Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
6B 764/2022
Arrêt du 17 avril 2023
Cour de droit pénal
Composition
Mme et MM. les Juges fédéraux
Denys, Juge présidant, Muschietti et Koch.
Greffière: Mme Thalmann.
Participants à la procédure
A.A.________,
représenté par Me Ilir Cenko, avocat,
recourant,
contre
Ministère public de la République et canton de Genève,
route de Chancy 6B, 1213 Petit-Lancy,
intimé.
Objet
Ordonnance de refus de reprise de la procédure; ordonnance de non-entrée en matière (escroquerie, etc.),
recours contre l'arrêt de la Cour de justice de la République et canton de Genève, Chambre pénale
de recours, du 9 mai 2022 (ACPR/333/2022 et ACPR/334/2022 P/11660/2019 et P/2017/2022).
Faits :
A.
Par ordonnance du 16 décembre 2021, le Ministère public de la République et canton de Genève a refusé de reprendre la procédure préliminaire P/11660/2019, classée le 22 juillet 2019.
Par ordonnance du 28 janvier 2022, le ministère public a également refusé d'entrer en matière sur la plainte déposée le 27 août 2021 par A.A.________ dans la procédure P/2017/2022.
B.
Par arrêt du 9 mai 2022, la Chambre pénale de recours de la Cour de justice du canton de Genève a ordonné la jonction des recours formés par A.A.________ contre les ordonnances précitées, les a rejetés et a mis les frais de la procédure à la charge du prénommé.
En bref, il en ressort les faits suivants:
B.a. A.A.________ et B.A.________ se sont mariés en 1996. De leur union sont issus deux enfants, C.A.________ né en 1999 et D.A.________ née en 2000.
Le 21 septembre 2007, la grand-mère de A.A.________ a constitué le E.________ Trust, trust discrétionnaire détenant la société F.________ Ltd, laquelle était titulaire de deux comptes ouverts auprès de la banque G.________. Les bénéficiaires étaient A.A.________ et B.A.________ ainsi que leurs deux enfants.
Le 15 août 2017, A.A.________ a informé la banque G.________ de son souhait que seule son épouse, en première ligne, puis ses enfants, soient bénéficiaires du trust. Les intéressés se sont rencontrés dans cette perspective le 17 août 2017, en présence de B.A.________.
Le 7 septembre 2017, A.A.________ a été exclu du trust, sa procuration ayant été annulée le 28 septembre suivant.
Par lettre d'intention du 16 février 2018, B.A.________ et ses enfants ont requis la dissolution de E.________ Trust en vue de la création du H.________ Trust auprès de la banque I.________ à U.________.
Selon la lettre d'intention du 25 mars 2018, signée par les trois bénéficiaires, tous les fonds et le portefeuille de titres de E.________ Trust ont été transférés sur le compte ouvert par B.A.________ auprès de la banque I.________ à U.________.
Au 31 octobre 2018, le total des actifs était de 10'388'311 fr. 26.
B.b. Le 3 juin 2019, A.A.________ a déposé plainte pénale contre B.A.________ pour abus de confiance, escroquerie, menaces, contrainte et blanchiment d'argent. Il a en outre déposé une plainte complémentaire, en juillet 2019, pour faux dans les titres.
En substance, il a exposé que B.A.________ avait découvert, en 2017, qu'il avait par le passé eu recours aux services de " call-girls ". Celle-ci l'aurait par la suite amené à croire qu'il faisait l'objet d'une enquête internationale notamment en lien avec la prostitution et que la mafia vietnamienne de V.________ - où A.A.________ avait fréquenté une " call-girl " - le recherchait. Le prénommé a expliqué que, dans ce contexte, B.A.________ l'aurait persuadé - pour le bien et la sécurité de la famille - de rayer son nom de ses relations bancaires. Craignant de voir ses actifs bloqués, il avait donc effectué tous les changements nécessaires sur ses comptes et le trust, qu'il précisait avoir alimenté seul. Ce stratagème avait abouti, dans un premier temps, à ce qu'il soit exclu du cercle des bénéficiaires du trust.
Dans un second temps, B.A.________ aurait tenté, par la procédure de divorce, de s'accaparer la totalité des avoirs confiés, alors que, selon l'acte de liquidation du régime matrimonial qu'il avait signé le 30 novembre 2018, seule la somme de 2'500'000 EUR devait lui revenir. Par ailleurs, A.A.________ a indiqué que son épouse lui avait demandé le divorce en novembre 2018. Des documents sur le partage des biens avaient été établis et signés devant le notaire. La liquidation n'avait cependant pas concerné les biens sis en Suisse.
Par ordonnance du 22 juillet 2019, le Ministère public de la République et canton de Genève a classé la procédure ouverte ensuite de cette plainte et a ordonné la levée du séquestre portant sur le compte détenu par B.A.________ auprès de la banque I.________ n° xxxxxxxxxxx.
Par arrêt du 14 janvier 2020, la Chambre pénale de recours de la Cour de justice du canton de Genève a rejeté le recours formé par A.A.________ contre cette ordonnance.
Par arrêt du 9 avril 2020 (6B 199/2020), le Tribunal fédéral a rejeté dans la mesure de sa recevabilité le recours déposé par A.A.________ contre l'arrêt du 14 janvier 2020.
B.c. Par requête du 27 août 2021, A.A.________ a sollicité la reprise de la procédure P/11660/2019 et le séquestre des actifs déposés sur le compte ouvert par B.A.________. A l'appui de sa requête, il a produit 25 pièces.
Il a fait valoir que la plainte pénale déposée contre son ex-épouse par sa fille, D.A.________, le 9 septembre 2020 confortait ses propres allégations relatives à la tromperie astucieuse par laquelle B.A.________ l'avait amené à renoncer à ses droits et ses expectatives sur les avoirs de E.________ Trust.
En octobre 2020, soit immédiatement après la levée du séquestre civil, B.A.________ aurait pris des dispositions en vue d'exécuter des transferts en espèces à destination de banques tierces, contrairement à l'accord des parties selon lequel les avoirs devaient être gérés dans l'intérêt des quatre membres de la famille jusqu'à leur transfert à un nouveau trust, dont les enfants seraient bénéficiaires.
Enfin, B.A.________ ne pouvait plus se prévaloir d'une quelconque cause juridique pour justifier l'attribution de l'intégralité des avoirs dont il avait doté le trust familial compte tenu du constat de nullité de plein droit de leur divorce et de la liquidation du régime matrimonial du 30 novembre 2018, intervenu par jugement du Tribunal de Madrid du 5 juillet 2021.
B.d. Le même 27 août 2021, A.A.________ s'est rendu auprès du ministère public pour déposer une plainte complémentaire, confirmée par pli du 22 décembre 2021, contre B.A.________ pour "faux d'identité" et tentative d'abus de confiance (P/2017/2022), à l'appui de laquelle il a produit 33 pièces.
En substance, il reprenait les raisons ayant mené à son exclusion du trust, notamment les craintes ressenties par les membres de la famille quant à une enquête des autorités de V.________. Il exposait les circonstances dans lesquelles étaient intervenues l'annonce du divorce et l'absence totale d'informations au sujet de ses droits, ainsi que sa compréhension de l'acte de liquidation du régime matrimonial du 30 novembre 2018 présenté au notaire, qui avait été antidaté par son épouse au 30 août 2018, afin de s'accaparer la totalité des avoirs.
Selon le recourant, il n'avait eu connaissance des modalités de constitution du nouveau trust que durant l'été 2021, n'ayant plus été mis en copie des échanges intervenus entre les banques et B.A.________.
En outre, B.A.________ utiliserait désormais l'identité de B._________, de sorte qu'il convenait de déterminer son identité principale et procéder aux changements nécessaires dans les bases de données du ministère public et d'examiner une possible infraction "d'abus d'identité".
C.
A.A.________ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 9 mai 2022. Il conclut, avec suite de frais et dépens, préalablement à ce qu'il soit constaté que la partie à la procédure P/11660/2019 a pour nom B._________ (et non "B.A.________"), principalement à l'annulation de l'arrêt entrepris, à la réforme de l'ordonnance du 16 décembre 2021 en ce sens qu'il est ordonné au ministère public de reprendre la procédure et de procéder à l'audition de la prénommée ainsi que des responsables de la banque I.________ à U.________ et au séquestre du compte n° xxxxxxxxxxx ouvert auprès de cette banque et à la réforme de l'ordonnance du 28 décembre 2022 en ce sens que le ministère public est enjoint d'entrer en matière sur la plainte complémentaire du 27 août 2021 et d'ouvrir une instruction sur les faits visés dans celle-ci "en vue de la jonction des procédures actuellement pendantes devant le ministère public sous numéro de procédure P/13647/2020 qui concernent le même complexe de faits et les mêmes parties". Subsidiairement, il conclut à ce qu'il soit ordonné à la cour cantonale d'enjoindre le ministère public de reprendre la procédure préliminaire à l'encontre de B._________ et d'entrer en matière sur la plainte
complémentaire du 27 août 2021. Plus subsidiairement encore, il conclut au renvoi de la cause à la cour cantonale afin qu'elle statue dans le sens des considérants.
Considérant en droit :
1.
Le présent arrêt porte sur le refus du ministère public d'ordonner la reprise de la procédure pénale, ayant fait l'objet d'un classement, ainsi que sur son refus d'entrer en matière sur la plainte complémentaire déposée par le recourant le 27 août 2021.
