Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

5A 363/2023

Urteil vom 8. November 2023

II. zivilrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichter Herrmann, Präsident,
Bundesrichter Schöbi, Bovey,
Gerichtsschreiber Monn.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Fabian Steuri,
Beschwerdeführer,

gegen

B.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Tobias Brändli,
Beschwerdegegnerin,

C.________ und D.________,
vertreten durch Rechtsanwältin Kathrin Teuscher.

Gegenstand
Unterhalt und weitere Kinderbelange,

Beschwerde gegen das Urteil des Obergerichts des Kantons Zürich, I. Zivilkammer, vom 30. März 2023 (LZ220004).

Sachverhalt:

A.

A.a. A.________ und B.________ sind die nicht miteinander verheirateten Eltern der Zwillingsmädchen C.________ und D.________ (geb. 2018). Mit Klage vom 8. Februar 2019 leitete die Mutter im Namen der Kinder ein Verfahren betreffend Unterhalt und weitere Kinderbelange ein. Mit Urteil vom 15. Dezember 2021 regelte das Bezirksgericht Uster den Unterhalt und beliess die Kinder in einer ersten Phase unter der alleinigen Obhut der Mutter, um sie ab 1. September 2022 unter die gemeinsame Obhut von Vater und Mutter zu stellen.

A.b.

A.b.a. Sowohl A.________ als auch B.________ erhoben gegen dieses Urteil Berufung beim Obergericht des Kantons Zürich.

A.b.b. Mit Eingabe vom 17. Juni 2022 stellte B.________ ein Gesuch um Erlass vorsorglicher Massnahmen, das mit Beschluss vom 27. Juli 2022 abgewiesen wurde. Am 9. August 2022 folgte ein weiteres solches Gesuch, das mit Beschluss vom 19. August 2022 abgewiesen wurde. Erfolglos blieb auch ein Gesuch des Beistands der Kinder vom 26. September 2022 um Erlass superprovisorischer und provisorischer Massnahmen (Verfügung vom 29. September 2022 und Beschluss vom 26. Oktober 2022).

A.b.c. Mit Beschluss und Urteil vom 30. März 2023 hiess das Obergericht die Berufungen teilweise gut und ordnete an, dass die Zwillingstöchter unter die alleinige Obhut der Mutter gestellt werden. Der Vater wurde berechtigt und verpflichtet, die Kinder in den geraden Kalenderwochen sowie in den Kalenderwochen Nr. 5, 13, 21, 29, 37 und 45 von Freitag, 18:00 Uhr, bis Sonntag, 18:00 Uhr, zu sich oder mit sich zu Besuch zu nehmen. Ferner regelte das Obergericht das Besuchsrecht des Vaters über die Festtage und während der Ferien sowie den von ihm zu leistenden Beitrag an den Unterhalt der Kinder. Im Umfang von Fr. 67.50 je Kind ungedeckt blieb dabei der Betreuungsunterhalt für die Zeit vom 1. Juli 2021 bis 13. August 2023.

B.
Mit Beschwerde in Zivilsachen vom 16. Mai 2023 wendet sich A.________ (Beschwerdeführer) an das Bundesgericht. Diesem beantragt er unter Kosten- und Entschädigungsfolge, seine beiden Töchter unter seine alleinige Obhut zu stellen und B.________ (Beschwerdegegnerin) ein Besuchsrecht auf ihre Kosten einzuräumen. Ferner sei die Beschwerdegegnerin zu verpflichten, ab 14. August 2023 bis zur Volljährigkeit der Kinder bzw. bis zum Abschluss einer Erstausbildung Fr. 720.-- Barunterhalt pro Kind zu leisten. Weiter sei der jeweilige Fehlbetrag von Fr. 82.-- (Phase 6), Fr. 282.-- (Phase 7), Fr. 353.-- (Phase 8) und Fr. 411.-- (Phase 9) festzustellen. Die Erziehungsgutschriften für die Berechnung künftiger AHV-/IV-Renten seien dem Beschwerdeführer gutzuschreiben. Eventualiter sei die Sache zur Neubeurteilung an die Vorinstanz zurückzuweisen.
Das Bundesgericht hat die Akten des kantonalen Verfahrens, aber keine Vernehmlassungen eingeholt.

