Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
6B 140/2022, 6B 841/2022
Arrêt du 9 mai 2023
Cour de droit pénal
Composition
MM. et Mme les Juges fédéraux
Denys, Juge présidant, Muschietti et Koch.
Greffier : M. Tinguely.
Participants à la procédure
A.________,
représenté par Maîtres Florian Baier et Giorgio Campá,
recourant,
contre
6B 140/2022
1. Ministère public de la République et canton de Genève,
route de Chancy 6B, 1213 Petit-Lancy,
2. B.________,
p.a. Me Nicolas Gurtner, avocat, Canonica & Associés,
intimés,
et
6B 841/2022
1. Ministère public de la République et canton de Genève, route de Chancy 6B, 1213 Petit-Lancy,
2. C.________,
intimés.
Objet
6B 140/2022
Ordonnance de classement (dénonciation calomnieuse, faux témoignage),
6B 841/2022
Ordonnance de classement (faux témoignage),
recours contre les arrêts de la Cour de justice de la République et canton de Genève, Chambre pénale de recours, des 15 décembre 2021 (P/17396/2012-ACPR/881/2021) et 31 mai 2022 (P/6746/2018-ACPR/383/2022).
Faits :
A.
A.a. A.________ est un ressortissant suisse et guatémaltèque né en 1970. Entre juillet 2004 et mars 2007, il a occupé le poste de directeur général, soit le niveau hiérarchique le plus élevé, de la K.________. Durant son mandat, son supérieur direct était D.________, ministre de l'Intérieur. A.________ avait notamment sous ses ordres E.________, sous-directeur qu'il avait lui-même nommé, ainsi que F.________, chef de la Division des enquêtes criminelles.
A.b. Au Guatemala, le 22 octobre 2005, dix-neuf détenus se sont évadés du centre pénitentiaire L.________. Trois d'entre eux ont été localisés, capturés par la police dans le cadre de l'opération nommée M.________, puis exécutés extrajudiciairement.
Ainsi, G.________ a trouvé la mort le 3 novembre 2005, quelques heures après son arrestation, à U.________ dans le secteur de V.________. H.________ et I.________ ont été tués le 1er décembre 2005 au lieu-dit W.________.
A.c. Le 25 septembre 2006, a eu lieu une opération tendant à la reprise de contrôle, par les autorités guatémaltèques, de l'établissement pénitentiaire N.________, depuis lequel des détenus influents s'adonnaient à des activités criminelles relevant notamment du trafic de stupéfiants, d'extorsions et d'enlèvements.
Sept détenus, dont J.________, ont été tués lors de l'intervention.
A.d. Entre 2006 et 2011, des enquêtes, visant à éclaircir les circonstances des dix homicides évoqués ci-avant, ont été menées par divers organismes, dont la Commission internationale contre l'impunité au Guatemala (ci-après: CICIG).
Cette commission était habilitée à conduire ses propres investigations et, à cette fin, à mettre en place et à superviser une équipe d'enquêteurs professionnels, locaux et étrangers. C.________, agent de police de nationalité espagnole, a été l'un d'eux, ayant instruit, du 7 janvier 2010 au 6 janvier 2011, une partie des faits survenus lors de l'opération M.________.
A.e. Les enquêtes menées au Guatemala ont révélé la possible implication, dans les dix homicides en cause, de A.________, de D.________, de E.________ et de F.________.
A.________ a quitté le Guatemala pour la Suisse dans le courant de l'année 2007.
B.
B.a. Dès 2007, des associations, dont l'organisation non gouvernementale TRIAL ( Track Impunity Always), ont déposé, en Suisse, plusieurs dénonciations visant A.________.
Sur la base de celles-ci, le Ministère public de la République et canton de Genève a ouvert la procédure référencée sous xxx.
B.b. Une commission rogatoire adressée aux autorités guatémaltèques a permis au ministère public d'obtenir, en septembre 2011, un exposé circonstancié des faits imputés à A.________, accompagné de nombreuses pièces (notamment des rapports, cahiers photographiques, vidéos et procès-verbaux de plusieurs dizaines de témoignages recueillis par la commission internationale sus-évoquée).
B.c. En juin 2012, TRIAL a versé à la procédure l'enregistrement vidéo d'une interview de B.________, détenu de nationalité française qui se trouvait à N.________ le 25 septembre 2006. Ce dernier y relatait le déroulement de l'opération sus-évoquée et affirmait avoir vu A.________ tirer, à bout portant, une balle dans la tête d'un détenu, J.________.
Par une lettre rédigée à la même période, B.________ a informé le ministère public se tenir à disposition pour lui relater les faits précités, dont il confirmait la teneur.
B.d. Le 31 août 2012, à Genève, A.________ a été arrêté et mis en prévention d'assassinats pour avoir ordonné l'exécution de neuf des détenus susvisés et pour avoir tué lui-même J.________.
B.e. Par la suite, en cours d'instruction, le ministère public a notamment procédé à l'audition de divers témoins, dont celle de B.________ et de C.________.
B.e.a. Entendu en septembre 2012, puis en décembre 2012 et en février 2013, B.________ a réitéré avoir vu, le jour de l'opération litigieuse, à 16 heures, A.________ assassiner de sang-froid J.________, ayant décrit en détail les lieux et les personnes présentes. Il a précisé vouloir témoigner pour que justice soit faite, après avoir répondu, en 2009, à un appel à témoins lancé par des organismes de protection des droits de l'homme, puis avoir contacté une association, qui l'avait dirigé vers TRIAL.
B.e.b. Pour sa part, C.________ a été entendu par le ministère public le 12 mars 2013. En substance, il ne faisait aucun doute à cet agent de police, qui avait été chargé d'enquêter sur les cas V.________ et W.________ dans le cadre des investigations mises en oeuvre par la CICIG, ayant notamment consulté des relevés téléphoniques et procédé à l'audition de plusieurs témoins, que A.________ avait été mis au courant des exécutions qui avaient été menées en ces lieux les 3 novembre 2005 et 1er décembre 2005, quand bien même ce dernier n'y était pas présent.
B.f. A.________ a été renvoyé en jugement par acte d'accusation du 10 janvier 2014.
C.
C.a. Par jugement du 6 juin 2014, le Tribunal criminel de la République et canton de Genève a acquitté A.________ des chefs d'accusation d'assassinat visés sous ch. II.2 et III.3 de l'acte d'accusation (volets V.________ et W.________), l'a reconnu coupable de cette même infraction pour les faits visés sous. ch. I.1 (volet Pavòn) et l'a condamné à la peine privative de liberté à vie, sous déduction de la détention subie avant jugement.
Par arrêt du 12 juillet 2015, la Chambre pénale d'appel et de révision de la Cour de justice genevoise a rejeté l'appel de A.________, admis celui du Ministère public et, statuant à nouveau, a condamné A.________ pour assassinat à raison des faits visés sous ch. II.2 et III.3 de l'acte d'accusation, le jugement de première instance étant confirmé pour le surplus.
Saisi par A.________ d'un recours en matière pénale, le Tribunal fédéral l'a partiellement admis par arrêt du 29 juin 2017 (6B 947/2015). Il a annulé l'arrêt cantonal, renvoyé la cause à la juridiction d'appel afin qu'elle rende une nouvelle décision et rejeté le recours pour le surplus, dans la mesure où il était recevable.
C.b. Par arrêt du 27 avril 2018, la Chambre pénale d'appel et de révision de la Cour de justice genevoise a reconnu A.________ coupable de complicité d'assassinats pour les chefs d'accusation visés sous point I.1 de l'acte d'accusation (volet N.________), a acquitté A.________ des chefs d'accusation II.2 et III.3 (volets V.________ et W.________) et a condamné l'intéressé à 15 ans de privation de liberté sous déduction de 1852 jours de détention subie avant jugement et de 71 jours imputés au titre des mesures de substitution subies au jour du prononcé.
