Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
6B 741/2021
Urteil vom 2. August 2022
Strafrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Muschietti, als präsidierendes Mitglied,
Bundesrichterin van de Graaf,
Bundesrichterin Koch,
Gerichtsschreiberin Dormann.
Verfahrensbeteiligte
A.A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Albert Stalder,
Beschwerdeführer,
gegen
1. Oberstaatsanwaltschaft des Kantons Luzern, Postfach 3439, 6002 Luzern,
2. B.A.________,
vertreten durch Rechtsanwältin Astrid David Müller,
Beschwerdegegnerinnen.
Gegenstand
Urkundenfälschung, mehrfache Drohung etc.; Willkür,
Beschwerde gegen das Urteil des Kantonsgerichts Luzern, 2. Abteilung, vom 8. April 2021 (4M 20 81).
Sachverhalt:
A.
Das Kriminalgericht Luzern sprach A.A.________ mit Urteil vom 29. Juni 2020 schuldig der Urkundenfälschung, der mehrfachen Drohung, der mehrfachen üblen Nachrede, der mehrfachen Beschimpfung und der Tätlichkeiten. Es verhängte eine bedingte Geldstrafe von 180 Tagessätzen zu Fr. 80.-- bei einer Probezeit von 2 Jahren, unter Anrechnung von 36 Tagessätzen Geldstrafe als Abgeltung von 36 Tagen Untersuchungshaft, und eine Busse im Betrag von Fr. 500.-- (Ersatzfreiheitsstrafe von 5 Tagen). Weiter verpflichtete es A.A.________ dem Grundsatz nach, B.A.________ den im Zusammenhang mit der Urkundenfälschung adäquat kausal verursachten (und vom Zivilgericht festzusetzenden) Schaden zu ersetzen und ihr eine Genugtuung im Betrag von Fr. 2'500.-- zuzüglich Verzugszins zu 5 % seit 18. September 2018 zu bezahlen.
B.
Auf Berufung hin sprach das Kantonsgericht Luzern A.A.________ mit Urteil vom 8. April 2021 schuldig der Urkundenfälschung, der mehrfachen Drohung, der mehrfachen Beschimpfung und der Tätlichkeiten, während es ihn vom Vorwurf der Drohung, angeblich begangen am 1. September 2018 um 00:44 Uhr, freisprach. Es reduzierte den Tagessatz der Geldstrafe auf Fr. 50.-- und die Busse auf Fr. 300.-- (Ersatzfreiheitsstrafe von 3 Tagen); im Übrigen bestätigte es die vom Kriminalgericht verhängte Strafe. Das Begehren des A.A.________ um Entschädigung nach Art 429
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 429 Prétentions - 1 Si le prévenu est acquitté totalement ou en partie ou s'il bénéficie d'une ordonnance de classement, il a droit à: |
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1 | Si le prévenu est acquitté totalement ou en partie ou s'il bénéficie d'une ordonnance de classement, il a droit à: |
a | une indemnité fixée conformément au tarif des avocats, pour les dépenses occasionnées par l'exercice raisonnable de ses droits de procédure; les tarifs des avocats n'opèrent aucune distinction entre l'indemnité allouée et les honoraires dus en cas de défense privée; |
b | une indemnité pour le dommage économique subi au titre de sa participation obligatoire à la procédure pénale; |
c | une réparation du tort moral subi en raison d'une atteinte particulièrement grave à sa personnalité, notamment en cas de privation de liberté. |
2 | L'autorité pénale examine d'office les prétentions du prévenu. Elle peut enjoindre à celui-ci de les chiffrer et de les justifier. |
3 | Lorsque le prévenu a chargé un défenseur privé de sa défense, celui-ci a un droit exclusif à l'indemnité prévue à l'al. 1, let. a, sous réserve de règlement de compte avec son client. Le défenseur peut contester la décision fixant l'indemnité en usant des voies de droit autorisées pour attaquer la décision finale.283 |
C.
Mit Beschwerde in Strafsachen lässt A.A.________ beantragen, unter entsprechender Aufhebung des Urteils vom 8. April 2021 sei er vollumfänglich freizusprechen; eventualiter sei die Sache zur Neubeurteilung an das Kantonsgericht Luzern zurückzuweisen. Ferner lässt er um unentgeltliche Rechtspflege ersuchen.
Erwägungen:
1.
Weder die Festnahme des Beschwerdeführers noch die Anordnung der Untersuchungshaft sind Gegenstand des angefochtenen Urteils (vgl. Art. 80 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 80 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance ou par la Cour des plaintes et la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral.49 |
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1 | Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance ou par la Cour des plaintes et la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral.49 |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours. Sont exceptés les cas dans lesquels le code de procédure pénale du 5 octobre 2007 (CPP)50 prévoit un tribunal des mesures de contrainte ou un autre tribunal comme instance cantonale unique.51 |
2.
2.1. Der Beschwerdeführer bestreitet die Verwertbarkeit der Aussage, die die Beschwerdegegnerin 2 anlässlich ihrer ersten polizeilichen Einvernahme in Bezug auf die Telefonanrufe vom 28. August 2018 gemacht und bei der Befragung durch die Staatsanwaltschaft lediglich mit "ja, das stimmt" bestätigt habe. Diese Aussage der Beschwerdegegnerin 2 sei unter Verletzung seines Teilnahmerechts erhoben worden.
2.2. Die Vorinstanz stellt im Rahmen der Beweiswürdigung insbesondere auf die fragliche Aussage ab (vgl. nachfolgende E. 4.4.2) und bejaht damit deren Verwertbarkeit implizit.
2.3.
2.3.1. Die Parteien haben das Recht, bei Beweiserhebungen durch die Staatsanwaltschaft und die Gerichte anwesend zu sein und einvernommenen Personen Fragen zu stellen (Grundsatz der Parteiöffentlichkeit, Art. 147 Abs. 1
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
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1 | Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
2 | Celui qui fait valoir son droit de participer à la procédure ne peut exiger que l'administration des preuves soit ajournée. |
3 | Une partie ou son conseil juridique peuvent demander que l'administration des preuves soit répétée lorsque, pour des motifs impérieux, le conseil juridique ou la partie non représentée n'a pas pu y prendre part. Il peut être renoncé à cette répétition lorsqu'elle entraînerait des frais et démarches disproportionnés et que le droit des parties d'être entendues, en particulier celui de poser des questions aux comparants, peut être satisfait d'une autre manière. |
4 | Les preuves administrées en violation du présent article ne sont pas exploitables à la charge de la partie qui n'était pas présente. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 107 Droit d'être entendu - 1 Une partie a le droit d'être entendue; à ce titre, elle peut notamment: |
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1 | Une partie a le droit d'être entendue; à ce titre, elle peut notamment: |
a | consulter le dossier; |
b | participer à des actes de procédure; |
c | se faire assister par un conseil juridique; |
d | se prononcer au sujet de la cause et de la procédure; |
e | déposer des propositions relatives aux moyens de preuves. |
2 | Les autorités pénales attirent l'attention des parties sur leurs droits lorsqu'elles ne sont pas versées dans la matière juridique. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 108 Restriction du droit d'être entendu - 1 Les autorités pénales peuvent restreindre le droit d'une partie à être entendue: |
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1 | Les autorités pénales peuvent restreindre le droit d'une partie à être entendue: |
a | lorsqu'il y a de bonnes raisons de soupçonner que cette partie abuse de ses droits; |
b | lorsque cela est nécessaire pour assurer la sécurité de personnes ou pour protéger des intérêts publics ou privés au maintien du secret. |
2 | Le conseil juridique d'une partie ne peut faire l'objet de restrictions que du fait de son comportement. |
3 | Les restrictions sont limitées temporairement ou à des actes de procédure déterminés. |
4 | Tant que le motif qui a justifié la restriction subsiste, les autorités pénales ne peuvent fonder leurs décisions sur des pièces auxquelles une partie n'a pas eu accès que si celle-ci a été informée de leur contenu essentiel. |
5 | Lorsque le motif qui a justifié la restriction disparaît, le droit d'être entendu doit être accordé sous une forme adéquate. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 146 Audition de plusieurs personnes et confrontations - 1 Les comparants sont entendus séparément. |
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1 | Les comparants sont entendus séparément. |
2 | Les autorités pénales peuvent confronter des personnes, y compris celles qui ont le droit de refuser de déposer. Les droits spéciaux de la victime sont réservés. |
3 | Elles peuvent obliger les comparants qui, à l'issue des auditions, devront probablement être confrontés à d'autres personnes à rester sur le lieu des débats jusqu'à leur confrontation. |
4 | La direction de la procédure peut exclure temporairement une personne des débats dans les cas suivants: |
a | il y a collision d'intérêts; |
b | cette personne doit encore être entendue dans la procédure à titre de témoin, de personne appelée à donner des renseignements ou d'expert. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 149 En général - 1 S'il y a lieu de craindre qu'un témoin, une personne appelée à donner des renseignements, un prévenu, un expert, un traducteur ou un interprète, ou encore une personne ayant avec lui une relation au sens de l'art. 168, al. 1 à 3 puissent, en raison de leur participation à la procédure, être exposés à un danger sérieux menaçant leur vie ou leur intégrité corporelle ou à un autre inconvénient grave, la direction de la procédure prend, sur demande ou d'office, les mesures de protection appropriées. |
|
1 | S'il y a lieu de craindre qu'un témoin, une personne appelée à donner des renseignements, un prévenu, un expert, un traducteur ou un interprète, ou encore une personne ayant avec lui une relation au sens de l'art. 168, al. 1 à 3 puissent, en raison de leur participation à la procédure, être exposés à un danger sérieux menaçant leur vie ou leur intégrité corporelle ou à un autre inconvénient grave, la direction de la procédure prend, sur demande ou d'office, les mesures de protection appropriées. |