Erwägungen:

1.
Angefochten ist der Endentscheid (Art. 90
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure.
BGG) einer letzten kantonalen Instanz, die als oberes Gericht auf Rechtsmittel hin (Art. 75
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 75 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.38
1    Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.38
2    Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours, sauf si:
a  une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
b  un tribunal spécialisé dans les litiges de droit commercial statue en instance cantonale unique;
c  une action ayant une valeur litigieuse d'au moins 100 000 francs est déposée directement devant le tribunal supérieur avec l'accord de toutes les parties.
BGG) über den Unterhalt sowie weitere Kinderbelange entschieden hat. Es liegt insgesamt eine nicht vermögensrechtliche Zivilsache vor (Art. 72 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 72 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
1    Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
2    Sont également sujettes au recours en matière civile:
a  les décisions en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions prises en application de normes de droit public dans des matières connexes au droit civil, notamment les décisions:
b1  sur la reconnaissance et l'exécution de décisions ainsi que sur l'entraide en matière civile,
b2  sur la tenue des registres foncier, d'état civil et du commerce, ainsi que des registres en matière de protection des marques, des dessins et modèles, des brevets d'invention, des obtentions végétales et des topographies,
b3  sur le changement de nom,
b4  en matière de surveillance des fondations, à l'exclusion des institutions de prévoyance et de libre passage,
b5  en matière de surveillance des exécuteurs testamentaires et autres représentants successoraux,
b6  les décisions prises dans le domaine de la protection de l'enfant et de l'adulte,
b7  ...
BGG). Der Beschwerdeführer ist zur Beschwerde berechtigt (Art. 76 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 76 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière civile quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière civile quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et
b  est particulièrement touché par la décision attaquée et a un intérêt digne de protection à son annulation ou sa modification.
2    Ont également qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 72, al. 2, la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux et, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions.42
BGG) und hat die Beschwerdefrist eingehalten (Art. 100 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
1    Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
2    Le délai de recours est de dix jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale;
c  les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants93 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants94.
d  les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets96.
3    Le délai de recours est de cinq jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change;
b  les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales.
4    Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national.
5    En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
6    ...97
7    Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps.
i.V.m. Art. 46 Abs. 1 Bst. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 46 Suspension - 1 Les délais fixés en jours par la loi ou par le juge ne courent pas:
1    Les délais fixés en jours par la loi ou par le juge ne courent pas:
a  du septième jour avant Pâques au septième jour après Pâques inclus;
b  du 15 juillet au 15 août inclus;
c  du 18 décembre au 2 janvier inclus.
2    L'al. 1 ne s'applique pas:
a  aux procédures concernant l'octroi de l'effet suspensif ou d'autres mesures provisionnelles;
b  à la poursuite pour effets de change;
c  aux questions relatives aux droits politiques (art. 82, let. c);
d  à l'entraide pénale internationale ni à l'assistance administrative internationale en matière fiscale;
e  aux marchés publics.20
BGG). Die Beschwerde in Zivilsachen steht daher offen.

2.

2.1. Mit der Beschwerde in Zivilsachen können Rechtsverletzungen gemäss Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
. BGG geltend gemacht werden. Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG) und prüft mit freier Kognition, ob der angefochtene Entscheid Recht verletzt. Es befasst sich aber nur mit formell ausreichend begründeten Einwänden (Art. 42 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1bis    Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG). In der Beschwerdebegründung ist daher in gedrängter Form darzulegen, inwiefern der angefochtene Entscheid rechtswidrig sein soll. Die Begründung muss sachbezogen sein und sich auf den Streitgegenstand beziehen und beschränken; die beschwerdeführende Partei hat in gezielter Auseinandersetzung mit den für das Ergebnis des angefochtenen Entscheids massgeblichen Erwägungen plausibel aufzuzeigen, welche Rechte bzw. Rechtsnormen die Vorinstanz verletzt haben soll. Sie soll in der Beschwerdeschrift nicht bloss die Rechtsstandpunkte, die sie im kantonalen Verfahren eingenommen hat, erneut bekräftigen, sondern mit ihrer Kritik an den als rechtsfehlerhaft erachteten Erwägungen der Vorinstanz ansetzen (BGE 143 II 283 E. 1.2.2; 142 III 364 E. 2.4; 142 I 99 E. 1.7.1; 140 III 86 E. 2, 115 E. 2). Erfüllt eine Beschwerde diese Anforderungen nicht, ist darauf nicht einzutreten. Strengere
Anforderungen gelten, wenn die Verletzung von verfassungsmässigen Rechten geltend gemacht wird. Das Bundesgericht prüft deren Verletzung nur insofern, als eine solche Rüge in der Beschwerde vorgebracht und begründet worden ist (Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG; Rügeprinzip). Es prüft nur klar und detailliert erhobene und soweit möglich belegte Rügen (BGE 142 III 364 E. 2.4 mit Hinweisen).

