plutòt pour qu'il soit satisfait aux exigences de la loi que le mot
cheque figure sur le titre à une place d'une maniere et en des caractères
tele que l'on ne puisse mettre en deute qu'il s'agisse bien là de la
qualificatio-n juridique de ce titre, c'est à-djre d'une énonciation
destinée à donner à, ce titre le sceau nécessaire pour que l'on puisse
voir immédiatement en lui le cheque dont la nature et les effets sont
réglés aux art. 830 et suiv. CO.
VLLa question se resume ainsi, en l'espèce, à savoir si l'énonciation
inscrite sur le titre dont la recourante cherche à se prévaloir, et dans
laquelle senle figure le mot cheque , était destinée et était aussi de
nature à donner à ce titre la qualification de chéque. Cette question
devant les autoritesss de surveillance en matière de poursuite et de
faillite, et sous réserve de l'appréciation definitive du juge, ne peut
etre résolne que négativement. L'énonciation susrappelée ne sepropose
nullement, en effet, de donner au titre sa, qualification juridique, elle
n'a d'autre but que d'attirer l'attention decelui qui veut faire usage
du formulaire imprime dans le corpsduquel elle se trouve, sur la maniere
en laquelle la clause : Payez à........... peut etre libellée, à ordre
ou an porteur, car c'est évidemment pour cette raison que cette enuncia-
tion se trouve comme accolée à la ligne en pointillé tracée a
la. suite des mots Payez à .
Si, faisant abstraction du but de cette enonciation ou de cette
recommendation, l'on n'en considère plus que la nature, l'on doit
reconnaître que celle ci n'est pas conforme non plus
à ce qu'exige l'art. 830 ehifi'. 1 CO; cette énonciation est
imprimée tout entière en caractères si minuscules qu'elle peut échapper
à l'attention de celui-là. mème qui remplira le formulaire sur lequel
elle figure, et qu'elle peut échapper davantage encore à l'attention des
endosseurs, d'autant plus qu'il faut tenir compte de ce qu'il est d'usage
en matière de commerce et de banque, d'apposer sur tout titre endossable,
et ce au moyen de timbres humides, le nom ou la raison de commerce de
ceux entre les meins de qui ce titre est appelé à passer, et de ee qu'une
énonciation pareillement microsco--und Konknrskammer. N° 108. 717
pique peut se trouver à. un moment donné, comme c'est préoisément le cas
en l'espèce, recouverte par un timbre qui ne permet plus de la déchiffrer
qu'avec la plus grande peine et par un procede de reconstitution plutöt
que par le moyen de la lecture ou de la vue. Tout cela s'explique par
le fait que le formulaire dont s'agit provient d'une banque francaise
et a été établi pour etre utilisé en France où la loi n'a pas les mémes
exigenees que la loi suisse et ne prescrit point, comme celle-ci, que
le cheque pour pouvoir etre considérési comme tel, doit renfermer au
nombre de ses énonciations, essentîelles la qualification de cheque .
Des considérations qui précèdent, il résulte que c'est à bon droit que
les autorités cantonales inférieure et supérieure se sont refnsées à
voir dans le titre dont se prevent la resourante un chéque au sens du
droit fédéral. Et le recours doit, conséquemment, etre écarté.
Par ces motifs, La Chambre des Poursuites et des Faillites prononoe:
Le recours est e'oarté.
106. giniscfieid vom 2. Oktober 1906 in Sachen Gebtüder Arnold & gie.
Erföschen der Betreibung infolge Zahlung der inBetreibamg gesetzten
Forderung f? Wirkung einer ausserhalb der Betreibung geleisteéen
Zahlung. Mangel der Disziplinarbefugnis der Schuldbetrssibungs-und
Konkurskammer über kantonale Betreibungséeamte.