2 | À cette fin, la direction de la procédure peut limiter de façon appropriée les droits de procédure des parties et notamment: |
a | assurer l'anonymat de la personne à protéger; |
b | procéder à des auditions en l'absence des parties ou à huis clos; |
c | vérifier l'identité de la personne à protéger en l'absence des parties ou à huis clos; |
d | modifier l'apparence et la voix de la personne à protéger ou la masquer à la vue des autres personnes; |
e | limiter le droit de consulter le dossier. |
3 | La direction de la procédure peut autoriser les personnes à protéger à se faire accompagner d'un conseil juridique ou d'une personne de confiance. |
4 | Elle peut également ordonner des mesures de protection au sens de l'art. 154, al. 2 et 4, lorsque des personnes âgées de moins de 18 ans sont entendues à titre de témoins ou de personnes appelées à donner des renseignements. |
5 | Elle s'assure pour chaque mesure de protection que le droit d'être entendu des parties, en particulier les droits de la défense du prévenu, soit garanti. |
6 | Si l'anonymat a été garanti à la personne à protéger, la direction de la procédure prend les mesures appropriées pour empêcher les confusions et les interversions de personnes. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 101 Consultation des dossiers dans le cadre d'une procédure pendante - 1 Les parties peuvent consulter le dossier d'une procédure pénale pendante, au plus tard après la première audition du prévenu et l'administration des preuves principales par le ministère public; l'art. 108 est réservé. |
|
1 | Les parties peuvent consulter le dossier d'une procédure pénale pendante, au plus tard après la première audition du prévenu et l'administration des preuves principales par le ministère public; l'art. 108 est réservé. |
2 | D'autres autorités peuvent consulter le dossier lorsqu'elles en ont besoin pour traiter une procédure civile, pénale ou administrative pendante et si aucun intérêt public ou privé prépondérant ne s'y oppose. |
3 | Des tiers peuvent consulter le dossier s'ils font valoir à cet effet un intérêt scientifique ou un autre intérêt digne de protection et qu'aucun intérêt public ou privé prépondérant ne s'y oppose. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
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1 | Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
2 | Celui qui fait valoir son droit de participer à la procédure ne peut exiger que l'administration des preuves soit ajournée. |
3 | Une partie ou son conseil juridique peuvent demander que l'administration des preuves soit répétée lorsque, pour des motifs impérieux, le conseil juridique ou la partie non représentée n'a pas pu y prendre part. Il peut être renoncé à cette répétition lorsqu'elle entraînerait des frais et démarches disproportionnés et que le droit des parties d'être entendues, en particulier celui de poser des questions aux comparants, peut être satisfait d'une autre manière. |
4 | Les preuves administrées en violation du présent article ne sont pas exploitables à la charge de la partie qui n'était pas présente. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
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1 | Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
2 | Celui qui fait valoir son droit de participer à la procédure ne peut exiger que l'administration des preuves soit ajournée. |
3 | Une partie ou son conseil juridique peuvent demander que l'administration des preuves soit répétée lorsque, pour des motifs impérieux, le conseil juridique ou la partie non représentée n'a pas pu y prendre part. Il peut être renoncé à cette répétition lorsqu'elle entraînerait des frais et démarches disproportionnés et que le droit des parties d'être entendues, en particulier celui de poser des questions aux comparants, peut être satisfait d'une autre manière. |
4 | Les preuves administrées en violation du présent article ne sont pas exploitables à la charge de la partie qui n'était pas présente. |
Die Staatsanwaltschaft eröffnet gemäss Art. 309 Abs. 1
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 309 Ouverture - 1 Le ministère public ouvre une instruction: |
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1 | Le ministère public ouvre une instruction: |
a | lorsqu'il ressort du rapport de police, des dénonciations ou de ses propres constatations des soupçons suffisants laissant présumer qu'une infraction a été commise; |
b | lorsqu'il ordonne des mesures de contrainte; |
c | lorsqu'il est informé par la police conformément à l'art. 307, al. 1. |
2 | Il peut renvoyer à la police, pour complément d'enquête, les rapports et les dénonciations qui n'établissent pas clairement les soupçons retenus. |
3 | Le ministère public ouvre l'instruction par une ordonnance dans laquelle il désigne le prévenu et l'infraction qui lui est imputée. L'ordonnance n'a pas à être motivée ni notifiée. Elle n'est pas sujette à recours. |
4 | Le ministère public renonce à ouvrir une instruction lorsqu'il rend immédiatement une ordonnance de non-entrée en matière ou une ordonnance pénale. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 312 Mandats du ministère public à la police - 1 Même après l'ouverture de l'instruction, le ministère public peut charger la police d'investigations complémentaires. Il lui donne à cet effet des directives écrites, verbales en cas d'urgence, qui sont limitées à des actes d'enquête précisément définis. |
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1 | Même après l'ouverture de l'instruction, le ministère public peut charger la police d'investigations complémentaires. Il lui donne à cet effet des directives écrites, verbales en cas d'urgence, qui sont limitées à des actes d'enquête précisément définis. |
2 | Lorsqu'il charge la police d'effectuer des interrogatoires, les participants à la procédure jouissent des droits accordés dans le cadre des auditions effectuées par le ministère public. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 312 Mandats du ministère public à la police - 1 Même après l'ouverture de l'instruction, le ministère public peut charger la police d'investigations complémentaires. Il lui donne à cet effet des directives écrites, verbales en cas d'urgence, qui sont limitées à des actes d'enquête précisément définis. |
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1 | Même après l'ouverture de l'instruction, le ministère public peut charger la police d'investigations complémentaires. Il lui donne à cet effet des directives écrites, verbales en cas d'urgence, qui sont limitées à des actes d'enquête précisément définis. |
2 | Lorsqu'il charge la police d'effectuer des interrogatoires, les participants à la procédure jouissent des droits accordés dans le cadre des auditions effectuées par le ministère public. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 306 Tâches de la police - 1 Lors de ses investigations, la police établit les faits constitutifs de l'infraction; ce faisant, elle se fonde sur les dénonciations, les directives du ministère public ou ses propres constatations. |
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1 | Lors de ses investigations, la police établit les faits constitutifs de l'infraction; ce faisant, elle se fonde sur les dénonciations, les directives du ministère public ou ses propres constatations. |
2 | La police doit notamment: |
a | mettre en sûreté et analyser les traces et les preuves; |
b | identifier et interroger les lésés et les suspects; |
c | appréhender et arrêter les suspects ou les rechercher si nécessaire. |
3 | Sous réserve de dispositions particulières du présent code, la police observe dans son activité les dispositions applicables à l'instruction, aux moyens de preuves et aux mesures de contrainte. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 147 En général - 1 Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
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1 | Les parties ont le droit d'assister à l'administration des preuves par le ministère public et les tribunaux et de poser des questions aux comparants. La présence des défenseurs lors des interrogatoires de police est régie par l'art. 159. |
2 | Celui qui fait valoir son droit de participer à la procédure ne peut exiger que l'administration des preuves soit ajournée. |
3 | Une partie ou son conseil juridique peuvent demander que l'administration des preuves soit répétée lorsque, pour des motifs impérieux, le conseil juridique ou la partie non représentée n'a pas pu y prendre part. Il peut être renoncé à cette répétition lorsqu'elle entraînerait des frais et démarches disproportionnés et que le droit des parties d'être entendues, en particulier celui de poser des questions aux comparants, peut être satisfait d'une autre manière. |
4 | Les preuves administrées en violation du présent article ne sont pas exploitables à la charge de la partie qui n'était pas présente. |
2.3.2. Die Frage, ob bei widersprüchlichen Aussagen oder späteren Erinnerungslücken auf die ersten, in Abwesenheit des Beschuldigten erfolgten Aussagen abgestellt werden kann, betrifft nicht die Verwertbarkeit, sondern die Würdigung der Beweise (Urteile 6B 696/2021 vom 1. November 2021 E. 4.3.3; 6B 14/2021 vom 28. Juli 2021 E. 1.3.4 mit Hinweisen). Beschränkt sich die Wiederholung der Einvernahme aber im Wesentlichen auf eine formale Bestätigung der früheren Aussagen, wird es dem Beschuldigten verunmöglicht, seine Verteidigungsrechte wirksam wahrzunehmen (Urteile 6B 415/2021 vom 11. Oktober 2021; 6B 14/2021 vom 28. Juli 2021 E. 1.3.4 mit Hinweisen).