Saisi d'un recours en matière pénale formé par A.________, le Tribunal fédéral a, par arrêt du 14 novembre 2019 (6B 865/2018), confirmé la condamnation prononcée par arrêt du 27 avril 2018, le recours ayant à cet égard été rejeté dans la mesure où il était recevable. Le recours a néanmoins été partiellement admis, l'arrêt entrepris annulé en tant qu'il refusait à A.________ toute indemnité à raison de son acquittement partiel et la cause renvoyée à la cour cantonale afin qu'elle statue à nouveau sur cette question.
C.c. Le 27 mai 2020, A.________ a formé, auprès de la Cour européenne des droits de l'homme (CourEDH), une requête individuelle, avec demande de traitement prioritaire, tendant à ce qu'il soit constaté que sa condamnation par les juridictions suisses contrevenait à la CEDH.
D.
D.a. Parallèlement, en décembre 2012, A.________ a déposé une plainte pénale contre B.________ des chefs de dénonciation calomnieuse et de faux témoignage.
A.________ contestait en particulier la véracité des propos tenus par ce dernier dans la procédure xxx, faisant valoir que J.________ était, d'après les éléments au dossier, décédé le 25 septembre 2006 au matin, après avoir reçu trois balles dans le thorax ou l'abdomen, et non en tout cas dans la tête. De plus, le fait que B.________ avait été condamné, au Guatemala, pour assassinats dénotait une absence de moralité et partant de crédibilité.
La procédure ouverte par le ministère public à la suite de cette plainte a été référencée sous yyy.
D.b. Le lendemain du dépôt de la plainte, le ministère public a ordonné la suspension de l'instruction jusqu'à droit connu dans la procédure xxx.
D.c. A la suite du jugement rendu le 6 juin 2014 par le Tribunal criminel, le ministère public a repris la procédure yyy et a décidé, par ordonnance du 24 novembre 2014, de ne pas entrer en matière sur la plainte.
Par arrêt du 2 février 2015, la Chambre pénale de recours de la Cour de justice genevoise a déclaré irrecevable le recours formé par A.________ contre cette ordonnance de non-entrée en matière, faute, pour l'intéressé, de disposer d'un intérêt juridiquement protégé à sa contestation.
Saisi d'un recours en matière pénale formé par A.________, le Tribunal fédéral l'a admis par arrêt du 12 juin 2015 (6B 243/2015). L'arrêt entrepris a été annulé en tant qu'il déniait au recourant la qualité pour recourir contre le refus d'entrer en matière sur sa plainte pour faux témoignage et dénonciation calomnieuse, la cause ayant été renvoyée à la cour cantonale afin qu'elle rende une nouvelle décision sur ce point.
D.d. A cette suite, par arrêt du 5 octobre 2015, la Chambre pénale de recours a admis la recevabilité du recours formé par A.________. Sur le fond, elle a toutefois estimé que l'examen du recours ne pouvait pas avoir lieu en l'état, le sort de l'accusation dirigée contre le recourant n'étant pas encore connu. La procédure devait donc à nouveau être suspendue dans l'attente de l'issue du procès, charge au ministère public de rendre une ordonnance en ce sens.
D.e. Après avoir ordonné la reprise de l'instruction en date du 9 septembre 2020, le ministère public a classé la procédure par ordonnance du 5 août 2021.
Par arrêt du 15 décembre 2021, la Chambre pénale de recours a rejeté le recours formé par A.________ contre l'ordonnance du 5 août 2021.
E.
E.a. Par ailleurs, le 9 avril 2018, A.________ a déposé une plainte pénale contre C.________ pour faux témoignage.
En substance, A.________ reprochait à C.________ de s'être contredit, et partant d'avoir "menti éhontément", sur les points suivants: l'existence, respectivement la façon dont il avait eu connaissance, de listings téléphoniques faisant état d'appels passés entre F.________ et lui-même les 3 novembre 2005 et 1er décembre 2005; l'importance de son rôle d'enquêteur dans les volets V.________ et W.________, dont il s'était servi pour étayer sa participation à l'assassinat des trois fugitifs; le fait d'avoir allégué, tantôt être convaincu que H.________ et I.________ avaient été assassinés, tantôt ne pas croire que leur mort avait été programmée.
La procédure ouverte par le ministère public à la suite de cette plainte a été référencée sous zzz.
E.b. Le 26 avril 2018, le ministère public a suspendu l'instruction de la cause, considérant que le témoignage de C.________ devait être examiné dans le cadre de la procédure xxx au titre de l'appréciation des preuves, si bien qu'il ne se justifiait pas d'instruire les mêmes faits dans deux procédure distinctes.
E.c. Après avoir ordonné la reprise de l'instruction en date du 9 septembre 2020, le ministère public a classé la procédure par ordonnance du 22 novembre 2021.
Par arrêt du 31 mai 2022, la Chambre pénale de recours a rejeté, dans la mesure de sa recevabilité, le recours formé par A.________ contre l'ordonnance du 5 août 2021.
F.
F.a. A.________ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 15 décembre 2021 (6B 140/2022). Il conclut, avec suite de frais et dépens, principalement à sa réforme en ce sens qu'il est enjoint au ministère public de renvoyer B.________ en jugement des chefs de dénonciation calomnieuse et de faux témoignage. Subsidiairement, il conclut à l'annulation de l'arrêt et au renvoi de la cause à la cour cantonale pour nouvelle décision.
F.b. A.________ forme également un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 31 mai 2022 (6B 841/2022). Il conclut, avec suite de frais et dépens, principalement à sa réforme en ce sens qu'il est enjoint au ministère public de renvoyer C.________ en jugement du chef de faux témoignage. Subsidiairement, il conclut à l'annulation de l'arrêt et au renvoi de la cause à la cour cantonale pour nouvelle décision.
F.c. A titre préalable, A.________ demande, pour chacune des deux causes, la récusation de la Juge fédérale Laura Jacquemoud-Rossari, Présidente de la Cour de droit pénal du Tribunal fédéral.
Il sollicite en outre l'octroi de l'assistance judiciaire.
Considérant en droit :
1.
Les deux recours, s'ils sont dirigés contre deux arrêts distincts, émanent toutefois du même recourant. Ils concernent en outre dans une large mesure le même complexe de faits et portent sur les mêmes questions de droit. Il se justifie de les joindre et de statuer par une seule décision (art. 71
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 71 - Nei casi per i quali la presente legge non prevede disposizioni speciali sulla procedura si applicano per analogia le prescrizioni della PC30. |
2.
En tant que le recourant sollicite la récusation de la Juge fédérale Laura Jacquemoud-Rossari, Présidente de la Cour de droit pénal, cette requête est sans objet compte tenu de la composition de la Cour de droit pénal appelée à statuer sur les recours, un juge présidant officiant pour les causes concernant les décisions de non-entrée en matière et de classement de la procédure (cf. https://www.bger.ch/fr/index/federal/federal-inherit-template/federal-gericht/federal-gerichts-abteilungen/federal-gerichts-abteilungen-kassationshof.htm, consulté le 3 mai 2023).
3.
Le Tribunal fédéral examine d'office la recevabilité des recours qui lui sont soumis (ATF 147 I 89 consid. 1; 145 II 168 consid. 1; 144 II 184 consid. 1).