I. Die Rekurrenten Gebrüder Arnold & Cie. hatten beim Betreibungsamt
Oberägeri gegen Jofef Zion, Fuhrmann in Weissenbach für eine auf
vier Wechsel gestützte Forderung von 192 Fr. 60 (its. samt Zins die
Betreibung Nr. 87 angehoben. Nachdem diese Betreibung bis zur Verwertung
fortgeschritten war, erteilte das Betreibungsamt dem Schuldner am
2. November 1905 eine
718 C. Entscheidungen der Schuldbetreibungs-
Aufschubsbewilligung nach Art.123
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP) LP Art. 123 - 1 Si le débiteur rend vraisemblable qu'il peut acquitter sa dette par acomptes, et s'il s'engage à verser à l'office des poursuites des acomptes réguliers et appropriés, le préposé peut renvoyer la réalisation de douze mois au plus, une fois le premier versement effectué.248 |
|
1 | Si le débiteur rend vraisemblable qu'il peut acquitter sa dette par acomptes, et s'il s'engage à verser à l'office des poursuites des acomptes réguliers et appropriés, le préposé peut renvoyer la réalisation de douze mois au plus, une fois le premier versement effectué.248 |
2 | Dans les poursuites requises en raison de créances colloquées en première classe (art. 219, al. 4), la réalisation peut être renvoyée de six mois au plus.249 |
3 | Le préposé fixe le montant des acomptes et la date des versements; ce faisant, il tient compte tant de la situation du débiteur que de celle du créancier. |
4 | Le sursis est prolongé, le cas échéant, de la durée de la suspension des poursuites. Les acomptes et leur échéance sont alors fixés à nouveau à l'expiration de la suspension.250 |
5 | Le préposé modifie sa décision d'office, ou à la demande du créancier ou du débiteur, dans la mesure où les circonstances l'exigent. Le sursis est caduc de plein droit lorsqu'un acompte n'est pas versé à temps.251 |
Gläubigerdoppel bei den Akten Liegi. Darin erklärt das Amt, dass
der Schuldner am gleichen Tage eine erste Abschlagszahlung von 50
Fr. geleistet habe, und legt ihm auf, bis 1. Dezember 1905 und 1. Januar
1908 je weitere 50 Fr. und bis zum 1. Februar 1906 die Schlusszahlung
von 42 Fr. 60 E13. nebst Zins und Kosten zu leisten.
Die Zahlung vom 2. November 1905 sandte das Amt durch Postmandat den
Gläubigern ein. Der für die Adressaten bestimmte Coupon des Mandates trägt
den Poststempel des 5. November und enthält auf der Rückseite die vom
Betreibungsbeamten geschriebenen Worte: I. Raiazahlung aus der Betreibung
Nr. 87 Jten. Gefl. Quittung. Durch einen bei den Akten liegenden Brief
vom 6. November erklärten die Gläubiger dem Amte, dass sie sich zum
Empfange seiner Anschaffung vom 5. dies von 50 Fr. als 11. Ratazahlung
aus der Betreibung Nr. 7 Jten bekennen. Der zweite Strich der Ziffer
II scheint aber nachträglich auf dem Briefe angebracht worden zu sein,
und die Presskopie des Briefes in dem vor Bundesgericht zu den Akten
erhobenen Kopierbuch der Gläubiger lautet denn auch auf 1. Ratenzahlung.
Nach übereinstimmender Angabe des Betreibungsamtes und der Gläubiger,
Gebrüder Arnold &Cie., erhielten diese vom Amte noch zwei weitere
Ratenzahlungen von je 50 Fr. zugefandt und zwar am 19. Januar und
am 1. März 1906. Die betreffenden Mandatcoupons, die den Stempel des
Postamtes Oberägeri vom 18. Januar bezw. 28. Februar 1906 tragen, sind
ebenfalls bei den Akten.
II. Am 29. März 1906 ersuchten die Gläubiger das Betreibungsath dem
Schuldner unverzüglich die Pfander (zur Durchführung der Verwertung)
wegzunehmen, da er den Rest der Forderung trotz vieler Mahnungen nicht
bezahlt habe.
Als das Amt diesem Begehren nicht entsprach, führten sie am 3. Mai 1906 im
Sinne desselben Beschwerde Dabei bemerkten sie in der Beschwerdeschrift:
Unterm 28. September a. p. hätten sie die Verwertung verlangt. Zahlungen
seien eingegangen: am 1. September 1905 Fr. 50, am 19. Januar 1906 50
Fr. und am 1. März 1906 Fr. 50.und Konkurskamrner. N° 106. 719
III. Das Betreibungsamt machte in seiner Vernehmlassung geltend:
Es seien in Wirklichkeit vier Ratenzahlnngen von je 50 Fr. und nicht
nur drei, wie die Beschwerde angebe, erfolgt, nämlich am 1. September
1905, T)./6. November 1905, 19. Januar 1906 und 1. März 1906. Die
Forderung samt Zins und Kosten betrage 199 Fr. 20 Cts. Ziehe man
davon ab die von Gläubiger selbst anerkannten und vom Betreibungsamt
ausgewiesenen geleisteten Zahlungen von 200 Fr., so ergebe sich, dass die
Beschwerdeführer dem Betreibungsamte noch 80 Ets. zurückzuverguten halten.