2.4. Anlässlich der Befragung durch die Staatsanwaltschaft äusserte sich die Beschwerdegegnerin 2 auch zu den Telefonanrufen vom 28. August 2018. Dazu führte sie insbesondere aus, der Beschwerdeführer habe sie öfters angerufen. Sie könne nicht mehr ganz genau sagen, wann er angerufen und was gesagt habe. Er habe das Gespräch nicht lange geführt, sondern nur kurz, gedroht, beleidigt und dann sofort wieder aufgelegt. Bei diesem Anruf sei eine Kollegin bei ihr gewesen; sie seien bei ihr zu Hause gewesen. Sie habe auf Lautsprecher geschaltet; die Kollegin habe das alles gehört und ein Video davon gemacht. In Bezug auf die konkrete Bezeichnung als "Hure" und "Schlampe" bestätigte sie ihre frühere Aussage.
Damit machte die Beschwerdegegnerin 2 gegenüber der Staatsanwaltschafteigene Angaben zum hier interessierenden Vorfall. Sie legte die Umstände dar und erklärte plausibel, weshalb und inwieweit sie sich nicht mehr an alles erinnerte. Bei der Antwort "ja, das stimmt" handelt es sich somit nicht um eine bloss formale und daher unverwertbare Bestätigung der früheren Aussage. Die Vorinstanz verletzt kein Bundesrecht, indem sie sie in die Beweiswürdigung einbezieht. Das gilt auch, wenn mit dem Beschwerdeführer angenommen wird, die Staatsanwaltschaft habe, indem sie die Beschwerdegegnerin 2 mit ihrer früheren Aussage konfrontierte, eine Suggestivfrage gestellt (vgl. Urteil 6B 1401/2016 vom 24. August 2017 E. 2.4).
3.
3.1. Der Beschwerdeführer bemängelt die vorinstanzliche Beweiswürdigung zunächst in genereller Weise, ohne auf die einzelnen Anklagepunkte Bezug zu nehmen. Er rügt eine einseitige und willkürliche Beweiswürdigung und Sachverhaltsfeststellung durch die Vorinstanz. Diese stelle unkritisch auf die Aussagen der Beschwerdegegnerin 2 ab, berücksichtige dabei aber insbesondere deren Motive für falsche Anschuldigungen und deren fehlende Glaubwürdigkeit nicht resp. ungenügend. Er wirft der Vorinstanz weiter vor, sie verletze die Beweiswürdigungs- und die Beweislastregel, ausserdem begründe sie ihren Entscheid ungenügend und missachte dadurch seinen Anspruch auf rechtliches Gehör.
3.2. Die Vorinstanz hält fest, der Beschwerdeführer habe ein legitimes persönliches Interesse daran gehabt, die Geschehnisse in einem für ihn möglichst günstigen Licht zu schildern. Das gelte insbesondere auch mit Blick auf das laufende Scheidungsverfahren und das zu regelnde Besuchsrecht für die Kinder. Auch die Beschwerdegegnerin 2 habe aufgrund der geltend gemachten Zivilforderungen und des laufenden Scheidungsverfahrens ein Interesse am Ausgang des Strafverfahrens und theoretisch ein Motiv für eine Falschbelastung. Die Behauptung des Beschwerdeführers, die Beschwerdegegnerin 2 habe ihn nur belastet, um Vorteile zu erreichen und ihre Untreue zu vertuschen, sei nicht ohne Weiteres von der Hand zu weisen. Die Beschwerdegegnerin 2 habe wiederholt vorgebracht, der Beschwerdeführer habe die Kinder geschlagen, während das zuständige Zivilgericht das Kindeswohl nicht als gefährdet betrachtet habe. Sie habe zumindest eine romantische Beziehung mit einem anderen Mann gepflegt, und vor ihrem kulturellen Hintergrund sei es denkbar, dass sie eine allfällige intime Beziehung vor ihrer Familie habe verheimlichen wollen. Der Beschwerdeführer habe offen zugegeben, gekränkt, "hässig", wütend und beleidigt gewesen zu sein resp. dass für ihn eine
Welt zusammengebrochen sei, als er seine (damalige) Ehefrau mit einem anderen Mann gesehen habe; damit habe er ein Tatmotiv. Die Aussagen der Parteien (und auch des anderen Mannes) seien mit Vorsicht zu würdigen. Weiter führt die Vorinstanz aus, aus dem Verhalten der Parteien anlässlich eines Treffens vom 24. Juni 2020, rund anderthalb Jahre nach dem letzten inkriminierten Vorfall, seien keine relevanten Erkenntnisse für das vorliegende Strafverfahren zu gewinnen, weshalb auf den Beizug des entsprechenden Videos verzichtet werde.
3.3. Die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz kann vor Bundesgericht nur gerügt werden, wenn sie willkürlich ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
1.3.1; je mit Hinweisen).
Dem Grundsatz "in dubio pro reo" kommt in seiner Funktion als Beweiswürdigungsregel im Verfahren vor Bundesgericht keine über das Willkürverbot von Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
3.4. Die hier interessierenden Argumente des Beschwerdeführers erweisen sich als unbegründet, soweit sie überhaupt den Begründungsanforderungen von Art. 42 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
Ablehnung superprovisorischer Massnahmen durch das Eheschutzgericht und für andere Strafverfahren. Diese Umstände sind nicht geeignet, das Ergebnis der vorinstanzlichen Beweiswürdigung als willkürlich auszuweisen. So erscheint es nicht als ausgeschlossen, dass sich die Beschwerdegegnerin 2 in gewissen Situationen - insbesondere im Zeitpunkt, als sie eine Konfrontationsvermeidung beantragte - mehr vor dem Beschwerdeführer fürchtete als in anderen. Entsprechend darf die Vorinstanz den Beweisantrag auf Beizug eines Videos vom 24. Juni 2020 in zulässiger antizipierter Beweiswürdigung abweisen. Nicht ersichtlich ist, was der vom Beschwerdeführer dargelegte Vorfall vom 18. Mai 2018 oder der Strafbefehl vom 2. Juli 2021, die nicht Gegenstand der Anklage bilden, zur Erhellung der ihm gemachten Tatvorwürfe beitragen sollten. Ebenso wenig vermag der Beschwerdeführer Willkür zu belegen mit dem von ihm behaupteten Motiv der Beschwerdegegnerin 2 hinsichtlich allfälliger Vorteile im eherechtlichen Verfahren betreffend Besuchs- und Sorgerecht, da die strafrechtlichen Vorfälle die gemeinsamen Kinder in keiner Art und Weise betreffen.
