Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
4A 216/2016
Urteil vom 26. September 2016
I. zivilrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichterin Kiss, Präsidentin,
Bundesrichterin Klett, Bundesrichter Kolly,
Gerichtsschreiberin Marti-Schreier.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Advokat Nicolai Fullin,
Beschwerdeführer,
gegen
B.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Prof. Dr. Walter Fellmann,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Auftrag,
Beschwerde gegen den Entscheid des Obergerichts
des Kantons Aargau, Zivilgericht, 1. Kammer,
vom 19. Januar 2016.
Sachverhalt:
A.
A.a. A.________ (Kläger, Beschwerdeführer) war seit einigen Jahren Patient in der Zahnarztpraxis von B.________ (Beklagte, Beschwerdegegnerin). Am 13. August 2007 unterbreitete ihm B.________ Kostenschätzungen für die Extraktion zweier Zähne, eine provisorische Zahnprothese und die Einsetzung einer Implantatbrücke für die Zähne 34/35/36. Am 16. Oktober 2007 extrahierte B.________ die zwei Zähne (34 und 37).
A.b. Am 15. Mai 2008 wurden A.________ vom Spezialisten Dr. med. dent. C.________ - an welchen ihn B.________ zwecks Implantation überwiesen hatte - drei Replace-Implantate 34/35/36 (worauf Kronen aufgesetzt werden) mit Knochenaugmentation gesetzt.
A.c. Am 27. Oktober 2009 erstellte B.________ einen Ober- und Unterkieferabdruck von A.________ mit Bissnahme. Am nächsten Tag meldete sich A.________ als Akutpatient in der Praxis von B.________ und brachte vor, die Krone des Zahns 21 sei wegen der durchgeführten Abformung abgebrochen. In Absprache mit A.________ entschied sich B.________ für die Extraktion des Zahns 21 und für eine provisorische Prothese, welche am 3. November 2009 eingesetzt wurde. In der gleichen Sitzung fand eine Gerüsteinprobe der Verblend-Metall-Keramik-Kronen 34/35/36 (VMK-Kronen bzw. -Brücke) statt. Die definitive Einzementierung der VMK-Brücke nahm B.________ am 9. November 2009 vor.
A.d. Mit Schreiben vom 28. Januar 2010 teilte A.________ B.________ u.a. mit, ihm sei es mit der von ihr eingesetzten VMK-Brücke 34/35/36 nicht möglich, "etwas definitiv zu zerbeissen". Am 23. Februar 2010 nahm B.________ dazu Stellung. Mit Schreiben vom 12. März 2010 legte A.________ seine Sicht der Dinge bezüglich Zahnabbruch, Implantatbrücke und Provisorium dar ("Mängelrüge" bzw. "Richtigstellungen und Darstellung der Tatsachen").
A.e. Da die Parteien keine einvernehmliche Lösung fanden, ersuchte A.________ am 6. April 2010 um eine zahnärztliche Beurteilung durch die Zahnärzte-Gesellschaft SSO. Am 11. August 2010 untersuchte die Begutachtungskommission der SSO (Dres. med. D.________ und E.________) A.________. Die Begutachtungskommission erstellte am 29. September 2010 einen Bericht u.a. zur VMK-Brücke 34/35/36, zur Fraktur des Zahns 21 und zu den Beanstandungen von A.________ im Zusammenhang mit der Rechnungsstellung von B.________ (SSO-Gutachten).
B.
B.a. Am 25. Mai 2012 reichte A.________ beim Bezirksgericht Kulm Klage ein und beantragte, B.________ sei zur Zahlung von Fr. 31'774.50 nebst Zins seit Klageeinleitung als Schadenersatz sowie zur Zahlung einer Genugtuung von Fr. 3'000.-- nebst Zins seit dem 27. Oktober 2009 zu verurteilen. Die Schadenersatzforderung setzt sich wie folgt zusammen: Fr. 10'000.-- Schaden VMK-Brücke, Fr. 10'091.35 Schaden Zahn 21, Fr. 500.-- Kosten SSO-Gutachten, Fr. 4'811.95 Kostenüberschreitung Offerte und Fr. 6'371.20 vorprozessuale Anwaltskosten.
Mit Verfügung vom 30. September 2013 holte die Gerichtspräsidentin von Kulm bei der Universität Zürich ein zahnärztliches Gutachten ein. Prof. Dr. med. F.________ erstattete dieses am 18. März 2014.
Mit Entscheid vom 9. Dezember 2014 wies das Bezirksgericht Kulm die Klage ab.
B.b. Gegen diesen Entscheid erhob A.________ Berufung an das Obergericht des Kantons Aargau. Er beantragte die Aufhebung des erstinstanzlichen Entscheids und wiederholte seine Klagebegehren.
Mit Entscheid vom 19. Januar 2016 wies das Obergericht des Kantons Aargau die Berufung ab.
C.
Mit Beschwerde in Zivilsachen vom 11. April 2016 beantragt A.________ dem Bundesgericht, es sei der Entscheid des Obergerichts aufzuheben und die Beschwerdegegnerin sei zur Zahlung von Fr. 31'774.50 nebst Zins von 5 % seit dem 25. Mai 2012 und zur Zahlung einer Genugtuung von Fr. 3'000.-- nebst Zins von 5 % seit dem 27. Oktober 2009 zu verurteilen.
Die Beschwerdegegnerin beantragt die Abweisung der Beschwerde. Die Vorinstanz hat auf Vernehmlassung verzichtet.
Der Beschwerdeführer hat eine Replik eingereicht.
Erwägungen:
1.
Die Beschwerde betrifft eine privatrechtliche Streitigkeit (Art. 72
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 72 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile. |
|
1 | Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile. |
2 | Sont également sujettes au recours en matière civile: |
a | les décisions en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
b | les décisions prises en application de normes de droit public dans des matières connexes au droit civil, notamment les décisions: |
b1 | sur la reconnaissance et l'exécution de décisions ainsi que sur l'entraide en matière civile, |
b2 | sur la tenue des registres foncier, d'état civil et du commerce, ainsi que des registres en matière de protection des marques, des dessins et modèles, des brevets d'invention, des obtentions végétales et des topographies, |
b3 | sur le changement de nom, |
b4 | en matière de surveillance des fondations, à l'exclusion des institutions de prévoyance et de libre passage, |
b5 | en matière de surveillance des exécuteurs testamentaires et autres représentants successoraux, |
b6 | les décisions prises dans le domaine de la protection de l'enfant et de l'adulte, |
b7 | ... |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 75 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37 |
|
1 | Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37 |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours, sauf si: |
a | une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique; |
b | un tribunal spécialisé dans les litiges de droit commercial statue en instance cantonale unique; |
c | une action ayant une valeur litigieuse d'au moins 100 000 francs est déposée directement devant le tribunal supérieur avec l'accord de toutes les parties. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 76 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière civile quiconque: |
|
1 | A qualité pour former un recours en matière civile quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et |
b | est particulièrement touché par la décision attaquée et a un intérêt digne de protection à son annulation ou sa modification. |
2 | Ont également qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 72, al. 2, la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux et, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions.41 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 74 Valeur litigieuse minimale - 1 Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à: |
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1 | Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à: |
a | 15 000 francs en matière de droit du travail et de droit du bail à loyer; |
b | 30 000 francs dans les autres cas. |
2 | Même lorsque la valeur litigieuse minimale n'est pas atteinte, le recours est recevable: |
a | si la contestation soulève une question juridique de principe; |
b | si une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique; |
c | s'il porte sur une décision prise par une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
d | s'il porte sur une décision prise par le juge de la faillite ou du concordat; |
e | s'il porte sur une décision du Tribunal fédéral des brevets. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
|
1 | Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
2 | Le délai de recours est de dix jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
b | les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale; |
c | les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93. |
d | les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95. |
3 | Le délai de recours est de cinq jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change; |
b | les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales. |
4 | Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national. |
5 | En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
6 | ...96 |
7 | Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 46 Suspension - 1 Les délais fixés en jours par la loi ou par le juge ne courent pas: |
|
1 | Les délais fixés en jours par la loi ou par le juge ne courent pas: |
a | du septième jour avant Pâques au septième jour après Pâques inclus; |
b | du 15 juillet au 15 août inclus; |
c | du 18 décembre au 2 janvier inclus. |
2 | L'al. 1 ne s'applique pas: |
a | aux procédures concernant l'octroi de l'effet suspensif ou d'autres mesures provisionnelles; |
b | à la poursuite pour effets de change; |
c | aux questions relatives aux droits politiques (art. 82, let. c); |
d | à l'entraide pénale internationale ni à l'assistance administrative internationale en matière fiscale; |
e | aux marchés publics.19 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
2.
2.1. Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
und taugliche Beweismittel bereits bei den Vorinstanzen prozesskonform eingebracht hat (BGE 140 III 86 E. 2 S. 90). Die beschwerdeführende Partei soll in der Beschwerdeschrift zudem nicht bloss die Rechtsstandpunkte, die sie im kantonalen Verfahren eingenommen hat, erneut bekräftigen, sondern mit ihrer Kritik an den als rechtsfehlerhaft erachteten Erwägungen der Vorinstanz ansetzen (BGE 140 III 86 E. 2 S. 89, 115 E. 2 S. 116). Auf eine Kritik an den tatsächlichen Feststellungen der Vorinstanz, die diesen Anforderungen nicht genügt, ist nicht einzutreten (BGE 133 II 249 E. 1.4.3 S. 255).
Zu beachten ist, dass das Bundesgericht in die Beweiswürdigung des Sachgerichts nur eingreift, wenn diese willkürlich ist. Willkür liegt nicht schon dann vor, wenn eine andere Lösung ebenfalls in Betracht zu ziehen oder gar vorzuziehen wäre, sondern nur, wenn der angefochtene Entscheid offensichtlich unhaltbar ist, mit der tatsächlichen Situation in klarem Widerspruch steht, eine Norm oder einen unumstrittenen Rechtsgrundsatz krass verletzt oder in stossender Weise dem Gerechtigkeitsgedanken zuwiderläuft (BGE 138 IV 13 E. 5.1 S. 22; 134 II 124 E. 4.1 S. 133; 132 III 209 E. 2.1 S. 211). Dass die von Sachgerichten gezogenen Schlüsse nicht mit der eigenen Darstellung der Beschwerdeführerin übereinstimmen, belegt keine Willkür (BGE 140 III 264 E. 2.3 S. 266 mit Verweisen).
2.2. Soweit der Beschwerdeführer in seiner Beschwerde den festgestellten Sachverhalt erweitert, ohne entsprechende Sachverhaltsrügen zu erheben, müssen seine Ausführungen unbeachtet bleiben.
3.
Der Beschwerdeführer rügt, die Vorinstanz habe zu Unrecht eine Sorgfaltspflichtverletzung der Beschwerdegegnerin verneint. Er wirft der Vorinstanz eine offensichtlich unrichtige Feststellung des Sachverhalts und eine Verletzung von Art. 8
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 8 - Chaque partie doit, si la loi ne prescrit le contraire, prouver les faits qu'elle allègue pour en déduire son droit. |
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat CO Art. 97 - 1 Lorsque le créancier ne peut obtenir l'exécution de l'obligation ou ne peut l'obtenir qu'imparfaitement, le débiteur est tenu de réparer le dommage en résultant, à moins qu'il ne prouve qu'aucune faute ne lui est imputable. |
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1 | Lorsque le créancier ne peut obtenir l'exécution de l'obligation ou ne peut l'obtenir qu'imparfaitement, le débiteur est tenu de réparer le dommage en résultant, à moins qu'il ne prouve qu'aucune faute ne lui est imputable. |
2 | Les dispositions de la loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite44 et du code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC)45 s'appliquent à l'exécution.46 |
3.1. Die Vorinstanz hat ausgeführt, die privatzahnärztliche Arbeit sei nach BGE 110 II 375 dem Auftragsrecht unterstellt. Als Beauftragte hafte die Zahnärztin gemäss Art. 398 Abs. 2
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat CO Art. 398 - 1 La responsabilité du mandataire est soumise, d'une manière générale, aux mêmes règles que celle du travailleur dans les rapports de travail.256 |
|
1 | La responsabilité du mandataire est soumise, d'une manière générale, aux mêmes règles que celle du travailleur dans les rapports de travail.256 |
2 | Le mandataire est responsable envers le mandant de la bonne et fidèle exécution du mandat. |
3 | Il est tenu de l'exécuter personnellement, à moins qu'il ne soit autorisé à le transférer à un tiers, qu'il n'y soit contraint par les circonstances ou que l'usage ne permette une substitution de pouvoirs. |
Eintritt zu verhindern. Deren Eintritt begründe dann eine tatsächliche Vermutung, dass nicht alle gebotenen Vorkehrungen getroffen worden seien und somit eine objektive Sorgfaltsverletzung vorliege. Das Bundesgericht habe dieses Urteil später relativiert und ausdrücklich auf die dort in Frage stehende konkrete Art der Injektion beschränkt. In späteren Entscheiden habe das Bundesgericht offengelassen, ob der Geschädigte von einer Tatsachenvermutung profitieren könne.