Seiner Vernehmlassung legte der Betreibungsbeamte den oben erwähnten
Brief der Beschwerdeführer vom 6. November 1905 Bei.
Zur Gegenäusserung auf diese Vernehmlassung eingeladen, bestritten die
Beschwerdeführer die Richtigkeit der Rechnungsaufstellung des Amtes. Sie
berieer sich dabei auf die Aufschub-Zbewilligung vom 2. November 1905,
auf die Mandateoupons vom 5. November 1905, 18. Januar und 28. Februar
1906 und auf einen Auszug aus ihren Büchern und machten geltend, dass der
Betreibungsbeamte sich selbst schlage, wenn er ihren Brief vom 6. November
1905 ber Aufsichtsbehörde im Original unverändert zur Einsicht vorlege.
Die Aufsichtsbehörde richtete darauf an das Betreibungsamt die Anfrage,
ob es in der Lage sei, über die von ihm ausgegebeneRatenzahlung vom
1. September nähere Ausweise zu leisten, wie eine Poftquittung oder
eine Quittung der Gläubiger Gebrüder Arnold & (fie. Hierüber erklärte
der Betreibungsbeamte unter zwei Malen folgendes: Wie der von ihm
einvernommene Schuldner Jten angebe, sei er anfangs September 1905 bei
den Gebrüdern Arnold gewesen und habe er bei diesem Anlasse à conta 50 Fr.
bezahlt, vermifse er aber gegenwärtig die Quittung dafür. Durch Postmandat
sei also die fragliche Zahlung nicht gemacht wurden. Das Betreibungsaint
habe die drei Zahlungen gemacht. Da dieBeschwerdesührer selbst angeben,
am 1. September 1905 Fr. 50 erhalten zu haben, so sei der Angabe Jtens
zu glauben
IV. Die kantonale Aufsichtsbehörde wies die Beschwerde am 27. Juni 1906
ab, indem sie ausführte: Das Betreibnngsamt habe, wie zugestanden und
ausgewiesen sei, nur drei Zahlungen
720 C, Entscheidungen der Schuldbetrcihungs--
erhalten und sie am 5. November 1905, 18. Januar 1906 und 28. Februar 1906
an die Gläubiger geschickt. Ob die (weitere) vom Schuldner behauptete und
von den Gläubigern in ihrer Beschwerdeschrift zugestandene Zahlung vom
1. September 1905 materiell rechtlich begründet sei, ob hier auf der einen
oder andern Seite ein Irrtum voi,-liege, könne im Beschwerdeverfahren
nicht festgestellt werden, sondern sei eine von den Gerichten zu
entscheidende Frage. Vom formalen Standpunkte aus müsse die Betreibung
als erledigt betrachtet werden.
V. Diesen Entscheid haben die Gläubiger Gebrüder Arnoldäz Cie. innert
Frist an das Bundesgericht weitergezogen, unter Erneuerung ihrer
Beschwerde und indem sie auch an einem nachträglich vor kantonaler Instanz
gestellten Begehren um disziplinarische Büssung des Betreibungsbeamten
festhalten.
Die Vorinsianz hat sich im Sinne der Abweisung des Rekurses vernehmen
lassen.