Soweit der Beschwerdeführer Zirkelschlüsse moniert, verkennt er, dass die Vorinstanz in Bezug auf die jeweiligen Vorwürfe verschiedene Beweismittel einlässlich würdigt und daraus nachvollziehbare Schlüsse zieht (vgl. nachfolgende E. 4.1-4.7). Der Beschwerdeführer beschränkt sich denn auch hinsichtlich der konkreten Tatvorwürfe auf weiten Strecken darauf, die Beweise abweichend von der Vorinstanz zu würdigen, was nicht genügt.
4.
4.1.
4.1.1. In Bezug auf den Vorfall vom 26. März 2018 macht der Beschwerdeführer geltend, seine (damalige) Ehefrau sei im März 2018 mit der Auflösung der Lebensversicherung einverstanden gewesen, und sie habe gewusst, dass er über ihre Bankkarte samt Code verfügt und das Bargeld bezogen habe.
4.1.2. In diesem Zusammenhang stellt die Vorinstanz fest, der Beschwerdeführer habe am 26. März 2018 auf dem Rückkaufsbegehren für die Lebensversicherung der Beschwerdegegnerin 2 deren Unterschrift ohne deren Wissen und Einverständnis gefälscht. Die Behauptung, wonach sein Vorgehen abgesprochen gewesen sei, sei unglaubhaft; andernfalls hätte die Beschwerdegegnerin 2 das Begehren selbst unterschrieben, und es hätte kein Grund bestanden, ihre Unterschrift zu fälschen. Er habe damit zumindest einen Zeitgewinn erzielt, indem er die Leistung der Versicherung nach seinem Belieben habe gebrauchen resp. eigenständig habe wählen können, welche Schuldner (recte: Gläubiger) er zuerst befriedige.
4.1.3. Entgegen der Behauptung des Beschwerdeführers ergibt sich aus der Trennungsvereinbarung vom 5. Juni 2018 - soweit diese im Lichte von Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
|
1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
Eheschutzverfahren protokollierten Aussage aufgrund des anderen Verfahrenskontextes für "fragwürdig" hält, legt er nicht substanziiert dar, weshalb diese nicht hätte mitberücksichtigt werden dürfen. Er macht geltend, seine damalige Ehefrau sei erst nach der am 1. April 2018 erfolgten Trennung nicht mehr einverstanden gewesen; diesbezüglich führt er aber selbst aus, dass er sich bereits seit dem 26. März 2018 nicht mehr gemeinsam mit seiner damaligen Ehefrau in der ehelichen Wohnung aufhielt, auch wenn er diese erst am 1. April 2018 verliess. Er legt dar, dass das Rückkaufsbegehren für die Lebensversicherung von beiden Ehegatten unterzeichnet werden musste. Angesichts dessen darf die Vorinstanz die blosse Behauptung, er habe nicht gewusst, dass er nicht für seine (damalige) Ehefrau in deren Namen hätte unterzeichnen dürfen, als umso weniger glaubhaft werten. Im Übrigen übt sich der Beschwerdeführer in appellatorischer Kritik, auf welche nicht einzutreten ist.
4.2.
4.2.1. Im Zusammenhang mit der Auseinandersetzung vom 28. Mai 2018 rügt der Beschwerdeführer Widersprüchlichkeiten in den Aussagen und im Verhalten der Beschwerdegegnerin 2.
4.2.2. Diesbezüglich stellt die Vorinstanz fest, am 28. Mai 2018 sei es zwischen 11.30 und 13.00 Uhr zu einer Auseinandersetzung auf einem Parkplatz gekommen. Dabei sei nach dem Grundsatz "in dubio pro reo" von der Sachverhaltsversion des Beschwerdeführers auszugehen. Danach habe er anlässlich dieses Vorfalls die Beschwerdegegnerin 2 weder geschlagen noch an den Haaren gerissen und ihr auch nicht gedroht. Im Laufe der Auseinandersetzung habe sich die Beschwerdegegnerin 2 auf den Fahrersitz im Auto des Beschwerdeführers gesetzt, um diesen am Wegfahren zu hindern. Daraufhin habe er sie fest am linken Oberarm gepackt und aus dem Auto gezerrt, wobei sie leichte Prellungen am Oberarm erlitten habe.
4.2.3. Die Vorbringen des Beschwerdeführers betreffend den hier interessierenden Sachverhalt zielen ins Leere: Die Vorinstanz übernimmt seine Version und geht vom eingestandenen Sachverhalt aus. Hinzu kommt, dass der Vorwurf der Gehörsverletzung betreffend den Umstand, dass die Beschwerdegegnerin 2 gesagt habe, der Beschwerdeführer habe nie Gewalt angewendet, unberechtigt ist. Denn der Beschwerdeführer räumt (e) ein, dass es zu Handgreiflichkeiten von seiner Seite gegenüber der Beschwerdegegnerin 2 kam, indem er diese aus seinem Fahrzeug entfernte. Die Terminologie, ob er die Beschwerdegegnerin 2 aus dem Auto "zog" oder "zerrte", ist nicht entscheidend; die Intensität der Tat erschliesst sich aus der resultierenden (leichten) Verletzung.
4.3.
4.3.1. Der Beschwerdeführer hält auch die vorinstanzliche Beweiswürdigung bezüglich der Kommentare zu den Instagram-Posts zum Nachteil der Beschwerdegegnerin 2 für willkürlich.
4.3.2. Die Vorinstanz führt aus, am 26. August 2018 habe der Beschwerdeführer zwei Bilder auf dem Instagram-Profil der Beschwerdegegnerin 2 diffamierend kommentiert. Zwar hätten diese Kommentare nicht auf den Mobiltelefonen der Parteien gefunden werden können. Die Erklärung der Beschwerdegegnerin 2, sie habe die Kommentare gelöscht und den Beschwerdeführer blockiert, erscheine aufgrund des diffamierenden Inhalts verständlich. Sie habe aber Papierausdrucke von zwei Screenshots (mit den Kommentaren) vorgelegt, an deren Echtheit keine Zweifel beständen. Zwar sei eine Manipulation möglich. Indessen gebe es keinerlei Anhaltspunkte dafür, dass eine Manipulation tatsächlich erfolgt sei, oder dass die Beschwerdegegnerin 2 über das dafür nötige Know-how verfüge. Entsprechende Kenntnisse könnten nicht per se vorausgesetzt werden. Es fehlten auch Hinweise dafür, dass eine andere Person die Kommentare verfasst oder nachträglich verfälscht habe. Bezüglich des Zeitpunkts der Kommentare habe die Beschwerdegegnerin 2 bei der staatsanwaltlichen Einvernahme den 26. August 2018 angegeben, an der Berufungsverhandlung aber den auf den Papierausdrucken ersichtlichen 18. August 2018 genannt; abzustellen sei auf die Erstaussage.