Vorliegend sei unbestritten, dass die Kronen 34/35/36 der von der Beschwerdegegnerin im Gebiss des Beschwerdeführers eingesetzten VMK-Brücke eine Infraokklusion von etwa 1 mm und damit keinen Kontakt zur Gegenzahnreihe aufwiesen. Im vom Beschwerdeführer eingeholten SSO-Gutachten werde dazu ausgeführt, die bestehende Bisslage müsse korrigiert werden, um zum Beispiel möglichen Kiefergelenkproblemen vorzubeugen. Demgegenüber habe der Gutachter im vom Gericht eingeholten Gutachten ausgeführt, aus medizinischer Sicht bestehe kein hinreichender Grund, die Infraokklusion der eingegliederten Brücke durch eine Neuversorgung zu beheben, weil eine Infraokklusion nach heutigen wissenschaftlichen Erkenntnissen nicht in kausalem Zusammenhang mit eventuell eintretenden Problemen des Kiefergelenks stünden. Das Gerichtsgutachten erscheine nachvollziehbar und schlüssig, weshalb davon auszugehen sei, das Einsetzen der VMK-Brücke habe beim Beschwerdeführer keine gesundheitliche Beeinträchtigung hervorgerufen und eine solche sei auch in Zukunft nicht zu befürchten. Ein allfälliges subjektives Unwohlsein, zu welchem es laut Gutachter kommen könne, wenn kein gleichmässiger Kontakt zwischen allen Zähnen des Oberkiefers und des Unterkiefers bestehe, könne
jedenfalls nicht einer gesundheitlichen Beeinträchtigung gleichgesetzt werden. Die Beweiserleichterung gemäss BGE 120 II 248 sei auf Fälle wie diesen, in denen lediglich der erwartete (therapeutische) Erfolg (in Form einer optimalen Okklusion) ausbleibe, hingegen keine gesundheitliche Beeinträchtigung durch die Behandlung eingetreten sei, nicht anwendbar. Der Beschwerdeführer könne sich demnach nicht auf eine natürliche Vermutung berufen, dass der Infraokklusion eine Sorgfaltspflichtverletzung zugrunde liege. Er habe mit dem Regelbeweismass nachzuweisen, dass die Beschwerdegegnerin nicht lege artis vorgegangen sei.
Entgegen der Ansicht des Beschwerdeführers habe der Gerichtsgutachter keine Sorgfaltspflichtwidrigkeit durch einen "Platzierungsfehler" festgestellt. Im Gutachten werde die Frage, ob die Brücke mangelhaft platziert worden sei, dahingehend beantwortet, dass ein Zementierungsfehler nicht vorzuliegen scheine. Die Kronen passten bündig und ohne Spalten auf die Implantatunterstrukturen; ein Platzierungsfehler im Sinne eines fehlerhaften Befestigens liege folglich nicht vor. Die Kronen wiesen aber keinen Kontakt zur Gegenzahnreihe auf; in diesem Sinne könne von einem Platzierungsfehler gesprochen werden, da neue Rekonstruktionen üblicherweise einen Kontakt zur Gegenzahnreihe aufweisen sollten. Aus diesen Ausführungen im Gutachten erhelle, dass der Gutachter mit dem Begriff "Platzierungsfehler" an letztgenannter Stelle kein unsorgfältiges Vorgehen, sondern lediglich ein unbefriedigendes Arbeitsresultat (in Form einer nicht optimalen Okklusion) beschreibe, für welches die Beschwerdegegnerin nur haftbar gemacht werden könne, wenn ihm seinerseits eine Sorgfaltspflichtverletzung zugrunde liege. Diesbezüglich werde im Gutachten ausgeführt, es könne angenommen werden, dass bei der Bissnahme ein Übertragungsfehler entstanden sei und das zu
niedrige Niveau des Zahnes 37 (ohne Kontakt zur Gegenbezahnung) als Okklusionshöhe für die anzufertigende Implantatbrücke übernommen worden sei. Es könne vermutet werden, dass dadurch die neue Brücke ebenfalls zu niedrig eingestellt worden sei. Der Gerichtsexperte habe jedoch ausdrücklich angemerkt, dass diese retrospektiven Überlegungen nur hypothetischer Natur seien. Als solche seien sie nicht geeignet, den vollen Beweis einer dahingehenden Sorgfaltspflichtverletzung zu erbringen. Zudem setze sich der Beschwerdeführer nicht mit der Feststellung des erstinstanzlichen Gerichts auseinander, wonach die Beschwerdegegnerin schlüssig dargelegt habe, dass ihr der Zahn 37 nicht als Referenzhöhe gedient habe. Dem Beschwerdeführer sei der Nachweis einer Sorgfaltspflichtverletzung nicht gelungen.
3.2. Dagegen bringt der Beschwerdeführer vor, die Vorinstanz habe willkürlich einen Gesundheitsschaden verneint. Der Gerichtsgutachter habe ein Abweichen des Behandlungsresultats vom zu erwartenden Standard bestätigt, was per definitionem einem Gesundheitsschaden gleichkomme. Fehle der direkte Kontakt mit der Gegenzahnreihe, erfülle die Brücke ihre Grundfunktion gerade nicht. Eine Zahnfehlstellung stelle gemäss ICD-10 K.07 einen Gesundheitsschaden dar. Es sei daher willkürlich, wenn die Vorinstanz gestützt auf das Gutachten einen Gesundheitsschaden verneine. Die Beschwerdegegnerin sei zudem Mitglied der Standesorganisation "Schweizerische Zahnärztegesellschaft" SSO. In den Leitlinien dieser Organisation sei aufgeführt, welche Resultate eine mangelhafte Behandlung implizierten: "Kronen und Brücken, welche zu nennenswerten, irreversiblen Nachteilen im Bereiche von Funktion, Parodont, Pulpa, Okklusion, Nachbarzahn oder Aussehen führen oder bereits geführt haben. Misserfolg, der auf ungenügende Diagnose, inadäquate Planung, mangelhafte Durchführung oder technische Fehler zurückgeführt wird. Eine Neu- oder Alternativversorgung ist unabdingbar." Auch nach diesen Leitlinien liege mithin ein Gesundheitsschaden beim Beschwerdeführer vor.
Die Vorinstanz habe zudem Art. 8
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 8 - Chaque partie doit, si la loi ne prescrit le contraire, prouver les faits qu'elle allègue pour en déduire son droit. |
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat CO Art. 97 - 1 Lorsque le créancier ne peut obtenir l'exécution de l'obligation ou ne peut l'obtenir qu'imparfaitement, le débiteur est tenu de réparer le dommage en résultant, à moins qu'il ne prouve qu'aucune faute ne lui est imputable. |
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1 | Lorsque le créancier ne peut obtenir l'exécution de l'obligation ou ne peut l'obtenir qu'imparfaitement, le débiteur est tenu de réparer le dommage en résultant, à moins qu'il ne prouve qu'aucune faute ne lui est imputable. |
2 | Les dispositions de la loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite44 et du code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC)45 s'appliquent à l'exécution.46 |
3.3. Die Vorinstanz hat den zwischen den Parteien geschlossenen Vertrag zutreffend als Auftrag qualifiziert. Während das Bundesgericht die technischen Verrichtungen des Zahnarztes (u.a. Einbau von Kronen und Brücken) in BGE 61 II 106 E. 2 S. 112 noch unter das Werkvertragsrecht subsumierte, änderte es in BGE 110 II 375 seine Rechtsprechung und unterstellte den Vertrag zwischen dem Zahnarzt und seinem Patienten insgesamt dem Auftragsrecht. Die Herstellung von allfälligen Werken im Rahmen der Behandlung bildet Teil des Auftrags; dazu gehört auch der Einbau von Brücken und Kronen (BGE 110 II 375 E. 1b S. 378 f. und E. 2 S. 379; vgl. auch WALTER FELLMANN, Berner Kommentar, 1992, N. 396 zu Art. 398
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat CO Art. 398 - 1 La responsabilité du mandataire est soumise, d'une manière générale, aux mêmes règles que celle du travailleur dans les rapports de travail.256 |
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1 | La responsabilité du mandataire est soumise, d'une manière générale, aux mêmes règles que celle du travailleur dans les rapports de travail.256 |
2 | Le mandataire est responsable envers le mandant de la bonne et fidèle exécution du mandat. |
3 | Il est tenu de l'exécuter personnellement, à moins qu'il ne soit autorisé à le transférer à un tiers, qu'il n'y soit contraint par les circonstances ou que l'usage ne permette une substitution de pouvoirs. |
Als Beauftragter schuldet der Arzt dem Patienten nicht die Wiederherstellung der Gesundheit, sondern lediglich eine darauf ausgerichtete Behandlung nach den Regeln der ärztlichen Kunst (BGE 133 III 121 E. 3.1 S. 124; 120 II 248 E. 2c S. 250). Das Bundesgericht hat in BGE 120 II 248 E. 2c S. 250 ausgeführt, eine durch die Behandlung verursachte neue gesundheitliche Beeinträchtigung sei indessen vom blossen Ausbleiben des Behandlungserfolgs zu unterscheiden. Zwar könne ein solches Ergebnis nicht an sich schon als Vertragsverletzung qualifiziert werden, da medizinische Behandlungen und Eingriffe in einem gewissen Mass mit Risiken verbunden seien, die auch bei Anwendung aller notwendigen Sorgfalt nicht vermeidbar seien. Soweit die Möglichkeit negativer Auswirkungen der Behandlung aber erkennbar sei, müsse der Arzt alle Vorkehren treffen, um deren Eintritt zu verhindern. Deren Eintritt begründe dann eine tatsächliche Vermutung, dass nicht alle gebotenen Vorkehren getroffen worden seien und somit eine objektive Sorgfaltspflichtverletzung vorliege. In einem späteren Urteil (4C.53/2000 vom 13. Juni 2000 E. 2b) schränkte das Bundesgericht diese Rechtsprechung allerdings ein. In BGE 133 III 121 E. 3.1 S. 124 f. und E. 3.4 S. 127 f.
(Verletzung eines Nervs durch einen Wundhaken) und im Urteil 4A 137/2015 vom 19. August 2015 E. 6.3.1 (nicht publ. in: BGE 141 III 363) liess es schliesslich offen, ob die Geschädigte von einer solchen Tatsachenvermutung profitieren könnte. In jedem Fall dient die Vermutung der Beweiserleichterung, hat aber keine Umkehr der Beweislast zur Folge (BGE 120 II 248 E. 2c S. 250 mit Hinweis). Es obliegt mithin in jedem Fall dem Geschädigten, eine Verletzung der Sorgfaltspflicht zu beweisen (BGE 133 III 121 E. 3.4 S. 127).
3.4. Auch im vorliegenden Fall kann offenbleiben, ob die Rechtsprechung gemäss BGE 120 II 248 anwendbar wäre. Denn die Vorinstanz hat zutreffend ausgeführt, dass keine durch die Behandlung verursachte neue gesundheitliche Beeinträchtigung vorliegt, sondern ein blosses Ausbleiben des Behandlungserfolgs. Dies schliesst nicht aus, dass beim Beschwerdeführer ein Gesundheitsschaden vorliegt; entscheidend ist aber, dass der Kontakt der Brücke zur Gegenzahnreihe keine neue gesundheitliche Beeinträchtigung des Beschwerdeführers darstellt, sondern das Einsetzen einer Brücke mit bestehendem Kontakt zur Gegenzahnreihe gerade Gegenstand des Auftrags war und den gewünschten Behandlungserfolg darstellt, der ausgeblieben ist. Damit sind selbst nach dem vom Beschwerdeführer angerufenen BGE 120 II 248 die Voraussetzungen für eine tatsächliche Vermutung, dass nicht alle gebotenen Vorkehren getroffen worden sind und somit eine objektive Sorgfaltspflichtverletzung vorliegt, nicht erfüllt.
Gemäss den vorinstanzlichen Sachverhaltsfeststellungen hat der Gerichtsgutachter weiter nicht festgehalten, dass die Infraokklusion nur auf einen von mehreren möglichen Fehlern der Beschwerdegegnerin zurückgeführt werden könne. Vielmehr hat er nach den verbindlichen Feststellungen lediglich ausgeführt, es könne angenommen werden, dass bei der Bissnahme ein Übertragungsfehler entstanden sei und das zu niedrige Niveau des Zahnes 37 zu einer zu tiefen Einstellung der Brücke geführt habe. Die Vorinstanz hat in dieser Hinsicht auf die Feststellung des erstinstanzlichen Gerichts verwiesen, wonach die Beschwerdegegnerin schlüssig dargelegt habe, dass ihr der Zahn nicht als Referenzgrösse gedient habe. Dagegen bringt der Beschwerdeführer nichts vor. Die Vorinstanz durfte daher ohne Verletzung von Bundesrecht zum Schluss kommen, das Behandlungsresultat befriedige zwar nicht, doch der Nachweis einer Sorgfaltspflichtverletzung der Beschwerdegegnerin sei nicht gelungen.
4.
4.1. Der Beschwerdeführer rügt weiter, die Vorinstanz habe den Sachverhalt im Zusammenhang mit der Fraktur des Zahns 21 offensichtlich unrichtig festgestellt. Beim Abdrucknehmen für die Brücke habe sich die Abdruckmasse vom Unterkiefer nicht wie gewünscht lösen lassen. Beim ruckartigen Ablösen der Masse sei die Beschwerdegegnerin mit dem Abdrucklöffel an den Zahn 21 gestossen. Entgegen der Ansicht der Vorinstanz habe die Beschwerdegegnerin diesen Sachverhalt auch im Prozess nicht substanziiert bestritten. Es sei daher willkürlich, wenn die Vorinstanz von einem anderen Sachverhalt ausgehe. Die willkürliche Sachverhaltsfeststellung habe Auswirkungen auf den Ausgang des Verfahrens. Hätte die Vorinstanz auf die glaubhafte Aussage des Beschwerdeführers abgestellt, so hätte sie eine Sorgfaltspflichtverletzung der Beschwerdegegnerin bejahen müssen. Da sich die Abdruckmasse nicht wie gewünscht habe lösen lassen, sei diese zu lange ausgehärtet worden. Im Wissen um die Vorschädigung des Zahns 21 hätte die Beschwerdegegnerin darauf achten müssen, die Abdruckmasse rechtzeitig herauszulösen. Sie hafte dem Beschwerdeführer für den Schaden, der durch die Fraktur des Zahns entstanden sei.
4.2. Die Vorinstanz hat ausgeführt, gemäss dem erstinstanzlichen Gericht habe der Beschwerdeführer nicht nachgewiesen, dass die Beschwerdegegnerin beim Abdrucknehmen unsorgfältig vorgegangen sei, indem etwa das falsche Material verwendet oder die Abdruckmasse zu lange ausgehärtet worden sei. Nach den Feststellungen des erstinstanzlichen Gerichts sei auch nicht erstellt, dass es einen Kontakt zwischen dem Abdrucklöffel und dem Zahn 21 gegeben habe. Dieser Beurteilung halte der Beschwerdeführer einzig entgegen, dass die Beschwerdegegnerin seine Schilderung der Abdrucknahme im Schreiben vom 12. März 2010 vorprozessual nicht bestritten habe. Dazu sei die Beschwerdegegnerin indessen nicht verpflichtet gewesen.
Die Vorinstanz fasste die Vorbringen des Beschwerdeführers in der Berufung in E. 4.2.2 zusammen: Der Beschwerdeführer habe geltend gemacht, er habe in seinem Schreiben vom 12. März 2010 der Beschwerdegegnerin gegenüber festgehalten, wie sich der Vorfall aus seiner Sicht abgespielt habe. Er habe dort ausgeführt, es habe plötzlich ein klar hörbares, knackendes Geräusch gegeben und die Anwesenden hätten sich fragend angeschaut, ohne etwas zu sagen. Diese Darstellung habe die Beschwerdegegnerin im Laufe der Jahre nie bestritten. Dass sie das erst im Prozess getan habe, müsse entsprechend gewürdigt werden und spreche nicht für ihre Glaubwürdigkeit.
4.3. Der Beschwerdeführer rügt nicht, die Vorinstanz habe seine Vorbringen in der Berufung falsch zitiert. Die Feststellungen der Vorinstanz zum Prozesssachverhalt sind somit für das Bundesgericht verbindlich (vgl. oben E. 2.1). Gestützt auf die zitierten Vorbringen in der Berufung durfte die Vorinstanz ohne Willkür feststellen, der Beschwerdeführer habe den Erwägungen des erstinstanzlichen Gerichts einzig entgegengehalten, die Beschwerdegegnerin habe seine Schilderung der Abdrucknahme im Schreiben vom 12. März 2010 vorprozessual nicht bestritten. Die Erwägung der Vorinstanz, die Beschwerdegegnerin sei dazu nicht verpflichtet gewesen, rügt der Beschwerdeführer zu Recht nicht als bundesrechtswidrig. Seine Rüge erweist sich damit als unbegründet.
5.
Schliesslich rügt der Beschwerdeführer, die Vorinstanz habe im Zusammenhang mit der geltend gemachten Offertüberschreitung Art. 97 Abs. 1
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat CO Art. 97 - 1 Lorsque le créancier ne peut obtenir l'exécution de l'obligation ou ne peut l'obtenir qu'imparfaitement, le débiteur est tenu de réparer le dommage en résultant, à moins qu'il ne prouve qu'aucune faute ne lui est imputable. |
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1 | Lorsque le créancier ne peut obtenir l'exécution de l'obligation ou ne peut l'obtenir qu'imparfaitement, le débiteur est tenu de réparer le dommage en résultant, à moins qu'il ne prouve qu'aucune faute ne lui est imputable. |
2 | Les dispositions de la loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite44 et du code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC)45 s'appliquent à l'exécution.46 |
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat CO Art. 398 - 1 La responsabilité du mandataire est soumise, d'une manière générale, aux mêmes règles que celle du travailleur dans les rapports de travail.256 |
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1 | La responsabilité du mandataire est soumise, d'une manière générale, aux mêmes règles que celle du travailleur dans les rapports de travail.256 |
2 | Le mandataire est responsable envers le mandant de la bonne et fidèle exécution du mandat. |
3 | Il est tenu de l'exécuter personnellement, à moins qu'il ne soit autorisé à le transférer à un tiers, qu'il n'y soit contraint par les circonstances ou que l'usage ne permette une substitution de pouvoirs. |
5.1. Die Vorinstanz hat ausgeführt, die geltend gemachte Offertüberschreitung von Fr. 4'811.95 sei aus den vorinstanzlichen Akten nicht nachvollziehbar. Ohnehin setze ein Anspruch auf Schadenersatz oder Honorarminderung voraus, dass der Auftraggeber dartue, er hätte bei richtiger Prognose der Kosten Einsparungen vorgenommen oder auf das Mandat verzichtet. Hätte er nämlich bei richtiger Information den Auftrag unverändert weitergeführt, d.h. die über die Kostenschätzung hinausgehenden Kosten ohnehin in Kauf genommen, sei ihm kein Schaden entstanden. Der Beschwerdeführer habe jedoch im erstinstanzlichen Verfahren nicht einmal behauptet, geschweige denn nachgewiesen, dass er bei richtiger Kostenschätzung auf die Zahnbehandlung oder Teile derselben verzichtet hätte. Damit könne er aus der geltend gemachten Kostenüberschreitung nichts zu seinen Gunsten ableiten.
5.2. Dagegen bringt der Beschwerdeführer vor, die Offerte enthalte den ausdrücklichen Hinweis, dass er über die nötige Neuplanung orientiert werde, wenn sich während der Behandlung bei den Kosten Abweichungen von mehr als 15 % ergeben würden. Damit sei eine Toleranzgrenze von 15 % vertraglich vereinbart worden. Hätte die Beschwerdegegnerin ihre Informationspflicht erfüllt, wären zwar diejenigen Kosten entstanden, welche sich noch innerhalb der vertraglich vereinbarten Toleranzgrenze von 15 % befänden, da der Beschwerdeführer diesfalls vom Auftragsverhältnis nicht Abstand genommen hätte. Bei Kenntnis der später anfallenden Mehrkosten von insgesamt 28 % zum Zeitpunkt des Vertragsschlusses wäre der Beschwerdeführer aber das Auftragsverhältnis nach dem gewöhnlichen Lauf der Dinge gar nicht erst eingegangen, sondern hätte anderweitig Offerten eingeholt und mit einem anderen Anbieter einen Vertrag abgeschlossen. Entsprechend sei dem Beschwerdeführer ein Schaden im Umfang von 13 % der Ausgangsofferte entstanden, wofür die Beschwerdegegnerin aufzukommen habe.
5.3. Die Vorinstanz hat die Kausalität der behaupteten Vertragsverletzung zum Schaden verneint. Feststellungen zum hypothetischen Kausalzusammenhang sind entsprechend der allgemeinen Regel über die Verbindlichkeit der Feststellungen zum natürlichen Kausalzusammenhang für das Bundesgericht bindend und beruhen auf Beweiswürdigung; nur wenn die hypothetische Kausalität ausschliesslich gestützt auf die allgemeine Lebenserfahrung - und nicht gestützt auf Beweismittel - festgestellt wird, unterliegt sie der freien Überprüfung durch das Bundesgericht (vgl. BGE 132 III 305 E. 3.5 S. 311; 115 II 440 E. 5a S. 447 f.; je mit Hinweisen).
Die Vorinstanz hat aus den fehlenden Behauptungen und Beweismitteln geschlossen, der Beschwerdeführer habe den Verzicht auf die Zahnbehandlung oder Teile derselben und damit den hypothetischen Kausalzusammenhang nicht nachgewiesen. Diese Feststellung stellt Beweiswürdigung dar, an welche das Bundesgericht grundsätzlich gebunden ist. Der Beschwerdeführer erklärt zwar in seiner Beschwerde, dass und weshalb er bei Kenntnis der Mehrkosten den Vertrag mit der Beschwerdegegnerin nicht abgeschlossen hätte. Er zeigt jedoch nicht auf, dass er diese Behauptungen bereits im kantonalen Verfahren vorgebracht hätte. Die Vorinstanz durfte daher ohne Verletzung von Bundesrecht den hypothetischen Kausalzusammenhang und damit den wegen Offertüberschreitung geltend gemachten Anspruch des Beschwerdeführers verneinen. Damit kann offenbleiben, ob die Vorinstanz - wie vom Beschwerdeführer ebenfalls gerügt - den Sachverhalt im Zusammenhang mit der Berechnung der Höhe der Überschreitung offensichtlich unrichtig festgestellt hat.
6.
Nach dem Gesagten ist die Beschwerde abzuweisen, soweit darauf einzutreten ist. Bei diesem Verfahrensausgang wird der Beschwerdeführer kosten- und entschädigungspflichtig (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 2'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Der Beschwerdeführer hat die Beschwerdegegnerin für das bundesgerichtliche Verfahren mit Fr. 2'500.-- zu entschädigen.
4.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Obergericht des Kantons Aargau, Zivilgericht, 1. Kammer, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 26. September 2016
Im Namen der I. zivilrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Die Präsidentin: Kiss
Die Gerichtsschreiberin: Marti-Schreier