Die Schuldbetreibungs und Konkurskammer zieht in Erwägung:
Jn Frage steht, ob die Betreibung der Rekurrenten als infolge Zahlung
des Schuldners gänzlich erloschen zu gelten habe oder ob sie nicht
für einen Restbetrag der betriebenen Forderung (samt Zins und Kosten)
weiterbestehe. Dabei streiten das Betreibungsami und die Rekurrenten
darüber, ob die betriebene Forderung für jenen Restbetrag deshalb getilgt
sei oder nicht, weil, wie das Amt behauptet, die Rekurrenten verneinen,
diese am 1. September 1905 eine Ratazahlung von 50 Fr. erhalten hätten. Es
ergibtsich nun aus den Erklärungen des Amtes selbst, dass die fragliche
Zahlung nicht im Betreibungsverfahren erfolgt ware, nicht durch
Vermittlung des Amtes nach am. 12 SchKG, sondern dass der ss
Schuldner sie ausserhalb des Verfahrens den ihn betreibenden Rekurrenten
unmittelbar geleistet hatte. Insoweit konnte sie aber für sich allein
nicht _ wie eine an das Amt gemachte Zahlung die Wirkung haben, die
Vetreibung hinsichtlich des (angeblich) bezahlten Betrages aufzuheben,
sondern bedurfte es zur Aufhebung, solange die Rekurrenten sich ihr
wider-sehen, eines sie aussprechenden richterlichen Aktes (vergl. Art.86
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP) LP Art. 86 - 1 Celui qui a payé une somme qu'il ne devait pas, ensuite de poursuites restées sans opposition ou d'un jugement prononçant la mainlevée, a le droit de la répéter dans l'année en intentant une action en justice.173 |
|
1 | Celui qui a payé une somme qu'il ne devait pas, ensuite de poursuites restées sans opposition ou d'un jugement prononçant la mainlevée, a le droit de la répéter dans l'année en intentant une action en justice.173 |
2 | L'action est introduite au for de la poursuite ou à celui du défendeur, selon le choix du demandeur. |
3 | En dérogation à l'art. 63 du code des obligations (CO)174, la preuve que la somme n'était pas due est la seule qui incombe au demandeur.175 |
SchKG und Archiv Bd. 4 Nr. 78).und Konkurskammer. N° 1064 721
Nun ist es freilich möglich, dass der betreibende Gläubiger eine derartige
ausserhalb des Betreibungsverfahrens geleistete Zahlung nachher im
Verfahren sei es vor dem Betreibuugsamte, sei
es vor den Aufsichtsbehörden als gültig erfolgt anerkennt und
dass dann in einer solchen Anerkennung eine ohne weiteres wirksame
Zustimmung zur Aufhebung der Vetreibung zu erblicken ist, durch die der
Gläubiger seine gesetzliche Befugnis preisgibt, die Zulässigkeit der
Aufhebung vor dem Richter zu bestreiten.
Zu Unrecht würde man aber hier eine Anerkennungserklärung mit dieser
Wirkung darin sehen, dass die Rekurrenten in ihrer Beschwerde
an die Vorinstanz unter den drei Zahlung-Im deren Empfang sie
zugeben, eine solche vom 1. September 1905 nennen. Wenn sie die
Daten dieser drei Zahlungen angeben, so geschieht das lediglich zur
Beschwerdesubstanzierung, um den Sachverhalt näher darzustellen, der
ihrem Begehren, die Betreibung für die noch unbezahlte Forderungsquote
weiterzuführen, zu Grunde liegt. Dagegen hat die Erwähnung dieser
Daten nicht die Bedeutung einer verbindlichen Anerkennung, derart,
dass sie dabei behaftet werden könnten, gerade an den genannten Tagen
Zahlungen erhalten zu haben, und dass demnach, wenn eine Zahlung als
an einem andern Tage erfolgt feststeht, es ihnen nun benommen ware,
vor den Betreibungsbehörden die Jdentität dieser Zahlung mit einer
der schon von ihnen angeführten, aber unrichtig datierten darzutun
und damit an ihrem Beschwerdebegehren (dessen Schlüssigkeit den
Empfang nur dreier Zahlungen voraussetzt) festzuhalten. Und müsste man
übrigens die Beschwerdebegründung im fraglichen Punkte als wirkliche
Anerkennungserklärung im erörterten Sinne
gelten lassen, so wäre doch jedenfalls die letztere wegen Irrtums
für die Rekurrenten nicht verbindlich. Aus den Akten erhellt nämlich
hinreichend, dass die Rekurrenten wie sie vor Bundesgericht noch besonders
geltend machen und wie auch der Vorentscheid als möglich annimmt lediglich
aus Ver-sehen in der Beschwerdeschrift der Ratenzahlung, die sie als
zuerftgeleistete nennen, als Datum das des 1. September statt das des
5. November 1905 beigefügt haben: Sie erwähnen ja unmittelbar vor-
her als Tag des Verwertungsbegehrens den 28. September 1905,
und können also, indem sie daran auschliessend die bisher nach
722 (3. Entscheidungen der Schuldbetreihungs--
Art. 123 gemachten Abschlagszahlungen angeben wollen, nur spätere
Daten als das soeben genannte im Sinne gehabt haben. Dazu kommt, dass
nach dem 28. September wirklich noch eine weitere Ratenzahlung, die
sie unerwähnt gelassen, deren Empfang sie dann aber sofort zugegeben
haben, erfolgt ist und dass sie bei Abfassung der Beschwerde im Besitze
einer Ausfertigung der Aufschubsbewilligung vom 2. November Und des
Mandatcoupons vom 5. November 1905 waren, worin übereinstimmend die
Zahlung vom 2/5. November als erste Ratazahlung genannt wird. All das
berechtigt zu der Annahme, dass die Rekurrenten in ihrerBeschwerdeschrift
auf drei nach dem 28. September erfolgte Zahlungen nämlich die durch das
Betreibungsamt vermittelten vom 2/5. November 1905, 18./19. Januar und
28. Februar bis 1. März 1906 sich berufen und hierauf ihre Beschwerde
gründen wollen.