4.3.3. Im hier interessierenden Kontext ist es vertretbar, dass die Vorinstanz auf die Papierausdrucke abstellt und von deren Echtheit bzw. von der Urheberschaft des Beschwerdeführers ausgeht. Die Vorinstanz schliesst dies namentlich aus dem Verhalten des Beschwerdeführers im Zusammenhang mit dem Ehekonflikt, welches sich mit den ehrverletzenden Kommentaren deckt (vgl. hierzu oben das vom Beschwerdeführer eingeräumte Verhalten im Zusammenhang mit dem Tatvorwurf vom 28. Mai 2018, wonach er seiner [damaligen] Ehefrau nachstellte, deren vermeintlichen Liebhaber zur Rede stellte und fotografierte und schliesslich auch die Ehefrau handgreiflich aus dem Auto entfernte, als sie ihn am Wegfahren hindern wollte). Es ist insoweit nicht entscheiderheblich, warum die Kommentare nicht mehr online ersichtlich sind. Jedenfalls schliesst die Beschwerdegegnerin 2 nicht aus, dass sie die Kommentare gelöscht hat, was sie durchaus vor dem Blockieren des Beschwerdeführers machen konnte. Die Vorinstanz berücksichtigt bei ihrer Beweiswürdigung auch, dass es sich um von der Beschwerdegegnerin 2 eingereichte Ausdrucke handelt, und dass die Auswertung der elektronischen Daten keine weiteren Beweise zu Tage gefördert hat. Die Terminologie, es lägen "Auszüge
aus dem Instagram-Profil" der Beschwerdegegnerin 2 vor, ist im Ergebnis vertretbar. Dass online diverse "Screenshot-tools" erhältlich sind, gibt keinen Anlass, an der Echtheit der Kommentare resp. an den Papierausdrucken zu zweifeln. Ebenso wenig kann der Beschwerdeführer aus dem Fehlen von Zeugen, der Art der Datei oder dem Umstand, dass sich C.________, welche die Dokumente für die Beschwerdegegnerin 2 ausgedruckt hat, nicht zu deren Echtheit äussern kann, etwas zu seinen Gunsten ableiten. Dies stellt die vorinstanzliche Würdigung, wonach die angeklagte Handlung mit seinem weiteren Verhalten im Ehekonflikt in Einklang steht, nicht in Frage. Die Vorinstanz stellt hierbei nicht bloss auf nach Auffassung des Beschwerdeführers "unbewiesene Tatvorwürfe", sondern auf sein eingestandenes Verhalten ab. Sie sieht schliesslich keine konkreten Hinweise für den pauschalen Vorwurf des Beschwerdeführers, die Familie C.________ könnte mit einer allfälligen Fälschung in Verbindung stehen. Diese Würdigung ist nicht zu beanstanden, nachdem der Beschwerdeführer diesbezüglich blosse Annahmen trifft und nicht ersichtlich ist, inwieweit Drittpersonen am Ausgang des ehelichen Konflikts des Beschwerdeführers und der Beschwerdegegnerin 2 ein Interesse
haben sollten.
Soweit der Beschwerdeführer geltend macht, die Vorinstanz stelle das Tatdatum mit dem 26. August willkürlich fest, ist sein Einwand ebenfalls unbehelflich. Die Beschwerdegegnerin 2 hat zwei mögliche Tatdaten genannt und sich in ihrer staatsanwaltschaftlichen Einvernahme anhand äusserer Umstände (es sei ein Sonntag gewesen) zunächst auf den 26. August 2018 und in ihrer Aussage an der Berufungsverhandlung auf den 18. August 2018 festgelegt, wie auf dem aktenkundigen Papierausdruck ersichtlich ist. Indessen erklärt die Vorinstanz die zweite Aussage mit dem Zeitablauf von eineinhalb Jahren zwischen beiden Ereignissen. Insoweit ist das Abstellen auf das erstgenannte Datum vertretbar. Dass das auf dem Ausdruck ersichtliche Datum (18. August 2018) vor dem von der Vorinstanz festgestellten Deliktsdatum (26. August 2018) liegt, macht deren Beweiswürdigung, wonach die Vorwürfe in den Gesamtkontext des Verhaltens des Beschwerdeführers passen, der die Fremdbeziehung der Beschwerdegegnerin 2 gemäss eigenem Zugeständnis deren Familie offenbaren wollte und seiner (damaligen) Ehefrau bei Treffen mit einem anderen Mann nachstellte (vgl. oben E. 4.3.3), nicht schon im Ergebnis willkürlich. Ursache für das Datum des Ausdrucks braucht nicht zwingend
eine Fälschung zu sein, wie der Beschwerdeführer annimmt. Soweit der Beschwerdeführer gegen eine Tathandlung am 18. August 2018 vorbringt, es sei "unglaubwürdig", dass ein hochgeladenes Bild bereits nach 22 Sekunden kommentiert werde, übt er sich in appellatorischer Kritik. Im hier interessierenden Punkt stand überdies die Tathandlung als solche, nicht aber der genaue Tatzeitpunkt im Vordergrund der vorinstanzlichen Beweiswürdigung. Dass überhaupt bedeutsam sein soll, ob das Datum des 18. oder des 26. August 2018 zutrifft, ist - insbesondere mit Blick auf das Anklageprinzip (vgl. Art. 9
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 9 Maxime d'accusation - 1 Une infraction ne peut faire l'objet d'un jugement que si le ministère public a déposé auprès du tribunal compétent un acte d'accusation dirigé contre une personne déterminée sur la base de faits précisément décrits. |
|
1 | Une infraction ne peut faire l'objet d'un jugement que si le ministère public a déposé auprès du tribunal compétent un acte d'accusation dirigé contre une personne déterminée sur la base de faits précisément décrits. |
2 | Sont réservées la procédure de l'ordonnance pénale et la procédure pénale en matière de contraventions. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 325 Contenu de l'acte d'accusation - 1 L'acte d'accusation désigne: |
|
1 | L'acte d'accusation désigne: |
a | le lieu et la date de son établissement; |
b | le ministère public qui en est l'auteur; |
c | le tribunal auquel il s'adresse; |
d | les noms du prévenu et de son défenseur; |
e | le nom du lésé; |
f | le plus brièvement possible, mais avec précision, les actes reprochés au prévenu, le lieu, la date et l'heure de leur commission ainsi que leurs conséquences et le mode de procéder de l'auteur; |
g | les infractions réalisées et les dispositions légales applicables de l'avis du ministère public. |
2 | Le ministère public peut présenter un acte d'accusation alternatif ou, pour le cas où ses conclusions principales seraient rejetées, un acte d'accusation subsidiaire. |
4.4.
4.4.1. Der Beschwerdeführer rügt auch die vorinstanzlichen Sachverhaltsfeststellungen im Zusammenhang mit den Telefonanrufen vom 28. August 2018 als nicht nachvollziehbar und willkürlich.
4.4.2. Die Vorinstanz stellt diesbezüglich fest, am 28. August 2018 habe der Beschwerdeführer drei Mal die Beschwerdegegnerin 2 angerufen; diese habe zwei der Anrufe entgegengenommen. Dabei habe er sie als "Hure" und "Schlampe" bezeichnet. Die Beschwerdegegnerin 2 habe sich am 7. September 2018, bei ihrer ersten polizeilichen Einvernahme dazu, gut an diese Bezeichnungen erinnern können. Sie habe auch ausgesagt, es sei ständig zu solchen Beleidigungen gekommen; es sei daher nachvollziehbar und plausibel, dass sie sich später nicht mehr an sämtliche Details der einzelnen Vorkommnisse habe erinnern können. Aufgrund der Aussagen des Beschwerdeführers könne nicht von einer Provokation oder Retorsion durch die Beschwerdegegnerin 2 ausgegangen werden, und in einem Ehestreit seien die hier interessierenden Äusserungen nicht gängig.
4.4.3. Die hier interessierenden Sachverhaltsrügen des Beschwerdeführers gehen nicht über appellatorische Kritik am angefochtenen Urteil hinaus. Das gilt insbesondere in Bezug auf seine Behauptung, die Aussagen der Beschwerdegegnerin 2 seien detailarm, sie habe im Zusammenhang mit anderen Sachverhalten die Unwahrheit gesagt oder sie sei generell nicht glaubwürdig. Namentlich bestreitet der Beschwerdeführer selbst nicht, dass es zu Streit am Telefon mit gegenseitigen Beleidigungen und Beschimpfungen kam. Darauf ist nicht einzutreten.
4.5.