2.
Le Tribunal fédéral examine d'office (art. 29 al. 1
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 29 Prüfung - 1 Das Bundesgericht prüft seine Zuständigkeit von Amtes wegen. |
|
1 | Das Bundesgericht prüft seine Zuständigkeit von Amtes wegen. |
2 | Bestehen Zweifel, ob das Bundesgericht oder eine andere Behörde zuständig ist, so führt das Gericht mit dieser Behörde einen Meinungsaustausch. |
2.1. Selon l'art. 81 al. 1 let. a
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 81 Beschwerderecht - 1 Zur Beschwerde in Strafsachen ist berechtigt, wer: |
|
1 | Zur Beschwerde in Strafsachen ist berechtigt, wer: |
a | vor der Vorinstanz am Verfahren teilgenommen hat oder keine Möglichkeit zur Teilnahme erhalten hat; und |
b | ein rechtlich geschütztes Interesse an der Aufhebung oder Änderung des angefochtenen Entscheids hat, insbesondere: |
b1 | die beschuldigte Person, |
b2 | ihr gesetzlicher Vertreter oder ihre gesetzliche Vertreterin, |
b3 | die Staatsanwaltschaft, ausser bei Entscheiden über die Anordnung, die Verlängerung und die Aufhebung der Untersuchungs- und Sicherheitshaft, |
b4 | ... |
b5 | die Privatklägerschaft, wenn der angefochtene Entscheid sich auf die Beurteilung ihrer Zivilansprüche auswirken kann, |
b6 | die Person, die den Strafantrag stellt, soweit es um das Strafantragsrecht als solches geht, |
b7 | die Staatsanwaltschaft des Bundes und die beteiligte Verwaltung in Verwaltungsstrafsachen nach dem Bundesgesetz vom 22. März 197455 über das Verwaltungsstrafrecht. |
2 | Eine Bundesbehörde ist zur Beschwerde berechtigt, wenn das Bundesrecht vorsieht, dass ihr der Entscheid mitzuteilen ist.56 |
3 | Gegen Entscheide nach Artikel 78 Absatz 2 Buchstabe b steht das Beschwerderecht auch der Bundeskanzlei, den Departementen des Bundes oder, soweit das Bundesrecht es vorsieht, den ihnen unterstellten Dienststellen zu, wenn der angefochtene Entscheid die Bundesgesetzgebung in ihrem Aufgabenbereich verletzen kann. |
SR 220 Erste Abteilung: Allgemeine Bestimmungen Erster Titel: Die Entstehung der Obligationen Erster Abschnitt: Die Entstehung durch Vertrag OR Art. 41 - 1 Wer einem andern widerrechtlich Schaden zufügt, sei es mit Absicht, sei es aus Fahrlässigkeit, wird ihm zum Ersatze verpflichtet. |
|
1 | Wer einem andern widerrechtlich Schaden zufügt, sei es mit Absicht, sei es aus Fahrlässigkeit, wird ihm zum Ersatze verpflichtet. |
2 | Ebenso ist zum Ersatze verpflichtet, wer einem andern in einer gegen die guten Sitten verstossenden Weise absichtlich Schaden zufügt. |
En vertu de l'art. 42 al. 1
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 42 Rechtsschriften - 1 Rechtsschriften sind in einer Amtssprache abzufassen und haben die Begehren, deren Begründung mit Angabe der Beweismittel und die Unterschrift zu enthalten. |
|
1 | Rechtsschriften sind in einer Amtssprache abzufassen und haben die Begehren, deren Begründung mit Angabe der Beweismittel und die Unterschrift zu enthalten. |
2 | In der Begründung ist in gedrängter Form darzulegen, inwiefern der angefochtene Akt Recht verletzt. Ist eine Beschwerde nur unter der Voraussetzung zulässig, dass sich eine Rechtsfrage von grundsätzlicher Bedeutung stellt oder aus anderen Gründen ein besonders bedeutender Fall vorliegt, so ist auszuführen, warum die jeweilige Voraussetzung erfüllt ist. 14 15 |
3 | Die Urkunden, auf die sich die Partei als Beweismittel beruft, sind beizulegen, soweit die Partei sie in Händen hat; richtet sich die Rechtsschrift gegen einen Entscheid, so ist auch dieser beizulegen. |
4 | Bei elektronischer Einreichung muss die Rechtsschrift von der Partei oder ihrem Vertreter beziehungsweise ihrer Vertreterin mit einer qualifizierten elektronischen Signatur gemäss Bundesgesetz vom 18. März 201616 über die elektronische Signatur versehen werden. Das Bundesgericht bestimmt in einem Reglement: |
a | das Format der Rechtsschrift und ihrer Beilagen; |
b | die Art und Weise der Übermittlung; |
c | die Voraussetzungen, unter denen bei technischen Problemen die Nachreichung von Dokumenten auf Papier verlangt werden kann.17 |
5 | Fehlen die Unterschrift der Partei oder ihrer Vertretung, deren Vollmacht oder die vorgeschriebenen Beilagen oder ist die Vertretung nicht zugelassen, so wird eine angemessene Frist zur Behebung des Mangels angesetzt mit der Androhung, dass die Rechtsschrift sonst unbeachtet bleibt. |
6 | Unleserliche, ungebührliche, unverständliche, übermässig weitschweifige oder nicht in einer Amtssprache verfasste Rechtsschriften können in gleicher Weise zur Änderung zurückgewiesen werden. |
7 | Rechtsschriften, die auf querulatorischer oder rechtsmissbräuchlicher Prozessführung beruhen, sind unzulässig. |
SR 312.0 Schweizerische Strafprozessordnung vom 5. Oktober 2007 (Strafprozessordnung, StPO) - Strafprozessordnung StPO Art. 119 Form und Inhalt der Erklärung - 1 Die geschädigte Person kann die Erklärung schriftlich oder mündlich zu Protokoll abgeben. |
|
1 | Die geschädigte Person kann die Erklärung schriftlich oder mündlich zu Protokoll abgeben. |
2 | In der Erklärung kann die geschädigte Person kumulativ oder alternativ: |
a | die Verfolgung und Bestrafung der für die Straftat verantwortlichen Person verlangen (Strafklage); |
b | adhäsionsweise privatrechtliche Ansprüche geltend machen, die aus der Straftat abgeleitet werden (Zivilklage). |
SR 312.0 Schweizerische Strafprozessordnung vom 5. Oktober 2007 (Strafprozessordnung, StPO) - Strafprozessordnung StPO Art. 320 Einstellungsverfügung - 1 Form und allgemeiner Inhalt der Einstellungsverfügung richten sich nach den Artikeln 80 und 81. |
|
1 | Form und allgemeiner Inhalt der Einstellungsverfügung richten sich nach den Artikeln 80 und 81. |
2 | Die Staatsanwaltschaft hebt in der Einstellungsverfügung bestehende Zwangsmassnahmen auf. Sie kann die Einziehung von Gegenständen und Vermögenswerten anordnen. |
3 | In der Einstellungsverfügung werden keine Zivilklagen behandelt. Der Privatklägerschaft steht nach Eintritt der Rechtskraft der Verfügung der Zivilweg offen. |
4 | Eine rechtskräftige Einstellungsverfügung kommt einem freisprechenden Endentscheid gleich. |
de la nature de l'infraction alléguée (ATF 141 IV 1 consid. 1.1).
Si la partie plaignante se plaint d'infractions distinctes, elle doit mentionner, par rapport à chacune d'elles, en quoi consiste son dommage (arrêt 6B 752/2020 du 8 juin 2021 consid. 1.1). Si le dommage n'est motivé qu'en ce qui concerne une des infractions, le recours est irrecevable pour les autres (arrêts 6B 752/2020 précité consid. 1.1; 6B 524/2019 du 24 octobre 2019 consid. 1.1).
2.2. En l'espèce, à l'appui de son recours, le recourant conteste le refus du ministère public, confirmé par la cour cantonale, d'entrer en matière sur les infractions de "faux d'identité", respectivement de tentative d'abus de confiance, qu'il a dénoncées dans sa plainte complémentaire du 27 août 2021. Or, concernant la première "infraction" dénoncée en lien avec le fait que B.A.________ utiliserait deux identités différentes, le recourant n'indique pas, dans son mémoire de recours, quelles prétentions civiles il entend faire valoir contre B.A.________ et ne précise pas non plus dans quelle mesure il aurait subi un éventuel dommage causé par les faits dénoncés. Le même constat peut être fait s'agissant de l'infraction de tentative d'abus de confiance par laquelle le recourant s'estime lésé en raison du fait que B.A.________ aurait pris des dispositions en vue du transfert en octobre 2020 d'une partie des fonds litigieux vers des banques tierces. Il ne démontre en effet pas quel préjudice il aurait subi par cette prétendue tentative de transfert. Ainsi, l'absence d'explications sur la question des prétentions civiles se rapportant aux infractions précitées exclut sa qualité pour recourir sur le fond de la cause au sens de l'art.