2.2. Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100
BGG). Gegen die tatsächlichen Feststellungen der Vorinstanz kann einzig vorgebracht werden, sie seien offensichtlich unrichtig, d.h. willkürlich (BGE 140 III 264 E. 2.3 mit Hinweis), oder sie würden auf einer anderen Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG (z.B. Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
1    Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
2    Les parties ont le droit d'être entendues.
3    Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert.
BV oder Art. 8
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 8 - Chaque partie doit, si la loi ne prescrit le contraire, prouver les faits qu'elle allègue pour en déduire son droit.
ZGB) beruhen. Ausserdem muss in der Beschwerde aufgezeigt werden, inwiefern die Behebung der vorerwähnten Mängel für den Ausgang des Verfahrens entscheidend sein kann (Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.90
BGG; BGE 137 III 226 E. 4.2 mit Hinweis). Auch für die Rüge der offensichtlich unrichtigen Sachverhaltsfeststellung gilt das strenge Rügeprinzip nach Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG (BGE 144 V 50 E. 4.1). Auf ungenügend substanziierte Rügen und rein appellatorische Kritik am Sachverhalt tritt das Bundesgericht nicht ein (BGE 142 III 364 E. 2.4; 140 III 264 E. 2.3).

2.3. Beim Entscheid über die elterliche Sorge, die Obhut, die Betreuungsanteile bzw. das Besuchsrecht und den Kinderunterhalt ist der Sachrichter in vielfacher Hinsicht auf sein Ermessen verwiesen (Art. 4
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 4 - Le juge applique les règles du droit et de l'équité, lorsque la loi réserve son pouvoir d'appréciation ou qu'elle le charge de prononcer en tenant compte soit des circonstances, soit de justes motifs.
ZGB; vgl. BGE 142 III 612 E. 4.5 mit Hinweisen; Urteile 5A 85/2022 vom 3. Juni 2022 E. 3.1.2; 5A 742/2021 vom 8. April 2022 E. 3.1; 5A 247/2021 vom 10. Januar 2022 E. 3.4.1). Ermessensentscheide dieser Art überprüft das Bundesgericht an sich frei; es greift allerdings nur ein, wenn die kantonale Instanz von dem ihr zustehenden Ermessen einen falschen Gebrauch gemacht hat, d.h. wenn sie grundlos von in Lehre und Rechtsprechung anerkannten Grundsätzen abgewichen ist, wenn sie Gesichtspunkte berücksichtigt hat, die keine Rolle hätten spielen dürfen, oder wenn sie umgekehrt rechtserhebliche Umstände ausser Acht gelassen hat. Aufzuheben und zu korrigieren sind ausserdem Ermessensentscheide, die sich als im Ergebnis offensichtlich unbillig, als in stossender Weise ungerecht erweisen (BGE 142 III 617 E. 3.2.5, 612 E. 4.5; 136 III 278 E. 2.2.1; 135 III 121 E. 2; je mit Hinweisen).