4.5.1. Der Beschwerdeführer erhebt die Willkürrüge auch gegen die vorinstanzliche Beweiswürdigung hinsichtlich der Nachricht via Facebook Messenger vom 31. August 2018 an die Tante der Beschwerdegegnerin 2.
4.5.2. Die Vorinstanz legt dar, am 31. August 2018 habe der Beschwerdeführer via Facebook Messenger eine Nachricht mit Drohungen an die Tante der Beschwerdegegnerin 2 gesandt. Davon sei kein eigentlicher Screenshot gemacht worden, vielmehr sei die Nachricht vom Empfängergerät mit einem andern Gerät fotografiert und diese Fotografie ausgedruckt aktenkundig gemacht worden. Dass diese Nachricht beim Beschwerdeführer nicht habe gefunden werden können, erkläre sich dadurch, dass im Facebook Messenger der Verfasser seine bereits gesendeten Nachrichten löschen könne. Auch bei der polizeilichen Auswertung des Mobiltelefons der Beschwerdegegnerin 2 sei keine fallbezogene Konversation gefunden worden. Indessen habe sich die Beschwerdegegnerin 2 an der Befragung durch das Kantonsgericht daran erinnert, dass sie diese Nachrichten doch noch auf ihrem Mobiltelefon habe. Ihre Rechtsvertreterin habe die Nachricht während der rund einstündigen Unterbrechung der Berufungsverhandlung abfotografiert und ausgedruckt. Die an die Tante gerichtete Nachricht sei der Beschwerdegegnerin 2 von ihrem Bruder weitergeleitet worden, und die Kommunikation mit diesem sei nicht primäres Ziel der polizeilichen Auswertung des Mobiltelefons gewesen. An der Echtheit
der Nachricht beständen keine erheblichen Zweifel. Insbesondere fehlten jegliche Anhaltspunkte dafür, dass eine andere Person als der Beschwerdeführer die Nachrichten an die Tante der Beschwerdegegnerin 2 verfasste oder nachträglich verfälschte. Zudem passe deren Inhalt offenkundig zum weiteren festgestellten Verhalten des Beschwerdeführers.
Der Beschwerdeführer habe in der interessierenden Nachricht von Rache geschrieben und davon, die Beschwerdegegnerin 2 töten zu wollen. Die Drohungen seien derart gravierend gewesen, dass der Beschwerdeführer damit habe rechnen müssen, dass die Tante die Nachricht an die Beschwerdegegnerin 2 weiterleiten würde, was sie auch getan habe. Diese sei durch die bedrohlichen Worte in Angst und Schrecken versetzt worden. Der Beschwerdeführer habe diesbezüglich zweifellos vorsätzlich gehandelt.
4.5.3. Anders als der Beschwerdeführer geltend macht, geht die Vorinstanz nicht "unbestrittenermassen" davon aus, dass die Nachricht via Facebook Messenger vom 31. August 2018 vom Facebook-Account des Beschwerdeführers stammte; vielmehr zitiert sie diesen Begriff aus den Untersuchungsakten und würdigt anschliessend die Beweise plausibel. Die Vorinstanz legt insbesondere dar, unter welchen Umständen sie die Ausdrucke der fotografierten Nachricht ad hoc an der Berufungsverhandlung zu den Akten nahm (vgl. Art. 389 Abs. 3
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
|
1 | La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
2 | L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si: |
a | les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes; |
b | l'administration des preuves était incomplète; |
c | les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables. |
3 | L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours. |
Zum Fehlen der Nachricht auf dem Facebook-Account der Beschwerdegegnerin 2 gilt das oben Gesagte (vgl. vorangehende E. 4.3.3). Soweit der Beschwerdeführer bestreitet, selbst über vier verschiedene Mobiltelefonanschlüsse zu verfügen, ergibt sich nichts für ihn: Einerseits gestand er ein, Zugang zu zwei eigenen Anschlüssen und zu zwei Anschlüssen seines Arbeitgebers zu haben; anderseits geht er selber davon aus, dass eine Auswertung des Facebook-Accounts auf den unterschiedlichen Geräten die gleichen Ergebnisse zeigen würden. Damit legt er bezüglich der vorinstanzlichen Feststellung, wonach im Facebook Messenger der Verfasser seine bereits gesendeten Nachrichten löschen könne, keine Willkür dar. Mit den Vorwürfen, das Mobiltelefon der Tante sei nicht ausgewertet worden, und die Beschwerdegegnerin habe die Nachricht an C.________ weitergeleitet, weshalb sie auf ihrem Mobiltelefon resp. im E-Mail-Ordner hätte gefunden werden müssen, übt er appellatorische Kritik an der vorinstanzlichen Beweiswürdigung. Die Behauptung des Beschwerdeführers, er habe die Beschwerdegegnerin 2 lediglich angerufen, um die Ausübung des Besuchsrechts zu organisieren, steht seiner Urheberschaft an der hier interessierenden Drohnachricht nicht entgegen. Die
Vorinstanz berücksichtigt insbesondere, dass neben dem Beschwerdeführer - gemäss dessen Aussage - höchstens die Beschwerdegegnerin 2 die Login-Daten zu seinem Facebook-Account kannte, und dass Anhaltspunkte für eine Manipulation durch die Beschwerdegegnerin 2 oder Dritte fehlen. Dass sie unter diesen Umständen auf die Urheberschaft des Beschwerdeführers schliesst, ist unter dem Gesichtspunkt der Willkür vertretbar.
4.6.
4.6.1. Die WhatsApp-Nachrichten an die Schwester der Beschwerdegegnerin 2 betreffend (Vorfall vom 31. August 2018) rügt der Beschwerdeführer wiederum eine einseitige resp. willkürliche Beweiswürdigung.
4.6.2. Die Vorinstanz stellt fest, der Beschwerdeführer habe (ebenfalls) am 31. August 2018 WhatsApp-Nachrichten mit Drohungen an die Schwester der Beschwerdegegnerin 2 gesandt, wofür ausgedruckte Screenshots aktenkundig seien. Die dafür benutzte Telefonnummer gehöre dem Beschwerdeführer. Wenn er geltend mache, jemand anderes als er habe die Nachrichten geschrieben, handle es sich um eine reine Schutzbehauptung.
4.6.3. Soweit sich der Beschwerdeführer im hier interessierenden Zusammenhang auf eine polizeilich erstellte Anrufliste und ein Telefonprotokoll der Beschwerdegegnerin 2 beruft, ergibt sich nichts gegen die vorinstanzliche Beweiswürdigung. WhatsApp-Nachrichten wurden in den genannten Unterlagen von vornherein nicht erfasst. Im Übrigen nimmt der Beschwerdeführer seine eigene Beweiswürdigung vor, ohne Willkür darzutun.
4.7.
4.7.1. Zum Telefonanruf vom 31. August 2018 macht der Beschwerdeführer geltend, er habe der Beschwerdegegnerin 2 nur gesagt, dass ihr Vater ihn bedroht habe und er sich gegen allfällige Tötungsversuche von dessen Seite zur Wehr setzen würde. Er habe die Beschwerdegegnerin 2 nicht bedroht oder in Angst und Schrecken versetzt.
4.7.2. Dazu hält die Vorinstanz fest, der Beschwerdeführer habe die Beschwerdegegnerin 2 unter einer auf seinen Arbeitgeber lautenden Telefonnummer angerufen und insbesondere gesagt, "am Schluss werde Blut fliessen". Diese Aussage sei in einer Videoaufnahme dokumentiert. Die Erklärung des Beschwerdeführers (er habe lediglich Notwehr angekündigt für den Fall, dass er vom Vater der Beschwerdegegnerin 2 angegriffen werde), gehe aus dem aufgenommenen Gespräch nicht hervor. Vom Vater der Beschwerdegegnerin 2 sei zumindest nicht ausdrücklich die Rede gewesen. Selbst wenn sich die Drohung auf den Vater der Beschwerdegegnerin 2 und nicht auf sie selbst bezogen habe, sei sie dadurch in Angst und Schrecken versetzt worden, was auch die Zeugin C.________ bestätigt habe.