81 al. 1 let. a
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 81 Beschwerderecht - 1 Zur Beschwerde in Strafsachen ist berechtigt, wer: |
|
1 | Zur Beschwerde in Strafsachen ist berechtigt, wer: |
a | vor der Vorinstanz am Verfahren teilgenommen hat oder keine Möglichkeit zur Teilnahme erhalten hat; und |
b | ein rechtlich geschütztes Interesse an der Aufhebung oder Änderung des angefochtenen Entscheids hat, insbesondere: |
b1 | die beschuldigte Person, |
b2 | ihr gesetzlicher Vertreter oder ihre gesetzliche Vertreterin, |
b3 | die Staatsanwaltschaft, ausser bei Entscheiden über die Anordnung, die Verlängerung und die Aufhebung der Untersuchungs- und Sicherheitshaft, |
b4 | ... |
b5 | die Privatklägerschaft, wenn der angefochtene Entscheid sich auf die Beurteilung ihrer Zivilansprüche auswirken kann, |
b6 | die Person, die den Strafantrag stellt, soweit es um das Strafantragsrecht als solches geht, |
b7 | die Staatsanwaltschaft des Bundes und die beteiligte Verwaltung in Verwaltungsstrafsachen nach dem Bundesgesetz vom 22. März 197455 über das Verwaltungsstrafrecht. |
2 | Eine Bundesbehörde ist zur Beschwerde berechtigt, wenn das Bundesrecht vorsieht, dass ihr der Entscheid mitzuteilen ist.56 |
3 | Gegen Entscheide nach Artikel 78 Absatz 2 Buchstabe b steht das Beschwerderecht auch der Bundeskanzlei, den Departementen des Bundes oder, soweit das Bundesrecht es vorsieht, den ihnen unterstellten Dienststellen zu, wenn der angefochtene Entscheid die Bundesgesetzgebung in ihrem Aufgabenbereich verletzen kann. |
2.3. En ce qui concerne le volet du recours ayant trait à la reprise de la procédure pénale au sens de l'art. 323 al. 1
SR 312.0 Schweizerische Strafprozessordnung vom 5. Oktober 2007 (Strafprozessordnung, StPO) - Strafprozessordnung StPO Art. 323 Wiederaufnahme - 1 Die Staatsanwaltschaft verfügt die Wiederaufnahme eines durch Einstellungsverfügung rechtskräftig beendeten Verfahrens, wenn ihr neue Beweismittel oder Tatsachen bekannt werden, die: |
|
1 | Die Staatsanwaltschaft verfügt die Wiederaufnahme eines durch Einstellungsverfügung rechtskräftig beendeten Verfahrens, wenn ihr neue Beweismittel oder Tatsachen bekannt werden, die: |
a | für eine strafrechtliche Verantwortlichkeit der beschuldigten Person sprechen; und |
b | sich nicht aus den früheren Akten ergeben. |
2 | Sie teilt die Wiederaufnahme denjenigen Personen und Behörden mit, denen zuvor die Einstellung mitgeteilt worden ist. |
En définitive, la question de savoir si le recourant a suffisamment allégué quel dommage il aurait subi par la commission de chacune des infractions qu'il dénonce et quelles prétentions civiles il entend en déduire peut demeurer ouverte vu le sort du recours.
2.4. Indépendamment des conditions posées par l'art. 81 al. 1
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 81 Beschwerderecht - 1 Zur Beschwerde in Strafsachen ist berechtigt, wer: |
|
1 | Zur Beschwerde in Strafsachen ist berechtigt, wer: |
a | vor der Vorinstanz am Verfahren teilgenommen hat oder keine Möglichkeit zur Teilnahme erhalten hat; und |
b | ein rechtlich geschütztes Interesse an der Aufhebung oder Änderung des angefochtenen Entscheids hat, insbesondere: |
b1 | die beschuldigte Person, |
b2 | ihr gesetzlicher Vertreter oder ihre gesetzliche Vertreterin, |
b3 | die Staatsanwaltschaft, ausser bei Entscheiden über die Anordnung, die Verlängerung und die Aufhebung der Untersuchungs- und Sicherheitshaft, |
b4 | ... |
b5 | die Privatklägerschaft, wenn der angefochtene Entscheid sich auf die Beurteilung ihrer Zivilansprüche auswirken kann, |
b6 | die Person, die den Strafantrag stellt, soweit es um das Strafantragsrecht als solches geht, |
b7 | die Staatsanwaltschaft des Bundes und die beteiligte Verwaltung in Verwaltungsstrafsachen nach dem Bundesgesetz vom 22. März 197455 über das Verwaltungsstrafrecht. |
2 | Eine Bundesbehörde ist zur Beschwerde berechtigt, wenn das Bundesrecht vorsieht, dass ihr der Entscheid mitzuteilen ist.56 |
3 | Gegen Entscheide nach Artikel 78 Absatz 2 Buchstabe b steht das Beschwerderecht auch der Bundeskanzlei, den Departementen des Bundes oder, soweit das Bundesrecht es vorsieht, den ihnen unterstellten Dienststellen zu, wenn der angefochtene Entscheid die Bundesgesetzgebung in ihrem Aufgabenbereich verletzen kann. |
Le recourant a, à cet égard, en tout état de cause, qualité pour recourir s'agissant du grief de la violation de la garantie du droit d'accès à la justice qu'il soulève, tel qu'examiné ci-après, et ce dans la mesure où le moyen demeure distinct du fond.
3.
Le recourant reproche à B.A.________ d'avoir agi tout au long de la procédure sous le couvert d'une fausse identité. Ainsi, il invoque une violation de sa garantie d'accès au juge (art. 29 al. 1
SR 101 Bundesverfassung der Schweizerischen Eidgenossenschaft vom 18. April 1999 BV Art. 29 Allgemeine Verfahrensgarantien - 1 Jede Person hat in Verfahren vor Gerichts- und Verwaltungsinstanzen Anspruch auf gleiche und gerechte Behandlung sowie auf Beurteilung innert angemessener Frist. |
|
1 | Jede Person hat in Verfahren vor Gerichts- und Verwaltungsinstanzen Anspruch auf gleiche und gerechte Behandlung sowie auf Beurteilung innert angemessener Frist. |
2 | Die Parteien haben Anspruch auf rechtliches Gehör. |
3 | Jede Person, die nicht über die erforderlichen Mittel verfügt, hat Anspruch auf unentgeltliche Rechtspflege, wenn ihr Rechtsbegehren nicht aussichtslos erscheint. Soweit es zur Wahrung ihrer Rechte notwendig ist, hat sie ausserdem Anspruch auf unentgeltlichen Rechtsbeistand. |
SR 101 Bundesverfassung der Schweizerischen Eidgenossenschaft vom 18. April 1999 BV Art. 29a Rechtsweggarantie - Jede Person hat bei Rechtsstreitigkeiten Anspruch auf Beurteilung durch eine richterliche Behörde. Bund und Kantone können durch Gesetz die richterliche Beurteilung in Ausnahmefällen ausschliessen. |
3.1. En vertu de l'art. 29 al. 1
SR 101 Bundesverfassung der Schweizerischen Eidgenossenschaft vom 18. April 1999 BV Art. 29 Allgemeine Verfahrensgarantien - 1 Jede Person hat in Verfahren vor Gerichts- und Verwaltungsinstanzen Anspruch auf gleiche und gerechte Behandlung sowie auf Beurteilung innert angemessener Frist. |
|
1 | Jede Person hat in Verfahren vor Gerichts- und Verwaltungsinstanzen Anspruch auf gleiche und gerechte Behandlung sowie auf Beurteilung innert angemessener Frist. |
2 | Die Parteien haben Anspruch auf rechtliches Gehör. |
3 | Jede Person, die nicht über die erforderlichen Mittel verfügt, hat Anspruch auf unentgeltliche Rechtspflege, wenn ihr Rechtsbegehren nicht aussichtslos erscheint. Soweit es zur Wahrung ihrer Rechte notwendig ist, hat sie ausserdem Anspruch auf unentgeltlichen Rechtsbeistand. |
SR 101 Bundesverfassung der Schweizerischen Eidgenossenschaft vom 18. April 1999 BV Art. 29a Rechtsweggarantie - Jede Person hat bei Rechtsstreitigkeiten Anspruch auf Beurteilung durch eine richterliche Behörde. Bund und Kantone können durch Gesetz die richterliche Beurteilung in Ausnahmefällen ausschliessen. |
3.2. En l'espèce, selon le recourant, en refusant de rectifier l'identité de B.A.________, le ministère public aurait donné une apparence de licéité aux actes qu'elle aurait accomplis, propre à entraîner une confusion avec d'autres personnes. Il n'apparaît cependant pas que le recourant ait un intérêt à ce que l'identité de B.A.________ soit modifiée. On ne voit en effet pas en quoi il serait lésé par le fait que cette dernière fasse usage de son nom de jeune fille, respectivement de son nom de mariée, dans le cadre de la présente procédure, ni en quoi ce fait violerait son droit d'accès à la justice. Comme l'a d'ailleurs relevé à juste titre le ministère public, l'identité de la prénommée était connue des autorités judiciaires, de sorte qu'aucune confusion n'était possible quant à sa réelle identité. Le recourant ne démontre ainsi d'aucune manière en quoi sa situation aurait été impactée par le nom porté par son ex-épouse ni en quoi sa garantie d'accès à la justice en aurait été entravée. Le grief du recourant est partant mal fondé et doit être rejeté, dans la mesure où il est recevable.
Pour les mêmes raisons, sa conclusion tendant à ce qu'il soit constaté que "la partie à la procédure P/11660/2019 a pour nom B._________ (et non "B.A.________") " est aussi rejetée dans la mesure où elle est recevable.
4.
Le recourant se plaint d'une violation de son droit d'être entendu (art. 29 al. 2
SR 101 Bundesverfassung der Schweizerischen Eidgenossenschaft vom 18. April 1999 BV Art. 29 Allgemeine Verfahrensgarantien - 1 Jede Person hat in Verfahren vor Gerichts- und Verwaltungsinstanzen Anspruch auf gleiche und gerechte Behandlung sowie auf Beurteilung innert angemessener Frist. |
|
1 | Jede Person hat in Verfahren vor Gerichts- und Verwaltungsinstanzen Anspruch auf gleiche und gerechte Behandlung sowie auf Beurteilung innert angemessener Frist. |
2 | Die Parteien haben Anspruch auf rechtliches Gehör. |
3 | Jede Person, die nicht über die erforderlichen Mittel verfügt, hat Anspruch auf unentgeltliche Rechtspflege, wenn ihr Rechtsbegehren nicht aussichtslos erscheint. Soweit es zur Wahrung ihrer Rechte notwendig ist, hat sie ausserdem Anspruch auf unentgeltlichen Rechtsbeistand. |
4.1. Le droit d'être entendu, tel qu'il est garanti par l'art. 29 al. 2
SR 101 Bundesverfassung der Schweizerischen Eidgenossenschaft vom 18. April 1999 BV Art. 29 Allgemeine Verfahrensgarantien - 1 Jede Person hat in Verfahren vor Gerichts- und Verwaltungsinstanzen Anspruch auf gleiche und gerechte Behandlung sowie auf Beurteilung innert angemessener Frist. |
|
1 | Jede Person hat in Verfahren vor Gerichts- und Verwaltungsinstanzen Anspruch auf gleiche und gerechte Behandlung sowie auf Beurteilung innert angemessener Frist. |
2 | Die Parteien haben Anspruch auf rechtliches Gehör. |
3 | Jede Person, die nicht über die erforderlichen Mittel verfügt, hat Anspruch auf unentgeltliche Rechtspflege, wenn ihr Rechtsbegehren nicht aussichtslos erscheint. Soweit es zur Wahrung ihrer Rechte notwendig ist, hat sie ausserdem Anspruch auf unentgeltlichen Rechtsbeistand. |
SR 312.0 Schweizerische Strafprozessordnung vom 5. Oktober 2007 (Strafprozessordnung, StPO) - Strafprozessordnung StPO Art. 318 Abschluss - 1 Erachtet die Staatsanwaltschaft die Untersuchung als vollständig, so erlässt sie einen Strafbefehl oder kündigt den Parteien mit bekanntem Wohnsitz schriftlich den bevorstehenden Abschluss an und teilt ihnen mit, ob sie Anklage erheben oder das Verfahren einstellen will. Gleichzeitig setzt sie den Parteien eine Frist, Beweisanträge zu stellen. |
|
1 | Erachtet die Staatsanwaltschaft die Untersuchung als vollständig, so erlässt sie einen Strafbefehl oder kündigt den Parteien mit bekanntem Wohnsitz schriftlich den bevorstehenden Abschluss an und teilt ihnen mit, ob sie Anklage erheben oder das Verfahren einstellen will. Gleichzeitig setzt sie den Parteien eine Frist, Beweisanträge zu stellen. |
1bis | Sie teilt den geschädigten Personen mit bekanntem Wohnsitz, die noch nicht über ihre Rechte informiert wurden, schriftlich mit, dass sie einen Strafbefehl erlassen, Anklage erheben oder das Verfahren durch Einstellung abschliessen will, und setzt ihnen eine Frist, innerhalb welcher sie sich als Privatklägerschaft konstituieren und Beweisanträge stellen können.236 |
2 | Sie kann Beweisanträge nur ablehnen, wenn damit die Beweiserhebung über Tatsachen verlangt wird, die unerheblich, offenkundig, der Strafbehörde bekannt oder bereits rechtsgenügend erwiesen sind. Der Entscheid ergeht schriftlich und mit kurzer Begründung. Abgelehnte Beweisanträge können im Hauptverfahren erneut gestellt werden. |
3 | Mitteilungen nach den Absätzen 1 und 1bis sowie Entscheide nach Absatz 2 sind nicht anfechtbar.237 |
SR 312.0 Schweizerische Strafprozessordnung vom 5. Oktober 2007 (Strafprozessordnung, StPO) - Strafprozessordnung StPO Art. 139 Grundsätze - 1 Die Strafbehörden setzen zur Wahrheitsfindung alle nach dem Stand von Wissenschaft und Erfahrung geeigneten Beweismittel ein, die rechtlich zulässig sind. |
|
1 | Die Strafbehörden setzen zur Wahrheitsfindung alle nach dem Stand von Wissenschaft und Erfahrung geeigneten Beweismittel ein, die rechtlich zulässig sind. |
2 | Über Tatsachen, die unerheblich, offenkundig, der Strafbehörde bekannt oder bereits rechtsgenügend erwiesen sind, wird nicht Beweis geführt. |
pertinence du moyen de preuve offert, à laquelle le juge a ainsi procédé, est entachée d'arbitraire (ATF 144 II 427 consid. 3.1.3; 141 I 60 consid. 3.3; 136 I 229 consid. 5.3).
4.2. En l'espèce, il apparaît douteux que le grief du recourant remplisse les conditions de motivation au sens des art. 42 al. 2
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 42 Rechtsschriften - 1 Rechtsschriften sind in einer Amtssprache abzufassen und haben die Begehren, deren Begründung mit Angabe der Beweismittel und die Unterschrift zu enthalten. |
|
1 | Rechtsschriften sind in einer Amtssprache abzufassen und haben die Begehren, deren Begründung mit Angabe der Beweismittel und die Unterschrift zu enthalten. |
2 | In der Begründung ist in gedrängter Form darzulegen, inwiefern der angefochtene Akt Recht verletzt. Ist eine Beschwerde nur unter der Voraussetzung zulässig, dass sich eine Rechtsfrage von grundsätzlicher Bedeutung stellt oder aus anderen Gründen ein besonders bedeutender Fall vorliegt, so ist auszuführen, warum die jeweilige Voraussetzung erfüllt ist. 14 15 |
3 | Die Urkunden, auf die sich die Partei als Beweismittel beruft, sind beizulegen, soweit die Partei sie in Händen hat; richtet sich die Rechtsschrift gegen einen Entscheid, so ist auch dieser beizulegen. |
4 | Bei elektronischer Einreichung muss die Rechtsschrift von der Partei oder ihrem Vertreter beziehungsweise ihrer Vertreterin mit einer qualifizierten elektronischen Signatur gemäss Bundesgesetz vom 18. März 201616 über die elektronische Signatur versehen werden. Das Bundesgericht bestimmt in einem Reglement: |
a | das Format der Rechtsschrift und ihrer Beilagen; |
b | die Art und Weise der Übermittlung; |
c | die Voraussetzungen, unter denen bei technischen Problemen die Nachreichung von Dokumenten auf Papier verlangt werden kann.17 |
5 | Fehlen die Unterschrift der Partei oder ihrer Vertretung, deren Vollmacht oder die vorgeschriebenen Beilagen oder ist die Vertretung nicht zugelassen, so wird eine angemessene Frist zur Behebung des Mangels angesetzt mit der Androhung, dass die Rechtsschrift sonst unbeachtet bleibt. |
6 | Unleserliche, ungebührliche, unverständliche, übermässig weitschweifige oder nicht in einer Amtssprache verfasste Rechtsschriften können in gleicher Weise zur Änderung zurückgewiesen werden. |
7 | Rechtsschriften, die auf querulatorischer oder rechtsmissbräuchlicher Prozessführung beruhen, sind unzulässig. |
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 106 Rechtsanwendung - 1 Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an. |
|
1 | Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an. |
2 | Es prüft die Verletzung von Grundrechten und von kantonalem und interkantonalem Recht nur insofern, als eine solche Rüge in der Beschwerde vorgebracht und begründet worden ist. |
Enfin, en tant que le recourant affirme qu'une audience orale aurait dû être tenue afin de respecter son droit d'être entendu, il développe ces critiques pour la première fois devant le Tribunal fédéral, de sorte qu'elles sont irrecevables sous l'angle du principe de la bonne foi (cf. ATF 143 IV 397 consid. 3.4.2) et faute d'épuisement des instances cantonales (cf. art. 80
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 80 Vorinstanzen - 1 Die Beschwerde ist zulässig gegen Entscheide letzter kantonaler Instanzen und gegen Entscheide der Beschwerdekammer und der Berufungskammer des Bundesstrafgerichts.48 |
|
1 | Die Beschwerde ist zulässig gegen Entscheide letzter kantonaler Instanzen und gegen Entscheide der Beschwerdekammer und der Berufungskammer des Bundesstrafgerichts.48 |
2 | Die Kantone setzen als letzte kantonale Instanzen obere Gerichte ein. Diese entscheiden als Rechtsmittelinstanzen. Ausgenommen sind die Fälle, in denen nach der Strafprozessordnung vom 5. Oktober 200749 (StPO) ein Zwangsmassnahmegericht oder ein anderes Gericht als einzige kantonale Instanz entscheidet.50 |
Le grief du recourant tiré d'une violation du droit d'être entendu doit être rejeté dans la mesure où il est recevable.
5.
Le recourant se plaint d'arbitraire dans les faits. Il reproche également à la cour cantonale de ne pas avoir ordonné la reprise de la procédure P/11660/2019 et invoque à ce titre une violation de l'art. 323
SR 312.0 Schweizerische Strafprozessordnung vom 5. Oktober 2007 (Strafprozessordnung, StPO) - Strafprozessordnung StPO Art. 323 Wiederaufnahme - 1 Die Staatsanwaltschaft verfügt die Wiederaufnahme eines durch Einstellungsverfügung rechtskräftig beendeten Verfahrens, wenn ihr neue Beweismittel oder Tatsachen bekannt werden, die: |
|
1 | Die Staatsanwaltschaft verfügt die Wiederaufnahme eines durch Einstellungsverfügung rechtskräftig beendeten Verfahrens, wenn ihr neue Beweismittel oder Tatsachen bekannt werden, die: |
a | für eine strafrechtliche Verantwortlichkeit der beschuldigten Person sprechen; und |
b | sich nicht aus den früheren Akten ergeben. |
2 | Sie teilt die Wiederaufnahme denjenigen Personen und Behörden mit, denen zuvor die Einstellung mitgeteilt worden ist. |
5.1. Selon l'art. 323 al. 1
SR 312.0 Schweizerische Strafprozessordnung vom 5. Oktober 2007 (Strafprozessordnung, StPO) - Strafprozessordnung StPO Art. 323 Wiederaufnahme - 1 Die Staatsanwaltschaft verfügt die Wiederaufnahme eines durch Einstellungsverfügung rechtskräftig beendeten Verfahrens, wenn ihr neue Beweismittel oder Tatsachen bekannt werden, die: |
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1 | Die Staatsanwaltschaft verfügt die Wiederaufnahme eines durch Einstellungsverfügung rechtskräftig beendeten Verfahrens, wenn ihr neue Beweismittel oder Tatsachen bekannt werden, die: |
a | für eine strafrechtliche Verantwortlichkeit der beschuldigten Person sprechen; und |
b | sich nicht aus den früheren Akten ergeben. |
2 | Sie teilt die Wiederaufnahme denjenigen Personen und Behörden mit, denen zuvor die Einstellung mitgeteilt worden ist. |
5.2. Les moyens de preuves sont nouveaux s'ils étaient inconnus au moment de rendre l'ordonnance de classement ou de non-entrée en matière. Ce qui est décisif, c'est de savoir si des informations pertinentes figuraient déjà au dossier ou non. Les moyens de preuves ne sont pas considérés comme nouveaux s'ils ont été cités, voire administrés, lors de la procédure close, sans être toutefois complètement exploités. En revanche, un fait ou un moyen de preuve sera qualifié de nouveau lorsque le ministère public ne pouvait pas en avoir connaissance dans la procédure antérieure, même en ayant fait l'objet de la plus grande diligence (ATF 141 IV 194 consid. 2.3 s.; arrêts 6B 1100/2020 du 16 décembre 2021 consid. 4.1; 6B 980/2019 du 9 octobre 2019 consid. 2.1).
La condition selon laquelle les moyens de preuves ou les faits nouveaux doivent révéler "une responsabilité pénale du prévenu" (art. 323 al. 1 let. a
SR 312.0 Schweizerische Strafprozessordnung vom 5. Oktober 2007 (Strafprozessordnung, StPO) - Strafprozessordnung StPO Art. 323 Wiederaufnahme - 1 Die Staatsanwaltschaft verfügt die Wiederaufnahme eines durch Einstellungsverfügung rechtskräftig beendeten Verfahrens, wenn ihr neue Beweismittel oder Tatsachen bekannt werden, die: |
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1 | Die Staatsanwaltschaft verfügt die Wiederaufnahme eines durch Einstellungsverfügung rechtskräftig beendeten Verfahrens, wenn ihr neue Beweismittel oder Tatsachen bekannt werden, die: |
a | für eine strafrechtliche Verantwortlichkeit der beschuldigten Person sprechen; und |
b | sich nicht aus den früheren Akten ergeben. |
2 | Sie teilt die Wiederaufnahme denjenigen Personen und Behörden mit, denen zuvor die Einstellung mitgeteilt worden ist. |
Cependant, les motifs de reprise de la procédure sont, dans une large mesure, ceux qui fondent une révision au sens de l'art. 410 al. 1 let. a
SR 312.0 Schweizerische Strafprozessordnung vom 5. Oktober 2007 (Strafprozessordnung, StPO) - Strafprozessordnung StPO Art. 410 Zulässigkeit und Revisionsgründe - 1 Wer durch ein rechtskräftiges Urteil, einen Strafbefehl, einen nachträglichen richterlichen Entscheid oder einen Entscheid im selbstständigen Massnahmenverfahren beschwert ist, kann die Revision verlangen, wenn: |
|
1 | Wer durch ein rechtskräftiges Urteil, einen Strafbefehl, einen nachträglichen richterlichen Entscheid oder einen Entscheid im selbstständigen Massnahmenverfahren beschwert ist, kann die Revision verlangen, wenn: |
a | neue, vor dem Entscheid eingetretene Tatsachen oder neue Beweismittel vorliegen, die geeignet sind, einen Freispruch, eine wesentlich mildere oder wesentlich strengere Bestrafung der verurteilten Person oder eine Verurteilung der freigesprochenen Person herbeizuführen; |
b | der Entscheid mit einem späteren Strafentscheid, der den gleichen Sachverhalt betrifft, in unverträglichem Widerspruch steht; |
c | sich in einem anderen Strafverfahren erweist, dass durch eine strafbare Handlung auf das Ergebnis des Verfahrens eingewirkt worden ist; eine Verurteilung ist nicht erforderlich; ist das Strafverfahren nicht durchführbar, so kann der Beweis auf andere Weise erbracht werden. |
2 | Die Revision wegen Verletzung der Konvention vom 4. November 1950271 zum Schutze der Menschenrechte und Grundfreiheiten (EMRK) kann verlangt werden, wenn: |
a | der Europäische Gerichtshof für Menschenrechte in einem endgültigen Urteil (Art. 44 EMRK) festgestellt hat, dass die EMRK oder die Protokolle dazu verletzt worden sind, oder den Fall durch eine gütliche Einigung (Art. 39 EMRK) abgeschlossen hat; |
b | eine Entschädigung nicht geeignet ist, die Folgen der Verletzung auszugleichen; und |
c | die Revision notwendig ist, um die Verletzung zu beseitigen. |
3 | Die Revision zugunsten der verurteilten Person kann auch nach Eintritt der Verjährung verlangt werden. |
4 | Beschränkt sich die Revision auf Zivilansprüche, so ist sie nur zulässig, wenn das am Gerichtsstand anwendbare Zivilprozessrecht eine Revision gestatten würde. |
SR 312.0 Schweizerische Strafprozessordnung vom 5. Oktober 2007 (Strafprozessordnung, StPO) - Strafprozessordnung StPO Art. 410 Zulässigkeit und Revisionsgründe - 1 Wer durch ein rechtskräftiges Urteil, einen Strafbefehl, einen nachträglichen richterlichen Entscheid oder einen Entscheid im selbstständigen Massnahmenverfahren beschwert ist, kann die Revision verlangen, wenn: |
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1 | Wer durch ein rechtskräftiges Urteil, einen Strafbefehl, einen nachträglichen richterlichen Entscheid oder einen Entscheid im selbstständigen Massnahmenverfahren beschwert ist, kann die Revision verlangen, wenn: |
a | neue, vor dem Entscheid eingetretene Tatsachen oder neue Beweismittel vorliegen, die geeignet sind, einen Freispruch, eine wesentlich mildere oder wesentlich strengere Bestrafung der verurteilten Person oder eine Verurteilung der freigesprochenen Person herbeizuführen; |
b | der Entscheid mit einem späteren Strafentscheid, der den gleichen Sachverhalt betrifft, in unverträglichem Widerspruch steht; |
c | sich in einem anderen Strafverfahren erweist, dass durch eine strafbare Handlung auf das Ergebnis des Verfahrens eingewirkt worden ist; eine Verurteilung ist nicht erforderlich; ist das Strafverfahren nicht durchführbar, so kann der Beweis auf andere Weise erbracht werden. |
2 | Die Revision wegen Verletzung der Konvention vom 4. November 1950271 zum Schutze der Menschenrechte und Grundfreiheiten (EMRK) kann verlangt werden, wenn: |
a | der Europäische Gerichtshof für Menschenrechte in einem endgültigen Urteil (Art. 44 EMRK) festgestellt hat, dass die EMRK oder die Protokolle dazu verletzt worden sind, oder den Fall durch eine gütliche Einigung (Art. 39 EMRK) abgeschlossen hat; |
b | eine Entschädigung nicht geeignet ist, die Folgen der Verletzung auszugleichen; und |
c | die Revision notwendig ist, um die Verletzung zu beseitigen. |
3 | Die Revision zugunsten der verurteilten Person kann auch nach Eintritt der Verjährung verlangt werden. |
4 | Beschränkt sich die Revision auf Zivilansprüche, so ist sie nur zulässig, wenn das am Gerichtsstand anwendbare Zivilprozessrecht eine Revision gestatten würde. |
Savoir si l'autorité cantonale s'est fondée sur une juste conception de faits ou de moyens de preuve nouveaux est une question de droit. En revanche, savoir si un fait ou un moyen de preuve était effectivement inconnu du juge est une question de fait qui peut être revue pour arbitraire dans l'établissement des faits et l'appréciation des preuves (cf. en matière de révision: ATF 130 IV 72 consid. 1 et les références citées; arrêts 6B 1100/2020 précité consid. 4.1; 6B 688/2020 du 15 octobre 2020 consid. 1.1).