3.1. Selon l'art. 81 al. 1 let. a
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 81 Diritto di ricorso - 1 Ha diritto di interporre ricorso in materia penale chi: |
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1 | Ha diritto di interporre ricorso in materia penale chi: |
a | ha partecipato al procedimento dinanzi all'autorità inferiore o è stato privato della possibilità di farlo; e |
b | ha un interesse giuridicamente protetto all'annullamento o alla modifica della decisione impugnata, segnatamente: |
b1 | l'imputato, |
b2 | il rappresentante legale dell'accusato, |
b3 | il pubblico ministero, salvo se si tratta di decisioni che ordinano, prorogano o mettono fine alla carcerazione preventiva o di sicurezza, |
b4 | ... |
b5 | l'accusatore privato, se la decisione impugnata può influire sul giudizio delle sue pretese civili, |
b6 | il querelante, per quanto trattasi del diritto di querela come tale, |
b7 | nelle cause penali amministrative secondo la legge federale del 22 marzo 197455 sul diritto penale amministrativo, il pubblico ministero della Confederazione e l'amministrazione interessata. |
2 | Un'autorità federale è legittimata a ricorrere se il diritto federale prevede che la decisione deve esserle comunicata.56 |
3 | Il diritto di ricorrere contro le decisioni di cui all'articolo 78 capoverso 2 lettera b spetta inoltre alla Cancelleria federale, ai dipartimenti federali o, in quanto lo preveda il diritto federale, ai servizi loro subordinati, se la decisione impugnata viola la legislazione federale nella sfera dei loro compiti. |
SR 220 Parte prima: Disposizioni generali Titolo primo: Delle cause delle obbligazioni Capo primo: Delle obbligazioni derivanti da contratto CO Art. 41 - 1 Chiunque è tenuto a riparare il danno illecitamente cagionato ad altri sia con intenzione, sia per negligenza od imprudenza. |
|
1 | Chiunque è tenuto a riparare il danno illecitamente cagionato ad altri sia con intenzione, sia per negligenza od imprudenza. |
2 | Parimente chiunque è tenuto a riparare il danno che cagiona intenzionalmente ad altri con atti contrari ai buoni costumi. |
En revanche, n'appartiennent pas à cette catégorie les prétentions fondées sur le droit public (ATF 146 IV 76 consid. 3.1; 125 IV 161 consid. 2b). De jurisprudence constante en effet, la partie plaignante n'a pas de prétention civile si, pour les actes reprochés au prévenu, une collectivité publique assume une responsabilité de droit public exclusive de toute action directe contre l'auteur (ATF 146 IV 76 consid. 3.1; 138 IV 86 consid. 3.1; 133 IV 228 consid. 2.3.3; arrêt 6B 1033/2022 du 22 mars 2023 consid. 1.1).
3.2. En vertu de l'art. 42 al. 1
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 42 Atti scritti - 1 Gli atti scritti devono essere redatti in una lingua ufficiale, contenere le conclusioni, i motivi e l'indicazione dei mezzi di prova ed essere firmati. |
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1 | Gli atti scritti devono essere redatti in una lingua ufficiale, contenere le conclusioni, i motivi e l'indicazione dei mezzi di prova ed essere firmati. |
2 | Nei motivi occorre spiegare in modo conciso perché l'atto impugnato viola il diritto. Qualora il ricorso sia ammissibile soltanto se concerne una questione di diritto di importanza fondamentale o un caso particolarmente importante per altri motivi, occorre spiegare perché la causa adempie siffatta condizione.14 15 |
3 | Se sono in possesso della parte, i documenti indicati come mezzi di prova devono essere allegati; se l'atto scritto è diretto contro una decisione, anche questa deve essere allegata. |
4 | In caso di trasmissione per via elettronica, la parte o il suo patrocinatore deve munire l'atto scritto di una firma elettronica qualificata secondo la legge del 18 marzo 201616 sulla firma elettronica. Il Tribunale federale determina mediante regolamento: |
a | il formato dell'atto scritto e dei relativi allegati; |
b | le modalità di trasmissione; |
c | le condizioni alle quali può essere richiesta la trasmissione successiva di documenti cartacei in caso di problemi tecnici.17 |
5 | Se mancano la firma della parte o del suo patrocinatore, la procura dello stesso o gli allegati prescritti, o se il patrocinatore non è autorizzato in quanto tale, è fissato un congruo termine per sanare il vizio, con la comminatoria che altrimenti l'atto scritto non sarà preso in considerazione. |
6 | Gli atti illeggibili, sconvenienti, incomprensibili, prolissi o non redatti in una lingua ufficiale possono essere del pari rinviati al loro autore affinché li modifichi. |
7 | Gli atti scritti dovuti a condotta processuale da querulomane o altrimenti abusiva sono inammissibili. |
SR 312.0 Codice di diritto processuale penale svizzero del 5 ottobre 2007 (Codice di procedura penale, CPP) - Codice di procedura penale CPP Art. 119 Forma e contenuto della dichiarazione - 1 Il danneggiato può presentare la dichiarazione per scritto oppure oralmente a verbale. |
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1 | Il danneggiato può presentare la dichiarazione per scritto oppure oralmente a verbale. |
2 | Nella dichiarazione il danneggiato può, cumulativamente o alternativamente: |
a | chiedere il perseguimento e la condanna del responsabile del reato (azione penale); |
b | far valere in via adesiva pretese di diritto privato desunte dal reato (azione civile). |
SR 312.0 Codice di diritto processuale penale svizzero del 5 ottobre 2007 (Codice di procedura penale, CPP) - Codice di procedura penale CPP Art. 320 Decreto di abbandono - 1 La forma e il contenuto generale del decreto d'abbandono sono retti dagli articoli 80 e 81. |
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1 | La forma e il contenuto generale del decreto d'abbandono sono retti dagli articoli 80 e 81. |
2 | Con il decreto d'abbandono, il pubblico ministero revoca i provvedimenti coercitivi adottati. Può disporre la confisca di oggetti e valori patrimoniali. |
3 | Il decreto d'abbandono non si pronuncia in merito alle azioni civili. L'accusatore privato può proporle al foro civile non appena il decreto è passato in giudicato. |
4 | Un decreto di abbandono passato in giudicato equivale a una decisione finale assolutoria. |
notamment de la nature de l'infraction alléguée (ATF 141 IV 1 consid. 1.1). Les mêmes exigences sont requises à l'égard de celui qui se plaint d'infractions attentatoires à l'honneur (cf. récemment: arrêt 6B 54/2023 du 29 mars 2023 consid. 3.1).
N'importe quelle atteinte légère à la réputation professionnelle, économique ou sociale d'une personne ne justifie pas une réparation. L'allocation d'une indemnité pour tort moral fondée sur l'art. 49 al. 1
SR 220 Parte prima: Disposizioni generali Titolo primo: Delle cause delle obbligazioni Capo primo: Delle obbligazioni derivanti da contratto CO Art. 49 - 1 Chi è illecitamente leso nella sua personalità può chiedere, quando la gravità dell'offesa lo giustifichi e questa non sia stata riparata in altro modo, il pagamento di una somma a titolo di riparazione morale. |
|
1 | Chi è illecitamente leso nella sua personalità può chiedere, quando la gravità dell'offesa lo giustifichi e questa non sia stata riparata in altro modo, il pagamento di una somma a titolo di riparazione morale. |
2 | Il giudice può anche sostituire o aggiungere a questa indennità un altro modo di riparazione. |
3.3. On entend par partie plaignante le lésé qui déclare expressément vouloir participer à la procédure pénale comme demandeur au pénal ou au civil (art. 118 al. 1
SR 312.0 Codice di diritto processuale penale svizzero del 5 ottobre 2007 (Codice di procedura penale, CPP) - Codice di procedura penale CPP Art. 118 Definizione e presupposti - 1 È accusatore privato il danneggiato che dichiara espressamente di partecipare al procedimento penale con un'azione penale o civile. |
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1 | È accusatore privato il danneggiato che dichiara espressamente di partecipare al procedimento penale con un'azione penale o civile. |
2 | La querela è equiparata a tale dichiarazione. |
3 | La dichiarazione va fatta a un'autorità di perseguimento penale al più tardi alla conclusione della procedura preliminare. |
4 | Se il danneggiato non ha fatto di propria iniziativa una tale dichiarazione, il pubblico ministero lo rende attento a questa possibilità dopo l'apertura della procedura preliminare. |
SR 312.0 Codice di diritto processuale penale svizzero del 5 ottobre 2007 (Codice di procedura penale, CPP) - Codice di procedura penale CPP Art. 115 - 1 Il danneggiato è la persona i cui diritti sono stati direttamente lesi dal reato. |
|
1 | Il danneggiato è la persona i cui diritti sono stati direttamente lesi dal reato. |
2 | È considerato tale in ogni caso chi è legittimato a sporgere querela. |
3.3.1. L'infraction de dénonciation calomnieuse réprime le comportement de celui qui aura dénoncé à l'autorité, comme auteur d'un crime ou d'un délit, une personne qu'il savait innocente, en vue de faire ouvrir contre elle une poursuite pénale ainsi que le comportement de celui qui, de toute autre manière, aura ourdi des machinations astucieuses en vue de provoquer l'ouverture d'une poursuite pénale contre une personne qu'il savait innocente (art. 303 ch. 1 al. 1
SR 311.0 Codice penale svizzero del 21 dicembre 1937 CP Art. 303 - 1. Chiunque denuncia all'autorità come colpevole di un crimine o di un delitto una persona che egli sa innocente, per provocare contro di essa un procedimento penale, |
|
1 | Chiunque denuncia all'autorità come colpevole di un crimine o di un delitto una persona che egli sa innocente, per provocare contro di essa un procedimento penale, |