Demzufolge haben sie vor den Betreibnngsbehörden niemals eine Erklärung
mit der Rechtswirkung abgegeben, wonach auch für den Restbetrag der
Forderung, über dessen Bezahlung Streit obwaltet, die Aufhebung der
Betreibung zulässig wäre und ist also ihr Begehren um Fortsetzung
der letztern zu schützen. Damit bleibt es dem betriebenen Schuldner
unbenommen, in der ihm gutscheinenden Weise zn versuchen, ob er für jenen,
nach seiner Behauptung ebenfalls bezahlten Restbetrag die richterliche
Aufhebung der Betreibung erlangen könne.
Auf den Antrag, den Betreibungsbeamten von Oberägeri zubüssen, kann
mangels Kompetenz nicht eingetreten werden, da derv genannte Beamte der
Disziplinargewalt des Bundesgerichts nicht untersteht.
Demnach hat die Schuldbetreibungs und Konkurskammer
erkannt:
Der Rekurs wird dahin begründet erklärt, dass der Vorentscheids
aufgehoben und das Betreibungsamt angewiesen wird, dem Begehren
der Rekurrenten betreffend Weiterführung der Betreibung Nr. 87 zu
entsprechen. und Konkurssiammer. N° N?. 723
107. Entschetd vom 2. Oktober 1906 in Sachen Ein-than Maths Höhne.
Unpfänktbapes Einkommen, Art. 93
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP) LP Art. 93 - 1 Tous les revenus du travail, les usufruits et leurs produits, les rentes viagères, de même que les contributions d'entretien, les pensions et prestations de toutes sortes qui sont destinés à couvrir une perte de gain ou une prétention découlant du droit d'entretien, en particulier les rentes et les indemnités en capital qui ne sont pas insaisissables en vertu de l'art. 92, peuvent être saisis, déduction faite de ce que le préposé estime indispensable au débiteur et à sa famille. |
|
1 | Tous les revenus du travail, les usufruits et leurs produits, les rentes viagères, de même que les contributions d'entretien, les pensions et prestations de toutes sortes qui sont destinés à couvrir une perte de gain ou une prétention découlant du droit d'entretien, en particulier les rentes et les indemnités en capital qui ne sont pas insaisissables en vertu de l'art. 92, peuvent être saisis, déduction faite de ce que le préposé estime indispensable au débiteur et à sa famille. |
2 | Ces revenus peuvent être saisis pour un an au plus à compter de l'exécution de la saisie. Si plusieurs créanciers participent à la saisie, le délai court à compter du jour de l'exécution de la première saisie effectuée à la requête d'un créancier de la série en cause (art. 110 et 111). |
3 | Si, durant ce délai, l'office a connaissance d'une modification déterminante pour le montant de la saisie, il adapte l'ampleur de la saisie aux nouvelles circonstances. |
4 | Sur demande du débiteur, l'office ordonne à l'employeur de ce dernier de verser en plus à l'office, pour la durée de la procédure de saisie des revenus, le montant nécessaire au paiement des créances en cours au titre des primes et des participations aux coûts de l'assurance obligatoire des soins, pour autant que ces primes et ces participations aux coûts fassent partie du minimum vital du débiteur. L'office utilise ce montant pour régler directement à l'assureur les créances de primes et de participations aux coûts en cours.208 |
der Parteien, zu deren Berücksichtigung die kantonale Instanz keine
Gelegenheit gegeben hatte, durch, die Schuldbetreibungs und Konkurskammer.