Hingegen habe - nach dem Grundsatz "in dubio pro reo" - der Anruf am frühen Morgen des 1. September 2018, in dem er der Beschwerdegegnerin 2 gedroht haben soll, wie "die Syrerin in Kriens zu enden", nicht stattgefunden.
4.7.3. Der Beschwerdeführer bringt mit seiner Darstellung des hier interessierenden Vorfalls (Telefonanruf vom 31. August 2018) keine substanziierte Willkürrüge hinsichtlich des ihm zur Last gelegten Verhaltens vor. Er beruft sich auf die Zeugenaussagen von C.________, die bei der Entgegennahme des Anrufs anwesend war. Aus diesen Aussagen ergibt sich indessen nicht zwingend, dass die Beschwerdegegnerin 2 lediglich über den Anruf an sich, nicht aber über dessen Inhalt erschrak, und dass sie eher verärgert war als dass sie in Angst und Schrecken versetzt wurde. Der Umstand, dass die Opferberatungsstelle die Beschwerdegegnerin 2 und die Zeugin gleichentags auf die Notwendigkeit von Beweisen hingewiesen hatte, spricht ebenfalls nicht gegen die vorinstanzliche Beweiswürdigung. Die übrigen Ausführungen des Beschwerdeführers zu diesem Vorfall sind schliesslich appellatorischer Natur.
Den Vorwurf betreffend den Anruf am frühen Morgen des 1. September 2018 lässt die Vorinstanz fallen, weshalb die entsprechenden Ausführungen des Beschwerdeführers von vornherein ohne Belang sind. Darauf ist nicht einzugehen.
4.8. Nach dem Gesagten ist die vorinstanzliche Beweiswürdigung nicht offensichtlich unrichtig resp. willkürlich. Sie bezieht sich auf zulässige Beweismittel (vgl. vorangehende E. 2.4). Eine Verletzung des Grundsatzes "in dubio pro reo" als Beweislastregel ist nicht ersichtlich, da die Vorinstanz dem Beschwerdeführer nicht vorwirft, seine Unschuld nicht bewiesen zu haben (vgl. vorangehende E. 3.3 Abs. 2). Die Vorinstanz verletzt auch nicht den Anspruch des Beschwerdeführers auf rechtliches Gehör. Sie setzt sich einlässlich mit dessen Argumenten auseinander und legt dar, weshalb sie diesen nicht folgt. Ihr Urteil genügt den gesetzlichen Begründungsanforderungen, zumal eine sachgerechte Anfechtung möglich war (vgl. BGE 142 III E. 4.3.2; Urteil 6B 146/2021 vom 14. Februar 2022 E. 1.5). Demnach beruhen die vorinstanzliche Beweiswürdigung und die Sachverhaltsfeststellungen auch nicht auf einer Rechtsverletzung. Sie bleiben für das Bundesgericht verbindlich (vgl. vorangehende E. 3.3 Abs. 1).
5.
5.1. Hinsichtlich der gefälschten Unterschrift (vgl. vorangehende E. 4.1) bestreitet der Beschwerdeführer den Tatbestand der Urkundenfälschung. Der Beschwerdegegnerin 2 sei kein Schaden entstanden und er habe sich keinen unrechtmässigen Vorteil verschafft. Angesichts der Gütermassen und Familienschulden sei ein allfälliger Vorteil auch bei der Beschwerdegegnerin 2 eingetreten; damit sei die Vorteilsabsicht widerlegt.
5.2. Die Vorinstanz bejaht eine Vorteilsabsicht und die Unrechtmässigkeit der Vorteilsverschaffung. Diesbezüglich hält sie für entscheidend, dass der Beschwerdeführer durch sein Vorgehen die entsprechende Leistung der Versicherung nach seinem eigenen Belieben gebrauchen resp. eigenständig wählen konnte, welche Gläubiger er befriedigt.
5.3. Eine Urkundenfälschung im Sinne des Art. 251
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 251 - 1. Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite, |
|
1 | Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite, |
2 | Abrogé |
Somit ist insbesondere vorausgesetzt, dass der Täter in der Absicht handelt, jemanden am Vermögen oder (alternativ) an andern Rechten zu schädigen oder (alternativ) sich oder einem andern einen unrechtmässigen Vorteil zu verschaffen. Als Vorteil genügt jegliche Besserstellung, sei sie vermögensrechtlicher oder sonstiger Natur (Urteil 6B 988/2015 vom 8. August 2016 E. 4.2 mit Hinweisen, nicht publ. in: BGE 142 IV 378). Unrechtmässig ist die Vorteilsverschaffung, wenn entweder das verfolgte Ziel oder die Mittel der Täuschung unzulässig sind (BGE 135 IV 12 E. 2.2 mit Hinweisen).
5.4. Der Beschwerdeführer verkennt, dass nach der (soeben dargelegten) Rechtsprechung neben der - verbindlich festgestellten - Vorteilsabsicht nicht zusätzlich ein (Vermögens-) Schaden oder eine Schädigungsabsicht vorliegen muss. Es steht fest, dass die Lebensversicherung auf die Beschwerdegegnerin 2 lautete und deren Einverständnis für die Auflösung erforderlich gewesen wäre (vgl. vorangehende E. 4.1.3). Unbesehen der güterrechtlichen Qualifikation des fraglichen Vermögenswertes beschnitt der Beschwerdeführer mit seinem Vorgehen rechtswidrig die vermögensrechtlichen Befugnisse seiner (damaligen) Ehefrau. Demnach verletzt die Vorinstanz kein Recht, indem sie den Tatbestand des Art. 251
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 251 - 1. Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite, |
|
1 | Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite, |
2 | Abrogé |
6.
6.1. Im Zusammenhang mit dem Tätlichkeitsvorwurf (vgl. vorangehende E. 4.2; Art. 126 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 126 - 1 Quiconque se livre sur une personne à des voies de fait qui ne causent ni lésion corporelle ni atteinte à la santé est, sur plainte, puni d'une amende. |
|
1 | Quiconque se livre sur une personne à des voies de fait qui ne causent ni lésion corporelle ni atteinte à la santé est, sur plainte, puni d'une amende. |
2 | La poursuite a lieu d'office si l'auteur agit à réitérées reprises: |
a | contre une personne, notamment un enfant, dont il a la garde ou sur laquelle il a le devoir de veiller; |
b | contre son conjoint durant le mariage ou dans l'année qui suit le divorce; |
bbis | contre son partenaire durant le partenariat enregistré ou dans l'année qui suit sa dissolution judiciaire; |
c | contre son partenaire hétérosexuel ou homosexuel pour autant qu'ils fassent ménage commun pour une durée indéterminée et que les atteintes soient commises durant cette période ou dans l'année qui suit la séparation. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 926 - 1 Le possesseur a le droit de repousser par la force tout acte d'usurpation ou de trouble. |
|
1 | Le possesseur a le droit de repousser par la force tout acte d'usurpation ou de trouble. |
2 | Il peut, lorsque la chose lui a été enlevée par violence ou clandestinement, la reprendre aussitôt, en expulsant l'usurpateur s'il s'agit d'un immeuble et, s'il s'agit d'une chose mobilière, en l'arrachant au spoliateur surpris en flagrant délit ou arrêté dans sa fuite. |
3 | Il doit s'abstenir de toutes voies de fait non justifiées par les circonstances. |
