Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
1C 655/2019
Urteil vom 26. Oktober 2020
I. öffentlich-rechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Chaix, Präsident,
Bundesrichter Kneubühler, Bundesrichterin Jametti,
Gerichtsschreiber Gelzer.
Verfahrensbeteiligte
A. A.________ und B. A.________,
Beschwerdeführer,
gegen
C. B.________ und D. B.________,
Beschwerdegegner,
Bauausschuss der Stadt Winterthur,
Pionierstrasse 7, 8403 Winterthur,
vertreten durch die Stadt Winterthur,
Baupolizeiamt, Rechtsdienst,
Pionierstrasse 7, 8403 Winterthur,
Gebäudeversicherung Kanton Zürich,
Brandschutz, Thurgauerstrasse 56,
Postfach, 8050 Zürich.
Gegenstand
Baubewilligung,
Beschwerde gegen das Urteil des Verwaltungsgerichts
des Kantons Zürich, 1. Abteilung, 1. Kammer,
vom 23. Oktober 2019 (VB.2019.00087).
Sachverhalt:
A.
C. B.________ und D. B.________ (nachstehend: Bauherren) sind Eigentümer des der Wohnzone W2/1,2 zugeteilten und mit einem Wohnhaus überbauten Grundstücks Kat.-Nr. ST1471 an der Sonnenbergstrasse "..." in Winterthur. Die östlich daran angrenzende Parzelle Kat.-Nr. ST1856 steht im Eigentum von A. A.________ und B. A.________ (nachstehend: Nachbarn).
B.
Mit Beschluss vom 20. Juni 2018 erteilte der Bauausschuss Winterthur den Bauherren die Bewilligung, auf ihrem Grundstück einen knapp 14 m langen Pavillon, der als Büro und Gästehaus genutzt werden soll, eine ca. 11 m lange Remise als Unterstand für Velos und Gartenmöbel und einen neuen Besucherparkplatz zu erstellen.
Den dagegen von den Nachbarn erhobenen Rekurs hiess das Baurekursgericht des Kantons Zürich nach der Durchführung eines Augenscheins mit Entscheid vom 10. Januar 2019 insoweit teilweise gut, als es die den Bauherren erteilte Baubewilligung namentlich mit der Auflage ergänzte, die Garage sei als Einzelparkplatzgarage zu nutzen und mit Ausnahme des Flächenbereichs entlang der westlichen Grenze zum Grundstück Kat.-Nr. ST1161 sei auf eine Parkierung im Einfahrtsbereich der Garage zu verzichten. Im Übrigen wies es den Rekurs der Nachbarn ab, soweit es darauf eintrat. Die von diesen dagegen eingereichte Beschwerde wies das Verwaltungsgericht des Kantons Zürich mit Urteil vom 23. Oktober 2019 ab.
C.
Die Nachbarn erheben Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten mit den sinngemässen Anträgen, das Urteil des Verwaltungsgerichts vom 23. Oktober 2019 aufzuheben und den Bauherren die verlangte Baubewilligung zu verweigern.
Das Verwaltungsgericht und das Baupolizeiamt der Stadt Winterthur beantragen, die Beschwerde abzuweisen, soweit darauf einzutreten sei. Die Bauherren (Beschwerdegegner) schliessen auf Abweisung der Beschwerde. Die Gebäudeversicherung Kanton Zürich, Abteilung Brandschutz, verzichtet auf eine Vernehmlassung.
Die Beschwerdeführer halten in ihrer Replik an ihren Beschwerdeanträgen fest und reichten mit Eingabe vom 8. Oktober 2020 Unterlagen betreffend eine nachträgliche Baubewilligung ein.
Erwägungen:
1.