3.
Umstritten ist hauptsächlich die Alleinzuteilung der elterlichen Obhut an die Mutter.

3.1. Die Vorinstanz stellt vorweg fest, dass aufgrund der geografischen Situation die Anordnung einer alternierenden Obhut ausscheide. Auch die offensichtlich fehlende Kommunikations- und Kooperationsbereitschaft zwischen den Parteien spreche gegen die alternierende Obhut. Entsprechend sei die Obhut einem Elternteil zu übertragen und das Besuchsrecht des andern zu regeln.
Mit Blick auf diesen Entscheid erklärt das Obergericht, dass beide Elternteile erziehungsfähig seien. Zwar behaupte die Beschwerdegegnerin, der Beschwerdeführer sei gegenüber den Kindern gewalttätig geworden; auch seien entsprechende Äusserungen der Zwillingstöchter dokumentiert. Namentlich der Gutachter aber habe festgestellt, dass zwischen dem Vater und seinen Töchtern eine liebevolle und herzliche Beziehung bestehe. Im Übrigen sei unbestritten, dass der Beschwerdeführer im Streit oftmals laut geworden sei, er sich der Mutter der Beschwerdegegnerin gegenüber aggressiv verhalten habe und auch die Beschwerdegegnerin das Verhalten des Beschwerdeführers als aggressiv empfinde. Die im Zusammenhang mit der Geburt der Zwillingstöchter diagnostizierte Anpassungsstörung habe der Beschwerdeführer hingegen in der Zwischenzeit überwunden.
Hinsichtlich der Erziehungsfähigkeit der Beschwerdegegnerin verweist die Vorinstanz auf das fachpsychiatrische Gutachten. Dieses halte fest, dass die Beschwerdegegnerin keine grundsätzlichen Schwierigkeiten damit habe, dass andere Menschen in enge Beziehung mit ihren Kindern treten. Allerdings gehe aus dem Gutachten auch hervor, dass bezüglich Bindungstoleranz bei der Beschwerdegegnerin eindeutige Defizite auszumachen seien. Die Beschwerdegegnerin habe nicht verinnerlicht oder auch nur erkannt, dass das Engagement des Beschwerdeführers von Nutzen sein kann. Bei der Beschwerdegegnerin sei von einer eingeschränkten Bindungstoleranz auszugehen, die der Übertragung der alleinigen Obhut an sie aber nicht im Wege stehe.
Das Kriterium der Stabilität und Kontinuität spreche klarerweise für die Zuteilung der Obhut an die Beschwerdegegnerin. Sie betreue die Kinder seit deren Geburt und sei deren Hauptbezugsperson. Dass die Mutter dieses Faktum eigenmächtig geschaffen habe und es nicht dem Vater anzulasten sei, ändere daran nichts. Für die Kinder wäre es eine höchst einschneidende Veränderung, wenn sie aus ihrer gewohnten Umgebung bzw. ihrer gewohnten Lebenssituation herausgerissen würden, unabhängig davon, dass auch der Vater für sie eine zentrale Bezugsperson darstellt. Obhutsumteilungen seien generell nur mit grosser Zurückhaltung vorzunehmen.
Die örtliche Stabilität ist laut der Vorinstanz angesichts des Alters der Kinder von untergeordneter Bedeutung: Kleine Kinder seien wesentlich stärker personen- als ortsgebunden. Hinzu komme, dass die Kinder seit Geburt auch schon mehrfach umgezogen seien und erst seit Juli 2021 in U.________ (SG) lebten. Das Kriterium sei somit neutral zu werten. Was die Umzüge der Beschwerdegegnerin betreffe, seien diese sachlich begründet erfolgt. Vorwerfen könne man ihr höchstens die Wahl des aktuellen Wohnorts, zu dem sie ersichtlich keinerlei Verbindung habe. Es wäre der Beschwerdegegnerin möglich gewesen, eine Wohnung zu finden, die nicht knapp eine Stunde vom Wohnort des Beschwerdeführers entfernt liegt. Die Stabilität der Verhältnisse könne auch nicht wegen der kurz nach der Geburt der Kinder gescheiterten Beziehung der Beschwerdegegnerin zum Beschwerdeführer und später, nach nur einem Jahr, zum Vater ihres dritten Kinds verneint werden. Es sei Sache der Beschwerdegegnerin, ob und wann sie sich mit ihrem neuen Partner ein drittes Kind gewünscht habe. Entgegen der Ansicht des Beschwerdeführers (und der Prozessbeiständin der Kinder) sei nicht davon auszugehen, dass die Kinder bei der Beschwerdegegnerin in instabilen Verhältnissen leben.
Da die Zwillingstöchter keine spezifischen Bedürfnisse hätten, die eine persönliche Betreuung als notwendig erscheinen lassen, seien die Betreuungskonzepte beider Elternteile schliesslich als gleichwertig zu betrachten. Daraus lasse sich für die Obhutsfrage nichts ableiten. Ebenso wenig sei auf den Willen der noch jungen Kinder abzustellen. Hingegen spreche das Vorhandensein eines fast gleichaltrigen Halbbruders dafür, der Beschwerdegegnerin die Obhut zu übertragen.
In Abwägung der eingeschränkten Bindungstoleranz mit der Kontinuität der bisher gelebten Verhältnisse und der Möglichkeit der Zwillingsmädchen, mit ihrem Halbbruder aufzuwachsen, weist die Vorinstanz mit der einhelligen Meinung der Gutachter die alleinige Obhut der Mutter zu. Diese Lösung entspreche dem Kindeswohl am ehesten.

