Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
8C 85/2021
Urteil vom 23. Juli 2021
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Wirthlin, präsidierendes Mitglied,
Bundesrichterin Heine, Bundesrichter Abrecht,
Gerichtsschreiberin Berger Götz.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwältin Dr. Monika Gattiker,
Beschwerdeführerin,
gegen
VAUDOISE ALLGEMEINE Versicherungs-Gesellschaft AG, Place de Milan, 1007 Lausanne,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Unfallversicherung (Rückfall),
Beschwerde gegen den Entscheid des Versicherungsgerichts des Kantons St. Gallen vom 7. Dezember 2020 (UV 2019/29).
Sachverhalt:
A.
A.a. Die 1971 geborene A.________ war seit Mai 2012 für Dr. B.________, SCG/ECU, Chiropraktik, als Büroangestellte tätig und dadurch bei der Vaudoise Allgemeine Versicherungs-Gesellschaft (Vaudoise) gegen die Folgen von Unfällen und Berufskrankheiten versichert. Am 19. März 2016 war sie beim Skifahren mit einem anderen Skifahrer kollidiert und gestürzt. Dabei hatte sie sich gemäss Unfallmeldung des Dr. B.________ vom 1. April 2016 eine Handgelenksdistorsion links zugezogen. Die Vaudoise hatte die Heilbehandlungskosten übernommen, während Taggelder mangels einer Arbeitsunfähigkeit nicht ausgerichtet worden waren.
A.b. Nachdem A.________ auf Ende 2017 einen Stellenwechsel zur Rettungssanitäterin bei der Rettungsdienst K.________ AG vollzogen hatte, meldete sie am 21. Mai 2018 bei der Vaudoise einen Rückfall an und wies darauf hin, dass unter Belastung immer wieder Beschwerden auftreten würden. Nach Einholung der medizinischen Berichte und einer Beurteilung des beratenden Arztes Dr. med. C.________, Facharzt Chirurgie FMH, speziell Allgemeinchirurgie und Traumatologie FMH, vom 10. Oktober 2018 verneinte die Vaudoise eine erneute Leistungspflicht, da die aktuellen Beschwerden nicht mit überwiegender Wahrscheinlichkeit auf das Ereignis vom 19. März 2016 zurückzuführen seien (Verfügung vom 17. Oktober 2018). Daran hielt sie auf Einsprache der Versicherten hin fest (Einspracheentscheid vom 6. März 2019).
B.
Das Versicherungsgericht des Kantons St. Gallen wies die dagegen erhobene Beschwerde ab (Entscheid vom 7. Dezember 2020).
C.
A.________ lässt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten führen und das Rechtsbegehren stellen, in Aufhebung des kantonalgerichtlichen Entscheids sei die Vaudoise zu verpflichten, im Zusammenhang mit dem Unfall vom 19. März 2016 Leistungen ("Sachleistungen und insbesondere auch Taggeld") zu erbringen.
Die Vaudoise schliesst auf Abweisung der Beschwerde, während das kantonale Gericht und das Bundesamt für Gesundheit auf eine Vernehmlassung verzichten.
A.________ lässt zur Stellungnahme der Vaudoise eine weitere Eingabe einreichen.
Erwägungen:
1.
1.1. Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann wegen Rechtsverletzungen gemäss Art. 95

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour: |
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a | inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse; |
b | application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.90 |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |
1.2. Neue Tatsachen und Beweismittel dürfen vor Bundesgericht nur soweit vorgebracht werden, als erst der Entscheid der Vorinstanz dazu Anlass gibt (Art. 99 Abs. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
|
1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
Bezüglich des letztinstanzlich neu aufgelegten Feuerwehr-Dienstbüchleins (Austritt aus der Feuerwehr: 31. Dezember 2015) wird nicht dargelegt, weshalb erst der angefochtene Gerichtsentscheid zur Beibringung dieses Dokuments Anlass gegeben haben sollte. Die mit der Beschwerde eingereichte Konsultationsliste des Dr. med. D.________, Facharzt Allgemeine Medizin FMH, vom 29. Dezember 2020 und die Kurzbesprechung der bildgebenden Befunde durch Prof. Dr. med. E.________, Stellvertretender Chefarzt Handchirurgie, Universitätsklinik F.________, vom 20. Januar 2021 stammen aus der Zeit nach dem angefochtenen Gerichtsentscheid und können darum als echte Noven vom Bundesgericht nicht berücksichtigt werden.
2.
Streitig ist, ob die Vorinstanz Bundesrecht verletzt hat, indem sie den Einspracheentscheid vom 6. März 2019 schützte. Umstritten ist dabei der Anspruch auf erneute Leistungen der Vaudoise aufgrund des im Mai 2018 geltend gemachten Rückfalls.
3.
3.1. Die Vorinstanz hat die Bestimmungen und Grundsätze zum zeitlich massgebenden Recht (BGE 144 V 224 E. 6.1.1 mit Hinweis; zur 1. UVG-Revision vgl. Abs. 1 der Übergangsbestimmungen zur Änderung des UVG vom 25. September 2015, AS 2016 4375, 4387) und zum für die Leistungspflicht des obligatorischen Unfallversicherers vorausgesetzten natürlichen und adäquaten Kausalzusammenhang zwischen dem Unfall und dem eingetretenen Gesundheitsschaden (BGE 129 V 177 E. 3.1 und 3.2 mit Hinweisen), insbesondere auch bei Rückfällen und Spätfolgen (Art. 11

SR 832.202 Ordonnance du 20 décembre 1982 sur l'assurance-accidents (OLAA) OLAA Art. 11 Rechutes et séquelles tardives - Les prestations d'assurance sont également versées en cas de rechutes et de séquelles tardives; les bénéficiaires de rentes d'invalidité doivent toutefois remplir les conditions posées à l'art. 21 de la loi. |
3.2. Zu betonen ist, dass der Unfallversicherer bei der Leistungspflicht gemäss Art. 11

SR 832.202 Ordonnance du 20 décembre 1982 sur l'assurance-accidents (OLAA) OLAA Art. 11 Rechutes et séquelles tardives - Les prestations d'assurance sont également versées en cas de rechutes et de séquelles tardives; les bénéficiaires de rentes d'invalidité doivent toutefois remplir les conditions posées à l'art. 21 de la loi. |
3.3. Beratende Ärztinnen und Ärzte eines Versicherungsträgers sind, was den Beweiswert ihrer ärztlichen Beurteilung angeht, versicherungsinternen Ärztinnen und Ärzten gleichzusetzen. Deren Berichten und Gutachten kommt nach der Rechtsprechung, wie die Vorinstanz korrekt darlegte, Beweiswert zu, sofern sie als schlüssig erscheinen, nachvollziehbar begründet sowie in sich widerspruchsfrei sind und keine Indizien gegen ihre Zuverlässigkeit bestehen (BGE 125 V 351 E. 3b/ee mit Hinweis). Trotz dieser grundsätzlichen Beweiseignung kommt den Berichten versicherungsinterner medizinischer Fachpersonen praxisgemäss nicht dieselbe Beweiskraft zu wie einem gerichtlichen oder im Verfahren nach Art. 44

SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 44 Expertise - 1 Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
|
1 | Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
a | expertise monodisciplinaire; |
b | expertise bidisciplinaire; |
c | expertise pluridisciplinaire. |
2 | Si l'assureur doit recourir aux services d'un ou de plusieurs experts indépendants pour élucider les faits dans le cadre d'une expertise, il communique leur nom aux parties. Les parties peuvent récuser les experts pour les motifs indiqués à l'art. 36, al. 1, et présenter des contre-propositions dans un délai de dix jours. |
3 | Lorsqu'il communique le nom des experts, l'assureur soumet aussi aux parties les questions qu'il entend poser aux experts et leur signale qu'elles ont la possibilité de remettre par écrit des questions supplémentaires dans le même délai. L'assureur décide en dernier ressort des questions qui sont posées aux experts. |
4 | Si, malgré la demande de récusation, l'assureur maintient son choix du ou des experts pressentis, il en avise les parties par une décision incidente. |
5 | Les disciplines médicales sont déterminées à titre définitif par l'assureur pour les expertises visées à l'al. 1, let. a et b, et par le centre d'expertises pour les expertises visées à l'al. 1, let. c. |
6 | Sauf avis contraire de l'assuré, les entretiens entre l'assuré et l'expert font l'objet d'enregistrements sonores, lesquels sont conservés dans le dossier de l'assureur. |
7 | Le Conseil fédéral: |
a | peut régler la nature de l'attribution du mandat à un centre d'expertises, pour les expertises visées à l'al. 1; |
b | édicte des critères pour l'admission des experts médicaux et des experts en neuropsychologie, pour les expertises visées à l'al. 1; |
c | crée une commission réunissant des représentants des différentes assurances sociales, des centres d'expertises, des médecins, des neuropsychologues, des milieux scientifiques, ainsi que des organisations d'aide aux patients et aux personnes en situation de handicap qui veille au contrôle de l'accréditation, du processus, et du résultat des expertises médicales. Elle émet des recommandations publiques. |
4.
Das kantonale Gericht stellte nach einlässlicher Würdigung der medizinischen Akten fest, dass namentlich gestützt auf die zuverlässigen Angaben des Dr. med. C.________ vom 10. Oktober 2018 eine Ulnastyloidfraktur nicht mit dem Beweisgrad der überwiegenden Wahrscheinlichkeit ausgewiesen sei. Zwischen der radiologisch bestätigten Läsion der Unterfläche des TFCC (triangulärer fibrokartilaginärer Komplex) und dem Unfall vom 19. März 2016 bestehe sodann nur ein möglicher Zusammenhang und zusätzlich sei zu berücksichtigen, dass die Veränderungen im Bereich des linken Handgelenks (Ulnadysplasie und Ulnaminusvariante) unfallfremd seien. Bei dieser Gesamtsituation mit unfallfremder Arthrose und unfallfremder Malformation der distalen Ulna wäre es unverständlich, die TFCC-Läsion unabhängig davon als singulären, traumatisch bedingten Gesundheitsschaden zu betrachten. Zumindest wäre eine solche Einstufung nicht wahrscheinlicher als die Annahme einer durch Degeneration bestimmten Entwicklung. Eine traumatisch bedingte TFCC-Läsion lasse sich also ebenfalls nicht mit dem Beweisgrad der überwiegenden Wahrscheinlichkeit bejahen. Schliesslich würden bis zu den ärztlichen Behandlungen im März und Mai 2018 keine Brückensymptome vorliegen, die das
Geschehen über die leistungsfreie Zeit hinweg als Einheit kennzeichnen könnten. Da es sich bei den am 21. Mai 2018 gemeldeten Handgelenksbeschwerden nicht um eine natürlich-kausale Folge des Unfallereignisses handle, sei (im Rahmen des Rückfalls) ein Anspruch auf Leistungen zu verneinen.
5.
5.1.
5.1.1. Die Beschwerdeführerin macht geltend, die vorinstanzliche Feststellung, wonach zwischen 2016 und 2018 ein behandlungsfreies Intervall bestanden habe, sei aktenwidrig. Allerdings lässt sich bereits ihre Behauptung, Dr. B.________ habe sie im Jahr 2016 über eine längere Zeit wiederholt behandelt, anhand der Unterlagen nicht bestätigen, während sie für das Jahr 2017 gar keine Behandlungen nachweisen kann. Aus dem Bericht des Dr. B.________ vom 25. Oktober 2018 geht lediglich hervor, dass er die Beschwerdeführerin nach radiologischem Ausschluss einer Fraktur "weiter chiropraktisch und physiotherapeutisch betreut" bzw. "regelmässig behandelt" und eine Verbesserung des Zustandes erreicht habe. Abschliessend weist der Chiropraktor und ehemalige Arbeitgeber der Beschwerdeführerin darauf hin, dass im Jahr 2016 nur einzelne medizinische Behandlungen stattgefunden und "zwischen 2016 und 2017" sowie "zwischen 2017 und 2018" behandlungsfreie Intervalle bestanden hätten. Damit übereinstimmend hatte auch die Beschwerdeführerin selber gegenüber der Unfallversicherung auf die Frage, ob sie zwischen dem 1. Januar 2017 und dem 17. Mai 2018 in ärztlicher Behandlung gewesen sei, angegeben, dies sei ab 5. März 2018 bei Dr. B.________ und ab 16.
Mai 2018 bei Dr. med. G.________, FMH Handchirurgie, der Fall gewesen. Hinweise auf Behandlungstermine oder ein relevantes Handgelenksleiden zwischen 1. Januar 2017 und Anfang März 2018 liegen nicht vor.
5.1.2. Bei dieser Ausgangslage durfte die Vorinstanz ohne Weiteres von einem längeren beschwerdefreien Intervall ausgehen. Deshalb obliegt es der Leistungsansprecherin, das Vorliegen eines Kausalzusammenhangs zwischen dem als Rückfall geltend gemachten Beschwerdebild und dem Unfall nachzuweisen. Nur wenn die Unfallkausalität mit überwiegender Wahrscheinlichkeit erstellt ist, kann eine erneute Leistungspflicht des Unfallversicherers entstehen (vgl. E. 3.2 hiervor).
5.1.2.1. Die Beschwerdeführerin beruft sich letztinstanzlich zu diesem Zweck wiederholt auf den ergänzenden Bericht des Prof. Dr. med. E.________ (richtig: Dr. med. H.________, Assistenzarzt Handchirurgie, Universitätsklinik F.________) vom 6. Oktober 2020. Darin werde überzeugend erklärt, dass das im Jahr 2016 erfahrene Trauma die TFCC-Läsion bedingt und ein vermehrtes Spiel mit Instabilität und Abnutzung des DRUG (distales radioulnares Gelenk, d.h. unteres Speichen-Ellen-Gelenk) hervorgerufen habe. Dadurch sei vorzeitig eine DRUG-Arthrose entstanden, die als posttraumatisch zu beurteilen sei. Ohne das Unfallereignis wären die Veränderungen im Bereich des Ulnaköpfchens aller Wahrscheinlichkeit nach nicht aufgetreten. Gemäss Universitätsklinik F.________ sei für die unfallbedingte Entwicklung einer DRUG-Arthrose eine Fraktur nicht vorausgesetzt, vielmehr genüge die TFCC-Läsion als Ursache.
5.1.2.2. Mit ihrer Argumentation übersieht die Beschwerdeführerin aber, dass die von Dr. med. H.________ beschriebene Entwicklung nur eine Möglichkeit unter anderen darstellt. Genauso möglich, wenn nicht sogar wahrscheinlicher, ist die Einschätzung des Dr. med. C.________, wonach die unfallfremden Veränderungen des linken Handgelenks in Form einer Ulnadysplasie und einer Ulnaminusvariante für die Entwicklung der Arthrose und die damit zusammenhängenden erneuten Beschwerden verantwortlich gewesen seien. Diese These wird, wie das kantonale Gericht zutreffend feststellt, noch zusätzlich unterstützt durch die Tatsache, dass im weiteren Verlauf eine Ulnastyloidfraktur ausgeschlossen werden konnte und eine unfallbedingte TFCC-Läsion zwar möglich erscheint, allerdings nicht in Form einer bedeutsamen Verletzung. Denn entgegen der Ansicht der Beschwerdeführerin lässt sich mit der von Dr. B.________ gestellten Diagnose (Handgelenks-) "Distorsion" (Verstauchung) in der Unfallmeldung vom 1. April 2016 oder mit dem späteren Befund einer (TFCC-) "Läsion" (Verletzung, Schädigung) nicht bereits eine gravierende Verletzung begründen. Vielmehr durfte die Vorinstanz namentlich auch aufgrund der Tatsache, dass nach dem Unfall vom 19. März 2016 trotz
- feinmotorisch - handgelenksbelastender Bürotätigkeit in der Praxis des Dr. B.________ keine Arbeitsunfähigkeit aufgetreten war, durchaus auf eine leichtere Verletzung schliessen, ohne dass ihr vorzuwerfen wäre, sie hätte sich dabei unqualifizierterweise auf eigene medizinische Recherchen abgestützt und damit das rechtliche Gehör verletzt.
5.1.2.3. Konkret bemängelt die Beschwerdeführerin als "eigene medizinische Abklärung" des kantonalen Gerichts insbesondere den Hinweis im angefochtenen Entscheid, laut medizinischer Literatur könne grundsätzlich eine gestörte Kongruenz von Radiokarpal- und Radioulnargelenk unter anderem zu sekundären degenerativen Veränderungen und Beschwerden führen. Dieser mit medizinischen Fundstellen untermauerten Aussage kommt jedoch im Gesamtkontext keine eigenständige Bedeutung zu. Sie dient lediglich der Untermauerung des vorinstanzlichen, auf die konkreten ärztlichen Angaben abgestützten Schlusses, wonach eine durch die Unfallfolgen (mit-) ausgelöste Arthrose im linken Handgelenk hier nur möglich, nicht aber überwiegend wahrscheinlich sei. Deshalb lässt sich nicht beanstanden, dass das kantonale Gericht den Nachweis der überwiegend wahrscheinlichen Unfallkausalität bezüglich der im Rahmen des Rückfalls gemeldeten Beschwerden als nicht erbracht qualifizierte.
5.2. Sodann macht die Beschwerdeführerin geltend, sie sei lediglich zum Röntgen und nicht für eine Zweitmeinung/Untersuchung zu Dr. med. D.________, geschickt worden. Dieser habe sie im Zusammenhang mit dem Unfall nie untersucht, er habe lediglich dem blinden Chiropraktor Dr. B.________ mündlich über das Röntgenbild berichtet. Die Röntgenbilder würden durch Röntgenassistenten erstellt und Dr. med. D.________ sei im konkreten Fall scheinbar im Türrahmen gestanden und habe kurz von weitem auf die Röntgenbilder geschaut. Dennoch hätten sein Bericht vom 22. September 2018 (einen Bericht vom 22. März 2016 - Datum der Röntgenaufnahmen in der Praxis des Dr. med. D.________ - gebe es nicht), insbesondere die Angabe, es hätten am 22. März 2016 eine Handgelenkskontusion links ohne Schwellung und mit guter Beweglichkeit vorgelegen, und die sich fälschlicherweise darauf abstützende Einschätzung des Dr. med. C.________ Grundlage der Beurteilung durch Versicherung und Vorinstanz gebildet.
Entgegen der Behauptung der Beschwerdeführerin stellte allerdings Dr. med. C.________ keineswegs nur auf die Stellungnahme des Dr. med. D.________ ab. Es standen ihm vielmehr alle damaligen medizinischen Unterlagen zur Verfügung, so insbesondere die Berichte des Dr. med. I.________, Radiologie FMH, Diagnose Zentrum K.________, zur MRI (Magnetresonanztomographie) des Handgelenks links vom 1. Mai 2018, des Dr. med. G.________ vom 16. Mai und 1. Juni 2018 und des Prof. Dr. med. E.________ vom 17. August und 13. September 2018. Die Vaudoise weist zudem letztinstanzlich zutreffend darauf hin, dass es auch unter Ausserachtlassung des Schreibens des Dr. med. D.________ vom 22. September 2018 keine echtzeitlichen medizinischen Indizien gibt, die auf eine schwere Handgelenksverletzung hinweisen würden. Die fehlende Schwere der unfallbedingten Störung im März 2016 war für Dr. med. C.________ - neben der Tatsache, dass (auch) unfallfremde Veränderungen am linken Handgelenk und nach dem Ereignis ein langes behandlungsfreies Intervall bestanden - offensichtlich ein wesentlicher Gesichtspunkt für die Verneinung der Kausalität. Selbst wenn folglich die Behauptung der Beschwerdeführerin zuträfe, dass Dr. med. D.________ sie im März 2016 nicht
untersucht, sondern lediglich die Röntgenbilder angeschaut und mit Dr. B.________ besprochen hatte, würde dies gleichwohl keine Zweifel an der Einschätzung des Dr. med. C.________ rechtfertigen. Der Einwand, die Vorinstanz hätte nicht auf die vertrauensärztliche Beurteilung abstellen dürfen, ist deshalb nicht begründet.
5.3. Schliesslich zielt auch der Vorwurf einer Verletzung des Untersuchungsgrundsatzes (Art. 43 Abs. 1

SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit. |
|
1 | L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit. |
1bis | L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35 |
2 | L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés. |
3 | Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable. |

SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
|
a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
6.
Das Verfahren ist kostenpflichtig (Art. 65

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
|
1 | Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
2 | L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. |
3 | Son montant est fixé en règle générale: |
a | entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations. |
4 | Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent: |
a | des prestations d'assurance sociale; |
b | des discriminations à raison du sexe; |
c | des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs; |
d | des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés25. |
5 | Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden der Beschwerdeführerin auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Versicherungsgericht des Kantons St. Gallen und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 23. Juli 2021
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Das präsidierende Mitglied: Wirthlin
Die Gerichtsschreiberin: Berger Götz