1.1. Gegen den kantonal letztinstanzlichen Endentscheid der Vorinstanz im Bereich des Baurechts steht die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten grundsätzlich offen (Art. 82 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours: |
|
a | contre les décisions rendues dans des causes de droit public; |
b | contre les actes normatifs cantonaux; |
c | qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 89 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque: |
|
1 | A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire; |
b | est particulièrement atteint par la décision ou l'acte normatif attaqué, et |
c | a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification. |
2 | Ont aussi qualité pour recourir: |
a | la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions; |
b | l'organe compétent de l'Assemblée fédérale en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération; |
c | les communes et les autres collectivités de droit public qui invoquent la violation de garanties qui leur sont reconnues par la constitution cantonale ou la Constitution fédérale; |
d | les personnes, organisations et autorités auxquelles une autre loi fédérale accorde un droit de recours. |
3 | En matière de droits politiques (art. 82, let. c), quiconque a le droit de vote dans l'affaire en cause a qualité pour recourir. |
1.2. Anfechtungsobjekt ist das Urteil des Verwaltungsgerichts (vgl. Art. 86 Abs. 1 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 86 Autorités précédentes en général - 1 Le recours est recevable contre les décisions: |
|
1 | Le recours est recevable contre les décisions: |
a | du Tribunal administratif fédéral; |
b | du Tribunal pénal fédéral; |
c | de l'Autorité indépendante d'examen des plaintes en matière de radio-télévision; |
d | des autorités cantonales de dernière instance, pour autant que le recours devant le Tribunal administratif fédéral ne soit pas ouvert. |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs qui statuent comme autorités précédant immédiatement le Tribunal fédéral, sauf dans les cas où une autre loi fédérale prévoit qu'une décision d'une autre autorité judiciaire peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
3 | Pour les décisions revêtant un caractère politique prépondérant, les cantons peuvent instituer une autorité autre qu'un tribunal. |
1.3. Nach der Rechtsprechung des Bundesgerichts ist eine Beschwerdeergänzung auf dem Weg der Replik nur insoweit statthaft, als die Ausführungen in der Vernehmlassung eines anderen Verfahrensbeteiligten dazu Anlass geben. Ausgeschlossen sind hingegen in diesem Rahmen Anträge und Rügen, die der Beschwerdeführer bereits vor Ablauf der Beschwerdefrist hätte erheben können (BGE 135 I 19 E. 2.2 S. 21 mit Hinweisen).
Die Replik der Beschwerdeführer ist daher insoweit unbeachtlich, als sie darin Einwände und Rügen vorbringen, welche sie bereits vor Ablauf der Beschwerdefrist hätten erheben können.
1.4. Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann die Verletzung von Bundesrecht, Völkerrecht und interkantonalem Recht gerügt werden (Art. 95 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
1.5. Das Bundesgericht wendet das Bundesrecht grundsätzlich von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 7 Dignité humaine - La dignité humaine doit être respectée et protégée. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 34 Droits politiques - 1 Les droits politiques sont garantis. |
|
1 | Les droits politiques sont garantis. |
2 | La garantie des droits politiques protège la libre formation de l'opinion des citoyens et des citoyennes et l'expression fidèle et sûre de leur volonté. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
1.6. Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
2.
2.1. Gemäss § 238 Abs. 1 des Planungs- und Baugesetzes des Kantons Zürich vom 7. September 1975 (PBG; LS 700.1) sind Bauten, Anlagen und Umschwung für sich und in ihrem Zusammenhang mit der baulichen und landschaftlichen Umgebung im Ganzen und in ihren einzelnen Teilen so zu gestalten, dass eine befriedigende Gesamtwirkung erreicht wird. Bei der Beurteilung der Gesamtwirkung nach § 238 PBG kommt der kommunalen Baubewilligungsbehörde nach der Rechtsprechung des Bundesgerichts in Bezug auf die ästhetische Würdigung der örtlichen Verhältnisse ein von der Gemeindeautonomie geschützter Entscheidungs- und Ermessensspielraum zu. Dieser Spielraum wird namentlich überschritten, wenn die Behörde sich von unsachlichen, dem Zweck dieser Regelung fremden Erwägungen leiten lässt, oder sie die Grundsätze der Rechtsgleichheit und Verhältnismässigkeit verletzt (BGE 145 I 52 E. 3.6 S. 57). Die Rechtsgleichheit gebietet, dass die Behörde nicht ohne Anlass von Grundsätzen abweicht, welche Praxis und Lehre zur Auslegung unbestimmter Rechtsbegriffe entwickelt haben (vgl. Urteil 1C 607/2019 vom 26. August 2020 E. 4.4).