2 | Se la denuncia mendace concerne una contravvenzione, la pena è una pena detentiva sino a un anno o una pena pecuniaria. |
SR 311.0 Codice penale svizzero del 21 dicembre 1937 CP Art. 303 - 1. Chiunque denuncia all'autorità come colpevole di un crimine o di un delitto una persona che egli sa innocente, per provocare contro di essa un procedimento penale, |
|
1 | Chiunque denuncia all'autorità come colpevole di un crimine o di un delitto una persona che egli sa innocente, per provocare contro di essa un procedimento penale, |
2 | Se la denuncia mendace concerne una contravvenzione, la pena è una pena detentiva sino a un anno o una pena pecuniaria. |
3.3.2. Quant à l'infraction de faux témoignage, faux rapport, fausse déclaration en justice (art. 307
SR 311.0 Codice penale svizzero del 21 dicembre 1937 CP Art. 307 - 1 Chiunque come testimonio, perito, traduttore od interprete in un procedimento giudiziario, fa sui fatti della causa una falsa deposizione, una falsa constatazione o fornisce una falsa perizia o traduce falsamente, è punito con una pena detentiva sino a cinque anni o con una pena pecuniaria. |
|
1 | Chiunque come testimonio, perito, traduttore od interprete in un procedimento giudiziario, fa sui fatti della causa una falsa deposizione, una falsa constatazione o fornisce una falsa perizia o traduce falsamente, è punito con una pena detentiva sino a cinque anni o con una pena pecuniaria. |
2 | ...432 |
3 | Se la falsità concerne fatti non influenti sulla decisione del giudice, la pena è una pena pecuniaria.433 |
3.4. En l'espèce, dans chacun de ces deux recours, le recourant explique que ses conclusions civiles ont trait, premièrement, à la réparation du tort moral (art. 49
SR 220 Parte prima: Disposizioni generali Titolo primo: Delle cause delle obbligazioni Capo primo: Delle obbligazioni derivanti da contratto CO Art. 49 - 1 Chi è illecitamente leso nella sua personalità può chiedere, quando la gravità dell'offesa lo giustifichi e questa non sia stata riparata in altro modo, il pagamento di una somma a titolo di riparazione morale. |
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1 | Chi è illecitamente leso nella sua personalità può chiedere, quando la gravità dell'offesa lo giustifichi e questa non sia stata riparata in altro modo, il pagamento di una somma a titolo di riparazione morale. |
2 | Il giudice può anche sostituire o aggiungere a questa indennità un altro modo di riparazione. |
SR 220 Parte prima: Disposizioni generali Titolo primo: Delle cause delle obbligazioni Capo primo: Delle obbligazioni derivanti da contratto CO Art. 41 - 1 Chiunque è tenuto a riparare il danno illecitamente cagionato ad altri sia con intenzione, sia per negligenza od imprudenza. |
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1 | Chiunque è tenuto a riparare il danno illecitamente cagionato ad altri sia con intenzione, sia per negligenza od imprudenza. |
2 | Parimente chiunque è tenuto a riparare il danno che cagiona intenzionalmente ad altri con atti contrari ai buoni costumi. |
Cela étant, outre que le recourant ne chiffre nullement ses prétentions, il ne parvient pas à démontrer qu'en raison de la nature des préjudices allégués, se rapportant à des mesures de contrainte prononcées dans une procédure pénale, il dispose de conclusions civiles à faire valoir contre les intimés personnellement. C'est en effet la collectivité publique qui assume la responsabilité exclusive en raison de mesures de contrainte illicites et à qui il revient, le cas échéant, d'indemniser le prévenu à ce titre (cf. art. 431
SR 312.0 Codice di diritto processuale penale svizzero del 5 ottobre 2007 (Codice di procedura penale, CPP) - Codice di procedura penale CPP Art. 431 - 1 Se nei confronti dell'imputato sono stati illegalmente adottati provvedimenti coercitivi, l'autorità penale gli riconosce un'indennità e una riparazione del torto morale adeguate. |
|
1 | Se nei confronti dell'imputato sono stati illegalmente adottati provvedimenti coercitivi, l'autorità penale gli riconosce un'indennità e una riparazione del torto morale adeguate. |
2 | In caso di carcerazione preventiva o di sicurezza, l'imputato ha diritto a un'indennità e a una riparazione del torto morale adeguate se la durata della carcerazione ha ecceduto quella consentita e la privazione di libertà eccedente non può essere computata nelle sanzioni inflitte per altri reati. |
3 | Il diritto di cui al capoverso 2 decade se l'imputato: |
a | è condannato a una pena pecuniaria, a un lavoro di pubblica utilità o a una multa che in caso di conversione risulterebbe pari a una pena detentiva la cui durata non sarebbe notevolmente inferiore a quella della carcerazione preventiva o di sicurezza sofferta; |
b | è condannato con la condizionale a una pena detentiva la cui durata eccede quella della carcerazione preventiva o di sicurezza sofferta. |
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 81 Diritto di ricorso - 1 Ha diritto di interporre ricorso in materia penale chi: |
|
1 | Ha diritto di interporre ricorso in materia penale chi: |
a | ha partecipato al procedimento dinanzi all'autorità inferiore o è stato privato della possibilità di farlo; e |
b | ha un interesse giuridicamente protetto all'annullamento o alla modifica della decisione impugnata, segnatamente: |
b1 | l'imputato, |
b2 | il rappresentante legale dell'accusato, |
b3 | il pubblico ministero, salvo se si tratta di decisioni che ordinano, prorogano o mettono fine alla carcerazione preventiva o di sicurezza, |
b4 | ... |
b5 | l'accusatore privato, se la decisione impugnata può influire sul giudizio delle sue pretese civili, |
b6 | il querelante, per quanto trattasi del diritto di querela come tale, |
b7 | nelle cause penali amministrative secondo la legge federale del 22 marzo 197455 sul diritto penale amministrativo, il pubblico ministero della Confederazione e l'amministrazione interessata. |
2 | Un'autorità federale è legittimata a ricorrere se il diritto federale prevede che la decisione deve esserle comunicata.56 |
3 | Il diritto di ricorrere contro le decisioni di cui all'articolo 78 capoverso 2 lettera b spetta inoltre alla Cancelleria federale, ai dipartimenti federali o, in quanto lo preveda il diritto federale, ai servizi loro subordinati, se la decisione impugnata viola la legislazione federale nella sfera dei loro compiti. |
De surcroît, le recourant ne rend pas non plus vraisemblable que les préjudices allégués sont à mettre en lien direct avec des atteintes qu'il avait personnellement subies en raison des infractions dénoncées. S'il est certes constant que les déclarations de l'intimé B.________ (ci-après également: intimé 1), quant à l'implication directe du recourant dans l'assassinat de J.________, ont été tenues pour insuffisamment vraisemblables par la Chambre pénale d'appel et de révision dans son (premier) arrêt du 12 juillet 2015, de sorte qu'elle a estimé qu'il n'était pas possible de retenir que le recourant avait lui-même tué cette personne, il est tout aussi constant que la juridiction d'appel n'en a pas non plus tenu compte dans son (second) arrêt du 27 avril 2018, par lequel elle a néanmoins prononcé la condamnation du recourant pour complicité d'assassinats, désormais définitive sur le plan des juridictions suisses. Aussi, même à supposer que, comme le recourant le soutient, les déclarations litigieuses de l'intimé 1, par hypothèse constitutives de dénonciation calomnieuse et de faux témoignage, fussent les causes directes de son arrestation et de son placement en détention provisoire dès août 2012, ces circonstances ne sont pas pour
autant propres à rendre ces mesures illicites et partant susceptibles d'ouvrir la voie à une indemnisation à ce titre, dès lors qu'en application de l'art. 51
SR 311.0 Codice penale svizzero del 21 dicembre 1937 CP Art. 51 - Il giudice computa nella pena il carcere preventivo scontato nell'ambito del procedimento in atto o di un altro procedimento. Un giorno di carcere corrisponde a un'aliquota giornaliera di pena pecuniaria.39 |
SR 312.0 Codice di diritto processuale penale svizzero del 5 ottobre 2007 (Codice di procedura penale, CPP) - Codice di procedura penale CPP Art. 431 - 1 Se nei confronti dell'imputato sono stati illegalmente adottati provvedimenti coercitivi, l'autorità penale gli riconosce un'indennità e una riparazione del torto morale adeguate. |
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1 | Se nei confronti dell'imputato sono stati illegalmente adottati provvedimenti coercitivi, l'autorità penale gli riconosce un'indennità e una riparazione del torto morale adeguate. |
2 | In caso di carcerazione preventiva o di sicurezza, l'imputato ha diritto a un'indennità e a una riparazione del torto morale adeguate se la durata della carcerazione ha ecceduto quella consentita e la privazione di libertà eccedente non può essere computata nelle sanzioni inflitte per altri reati. |
3 | Il diritto di cui al capoverso 2 decade se l'imputato: |
a | è condannato a una pena pecuniaria, a un lavoro di pubblica utilità o a una multa che in caso di conversione risulterebbe pari a una pena detentiva la cui durata non sarebbe notevolmente inferiore a quella della carcerazione preventiva o di sicurezza sofferta; |
b | è condannato con la condizionale a una pena detentiva la cui durata eccede quella della carcerazione preventiva o di sicurezza sofferta. |
Ces considérations sont valables mutatis mutandis s'agissant des déclarations reprochées à l'intimé C.________ (ci-après également: intimé 2), étant observé qu'il apparaît d'autant plus hasardeux de soutenir que celles-là, datant de mars 2013, sont à mettre en lien avec son arrestation et sa mise en prévention, opérées plusieurs mois auparavant.
