Tribunale federale
Tribunal federal

{T 0/2}
2C 457/2007 /biz

Sentenza del 7 febbraio 2008
II Corte di diritto pubblico

Composizione
Giudici federali Merkli, presidente,
Karlen e Aubry Girardin,
cancelliere Bianchi.

Parti
A.________,
ricorrente, patrocinato dall'avv. Mara Pedroia,

contro

Consiglio di Stato del Cantone Ticino,
Residenza governativa, 6500 Bellinzona.

Oggetto
espulsione,

ricorso in materia di diritto pubblico contro la sentenza emanata il 4 luglio 2007 dal Tribunale amministrativo
del Cantone Ticino.

Fatti:
A.
Il cittadino macedone A.________, nato nel 1954, risiede in Svizzera dal 1977 e dal 1987 è titolare di un permesso di domicilio. Nel 1985 si è sposato con una cittadina della ex-Iugoslavia da cui ha avuto tre figli, nati nel 1981, nel 1984 e nel 1991, che vivono in Ticino. Il matrimonio è stato sciolto per divorzio nel 2006, quando egli già da anni conviveva con la sua attuale compagna, una cittadina russa da cui ha avuto una quarta figlia nel 1999. L'interessato ha lavorato soprattutto nel settore della ristorazione, collaborando in particolare con la ex-moglie, gerente di vari esercizi pubblici.
B.
A.________ ha subito una condanna penale nel 1979 per sottrazione di lieve entità ed una seconda nel 1995, a quindici giorni di detenzione sospesi condizionalmente, per violazione della legge sulla circolazione stradale. Nel 2004 egli era inoltre gravato di attestati di carenza beni per circa fr. 500'000.-- ed aveva un debito di circa fr. 42'000.-- nei confronti del cantone, conseguente al mancato pagamento degli alimenti per i figli. Per questa inadempienza, nel 2000 la Sezione dei permessi e dell'immigrazione lo aveva formalmente ammonito.

Il 16 marzo 2005 A.________ è stato arrestato nell'ambito di un'inchiesta per traffico di cocaina. Con sentenza del 2 febbraio 2006 la Corte delle assise criminali di Lugano lo ha condannato a sei anni di reclusione per infrazione aggravata alla legge sugli stupefacenti, riconoscendolo colpevole di aver venduto un chilo di cocaina e di aver procurato, negoziato l'acquisto o fatto preparativi per l'acquisto e l'importazione di complessivamente quasi 9,5 kg della medesima sostanza.
C.
Preso atto di tale condanna, il 12 febbraio 2007 la Sezione dei permessi e dell'immigrazione ha deciso di espellere A.________ dal territorio svizzero per una durata indeterminata al momento della scarcerazione.
Valutati gli interessi in gioco, l'autorità ha in sostanza considerato proporzionato l'allontanamento dell'interessato ed il suo rientro in patria, dove ha vissuto fin oltre i vent'anni. Su ricorso, tale decisione è stata confermata dal Consiglio di Stato il 2 maggio 2007. L'impugnativa interposta contro la pronuncia governativa è stata a sua volta respinta dal Tribunale amministrativo ticinese con sentenza del 4 luglio 2007.
D.
Il 6 settembre 2007 A.________ si è aggravato dinanzi al Tribunale federale mediante un ricorso in materia di diritto pubblico. In via principale chiede che siano annullate tanto la sentenza del Tribunale amministrativo quanto le decisioni delle istanze inferiori, mentre in via subordinata postula che gli atti siano rinviati all'autorità di prime cure per la pronuncia di un'espulsione di durata limitata.

Chiamati ad esprimersi, il Tribunale amministrativo si riconferma nelle motivazioni e nelle conclusioni della propria sentenza, a cui si allinea anche l'Ufficio federale della migrazione, mentre il Consiglio di Stato si rimette al giudizio di questo Tribunale.
E.
Con decreto presidenziale del 12 settembre 2007 è stata accolta l'istanza di conferimento dell'effetto sospensivo formulata nel gravame.

Diritto:
1.
Il 1° gennaio 2008 è entrata in vigore la legge federale sugli stranieri, del 16 dicembre 2005 (LStr; RS 142.20; RU 2007 5487). In applicazione, per analogia, dell'art. 126 cpv. 1
SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI)
LEI Art. 126 Dispositions transitoires - 1 Les demandes déposées avant l'entrée en vigueur de la présente loi sont régies par l'ancien droit.
1    Les demandes déposées avant l'entrée en vigueur de la présente loi sont régies par l'ancien droit.
2    La procédure est régie par le nouveau droit.
3    Les délais prévus à l'art. 47, al. 1, commencent à courir à l'entrée en vigueur de la présente loi, dans la mesure où l'entrée en Suisse ou l'établissement du lien familial sont antérieurs à cette date.
4    Les dispositions pénales de la présente loi s'appliquent aux infractions commises avant son entrée en vigueur lorsqu'elles sont plus favorables à leur auteur.
5    L'art. 107 ne s'applique qu'aux accords de réadmission et de transit conclus après le 1er mars 1999.
6    À l'entrée en vigueur de la loi fédérale du 20 juin 2003 sur le système d'information commun aux domaines des étrangers et de l'asile481, les art. 108 et 109 sont abrogés.
LStr, alla presente procedura rimane tuttavia applicabile la - di per sé abrogata (cfr. Allegato n. I LStr) - legge federale concernente la dimora ed il domicilio degli stranieri, del 26 marzo 1931 (LDDS; CS 1 177 e modifiche seguenti).
2.
2.1 Contro le decisioni delle autorità cantonali di ultima istanza concernenti provvedimenti di espulsione fondati sull'art. 10
SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI)
LEI Art. 126 Dispositions transitoires - 1 Les demandes déposées avant l'entrée en vigueur de la présente loi sont régies par l'ancien droit.
1    Les demandes déposées avant l'entrée en vigueur de la présente loi sont régies par l'ancien droit.
2    La procédure est régie par le nouveau droit.
3    Les délais prévus à l'art. 47, al. 1, commencent à courir à l'entrée en vigueur de la présente loi, dans la mesure où l'entrée en Suisse ou l'établissement du lien familial sont antérieurs à cette date.
4    Les dispositions pénales de la présente loi s'appliquent aux infractions commises avant son entrée en vigueur lorsqu'elles sont plus favorables à leur auteur.
5    L'art. 107 ne s'applique qu'aux accords de réadmission et de transit conclus après le 1er mars 1999.
6    À l'entrée en vigueur de la loi fédérale du 20 juin 2003 sur le système d'information commun aux domaines des étrangers et de l'asile481, les art. 108 et 109 sont abrogés.
LDDS è dato ricorso in materia di diritto pubblico al Tribunale federale (art. 83 lett. c n. 4
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 83 Exceptions - Le recours est irrecevable contre:
a  les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit58 jugée par un tribunal;
b  les décisions relatives à la naturalisation ordinaire;
c  les décisions en matière de droit des étrangers qui concernent:
c1  l'entrée en Suisse,
c2  une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit,
c3  l'admission provisoire,
c4  l'expulsion fondée sur l'art. 121, al. 2, de la Constitution ou le renvoi,
c5  les dérogations aux conditions d'admission,
c6  la prolongation d'une autorisation frontalière, le déplacement de la résidence dans un autre canton, le changement d'emploi du titulaire d'une autorisation frontalière et la délivrance de documents de voyage aux étrangers sans pièces de légitimation;
d  les décisions en matière d'asile qui ont été rendues:
d1  par le Tribunal administratif fédéral, sauf celles qui concernent des personnes visées par une demande d'extradition déposée par l'État dont ces personnes cherchent à se protéger,
d2  par une autorité cantonale précédente et dont l'objet porte sur une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit;
e  les décisions relatives au refus d'autoriser la poursuite pénale de membres d'autorités ou du personnel de la Confédération;
f  les décisions en matière de marchés publics:
fbis  les décisions du Tribunal administratif fédéral concernant les décisions visées à l'art. 32i de la loi fédérale du 20 mars 2009 sur le transport de voyageurs65;
f1  si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe; sont réservés les recours concernant des marchés du Tribunal administratif fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal fédéral des brevets, du Ministère public de la Confédération et des autorités judiciaires supérieures des cantons, ou
f2  si la valeur estimée du marché à adjuger est inférieure à la valeur seuil déterminante visée à l'art. 52, al. 1, et fixée à l'annexe 4, ch. 2, de la loi fédérale du 21 juin 2019 sur les marchés publics63;
g  les décisions en matière de rapports de travail de droit public qui concernent une contestation non pécuniaire, sauf si elles touchent à la question de l'égalité des sexes;
h  les décisions en matière d'entraide administrative internationale, à l'exception de l'assistance administrative en matière fiscale;
i  les décisions en matière de service militaire, de service civil ou de service de protection civile;
j  les décisions en matière d'approvisionnement économique du pays qui sont prises en cas de pénurie grave;
k  les décisions en matière de subventions auxquelles la législation ne donne pas droit;
l  les décisions en matière de perception de droits de douane fondée sur le classement tarifaire ou le poids des marchandises;
m  les décisions sur l'octroi d'un sursis de paiement ou sur la remise de contributions; en dérogation à ce principe, le recours contre les décisions sur la remise de l'impôt fédéral direct ou de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice est recevable, lorsqu'une question juridique de principe se pose ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
n  les décisions en matière d'énergie nucléaire qui concernent:
n1  l'exigence d'un permis d'exécution ou la modification d'une autorisation ou d'une décision,
n2  l'approbation d'un plan de provision pour les coûts d'évacuation encourus avant la désaffection d'une installation nucléaire,
n3  les permis d'exécution;
o  les décisions en matière de circulation routière qui concernent la réception par type de véhicules;
p  les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière de télécommunications, de radio et de télévision et en matière postale qui concernent:70
p1  une concession ayant fait l'objet d'un appel d'offres public,
p2  un litige découlant de l'art. 11a de la loi du 30 avril 1997 sur les télécommunications71;
p3  un litige au sens de l'art. 8 de la loi du 17 décembre 2010 sur la poste73;
q  les décisions en matière de médecine de transplantation qui concernent:
q1  l'inscription sur la liste d'attente,
q2  l'attribution d'organes;
r  les décisions en matière d'assurance-maladie qui ont été rendues par le Tribunal administratif fédéral sur la base de l'art. 3474 de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)75;
s  les décisions en matière d'agriculture qui concernent:
s1  ...
s2  la délimitation de zones dans le cadre du cadastre de production;
t  les décisions sur le résultat d'examens ou d'autres évaluations des capacités, notamment en matière de scolarité obligatoire, de formation ultérieure ou d'exercice d'une profession;
u  les décisions relatives aux offres publiques d'acquisition (art. 125 à 141 de la loi du 19 juin 2015 sur l'infrastructure des marchés financiers79);
v  les décisions du Tribunal administratif fédéral en cas de divergences d'opinion entre des autorités en matière d'entraide judiciaire ou d'assistance administrative au niveau national;
w  les décisions en matière de droit de l'électricité qui concernent l'approbation des plans des installations électriques à courant fort et à courant faible et l'expropriation de droits nécessaires à la construction ou à l'exploitation de telles installations, si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe.
x  les décisions en matière d'octroi de contributions de solidarité au sens de la loi fédérale du 30 septembre 2016 sur les mesures de coercition à des fins d'assistance et les placements extrafamiliaux antérieurs à 198183, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
y  les décisions prises par le Tribunal administratif fédéral dans des procédures amiables visant à éviter une imposition non conforme à une convention internationale applicable dans le domaine fiscal;
z  les décisions citées à l'art. 71c, al. 1, let. b, de la loi du 30 septembre 2016 sur l'énergie86 concernant les autorisations de construire et les autorisations relevant de la compétence des cantons destinées aux installations éoliennes d'intérêt national qui y sont nécessairement liées, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe.
LTF, a contrario; sentenza 2C 466/2007 del 22 novembre 2007, consid. 1.1). Esperito in tempo utile (art. 100 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
1    Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
2    Le délai de recours est de dix jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale;
c  les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93.
d  les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95.
3    Le délai de recours est de cinq jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change;
b  les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales.
4    Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national.
5    En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
6    ...96
7    Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps.
LTF) dal cittadino straniero direttamente toccato dalla misura (art. 89 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 89 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire;
b  est particulièrement atteint par la décision ou l'acte normatif attaqué, et
c  a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification.
2    Ont aussi qualité pour recourir:
a  la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions;
b  l'organe compétent de l'Assemblée fédérale en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération;
c  les communes et les autres collectivités de droit public qui invoquent la violation de garanties qui leur sont reconnues par la constitution cantonale ou la Constitution fédérale;
d  les personnes, organisations et autorités auxquelles une autre loi fédérale accorde un droit de recours.
3    En matière de droits politiques (art. 82, let. c), quiconque a le droit de vote dans l'affaire en cause a qualité pour recourir.
LTF), l'impugnativa è pertanto di massima ammissibile.
2.2 Un'eccezione va tuttavia ravvisata laddove il ricorrente chiede l'annullamento anche delle decisioni del Consiglio di Stato e della Sezione dei permessi e dell'immigrazione. In virtù dell'effetto devolutivo della procedura ricorsuale, queste pronunce sono infatti state sostituite dal giudizio del Tribunale amministrativo (cfr. DTF 131 II 470 consid. 1.1; 129 II 438 consid. 1; 125 II 29 consid. 1c).
3.
3.1 Secondo l'art. 10 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 89 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire;
b  est particulièrement atteint par la décision ou l'acte normatif attaqué, et
c  a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification.
2    Ont aussi qualité pour recourir:
a  la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions;
b  l'organe compétent de l'Assemblée fédérale en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération;
c  les communes et les autres collectivités de droit public qui invoquent la violation de garanties qui leur sont reconnues par la constitution cantonale ou la Constitution fédérale;
d  les personnes, organisations et autorités auxquelles une autre loi fédérale accorde un droit de recours.
3    En matière de droits politiques (art. 82, let. c), quiconque a le droit de vote dans l'affaire en cause a qualité pour recourir.
LDDS, uno straniero può essere espulso, tra l'altro, quando sia stato punito dall'autorità giudiziaria per un crimine o un delitto (lett. a) oppure quando la sua condotta in generale e i suoi atti permettano di concludere che non vuole o non è capace di adattarsi all'ordinamento vigente nel Paese che lo ospita (lett. b). In concreto, è pacifico che almeno il primo motivo di espulsione risulta adempiuto. Il ricorrente è infatti stato condannato ad una pena detentiva di lunga durata per aver commesso un crimine. Non è quindi necessario esaminare se siano dati gli estremi per fondare l'espulsione anche sull'art. 10 cpv. 1 lett. b
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 89 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire;
b  est particulièrement atteint par la décision ou l'acte normatif attaqué, et
c  a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification.
2    Ont aussi qualité pour recourir:
a  la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions;
b  l'organe compétent de l'Assemblée fédérale en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération;
c  les communes et les autres collectivités de droit public qui invoquent la violation de garanties qui leur sont reconnues par la constitution cantonale ou la Constitution fédérale;
d  les personnes, organisations et autorités auxquelles une autre loi fédérale accorde un droit de recours.
3    En matière de droits politiques (art. 82, let. c), quiconque a le droit de vote dans l'affaire en cause a qualité pour recourir.
LDDS, a cui la Corte cantonale si è parimenti richiamata.
3.2 In base all'art. 11
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 89 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire;
b  est particulièrement atteint par la décision ou l'acte normatif attaqué, et
c  a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification.
2    Ont aussi qualité pour recourir:
a  la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions;
b  l'organe compétent de l'Assemblée fédérale en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération;
c  les communes et les autres collectivités de droit public qui invoquent la violation de garanties qui leur sont reconnues par la constitution cantonale ou la Constitution fédérale;
d  les personnes, organisations et autorités auxquelles une autre loi fédérale accorde un droit de recours.
3    En matière de droits politiques (art. 82, let. c), quiconque a le droit de vote dans l'affaire en cause a qualité pour recourir.
LDDS l'espulsione può essere pronunciata per un tempo indeterminato o per un termine non inferiore a due anni (cpv. 1), ma in ogni caso soltanto se dall'insieme delle circostanze sembra adeguata (cpv. 3), ossia se rispetta il principio di proporzionalità. Al riguardo occorre in particolare tener conto della gravità della colpa a carico dell'interessato, della durata del suo soggiorno in Svizzera e del pregiudizio che egli e la sua famiglia subirebbero in caso di espulsione (art. 16 cpv. 3
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 89 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire;
b  est particulièrement atteint par la décision ou l'acte normatif attaqué, et
c  a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification.
2    Ont aussi qualité pour recourir:
a  la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions;
b  l'organe compétent de l'Assemblée fédérale en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération;
c  les communes et les autres collectivités de droit public qui invoquent la violation de garanties qui leur sont reconnues par la constitution cantonale ou la Constitution fédérale;
d  les personnes, organisations et autorités auxquelles une autre loi fédérale accorde un droit de recours.
3    En matière de droits politiques (art. 82, let. c), quiconque a le droit de vote dans l'affaire en cause a qualité pour recourir.
dell'ordinanza di esecuzione della LDDS, del 10 marzo 1949; ODDS; RS 142.201). Siccome nella ponderazione degli interessi vanno presi in considerazione anche i rapporti personali e familiari, un'espulsione che appare proporzionata ai sensi dell'art. 11 cpv. 3
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 89 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire;
b  est particulièrement atteint par la décision ou l'acte normatif attaqué, et
c  a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification.
2    Ont aussi qualité pour recourir:
a  la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions;
b  l'organe compétent de l'Assemblée fédérale en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération;
c  les communes et les autres collectivités de droit public qui invoquent la violation de garanties qui leur sont reconnues par la constitution cantonale ou la Constitution fédérale;
d  les personnes, organisations et autorités auxquelles une autre loi fédérale accorde un droit de recours.
3    En matière de droits politiques (art. 82, let. c), quiconque a le droit de vote dans l'affaire en cause a qualité pour recourir.
LDDS, risulta di principio giustificata pure dal profilo del diritto al rispetto della vita privata e familiare garantito dall'art. 8
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH)
CEDH Art. 8 Droit au respect de la vie privée et familiale - 1. Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance.
1    Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance.
2    Il ne peut y avoir ingérence d'une autorité publique dans l'exercice de ce droit que pour autant que cette ingérence est prévue par la loi et qu'elle constitue une mesure qui, dans une société démocratique, est nécessaire à la sécurité nationale, à la sûreté publique, au bien-être économique du pays, à la défense de l'ordre et à la prévention des infractions pénales, à la protection de la santé ou de la morale, ou à la protection des droits et libertés d'autrui.
CEDU (sentenza 2C 70/2007 del 2 maggio 2007, consid. 2.1).
3.3 La gravità della colpa a carico del cittadino straniero trova espressione in primo luogo nella condanna inflittagli in sede penale. In proposito vanno poste esigenze tanto più elevate quanto più lungo è il tempo vissuto in Svizzera. L'espulsione può comunque venir decretata anche nei confronti di cittadini stranieri della seconda generazione, ovvero nati in Svizzera, se hanno commesso delitti violenti, sessuali o di droga particolarmente gravi oppure se hanno infranto le norme penali a più riprese. Ciò vale a maggior ragione per stranieri che sono giunti in Svizzera durante la loro infanzia o la loro giovinezza. Di per sé anche una sola condanna per un reato particolarmente grave può condurre all'espulsione. Determinante è comunque sempre l'insieme delle circostanze di ogni singolo caso (DTF 130 II 176 consid. 4.4; 125 II 521 consid. 2b; 122 II 433 consid. 2c; sentenza 2C 494/2007 del 17 dicembre 2007, consid. 3).
4.
4.1 Come risulta dalla sentenza penale, il ricorrente ha avuto un ruolo essenziale in un importante traffico di cocaina, protrattosi dall'ottobre del 2003 al momento dell'arresto, il 16 marzo 2005. Egli ha venduto direttamente, in più occasioni, mille grammi di detta sostanza, ne ha procurati ad un altro condannato 6 kg, ha negoziato per il medesimo l'acquisto di ulteriori 440 grammi ed è stato correo in atti preparatori per ulteriori 3 kg. Nel complesso la quantità di stupefacente trattata è dunque stata superiore ai dieci chili. L'interessato ha svolto principalmente una funzione di intermediazione, che, come rilevato dalla Corte penale, è comunque stata imprescindibile per la vendita ulteriore anche perché egli era l'unico ad avere determinati contatti con i fornitori. Il comportamento delittuoso non è inoltre stato episodico, ma reiterato e su un lasso di tempo relativamente esteso. Il ricorrente ha poi agito per meri fini di lucro, non essendo egli stesso consumatore; per la sola vendita, l'utile conseguito è stato quantificato in fr. 30'000.--.
Certo, egli si è dato a questi traffici illeciti dopo oltre venticinque anni di attività professionale in Ticino, sempre regolare ancorché caratterizzata negli ultimi anni da ingenti perdite finanziarie, almeno in parte a carico anche suo e non solo della ex-moglie. Come evidenziato nel ricorso, le infrazioni sono inoltre state commesse in un contesto personale difficile, in cui ai debiti accumulati si è aggiunta l'indisponibilità al lavoro a seguito di un infortunio accompagnata da uno stato di depressione. Queste circostanze sono tuttavia già state adeguatamente considerate nell'ambito della commisurazione della pena che, visto l'importante quantitativo di cocaina procurata e smerciata, è comunque stata fissata in sei anni di reclusione.
Ne discende che il Tribunale amministrativo ha a ragione definito molto grave anche dal profilo della polizia degli stranieri il reato commesso e la colpa del ricorrente. Questa valutazione è conforme alla giurisprudenza del Tribunale federale che, come del resto la Corte europea dei diritti dell'uomo, in relazione a reati di droga segue una prassi rigida in materia di espulsione, nell'intento di lottare contro i traffici di stupefacenti e la relativa messa in pericolo della salute di molte persone; l'interesse all'allontanamento di stranieri che partecipano al commercio di sostanze stupefacenti è da ritenere della massima importanza (DTF 125 II 521 consid. 4a; 122 II 433 consid. 2c).
4.2 In sede penale, la richiesta di espulsione formulata dal Procuratore pubblico è stata respinta dalla Corte delle assise criminali con la motivazione che i rapporti del ricorrente con la Svizzera erano troppo radicati e di lunga data per poter ragionevolmente infliggere tale sanzione, anche se sospesa condizionalmente.
Secondo costante prassi, le autorità amministrative possono tuttavia decretare l'espulsione di stranieri che hanno commesso reati anche nei casi in cui non è stata pronunciata o è stata sospesa condizionalmente l'espulsione prevista fino al 1° gennaio 2007, quale pena accessoria, dall'art. 55 vCP. Le finalità di risocializzazione alla base del diritto penale devono certo venir prese in conto anche nella ponderazione complessiva degli interessi in ambito amministrativo. Le autorità di polizia degli stranieri hanno però quale scopo principale la tutela della sicurezza e dell'ordine pubblico (cfr. DTF 130 II 176 consid. 4.2; 129 II 215 consid. 3.2 e 7.4; 124 II 289 consid. 3a). Nella prognosi sul comportamento futuro devono perciò venir adottati criteri più severi. In particolare nel caso di gravi reati di droga o di violenza, considerati i rischi potenziali che ne derivano per la società, può essere tollerato solo un rischio residuo minimo (cfr. DTF 125 II 521 consid. 4a/bb; sentenza 2A.51/2006 dell'8 maggio 2006, consid. 4.2.3).
4.3 A questo proposito, al di là della sostanziale incensuratezza del ricorrente prima di subire la condanna a sei anni di reclusione, va ribadito che il suo coinvolgimento nel traffico di cocaina è stato prolungato ed estremamente importante per quantitativi e ruolo. Il fatto che in carcere tenga un comportamento corretto e dimostri disponibilità ed impegno nell'attività lavorativa, come risulta dalle dichiarazioni del direttore del penitenziario e dell'Ufficio di patronato, ha un'importanza solo relativa nella valutazione della proporzionalità dell'espulsione amministrativa (DTF 125 II 105 consid. 2c; 114 Ib 1 consid. 3b). Dalla sentenza penale risulta peraltro che nel corso dell'inchiesta egli non è stato pienamente collaborativo ed ha confessato solo in parte i suoi reati.
4.4 Le prospettive economiche, di salute e professionali dell'interessato non appaiono inoltre sensibilmente migliori rispetto alla situazione che l'avrebbe portato a delinquere. In effetti è ovvio che la sua posizione finanziaria rimane ampiamente compromessa, tant'è che il giudizio penale attesta l'esistenza di 135 attestati di carenza beni a suo carico per circa fr. 760'000.-- di debiti, oltre ad ulteriori procedure in corso. Sotto questo profilo pure la situazione della compagna risulta precaria, anche se ella, prima apparentemente senza attività, ha intrapreso un tirocinio come assistente di cura. Quanto alle possibilità di reinserimento professionale, l'insorgente ha prodotto l'attestazione di un esercente intenzionato ad assumerlo alla fine della detenzione. Egli non ha però documentato in alcun modo l'asserito miglioramento delle sue condizioni di salute, che nel 2002 l'avevano indotto a chiedere una rendita d'invalidità. Dalla sentenza penale si evince al contrario che all'epoca della stessa apparentemente ancora soffriva di dolori alla colonna vertebrale e di una sindrome ansioso-depressiva. Non va infine nemmeno trascurato che l'attività criminale ha preso inizio non molti anni dopo la fine dell'unione affettiva e
professionale con la ex-moglie.
4.5 Il ricorrente è giunto in Svizzera nel 1977, quando aveva 23 anni. Non è dunque uno straniero di seconda generazione, ma è rimasto in patria fino all'età adulta. Egli conosce senz'altro la lingua, gli usi ed i costumi del suo paese, dove vivono ancora un fratello con la propria famiglia e la madre. Anche se ha trascorso trent'anni in Svizzera, la sua situazione è pertanto diversa da quella di stranieri nati e cresciuti nel nostro paese. Egli, prima di essere arrestato, non esercitava peraltro nemmeno una professione qualificata, che potrebbe ben difficilmente svolgere nel proprio paese. A giusta ragione la Corte cantonale ha quindi ritenuto che non si troverebbe confrontato ad insormontabili problemi di riqualificazione professionale e di socializzazione.
4.6 L'espulsione costituirebbe indubbiamente un ostacolo rilevante nel mantenimento delle relazioni familiari che il ricorrente ha in Svizzera.
Per i tre figli di primo letto la necessità di un rapporto costante e diretto con il padre è comunque relativa: i primi due sono infatti maggiorenni, mentre la terza è già ampiamente indipendente e sarà anch'ella a pochi mesi dalla maggiore età quando il ricorrente, il 15 marzo 2009, scontati i due terzi della pena, potrebbe beneficiare della liberazione condizionale.
Più delicata appare per contro la situazione per rapporto alla quarta figlia, nata il 6 maggio 1999, e a sua madre, con cui il ricorrente conviveva. La bambina si trova infatti in un'età in cui la presenza di entrambi i genitori potrebbe certo risultare importante e non è una neonata o una bimba in età prescolastica, a cui un trasferimento in un altro Stato non porrebbe particolari problemi di adattamento. Dei legami con la Svizzera della madre, di nazionalità russa, non è invero dato di sapere molto, se non che è al beneficio soltanto di un permesso di dimora e non di domicilio. Ad ogni modo, al di là della dichiarazione di quest'ultima versata agli atti, è innegabile che durante gli ultimi tre anni, corrispondenti all'espiazione della prima metà della pena, le restrizioni imposte dallo stato di reclusione hanno limitato pesantemente la relazione di coppia e soprattutto l'influenza e l'apporto della figura paterna per la bambina. Come rilevato dalla Corte cantonale, il fatto di avere una compagna e quattro figli, tra cui una di pochi anni, non ha del resto trattenuto il ricorrente dal commettere gravi reati, assumendosi quindi consapevolmente il rischio di venir allontanato dal territorio svizzero. Tenuto conto di queste
circostanze, è giustificato concludere che la colpa imputabile al ricorrente farebbe apparire l'interesse pubblico alla sua espulsione prevalente rispetto al suo interesse privato a rimanere in Svizzera anche se non fosse ragionevolmente esigibile che la compagna e la figlia lo seguissero in Macedonia (cfr., per casi simili recenti: sentenza 2C 162/2007 del 16 agosto 2007; sentenza 2A.493/2006 del 18 ottobre 2006).
5.
In virtù delle considerazioni che precedono, la ponderazione degli interessi effettuata dalla Corte cantonale non risulta pertanto contraria né al diritto federale né all'art. 8
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH)
CEDH Art. 8 Droit au respect de la vie privée et familiale - 1. Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance.
1    Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance.
2    Il ne peut y avoir ingérence d'une autorité publique dans l'exercice de ce droit que pour autant que cette ingérence est prévue par la loi et qu'elle constitue une mesure qui, dans une société démocratique, est nécessaire à la sécurité nationale, à la sûreté publique, au bien-être économique du pays, à la défense de l'ordre et à la prévention des infractions pénales, à la protection de la santé ou de la morale, ou à la protection des droits et libertés d'autrui.
CEDU. La pronuncia di un'espulsione a tempo indeterminato anziché di durata limitata, come chiesto in via subordinata nel ricorso, non appare a sua volta sproporzionata e rientra nei limiti della latitudine di giudizio di cui dispongono le autorità cantonali di ricorso (cfr. sentenza 2A.659/2005 del 5 aprile 2006, in: RtiD II-2006 n. 28, consid. 6.1; sentenza 2A.749/2004 del 28 aprile 2005, consid. 4.3.3). Giova peraltro rilevare che la nuova legge sugli stranieri prevede a sua volta la possibilità di revocare il permesso di domicilio a cittadini stranieri condannati ad una pena detentiva di lunga durata, anche se i medesimi soggiornano in Svizzera da tanti anni (cfr. i combinati art. 63 cpv. 2 e
SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI)
LEI Art. 63 Révocation de l'autorisation d'établissement - 1 L'autorisation d'établissement ne peut être révoquée que dans les cas suivants:
1    L'autorisation d'établissement ne peut être révoquée que dans les cas suivants:
a  les conditions visées à l'art. 62, al. 1, let. a ou b, sont remplies;
b  l'étranger attente de manière très grave à la sécurité et l'ordre publics en Suisse ou à l'étranger, les met en danger ou représente une menace pour la sécurité intérieure ou extérieure de la Suisse;
c  lui-même ou une personne dont il a la charge dépend durablement et dans une large mesure de l'aide sociale;
d  l'étranger a tenté d'obtenir abusivement la nationalité suisse ou cette dernière lui a été retirée suite à une décision ayant force de chose jugée dans le cadre d'une annulation de la naturalisation au sens de l'art. 36 de la loi du 20 juin 2014 sur la nationalité suisse125.
e  ...
2    L'autorisation d'établissement peut être révoquée et remplacée par une autorisation de séjour lorsque les critères d'intégration définis à l'art. 58a ne sont pas remplis.127
3    Est illicite toute révocation fondée uniquement sur des infractions pour lesquelles un juge pénal a déjà prononcé une peine ou une mesure mais a renoncé à prononcer une expulsion.128
62 lett. b LStr).
Nessun vantaggio può infine venir dedotto dall'invocato Trattato di domicilio e consolare tra la Svizzera e la Serbia del 16 febbraio 1888 (RS 0.142.118.181), il cui art. 4 ammette del resto espressamente che i cittadini di uno Stato contraente domiciliati nell'altro Stato possano venir "rimandati" in seguito ad una sentenza ed in applicazione delle leggi (sulla portata di simili trattati, cfr. DTF 132 II 65 consid. 2.3, con riferimenti).
6.
Ne segue che, nella misura in cui è ammissibile, il ricorso deve essere respinto, siccome infondato.
Le spese giudiziarie vanno poste a carico del ricorrente, secondo soccombenza (art. 66 cpv. 1 e
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
65 LTF). Non si assegnano ripetibili ad autorità vincenti intervenute in causa nell'esercizio delle loro attribuzioni ufficiali (art. 68 cpv. 3
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
LTF).