2.2. Die Vorinstanz kam zum Ergebnis, die geplanten Bauten erfüllten die Anforderungen an eine befriedigende Gesamtwirkung gemäss § 238 Abs. 1 PBG. Zur Begründung führte sie zusammengefasst aus, die Wirkung einer Baute beurteile sich nach ihrer Grösse, der architektonischen Ausgestaltung und der Beziehung zu bereits vorhandenen Bauten sowie zur baulichen und landschaftlichen Umgebung. Gemäss den Angaben des Baurekursgerichts weise das Quartier einen baulich heterogenen Charakter auf. Zwar sei der rückwärtige Gartenbereich des Baugrundstücks sowie der benachbarten Parzellen entlang der Sonnenbergstrasse bisher offengehalten worden. Dennoch gehörten Anbauten im rückwärtigen Gartenbereich zur Quartierstruktur, wie Beispiele am Buchfinkenweg 3 und 4 sowie an der Wylandstrasse 12 und 14 zeigten. Daran ändere nichts, dass diese Anbauten kürzer seien als der strittige Anbau. Zudem führe die seitlich versetzte Anordnung von Remise und Pavillon dazu, dass diese beiden Baukörper keine "Mauer" bildeten, wie dies die Beschwerdeführer geltend machten. Bezüglich des Baugrundstücks in der Wohnzone bestehe grundsätzlich keine Pflicht, eine einheitliche Überbauungsstruktur bzw. eine einheitliche Gartengestaltung mit offenen rückwärtigen
Gartenräumen beizubehalten, wie dies etwa in Quartiererhaltungs- oder Kernzonen der Fall sein könne. Die in § 238 Abs. 1 PBG verlangte Rücksichtnahme auf die bauliche und landschaftliche Umgebung verlange keine einheitliche Überbauung oder Umgebungsgestaltung. In der fraglichen Zone sei eine Gebäudelänge von 40 m zulässig, weshalb eine Neubaute auf dem Baugrundstück die Länge der Remise, des Pavillons und des bestehende Wohnhauses noch deutlich überschreiten dürfe.
2.3. Die Beschwerdeführer rügen dem Sinne nach, die von der Vorinstanz geschützte Bejahung der befriedigenden Gesamtwirkung im Sinne von § 238 Abs. 1 PBG sei unhaltbar und damit willkürlich. Das Baugrundstück liege im Quartier Heiligberg, das durch grosszügige und offene Gärten geprägt werde. Aus architektonischer Sicht müsse darin der Freiraum, sowie die Durchlässigkeit und Zugänglichkeit weiterhin gewährleistet werden. Im Widerspruch dazu bildeten die strittigen Anbauten eine praktisch über die gesamte Grundstücksgrenze reichende 26 m lange ununterbrochene Mauer, die beim Pavillon 4,5 m und bei der Remise 3 m hoch sei. Entgegen der unhaltbaren Annahme der Vorinstanz vermöge die teilweise Rückversetzung von 4 m an der Mauerwirkung dieser Anbauten nichts zu ändern, da auch die Berliner Mauer trotz Versätzen unüberwindbar gewesen sei. Die von den kantonalen Instanzen angeführten Beispiele von Liegenschaften mit Anbauten im rückwärtigen Bereich seien mit dem vorliegenden Projekt nicht vergleichbar. Dies gelte namentlich bezüglich der Anbaute am Buchfinkenweg 4, die lediglich aus einem etwa 5 m langen gedeckten Sitzplatz bestehe. Demnach falle die strittige Anbaute klar aus dem Rahmen des in der Umgebung Üblichen, weshalb gemäss dem
Urteil 1C 313/2015 vom 10. August 2016 eine hinreichende Einordnung klar zu verneinen sei.
2.4. Mit diesen Ausführungen widerlegen die Beschwerdeführer nicht, dass im Quartier weitere Gebäude mit Anbauten im hinteren Gartenbereich bestehen und daher der offene Charakter der umliegenden Gärten zu relativieren ist. Daran vermag nichts zu ändern, dass der geplante Anbau wesentlich länger ist als derjenige am Buchfinkenweg 4, zumal die Beschwerdeführer nicht darlegen, inwiefern dies namentlich auch in Bezug auf die von der Vorinstanz ebenfalls angeführte Anbaute beim Haus an der Wylanderstrasse 14 zutreffen soll. Zudem widerlegen die Beschwerdeführer nicht, dass die zulässige Gebäudelänge in der massgebenden Wohnzone 40 m beträgt und damit Bauten auf dem Baugrundstück erheblich in den Gartenbereich hineinragen dürfen. So nennen die Beschwerdeführer keine überwiegenden öffentlichen Interessen, wie zum Beispiel den Schutz von denkmalgeschützten Bauten oder Gebäudekomplexen, die aus ästhetischen Gründen eine Reduktion der grundsätzlich zugelassenen Baumasse hätten rechtfertigen können (vgl. BGE 145 I 52 E. 4.4 und 4.5 S. 63 f. mit Hinweisen). Unter diesen Umständen verfiel die Vorinstanz nicht in Willkür, wenn sie bezüglich der 26 m langen, bloss einstöckigen und teilweise versetzten Anbauten unter Berücksichtigung des
Ermessensspielraums der Baubehörde bei der Beurteilung lokaler Verhältnisse eine befriedigende Gesamtwirkung bejahte. Das von den Beschwerdeführern angerufene Urteil des Bundesgerichts ist nicht einschlägig, weil es eine Arealüberbauung betraf, für die § 71 PBG eine über die befriedigende Gesamtwirkung im Sinne von § 238 PBG hinausgehende besonders gute Gestaltung und eine Rücksichtnahme auf die bauliche Umgebung verlangt (Urteil 1C 313/2015 vom 10. August 2016 E. 4.5; publ. in: ZBl 2017 S. 53 f.).
3.
3.1. Die Stadt Winterthur hat bei der Beurteilung der Gesamtwirkung gemäss § 238 PBG im Sinne einer Leitlinie eine sogenannte "Vorgartenpraxis" entwickelt. Danach darf maximal ein Drittel der Vorgartenbreite als Verkehrsfläche für Zufahrten und Parkplätze genutzt werden, wobei Zugangswege bis 1,2 m Breite zum Gartendrittel hinzugerechnet werden.
3.2. Die Beschwerdeführer machten im Verfahren vor dem Baurekursgericht in ihrer Replik geltend, der bewilligte Besucherparkplatz widerspreche dieser "Vorgartenpraxis".
3.3. Das Baurekursgericht trat auf diese Rüge wegen Verspätung nicht ein. Zur Begründung führte es aus, die Rekursfrist gemäss § 22 des Verwaltungsrechtspflegegesetzes des Kantons Zürich (VRG; LS 175.2) sei eine gesetzliche Verwirkungsfrist, weshalb Änderungen und Ergänzungen der Rekursanträge nur innerhalb der Rekursfrist möglich seien. Auch die Begründung des Rekurses könne nach Ablauf der Rekursfrist grundsätzlich nicht mehr erweitert werden. Die im Schriftenwechsel genannte Vorgartenpraxis könne nicht als neues Vorbringen angesehen werden, weshalb auf die nachträgliche Rüge ihrer Verletzung nicht einzutreten sei. Abgesehen davon erweise sich diese Rüge ohnehin auch inhaltlich als unbegründet (Entscheid des Baurekursgerichts vom 10. Januar 2019 E. 6.1 - 6.3 S. 17 ff.).
3.4. Die Vorinstanz führte aus, das Baurekursgericht habe die von den Beschwerdeführern erst in der Replik erhobene Rüge der Verletzung der "Vorgartenpraxis" als verspätet qualifizieren dürfen. Gründe, weshalb die Vorinstanz trotz Verspätung auf diese Rüge hätte eintreten müssen, seien nicht ersichtlich und würden auch nicht geltend gemacht.
3.5. Die Beschwerdeführer wenden ein, gemäss dem Hinweis eines Baujuristen dürfe hier nicht von einer "Verwirkungsfrist" ausgegangen werden.
3.6. Mit diesem unsubstanziierten Einwand üben die Beschwerdeführer bezüglich der Anwendung kantonalen Verfahrensrechts appellatorische Kritik, auf die nicht einzutreten ist (vgl. E. 1.5 hievor).
Da somit von der Zulässigkeit des Nichteintretens des Baurekursgerichts auf die Rüge der Verletzung der "Vorgartenpraxis" auszugehen ist, brauchte die Vorinstanz die Eventualerwägung des Baurekursgerichts, wonach die Rüge ohnehin unbegründet sei, nicht zu überprüfen. Auf die gegen diese Eventualerwägung gerichtete Willkürrüge ist daher nicht einzutreten. Im Übrigen würde diese Rüge den Begründungsanforderungen nicht genügen.
4.
Im Verfahren vor dem Baurekursgericht war unstrittig, dass nach den massgeblichen Vorschriften und Richtlinien auf dem Baugrundstück drei Abstellplätze zulässig sind. Strittig war hingegen, wie viele Abstellplätze die bestehende Garage aufweist.
4.1. Das Baurekursgericht führte zu dieser Frage zusammengefasst aus, obwohl die Garage die Anforderungen der einschlägigen VSS-Norm an eine Doppelgarage nicht erfülle, könnten in ihr wohl zwei kleine Autos abgestellt werden. Demnach sei möglich, dass die Garage seinerzeit als Doppelgarage bewilligt worden sei. Dies müsse jedoch nicht abgeklärt werden, da ausreichend sei, die angefochtene Baubewilligung mit einer Auflage zu ergänzen, wonach die Garage als Einzelgarage zu nutzen und in ihrem Einfahrtsbereich mit Ausnahme des Flächenbereichs entlang der westlichen Grenze auf das Parkieren zu verzichten sei.
4.2. Die Vorinstanz erachtete dieses Vorgehen des Baurekursgerichts als zulässig, da mit der neuen Auflage rechtlich gesichert sei, dass die Garage nicht als Doppelgarage genutzt und auf dem Vorplatz zur Garage lediglich ein Fahrzeug abgestellt werde. Der Bauherrschaft dürfe nicht unterstellt werden, sie werde sich nicht an die Auflage halten.
4.3. Die Beschwerdeführer bringen zusammengefasst vor, die VSS Norm SN 640 291a sehe für Parkplätze der Komfortstufe B eine Breite von 2,5 m vor, die das Parkieren von 90 % der Fahrzeuge erlaube. Die Parkfläche in der Garage sei gemäss den Angaben der Bauherrschaft 5,2 m breit und biete damit genügend Platz für zwei Fahrzeuge, weshalb dort zwei Abstellplätze anzurechnen seien. Dass die Beschwerdegegner in der Garage nur ein Fahrzeug und ein Motorrad abstellten und sie dort eine Velowerkstatt eingerichtet hätten, sei nicht massgeblich, da diese Werkstatt und der Abstellplatz für ein Motorrad in die geplante Remise verlegt werden könnten. Eine VSS-Norm für Doppelgaragen gebe es entgegen der Annahme der Vorinstanz nicht.
4.4. Ob diese Rüge den Begründungsanforderungen an eine Willkürrüge bezüglich der kantonalen bzw. kommunalen Regelung der zulässigen Anzahl Parkplätze genügt, ist fraglich, kann jedoch offen bleiben, weil sie ohnehin unbegründet ist. Zwar gibt es keine spezielle VSS-Norm für Doppelgaragen. Indessen sieht die VSS-Norm SN 640 291a (Parkieren) bezüglich der allgemeinen Abmessungen bei einem Parkfeldwinkel von 90 % einen zusätzlichen Abstand von 0,3 m vor, wenn eine Wand neben einem Parkfeld liegt (vgl. Ziff. 15). Eine Doppelgarage mit zwei seitlichen Wänden hat demnach zwei zusätzliche Abstände von 0,3 m und damit bei zwei 2,5 m breiten Parkplätzen eine Gesamtbreite von 5,6 m aufzuweisen, wie dies die Beschwerdegegner vor dem Baurekursgericht geltend machten. Demnach erfüllt die 5,2 m breite Parkfläche der Garage die Anforderungen der massgebenden VSS-Norm an eine Doppelgarage nicht. Die Vorinstanz verfiel somit bei der Bestimmung der Zahl der bestehenden Abstellplätze nicht in Willkür, wenn sie in der Garage unter Berücksichtigung der Verpflichtung zur Nutzung als Einzelgarage nur einen Abstellplatz anrechnete.
5.
5.1. In den bewilligten Bauplänen ist im Pavillon ein mit "Ofen" bezeichneter Kreis eingetragen. In den Auflagen der Baubewilligung betreffend technische und übrige Anforderungen (lit. F) wird verlangt, dass die Kaminmündung des Cheminées das Flachdach um 1,5 m zu überragen hat (Ziff. 5).
5.2. Im vorinstanzlichen Verfahren wendeten die Beschwerdeführer ein, das in der Baubewilligung genannte Cheminée sei in der Baueingabe nicht enthalten gewesen.
5.3. Die Vorinstanz erachtete diesen Einwand als unzutreffend, da im Baueingabeplan vom 26. März 2018 der Kamin eingezeichnet und mit "Ofen" beschriftet worden sei.
5.4. Diese durch die Akten bestätigte Feststellung widerlegen die Beschwerdeführer nicht. Sie rügen jedoch, sie seien gegen Treu und Glauben verstossend getäuscht worden, da die Baubewilligung von einem Cheminée spreche, obwohl ein solches in den aufgelegten Plänen nicht dargestellt worden sei.
5.5. Der im Baueingabeplan vom 26. März 2018 und in den bewilligten Bauplänen im Pavillon eingezeichnete "Ofen" wird in der Baubewilligung in den Auflagen betreffend die Feuerpolizei (lit. H) als Holzofen mit Abgasanlage bezeichnet (Ziff. 4 Abs. 1). Daraus ergibt sich, dass die Auflage, wonach die Kaminmündung des "Cheminées" das Flachdach um 1,5 m zu überragen hat, sich auf den Kamin des Holzofens im Pavillon bezieht. Inwiefern die Bauunterlagen diesbezüglich unklar oder irreführend sein sollen, legen die Beschwerdeführer nicht dar und ist auch nicht ersichtlich.
6.
6.1. Der Immissionsschutz ist bundesrechtlich im Umweltschutzgesetz (USG; SR 814.01) und den darauf gestützten Verordnungen geregelt. Gemäss Art. 1 Abs. 2
SR 814.01 Loi fédérale du 7 octobre 1983 sur la protection de l'environnement (Loi sur la protection de l'environnement, LPE) - Loi sur la protection de l'environnement LPE Art. 1 But - 1 La présente loi a pour but de protéger les hommes, les animaux et les plantes, leurs biocénoses et leurs biotopes contre les atteintes nuisibles ou incommodantes, et de conserver durablement les ressources naturelles, en particulier la diversité biologique et la fertilité du sol.4 |
|
1 | La présente loi a pour but de protéger les hommes, les animaux et les plantes, leurs biocénoses et leurs biotopes contre les atteintes nuisibles ou incommodantes, et de conserver durablement les ressources naturelles, en particulier la diversité biologique et la fertilité du sol.4 |
2 | Les atteintes qui pourraient devenir nuisibles ou incommodantes seront réduites à titre préventif et assez tôt. |
SR 814.01 Loi fédérale du 7 octobre 1983 sur la protection de l'environnement (Loi sur la protection de l'environnement, LPE) - Loi sur la protection de l'environnement LPE Art. 12 Limitations d'émissions - 1 Les émissions sont limitées par l'application: |
|
1 | Les émissions sont limitées par l'application: |
a | des valeurs limites d'émissions; |
b | des prescriptions en matière de construction ou d'équipement; |
c | des prescriptions en matière de trafic ou d'exploitation; |
d | des prescriptions sur l'isolation thermique des immeubles; |
e | des prescriptions sur les combustibles et carburants. |
2 | Les limitations figurent dans des ordonnances ou, pour les cas que celles-ci n'ont pas visés, dans des décisions fondées directement sur la présente loi. |
SR 814.01 Loi fédérale du 7 octobre 1983 sur la protection de l'environnement (Loi sur la protection de l'environnement, LPE) - Loi sur la protection de l'environnement LPE Art. 12 Limitations d'émissions - 1 Les émissions sont limitées par l'application: |
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1 | Les émissions sont limitées par l'application: |
a | des valeurs limites d'émissions; |
b | des prescriptions en matière de construction ou d'équipement; |
c | des prescriptions en matière de trafic ou d'exploitation; |
d | des prescriptions sur l'isolation thermique des immeubles; |
e | des prescriptions sur les combustibles et carburants. |
2 | Les limitations figurent dans des ordonnances ou, pour les cas que celles-ci n'ont pas visés, dans des décisions fondées directement sur la présente loi. |
SR 814.318.142.1 Ordonnance du 10 décembre 1984 sur la lutte contre la pollution atmosphérique due aux chauffages (OPAC) OPAC Art. 6 - 1 Les émissions seront captées aussi complètement et aussi près que possible de leur source, et évacuées de telle sorte qu'il n'en résulte pas d'immissions excessives.6 |
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1 | Les émissions seront captées aussi complètement et aussi près que possible de leur source, et évacuées de telle sorte qu'il n'en résulte pas d'immissions excessives.6 |
2 | Leur rejet s'effectuera en général au-dessus des toits, par une cheminée ou un conduit d'évacuation. |
3 | Pour les hautes cheminées, on appliquera l'annexe 6. Si la hauteur H requise ne peut être réalisée ou si le paramètre Ho dépasse 100 m, l'autorité renforce, en guise de remplacement, les limitations des émissions prévues aux annexes 1 à 3. |
SR 814.318.142.1 Ordonnance du 10 décembre 1984 sur la lutte contre la pollution atmosphérique due aux chauffages (OPAC) OPAC Art. 36 Exécution par la Confédération - 1 La Confédération exécute les prescriptions sur: |
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1 | La Confédération exécute les prescriptions sur: |
a | la surveillance du marché des machines de chantier, de leurs systèmes de filtres à particules ainsi que des machines et appareils équipés d'un moteur à combustion (art. 37); |
b | le contrôle des combustibles et des carburants importés et mis dans le commerce (art. 38).40 |
2 | Lorsque les autorités fédérales appliquent d'autres lois fédérales, des accords internationaux ou des décisions internationales qui touchent des objets relevant de la présente ordonnance, elles exécutent également la présente ordonnance. La collaboration de l'OFEV et des cantons est régie par l'art. 41, al. 2 et 4, de la loi; les dispositions légales sur l'obligation de garder le secret sont réservées.41 |
3 | Le Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication42 peut édicter des dispositions exécutives et complémentaires, notamment sur: |
a | les méthodes de contrôle, de mesure et de calcul; |
b | les expertises-type; |
c | les cheminées. |
4 | La Confédération procède à des relevés sur l'état et l'évolution de la pollution atmosphérique dans l'ensemble de la Suisse (art. 39).43 |
Bauvorschriften haben zwar keinen Gesetzescharakter, sind aber Ausdruck des Wissens und der Erfahrung bewährter Fachstellen und in diesem Sinne beachtlich (Urteil 1C 506/2016 vom 6. Juni 2017 E. 6.3.1 mit Hinweis). Gemäss den Kamin-Empfehlungen gelten mit Holzbrennstoffen betriebene Feuerungsanlagen mit einer Feuerungswärmeleistung bis 70 kW als kleine Feuerungsanlagen (Ziff. 3.1). Bei solchen Anlagen muss die Kaminmündung Flachdächer um mindestens 1,50 m überragen (Ziffer 3.2 Abs. 1 lit. b). Befinden sich die Kaminmündungen von kleinen Holzfeuerungsanlagen näher als 10 m zu höheren Nachbargebäuden, sind die Nachbargebäude für die Mindesthöhe massgebend (Ziffer 3.2 Abs. 3). Unter der Überschrift "Weitergehende Anforderungen" sieht Ziff. 7 der Kamin-Empfehlungen allgemein vor, dass die Behörde in begründeten Fällen höhere Kamine verlangt, zum Beispiel bei besonderen Gebäudeformen (lit. a); besonderen Überbauungssituationen mit ungleichen Gebäudehöhen oder Terrassensiedlungen (lit. b); tiefen Abgastemperaturen (lit. c) oder in unebenem Gelände (lit. d).
6.2. Die Beschwerdeführer machten im kantonalen Verfahren geltend, der Kamin auf dem Flachdach des Pavillons müsse die Mindesthöhe von 1,5 m gemäss Ziff. 3.2 der Kamin-Empfehlungen überschreiten, weil ein begründeter Ausnahmefall im Sinne von Ziff. 7 dieser Empfehlungen gegeben sei.
6.3. Das Baurekursgericht führte zusammengefasst aus, der Augenschein habe gezeigt, dass vorliegend nicht von einem solchen Ausnahmefall auszugehen sei. Zwar weise die Überbauungssituation durch unterschiedliche Dachgestaltungen (Schräg- und Flachdach) und die divergierenden Gebäudehöhen des Haupthauses und der Gartenbauten eine gewisse Besonderheit auf. Indes betrage die Distanz zwischen dem Wohnhaus der Beschwerdeführer und der strittigen Kaminmündung rund 19 m und überschreite damit die in Ziff. 3.2 der Kamin-Empfehlungen geforderte Distanz (von 10 m) um fast das Doppelte. Damit könnten sich die Rauchemissionen im Luftkorridor hinreichend verteilen und genügend in die Höhe ziehen, bevor sie auf das Wohnhaus der Beschwerdeführer treffen. Daran ändere nichts, dass der Wind aufgrund der vorherrschenden West-Südwestströmung tendenziell vermehrt zur Liegenschaft der Beschwerdeführer blase und das Gelände zum Baugrundstück hin leicht abfalle. Demnach sei bei der massgeblichen objektiven Betrachtungsweise, die losgelöst von Krankheitsleiden und subjektiven Einschätzungen sei, nicht von übermässigen Immissionen auszugehen.