3.5. Le recourant entend faire valoir, secondement, des conclusions en réparation morale pour les atteintes à la réputation causées par les déclarations litigieuses des intimés, qui avaient été reprises dans la presse, laissant entendre qu'il s'était rendu coupable d'assassinats commis de sang-froid et par dol direct.
En tant que le recourant s'attache à se prévaloir que ces déclarations avaient été largement relayées par les médias, il ne fait concrètement état d'aucun article de presse ou reportage, ne serait-ce qu'à titre d'exemple, dont il pourrait être déduit une atteinte à l'honneur causée spécifiquement par les déclarations litigieuses, les développements du recourant se limitant à des considérations évasives, et toute générales, quant à une potentielle atteinte à sa réputation liée à la couverture médiatique selon lui exceptionnelle de la procédure pénale dirigée contre lui. Il ne prétend du reste pas que les intimés s'étaient personnellement adressés à un quelconque titre de presse. Or, alors que d'éventuelles informations diffusées, relativement aux déclarations litigieuses, pourraient avoir été rapportées aux médias par la voie de la communication officielle des autorités pénales, voire par le truchement d'autres personnes intéressées au dossier, il n'y a rien d'évident à considérer qu'un hypothétique dommage à la réputation causée par la couverture médiatique puisse être imputé directement aux intimés. A tout le moins, le recourant ne tente pas de le démontrer.
C'est enfin le lieu de rappeler une nouvelle fois qu'en tout état, l'implication du recourant dans des assassinats de détenus au Guatemala, commis alors qu'il était directeur général de la K.________, a finalement pu être établie par d'autres moyens de preuve, sa condamnation pour complicité d'assassinats ayant été confirmée en dernier lieu par le Tribunal fédéral.
3.6. Le recourant ne dispose donc pas de la qualité pour recourir contre les arrêts attaqués, faute d'avoir démontré disposer de prétentions civiles au sens de l'art. 81 al. 1 let. b ch. 5
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 81 Diritto di ricorso - 1 Ha diritto di interporre ricorso in materia penale chi: |
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1 | Ha diritto di interporre ricorso in materia penale chi: |
a | ha partecipato al procedimento dinanzi all'autorità inferiore o è stato privato della possibilità di farlo; e |
b | ha un interesse giuridicamente protetto all'annullamento o alla modifica della decisione impugnata, segnatamente: |
b1 | l'imputato, |
b2 | il rappresentante legale dell'accusato, |
b3 | il pubblico ministero, salvo se si tratta di decisioni che ordinano, prorogano o mettono fine alla carcerazione preventiva o di sicurezza, |
b4 | ... |
b5 | l'accusatore privato, se la decisione impugnata può influire sul giudizio delle sue pretese civili, |
b6 | il querelante, per quanto trattasi del diritto di querela come tale, |
b7 | nelle cause penali amministrative secondo la legge federale del 22 marzo 197455 sul diritto penale amministrativo, il pubblico ministero della Confederazione e l'amministrazione interessata. |
2 | Un'autorità federale è legittimata a ricorrere se il diritto federale prevede che la decisione deve esserle comunicata.56 |
3 | Il diritto di ricorrere contro le decisioni di cui all'articolo 78 capoverso 2 lettera b spetta inoltre alla Cancelleria federale, ai dipartimenti federali o, in quanto lo preveda il diritto federale, ai servizi loro subordinati, se la decisione impugnata viola la legislazione federale nella sfera dei loro compiti. |
4.
Indépendamment des conditions posées par l'art. 81 al. 1
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 81 Diritto di ricorso - 1 Ha diritto di interporre ricorso in materia penale chi: |
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1 | Ha diritto di interporre ricorso in materia penale chi: |
a | ha partecipato al procedimento dinanzi all'autorità inferiore o è stato privato della possibilità di farlo; e |
b | ha un interesse giuridicamente protetto all'annullamento o alla modifica della decisione impugnata, segnatamente: |
b1 | l'imputato, |
b2 | il rappresentante legale dell'accusato, |
b3 | il pubblico ministero, salvo se si tratta di decisioni che ordinano, prorogano o mettono fine alla carcerazione preventiva o di sicurezza, |
b4 | ... |
b5 | l'accusatore privato, se la decisione impugnata può influire sul giudizio delle sue pretese civili, |
b6 | il querelante, per quanto trattasi del diritto di querela come tale, |
b7 | nelle cause penali amministrative secondo la legge federale del 22 marzo 197455 sul diritto penale amministrativo, il pubblico ministero della Confederazione e l'amministrazione interessata. |
2 | Un'autorità federale è legittimata a ricorrere se il diritto federale prevede che la decisione deve esserle comunicata.56 |
3 | Il diritto di ricorrere contro le decisioni di cui all'articolo 78 capoverso 2 lettera b spetta inoltre alla Cancelleria federale, ai dipartimenti federali o, in quanto lo preveda il diritto federale, ai servizi loro subordinati, se la decisione impugnata viola la legislazione federale nella sfera dei loro compiti. |
4.1. A cet égard, le recourant soutient qu'en refusant de statuer sur l'un des griefs qu'il avait développés dans le cadre de son recours contre le classement de la procédure dirigée contre l'intimé 1, la cour cantonale a commis un déni de justice formel, prohibé par l'art. 29 al. 1
SR 101 Costituzione federale della Confederazione Svizzera del 18 aprile 1999 Cost. Art. 29 Garanzie procedurali generali - 1 In procedimenti dinanzi ad autorità giudiziarie o amministrative, ognuno ha diritto alla parità ed equità di trattamento, nonché ad essere giudicato entro un termine ragionevole. |
|
1 | In procedimenti dinanzi ad autorità giudiziarie o amministrative, ognuno ha diritto alla parità ed equità di trattamento, nonché ad essere giudicato entro un termine ragionevole. |
2 | Le parti hanno diritto d'essere sentite. |
3 | Chi non dispone dei mezzi necessari ha diritto alla gratuità della procedura se la sua causa non sembra priva di probabilità di successo. Ha inoltre diritto al patrocinio gratuito qualora la presenza di un legale sia necessaria per tutelare i suoi diritti. |
En tant que le grief en question portait sur le point de savoir si, s'agissant de l'infraction de faux témoignage, la cour cantonale était liée par l'appréciation du témoignage faite par les juges du fond, il apparaît néanmoins que la cour cantonale a estimé que cela était effectivement le cas, sous réserve de l'existence éventuelle d'éléments nouveaux, à l'instar de ce qui prévalait pour l'infraction de dénonciation calomnieuse (cf. arrêt du 15 décembre 2021, consid. 4.5 p. 11). Cela étant, la cour cantonale s'étant prononcée sur cet aspect, le grief soulevé dans le recours en matière pénale est, tel qu'articulé, indissociable du fond de la cause. Le recourant n'a en conséquence pas la qualité pour recourir au Tribunal fédéral sous cet angle.