5.3. Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente (art. 105 al. 1
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 105 Massgebender Sachverhalt - 1 Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat. |
|
1 | Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat. |
2 | Es kann die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz von Amtes wegen berichtigen oder ergänzen, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Artikel 95 beruht. |
3 | Richtet sich die Beschwerde gegen einen Entscheid über die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung, so ist das Bundesgericht nicht an die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz gebunden.95 |
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 97 Unrichtige Feststellung des Sachverhalts - 1 Die Feststellung des Sachverhalts kann nur gerügt werden, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Artikel 95 beruht und wenn die Behebung des Mangels für den Ausgang des Verfahrens entscheidend sein kann. |
|
1 | Die Feststellung des Sachverhalts kann nur gerügt werden, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Artikel 95 beruht und wenn die Behebung des Mangels für den Ausgang des Verfahrens entscheidend sein kann. |
2 | Richtet sich die Beschwerde gegen einen Entscheid über die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung, so kann jede unrichtige oder unvollständige Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gerügt werden.86 |
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 105 Massgebender Sachverhalt - 1 Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat. |
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1 | Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat. |
2 | Es kann die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz von Amtes wegen berichtigen oder ergänzen, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Artikel 95 beruht. |
3 | Richtet sich die Beschwerde gegen einen Entscheid über die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung, so ist das Bundesgericht nicht an die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz gebunden.95 |
SR 101 Bundesverfassung der Schweizerischen Eidgenossenschaft vom 18. April 1999 BV Art. 9 Schutz vor Willkür und Wahrung von Treu und Glauben - Jede Person hat Anspruch darauf, von den staatlichen Organen ohne Willkür und nach Treu und Glauben behandelt zu werden. |
sont pas claires, d'anticiper sur leur appréciation par le juge du fond. L'appréciation juridique des faits doit en effet être opérée sur la base d'un état de fait établi en vertu du principe in dubio pro duriore, soit sur la base de faits clairs (ATF 143 IV 241 consid. 2.3.2 et les références citées). L'art. 97 al. 1
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 97 Unrichtige Feststellung des Sachverhalts - 1 Die Feststellung des Sachverhalts kann nur gerügt werden, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Artikel 95 beruht und wenn die Behebung des Mangels für den Ausgang des Verfahrens entscheidend sein kann. |
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1 | Die Feststellung des Sachverhalts kann nur gerügt werden, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Artikel 95 beruht und wenn die Behebung des Mangels für den Ausgang des Verfahrens entscheidend sein kann. |
2 | Richtet sich die Beschwerde gegen einen Entscheid über die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung, so kann jede unrichtige oder unvollständige Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gerügt werden.86 |
5.4. La cour cantonale a retenu qu'une partie des pièces produites par le recourant faisait partie du dossier antérieur. Elles ne constituaient dès lors, en aucune manière, des moyens de preuve nouveaux. En outre, rien n'expliquait que le recourant se soit abstenu de produire les relevés bancaires (pièces nos 1 et 4) ou encore les échanges avec les banques et B.A.________ (pièces nos 2, 5, 9, 10, 12 13, 26), dès lors qu'il avait déjà vraisemblablement été en possession de ces documents au moment du dépôt de sa plainte en juin 2019, vu les dates d'établissement des documents et celles auxquelles lesdits échanges sont intervenus. La même constatation pouvait être faite pour les correspondances avec la notaire et l'avocate madrilène (pièces nos 27 à 32). Enfin, le recourant n'expliquait pas pourquoi il n'avait pas cherché à obtenir, avant le dépôt de sa plainte de juin 2019, les certificats médicaux relatifs à son état de santé (pièce n° 8) et qu'il n'avait pas, à tout le moins, produit une attestation de son suivi psychiatrique en cours de procédure, dès lors que celui-ci avait débuté le lendemain du dépôt de sa plainte en juin 2019 (pièce n° 3). Dans ces conditions, le principe de la bonne foi faisait obstacle à une reprise de
cette procédure sur la base desdites pièces.
Pour le surplus, le recourant faisait état, dans sa plainte complémentaire, pour l'écrasante majorité, de faits identiques à ceux déjà évoqués dans la procédure close. Ainsi, il avait déjà exposé avoir remboursé à son épouse diverses dépenses en lien avec sa liaison extra-conjugale et avoir effectué, en raison de ses craintes, les changements nécessaires sur ses comptes et le trust afin de ne pas mettre en péril l'avenir économique de sa famille. Il avait aussi déjà expliqué que le droit musulman réprimait la trahison, qu'une réunion avait été tenue en son absence à W._________, qu'il s'était trouvé dans un "état de choc" à la réception des documents relatifs à la procédure de divorce, que l'amant de B.A.________ était potentiellement impliqué dans les faits dénoncés, qu'il avait alimenté seul le E.________ Trust et qu'il existait un lien entre son exclusion du trust et le prononcé du divorce. Ainsi, il convenait de se référer aux décisions prises antérieurement, à savoir l'arrêt de la Chambre pénale de recours du 14 janvier 2020 ainsi que l'arrêt du Tribunal fédéral 6B 199/2020 du 9 avril 2020.
En outre, il n'était pas contesté - ni contestable - que le fait nouveau relatif aux dispositions qu'aurait prises B.A.________, en octobre 2020, en vue d'exécuter des transferts en espèces à destination de banques tierces, était postérieur à la décision de classement. Partant, il n'aurait pu ouvrir la voie à une reprise de la procédure préliminaire, le juge n'étant pas tenu de connaître (ou d'anticiper) les faits postérieurs à sa décision. Le recourant prétendait cependant que ces dispositions avaient concrétisé une intention déjà existante de B.A.________ au moment du dépôt de sa plainte, intention qu'il avait déjà dénoncée. Ces dispositions auraient été contraires à leur accord, selon lequel les enfants auraient dû être bénéficiaires du trust du vivant de B.A.________ et qu'il aurait dû réintégrer le cercle des bénéficiaires une fois dissipé le risque lié à l'enquête pénale à V.________. Or, rien n'expliquait que le recourant n'avait pas détaillé précédemment cet accord, ce d'autant plus qu'il avait déjà produit le courriel adressé le 22 juin 2018 par le conseiller I.________ à B.A.________ et qu'il avait déjà reproché au ministère public, s'agissant de l'infraction d'abus de confiance, de ne pas avoir déterminé "le contenu et
la portée des accords en question". De plus, le recourant avait été manifestement déjà en possession des autres pièces dont il se prévalait pour fonder ses accusations, de sorte qu'elles n'étaient pas nouvelles. Tel était également le cas, s'agissant du non-respect, par B.A.________, dudit accord lors de la création du nouveau trust, le recourant se fondant sur les mêmes pièces.
En tout état, les pièces ne révélaient pas de responsabilité pénale de B.A.________, dès lors qu'elles n'établissaient pas la teneur de leur accord, tel que le recourant s'en prévalait devant la cour cantonale. Au contraire, il ressortait du courriel du 22 juin 2018 que le conseiller de la banque I.________ avait expressément attiré l'attention de B.A.________ sur la possibilité d'exclure définitivement le recourant du trust, hypothèse que le recourant avait lui-même envisagée dans sa plainte de juin 2019. En outre, il apparaissait que c'était sur l'initiative de la banque - et non sur instructions du recourant - que les enfants avaient été ajoutés en qualité de bénéficiaires du vivant de B.A.________, étant précisé que ces derniers n'étaient pas bénéficiaires de l'ancien trust du vivant de leurs parents.
La cour cantonale a encore relevé que le recourant se prévalait de son implication dans la création du nouveau trust pour en déduire un droit sur les avoirs litigieux. Or, contrairement à ce qu'il soutenait à présent, il avait expliqué, à l'appui de sa plainte du 3 juin 2019 et, en partie, au moyen des mêmes pièces que, depuis sa sortie du trust le 7 septembre 2017, B.A.________ avait été seule à communiquer avec les banques, son rôle à lui avait consisté uniquement à apporter des corrections aux courriels qu'elle avait rédigés en anglais. Il n'avait pas eu beaucoup d'informations sur la mise en place du nouveau trust en juillet 2018. Les pièces produites corroboraient ainsi ses précédentes explications. En effet, bien que le courriel du 25 juin 2018 (pièce n° 14 de la plainte complémentaire) ait fait allusion à une discussion intervenue entre les parties au sujet du projet de nouveau trust, cet élément ne suffisait pas pour établir l'existence d'instructions dans la gestion des avoirs litigieux, au sens de l'art. 138
SR 311.0 Schweizerisches Strafgesetzbuch vom 21. Dezember 1937 StGB Art. 138 - 1. Wer sich eine ihm anvertraute fremde bewegliche Sache aneignet, um sich oder einen andern damit unrechtmässig zu bereichern, |
|
1 | Wer sich eine ihm anvertraute fremde bewegliche Sache aneignet, um sich oder einen andern damit unrechtmässig zu bereichern, |
2 | Wer die Tat als Mitglied einer Behörde, als Beamter, Vormund, Beistand, berufsmässiger Vermögensverwalter oder bei Ausübung eines Berufes, Gewerbes oder Handelsgeschäftes, zu der er durch eine Behörde ermächtigt ist, begeht, wird mit Freiheitsstrafe bis zu zehn Jahren oder Geldstrafe196 bestraft. |
permettaient pas non plus de retenir que le recourant aurait conservé des droits sur les avoirs litigieux, en accord avec B.A.________. Enfin, si le fait qu'il avait lu et approuvé les lettres d'intention permettait de corroborer les explications de B.A.________ et de considérer que celle-ci avait respecté l'accord intervenu entre les parties, en référence aux lettres d'intention, force était de constater que le transfert des avoirs litigieux sur son compte aurait tout de même pu avoir lieu en l'absence de ladite approbation, dès lors que le recourant avait déjà été exclu du trust.
Par ailleurs, il n'apparaissait pas que les faits dénoncés par sa fille pouvaient apporter des éléments nouveaux susceptibles de justifier la reprise de la procédure. Si l'arrière-plan familial et patrimonial de la plainte pénale de la fille était identique à celui examiné dans la présente procédure, ni les accusations portées ni les qualités des parties n'étaient les mêmes. En outre, contrairement à ce qu'alléguait le recourant, seule sa fille aurait subi un préjudice en lien avec les circonstances dans lesquelles elle aurait signé les lettres d'intention menant à la dissolution du trust et au transfert des avoirs qu'il détenait, dès lors que le recourant ne faisait déjà plus partie du cercle des bénéficiaires. Il n'avait ainsi pas d'intérêt juridiquement protégé à s'en plaindre, le fait qu'il n'avait jamais eu l'intention de léser les intérêts de sa fille n'y changeait rien. En tout état, même à considérer ces éléments comme nouveaux, ceux-ci n'étaient pas propres à révéler la responsabilité de B.A.________, dès lors que la tromperie astucieuse dont il se prévalait avait été écartée faute de vérifications de sa part et non en raison de l'exploitation d'un lien de confiance.
Enfin, le recourant avait déjà évoqué l'invalidité formelle du divorce madrilène dans le cadre de son recours du 30 juillet 2019 dans la mesure où B.A.________ aurait menti sur son domicile afin de créer artificiellement un for en Espagne. À cette occasion, il avait lui-même admis que seul importait, sur le plan pénal, le fait que la convention ne prévoyait pas le partage des avoirs issus de E.________ Trust. Ainsi, l'élément nouvellement apporté, à savoir le jugement rendu le 5 juillet 2021 à Madrid, dès lors qu'il ne se rapportait pas à la volonté des parties, ne modifiait pas l'apparence d'un litige relevant plutôt des juridictions civiles, étant rappelé que l'instruction pénale n'avait pas pour vocation de préparer les voies civiles ni de les éluder. En tout état, le recourant avait déjà allégué que les conventions de divorce ne correspondaient pas à la volonté des parties, selon laquelle seule la somme de 2'500'000 EUR devait revenir à B.A.________. L'on peinait d'ailleurs à le suivre lorsqu'il accusait celle-ci d'avoir violé leur accord prévu par la convention de liquidation du régime matrimonial - dès lors que leurs enfants ne deviendraient bénéficiaires des 40 % du capital de F.________ Ltd qu'après le décès de
B.A.________ -, alors qu'il soutenait simultanément que ladite convention ne reflétait pas la volonté des parties. Enfin, le recourant soutenait qu'en raison de la nullité du jugement de divorce, les avoirs litigieux seraient régis par le droit espagnol, ce qui impliquait qu'ils soient considérés comme ayant été automatiquement confiés à B.A.________. Or, rien au dossier ne permettait de corroborer ces affirmations péremptoires. Au contraire, il ressortait des documents figurant à la procédure que les parties s'étaient mariées à U.________ sans conclure de contrat de mariage, de sorte que l'on ne pouvait retenir d'office l'application du droit espagnol au régime matrimonial des époux. Ainsi, en l'état du dossier, il n'apparaissait pas que les avoirs litigieux auraient été des biens communs soumis au droit espagnol.
La cour cantonale a conclu, au vu de ces considérations, que le ministère public pouvait à juste titre considérer que les conditions de l'art. 323
SR 312.0 Schweizerische Strafprozessordnung vom 5. Oktober 2007 (Strafprozessordnung, StPO) - Strafprozessordnung StPO Art. 323 Wiederaufnahme - 1 Die Staatsanwaltschaft verfügt die Wiederaufnahme eines durch Einstellungsverfügung rechtskräftig beendeten Verfahrens, wenn ihr neue Beweismittel oder Tatsachen bekannt werden, die: |
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1 | Die Staatsanwaltschaft verfügt die Wiederaufnahme eines durch Einstellungsverfügung rechtskräftig beendeten Verfahrens, wenn ihr neue Beweismittel oder Tatsachen bekannt werden, die: |
a | für eine strafrechtliche Verantwortlichkeit der beschuldigten Person sprechen; und |
b | sich nicht aus den früheren Akten ergeben. |
2 | Sie teilt die Wiederaufnahme denjenigen Personen und Behörden mit, denen zuvor die Einstellung mitgeteilt worden ist. |
5.5. En l'espèce, le recourant se livre à une longue discussion - difficilement perceptible - sur les faits et tente de remettre en cause l'appréciation qu'en a faite la cour cantonale, de manière appellatoire. En effet, la majeure partie de son argumentation relative à la reprise de la procédure se limite à indiquer les raisons pour lesquelles son appréciation des faits serait préférable à celle adoptée par la cour cantonale en se contentant de réitérer sa conviction qu'une infraction a effectivement été commise. Dans ce cadre, il reproche notamment à la cour cantonale d'avoir arbitrairement omis certains faits dénoncés par sa fille D.A.________ dans sa plainte pénale du mois de septembre 2020 et d'avoir notamment omis le fait que B.A.________ opposerait désormais à D.A.________ la "convention du 30 novembre 2018 de liquidation du régime matrimonial" pour justifier l'attribution en sa faveur de la totalité des avoirs déposés sur son compte auprès de I.________, alors qu'elle soutenait auparavant que la convention lui attribuait 60 % du capital social de F.________ Ltd, les 40 % restants devant revenir par moitié à chacun des enfants. Or, contrairement à ce que soutient le recourant, ces éléments ressortent bel et bien de l'arrêt
attaqué. La cour cantonale a cependant retenu qu'elle ne voyait pas ce que les faits dénoncés par sa fille D.A.________ pourraient apporter comme élément nouveau susceptible de justifier la reprise de la procédure. En effet, si l'arrière-plan familial et patrimonial de la procédure P/13647/2020 était identique à celui examiné dans la présente procédure, ni les accusations portées dans la plainte de la fille du recourant ni les qualités des parties n'étaient les mêmes, si bien que ces éléments n'étaient pas pertinents dans la présente procédure. Par ailleurs, il ressort des faits de l'arrêt attaqué, dont le recourant ne démontre pas l'arbitraire, que seule sa fille aurait subi un préjudice des faits qu'elle reproche à sa mère, dès lors qu'au moment de la signature des prétendues fausses lettres d'intention menant à la dissolution du trust (en février et mars 2018) le recourant ne faisait déjà plus partie du cercle des bénéficiaires.
Il s'ensuit que la cour cantonale n'a pas versé dans l'arbitraire ni violé le droit fédéral en considérant que l'ouverture de la procédure P/13647/2020 à la suite de la plainte de D.A.________ et les faits qu'elle contient ne constituaient pas un motif de reprise de la procédure. Le grief du recourant doit être rejeté dans la mesure de sa recevabilité.
Pour le surplus, le recourant perd de vue que l'objet de l'arrêt attaqué était circonscrit à l'existence ou non de faits ou de moyens de preuve nouveaux au sens de l'art. 323
SR 312.0 Schweizerische Strafprozessordnung vom 5. Oktober 2007 (Strafprozessordnung, StPO) - Strafprozessordnung StPO Art. 323 Wiederaufnahme - 1 Die Staatsanwaltschaft verfügt die Wiederaufnahme eines durch Einstellungsverfügung rechtskräftig beendeten Verfahrens, wenn ihr neue Beweismittel oder Tatsachen bekannt werden, die: |
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1 | Die Staatsanwaltschaft verfügt die Wiederaufnahme eines durch Einstellungsverfügung rechtskräftig beendeten Verfahrens, wenn ihr neue Beweismittel oder Tatsachen bekannt werden, die: |
a | für eine strafrechtliche Verantwortlichkeit der beschuldigten Person sprechen; und |
b | sich nicht aus den früheren Akten ergeben. |
2 | Sie teilt die Wiederaufnahme denjenigen Personen und Behörden mit, denen zuvor die Einstellung mitgeteilt worden ist. |
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 42 Rechtsschriften - 1 Rechtsschriften sind in einer Amtssprache abzufassen und haben die Begehren, deren Begründung mit Angabe der Beweismittel und die Unterschrift zu enthalten. |
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1 | Rechtsschriften sind in einer Amtssprache abzufassen und haben die Begehren, deren Begründung mit Angabe der Beweismittel und die Unterschrift zu enthalten. |
2 | In der Begründung ist in gedrängter Form darzulegen, inwiefern der angefochtene Akt Recht verletzt. Ist eine Beschwerde nur unter der Voraussetzung zulässig, dass sich eine Rechtsfrage von grundsätzlicher Bedeutung stellt oder aus anderen Gründen ein besonders bedeutender Fall vorliegt, so ist auszuführen, warum die jeweilige Voraussetzung erfüllt ist. 14 15 |
3 | Die Urkunden, auf die sich die Partei als Beweismittel beruft, sind beizulegen, soweit die Partei sie in Händen hat; richtet sich die Rechtsschrift gegen einen Entscheid, so ist auch dieser beizulegen. |
4 | Bei elektronischer Einreichung muss die Rechtsschrift von der Partei oder ihrem Vertreter beziehungsweise ihrer Vertreterin mit einer qualifizierten elektronischen Signatur gemäss Bundesgesetz vom 18. März 201616 über die elektronische Signatur versehen werden. Das Bundesgericht bestimmt in einem Reglement: |
a | das Format der Rechtsschrift und ihrer Beilagen; |
b | die Art und Weise der Übermittlung; |
c | die Voraussetzungen, unter denen bei technischen Problemen die Nachreichung von Dokumenten auf Papier verlangt werden kann.17 |
5 | Fehlen die Unterschrift der Partei oder ihrer Vertretung, deren Vollmacht oder die vorgeschriebenen Beilagen oder ist die Vertretung nicht zugelassen, so wird eine angemessene Frist zur Behebung des Mangels angesetzt mit der Androhung, dass die Rechtsschrift sonst unbeachtet bleibt. |
6 | Unleserliche, ungebührliche, unverständliche, übermässig weitschweifige oder nicht in einer Amtssprache verfasste Rechtsschriften können in gleicher Weise zur Änderung zurückgewiesen werden. |
7 | Rechtsschriften, die auf querulatorischer oder rechtsmissbräuchlicher Prozessführung beruhen, sind unzulässig. |
En tout état de cause, c'est en vain que le recourant soutient que B.A.________ ne pouvait plus se prévaloir d'une quelconque cause juridique pour justifier que l'intégralité des avoirs, dont il avait doté le trust familial, lui soit attribuée compte tenu de la "nullité de plein droit" de leur divorce et de la liquidation du régime matrimonial du 30 novembre 2018, constatée par le jugement du 5 juillet 2021 du Tribunal de Madrid. En effet, à cet égard, la cour cantonale a relevé que le jugement rendu le 5 juillet 2021 - dont il ressort qu'en l'absence de résidence espagnole d'un des époux, le notaire n'était pas compétent pour instrumenter les actes de divorce et de liquidation du régime matrimonial - ne se rapportait pas à la volonté des parties et ne modifiait pas l'apparence de litige plutôt civil. En outre, elle a retenu à juste titre que le recourant avait déjà allégué que les conventions de divorce ne correspondraient pas à la volonté des parties, selon laquelle seule la somme de 2'500'000 EUR devait revenir à B.A.________. Il s'ensuit que le jugement du 5 juillet 2021 invalidant la convention ne saurait constituer un moyen de preuve nouveau relevant une responsabilité de B.A.________. Pour le surplus, comme l'a relevé le
Tribunal de céans dans son arrêt 6B 199/2020 relatif au classement de la procédure P/11660/2019, "la question de savoir si le recourant pourrait, dans le cadre de la liquidation du régime matrimonial, prétendre à une partie des fonds litigieux ne se confond pas avec une infraction pénale commise par [B.A.________]" (cf. arrêt 6B 199/2020 précité consid. 3.6.2).
Au surplus, le recourant se contente de réitérer sa conviction qu'une infraction d'abus de confiance a été commise en se fondant, tant dans son recours devant la cour cantonale que devant le Tribunal de céans, sur des pièces déjà produites dans la procédure préliminaire. Il en va notamment ainsi lorsqu'il affirme que le contenu du courriel du 25 juin 2018 serait propre à établir un accord qu'il aurait conclu avec B.A.________, selon lequel les enfants devraient être bénéficiaires du trust. En effet, comme l'a relevé la cour cantonale, cette pièce avait déjà été produite dans la procédure préliminaire et rien n'explique que le recourant n'ait pas détaillé précédemment cet accord. Pour le surplus, le recourant oppose sa propre appréciation à celle de la cour cantonale, sans démontrer en quoi celle-ci serait arbitraire.
Le recourant soutient encore qu'il ignorait, lors du dépôt de sa plainte, qu'il avait été, tout comme ses enfants, exclu du cercle des bénéficiaires du trust en juin 2018. Or, dans le courriel adressé le 22 juin 2018 par le conseiller de la banque I.________ à B.A.________, que le recourant avait déjà produit (cf. pièce 14 du dossier cantonal; art. 105 al. 2
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 105 Massgebender Sachverhalt - 1 Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat. |
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1 | Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat. |
2 | Es kann die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz von Amtes wegen berichtigen oder ergänzen, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Artikel 95 beruht. |
3 | Richtet sich die Beschwerde gegen einen Entscheid über die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung, so ist das Bundesgericht nicht an die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz gebunden.95 |
Pour le reste, le recourant soutient que B.A.________ se serait attribuée le capital social de la société F.________ Ltd en opérant un transfert en sa faveur de la totalité des actifs en octobre 2020, malgré leur accord qui prévoyait la réintégration du recourant au cercle des bénéficiaires du trust. Comme l'a relevé à juste titre la cour cantonale, le transfert opéré par la prénommée constitue un fait postérieur à la décision de classement, de sorte qu'il ne constitue pas un fait nouveau au sens de l'art. 323
SR 312.0 Schweizerische Strafprozessordnung vom 5. Oktober 2007 (Strafprozessordnung, StPO) - Strafprozessordnung StPO Art. 323 Wiederaufnahme - 1 Die Staatsanwaltschaft verfügt die Wiederaufnahme eines durch Einstellungsverfügung rechtskräftig beendeten Verfahrens, wenn ihr neue Beweismittel oder Tatsachen bekannt werden, die: |
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1 | Die Staatsanwaltschaft verfügt die Wiederaufnahme eines durch Einstellungsverfügung rechtskräftig beendeten Verfahrens, wenn ihr neue Beweismittel oder Tatsachen bekannt werden, die: |
a | für eine strafrechtliche Verantwortlichkeit der beschuldigten Person sprechen; und |
b | sich nicht aus den früheren Akten ergeben. |
2 | Sie teilt die Wiederaufnahme denjenigen Personen und Behörden mit, denen zuvor die Einstellung mitgeteilt worden ist. |
5.6. Compte tenu de ce qui précède, la cour cantonale n'a pas versé dans l'arbitraire ni violé le droit fédéral en considérant que les conditions de l'art. 323 al. 1
SR 312.0 Schweizerische Strafprozessordnung vom 5. Oktober 2007 (Strafprozessordnung, StPO) - Strafprozessordnung StPO Art. 323 Wiederaufnahme - 1 Die Staatsanwaltschaft verfügt die Wiederaufnahme eines durch Einstellungsverfügung rechtskräftig beendeten Verfahrens, wenn ihr neue Beweismittel oder Tatsachen bekannt werden, die: |
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1 | Die Staatsanwaltschaft verfügt die Wiederaufnahme eines durch Einstellungsverfügung rechtskräftig beendeten Verfahrens, wenn ihr neue Beweismittel oder Tatsachen bekannt werden, die: |
a | für eine strafrechtliche Verantwortlichkeit der beschuldigten Person sprechen; und |
b | sich nicht aus den früheren Akten ergeben. |
2 | Sie teilt die Wiederaufnahme denjenigen Personen und Behörden mit, denen zuvor die Einstellung mitgeteilt worden ist. |
6.
Au vu de ce qui précède, le recours doit être rejeté dans la mesure où il est recevable. Le recourant, qui succombe, supporte les frais judiciaires (art. 66 al. 1
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz BGG Art. 66 Erhebung und Verteilung der Gerichtskosten - 1 Die Gerichtskosten werden in der Regel der unterliegenden Partei auferlegt. Wenn die Umstände es rechtfertigen, kann das Bundesgericht die Kosten anders verteilen oder darauf verzichten, Kosten zu erheben. |
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1 | Die Gerichtskosten werden in der Regel der unterliegenden Partei auferlegt. Wenn die Umstände es rechtfertigen, kann das Bundesgericht die Kosten anders verteilen oder darauf verzichten, Kosten zu erheben. |
2 | Wird ein Fall durch Abstandserklärung oder Vergleich erledigt, so kann auf die Erhebung von Gerichtskosten ganz oder teilweise verzichtet werden. |
3 | Unnötige Kosten hat zu bezahlen, wer sie verursacht. |
4 | Dem Bund, den Kantonen und den Gemeinden sowie mit öffentlich-rechtlichen Aufgaben betrauten Organisationen dürfen in der Regel keine Gerichtskosten auferlegt werden, wenn sie in ihrem amtlichen Wirkungskreis, ohne dass es sich um ihr Vermögensinteresse handelt, das Bundesgericht in Anspruch nehmen oder wenn gegen ihre Entscheide in solchen Angelegenheiten Beschwerde geführt worden ist. |
5 | Mehrere Personen haben die ihnen gemeinsam auferlegten Gerichtskosten, wenn nichts anderes bestimmt ist, zu gleichen Teilen und unter solidarischer Haftung zu tragen. |
Par ces motifs, le Tribunal fédéral prononce :
1.
Le recours est rejeté dans la mesure où il est recevable.
2.
Les frais judiciaires, arrêtés à 3'000 fr., sont mis à la charge du recourant.
3.
Le présent arrêt est communiqué aux parties et à la Chambre pénale de recours de la Cour de justice de la République et canton de Genève.
Lausanne, le 17 avril 2023
Au nom de la Cour de droit pénal
du Tribunal fédéral suisse
Le Juge présidant : Denys
La Greffière : Thalmann