I. Die Reknrrenten Nathan Blochs Söhne erwirkten am 9.Juli 1906 von der
Arrestbehörde Baselstadt für eine Forderung von 2934 Fr. 80 (Sis. gegen
den Rekursbeklagten A. Kaiser-Mbsch einen Arrestbefehl, den der Weibel
des Zivilgerichtes Baselftadt am 11. Juli vollzog, indem er die Tantieme
des Arrestschuldners pro 1905 und 1906 beim Allgemeinen Konsumverein
Basel im Schätzungswerte von zusammen 200 Fr. mit Arrest belegte.
Jnsolge Beschwerde des Schuldners hob die kantonale Aufsichtsbehörde
diese Arrestnahme am 28.Juli1906 wieder auf. Sie stützte sich hierbei auf
einen Bericht des Betreibungsanites, der dahin lanker: Die achtköpsige
Familie des Beschwerdeführers habe ein Existenzminimum von 200 Fr. zu
beanspruchen Der Beschwerdeführer beziehe beim Allgemeinen Konsumverein
einen Monatsgehalt von 168 Fr. 50 Cis. (wofür eine Bescheinigung
desBereins vom 24. Juli 1906 bei den Akten liegt). Die verarmstierte
Tantieme pro 1905 falle ausser Betracht, da sie vier Wochen vor der
Arrestlegung erhoben worden sei. Die allein noch m Frage stehende
Tantieme pro 1906 werde voraussichtlich 140 Fr., oder 12 Fr. per Monat
nicht übersteigen, so dass dasGesamteinkommen höchstens 180 Fr. per
Monat betrage und alsodas Existenzminimum nicht erreiche.
II. Die Arrestgläubiger, Nathan Blochs Söhne, haben denEntscheid
der kantonalen Aufsichtsbehörde rechtzeitig an das BunPesgericht
Weitergezogerr. Sie bemerken, dass sie vor der Vormstanz keine
Gelegenheit zur Vernehmtassung gehabt hätten, und machen folgendes
geltend: Die fragliche Tantieme habe den Charakter einer Gratifikation,
einer freiwilligen Zuwendung des Arbeit-
gebers und gehöre also nicht zu dem bloss relativ pfandbarerr
Lohnguthaben ze. des Art. 93
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP) LP Art. 93 - 1 Tous les revenus du travail, les usufruits et leurs produits, les rentes viagères, de même que les contributions d'entretien, les pensions et prestations de toutes sortes qui sont destinés à couvrir une perte de gain ou une prétention découlant du droit d'entretien, en particulier les rentes et les indemnités en capital qui ne sont pas insaisissables en vertu de l'art. 92, peuvent être saisis, déduction faite de ce que le préposé estime indispensable au débiteur et à sa famille. |
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1 | Tous les revenus du travail, les usufruits et leurs produits, les rentes viagères, de même que les contributions d'entretien, les pensions et prestations de toutes sortes qui sont destinés à couvrir une perte de gain ou une prétention découlant du droit d'entretien, en particulier les rentes et les indemnités en capital qui ne sont pas insaisissables en vertu de l'art. 92, peuvent être saisis, déduction faite de ce que le préposé estime indispensable au débiteur et à sa famille. |
2 | Ces revenus peuvent être saisis pour un an au plus à compter de l'exécution de la saisie. Si plusieurs créanciers participent à la saisie, le délai court à compter du jour de l'exécution de la première saisie effectuée à la requête d'un créancier de la série en cause (art. 110 et 111). |
3 | Si, durant ce délai, l'office a connaissance d'une modification déterminante pour le montant de la saisie, il adapte l'ampleur de la saisie aux nouvelles circonstances. |
4 | Sur demande du débiteur, l'office ordonne à l'employeur de ce dernier de verser en plus à l'office, pour la durée de la procédure de saisie des revenus, le montant nécessaire au paiement des créances en cours au titre des primes et des participations aux coûts de l'assurance obligatoire des soins, pour autant que ces primes et ces participations aux coûts fassent partie du minimum vital du débiteur. L'office utilise ce montant pour régler directement à l'assureur les créances de primes et de participations aux coûts en cours.208 |
Grundlage des Vorentscheides als unrichtig bestritten: