Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
5A 503/2018
Arrêt du 25 septembre 2018
IIe Cour de droit civil
Composition
MM. les Juges fédéraux von Werdt, Président,
Herrmann et Bovey.
Greffière : Mme Hildbrand.
Participants à la procédure
A.A.________,
représentée par Me Cornelia Seeger Tappy, avocate,
recourante,
contre
B.A.________,
représenté par Me Peter Schaufelberger, avocat,
intimé.
Objet
répétition de l'indu (art. 86
SR 281.1 Legge federale dell'11 aprile 1889 sulla esecuzione e sul fallimento (LEF) LEF Art. 86 - 1 Chi per omessa opposizione o pel rigetto di questa ha pagato l'indebito può, entro un anno dal pagamento, ripetere in giudizio la somma sborsata.180 |
|
1 | Chi per omessa opposizione o pel rigetto di questa ha pagato l'indebito può, entro un anno dal pagamento, ripetere in giudizio la somma sborsata.180 |
2 | L'azione per la ripetizione dell'indebito si può promuovere, a scelta dell'attore, o avanti al giudice dell'esecuzione o al foro ordinario del convenuto. |
3 | In eccezione all'articolo 63 del Codice delle obbligazioni (CO)181, per avere diritto alla restituzione è sufficiente provare l'inesistenza del debito.182 |
recours contre l'arrêt de la Cour d'appel civile
du Tribunal cantonal du canton de Vaud
du 1er mai 2018 (JI 16.010861-171717).
Faits :
A.
A.a. B.A.________ et A.A.________ sont en instance de divorce. Les parties ont un fils, C.________, aujourd'hui majeur, qui a suivi sa scolarité en Suisse auprès de D.________ à V.________.
A.b. Ensuite de la séparation des parties, la contribution à l'entretien de A.A.________ et de l'enfant C.________ a fait l'objet de plusieurs décisions de mesures protectrices de l'union conjugale et de mesures provisionnelles. En sus de la contribution d'entretien, B.A.________ a été condamné, par ordonnance de mesures protectrices du 3 février 2011 confirmée sur appel le 15 avril 2011, à verser à A.A.________ la somme de 8'934 fr., soit 2'500 fr. pour le mazout de la maison conjugale et 6'434 fr. correspondant aux frais d'écolage des mois d'octobre et novembre 2010 de l'enfant C.________.
A.c. Pour l'année scolaire 2010-2011, les frais d'écolage de l'enfant C.________ auprès de D.________ se sont élevés à 3'217 fr. par mois. Selon deux extraits de compte au 19 novembre 2012, B.A.________ a procédé aux paiements suivants en faveur de cette école: 2'500 fr. le 29 décembre 2010, 10'000 fr. le 9 août 2011, ainsi que 7'420 fr. et 5'819 fr. 80 le 11 mai 2012. Il ressort des indications figurant sur les bulletins de versement correspondants que les montants de 2'500 fr. et de 10'000 fr. ont respectivement été versés pour le mois d'octobre 2010 (" X10 Schoolfee ") et pour l'année 2010 (" Schoolfee 2010 for C.________ "). Les paiements du 11 mai 2012 ont été effectués à l'aide d'un prêt octroyé par F.________ employeur de B.A.________. Selon un extrait du compte bancaire Credit Suisse de A.A.________, celle-ci a versé le 1er décembre 2010 à D.________ les montants de 727 fr. 50 et de 2'490 fr. Par courriel du 15 février 2013, l'école a confirmé qu'un prêt de F.________ avait permis de régler le solde de l'écolage de l'enfant C.________ pour l'année 2010-2011.
B.
B.a. En 2013, A.A.________ a obtenu un séquestre contre B.A.________ à raison de pensions impayées et d'un solde de dépens; ce séquestre a été exécuté dans les cantons de Berne et de Zurich.
B.b. Dans le cadre de la procédure d'opposition au séquestre, le Tribunal régional de Berne-Mittelland a retenu dans sa décision du 31 juillet 2013 qu'une somme de 26'851 fr. 25 était due à titre d'arriérés de pensions et a " rejeté l'opposition au séquestre pour le surplus ".
Par arrêt du 17 octobre 2013, la Cour suprême du canton de Berne a réformé la décision du 31 juillet 2013 en ce sens qu'une somme de 2'400 fr. devait être déduite des 26'851 fr. 25 retenus par le Tribunal régional de Berne-Mittelland; la décision a été confirmée pour le surplus. La Cour suprême a notamment confirmé que B.A.________ ne pouvait pas compenser les pensions dues à l'entretien des siens avec des paiements opérés directement en faveur de l'école privée de l'enfant - à savoir 10'000 fr. et 13'239 fr. 80 (7'420 fr. + 5'819 fr. 80). Cette autorité a ainsi retenu que les parties étaient endettées, notamment auprès de l'école privée de leur enfant, que l'époux avait obtenu un prêt de son employeur en contrepartie d'un remboursement mensuel de 3'700 fr., que ce remboursement avait été pris en compte dans le calcul de son minimum vital, entraînant une baisse du montant de la pension et que, les deux versements susmentionnés ayant servi au paiement des dettes, ils ne pouvaient pas être compensés avec les créances alimentaires.
Dans le cadre de la procédure de mainlevée consécutive au séquestre, le conseil de B.A.________ a, par courrier du 20 février 2014, informé le Tribunal régional de Berne-Mittelland que son client retirait l'opposition interjetée dans la poursuite n° xxxxxxxx en validation de séquestre.
B.c. Par décision du 17 décembre 2013, intervenue à la suite de la poursuite en validation de séquestre n° yyyyy de l'Office des poursuites de Zurich 1 frappée d'opposition par B.A.________, le Tribunal de district de Zurich a prononcé la mainlevée définitive à concurrence de 8'934 fr. avec intérêts à 5% dès le 25 avril 2011, de 600 fr. avec intérêts à 5% dès le 26 juin 2013 et de 14'917 fr. 25 avec intérêts à 5% dès le 26 juin 2013, soit une somme totale de 24'451 fr. 25 en faveur de A.A.________. Cette autorité a en particulier considéré que B.A.________ ne pouvait pas compenser les paiements directs en faveur de l'école privée avec les pensions dues, ces paiements résultant notamment de dettes, lesquelles avaient été prises en compte dans le calcul de son minimum vital.
Le montant de 8'934 fr. résulte de l'ordonnance de mesures protectrices de l'union conjugale du 3 février 2011, qui prévoit que B.A.________ doit le verser en sus des contributions d'entretien. Celui de 600 fr. correspond à des dépens dus par B.A.________ à A.A.________. Quant au montant de 14'917 fr. 25, il constitue le résultat des différences entre les contributions d'entretien mises à la charge de B.A.________ et les montants qu'il aurait effectivement versés, selon les différentes décisions sur mesures protectrices ou sur mesures provisionnelles intervenues entre les parties.
Par courrier du 20 février 2014, le conseil de B.A.________ a informé le Tribunal de district de Zurich que son client ne ferait pas recours contre la décision de mainlevée du 17 décembre 2013.
B.d. Le 23 février 2015, en exécution d'une ordonnance de mesures superprovisionnelles rendue le 11 février 2015 par la Présidente du Tribunal d'arrondissement de l'Est vaudois, un montant de 4'291 fr. 55 a été prélevé sur les fonds bloqués auprès de l'Office des poursuites de Berne-Mittelland pour versement à l'Office des poursuites de Vevey; ce montant était destiné au règlement des frais de mazout de la maison conjugale, augmentés des frais de poursuite et des intérêts.
B.e. Le 18 août 2015, l'Office des poursuites de Berne-Mittelland a versé à A.A.________ la somme de 34'925 fr. 25, consécutivement à la décision de mainlevée définitive rendue le 17 décembre 2013 par le Tribunal du district de Zurich dans le cadre de la poursuite n° yyyyy et au retrait de l'opposition au commandement de payer, poursuite n° xxxxxxxx de l'Office des poursuites de Berne-Mittelland.
Selon le décompte établi le 1er septembre 2015 par l'Office des poursuites de Berne-Mittelland, cette somme porte principalement sur trois créances - à savoir 8'934 fr. avec intérêts à 5% dès le 15 avril 2011, 600 fr. avec intérêts à 5% dès le 1er juin 2013 et 14'917 fr. 25 avec intérêts à 5% dès le 1er avril 2012 -, le solde étant constitué de divers frais et d'intérêts par 10'474 fr. En sus de la somme de 34'925 fr. 25, l'Office des poursuites de Berne-Mittelland a retenu 1'232 fr. 55 pour ses frais.
C.
C.a. Le 4 mars 2016, B.A.________ a déposé une demande en répétition de l'indu, concluant à ce que A.A.________ soit condamnée à lui verser la somme de 30'000 fr. avec intérêts à 5% l'an dès le 19 août 2015, subsidiairement dès le jour du dépôt de la requête de conciliation.
Par réponse du 13 juin 2016, A.A.________ a conclu au rejet de la demande.
C.b. Par jugement du 25 août 2017, la Présidente du Tribunal d'arrondissement de l'Est vaudois a admis la demande déposée le 4 mars 2016 par B.A.________ (I), a dit que, dès jugement définitif et exécutoire, A.A.________ devrait immédiat paiement en faveur de B.A.________ de 30'000 fr. à titre de répétition de l'indu (II), a arrêté les frais judiciaires à 2'460 fr., les a mis à la charge de A.A.________ et les a compensés avec les avances versées (III), a dit que A.A.________ était la débitrice de B.A.________ d'un montant total de 2'460 fr. à titre de remboursement des frais judiciaires mis à sa charge que B.A.________ avait avancés (IV), a dit que A.A.________ était la débitrice de B.A.________ de la somme de 5'000 fr. à titre de dépens (V) et a rejeté toutes autres ou plus amples conclusions (VI).
C.c. Par acte d'appel du 27 septembre 2017, A.A.________ a conclu à la modification des chiffres I et II du jugement du 25 août 2017 en ce sens que la demande déposée le 4 mars 2016 par B.A.________ est entièrement rejetée, et que les chiffres III, IV et V de ce jugement sont modifiés en ce sens que les frais judiciaires et les dépens sont mis à la charge de B.A.________.
Par déterminations du 6 décembre 2017, B.A.________ a conclu au rejet de l'appel.
C.d. Par arrêt du 1er mai 2018, notifié le 11 suivant, la Cour d'appel civile du Tribunal cantonal vaudois a partiellement admis l'appel (I) et a réformé le jugement attaqué en ce sens que la demande déposée le 4 mars 2016 par B.A.________ contre A.A.________ est partiellement admise, que, dès jugement définitif et exécutoire, A.A.________ doit payer à B.A.________ un montant de 16'190 fr. 50 à titre de répétition de l'indu, que les frais judiciaires, arrêtés à 2'460 fr., montant comprenant 360 fr. de frais de conciliation, sont mis à la charge de B.A.________ par 1'230 fr. et à la charge de A.A.________ par 1'230 fr. et sont compensés avec les avances versées, que A.A.________ doit payer à B.A.________ un montant de 1'230 fr. à titre de remboursement des frais judiciaires et des frais de conciliation mis à sa charge et que B.A.________ a avancés, que les dépens sont compensés, et que toutes autres ou plus amples conclusions sont rejetées (II). Les frais judiciaires de deuxième instance, arrêtés à 2'700 fr. ont été mis à la charge de l'intimé par 1'350 fr. et provisoirement laissés à la charge de l'Etat pour l'appelante par 1'350 fr. (III). Les dépens de deuxième instance ont été compensés (IV) et l'indemnité d'office de Me
Cornelia Seeger Tappy, conseil de l'appelante, arrêtée à 1'392 fr. 15, TVA et débours compris (V).
D.
Par acte posté le 13 juin 2018, A.A.________ exerce un recours en matière civile au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 1er mai 2018. Elle conclut à son annulation et à sa réforme en ce sens que la demande déposée le 4 mars 2016 par B.A.________ est rejetée, que les frais judiciaires de première instance, arrêtés à 2'460 fr., sont mis à la charge de B.A.________, que B.A.________ doit lui verser des dépens de première instance de 5'000 fr., que les frais judiciaires de deuxième instance, arrêtés à 2'700 fr., sont mis à la charge de B.A.________, et que B.A.________ lui doit des dépens de deuxième instance de 3'000 fr. La recourante a assorti son recours d'une requête conditionnelle d'assistance judiciaire pour le cas où sa demande de provisio ad litem serait refusée par la Cour d'appel civile du Tribunal cantonal vaudois.
Le 20 juin 2018, le conseil de A.A.________ a informé le Tribunal de céans que la Cour d'appel civile avait rejeté sa demande de provisio ad litemet qu'elle maintenait en conséquence sa requête d'assistance judiciaire pour la procédure fédérale.
Des déterminations n'ont pas été requises.
Considérant en droit :
1.
Le recours est dirigé contre une décision finale (art. 90
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 90 Decisioni finali - Il ricorso è ammissibile contro le decisioni che pongono fine al procedimento. |
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 75 Autorità inferiori - 1 Il ricorso è ammissibile contro le decisioni pronunciate dalle autorità cantonali di ultima istanza, dal Tribunale amministrativo federale e dal Tribunale federale dei brevetti.36 |
|
1 | Il ricorso è ammissibile contro le decisioni pronunciate dalle autorità cantonali di ultima istanza, dal Tribunale amministrativo federale e dal Tribunale federale dei brevetti.36 |
2 | I Cantoni istituiscono tribunali superiori quali autorità cantonali di ultima istanza. Tali tribunali giudicano su ricorso, salvo nei casi in cui: |
a | una legge federale prevede un'istanza cantonale unica; |
b | un tribunale specializzato nelle controversie di diritto commerciale giudica in istanza cantonale unica; |
c | è proposta loro direttamente, con il consenso di tutte le parti, un'azione con un valore litigioso di almeno 100 000 franchi. |
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 72 Principio - 1 Il Tribunale federale giudica i ricorsi contro le decisioni pronunciate in materia civile. |
|
1 | Il Tribunale federale giudica i ricorsi contro le decisioni pronunciate in materia civile. |
2 | Al ricorso in materia civile soggiacciono anche: |
a | le decisioni in materia di esecuzione e fallimento; |
b | le decisioni in rapporto diretto con il diritto civile pronunciate in applicazione di norme di diritto pubblico, segnatamente le decisioni: |
b1 | sul riconoscimento e l'esecuzione di decisioni e sull'assistenza giudiziaria in materia civile, |
b2 | sulla tenuta del registro fondiario, dei registri dello stato civile, del registro di commercio e dei registri in materia di marchi, disegni e modelli, brevetti d'invenzione, varietà vegetali e topografie, |
b3 | sull'autorizzazione al cambiamento del nome, |
b4 | in materia di vigilanza sulle fondazioni, eccettuati gli istituti di previdenza e di libero passaggio, |
b5 | in materia di vigilanza sugli esecutori testamentari e altri rappresentanti previsti dal diritto successorio, |
b6 | in materia di protezione dei minori e degli adulti, |
b7 | ... |
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 76 Diritto di ricorso - 1 Ha diritto di interporre ricorso in materia civile chi: |
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1 | Ha diritto di interporre ricorso in materia civile chi: |
a | ha partecipato al procedimento dinanzi all'autorità inferiore o è stato privato della possibilità di farlo; e |
b | è particolarmente toccato dalla decisione impugnata e ha un interesse degno di protezione all'annullamento o alla modifica della stessa. |
2 | Il diritto di ricorrere contro le decisioni di cui all'articolo 72 capoverso 2 spetta inoltre alla Cancelleria federale, ai dipartimenti federali o, in quanto lo preveda il diritto federale, ai servizi loro subordinati, se la decisione impugnata viola la legislazione federale nella sfera dei loro compiti.40 |
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 51 Calcolo - 1 Il valore litigioso à determinato: |
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1 | Il valore litigioso à determinato: |
a | in caso di ricorso contro una decisione finale, dalle conclusioni rimaste controverse dinanzi all'autorità inferiore; |
b | in caso di ricorso contro una decisione parziale, dall'insieme delle conclusioni che erano controverse dinanzi all'autorità che ha pronunciato la decisione; |
c | in caso di ricorso contro decisioni pregiudiziali e incidentali, dalle conclusioni che sono controverse dinanzi all'autorità competente nel merito; |
d | in caso di azione, dalle conclusioni dell'attore. |
2 | Se nelle conclusioni non è chiesto il pagamento di una somma di denaro determinata, il Tribunale federale stabilisce il valore litigioso secondo il suo apprezzamento. |
3 | Gli interessi, i frutti, le spese giudiziarie e ripetibili fatti valere come pretese accessorie, i diritti riservati e le spese di pubblicazione della sentenza non entrano in linea di conto nella determinazione del valore litigioso. |
4 | Le rendite e prestazioni periodiche hanno il valore del capitale che rappresentano. Se la loro durata è incerta o illimitata, è considerato valore del capitale l'importo annuo della rendita o della prestazione moltiplicato per venti o, se si tratta di rendite vitalizie, il valore attuale del capitale corrispondente alla rendita. |
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 74 Valore litigioso minimo - 1 Nelle cause di carattere pecuniario il ricorso è ammissibile soltanto se il valore litigioso ammonta almeno a: |
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1 | Nelle cause di carattere pecuniario il ricorso è ammissibile soltanto se il valore litigioso ammonta almeno a: |
a | 15 000 franchi nelle controversie in materia di diritto del lavoro e di locazione; |
b | 30 000 franchi in tutti gli altri casi. |
2 | Quando il valore litigioso non raggiunge l'importo determinante secondo il capoverso 1, il ricorso è ammissibile: |
a | se la controversia concerne una questione di diritto di importanza fondamentale; |
b | se una legge federale prevede un'istanza cantonale unica; |
c | contro le decisioni delle autorità cantonali di vigilanza in materia di esecuzione e fallimento; |
d | contro le decisioni del giudice del fallimento e del concordato; |
e | contro le decisioni del Tribunale federale dei brevetti. |
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 100 Ricorso contro decisioni - 1 Il ricorso contro una decisione deve essere depositato presso il Tribunale federale entro 30 giorni dalla notificazione del testo integrale della decisione. |
|
1 | Il ricorso contro una decisione deve essere depositato presso il Tribunale federale entro 30 giorni dalla notificazione del testo integrale della decisione. |
2 | Il termine è di dieci giorni per i ricorsi contro le decisioni: |
a | delle autorità cantonali di vigilanza in materia di esecuzione e fallimento; |
b | nel campo dell'assistenza giudiziaria internazionale in materia penale e dell'assistenza amministrativa internazionale in materia fiscale; |
c | in materia di ritorno di un minore secondo la Convenzione europea del 20 maggio 198090 sul riconoscimento e l'esecuzione delle decisioni in materia di affidamento di minori e sul ristabilimento dell'affidamento oppure secondo la Convenzione del 25 ottobre 198091 sugli aspetti civili del rapimento internazionale di minori; |
d | del Tribunale federale dei brevetti in materia di rilascio di una licenza secondo l'articolo 40d della legge del 25 giugno 195493 sui brevetti. |
3 | Il termine è di cinque giorni per i ricorsi contro le decisioni: |
a | delle autorità cantonali di vigilanza in materia di esecuzione e fallimento pronunciate nell'ambito dell'esecuzione cambiaria; |
b | dei Governi cantonali su ricorsi concernenti votazioni federali. |
4 | Il termine è di tre giorni per i ricorsi contro le decisioni dei Governi cantonali su ricorsi concernenti le elezioni al Consiglio nazionale. |
5 | Per i ricorsi concernenti conflitti di competenza tra due Cantoni, il termine decorre al più tardi dal giorno in cui in ciascun Cantone sono state pronunciate decisioni impugnabili mediante ricorso al Tribunale federale. |
6 | ...94 |
7 | Il ricorso per denegata o ritardata giustizia può essere interposto in ogni tempo. |
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 42 Atti scritti - 1 Gli atti scritti devono essere redatti in una lingua ufficiale, contenere le conclusioni, i motivi e l'indicazione dei mezzi di prova ed essere firmati. |
|
1 | Gli atti scritti devono essere redatti in una lingua ufficiale, contenere le conclusioni, i motivi e l'indicazione dei mezzi di prova ed essere firmati. |
2 | Nei motivi occorre spiegare in modo conciso perché l'atto impugnato viola il diritto. Qualora il ricorso sia ammissibile soltanto se concerne una questione di diritto di importanza fondamentale o un caso particolarmente importante per altri motivi, occorre spiegare perché la causa adempie siffatta condizione.14 15 |
3 | Se sono in possesso della parte, i documenti indicati come mezzi di prova devono essere allegati; se l'atto scritto è diretto contro una decisione, anche questa deve essere allegata. |
4 | In caso di trasmissione per via elettronica, la parte o il suo patrocinatore deve munire l'atto scritto di una firma elettronica qualificata secondo la legge del 18 marzo 201616 sulla firma elettronica. Il Tribunale federale determina mediante regolamento: |
a | il formato dell'atto scritto e dei relativi allegati; |
b | le modalità di trasmissione; |
c | le condizioni alle quali può essere richiesta la trasmissione successiva di documenti cartacei in caso di problemi tecnici.17 |
5 | Se mancano la firma della parte o del suo patrocinatore, la procura dello stesso o gli allegati prescritti, o se il patrocinatore non è autorizzato in quanto tale, è fissato un congruo termine per sanare il vizio, con la comminatoria che altrimenti l'atto scritto non sarà preso in considerazione. |
6 | Gli atti illeggibili, sconvenienti, incomprensibili, prolissi o non redatti in una lingua ufficiale possono essere del pari rinviati al loro autore affinché li modifichi. |
7 | Gli atti scritti dovuti a condotta processuale da querulomane o altrimenti abusiva sono inammissibili. |
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 42 Atti scritti - 1 Gli atti scritti devono essere redatti in una lingua ufficiale, contenere le conclusioni, i motivi e l'indicazione dei mezzi di prova ed essere firmati. |
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1 | Gli atti scritti devono essere redatti in una lingua ufficiale, contenere le conclusioni, i motivi e l'indicazione dei mezzi di prova ed essere firmati. |
2 | Nei motivi occorre spiegare in modo conciso perché l'atto impugnato viola il diritto. Qualora il ricorso sia ammissibile soltanto se concerne una questione di diritto di importanza fondamentale o un caso particolarmente importante per altri motivi, occorre spiegare perché la causa adempie siffatta condizione.14 15 |
3 | Se sono in possesso della parte, i documenti indicati come mezzi di prova devono essere allegati; se l'atto scritto è diretto contro una decisione, anche questa deve essere allegata. |
4 | In caso di trasmissione per via elettronica, la parte o il suo patrocinatore deve munire l'atto scritto di una firma elettronica qualificata secondo la legge del 18 marzo 201616 sulla firma elettronica. Il Tribunale federale determina mediante regolamento: |
a | il formato dell'atto scritto e dei relativi allegati; |
b | le modalità di trasmissione; |
c | le condizioni alle quali può essere richiesta la trasmissione successiva di documenti cartacei in caso di problemi tecnici.17 |
5 | Se mancano la firma della parte o del suo patrocinatore, la procura dello stesso o gli allegati prescritti, o se il patrocinatore non è autorizzato in quanto tale, è fissato un congruo termine per sanare il vizio, con la comminatoria che altrimenti l'atto scritto non sarà preso in considerazione. |
6 | Gli atti illeggibili, sconvenienti, incomprensibili, prolissi o non redatti in una lingua ufficiale possono essere del pari rinviati al loro autore affinché li modifichi. |
7 | Gli atti scritti dovuti a condotta processuale da querulomane o altrimenti abusiva sono inammissibili. |
2.
2.1. Le recours est ouvert pour violation du droit fédéral (art. 95 let. a
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 95 Diritto svizzero - Il ricorrente può far valere la violazione: |
|
a | del diritto federale; |
b | del diritto internazionale; |
c | dei diritti costituzionali cantonali; |
d | delle disposizioni cantonali in materia di diritto di voto dei cittadini e di elezioni e votazioni popolari; |
e | del diritto intercantonale. |
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 106 Applicazione del diritto - 1 Il Tribunale federale applica d'ufficio il diritto. |
|
1 | Il Tribunale federale applica d'ufficio il diritto. |
2 | Esamina la violazione di diritti fondamentali e di disposizioni di diritto cantonale e intercantonale soltanto se il ricorrente ha sollevato e motivato tale censura. |
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 42 Atti scritti - 1 Gli atti scritti devono essere redatti in una lingua ufficiale, contenere le conclusioni, i motivi e l'indicazione dei mezzi di prova ed essere firmati. |
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1 | Gli atti scritti devono essere redatti in una lingua ufficiale, contenere le conclusioni, i motivi e l'indicazione dei mezzi di prova ed essere firmati. |
2 | Nei motivi occorre spiegare in modo conciso perché l'atto impugnato viola il diritto. Qualora il ricorso sia ammissibile soltanto se concerne una questione di diritto di importanza fondamentale o un caso particolarmente importante per altri motivi, occorre spiegare perché la causa adempie siffatta condizione.14 15 |
3 | Se sono in possesso della parte, i documenti indicati come mezzi di prova devono essere allegati; se l'atto scritto è diretto contro una decisione, anche questa deve essere allegata. |
4 | In caso di trasmissione per via elettronica, la parte o il suo patrocinatore deve munire l'atto scritto di una firma elettronica qualificata secondo la legge del 18 marzo 201616 sulla firma elettronica. Il Tribunale federale determina mediante regolamento: |
a | il formato dell'atto scritto e dei relativi allegati; |
b | le modalità di trasmissione; |
c | le condizioni alle quali può essere richiesta la trasmissione successiva di documenti cartacei in caso di problemi tecnici.17 |
5 | Se mancano la firma della parte o del suo patrocinatore, la procura dello stesso o gli allegati prescritti, o se il patrocinatore non è autorizzato in quanto tale, è fissato un congruo termine per sanare il vizio, con la comminatoria che altrimenti l'atto scritto non sarà preso in considerazione. |
6 | Gli atti illeggibili, sconvenienti, incomprensibili, prolissi o non redatti in una lingua ufficiale possono essere del pari rinviati al loro autore affinché li modifichi. |
7 | Gli atti scritti dovuti a condotta processuale da querulomane o altrimenti abusiva sono inammissibili. |
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 106 Applicazione del diritto - 1 Il Tribunale federale applica d'ufficio il diritto. |
|
1 | Il Tribunale federale applica d'ufficio il diritto. |
2 | Esamina la violazione di diritti fondamentali e di disposizioni di diritto cantonale e intercantonale soltanto se il ricorrente ha sollevato e motivato tale censura. |
2.2. Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente (art. 105 al. 1
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 105 Fatti determinanti - 1 Il Tribunale federale fonda la sua sentenza sui fatti accertati dall'autorità inferiore. |
|
1 | Il Tribunale federale fonda la sua sentenza sui fatti accertati dall'autorità inferiore. |
2 | Può rettificare o completare d'ufficio l'accertamento dei fatti dell'autorità inferiore se è stato svolto in modo manifestamente inesatto o in violazione del diritto ai sensi dell'articolo 95. |
3 | Se il ricorso è diretto contro una decisione d'assegnazione o rifiuto di prestazioni pecuniarie dell'assicurazione militare o dell'assicurazione contro gli infortuni, il Tribunale federale non è vincolato dall'accertamento dei fatti operato dall'autorità inferiore.96 |
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 95 Diritto svizzero - Il ricorrente può far valere la violazione: |
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a | del diritto federale; |
b | del diritto internazionale; |
c | dei diritti costituzionali cantonali; |
d | delle disposizioni cantonali in materia di diritto di voto dei cittadini e di elezioni e votazioni popolari; |
e | del diritto intercantonale. |
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 105 Fatti determinanti - 1 Il Tribunale federale fonda la sua sentenza sui fatti accertati dall'autorità inferiore. |
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1 | Il Tribunale federale fonda la sua sentenza sui fatti accertati dall'autorità inferiore. |
2 | Può rettificare o completare d'ufficio l'accertamento dei fatti dell'autorità inferiore se è stato svolto in modo manifestamente inesatto o in violazione del diritto ai sensi dell'articolo 95. |
3 | Se il ricorso è diretto contro una decisione d'assegnazione o rifiuto di prestazioni pecuniarie dell'assicurazione militare o dell'assicurazione contro gli infortuni, il Tribunale federale non è vincolato dall'accertamento dei fatti operato dall'autorità inferiore.96 |
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 97 Accertamento inesatto dei fatti - 1 Il ricorrente può censurare l'accertamento dei fatti soltanto se è stato svolto in modo manifestamente inesatto o in violazione del diritto ai sensi dell'articolo 95 e l'eliminazione del vizio può essere determinante per l'esito del procedimento. |
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1 | Il ricorrente può censurare l'accertamento dei fatti soltanto se è stato svolto in modo manifestamente inesatto o in violazione del diritto ai sensi dell'articolo 95 e l'eliminazione del vizio può essere determinante per l'esito del procedimento. |
2 | Se il ricorso è diretto contro una decisione d'assegnazione o rifiuto di prestazioni pecuniarie dell'assicurazione militare o dell'assicurazione contro gli infortuni, può essere censurato qualsiasi accertamento inesatto o incompleto dei fatti giuridicamente rilevanti.87 |
SR 101 Costituzione federale della Confederazione Svizzera del 18 aprile 1999 Cost. Art. 9 Protezione dall'arbitrio e tutela della buona fede - Ognuno ha diritto d'essere trattato senza arbitrio e secondo il principio della buona fede da parte degli organi dello Stato. |
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 106 Applicazione del diritto - 1 Il Tribunale federale applica d'ufficio il diritto. |
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1 | Il Tribunale federale applica d'ufficio il diritto. |
2 | Esamina la violazione di diritti fondamentali e di disposizioni di diritto cantonale e intercantonale soltanto se il ricorrente ha sollevato e motivato tale censura. |
En matière d'appréciation des preuves et d'établissement des faits, il n'y a arbitraire que lorsque l'autorité ne prend pas en compte, sans aucune raison sérieuse, un élément de preuve propre à modifier la décision, lorsqu'elle se trompe manifestement sur son sens et sa portée, ou encore lorsque, en se fondant sur les éléments recueillis, elle en tire des constatations insoutenables (ATF 143 IV 500 consid. 1.1 et la référence).
3.
Dans l'action en répétition de l'indu selon l'art. 86
SR 281.1 Legge federale dell'11 aprile 1889 sulla esecuzione e sul fallimento (LEF) LEF Art. 86 - 1 Chi per omessa opposizione o pel rigetto di questa ha pagato l'indebito può, entro un anno dal pagamento, ripetere in giudizio la somma sborsata.180 |
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1 | Chi per omessa opposizione o pel rigetto di questa ha pagato l'indebito può, entro un anno dal pagamento, ripetere in giudizio la somma sborsata.180 |
2 | L'azione per la ripetizione dell'indebito si può promuovere, a scelta dell'attore, o avanti al giudice dell'esecuzione o al foro ordinario del convenuto. |
3 | In eccezione all'articolo 63 del Codice delle obbligazioni (CO)181, per avere diritto alla restituzione è sufficiente provare l'inesistenza del debito.182 |
SR 281.1 Legge federale dell'11 aprile 1889 sulla esecuzione e sul fallimento (LEF) LEF Art. 86 - 1 Chi per omessa opposizione o pel rigetto di questa ha pagato l'indebito può, entro un anno dal pagamento, ripetere in giudizio la somma sborsata.180 |
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1 | Chi per omessa opposizione o pel rigetto di questa ha pagato l'indebito può, entro un anno dal pagamento, ripetere in giudizio la somma sborsata.180 |
2 | L'azione per la ripetizione dell'indebito si può promuovere, a scelta dell'attore, o avanti al giudice dell'esecuzione o al foro ordinario del convenuto. |
3 | In eccezione all'articolo 63 del Codice delle obbligazioni (CO)181, per avere diritto alla restituzione è sufficiente provare l'inesistenza del debito.182 |
SR 210 Codice civile svizzero del 10 dicembre 1907 CC Art. 8 - Ove la legge non disponga altrimenti, chi vuol dedurre il suo diritto da una circostanza di fatto da lui asserita, deve fornirne la prova. |
SR 210 Codice civile svizzero del 10 dicembre 1907 CC Art. 2 - 1 Ognuno è tenuto ad agire secondo la buona fede così nell'esercizio dei propri diritti come nell'adempimento dei propri obblighi. |
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1 | Ognuno è tenuto ad agire secondo la buona fede così nell'esercizio dei propri diritti come nell'adempimento dei propri obblighi. |
2 | Il manifesto abuso del proprio diritto non è protetto dalla legge. |
SR 272 Codice di diritto processuale civile svizzero del 19 dicembre 2008 (Codice di procedura civile, CPC) - Codice di procedura civile CPC Art. 164 Rifiuto indebito - Se una parte si rifiuta indebitamente di cooperare, il giudice ne tiene conto nell'apprezzamento delle prove. |
la preuve principale (TC FR, 05.06.2001, in RFJ 2001 p. 316 consid. 5a/aa citant FABIENNE HOHL, Le degré de la preuve dans les procès au fond, in La preuve dans le procès civil, 2000, p. 134; cf. ég. PIERRE-ROBERT GILLIÉRON, Commentaire de la loi fédérale sur la poursuite pour dettes et la faillite, Art. 1
SR 281.1 Legge federale dell'11 aprile 1889 sulla esecuzione e sul fallimento (LEF) LEF Art. 1 - 1 Per la procedura d'esecuzione e di fallimento il territorio di ogni Cantone forma uno o più circondari. |
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1 | Per la procedura d'esecuzione e di fallimento il territorio di ogni Cantone forma uno o più circondari. |
2 | I Cantoni determinano il numero e la circoscrizione di questi circondari. |
3 | Un circondario pei fallimenti può comprendere più circondari d'esecuzione. |
SR 281.1 Legge federale dell'11 aprile 1889 sulla esecuzione e sul fallimento (LEF) LEF Art. 88 - 1 Se l'esecuzione non è stata sospesa in virtù di un'opposizione o di una decisione giudiziale, trascorsi venti giorni dalla notificazione del precetto il creditore può chiederne la continuazione. |
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1 | Se l'esecuzione non è stata sospesa in virtù di un'opposizione o di una decisione giudiziale, trascorsi venti giorni dalla notificazione del precetto il creditore può chiederne la continuazione. |
2 | Questo diritto si estingue decorso un anno dalla notificazione del precetto. Se è stata fatta opposizione, il termine resta sospeso tra il giorno in cui è stata promossa l'azione giudiziaria o amministrativa e la sua definizione. |
3 | Della domanda di continuazione è dato atto gratuitamente al creditore che lo richiede. |
4 | A richiesta del creditore, l'ammontare del credito espresso in valuta estera può essere riconvertito in valuta svizzera al corso del giorno della domanda di continuazione. |
SR 281.1 Legge federale dell'11 aprile 1889 sulla esecuzione e sul fallimento (LEF) LEF Art. 86 - 1 Chi per omessa opposizione o pel rigetto di questa ha pagato l'indebito può, entro un anno dal pagamento, ripetere in giudizio la somma sborsata.180 |
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1 | Chi per omessa opposizione o pel rigetto di questa ha pagato l'indebito può, entro un anno dal pagamento, ripetere in giudizio la somma sborsata.180 |
2 | L'azione per la ripetizione dell'indebito si può promuovere, a scelta dell'attore, o avanti al giudice dell'esecuzione o al foro ordinario del convenuto. |
3 | In eccezione all'articolo 63 del Codice delle obbligazioni (CO)181, per avere diritto alla restituzione è sufficiente provare l'inesistenza del debito.182 |
4.
La recourante considère que c'est à tort qu'elle a été condamnée à rembourser la somme de 2'500 fr. au titre des frais de mazout. Elle soutient que la cour cantonale a procédé à une appréciation arbitraire des preuves et violé le fardeau de la preuve résultant des art. 86 al. 3
SR 281.1 Legge federale dell'11 aprile 1889 sulla esecuzione e sul fallimento (LEF) LEF Art. 86 - 1 Chi per omessa opposizione o pel rigetto di questa ha pagato l'indebito può, entro un anno dal pagamento, ripetere in giudizio la somma sborsata.180 |
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1 | Chi per omessa opposizione o pel rigetto di questa ha pagato l'indebito può, entro un anno dal pagamento, ripetere in giudizio la somma sborsata.180 |
2 | L'azione per la ripetizione dell'indebito si può promuovere, a scelta dell'attore, o avanti al giudice dell'esecuzione o al foro ordinario del convenuto. |
3 | In eccezione all'articolo 63 del Codice delle obbligazioni (CO)181, per avere diritto alla restituzione è sufficiente provare l'inesistenza del debito.182 |
4.1. Les juges cantonaux ont retenu qu'il était établi que le montant destiné au règlement des frais de mazout, par 2'500 fr., et augmenté des frais de poursuite et des intérêts, avait été acquitté une première fois par l'Office des poursuites de Berne-Mittelland et versé à l'Office des poursuites de Vevey le 23 février 2015 en faveur de l'appelante, ce que celle-ci ne contestait pas. Il ressortait également de l'instruction que le versement opéré le 18 août 2015 par l'Office des poursuites de Berne-Mittelland, par 34'925 fr. 25, comprenait en particulier la somme de 8'934 fr. avec intérêts à 5% dès le 15 avril 2011. Or, cette dernière somme incluait les frais de mazout litigieux alloués à l'appelante par ordonnance de mesures protectrices de l'union conjugale du 3 février 2011, confirmée par arrêt sur appel du 15 avril 2011. Contrairement à ce que soutenait l'appelante, il ne résultait pas du décompte établi par l'Office des poursuites de Berne-Mittelland que la somme prélevée en faveur de l'Office des poursuites de Vevey aurait été déduite de la somme qui lui avait finalement été versée le 18 août 2015. C'était dès lors à juste titre que le premier juge avait considéré que l'appelante avait perçu indûment la somme de 2'500 fr.,
comprise dans le versement du 18 août 2015, et qu'elle était tenue de restituer cette somme augmentée des intérêts à 5% l'an dès le 18 août 2015.
4.2. La recourante reproche à la cour cantonale d'avoir fait une lecture insoutenable du décompte de l'Office des poursuites de Berne-Mittelland produit par l'intimé à l'appui de sa demande, présumant arbitrairement que cet office se serait trompé dans ses calculs. Le décompte litigieux comportait une colonne d'entrées en compte, une colonne de sorties de compte et une troisième colonne avec les soldes. Le montant de 4'291 fr. 55 versés le 23 février 2015 à l'Office des poursuites de Vevey figurait bel et bien dans la colonne des sorties de compte. L'Office des poursuites de Berne-Mittelland savait évidemment, au vu de l'ordre reçu de la justice vaudoise, que ce prélèvement anticipé était fait pour régler une poursuite dirigée contre elle, donc en sa faveur. Le montant de 34'925 fr. 25 à lui reverser figurait plus bas dans le décompte, avec la date du 10 août 2015 et le libellé " Nicht ausgeführte Vergütung in Betreibung Nr. [xxxxxxxx] ". Le calcul du montant et le versement en sa faveur avaient donc été établis plusieurs mois après le prélèvement de la somme de 4'291 fr. 55. Il était ainsi " évident " que l'Office des poursuites de Berne-Mittelland avait l'obligation d'en tenir compte comme versement d'un acompte lorsqu'il avait
calculé le solde en sa faveur. Le libellé était lui aussi " cohérent dans cette compréhension du décompte "; il indique le versement d'un solde, soit la part non exécutée de la rémunération due. A supposer qu'il y eût une quelconque incertitude à ce sujet, on ne voyait pas ce qui aurait empêché l'intimé de demander la production d'un détail du calcul de l'Office des poursuites de Berne-Mittelland pour le versement de la somme de 34'925 fr. 25. C'était à l'intimé qu'il appartenait d'établir que le montant total à verser par l'office n'était pas de 39'216 fr. 80 (34'925 fr. 25 + 4'291 fr. 55). Rien ne permettait d'exclure que sans le prélèvement de 4'291 fr. 55, elle n'aurait pas eu droit à 39'216 fr. 80. Le fait négatif (absence de prise en compte dans le calcul) pouvait être établi uniquement par une interpellation de l'Office des poursuites de Berne-Mittelland que l'intimé pouvait requérir. On ne voyait pas quel devoir de collaboration elle aurait violé en ne produisant pas ledit calcul, qu'elle ne possédait pas non plus. Elle n'avait du reste jamais été invitée à le produire.
4.3. Autant qu'on la comprenne, l'argumentation présentée par la recourante, largement appellatoire, est impropre à démontrer que la cour cantonale aurait procédé à une appréciation arbitraire des preuves, notamment du décompte établi par l'Office des poursuites de Berne-Mittelland dans la poursuite n° xxxxxxxx. Il résulte expressément de ce décompte que ledit office a versé le 23 février 2015 la somme de 4'291 fr. 55 à l'Office des poursuites de Vevey et il n'est pas contesté que cette somme devait servir à payer les frais de mazout augmentés des frais de poursuite et des intérêts (cf. supra let. Bd). Il est vrai que la motivation de la cour cantonale sur ce point prête à confusion dans la mesure où elle soutient que la somme de 4'291 fr. 55 versé à l'Office des poursuites de Vevey n'a pas été déduite du solde finalement alloué à la recourante, alors qu'il ressort du décompte du 1er septembre 2015 de l'Office des poursuites de Berne-Mittelland que ce montant a bien été porté en déduction le 23 février 2015. Cependant, il ressort de la première page de ce même décompte que le solde de 34'925 fr. 25 finalement alloué à la recourante comprenait un montant de 8'934 fr. (8'934 fr. + 600 fr. + 14'917 fr. 25 + 3'850 fr. + 156 fr. +
2'549 fr. + 5'151 fr. 55 - 1'232 fr. 55 = 34'925 fr. 25). Il n'est par ailleurs pas contesté que la somme de 8'934 fr. arrêtée par ordonnance de mesures protectrices de l'union conjugale du 3 février 2011 comprenait un montant pour le mazout de 2'500 fr. (cf. supra let. A.b). Il apparaît dès lors effectivement que le montant de 2'500 fr. relatif aux frais de mazout a été pris en compte une première fois lorsque 4'291 fr. 55 ont été versés à l'Office des poursuites de Vevey puisque ce montant devait notamment couvrir les frais de mazout et une seconde fois dans le montant de 34'925 fr. 25 versé le 18 août 2015 à la recourante. Partant, le montant correspondant aux frais de mazout a bien été perçu à double. Dans ces conditions, on ne voit pas en quoi le décompte produit par l'intimé aurait dû susciter des doutes le rendant inapte à prouver l'inexistence de la dette, de sorte que le grief de violation des art. 86 al. 3
SR 281.1 Legge federale dell'11 aprile 1889 sulla esecuzione e sul fallimento (LEF) LEF Art. 86 - 1 Chi per omessa opposizione o pel rigetto di questa ha pagato l'indebito può, entro un anno dal pagamento, ripetere in giudizio la somma sborsata.180 |
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1 | Chi per omessa opposizione o pel rigetto di questa ha pagato l'indebito può, entro un anno dal pagamento, ripetere in giudizio la somma sborsata.180 |
2 | L'azione per la ripetizione dell'indebito si può promuovere, a scelta dell'attore, o avanti al giudice dell'esecuzione o al foro ordinario del convenuto. |
3 | In eccezione all'articolo 63 del Codice delle obbligazioni (CO)181, per avere diritto alla restituzione è sufficiente provare l'inesistenza del debito.182 |
5.
La recourante considère qu'elle doit également être libérée de l'obligation de restituer la somme de 3'216 fr. 50 au titre du solde des frais d'écolage des mois d'octobre et novembre 2010, dès lors qu'il n'était pas établi que, par le biais du séquestre, elle aurait touché à double ce montant. Elle se plaint d'arbitraire dans l'établissement des faits, d'excès du pouvoir d'appréciation et de violation de l'art. 86
SR 281.1 Legge federale dell'11 aprile 1889 sulla esecuzione e sul fallimento (LEF) LEF Art. 86 - 1 Chi per omessa opposizione o pel rigetto di questa ha pagato l'indebito può, entro un anno dal pagamento, ripetere in giudizio la somma sborsata.180 |
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1 | Chi per omessa opposizione o pel rigetto di questa ha pagato l'indebito può, entro un anno dal pagamento, ripetere in giudizio la somma sborsata.180 |
2 | L'azione per la ripetizione dell'indebito si può promuovere, a scelta dell'attore, o avanti al giudice dell'esecuzione o al foro ordinario del convenuto. |
3 | In eccezione all'articolo 63 del Codice delle obbligazioni (CO)181, per avere diritto alla restituzione è sufficiente provare l'inesistenza del debito.182 |
5.1. S'agissant du solde des frais d'écolage des mois d'octobre et novembre 2010, par 3'216 fr. 50 (6'434 fr. - 3'217 fr. 50 [2'490 fr. + 727 fr. 50] payés par la recourante), la cour cantonale a retenu avec le premier juge que l'intimé avait procédé à plusieurs paiements directement en faveur de l'école pour l'année 2010-2011; le montant total des versements s'élevait à 25'739 fr. 80. L'intimé avait en particulier versé 2'500 fr. le 19 [recte: 29] décembre 2010 et 10'000 fr. le 9 août 2011 avec la mention de " X10 Schoolfee ", respectivement " Schoolfee 2010 for C._________ ". Les parties ne contestaient pas que le premier versement concernait le mois d'octobre 2010 et le second l'année 2010 dans son ensemble. L'intimé établissait qu'il avait effectivement payé l'écolage du mois d'octobre 2010 une première fois dans ces circonstances et une seconde fois dans le cadre du versement du 18 août 2015 de l'Office des poursuites de Berne-Mittelland (cf. supra B.e). Il n'y avait pas lieu d'examiner la question d'une éventuelle compensation avec les pensions dues, dans la mesure où les frais d'écolage des mois d'octobre et novembre 2010 devaient être versés en sus de la contribution d'entretien. Au demeurant, l'appelante semblait
confondre deux concepts: si l'intimé n'était pas autorisé à procéder à la compensation de certaines créances, il était en revanche en mesure de solliciter le remboursement de versements indus. En l'occurrence, du fait du paiement directement en mains de l'école opéré par l'intimé, l'appelante s'était retrouvée enrichie en recevant ce montant à l'occasion du versement du 18 août 2015 de l'Office des poursuites. L'appelante avait dès lors perçu indûment le montant de 3'216 fr. 50 - et non de 6'343 fr. [recte: 6'434 fr.] comme retenu par le premier juge - et devait le restituer.
5.2. La recourante fait valoir que l'état de fait de l'arrêt attaqué est manifestement inexact. Contrairement à ce que la cour cantonale avait retenu, l'intimé n'avait pas établi que, par le biais du séquestre, elle avait effectivement encaissé 6'434 fr. de frais d'écolage pour les mois d'octobre et novembre 2010. Au cours des procédures d'opposition au séquestre, ce montant avait été diminué de 2'500 fr., dès lors que l'intimé avait versé en décembre 2010 un acompte d'un tel montant directement à l'école. Les autorités judiciaires bernoise et zurichoise avaient accepté de compenser ces 2'500 fr. avec les arriérés de pension; elles partaient de l'idée que ce versement de 2'500 fr. concernait les frais d'écolage de janvier 2011. Dans le cadre de l'action en répétition de l'indu, il avait été jugé que c'était en réalité un acompte pour octobre 2010. On pouvait en déduire que, dans le cadre du séquestre, elle n'avait touché que 3'934 fr. pour les frais d'écolage des mois d'octobre et novembre 2010 et non les 6'434 fr. initialement prévus par le juge matrimonial. Peu importait que les autorités de séquestre aient soustrait 2'500 fr. des arriérés de pension plutôt que de la somme de 6'434 fr.; sa créance totale avait été diminuée de
2'500 fr. à raison du versement direct de l'intimé à l'école et il y avait lieu d'en tenir compte dans le cadre de l'action en répétition de l'indu. Compte tenu de cet acompte de 2'500 fr. versé par l'intimé à l'école, non séquestré et donc non encaissé, le montant de l'indu se réduisait tout au plus à 716 fr. 50 (6'434 fr. de frais d'écolage - 3'217 fr. 50 payés par ses soins - 2'500 fr. payés par l'intimé). Ce montant n'avait toutefois pas non plus à être restitué. L'intimé avait versé 10'000 fr. en août 2011 pour l'écolage de 2010; il n'avait pas établi pour autant que cela éteignait à raison de 716 fr. 50 le solde de pension encore dû pour octobre 2010. Les extraits de compte de l'école montraient qu'en novembre 2010, les arriérés d'écolage totalisaient plus de 28'000 fr. pour les deux comptes tenus en parallèle par l'école. Le Tribunal cantonal lui-même admettait d'ailleurs que les versements directs de 2'500 fr. et 10'000 fr. de l'intimé à l'école, concernant l'année 2010, ne devaient pas être compensés avec les arriérés de pension. Rien ne permettait d'exclure que le solde d'écolage d'octobre 2010 n'eût été acquitté par l'intimé qu'au moyen du prêt contracté auprès de F.________ et qui avait été co-financé par elle par le
biais d'une baisse de pension.
5.3. L'argumentation difficilement compréhensible de la recourante, qui semble en grande partie mélanger la question des arriérés de pension dus par l'intimé et celle des frais d'écolage, ne permet pas d'infirmer le constat selon lequel l'intimé a versé directement à l'école les sommes de 2'500 fr. pour le mois d'octobre 2010 et de 10'000 fr. pour l'année 2010 et que ces versements sont intervenus avant le prononcé de l'ordonnance du 3 février 2011 et l'introduction de la requête de séquestre et des poursuites en validation subséquentes. La critique de la recourante laisse aussi intact le constat selon lequel les frais d'écolage de 6'434 fr. pour les mois d'octobre et de novembre 2010 étaient compris dans le montant de 34'925 fr. 25 versé en sa faveur le 18 août 2015 par l'Office des poursuites de Berne-Mittelland. On ne voit dès lors pas en quoi les juges précédents auraient commis l'arbitraire dans l'établissement des faits ou dans l'exercice de leur pouvoir d'appréciation en jugeant que la recourante s'était indûment enrichie en encaissant le montant de 3'216 fr. 50. Pour le surplus, la preuve de l'inexistence de la dette résultant incontestablement des pièces produites par l'intimé, on ne saurait prétendre que l'art. 86
SR 281.1 Legge federale dell'11 aprile 1889 sulla esecuzione e sul fallimento (LEF) LEF Art. 86 - 1 Chi per omessa opposizione o pel rigetto di questa ha pagato l'indebito può, entro un anno dal pagamento, ripetere in giudizio la somma sborsata.180 |
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1 | Chi per omessa opposizione o pel rigetto di questa ha pagato l'indebito può, entro un anno dal pagamento, ripetere in giudizio la somma sborsata.180 |
2 | L'azione per la ripetizione dell'indebito si può promuovere, a scelta dell'attore, o avanti al giudice dell'esecuzione o al foro ordinario del convenuto. |
3 | In eccezione all'articolo 63 del Codice delle obbligazioni (CO)181, per avere diritto alla restituzione è sufficiente provare l'inesistenza del debito.182 |
singulièrement son alinéa 3, aurait été violé.
6.
Dans un dernier moyen, la recourante conteste sa condamnation à payer la somme de 10'474 fr. au titre des intérêts et frais de la dette, alors que celle-ci a été réduite par la cour cantonale à 23,38% du montant initialement admis. En ne réduisant pas proportionnellement les intérêts et frais en fonction du montant à rembourser en capital, les juges cantonaux avaient commis l'arbitraire en excédant leur pouvoir d'appréciation et avaient violé les art. 8
SR 210 Codice civile svizzero del 10 dicembre 1907 CC Art. 8 - Ove la legge non disponga altrimenti, chi vuol dedurre il suo diritto da una circostanza di fatto da lui asserita, deve fornirne la prova. |
6.1. La cour cantonale a rappelé que le premier juge avait considéré qu'en sus des montants perçus indûment, l'appelante était tenue de restituer les divers intérêts et frais, par 10'474 fr. Dans la mesure toutefois où l'appelante n'articulait pas de grief précis contre ce poste, c'était un montant de 16'190 fr. 50 (2'500 fr. [frais de mazout] + 3'216 fr. 50 [solde des frais d'écolage] + 10'474 fr. [intérêts et frais]) qu'elle était tenue de restituer à l'intimé.