3.2. Für den Beschwerdeführer ist das Kindeswohl akut gefährdet, wenn die alleinige Obhut über die Zwillingstöchter der Mutter übertragen wird bzw. übertragen bleibt. Die Kinder befänden sich in einem Loyalitätskonflikt, nachdem die Beschwerdegegnerin ihn stets zu Unrecht bezichtigt habe, gegenüber den beiden Töchtern gewalttätig geworden zu sein. Der Beschwerdegegnerin seien alle Mittel recht, ihn, den Beschwerdeführer, vor Behörden, Gerichten und zu allem Übel auch vor den Kindern zu denunzieren. Diese hätten die Diabolisierung des Beschwerdeführers denn auch bereits verinnerlicht. Erst nachdem er, der Beschwerdeführer, und das Bezirksgericht Strafanzeige gegen die Beschwerdegegnerin einreichten, hätten überhaupt Besuche regelmässig stattfinden können. Auch das psychologische Gutachten vom 14. September 2020 und die beiden fachpsychiatrischen Gutachten vom 21. Oktober 2020 betreffend den Beschwerdeführer und die Beschwerdegegnerin würden festhalten, dass eindeutige Defizite in der Bindungstoleranz der Beschwerdegegnerin bestehen. Es sei somit festzustellen, dass zwar beide Elternteile "erziehungsfähig" seien. Allerdings sei der Beschwerdeführer weitaus geeigneter, die gemeinsamen Zwillingstöcher zu betreuen, da er im Vergleich
zur Beschwerdegegnerin gerade keine diesbezüglichen Defizite aufweise. Es sei somit offenkundig, dass das zentrale Kriterium der Erziehungsfähigkeit zugunsten des Beschwerdeführers zu werten sei. Das Obergericht habe Bundesrecht falsch angewendet, indem es den Sachverhalt zwar richtig festgestellt, daraus aber die falschen Schlüsse gezogen habe. Der Erziehungsfähigkeit müsse "überproportionales Gewicht" beigemessen werden, da sie die zukünftige Beziehung zum andern Elternteil massgeblich mitpräge.
Nicht zutreffend sei auch, wenn laut Vorinstanz das Kriterium der bestehenden Bindung für die Fortführung des bisherigen Betreuungsmodells spreche. Es sei nicht korrekt, die Mutter als die alleinige Hauptbezugsperson zu werten. Sie sei dies bloss, weil sie eigenmächtig Tatsachen geschaffen habe. Seit Beginn hätte er, der Beschwerdeführer, gerne mehr Verantwortung für seine Zwillingstöchter übernommen. Dies sei aber von der Beschwerdegegnerin aktiv unterbunden worden, zu Beginn sogar mit Erfolg. Beide Elternteile hätten heute als Hauptbezugspersonen für ihre Kinder zu gelten, weshalb ein Wechsel der Obhut keine negativen Auswirkungen auf die Gesundheit der Kinder hätte. Es sei im Gegenteil davon auszugehen, dass der Beschwerdeführer aufgrund seiner uneingeschränkten Erziehungsfähigkeit in der Lage sei, den Loyalitätskonflikt zu beseitigen, womit die geistige Gesundheit der Kinder sogar gestärkt würde.
Auch die Kontinuität und Stabilität sprächen für die alleinige Obhut des Beschwerdeführers. Es gehe bei diesem Kriterium nicht ausschliesslich darum zu klären, ob die Beschwerdegegnerin in "instabilen" Verhältnissen lebe. Zu prüfen sei vielmehr, bei welchem Elternteil die Kontinuität und Stabilität besser gewährleistet sei. Das Kriterium der Stabilität bezwecke, dass es nicht zu unnötigen Wechseln im örtlichen und sozialen Umfeld der Kinder komme, was insbesondere bei Kleinkindern wichtig sei. Die Beschwerdegegnerin habe durch ihr Verhalten und ihre Lebensweise bewiesen, dass die Kinder bei ihr nicht die nötige Stabilität erfahren würden. So sei die Beschwerdegegnerin seit der Geburt der Zwillingstöchter bereits mehrfach umgezogen. Es laufe dem Kindeswohl zuwider, wenn ein wegziehender Elternteil mit der Schaffung grösstmöglicher geografischer Distanz die Praktikabilität der alternierenden Obhut verunmögliche und so den Kontakt zum anderen Elternteil gewissermassen kappe. Der Lebenswandel der Beschwerdegegnerin sei von äusserster Sprunghaftigkeit. So habe sie bereits nach kurzer Beziehungsdauer mit dem neuen Partner ein weiteres Kind gezeugt und sich nur gerade ein Jahr nach der Geburt des gemeinsamen Sohnes wieder von ihm
getrennt. Die instabilen Verhältnisse auf Seiten der Beschwerdegegnerin würden das Risiko bergen, dass die Zwillingstöchter auch zukünftig Beziehungsabbrüche erleiden müssten. In Verletzung des rechtlichen Gehörs schweige sich die Vorinstanz ferner zu den Verhältnissen auf Seiten des Beschwerdeführers aus, sofern man nicht annehme, dass die Vorinstanz die Verhältnisse auf dieser Seite für stabil erachte. Tatsächlich seien die Verhältnisse auf seiner Seite deutlich stabiler und in Bezug auf sprunghafte Veränderungen mit klar weniger Risiko behaftet. Auch betreffend Betreuungsmöglichkeit habe er die notwendigen Vorkehren getroffen (Bestätigung des Arbeitsgebers zur möglichen Reduktion des Arbeitspensums auf 60 % / Gewährleistung der Betreuung durch die Krippe und seine Eltern). Sogar der Vater der Beschwerdegegnerin sei in der Lage und willens, gewisse Betreuungsaufgaben wahrzunehmen.
Auch die Tatsache, dass die Zwillinge seit dem 21. Juni 2020 einen Halbbruder hätten, spreche nicht gegen die Zuteilung der Obhut an den Beschwerdeführer. Es liege in der Natur der Sache, dass verschiedene Regelungen der Obhut unter Umständen unvermeidbar seien, da sie nicht beide Eltern teilten und jeder Elternteil aus einer neuen Partnerschaft Kinder haben könne. Ausserdem könne der Kontakt der Halbgeschwister durch die beantragte Besuchsreglung hinreichend aufrechterhalten werden.

3.3.

3.3.1. In rechtlicher Hinsicht gelten bei der Obhutszuteilung die folgenden Grundsätze: Das Wohl des Kindes hat Vorrang vor allen anderen Überlegungen, insbesondere vor den Wünschen der Eltern (BGE 141 III 328 E. 5.4; 131 III 209 E. 5). Vorab ist deren Erziehungsfähigkeit zu klären. Dazu gehört die Fähigkeit des Elternteils, den Kontakt zwischen dem Kind und dem andern Elternteil zu fördern (sog. Bindungstoleranz; BGE 142 III 481 E. 2.7; vgl. auch Urteile 5A 729/2020 vom 4. Februar 2021 E. 3.3.5.1; 5A 616/2020 vom 23. November 2020 E. 2.1.1; je mit Hinweisen). Die Erziehungsfähigkeit ist in jedem Fall notwendige Voraussetzung für die Obhutszuteilung (vgl. BGE 142 III 617 E. 3.2.3, 612 E. 4.3; Urteile 5A 629/2019 vom 13. November 2020 E. 4.2; 5A 241/2018 vom 18. März 2019 E. 5.1).
Ist die Erziehungsfähigkeit bei beiden Elternteilen gegeben, kann die Stabilität der örtlichen und familiären Verhältnisse ausschlaggebend sein. Diesen Kriterien lassen sich die weiteren Gesichtspunkte zuordnen, so die Bereitschaft eines Elternteils, mit dem andern in Kinderbelangen zusammenzuarbeiten, oder die Forderung, dass eine Zuteilung der Obhut von einer persönlichen Bindung und echter Zuneigung getragen sein sollte (Urteil 5A 224/2022 vom 13. Dezember 2022 E. 3.1; vgl. BGE 142 III 617 E. 3.2.3, 612 E. 4.3; 136 I 178 E. 5.3). Die Möglichkeit der Eltern, die Kinder persönlich zu betreuen, spielt hauptsächlich dann eine Rolle, wenn spezifische Bedürfnisse der Kinder eine persönliche Betreuung notwendig erscheinen lassen oder wenn ein Elternteil auch in den Randzeiten (morgens, abends und an den Wochenenden) nicht bzw. kaum zur Verfügung stünde; ansonsten ist von der Gleichwertigkeit von Eigen- und Fremdbetreuung auszugehen (zit. Urteil 5A 224/2022 a.a.O.; vgl. BGE 144 III 481 E. 4.6.3 und E. 4.7). Je nach Alter ist auch den Äusserungen der Kinder bzw. ihrem eindeutigen Wunsch Rechnung zu tragen (zit. Urteil 5A 224/2022 a.a.O.). Während bei älteren Kindern zunehmend die Wohn- und Schulumgebung sowie der sich ausbildende
Freundeskreis wichtig werden, sind kleinere Kinder noch stärker personenorientiert (BGE 142 III 481 E. 2.7). Entsprechend können im Zusammenhang mit dem wichtigen Kriterium der Stabilität und Kontinuität die Beurteilungsfelder je nach Lebensalter des Kindes variieren.

3.3.2. Um über das Schicksal der Kinder zu entscheiden, kann das Gericht ein Gutachten einholen (Urteil 5A 373/2018 vom 8. April 2019 E. 3.2.6). Wie jedes Beweismittel unterliegt auch ein solches der freien richterlichen Beweiswürdigung. Allerdings darf das Gericht in Fachfragen nur aus triftigen Gründen von einem Gutachten abweichen und muss Abweichungen begründen. Es hat zu prüfen, ob sich aufgrund der übrigen Beweismittel und der Vorbringen der Parteien ernsthafte Einwände gegen die Schlüssigkeit der gutachterlichen Darlegungen aufdrängen. Erscheint ihm die Schlüssigkeit eines Gutachtens in wesentlichen Punkten als zweifelhaft, hat das Gericht nötigenfalls ergänzende Beweise zur Klärung dieser Zweifel zu erheben. Das Abstellen auf eine nicht schlüssige Expertise bzw. der Verzicht auf die gebotenen zusätzlichen Beweiserhebungen kann gegen das Verbot willkürlicher Beweiswürdigung verstossen (zum Ganzen: BGE 146 IV 114 E. 2.1; 138 III 193 E.4.3.1; Urteil 5A 488/2021 vom 4. Februar 2022 E. 3.2 mit Hinweisen).

3.4. Eingedenk des Gesagten ist das angefochtene Urteil nicht zu beanstanden. So kritisiert der Beschwerdeführer zwar wiederholt die von der Vorinstanz vorgenommenen tatsächlichen Feststellungen. Eigentliche Willkürrügen erhebt er in diesem Zusammenhang aber nicht. Ebenso wenig gelingt es dem Beschwerdeführer, die vorinstanzliche Erwägung in Frage zu stellen, wonach es für die Zwillingstöchter eine Belastung wäre, wenn sie neu unter die alleinige Obhut des Vaters gestellt würden, nachdem sie seit der Geburt und damit während mehrerer Jahre bei der Mutter gelebt haben. Zutreffend erkennt die Vorinstanz in der Beschwerdegegnerin denn auch die Hauptbezugsperson der Zwillingstöchter. Daran ändert nichts, dass sie diesen Zustand eigenmächtig herbeigeführt hat und dass die Kinder beim Beschwerdeführer auf Verhältnisse stossen würden, die als mindestens so stabil einzuschätzen sind wie jene auf Seiten der Mutter. Soweit der Beschwerdeführer eine stärkere ("überproportionale") Gewichtung der Erziehungsfähigkeit gegenüber den andern Zuteilungskriterien verlangt, ist ihm nicht zu folgen: Die Voraussetzung der Erziehungsfähigkeit stellt zwar die Voraussetzung dafür dar, dass einem Elternteil die alleinige Obhut übertragen bzw. belassen
werden kann. Ist sie aber im Grundsatz gegeben, wenn auch wegen Defiziten bezüglich Bindungstoleranz in eingeschränkten Umfang, so ist sie per se nicht stärker zu gewichten als die anderen in der Rechtsprechung genannten Zuteilungskriterien. Wenn die Vorinstanz der Obhutszuteilung an die Mutter den Vorzug gibt, weil sie seit Geburt der Zwillingstöchter deren Hauptbezugsperson war, ist dies mit Blick auf das dem Sachrichter in dieser Frage zustehende Ermessen nicht zu beanstanden. Eine Gefährdung des Kindeswohls, wie sie der Beschwerdeführer behauptet, ist nicht auszumachen und resultiert auch nicht aus dem mehrmaligen Umzug der Beschwerdegegnerin und dem baldigen Scheitern einer nachfolgenden Beziehung.

4.
Die Besuchsrechtsregelung ficht der Beschwerdeführer nur insoweit an, als er sich mit seinem Antrag durchsetzt, die alleinige Obhut ihm und nicht der Beschwerdegegnerin zu übertragen. Nach dem Gesagten trifft dies nicht zu. Entsprechend erübrigen sich Ausführungen dazu. Das Gleiche gilt hinsichtlich der Unterhaltsleistungen, zu denen der Beschwerdeführer verpflichtet worden ist.

5.
Damit ist die Beschwerde insgesamt unbegründet und deshalb abzuweisen. Bei diesem Ausgang des Verfahrens sind die Gerichtskosten dem unterliegenden Beschwerdeführer aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG). Parteientschädigung ist keine zu sprechen, weil der obsiegenden Beschwerdegegnerin mangels Einholens einer Vernehmlassung keine entschädigungspflichtigen Kosten angefallen sind (Art. 68 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
und 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 3'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Parteien, Rechtsanwältin Kathrin Teuscher (Rechtsvertreterin der Kinder) und dem Obergericht des Kantons Zürich, I. Zivilkammer, mitgeteilt.

Lausanne, 8. November 2023

Im Namen der II. zivilrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Der Präsident: Herrmann

Der Gerichtsschreiber: Monn
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 5A_363/2023
Date : 08 novembre 2023
Publié : 26 novembre 2023
Source : Tribunal fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Droit de la famille
Objet : Unterhalt und weitere Kinderbelange


Répertoire des lois
CC: 4 
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 4 - Le juge applique les règles du droit et de l'équité, lorsque la loi réserve son pouvoir d'appréciation ou qu'elle le charge de prononcer en tenant compte soit des circonstances, soit de justes motifs.
8
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 8 - Chaque partie doit, si la loi ne prescrit le contraire, prouver les faits qu'elle allègue pour en déduire son droit.
Cst: 29
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
1    Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
2    Les parties ont le droit d'être entendues.
3    Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert.
LTF: 42 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1bis    Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
46 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 46 Suspension - 1 Les délais fixés en jours par la loi ou par le juge ne courent pas:
1    Les délais fixés en jours par la loi ou par le juge ne courent pas:
a  du septième jour avant Pâques au septième jour après Pâques inclus;
b  du 15 juillet au 15 août inclus;
c  du 18 décembre au 2 janvier inclus.
2    L'al. 1 ne s'applique pas:
a  aux procédures concernant l'octroi de l'effet suspensif ou d'autres mesures provisionnelles;
b  à la poursuite pour effets de change;
c  aux questions relatives aux droits politiques (art. 82, let. c);
d  à l'entraide pénale internationale ni à l'assistance administrative internationale en matière fiscale;
e  aux marchés publics.20
66 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
68 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
72 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 72 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
1    Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
2    Sont également sujettes au recours en matière civile:
a  les décisions en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions prises en application de normes de droit public dans des matières connexes au droit civil, notamment les décisions:
b1  sur la reconnaissance et l'exécution de décisions ainsi que sur l'entraide en matière civile,
b2  sur la tenue des registres foncier, d'état civil et du commerce, ainsi que des registres en matière de protection des marques, des dessins et modèles, des brevets d'invention, des obtentions végétales et des topographies,
b3  sur le changement de nom,
b4  en matière de surveillance des fondations, à l'exclusion des institutions de prévoyance et de libre passage,
b5  en matière de surveillance des exécuteurs testamentaires et autres représentants successoraux,
b6  les décisions prises dans le domaine de la protection de l'enfant et de l'adulte,
b7  ...
75 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 75 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.38
1    Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.38
2    Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours, sauf si:
a  une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
b  un tribunal spécialisé dans les litiges de droit commercial statue en instance cantonale unique;
c  une action ayant une valeur litigieuse d'au moins 100 000 francs est déposée directement devant le tribunal supérieur avec l'accord de toutes les parties.
76 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 76 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière civile quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière civile quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et
b  est particulièrement touché par la décision attaquée et a un intérêt digne de protection à son annulation ou sa modification.
2    Ont également qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 72, al. 2, la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux et, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions.42
90 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure.
95 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
97 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.90
100 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
1    Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
2    Le délai de recours est de dix jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale;
c  les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants93 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants94.
d  les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets96.
3    Le délai de recours est de cinq jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change;
b  les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales.
4    Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national.
5    En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
6    ...97
7    Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps.
105 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100
106
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
Répertoire ATF
131-III-209 • 135-III-121 • 136-I-178 • 136-III-278 • 137-III-226 • 138-III-193 • 140-III-264 • 140-III-86 • 141-III-328 • 142-I-99 • 142-III-364 • 142-III-481 • 142-III-612 • 142-III-617 • 143-II-283 • 144-III-481 • 144-V-50 • 146-IV-114
Weitere Urteile ab 2000
5A_224/2022 • 5A_241/2018 • 5A_247/2021 • 5A_363/2023 • 5A_373/2018 • 5A_488/2021 • 5A_616/2020 • 5A_629/2019 • 5A_729/2020 • 5A_742/2021 • 5A_85/2022
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
droit de garde • autorité inférieure • mère • tribunal fédéral • père • intérêt de l'enfant • état de fait • recours en matière civile • hameau • valeur • poids • emploi • comportement • pouvoir d'appréciation • violation du droit • décision • frais judiciaires • montre • procédure cantonale • début
... Les montrer tous