6.4. Die Vorinstanz kam zum Ergebnis, diese Beurteilung des Baurekursgerichts sei nicht zu beanstanden. Das von den Beschwerdeführern ins Recht gelegte Video führe zu keinem anderen Schluss.
6.5. Die Beschwerdeführer machen vor Bundesgericht erneut geltend, in Anwendung von Ziff. 7 der Kamin-Empfehlungen hätte ein höheres Kamin verlangt werden müssen, da die Voraussetzungen der besonderen Gebäudeformen, der besonderen Überbauungssituationen mit ungleichen Gebäudehöhen und des unebenen Geländes gegeben seien. Zudem würde die vorherrschende Windrichtung die schädlichen Feinstaub-Emissionen in das Schlafzimmer sowie den Küchenbereich der Beschwerdeführer weitertragen, wovon die Beschwerdeführerin aufgrund ihrer Asthmaerkrankung besonders betroffen sei.
6.6. Zwar nennt die allgemeine Regelung der weitergehenden Anforderungen in Ziff. 7 lit. b der Kamin-Empfehlungen nicht näher präzisierte ungleiche Gebäudehöhen als Beispiel eines begründeten Ausnahmefalls. Solche Höhenunterschiede werden jedoch bereits in der Spezialregelung für "kleine Holzfeuerungsanlagen" in Ziff. 3.2 Abs. 3 der Kamin-Empfehlungen berücksichtigt, die bei ungleichen Gebäudehöhen eine Anpassung der Mindesthöhe des Kamins an das höhere Nachbargebäude erst bei der Unterschreitung eines Abstands von 10 m verlangt (vgl. E. 6.1 hievor). Da dieser Mindestabstand vorliegend fast um das Doppelte überschritten wird, durften die kantonalen Instanzen bundesrechtskonform annehmen, der Umstand, dass das zweistöckige Haus der Beschwerdeführer höher ist als der Kamin, vermöge keine Abweichung von der Regelung der Kaminhöhe für kleine Holzfeuerungsanlagen zu rechtfertigen. Dies wird dadurch bestätigt, dass der geplante Kamin gemäss Bauplänen und den ergänzenden graphischen Darstellungen der Beschwerdeführer (Beil. 9 zur Replik) das Flach- bzw. Terassendach des am nächsten beim Baugrundstück liegenden einstöckigen Anbaus (Küchenbereich) ihres Hauses trotz des ansteigenden Geländes um etwa 0,7 m überragt. Unter diesen Umständen
durfte die Vorinstanz unabhängig von der dominanten Windrichtung objektive Gründe für weitergehende Anforderungen im Sinne von Ziff. 7 der Kamin-Empfehlungen aufgrund ungleicher Gebäudehöhen bzw. unebenen Geländes verneinen. Daran vermag die abweichende Einschätzung der Beschwerdeführer oder das geltend gemachte Asthmaleiden der Beschwerdeführerin nichts zu ändern. Inwiefern entgegen der Beurteilung der kantonalen Instanzen besondere Gebäudeformen oder tiefe Abgastemperaturen ein über die Regelhöhe hinausgehendes Kamin erforderlich machen sollten, legen die Beschwerdeführer in ihrer Beschwerde nicht substanziiert dar und ist auch nicht ersichtlich.
7.
Nach dem Gesagten ist die Beschwerde abzuweisen, soweit darauf einzutreten ist. Bei diesem Ausgang des Verfahrens sind die Gerichtskosten den unterliegenden Beschwerdeführern aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 4'000.-- werden den Beschwerdeführern auferlegt.
3.
Es wird keine Parteientschädigung zugesprochen.
4.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Bauausschuss der Stadt Winterthur, der Gebäudeversicherung Kanton Zürich und dem Verwaltungsgericht des Kantons Zürich, 1. Abteilung, 1. Kammer, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 26. Oktober 2020
Im Namen der I. öffentlich-rechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Chaix
Der Gerichtsschreiber: Gelzer