Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

{T 0/2}

5A_557/2016

Urteil vom 6. Februar 2017

II. zivilrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichter von Werdt, Präsident,
Bundesrichterin Escher, Bundesrichter Herrmann,
Gerichtsschreiber Buss.

Verfahrensbeteiligte
A.A.________,
Beschwerdeführer,

gegen

B.A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Kai Burkart,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Eheschutz,

Beschwerde gegen das Urteil des Obergerichts des Kantons Zürich, I. Zivilkammer, vom 1. Juli 2016.

Sachverhalt:

A.
A.A.________ und B.A.________ heirateten 2001. Sie sind Eltern der beiden minderjährigen Kinder C.A.________ (Jahrgang 2002) und D.A.________ (Jahrgang 2004). Seit dem 1. August 2014 leben die Parteien getrennt. Am 13. November 2014 reichte B.A.________ beim Bezirksgericht Meilen ein Eheschutzgesuch ein. Mit Entscheid vom 11. August 2015 wurden die beiden Kinder für die Dauer des Getrenntlebens unter die Obhut von B.A.________ gestellt. A.A.________ wurde verpflichtet, B.A.________ an den Unterhalt der Kinder monatliche Unterhaltsbeiträge von je Fr. 1'500.-- (zzgl. Kinderzulagen) zu bezahlen. Die persönlichen Unterhaltsbeiträge an B.A.________ wurden auf Fr. 318.-- (vom 1. Mai 2015 bis 31. Mai 2015), Fr. 2'905.-- (vom 1. Juni 2015 bis 31. Juli 2015), Fr. 3'030.-- (vom 1. August 2015 bis 31. Juli 2016) sowie Fr. 2'315.-- (ab 1. August 2016) festgesetzt.

B.
Auf Berufung beider Parteien hin, setzte das Obergericht den persönlichen Unterhalt mit Urteil vom 1. Juli 2016 neu wie folgt fest: Fr. 1'528.85 (ab 1. August 2015 bis 31. August 2015), Fr. 2'260.-- (ab 1. September 2015 bis zum Hausverkauf) sowie Fr. 2'392.-- (ab dem Zeitpunkt des Hausverkaufs; Eigentumsübertragung an den Käufer). Die Gerichtsgebühr für das Berufungsverfahren von Fr. 6'000.-- wurde den Parteien je zur Hälfte auferlegt und es wurden keine Parteientschädigungen zugesprochen.

C.
A.A.________ (Beschwerdeführer) gelangt mit Beschwerde in Zivilsachen vom 26. Juli 2016 an das Bundesgericht. Er beantragt, den Unterhalt an B.A.________ (Beschwerdegegnerin) für die Zeitdauer vom 1. August 2014 bis 31. Juli 2016 auf insgesamt Fr. 49'098.-- (statt Fr. 78'386.--) festzusetzen. Ab. 1. August 2016 sei von der Zusprechung eines Ehegattenunterhalts abzusehen. Sodann sei er für berechtigt zu erklären, sich vom 1. August 2014 bis zum 31. Juli 2016 Akontozahlungen in der Höhe von insgesamt Fr. 128'630.-- an die gesamten Unterhaltsverpflichtungen anrechnen zu lassen. Ausserdem verlangt er die Gerichtskosten für das zweitinstanzliche Verfahren zu drei Vierteln der Beschwerdegegnerin aufzuerlegen und diese zur Zahlung einer Parteientschädigung von Fr. 5'000.-- zu verpflichten. Zudem stellt er am 17. November 2016 nachträglich das Gesuch, der Beschwerde sei mit Bezug auf den seit 1. Juli 2016 geschuldeten Ehegattenunterhalt aufschiebende Wirkung zu erteilen.
Mit Präsidialverfügung vom 28. November 2016 hat das Bundesgericht der Beschwerde die aufschiebende Wirkung für die ab 1. Juli 2016 bis und mit Oktober 2016 geschuldeten Unterhaltsbeiträge zuerkannt, das Gesuch im Übrigen jedoch abgewiesen.

Erwägungen:

1.
Die Beschwerde richtet sich gegen den Endentscheid (Art. 90
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure.
BGG) einer letzten kantonalen Instanz (Art. 75 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 75 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
1    Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
2    Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours, sauf si:
a  une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
b  un tribunal spécialisé dans les litiges de droit commercial statue en instance cantonale unique;
c  une action ayant une valeur litigieuse d'au moins 100 000 francs est déposée directement devant le tribunal supérieur avec l'accord de toutes les parties.
BGG) in einer Eheschutzsache. Vor Bundesgericht steht nur eine Unterhaltsfrage und damit eine vermögensrechtliche Zivilsache im Streit (Art. 72 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 72 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
1    Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
2    Sont également sujettes au recours en matière civile:
a  les décisions en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions prises en application de normes de droit public dans des matières connexes au droit civil, notamment les décisions:
b1  sur la reconnaissance et l'exécution de décisions ainsi que sur l'entraide en matière civile,
b2  sur la tenue des registres foncier, d'état civil et du commerce, ainsi que des registres en matière de protection des marques, des dessins et modèles, des brevets d'invention, des obtentions végétales et des topographies,
b3  sur le changement de nom,
b4  en matière de surveillance des fondations, à l'exclusion des institutions de prévoyance et de libre passage,
b5  en matière de surveillance des exécuteurs testamentaires et autres représentants successoraux,
b6  les décisions prises dans le domaine de la protection de l'enfant et de l'adulte,
b7  ...
BGG). Der Streitwert übersteigt Fr. 30'000.-- (Art. 74 Abs. 1 lit. b
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 74 Valeur litigieuse minimale - 1 Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à:
1    Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à:
a  15 000 francs en matière de droit du travail et de droit du bail à loyer;
b  30 000 francs dans les autres cas.
2    Même lorsque la valeur litigieuse minimale n'est pas atteinte, le recours est recevable:
a  si la contestation soulève une question juridique de principe;
b  si une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
c  s'il porte sur une décision prise par une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
d  s'il porte sur une décision prise par le juge de la faillite ou du concordat;
e  s'il porte sur une décision du Tribunal fédéral des brevets.
BGG). Die Beschwerde in Zivilsachen ist grundsätzlich zulässig. Der Beschwerdeführer ist gemäss Art. 76 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 76 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière civile quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière civile quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et
b  est particulièrement touché par la décision attaquée et a un intérêt digne de protection à son annulation ou sa modification.
2    Ont également qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 72, al. 2, la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux et, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions.41
BGG zur Beschwerde berechtigt und die Beschwerdefrist ist eingehalten (Art. 100 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
1    Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
2    Le délai de recours est de dix jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale;
c  les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93.
d  les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95.
3    Le délai de recours est de cinq jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change;
b  les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales.
4    Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national.
5    En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
6    ...96
7    Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps.
BGG). Insofern kann auf die Beschwerde - unter Vorbehalt zulässiger und hinlänglich begründeter Rügen - eingetreten werden.

2.

2.1. Weil Eheschutzentscheide vorsorgliche Massnahmen im Sinne von Art. 98
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 98 Motifs de recours limités - Dans le cas des recours formés contre des décisions portant sur des mesures provisionnelles, seule peut être invoquée la violation des droits constitutionnels.
BGG darstellen (BGE 133 III 393 E. 5.2 S. 397), kann einzig die Verletzung verfassungsmässiger Rechte gerügt werden. Hierfür gilt das strenge Rügeprinzip (Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG). Das Bundesgericht prüft nur klar und detailliert erhobene und soweit möglich belegte Rügen, während es auf ungenügend begründete Rügen und rein appellatorische Kritik am angefochtenen Entscheid nicht eintritt. Wird die Verletzung des Willkürverbots gerügt, reicht es sodann nicht aus, die Lage aus Sicht des Beschwerdeführers aufzuzeigen und den davon abweichenden angefochtenen Entscheid als willkürlich zu bezeichnen; vielmehr ist im Einzelnen darzulegen, inwiefern das kantonale Gericht willkürlich entschieden haben soll und der angefochtene Entscheid deshalb an einem qualifizierten und offensichtlichen Mangel leidet (BGE 134 II 244 E. 2.2 S. 246). Auch eine Berichtigung oder Ergänzungen der Sachverhaltsfeststellungen kommt nur in Frage, wenn die kantonale Instanz verfassungsmässige Rechte verletzt hat (BGE 133 III 585 E. 4.1 S. 588), was die rechtsuchende Partei wiederum präzise geltend zu machen hat.

2.2. Dreht sich der Rechtsstreit um die Unterhaltsfestsetzung, gilt es zu beachten, dass der Richter in verschiedener Hinsicht auf sein Ermessen verwiesen ist (Art. 4
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 4 - Le juge applique les règles du droit et de l'équité, lorsque la loi réserve son pouvoir d'appréciation ou qu'elle le charge de prononcer en tenant compte soit des circonstances, soit de justes motifs.
ZGB; BGE 127 III 136 E. 3a S. 141; Botschaft über die Änderung des ZGB vom 15. November 1995, BBl 1996 I S. 1 ff. S. 115 f.), wobei vorliegend der Willkürmassstab entscheidend bleibt (siehe E. 2.1 hiervor).

2.3. Das Bundesgericht ist grundsätzlich an den Sachverhalt gebunden, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG). Mit der Beschwerde in Zivilsachen darf der Beschwerdeführer keine neuen Tatsachen und Beweismittel vorbringen, es sei denn, erst der Entscheid der Vorinstanz habe dazu Anlass gegeben (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
BGG), was in der Beschwerde näher darzulegen ist (BGE 133 III 393 E. 3 S. 395). Diese Voraussetzung ist von vornherein nicht erfüllt, soweit eine Tatsache sich zwar auf das vorinstanzliche Prozessthema bezieht, jedoch erst nach dem Zeitpunkt eingetreten ist, in welchem sie im vorinstanzlichen Verfahren letztmals hätte berücksichtigt werden können. Diese so genannten "echten" Noven sind im bundesgerichtlichen Verfahren stets unzulässig. Gleiches gilt auch für Beweismittel, die erst nach dem angefochtenen Entscheid erstellt wurden (BGE 139 III 120 E. 3.1.2. S. 123; 135 I 221 E. 5.2.4 S. 229; 133 IV 342 E. 2.1 S. 343 f.). Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
BGG zielt auf Tatsachen ab, die erst durch das angefochtene Urteil rechtserheblich werden. So kann sich die beschwerdeführende Partei vor Bundesgericht auf Tatsachen stützen, die erst aufgrund einer neuen überraschenden rechtlichen Argumentation der Vorinstanz Rechtserheblichkeit
erlangt haben (Urteil 4A_36/2008 vom 18. Februar 2008 E. 4.1). Unzulässig sind hingegen neue Tatsachen, die bereits der Vorinstanz hätten vorgelegt werden können (BGE 134 V 223 E. 2.2.1 S. 227).
Der Beschwerdeführer legt im bundesgerichtlichen Verfahren eine Vielzahl neuer Dokumente ins Recht. Soweit es sich bei diesen nicht ohnehin um von vornherein unzulässige echte Noven handelt, begründet der Beschwerdeführer in keiner Weise, weshalb diese Noven ausnahmsweise zulässig sein sollten. Die eingereichten Dokumente, die sich nicht bereits bei den Akten befinden, werden deshalb nicht berücksichtigt.

3.
Die Beschwerde richtet sich in erster Linie gegen die Festlegung des Unterhaltsbeitrags, welchen der Beschwerdeführer nach Aufhebung des gemeinsamen Haushaltes an seine Ehefrau zu leisten hat. Unbestritten ist diesbezüglich die vom Obergericht angewandte Methode der Grundbedarfsberechnung mit Überschussverteilung. Der Beschwerdeführer kritisiert hingegen, dass der Beschwerdegegnerin kein hypothetisches Einkommen angerechnet wurde (s. E. 5) und macht geltend, dass sein eigenes Einkommen willkürlich ermittelt worden sei (s. E. 6). Ausserdem beanstandet er die Höhe der Positionen Steuern (s. E. 7) und Wohnkosten (s. E. 8) in seinem Bedarf und möchte bereits getätigte Zahlungen in höherem Umfang angerechnet wissen (s. E. 4 sogleich).

4.
Das Obergericht hat bereits geleistete Unterhaltszahlungen in Höhe von Fr. 90'997.15 festgestellt und daraus gefolgert, dass der Beschwerdeführer seine Unterhaltsverpflichtung bis und mit Juli 2015 vollständig erfüllt habe. Was die strittige Zahlung vom 23. Dezember 2014 in der Höhe von Fr. 17'373.-- betreffe, sei offensichtlich, dass es sich bei diesem Betrag um eine Rückzahlung von Steuerguthaben aus dem Jahr 2014 gehandelt habe. Die Beschwerdegegnerin habe bereits vor Erstinstanz ein Schreiben des Steueramtes U.________ vom 24. Dezember 2014 ins Recht gelegt, aus welchem hervorgehe, dass dem Beschwerdeführer am 19. Dezember 2014 ein Steuerguthaben aus dem Jahr 2014 im Umfang von Fr. 34'745.25 zurückerstattet worden sei. Am 23. Dezember 2014 habe der Beschwerdeführer der Beschwerdegegnerin alsdann die Hälfte dieser Rückzahlung überwiesen. Soweit der Beschwerdeführer vor Bundesgericht bemängelt, dass der Betrag von Fr. 17'373.-- vom Obergericht nicht als Unterhaltsbeitrag angerechnet worden ist, begnügt er sich mit appellatorischer Kritik, indem er der obergerichtlichen Beweiswürdigung seine eigene gegenüberstellt, ohne jedoch zu begründen, inwiefern das Obergericht in Willkür verfallen bzw. die obergerichtliche Beweiswürdigung
geradezu unhaltbar sein soll (vgl. E. 2.1 oben). Darauf ist nicht einzutreten. Von vornherein nicht Gegenstand des bundesgerichtlichen Verfahrens können sodann erst nach dem angefochtenen Entscheid getätigte Zahlungen sein (vgl. E. 2.3 oben).

5.
Der Beschwerdeführer macht geltend, die Vorinstanz habe willkürlich entschieden, weil sie der Beschwerdegegnerin ab 1. August 2015 kein hypothetisches Einkommen auf der Basis einer Erwerbstätigkeit von 80 %, mindestens jedoch 70 % angerechnet habe.
Die Beschwerdegegnerin hat per 1. August 2015 ihr Arbeitspensum von 40 % auf 63 % erhöht. Die Vorinstanz durfte hinsichtlich der beschwerdeführerischen Forderung nach einer weiteren Aufstockung berücksichtigen, dass die beiden minderjährigen Kinder der Parteien unter der alleinigen Obhut der Beschwerdegegnerin stehen und dass diese faktisch den gesamten Betreuungsaufwand nahezu alleine bewältigt. Willkürfrei hat das Obergericht auch annehmen dürfen, dass der Zeitaufwand von 17 Stunden pro Woche, den die Beschwerdegegnerin während des ehelichen Zusammenlebens von zu Hause aus für ihre Ausbildung bzw. für das Schreiben einer Masterarbeit geleistet h at, ni cht einfach mit einem 40%-Arbeitspensum als Lehrerin gleichgesetzt werden kann, sondern, dass sich ihre akademische Ausbildung mit der Kinderbetreuung besser vereinbaren liess, als dies mit einem zusätzlichen Arbeitspensum von zwei Tagen der Fall wäre. Wenn die Vorinstanz unter Würdigung der gesamten Umstände zum Schluss gekommen ist, dass der Beschwerdegegnerin im Rahmen des Eheschutzverfahrens eine weitere Aufstockung des Arbeitspensums nicht zumutbar ist, kann dies daher nicht als willkürlich beanstandet werden (Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
BV; zum Begriff der Willkür vgl. BGE 140 III 16 E. 2.1 S.
18 f.)

6.

6.1. Da der Beschwerdeführer sein bisheriges Arbeitsverhältnis bei der E.________ per 1. April 2015 angepasst hat, hat das Obergericht bei der Berechnung seines Einkommens zwei verschiedene Phasen gebildet, wobei hinsichtlich der ersten Phase vom 1. August 2014 bis 31. März 2015 vor Bundesgericht lediglich noch das zusätzlich angerechnete Einkommen von Fr. 510.-- aus Nebenerwerb strittig ist. Bei der Ermittlung des Einkommens des Beschwerdeführers für die zweite Phase ab 1. April 2015 ist die Vorinstanz grundsätzlich davon ausgegangen, dass der Beschwerdeführer den maximalen Bonus von monatlich netto Fr. 2'820.-- erzielen werde. Ausserdem seien dem Beschwerdeführer aus seiner im Nebenerwerb ausgeübten Dozententätigkeit (weiterhin) Fr. 510.-- als Einkommen anzurechnen, was ab 1. April 2015 ein Gesamteinkommen von Fr. 14'730.-- ergebe.

6.2. Hinsichtlich der Anrechnung eines Einkommens aus Dozententätigkeit wiederholt der Beschwerdeführer seine bereits im kantonalen Verfahren gemachten Ausführungen, dass sein Honorar als Dozent in die F.________ GmbH geflossen sei, aus welcher er aber keinen Lohn habe beziehen können, da diese noch nie einen Gewinn gemacht habe. Die Vorinstanz hat dem Beschwerdeführer diesbezüglich namentlich vorgeworfen, er habe weder erklärt noch begründet, weshalb die F.________ GmbH seit ihrer Gründung angeblich stets Verluste ausgewiesen haben soll. Er habe diesbezüglich nicht auf spezifische Kostenstellen in den bereits aktenkundigen Buchhaltungsunterlagen der F.________ GmbH verwiesen, sondern erneut (ohne näher darauf einzugehen) über 150 Seiten Buchhaltungsunterlagen aus den Jahren 2011 bis 2013 ins Recht gelegt. Auch vor Bundesgericht belässt es der Beschwerdeführer im Wesentlichen bei einer pauschalen Behauptung, dass die Firma (auch in den Jahren 2014 bis 2016) keine Gewinne gemacht habe. Inwiefern die Vorinstanz in Willkür verfallen sein soll, wenn sie ab 1. August 2014 von einem zusätzlichen Einkommen in der Höhe von monatlich Fr. 510.-- aus Dozententätigkeit ausgegangen ist, ist damit weder dargetan noch ersichtlich.

6.3. Soweit der Beschwerdeführer unter Hinweis auf ein Schreiben der E.________ vom 18. Juli 2016 geltend macht, er habe für die ersten sieben Monate des Jahres 2016 keinen Bonus erhalten und hätte für das Gesamtjahr 2016 voraussichtlich ebenfalls keinen Bonus erhalten, stützt er sich auf ein im bundesgerichtlichen Verfahren unzulässiges (echtes) Novum (vgl. E. 2.3 oben). Damit lässt sich der Vorwurf einer willkürlichen Sachverhaltsfeststellung nicht belegen.

6.4. Kein Erfolg beschieden ist der Beschwerde auch, soweit der Beschwerdeführer auf den mit Eingabe vom 20. Juni 2016 im kantonalen Verfahren eingereichten Arbeitsvertrag bzw. die per 1. August 2016 neu angetretene Arbeitsstelle bei der Bank G.________ verweist. Die Vorinstanz hat dieses Vorbringen als novenrechtlich unzulässig erachtet. Nachdem der Beschwerdeführer den neuen Arbeitsvertrag bereits am 21. Mai 2016 unterzeichnet habe, könne das entsprechende Vorbringen mit Eingabe vom 20. Juni 2016 klarerweise nicht mehr als "ohne Verzug" im Sinne von Art. 317 Abs. 1 lit. a
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 317 Faits et moyens de preuve nouveaux; modification de la demande - 1 Les faits et moyens de preuve nouveaux ne sont pris en compte qu'aux conditions suivantes:
1    Les faits et moyens de preuve nouveaux ne sont pris en compte qu'aux conditions suivantes:
a  ils sont invoqués ou produits sans retard;
b  ils ne pouvaient être invoqués ou produits devant la première instance bien que la partie qui s'en prévaut ait fait preuve de la diligence requise.
2    La demande ne peut être modifiée que si:
a  les conditions fixées à l'art. 227, al. 1, sont remplies;
b  la modification repose sur des faits ou des moyens de preuve nouveaux.
ZPO bezeichnet werden. Als Regel könne erwartet werden, dass eine Partei das Gericht innert maximal zehn Tagen seit Entstehung bzw. zumutbarer Entdeckung des Novums über die Geltendmachung der neuen Tatsache in Kenntnis setze. Überdies sei der ausgefertigte Urteilsantrag des Referenten am 13. Juni 2016 in Zirkulation gesetzt worden. Spätestens zu diesem Zeitpunkt habe die zweitinstanzliche Beratungsphase begonnen, weshalb das Novum auch aus diesem Grund nicht mehr berücksichtigt werden könne. Der Beschwerdeführer setzt sich mit keiner der beiden vorinstanzlichen Erwägungen zum Novenregime im Berufungsverfahren auseinander und legt damit nicht dar (Art. 106 Abs.
2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG), inwiefern das Obergericht Verfassungsrecht verletzt haben soll, indem es den neu abgeschlossenen Arbeitsvertrag bei der Ermittlung seines Gehalts nicht mehr berücksichtigt hat. Mangels rechtsgenüglicher Begründung ist darauf nicht einzutreten (vgl. E. 2.1 oben).

7.

7.1. Das Obergericht hat dem Beschwerdeführer in der Zeit vom 1. August 2014 bis zum 31. März 2015 in dessen Bedarf für die laufenden Steuern einen monatlichen Betrag von Fr. 1'800.-- angerechnet.

7.2. Vor Bundesgericht behauptet der Beschwerdeführer, der unter dem Titel Steuern effektiv anfallende Betrag belaufe sich im genannten Zeitraum auf monatlich Fr. 4'231.--. Als Beleg legt er kommentarlos zwei vom 27. Juni 2016 datierende Veranlagungsvorschläge betreffend die direkte Bundessteuer 2014 und die Staats- und Gemeindesteuern 2014 ins Recht. Darin wurde dem Beschwerdeführer als Einschätzungsvorschlag ein steuerbares Einkommen von Fr. 204'400.-- unterbreitet. Dabei handelt es sich jedoch um Noven, mit welchen der Beschwerdeführer im bundesgerichtlichen Verfahren nicht gehört werden kann (vgl. E. 2.3 oben). Im Übrigen kritisiert der Beschwerdeführer einzig, dass das Bezirksgericht die Steuerlast (sinngemäss) willkürlich tief geschätzt habe. Er zeigt indes nicht auf, inwiefern dies bereits vor Obergericht gerügt und damit der Instanzenzug ausgeschöpft wurde (BGE 133 III 638 E. 2 S. 640).

8.
Die Vorinstanz hat dem Beschwerdeführer Wohnkosten von Fr. 2'115.-- angerechnet. Dabei ist sie davon ausgegangen, dass der Beschwerdeführer vorläufig in keine grössere Wohnung umziehen werde. Aus den gleichen Gründen wie bereits den neu eingereichten Arbeitsvertrag (vgl. E. 6.4 oben) hat sie auch den am 20. Juni 2016 eingereichten Mietvertrag vom 4. Juni 2016 als unzulässiges Novum qualifiziert.
Ohne auf die Hauptbegründung des Obergerichts weiter einzugehen, trägt der Beschwerdeführer dem Bundesgericht in appellatorischer Weise seine eigene Sicht der Dinge zur Marktüblichkeit und Angemessenheit seines heutigen Mietzinses von Fr. 2'950.-- vor und möchte einen solchen Betrag angerechnet wissen. Ausserdem verlangt er eine Erhöhung des Betrags für die Haushaltshilfe um Fr. 100.--, mit dem Argument, dass er heute in einer grösseren Wohnung lebe. Im Gegenzug räumt er eine am neuen Wohnort um Fr. 50.-- tiefere Steuerbelastung ein. Schliesslich verlangt der Beschwerdeführer betreffend seine alte Wohnung für den Zeitraum vom 1. August 2014 bis 31. Juli 2016 die Anrechnung von zusätzlichen Nebenkosten in der Höhe von Fr. 58.--, wobei er sich zur Begründung auf ein im bundesgerichtlichen Verfahren eingereichtes unzulässiges Novum (vgl. E. 2.3 oben) beruft. All diesen geltend gemachten Kosten (und Kosteneinsparungen) fehlt es bereits an einer Sachverhaltsbasis im angefochtenen Entscheid. Auch darauf ist nicht einzutreten.

9.
Zuletzt macht der Beschwerdeführer geltend, dass es sich vorliegend rechtfertige, die Gerichtskosten für das zweitinstanzliche Verfahren zu drei Vierteln der Beschwerdegegnerin und ihm selbst zu einem Viertel aufzuerlegen. Dabei räumt der Beschwerdeführer selber ein, dass sich Obsiegen und Unterliegen mit Bezug auf die Unterhaltsfrage im obergerichtlichen Verfahren praktisch die Waage gehalten haben. Ausserdem unterlässt es der Beschwerdeführer eine Verfassungsrüge vorzubringen und gehörig zu begründen (Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG). Dies gilt gleichermassen auch, soweit er den obergerichtlichen Verzicht auf die Zusprechung einer Parteientschädigung beanstandet.

10.
Aus den dargelegten Gründen ist die Beschwerde abzuweisen, soweit darauf eingetreten werden kann. Bei diesem Ausgang des Verfahrens wird der Beschwerdeführer kostenpflichtig (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG). Da dem Gesuch um aufschiebende Wirkung teilweise entsprochen wurde und in der Sache keine Vernehmlassungen eingeholt wurden, schuldet er der Beschwerdegegnerin indes keine Parteientschädigung.

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 2'500.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Obergericht des Kantons Zürich, I. Zivilkammer, schriftlich mitgeteilt.

Lausanne, 6. Februar 2017

Im Namen der II. zivilrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Der Präsident: von Werdt

Der Gerichtsschreiber: Buss
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 5A_557/2016
Date : 06 février 2017
Publié : 27 février 2017
Source : Tribunal fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Droit de la famille
Objet : Eheschutz


Répertoire des lois
CC: 4
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 4 - Le juge applique les règles du droit et de l'équité, lorsque la loi réserve son pouvoir d'appréciation ou qu'elle le charge de prononcer en tenant compte soit des circonstances, soit de justes motifs.
CPC: 317
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 317 Faits et moyens de preuve nouveaux; modification de la demande - 1 Les faits et moyens de preuve nouveaux ne sont pris en compte qu'aux conditions suivantes:
1    Les faits et moyens de preuve nouveaux ne sont pris en compte qu'aux conditions suivantes:
a  ils sont invoqués ou produits sans retard;
b  ils ne pouvaient être invoqués ou produits devant la première instance bien que la partie qui s'en prévaut ait fait preuve de la diligence requise.
2    La demande ne peut être modifiée que si:
a  les conditions fixées à l'art. 227, al. 1, sont remplies;
b  la modification repose sur des faits ou des moyens de preuve nouveaux.
Cst: 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
LTF: 66 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
72 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 72 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
1    Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
2    Sont également sujettes au recours en matière civile:
a  les décisions en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions prises en application de normes de droit public dans des matières connexes au droit civil, notamment les décisions:
b1  sur la reconnaissance et l'exécution de décisions ainsi que sur l'entraide en matière civile,
b2  sur la tenue des registres foncier, d'état civil et du commerce, ainsi que des registres en matière de protection des marques, des dessins et modèles, des brevets d'invention, des obtentions végétales et des topographies,
b3  sur le changement de nom,
b4  en matière de surveillance des fondations, à l'exclusion des institutions de prévoyance et de libre passage,
b5  en matière de surveillance des exécuteurs testamentaires et autres représentants successoraux,
b6  les décisions prises dans le domaine de la protection de l'enfant et de l'adulte,
b7  ...
74 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 74 Valeur litigieuse minimale - 1 Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à:
1    Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à:
a  15 000 francs en matière de droit du travail et de droit du bail à loyer;
b  30 000 francs dans les autres cas.
2    Même lorsque la valeur litigieuse minimale n'est pas atteinte, le recours est recevable:
a  si la contestation soulève une question juridique de principe;
b  si une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
c  s'il porte sur une décision prise par une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
d  s'il porte sur une décision prise par le juge de la faillite ou du concordat;
e  s'il porte sur une décision du Tribunal fédéral des brevets.
75 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 75 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
1    Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
2    Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours, sauf si:
a  une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
b  un tribunal spécialisé dans les litiges de droit commercial statue en instance cantonale unique;
c  une action ayant une valeur litigieuse d'au moins 100 000 francs est déposée directement devant le tribunal supérieur avec l'accord de toutes les parties.
76 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 76 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière civile quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière civile quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et
b  est particulièrement touché par la décision attaquée et a un intérêt digne de protection à son annulation ou sa modification.
2    Ont également qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 72, al. 2, la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux et, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions.41
90 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure.
98 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 98 Motifs de recours limités - Dans le cas des recours formés contre des décisions portant sur des mesures provisionnelles, seule peut être invoquée la violation des droits constitutionnels.
99 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
100 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
1    Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
2    Le délai de recours est de dix jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale;
c  les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93.
d  les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95.
3    Le délai de recours est de cinq jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change;
b  les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales.
4    Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national.
5    En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
6    ...96
7    Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps.
105 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
106
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
Répertoire ATF
127-III-136 • 133-III-393 • 133-III-585 • 133-III-638 • 133-IV-342 • 134-II-244 • 134-V-223 • 135-I-221 • 139-III-120 • 140-III-16
Weitere Urteile ab 2000
4A_36/2008 • 5A_557/2016
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
tribunal fédéral • autorité inférieure • mois • contrat de travail • frais judiciaires • recours en matière civile • effet suspensif • frais de logement • moyen de preuve • constatation des faits • revenu hypothétique • procédure cantonale • greffier • droit de garde • état de fait • conscience • vie • hameau • jour • amende
... Les montrer tous
FF
1996/I/1