6.2. Die Vorinstanz verneint Rechtfertigungsgründe ohne nähere Begründung.
6.3. Wer handelt, wie es das Gesetz gebietet oder erlaubt, verhält sich rechtmässig, auch wenn die Tat nach diesem oder einem andern Gesetz mit Strafe bedroht ist (Art. 14
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 14 - Quiconque agit comme la loi l'ordonne ou l'autorise se comporte de manière licite, même si l'acte est punissable en vertu du présent code ou d'une autre loi. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 926 - 1 Le possesseur a le droit de repousser par la force tout acte d'usurpation ou de trouble. |
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1 | Le possesseur a le droit de repousser par la force tout acte d'usurpation ou de trouble. |
2 | Il peut, lorsque la chose lui a été enlevée par violence ou clandestinement, la reprendre aussitôt, en expulsant l'usurpateur s'il s'agit d'un immeuble et, s'il s'agit d'une chose mobilière, en l'arrachant au spoliateur surpris en flagrant délit ou arrêté dans sa fuite. |
3 | Il doit s'abstenir de toutes voies de fait non justifiées par les circonstances. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 926 - 1 Le possesseur a le droit de repousser par la force tout acte d'usurpation ou de trouble. |
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1 | Le possesseur a le droit de repousser par la force tout acte d'usurpation ou de trouble. |
2 | Il peut, lorsque la chose lui a été enlevée par violence ou clandestinement, la reprendre aussitôt, en expulsant l'usurpateur s'il s'agit d'un immeuble et, s'il s'agit d'une chose mobilière, en l'arrachant au spoliateur surpris en flagrant délit ou arrêté dans sa fuite. |
3 | Il doit s'abstenir de toutes voies de fait non justifiées par les circonstances. |
Wird jemand ohne Recht angegriffen oder unmittelbar mit einem Angriff bedroht, so ist der Angegriffene und jeder andere berechtigt, den Angriff in einer den Umständen angemessenen Weise abzuwehren (Art. 15
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 15 - Quiconque, de manière contraire au droit, est attaqué ou menacé d'une attaque imminente a le droit de repousser l'attaque par des moyens proportionnés aux circonstances; le même droit appartient aux tiers. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 181 - Quiconque, en usant de violence envers une personne ou en la menaçant d'un dommage sérieux, ou en l'entravant de quelque autre manière dans sa liberté d'action, l'oblige à faire, à ne pas faire ou à laisser faire un acte est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
6.4. Soweit sich der Beschwerdeführer auf den Besitzesschutz beruft, substanziiert er nicht, dass er zum Zeitpunkt der Tat (28. Mai 2018) alleiniger Besitzer "seines" Fahrzeugs gewesen sein soll. Die gerichtliche Vereinbarung (vgl. vorangehende E. 4.1.3), wonach dem Beschwerdeführer das von ihm benutzte Auto für die Dauer der Trennung zu Nutzen und Gebrauch zugewiesen wurde, wurde denn auch erst am 5. Juni 2018 getroffen. Damit ist eine verbotene Eigenmacht der Beschwerdegegnerin 2 im Sinne von Art. 926 Abs. 1
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 926 - 1 Le possesseur a le droit de repousser par la force tout acte d'usurpation ou de trouble. |
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1 | Le possesseur a le droit de repousser par la force tout acte d'usurpation ou de trouble. |
2 | Il peut, lorsque la chose lui a été enlevée par violence ou clandestinement, la reprendre aussitôt, en expulsant l'usurpateur s'il s'agit d'un immeuble et, s'il s'agit d'une chose mobilière, en l'arrachant au spoliateur surpris en flagrant délit ou arrêté dans sa fuite. |
3 | Il doit s'abstenir de toutes voies de fait non justifiées par les circonstances. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 181 - Quiconque, en usant de violence envers une personne ou en la menaçant d'un dommage sérieux, ou en l'entravant de quelque autre manière dans sa liberté d'action, l'oblige à faire, à ne pas faire ou à laisser faire un acte est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 14 - Quiconque agit comme la loi l'ordonne ou l'autorise se comporte de manière licite, même si l'acte est punissable en vertu du présent code ou d'une autre loi. |
Enttäuschung und Wut" war, oder ob es dem Beschwerdeführer vielmehr darum ging, zur Arbeit fahren zu können. Die Vorinstanz verneint zu Recht einen Rechtfertigungsgrund.
7.
7.1. Schliesslich macht der Beschwerdeführer geltend, die Vorinstanz gehe davon aus, dass er die Drohungen nicht der Beschwerdegegnerin 2, sondern ihrer Tante, ihrer Schwester und ihrem Vater schrieb, weil er nicht wollte, dass man Beweise gegen ihn habe. Dies würde aber bedeuten, dass er gerade nicht in Kauf genommen habe, dass die Beschwerdegegnerin 2 von den Drohungen erfahre. Damit entfalle der (subjektive) Tatbestand.
7.2. Die Vorinstanz bejaht den Vorsatz hinsichtlich des Tatbestandes von Art. 180 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 180 - 1 Quiconque, par une menace grave, alarme ou effraie une personne est, sur plainte, puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire255.256 |
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1 | Quiconque, par une menace grave, alarme ou effraie une personne est, sur plainte, puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire255.256 |
2 | La poursuite a lieu d'office:257 |
a | si l'auteur est le conjoint de la victime et que la menace a été commise durant le mariage ou dans l'année qui a suivi le divorce; |
abis | si l'auteur est le partenaire de la victime et que la menace a été commise durant le partenariat enregistré ou dans l'année qui a suivi sa dissolution judiciaire; |
b | si l'auteur est le partenaire hétérosexuel ou homosexuel de la victime pour autant qu'ils fassent ménage commun pour une durée indéterminée et que la menace ait été commise durant cette période ou dans l'année qui a suivi la séparation.259 |
7.3. Gemäss Art. 180 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 180 - 1 Quiconque, par une menace grave, alarme ou effraie une personne est, sur plainte, puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire255.256 |
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1 | Quiconque, par une menace grave, alarme ou effraie une personne est, sur plainte, puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire255.256 |
2 | La poursuite a lieu d'office:257 |
a | si l'auteur est le conjoint de la victime et que la menace a été commise durant le mariage ou dans l'année qui a suivi le divorce; |
abis | si l'auteur est le partenaire de la victime et que la menace a été commise durant le partenariat enregistré ou dans l'année qui a suivi sa dissolution judiciaire; |
b | si l'auteur est le partenaire hétérosexuel ou homosexuel de la victime pour autant qu'ils fassent ménage commun pour une durée indéterminée et que la menace ait été commise durant cette période ou dans l'année qui a suivi la séparation.259 |
7.4. Aus welchen Gründen der Beschwerdeführer manche Drohungen nicht direkt an die Beschwerdegegnerin 2, sondern an deren Tante und Schwester richtete, kann offenbleiben. Auch wenn zutrifft, dass er mit seinem Vorgehen belastende Spuren vermeiden oder verwischen wollte, musste und wollte er davon ausgehen, dass die Beschwerdegegnerin 2 von den Drohungen Kenntnis erhielt, wie die Vorinstanz verbindlich feststellt. Damit ist auch Art. 180
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 180 - 1 Quiconque, par une menace grave, alarme ou effraie une personne est, sur plainte, puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire255.256 |
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1 | Quiconque, par une menace grave, alarme ou effraie une personne est, sur plainte, puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire255.256 |
2 | La poursuite a lieu d'office:257 |
a | si l'auteur est le conjoint de la victime et que la menace a été commise durant le mariage ou dans l'année qui a suivi le divorce; |
abis | si l'auteur est le partenaire de la victime et que la menace a été commise durant le partenariat enregistré ou dans l'année qui a suivi sa dissolution judiciaire; |
b | si l'auteur est le partenaire hétérosexuel ou homosexuel de la victime pour autant qu'ils fassent ménage commun pour une durée indéterminée et que la menace ait été commise durant cette période ou dans l'année qui a suivi la séparation.259 |
8.
Die Beschwerde ist abzuweisen, soweit darauf eingetreten werden kann. Die Gerichtskosten sind dem Beschwerdeführer aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
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1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
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1 | Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
2 | L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. |
3 | Son montant est fixé en règle générale: |
a | entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations. |
4 | Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent: |
a | des prestations d'assurance sociale; |
b | des discriminations à raison du sexe; |
c | des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs; |
d | des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24. |
5 | Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
2.
Das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege wird abgewiesen.
3.
Die Gerichtskosten von Fr. 1'200.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
4.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Kantonsgericht Luzern, 2. Abteilung, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 2. August 2022
Im Namen der Strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Das präsidierende Mitglied: Muschietti
Die Gerichtsschreiberin: Dormann