Per questi motivi, il Tribunale federale pronuncia:
1.
Nella misura in cui è ammissibile, il ricorso è respinto.
2.
Le spese giudiziarie di fr. 1'500.-- sono poste a carico del ricorrente.
3.
Comunicazione alla patrocinatrice del ricorrente, al Consiglio di Stato e al Tribunale amministrativo del Cantone Ticino, nonché all'Ufficio federale della migrazione.
Losanna, 7 febbraio 2008
In nome della II Corte di diritto pubblico
del Tribunale federale svizzero
Il presidente: Il cancelliere:

Merkli Bianchi
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 2C_457/2007
Date : 07 février 2008
Publié : 25 février 2008
Source : Tribunal fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Droit de cité et droit des étrangers
Objet : Espulsione


Répertoire des lois
CEDH: 8
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH)
CEDH Art. 8 Droit au respect de la vie privée et familiale - 1. Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance.
1    Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance.
2    Il ne peut y avoir ingérence d'une autorité publique dans l'exercice de ce droit que pour autant que cette ingérence est prévue par la loi et qu'elle constitue une mesure qui, dans une société démocratique, est nécessaire à la sécurité nationale, à la sûreté publique, au bien-être économique du pays, à la défense de l'ordre et à la prévention des infractions pénales, à la protection de la santé ou de la morale, ou à la protection des droits et libertés d'autrui.
LEtr: 63 
SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI)
LEI Art. 63 Révocation de l'autorisation d'établissement - 1 L'autorisation d'établissement ne peut être révoquée que dans les cas suivants:
1    L'autorisation d'établissement ne peut être révoquée que dans les cas suivants:
a  les conditions visées à l'art. 62, al. 1, let. a ou b, sont remplies;
b  l'étranger attente de manière très grave à la sécurité et l'ordre publics en Suisse ou à l'étranger, les met en danger ou représente une menace pour la sécurité intérieure ou extérieure de la Suisse;
c  lui-même ou une personne dont il a la charge dépend durablement et dans une large mesure de l'aide sociale;
d  l'étranger a tenté d'obtenir abusivement la nationalité suisse ou cette dernière lui a été retirée suite à une décision ayant force de chose jugée dans le cadre d'une annulation de la naturalisation au sens de l'art. 36 de la loi du 20 juin 2014 sur la nationalité suisse125.
e  ...
2    L'autorisation d'établissement peut être révoquée et remplacée par une autorisation de séjour lorsque les critères d'intégration définis à l'art. 58a ne sont pas remplis.127
3    Est illicite toute révocation fondée uniquement sur des infractions pour lesquelles un juge pénal a déjà prononcé une peine ou une mesure mais a renoncé à prononcer une expulsion.128
126
SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI)
LEI Art. 126 Dispositions transitoires - 1 Les demandes déposées avant l'entrée en vigueur de la présente loi sont régies par l'ancien droit.
1    Les demandes déposées avant l'entrée en vigueur de la présente loi sont régies par l'ancien droit.
2    La procédure est régie par le nouveau droit.
3    Les délais prévus à l'art. 47, al. 1, commencent à courir à l'entrée en vigueur de la présente loi, dans la mesure où l'entrée en Suisse ou l'établissement du lien familial sont antérieurs à cette date.
4    Les dispositions pénales de la présente loi s'appliquent aux infractions commises avant son entrée en vigueur lorsqu'elles sont plus favorables à leur auteur.
5    L'art. 107 ne s'applique qu'aux accords de réadmission et de transit conclus après le 1er mars 1999.
6    À l'entrée en vigueur de la loi fédérale du 20 juin 2003 sur le système d'information commun aux domaines des étrangers et de l'asile481, les art. 108 et 109 sont abrogés.
LSEE: 10  11  16
LTF: 66 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
68 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
83 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 83 Exceptions - Le recours est irrecevable contre:
a  les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit58 jugée par un tribunal;
b  les décisions relatives à la naturalisation ordinaire;
c  les décisions en matière de droit des étrangers qui concernent:
c1  l'entrée en Suisse,
c2  une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit,
c3  l'admission provisoire,
c4  l'expulsion fondée sur l'art. 121, al. 2, de la Constitution ou le renvoi,
c5  les dérogations aux conditions d'admission,
c6  la prolongation d'une autorisation frontalière, le déplacement de la résidence dans un autre canton, le changement d'emploi du titulaire d'une autorisation frontalière et la délivrance de documents de voyage aux étrangers sans pièces de légitimation;
d  les décisions en matière d'asile qui ont été rendues:
d1  par le Tribunal administratif fédéral, sauf celles qui concernent des personnes visées par une demande d'extradition déposée par l'État dont ces personnes cherchent à se protéger,
d2  par une autorité cantonale précédente et dont l'objet porte sur une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit;
e  les décisions relatives au refus d'autoriser la poursuite pénale de membres d'autorités ou du personnel de la Confédération;
f  les décisions en matière de marchés publics:
fbis  les décisions du Tribunal administratif fédéral concernant les décisions visées à l'art. 32i de la loi fédérale du 20 mars 2009 sur le transport de voyageurs65;
f1  si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe; sont réservés les recours concernant des marchés du Tribunal administratif fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal fédéral des brevets, du Ministère public de la Confédération et des autorités judiciaires supérieures des cantons, ou
f2  si la valeur estimée du marché à adjuger est inférieure à la valeur seuil déterminante visée à l'art. 52, al. 1, et fixée à l'annexe 4, ch. 2, de la loi fédérale du 21 juin 2019 sur les marchés publics63;
g  les décisions en matière de rapports de travail de droit public qui concernent une contestation non pécuniaire, sauf si elles touchent à la question de l'égalité des sexes;
h  les décisions en matière d'entraide administrative internationale, à l'exception de l'assistance administrative en matière fiscale;
i  les décisions en matière de service militaire, de service civil ou de service de protection civile;
j  les décisions en matière d'approvisionnement économique du pays qui sont prises en cas de pénurie grave;
k  les décisions en matière de subventions auxquelles la législation ne donne pas droit;
l  les décisions en matière de perception de droits de douane fondée sur le classement tarifaire ou le poids des marchandises;
m  les décisions sur l'octroi d'un sursis de paiement ou sur la remise de contributions; en dérogation à ce principe, le recours contre les décisions sur la remise de l'impôt fédéral direct ou de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice est recevable, lorsqu'une question juridique de principe se pose ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
n  les décisions en matière d'énergie nucléaire qui concernent:
n1  l'exigence d'un permis d'exécution ou la modification d'une autorisation ou d'une décision,
n2  l'approbation d'un plan de provision pour les coûts d'évacuation encourus avant la désaffection d'une installation nucléaire,
n3  les permis d'exécution;
o  les décisions en matière de circulation routière qui concernent la réception par type de véhicules;
p  les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière de télécommunications, de radio et de télévision et en matière postale qui concernent:70
p1  une concession ayant fait l'objet d'un appel d'offres public,
p2  un litige découlant de l'art. 11a de la loi du 30 avril 1997 sur les télécommunications71;
p3  un litige au sens de l'art. 8 de la loi du 17 décembre 2010 sur la poste73;
q  les décisions en matière de médecine de transplantation qui concernent:
q1  l'inscription sur la liste d'attente,
q2  l'attribution d'organes;
r  les décisions en matière d'assurance-maladie qui ont été rendues par le Tribunal administratif fédéral sur la base de l'art. 3474 de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)75;
s  les décisions en matière d'agriculture qui concernent:
s1  ...
s2  la délimitation de zones dans le cadre du cadastre de production;
t  les décisions sur le résultat d'examens ou d'autres évaluations des capacités, notamment en matière de scolarité obligatoire, de formation ultérieure ou d'exercice d'une profession;
u  les décisions relatives aux offres publiques d'acquisition (art. 125 à 141 de la loi du 19 juin 2015 sur l'infrastructure des marchés financiers79);
v  les décisions du Tribunal administratif fédéral en cas de divergences d'opinion entre des autorités en matière d'entraide judiciaire ou d'assistance administrative au niveau national;
w  les décisions en matière de droit de l'électricité qui concernent l'approbation des plans des installations électriques à courant fort et à courant faible et l'expropriation de droits nécessaires à la construction ou à l'exploitation de telles installations, si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe.
x  les décisions en matière d'octroi de contributions de solidarité au sens de la loi fédérale du 30 septembre 2016 sur les mesures de coercition à des fins d'assistance et les placements extrafamiliaux antérieurs à 198183, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
y  les décisions prises par le Tribunal administratif fédéral dans des procédures amiables visant à éviter une imposition non conforme à une convention internationale applicable dans le domaine fiscal;
z  les décisions citées à l'art. 71c, al. 1, let. b, de la loi du 30 septembre 2016 sur l'énergie86 concernant les autorisations de construire et les autorisations relevant de la compétence des cantons destinées aux installations éoliennes d'intérêt national qui y sont nécessairement liées, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe.
89 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 89 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire;
b  est particulièrement atteint par la décision ou l'acte normatif attaqué, et
c  a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification.
2    Ont aussi qualité pour recourir:
a  la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions;
b  l'organe compétent de l'Assemblée fédérale en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération;
c  les communes et les autres collectivités de droit public qui invoquent la violation de garanties qui leur sont reconnues par la constitution cantonale ou la Constitution fédérale;
d  les personnes, organisations et autorités auxquelles une autre loi fédérale accorde un droit de recours.
3    En matière de droits politiques (art. 82, let. c), quiconque a le droit de vote dans l'affaire en cause a qualité pour recourir.
100
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
1    Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
2    Le délai de recours est de dix jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale;
c  les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93.
d  les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95.
3    Le délai de recours est de cinq jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change;
b  les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales.
4    Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national.
5    En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
6    ...96
7    Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps.
Répertoire ATF
114-IB-1 • 122-II-433 • 124-II-289 • 125-II-105 • 125-II-29 • 125-II-521 • 129-II-215 • 129-II-438 • 130-II-176 • 131-II-470 • 132-II-65
Weitere Urteile ab 2000
2A.493/2006 • 2A.51/2006 • 2A.659/2005 • 2A.749/2004 • 2C_162/2007 • 2C_457/2007 • 2C_466/2007 • 2C_494/2007 • 2C_70/2007
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
recourant • questio • tribunal fédéral • tribunal administratif • conseil d'état • otan • cocaïne • ressortissant étranger • réclusion • décision • renvoi • recours en matière de droit public • loi fédérale sur les étrangers • cirque • emprisonnement • pesée des intérêts • conjoint • calcul • fédéralisme • droit public • office fédéral des migrations • frais judiciaires • police des étrangers • courrier a • autorisation d'établissement • cedh • macédoine • autorité cantonale • gravité de la faute • acte de défaut de biens • fin • suppression • dossier • ordre public • respect de la vie privée • traité d'établissement • durée indéterminée • prolongation • stupéfiant • majorité • adulte • autorité judiciaire • relations personnelles • libération conditionnelle • effet • augmentation • avis • pratique judiciaire et administrative • répartition des tâches • enfant • proportionnalité • limitation • reconversion professionnelle • autorité administrative • maxime du procès • champ d'application • temps atmosphérique • directeur • suisse • motif • importance notable • manifestation • intérêt privé • intérêt public • participation ou collaboration • établissement pénitentiaire • but • condamnation • action en justice • ordre militaire • expulsion • partie à un traité • contact avec l'entourage • concordance • vente • attestation • obligation d'entretien • état • pension d'assistance • apport • charge publique • marchandise • salaire • dernière instance • cour européenne des droits de l'homme • patronage • droit pénal • resocialisation • autorisation de séjour • effet dévolutif • bellinzone • entrée en vigueur • examinateur • rente d'invalidité • fixation de la peine • droit fédéral • circulation routière • cio • affection • 1995 • étranger de la deuxième génération • restaurant • réintégration professionnelle • peine accessoire • mois • attribution de l'effet suspensif • dépens • analogie • lausanne
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AS
AS 2007/5487