment une procédure téméraire ou nécessitant un travail exceptionnel.2 |
3 | S'agissant de décisions relatives à des mesures provisionnelles, à la récusation, à la restitution d'un délai, à la révision ou à l'interprétation d'une décision, ainsi que de recours formés contre des décisions incidentes, les frais peuvent être revus à la baisse compte tenu du travail réduit qui en découle. Les montants minimaux mentionnés aux art. 3 et 4 doivent être respectés. |

SR 173.320.2 Règlement du 21 février 2008 concernant les frais, dépens et indemnités fixés par le Tribunal administratif fédéral (FITAF) FITAF Art. 3 Emolument judiciaire dans les contestations non pécuniaires - Dans les contestations non pécuniaires, le montant de l'émolument judiciaire se situe entre: |
|
a | 200 et 3000 francs dans les contestations tranchées à juge unique; |
b | 200 et 5000 francs dans les autres cas. |
15.2 Gemäss Art. 65 Abs. 1

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 65 - 1 Après le dépôt du recours, la partie qui ne dispose pas de ressources suffisantes et dont les conclusions ne paraissent pas d'emblée vouées à l'échec est, à sa demande, dispensée par l'autorité de recours, son président ou le juge instructeur de payer les frais de procédure.111 |
|
1 | Après le dépôt du recours, la partie qui ne dispose pas de ressources suffisantes et dont les conclusions ne paraissent pas d'emblée vouées à l'échec est, à sa demande, dispensée par l'autorité de recours, son président ou le juge instructeur de payer les frais de procédure.111 |
2 | L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur attribue en outre un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert.112 |
3 | Les frais et honoraires d'avocat sont supportés conformément à l'art. 64, al. 2 à 4. |
4 | Si la partie indigente revient à meilleure fortune, elle est tenue de rembourser les honoraires et les frais d'avocat à la collectivité ou à l'établissement autonome qui les a payés. |
5 | Le Conseil fédéral établit un tarif des honoraires et des frais.113 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral114 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales115 sont réservés.116 |

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 65 - 1 Après le dépôt du recours, la partie qui ne dispose pas de ressources suffisantes et dont les conclusions ne paraissent pas d'emblée vouées à l'échec est, à sa demande, dispensée par l'autorité de recours, son président ou le juge instructeur de payer les frais de procédure.111 |
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1 | Après le dépôt du recours, la partie qui ne dispose pas de ressources suffisantes et dont les conclusions ne paraissent pas d'emblée vouées à l'échec est, à sa demande, dispensée par l'autorité de recours, son président ou le juge instructeur de payer les frais de procédure.111 |
2 | L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur attribue en outre un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert.112 |
3 | Les frais et honoraires d'avocat sont supportés conformément à l'art. 64, al. 2 à 4. |
4 | Si la partie indigente revient à meilleure fortune, elle est tenue de rembourser les honoraires et les frais d'avocat à la collectivité ou à l'établissement autonome qui les a payés. |
5 | Le Conseil fédéral établit un tarif des honoraires et des frais.113 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral114 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales115 sont réservés.116 |
15.3 Das Gesuch um Gewährung der unentgeltlichen Prozessführung samt Verbeiständung im Sinne von Art. 65 Abs. 1

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 65 - 1 Après le dépôt du recours, la partie qui ne dispose pas de ressources suffisantes et dont les conclusions ne paraissent pas d'emblée vouées à l'échec est, à sa demande, dispensée par l'autorité de recours, son président ou le juge instructeur de payer les frais de procédure.111 |
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1 | Après le dépôt du recours, la partie qui ne dispose pas de ressources suffisantes et dont les conclusions ne paraissent pas d'emblée vouées à l'échec est, à sa demande, dispensée par l'autorité de recours, son président ou le juge instructeur de payer les frais de procédure.111 |
2 | L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur attribue en outre un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert.112 |
3 | Les frais et honoraires d'avocat sont supportés conformément à l'art. 64, al. 2 à 4. |
4 | Si la partie indigente revient à meilleure fortune, elle est tenue de rembourser les honoraires et les frais d'avocat à la collectivité ou à l'établissement autonome qui les a payés. |
5 | Le Conseil fédéral établit un tarif des honoraires et des frais.113 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral114 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales115 sont réservés.116 |

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 65 - 1 Après le dépôt du recours, la partie qui ne dispose pas de ressources suffisantes et dont les conclusions ne paraissent pas d'emblée vouées à l'échec est, à sa demande, dispensée par l'autorité de recours, son président ou le juge instructeur de payer les frais de procédure.111 |
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1 | Après le dépôt du recours, la partie qui ne dispose pas de ressources suffisantes et dont les conclusions ne paraissent pas d'emblée vouées à l'échec est, à sa demande, dispensée par l'autorité de recours, son président ou le juge instructeur de payer les frais de procédure.111 |
2 | L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur attribue en outre un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert.112 |
3 | Les frais et honoraires d'avocat sont supportés conformément à l'art. 64, al. 2 à 4. |
4 | Si la partie indigente revient à meilleure fortune, elle est tenue de rembourser les honoraires et les frais d'avocat à la collectivité ou à l'établissement autonome qui les a payés. |
5 | Le Conseil fédéral établit un tarif des honoraires et des frais.113 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral114 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales115 sont réservés.116 |

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 65 - 1 Après le dépôt du recours, la partie qui ne dispose pas de ressources suffisantes et dont les conclusions ne paraissent pas d'emblée vouées à l'échec est, à sa demande, dispensée par l'autorité de recours, son président ou le juge instructeur de payer les frais de procédure.111 |
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1 | Après le dépôt du recours, la partie qui ne dispose pas de ressources suffisantes et dont les conclusions ne paraissent pas d'emblée vouées à l'échec est, à sa demande, dispensée par l'autorité de recours, son président ou le juge instructeur de payer les frais de procédure.111 |
2 | L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur attribue en outre un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert.112 |
3 | Les frais et honoraires d'avocat sont supportés conformément à l'art. 64, al. 2 à 4. |
4 | Si la partie indigente revient à meilleure fortune, elle est tenue de rembourser les honoraires et les frais d'avocat à la collectivité ou à l'établissement autonome qui les a payés. |
5 | Le Conseil fédéral établit un tarif des honoraires et des frais.113 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral114 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales115 sont réservés.116 |

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 63 - 1 En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis. |
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1 | En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis. |
2 | Aucun frais de procédure n'est mis à la charge des autorités inférieures, ni des autorités fédérales recourantes et déboutées; si l'autorité recourante qui succombe n'est pas une autorité fédérale, les frais de procédure sont mis à sa charge dans la mesure où le litige porte sur des intérêts pécuniaires de collectivités ou d'établissements autonomes. |
3 | Des frais de procédure ne peuvent être mis à la charge de la partie qui a gain de cause que si elle les a occasionnés en violant des règles de procédure. |
4 | L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur perçoit du recourant une avance de frais équivalant aux frais de procédure présumés. Elle lui impartit pour le versement de cette créance un délai raisonnable en l'avertissant qu'à défaut de paiement elle n'entrera pas en matière. Si des motifs particuliers le justifient, elle peut renoncer à percevoir la totalité ou une partie de l'avance de frais.101 |
4bis | L'émolument d'arrêté est calculé en fonction de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la manière de procéder des parties et de leur situation financière. Son montant est fixé: |
a | entre 100 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 100 et 50 000 francs dans les autres contestations.102 |
5 | Le Conseil fédéral établit un tarif des émoluments.103 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral104 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales105 sont réservés.106 |
(Dispositiv nächste Seite)
Demnach erkennt das Bundesverwaltungsgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Dem Gesuch um unentgeltliche Prozessführung samt Verbeiständung wird nicht stattgegeben.
3.
Die Verfahrenskosten von Fr. 1'200.- werden dem Beschwerdeführer auf-erlegt. Dieser Betrag ist innert 30 Tagen nach Eintritt der Rechtskraft des vorliegenden Urteils zu Gunsten der Gerichtskasse zu überweisen. Die Zustellung des Einzahlungsscheins erfolgt mit separater Post.
4.
Dieses Urteil geht an:
- den Beschwerdeführer (Gerichtsurkunde)
- die Vorinstanz (gegen Empfangsbestätigung; Akten [...] retour)
- das Gemeindeamt des Kantons Zürich, Abteilung Einbürgerungen, Feldstrasse 40, Postfach, 8090 Zürich
Der vorsitzende Richter: Die Gerichtsschreiberin:
Antonio Imoberdorf Mirjam Angehrn
Rechtsmittelbelehrung:
Gegen diesen Entscheid kann innert 30 Tagen nach Eröffnung beim Bundesgericht, 1000 Lausanne 14, Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten geführt werden (Art. 82 ff

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours: |
|
a | contre les décisions rendues dans des causes de droit public; |
b | contre les actes normatifs cantonaux; |
c | qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
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