6.2. La recourante estime que dès lors qu'elle avait admis la plupart des moyens soulevés dans l'appel, arrêtant ainsi le montant de l'indu à 5'716 fr. 50 [2'500 fr. + 3'216 fr. 50] au lieu de 24'451 fr., la cour cantonale devait réduire proportionnellement le montant des intérêts et frais à rembourser. La recourante admet qu'elle n'avait développé ses moyens d'appel qu'en lien avec les montants en capital. Il était cependant " évident " que les accessoires, sous forme d'intérêts et frais, calculés et saisis par l'Office des poursuites en sus du capital, devaient suivre le sort du principal. En ne procédant pas de la sorte, la cour cantonale avait rendu une décision manifestement arbitraire. Elle avait en outre violé l'art. 8
SR 210 Codice civile svizzero del 10 dicembre 1907 CC Art. 8 - Ove la legge non disponga altrimenti, chi vuol dedurre il suo diritto da una circostanza di fatto da lui asserita, deve fornirne la prova. |
décompte détaillé. Le détail du calcul de la somme de 10'474 fr. ne constituait pas un fait négatif qu'en vertu du principe de la bonne foi, elle aurait dû établir malgré un fardeau de la preuve à charge de l'intimé.
6.3. L'art. 311 al. 1
SR 272 Codice di diritto processuale civile svizzero del 19 dicembre 2008 (Codice di procedura civile, CPC) - Codice di procedura civile CPC Art. 311 Proposizione dell'appello - 1 L'appello, scritto e motivato, dev'essere proposto all'autorità giudiziaria superiore entro 30 giorni dalla notificazione della decisione impugnata motivata o dalla notificazione a posteriori della motivazione (art. 239). |
|
1 | L'appello, scritto e motivato, dev'essere proposto all'autorità giudiziaria superiore entro 30 giorni dalla notificazione della decisione impugnata motivata o dalla notificazione a posteriori della motivazione (art. 239). |
2 | Dev'essergli allegata la decisione impugnata. |
SR 272 Codice di diritto processuale civile svizzero del 19 dicembre 2008 (Codice di procedura civile, CPC) - Codice di procedura civile CPC Art. 310 Motivi d'appello - Con l'appello possono essere censurati: |
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a | l'errata applicazione del diritto; |
b | l'errato accertamento dei fatti. |
En l'espèce, la recourante admet que son acte d'appel ne comportait aucune critique du jugement de première instance en lien avec les intérêts et frais qu'elle a été condamnée à rembourser à hauteur de 10'474 fr. Dans ces conditions, c'est à bon droit - et donc sans arbitraire - que la cour cantonale s'en est tenue à l'examen des seuls griefs dûment motivés dans l'appel dont elle était saisie. N'ayant dans ces conditions pas à examiner le bien-fondé de ce poste de l'indu, la prétendue violation de l'art. 8
SR 210 Codice civile svizzero del 10 dicembre 1907 CC Art. 8 - Ove la legge non disponga altrimenti, chi vuol dedurre il suo diritto da una circostanza di fatto da lui asserita, deve fornirne la prova. |
7.
En définitive, le recours est rejeté dans la mesure de sa recevabilité. Le recours étant dépourvu de chance de succès, la recourante ne peut se voir accorder l'assistance judiciaire pour la procédure fédérale (art. 64 al. 1
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 64 Gratuito patrocinio - 1 Se una parte non dispone dei mezzi necessari e le sue conclusioni non sembrano prive di probabilità di successo, il Tribunale federale la dispensa, su domanda, dal pagamento delle spese giudiziarie e dalla prestazione di garanzie per le spese ripetibili. |
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1 | Se una parte non dispone dei mezzi necessari e le sue conclusioni non sembrano prive di probabilità di successo, il Tribunale federale la dispensa, su domanda, dal pagamento delle spese giudiziarie e dalla prestazione di garanzie per le spese ripetibili. |
2 | Se è necessario per tutelare i diritti di tale parte, il Tribunale federale le designa un avvocato. Questi ha diritto a un'indennità adeguata, versata dalla cassa del Tribunale, in quanto le spese di patrocinio non possano essere coperte dalle spese ripetibili. |
3 | La corte decide sulla domanda di gratuito patrocinio nella composizione di tre giudici. Rimangono salvi i casi trattati in procedura semplificata secondo l'articolo 108. Il gratuito patrocinio può essere concesso dal giudice dell'istruzione se è indubbio che le relative condizioni sono adempiute. |
4 | Se in seguito è in grado di farlo, la parte è tenuta a risarcire la cassa del Tribunale. |
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 66 Onere e ripartizione delle spese giudiziarie - 1 Di regola, le spese giudiziarie sono addossate alla parte soccombente. Se le circostanze lo giustificano, il Tribunale federale può ripartirle in modo diverso o rinunciare ad addossarle alle parti. |
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1 | Di regola, le spese giudiziarie sono addossate alla parte soccombente. Se le circostanze lo giustificano, il Tribunale federale può ripartirle in modo diverso o rinunciare ad addossarle alle parti. |
2 | In caso di desistenza o di transazione, il Tribunale federale può rinunciare in tutto o in parte a riscuotere le spese giudiziarie. |
3 | Le spese inutili sono pagate da chi le causa. |
4 | Alla Confederazione, ai Cantoni, ai Comuni e alle organizzazioni incaricate di compiti di diritto pubblico non possono di regola essere addossate spese giudiziarie se, senza avere alcun interesse pecuniario, si rivolgono al Tribunale federale nell'esercizio delle loro attribuzioni ufficiali o se le loro decisioni in siffatte controversie sono impugnate mediante ricorso. |
5 | Salvo diversa disposizione, le spese giudiziarie addossate congiuntamente a più persone sono da queste sostenute in parti eguali e con responsabilità solidale. |
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 68 Spese ripetibili - 1 Nella sentenza il Tribunale federale determina se e in che misura le spese della parte vincente debbano essere sostenute da quella soccombente. |
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1 | Nella sentenza il Tribunale federale determina se e in che misura le spese della parte vincente debbano essere sostenute da quella soccombente. |
2 | La parte soccombente è di regola tenuta a risarcire alla parte vincente, secondo la tariffa del Tribunale federale, tutte le spese necessarie causate dalla controversia. |
3 | Alla Confederazione, ai Cantoni, ai Comuni e alle organizzazioni incaricate di compiti di diritto pubblico non sono di regola accordate spese ripetibili se vincono una causa nell'esercizio delle loro attribuzioni ufficiali. |
4 | Si applica per analogia l'articolo 66 capoversi 3 e 5. |
5 | Il Tribunale federale conferma, annulla o modifica, a seconda dell'esito del procedimento, la decisione sulle spese ripetibili pronunciata dall'autorità inferiore. Può stabilire esso stesso l'importo di tali spese secondo la tariffa federale o cantonale applicabile o incaricarne l'autorità inferiore. |
Par ces motifs, le Tribunal fédéral prononce :
1.
Le recours est rejeté dans la mesure où il est recevable.
2.
La requête d'assistance judiciaire est rejetée.
3.
Les frais judiciaires, arrêtés à 2'000 fr., sont mis à la charge de la recourante.
4.
Le présent arrêt est communiqué aux parties et à la Cour d'appel civile du Tribunal cantonal du canton de Vaud.
Lausanne, le 25 septembre 2018
Au nom de la IIe Cour de droit civil
du Tribunal fédéral suisse
Le Président : von Werdt
La Greffière : Hildbrand