4.2. Dans son recours dirigé contre l'arrêt du 31 mai 2022, ayant trait au classement de la procédure pénale dirigée contre l'intimé 2 pour faux témoignage, le recourant se plaint par ailleurs que la cour cantonale lui a dénié la qualité pour recourir s'agissant d'une grande partie des déclarations reprochées à l'intimé précité.
4.2.1. En tant que le recourant invoque à cet égard une violation de l'art. 382 al. 1
SR 312.0 Codice di diritto processuale penale svizzero del 5 ottobre 2007 (Codice di procedura penale, CPP) - Codice di procedura penale CPP Art. 382 Legittimazione delle altre parti - 1 Sono legittimate a ricorrere contro una decisione le parti che hanno un interesse giuridicamente protetto all'annullamento o alla modifica della stessa. |
|
1 | Sono legittimate a ricorrere contro una decisione le parti che hanno un interesse giuridicamente protetto all'annullamento o alla modifica della stessa. |
2 | L'accusatore privato non può impugnare una decisione riguardo alla sanzione inflitta. |
3 | Alla morte dell'imputato, del condannato o dell'accusatore privato, i congiunti giusta l'articolo 110 capoverso 1 CP263 sono legittimati, nell'ordine di successibilità, a interporre ricorso o a continuare la procedura di ricorso già avviata dal defunto, purché siano lesi nei loro interessi giuridicamente protetti. |
4.2.2. Toute partie qui a un intérêt juridiquement protégé à l'annulation ou à la modification d'une décision a qualité pour recourir contre celle-ci (art. 382 al. 1
SR 312.0 Codice di diritto processuale penale svizzero del 5 ottobre 2007 (Codice di procedura penale, CPP) - Codice di procedura penale CPP Art. 382 Legittimazione delle altre parti - 1 Sono legittimate a ricorrere contro una decisione le parti che hanno un interesse giuridicamente protetto all'annullamento o alla modifica della stessa. |
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1 | Sono legittimate a ricorrere contro una decisione le parti che hanno un interesse giuridicamente protetto all'annullamento o alla modifica della stessa. |
2 | L'accusatore privato non può impugnare una decisione riguardo alla sanzione inflitta. |
3 | Alla morte dell'imputato, del condannato o dell'accusatore privato, i congiunti giusta l'articolo 110 capoverso 1 CP263 sono legittimati, nell'ordine di successibilità, a interporre ricorso o a continuare la procedura di ricorso già avviata dal defunto, purché siano lesi nei loro interessi giuridicamente protetti. |
SR 312.0 Codice di diritto processuale penale svizzero del 5 ottobre 2007 (Codice di procedura penale, CPP) - Codice di procedura penale CPP Art. 104 Parti - 1 Sono parti: |
|
1 | Sono parti: |
a | l'imputato; |
b | l'accusatore privato; |
c | il pubblico ministero nella procedura dibattimentale e in quella di ricorso. |
2 | La Confederazione e i Cantoni possono conferire pieni o limitati diritti di parte ad altre autorità cui spetta la tutela di interessi pubblici. |
SR 312.0 Codice di diritto processuale penale svizzero del 5 ottobre 2007 (Codice di procedura penale, CPP) - Codice di procedura penale CPP Art. 105 Altri partecipanti al procedimento - 1 Sono altri partecipanti al procedimento: |
|
1 | Sono altri partecipanti al procedimento: |
a | il danneggiato; |
b | il denunciante; |
c | il testimone; |
d | la persona informata sui fatti; |
e | il perito; |
f | il terzo aggravato da atti procedurali. |
2 | Le persone di cui al capoverso 1, se direttamente lese nei loro diritti, fruiscono dei diritti procedurali spettanti alle parti, nella misura necessaria alla tutela dei loro interessi. |
SR 312.0 Codice di diritto processuale penale svizzero del 5 ottobre 2007 (Codice di procedura penale, CPP) - Codice di procedura penale CPP Art. 104 Parti - 1 Sono parti: |
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1 | Sono parti: |
a | l'imputato; |
b | l'accusatore privato; |
c | il pubblico ministero nella procedura dibattimentale e in quella di ricorso. |
2 | La Confederazione e i Cantoni possono conferire pieni o limitati diritti di parte ad altre autorità cui spetta la tutela di interessi pubblici. |
Il existe un intérêt juridiquement protégé lorsque le recourant est touché directement et immédiatement dans ses droits propres, ce qui n'est pas le cas lorsqu'il est touché par un simple effet réflexe. L'intérêt juridiquement protégé se distingue de l'intérêt digne de protection, qui n'est pas nécessairement un intérêt juridique, mais peut être un intérêt de fait. Dans le cadre des voies de droit instituées par le CPP, un simple intérêt de fait ne suffit pas à conférer la qualité pour recourir. Le recourant doit ainsi établir que la décision attaquée viole une règle de droit qui a pour but de protéger ses intérêts et qu'il peut en conséquence en déduire un droit subjectif. La violation d'un intérêt relevant d'un autre sujet de droit est insuffisante pour créer la qualité pour recourir (ATF 145 IV 161 consid. 3.1). Une partie qui n'est pas concrètement lésée par la décision ne possède donc pas la qualité pour recourir et son recours est irrecevable (ATF 144 IV 81 consid. 2.3.1).
Par ailleurs, le recourant doit avoir un intérêt actuel et pratique au recours (ATF 144 IV 81 consid. 2.3.1), respectivement à l'examen des griefs soulevés (arrêt 1B 550/2021 du 13 janvier 2022 consid. 3.2). Il n'est renoncé exceptionnellement à cette condition que si la contestation peut se reproduire en tout temps dans des circonstances identiques ou analogues, si sa nature ne permet pas de la soumettre à une autorité judiciaire avant qu'elle ne perde son actualité et s'il existe un intérêt public suffisamment important à la solution des questions litigieuses en raison de leur portée de principe (ATF 146 II 335 consid. 1.3; 142 I 135 consid. 1.3.1; arrêt 1B 233/2022 du 4 octobre 2022 consid. 2.1).
4.2.3. En l'espèce, en instance cantonale, le recourant a fait grief à l'intimé 2 d'avoir menti sur plusieurs points: premièrement, sur l'existence, respectivement la façon dont l'intimé 2 avait eu connaissance, de listings téléphoniques faisant état d'appels passés entre F.________ et lui-même tant le 3 novembre 2005 (volet V.________) que le 1er décembre 2005 (volet W.________); deuxièmement, sur l'étendue de son rôle d'enquêteur dans les deux affaires précitées; troisièmement, sur le fait d'avoir allégué, tantôt être convaincu, à Genève, que H.________ et I.________ avaient été assassinés, tantôt ne pas penser, en Espagne, que leur mort avait été programmée; quatrièmement, sur la présence de D.________ et de E.________ dans l'hélicoptère ayant transporté les cadavres des deux fugitifs prénommés à plusieurs kilomètres du lieu de leur exécution (cf. arrêt du 31 mai 2022, consid. 2.3 p. 11).
4.2.4. Dans son arrêt du 31 mai 2022, la cour cantonale a estimé que le recours était recevable s'agissant des allégations concernant l'existence de listings téléphoniques quant à des appels qui auraient été passés entre F.________ et lui-même le 3 novembre 2005 (volet V.________).
La Chambre pénale d'appel et de révision (CPAR) avait en effet estimé, dans son arrêt de 2015, que ces allégations constituaient un indice de l'implication du recourant dans l'homicide d'G.________ (cf. arrêt du 12 juillet 2015 consid. 5.2.7.2 p. 205). Par la suite, le Tribunal fédéral avait renvoyé la cause à la CPAR, notamment pour qu'elle motive sa décision sur le caractère crédible, ou non, de ces déclarations (cf. arrêt 6B 947/2015 précité consid. 11.1.4.1).
Il devait être retenu, dans un tel contexte, que le recourant avait été directement touché dans ses droits par les déclarations en cause (condamnation prononcée par la CPAR en 2015, puis allongement de la procédure pour investiguer la réalité de ces propos alors qu'il était détenu), cela bien que cette atteinte était restée provisoire, le recourant ayant en définitive été acquitté, dans l'arrêt du 27 avril 2018, des faits survenus lors de l'opération M.________ (cf. arrêt du 31 mai 2022, consid. 2.3.1 p. 11 s.).
4.2.5. Les autres déclarations visées par la plainte du recourant n'avaient en revanche pas porté atteinte à ses droits procéduraux.
En effet, les assertions dénoncées n'avaient eu aucune incidence, même provisoire, sur le sort du procès. En particulier, la CPAR ne s'était fondée sur aucune de ces allégations pour juger le recourant coupable des homicides des évadés de L.________, le Tribunal fédéral ne s'y étant pas non plus référé dans l'arrêt 6B 947/2015, seule la question de l'inexistence d'un mandat autorisant l'intimé 2 à consulter des données dans les locaux d'une compagnie de téléphonique ayant été évoquée (cf. arrêt 6B 947/2015 précité consid. 11.1.4.1). Or, le témoin était toujours resté constant quant à une telle inexistence, raison pour laquelle d'ailleurs la plainte du recourant ne portait pas sur cette allégation. Ces propos n'avaient pas davantage joué de rôle déterminant dans la procédure postérieure à l'arrêt 6B 947/2015, le recourant ayant été définitivement acquitté, en avril 2018, des accusations en lien avec les homicides des trois évadés de L.________ (cf. arrêt du 31 mai 2022, consid. 2.3.2 p. 12).
4.2.6. Le recourant soutient qu'en s'évertuant à prétendre que les déclarations en cause n'avaient pas eu d'influence sur le "sort du procès", la cour cantonale s'est arrogée le pouvoir d'ériger une nouvelle condition à l'infraction décrite à l'art. 307
SR 311.0 Codice penale svizzero del 21 dicembre 1937 CP Art. 307 - 1 Chiunque come testimonio, perito, traduttore od interprete in un procedimento giudiziario, fa sui fatti della causa una falsa deposizione, una falsa constatazione o fornisce una falsa perizia o traduce falsamente, è punito con una pena detentiva sino a cinque anni o con una pena pecuniaria. |
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1 | Chiunque come testimonio, perito, traduttore od interprete in un procedimento giudiziario, fa sui fatti della causa una falsa deposizione, una falsa constatazione o fornisce una falsa perizia o traduce falsamente, è punito con una pena detentiva sino a cinque anni o con una pena pecuniaria. |
2 | ...432 |
3 | Se la falsità concerne fatti non influenti sulla decisione del giudice, la pena è una pena pecuniaria.433 |
SR 101 Costituzione federale della Confederazione Svizzera del 18 aprile 1999 Cost. Art. 5 Stato di diritto - 1 Il diritto è fondamento e limite dell'attività dello Stato. |
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1 | Il diritto è fondamento e limite dell'attività dello Stato. |
2 | L'attività dello Stato deve rispondere al pubblico interesse ed essere proporzionata allo scopo. |
3 | Organi dello Stato, autorità e privati agiscono secondo il principio della buona fede. |
4 | La Confederazione e i Cantoni rispettano il diritto internazionale. |
Ce faisant, le recourant s'abstient de décrire en quoi il avait été concrètement lésé par les déclarations en cause, soit en particulier en quoi celles-ci avaient porté atteinte à des droits personnels, dont il bénéficiait en sa qualité de partie à la procédure, ceci alors qu'il n'est pas contesté qu'il avait été définitivement acquitté des accusations en rapport avec l'opération M.________, sans qu'il a été pour le surplus fait référence aux déclarations litigieuses dans les différentes décisions judiciaires rendues.
A cet égard, le recourant ne parvient dès lors pas à démontrer qu'il disposait d'un intérêt à recourir, qui pût être considéré comme actuel et pratique.
4.2.7. Pour justifier d'un intérêt juridiquement protégé au sens de l'art. 382 al. 1
SR 312.0 Codice di diritto processuale penale svizzero del 5 ottobre 2007 (Codice di procedura penale, CPP) - Codice di procedura penale CPP Art. 382 Legittimazione delle altre parti - 1 Sono legittimate a ricorrere contro una decisione le parti che hanno un interesse giuridicamente protetto all'annullamento o alla modifica della stessa. |
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1 | Sono legittimate a ricorrere contro una decisione le parti che hanno un interesse giuridicamente protetto all'annullamento o alla modifica della stessa. |
2 | L'accusatore privato non può impugnare una decisione riguardo alla sanzione inflitta. |
3 | Alla morte dell'imputato, del condannato o dell'accusatore privato, i congiunti giusta l'articolo 110 capoverso 1 CP263 sono legittimati, nell'ordine di successibilità, a interporre ricorso o a continuare la procedura di ricorso già avviata dal defunto, purché siano lesi nei loro interessi giuridicamente protetti. |
Sur ce point, il apparaît cependant que, comme l'a relevé la cour cantonale, les déclarations visées par la plainte du recourant (cf. consid. 4.1.2 supra) ne constituent pas des allégations de fait, ni des jugements de valeur, propres à rendre le recourant méprisable, mais procèdent bien plutôt d'appréciations subjectives de l'intimé, consacrant avant tout des convictions ou des déductions personnelles, reconnaissables comme telles, quant aux circonstances des assassinats de H.________ et de I.________ et, en particulier, au caractère programmé ou non de ceux-ci. Or, des assertions de telle nature paraissent devoir être exclues du champ d'application de l'art. 307
SR 311.0 Codice penale svizzero del 21 dicembre 1937 CP Art. 307 - 1 Chiunque come testimonio, perito, traduttore od interprete in un procedimento giudiziario, fa sui fatti della causa una falsa deposizione, una falsa constatazione o fornisce una falsa perizia o traduce falsamente, è punito con una pena detentiva sino a cinque anni o con una pena pecuniaria. |
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1 | Chiunque come testimonio, perito, traduttore od interprete in un procedimento giudiziario, fa sui fatti della causa una falsa deposizione, una falsa constatazione o fornisce una falsa perizia o traduce falsamente, è punito con una pena detentiva sino a cinque anni o con una pena pecuniaria. |
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3 | Se la falsità concerne fatti non influenti sulla decisione del giudice, la pena è una pena pecuniaria.433 |
SR 311.0 Codice penale svizzero del 21 dicembre 1937 CP Art. 306 - 1 Chiunque, dopo essere stato avvertito dal giudice dell'obbligo di dire la verità e delle conseguenze penali in cui può incorrere, fa, come parte in una causa civile, sui fatti della contestazione una falsa dichiarazione che costituisce un mezzo di prova, è punito con una pena detentiva sino a tre anni o con una pena pecuniaria. |
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1 | Chiunque, dopo essere stato avvertito dal giudice dell'obbligo di dire la verità e delle conseguenze penali in cui può incorrere, fa, come parte in una causa civile, sui fatti della contestazione una falsa dichiarazione che costituisce un mezzo di prova, è punito con una pena detentiva sino a tre anni o con una pena pecuniaria. |
2 | ...430 |
3 | Se la falsa dichiarazione concerne fatti non influenti sulla decisione del giudice, la pena è una pena pecuniaria.431 |
SR 311.0 Codice penale svizzero del 21 dicembre 1937 CP Art. 307 - 1 Chiunque come testimonio, perito, traduttore od interprete in un procedimento giudiziario, fa sui fatti della causa una falsa deposizione, una falsa constatazione o fornisce una falsa perizia o traduce falsamente, è punito con una pena detentiva sino a cinque anni o con una pena pecuniaria. |
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1 | Chiunque come testimonio, perito, traduttore od interprete in un procedimento giudiziario, fa sui fatti della causa una falsa deposizione, una falsa constatazione o fornisce una falsa perizia o traduce falsamente, è punito con una pena detentiva sino a cinque anni o con una pena pecuniaria. |
2 | ...432 |
3 | Se la falsità concerne fatti non influenti sulla decisione del giudice, la pena è una pena pecuniaria.433 |
SR 311.0 Codice penale svizzero del 21 dicembre 1937 CP Art. 307 - 1 Chiunque come testimonio, perito, traduttore od interprete in un procedimento giudiziario, fa sui fatti della causa una falsa deposizione, una falsa constatazione o fornisce una falsa perizia o traduce falsamente, è punito con una pena detentiva sino a cinque anni o con una pena pecuniaria. |
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1 | Chiunque come testimonio, perito, traduttore od interprete in un procedimento giudiziario, fa sui fatti della causa una falsa deposizione, una falsa constatazione o fornisce una falsa perizia o traduce falsamente, è punito con una pena detentiva sino a cinque anni o con una pena pecuniaria. |
2 | ...432 |
3 | Se la falsità concerne fatti non influenti sulla decisione del giudice, la pena è una pena pecuniaria.433 |
4.2.8. Cela étant relevé, la cour cantonale n'a pas violé le droit fédéral en estimant qu'au regard de l'art. 382 al. 1
SR 312.0 Codice di diritto processuale penale svizzero del 5 ottobre 2007 (Codice di procedura penale, CPP) - Codice di procedura penale CPP Art. 382 Legittimazione delle altre parti - 1 Sono legittimate a ricorrere contro una decisione le parti che hanno un interesse giuridicamente protetto all'annullamento o alla modifica della stessa. |
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1 | Sono legittimate a ricorrere contro una decisione le parti che hanno un interesse giuridicamente protetto all'annullamento o alla modifica della stessa. |
2 | L'accusatore privato non può impugnare una decisione riguardo alla sanzione inflitta. |
3 | Alla morte dell'imputato, del condannato o dell'accusatore privato, i congiunti giusta l'articolo 110 capoverso 1 CP263 sono legittimati, nell'ordine di successibilità, a interporre ricorso o a continuare la procedura di ricorso già avviata dal defunto, purché siano lesi nei loro interessi giuridicamente protetti. |
5.
L'hypothèse visée à l'art. 81 al. 1 let. b ch. 6
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 81 Diritto di ricorso - 1 Ha diritto di interporre ricorso in materia penale chi: |
|
1 | Ha diritto di interporre ricorso in materia penale chi: |
a | ha partecipato al procedimento dinanzi all'autorità inferiore o è stato privato della possibilità di farlo; e |
b | ha un interesse giuridicamente protetto all'annullamento o alla modifica della decisione impugnata, segnatamente: |
b1 | l'imputato, |
b2 | il rappresentante legale dell'accusato, |
b3 | il pubblico ministero, salvo se si tratta di decisioni che ordinano, prorogano o mettono fine alla carcerazione preventiva o di sicurezza, |
b4 | ... |
b5 | l'accusatore privato, se la decisione impugnata può influire sul giudizio delle sue pretese civili, |
b6 | il querelante, per quanto trattasi del diritto di querela come tale, |
b7 | nelle cause penali amministrative secondo la legge federale del 22 marzo 197455 sul diritto penale amministrativo, il pubblico ministero della Confederazione e l'amministrazione interessata. |
2 | Un'autorità federale è legittimata a ricorrere se il diritto federale prevede che la decisione deve esserle comunicata.56 |
3 | Il diritto di ricorrere contro le decisioni di cui all'articolo 78 capoverso 2 lettera b spetta inoltre alla Cancelleria federale, ai dipartimenti federali o, in quanto lo preveda il diritto federale, ai servizi loro subordinati, se la decisione impugnata viola la legislazione federale nella sfera dei loro compiti. |
6.
Au vu de ce qui précède, les recours doivent être rejetés dans la mesure de leur recevabilité. Comme ils étaient dénués de chances de succès, les demandes d'assistance judiciaire doivent être rejetées. Le recourant, qui succombe, supportera les frais judiciaires, qui seront fixés en tenant compte de sa situation financière, laquelle n'apparaît pas favorable (art. 65 al. 2
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 65 Spese giudiziarie - 1 Le spese giudiziarie comprendono la tassa di giustizia, l'emolumento per la copia di atti scritti, le spese per le traduzioni in o da una lingua non ufficiale e le indennità versate a periti e testimoni. |
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1 | Le spese giudiziarie comprendono la tassa di giustizia, l'emolumento per la copia di atti scritti, le spese per le traduzioni in o da una lingua non ufficiale e le indennità versate a periti e testimoni. |
2 | La tassa di giustizia è stabilita in funzione del valore litigioso, dell'ampiezza e della difficoltà della causa, del modo di condotta processuale e della situazione finanziaria delle parti. |
3 | Di regola, il suo importo è di: |
a | 200 a 5000 franchi nelle controversie senza interesse pecuniario; |
b | 200 a 100 000 franchi nelle altre controversie. |
4 | È di 200 a 1000 franchi, a prescindere dal valore litigioso, nelle controversie: |
a | concernenti prestazioni di assicurazioni sociali; |
b | concernenti discriminazioni fondate sul sesso; |
c | risultanti da un rapporto di lavoro, sempreché il valore litigioso non superi 30 000 franchi; |
d | secondo gli articoli 7 e 8 della legge del 13 dicembre 200223 sui disabili. |
5 | Se motivi particolari lo giustificano, il Tribunale federale può aumentare tali importi, ma al massimo fino al doppio nei casi di cui al capoverso 3 e fino a 10 000 franchi nei casi di cui al capoverso 4. |
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 66 Onere e ripartizione delle spese giudiziarie - 1 Di regola, le spese giudiziarie sono addossate alla parte soccombente. Se le circostanze lo giustificano, il Tribunale federale può ripartirle in modo diverso o rinunciare ad addossarle alle parti. |
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1 | Di regola, le spese giudiziarie sono addossate alla parte soccombente. Se le circostanze lo giustificano, il Tribunale federale può ripartirle in modo diverso o rinunciare ad addossarle alle parti. |
2 | In caso di desistenza o di transazione, il Tribunale federale può rinunciare in tutto o in parte a riscuotere le spese giudiziarie. |
3 | Le spese inutili sono pagate da chi le causa. |
4 | Alla Confederazione, ai Cantoni, ai Comuni e alle organizzazioni incaricate di compiti di diritto pubblico non possono di regola essere addossate spese giudiziarie se, senza avere alcun interesse pecuniario, si rivolgono al Tribunale federale nell'esercizio delle loro attribuzioni ufficiali o se le loro decisioni in siffatte controversie sono impugnate mediante ricorso. |
5 | Salvo diversa disposizione, le spese giudiziarie addossate congiuntamente a più persone sono da queste sostenute in parti eguali e con responsabilità solidale. |
Par ces motifs, le Tribunal fédéral prononce :
1.
Les causes 6B 140/2022 et 6B 841/2022 sont jointes.
2.
Les recours sont rejetés dans la mesure où ils sont recevables.
3.
Les demandes d'assistance judiciaire sont rejetées.
4.
Une partie des frais judiciaires, arrêtés à 1'200 fr., est mise à la charge du recourant.
5.
Le présent arrêt est communiqué aux parties et à la Cour de justice de la République et canton de Genève, Chambre pénale de recours.
Lausanne, le 9 mai 2023
Au nom de la Cour de droit pénal
du Tribunal fédéral suisse
Le Juge présidant : Denys
Le Greffier : Tinguely