Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

5A 822/2020

Urteil vom 21. Februar 2022

II. zivilrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichter Herrmann, Präsident,
Bundesrichterin Escher, Bundesrichter von Werdt,
Gerichtsschreiber Levante.

Verfahrensbeteiligte
A.D.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Hadrian Meister,
Beschwerdeführer,

gegen

B.D.________-E.________,
vertreten durch Rechtsanwältin Rachel Grütter,
Beschwerdegegnerin,

C.E.________ D.________,
Gegenstand
Anerkennung und Eintragung einer Kindesanerkennung im Personenstandsregister,

Beschwerde gegen den Entscheid des Obergerichts des Kantons Aargau, Zivilgericht, 3. Kammer, vom 24. August 2020 (ZBE.2020.2//RD).

Sachverhalt:

A.

A.a. B.D.________-E.________ (geb. 1976), brasilianische Staatsangehörige, und A.D.________, von U.________/AG (geb. 1958), heirateten im Jahre 2008. C.E.________ D.________ (geb. 2001) ist die vor der Eheschliessung geborene Tochter von B.D.________-E.________ und ebenfalls brasilianische Staatsangehörige. Alle drei sind in der Schweiz domiziliert. Am 10. September 2018 wurde die Ehe zwischen B.D.________-E.________ und A.D.________ geschieden.

A.b. Bereits am 9. August 2016 gelangte B.D.________-E.________ an das Gemeindeamt des Kantons Zürich und wollte melden, dass ihre in Brasilien geborene Tochter C.E.________ D.________ von ihrem Ehemann A.D.________ in Brasilien als dessen Kind anerkannt worden war. B.D.________-E.________ wurde zuständigkeitshalber an die Behörden im Kanton Aargau verwiesen. Am gleichen Tag wurde das Departement Volkswirtschaft und Inneres, Abteilung Register und Personenstand (nachfolgend: DVI) des Kantons Aargau über die Vorsprache informiert.

A.c. Mit Verfügung vom 11. Dezember 2019 hiess das DVI das Gesuch um Anerkennung und Eintragung der Kindesanerkennung von C.E.________ D.________ als Tochter von B.D.________-E.________ und von A.D.________ im schweizerischen Personenstandsregister gut. Das Regionale Zivilstandsamt Muri/AG wurde mit der Eintragung beauftragt.

B.
Gegen die Verfügung des DVI gelangte A.D.________ an das Obergericht des Kantons Aargau. Mit Entscheid vom 24. August 2020 wies das Obergericht die Beschwerde ab.

C.
Mit Eingabe vom 24. September 2020 hat A.D.________ Beschwerde in Zivilsachen erhoben. Der Beschwerdeführer beantragt die Aufhebung des obergerichtlichen Entscheides und verlangt (wie im kantonalen Verfahren), dass auf das Anerkennungsverfahren mangels Gesuch (der Mutter als Beschwerdegegnerin) nicht einzutreten sei (Beschwerdebegehren Ziff. 2). Eventuell sei die angefochtene Verfügung mangels sachlicher Zuständigkeit aufzuheben (Beschwerdebegehren Ziff. 3); subeventuell beantragt er, es sei das Gesuch um Anerkennung und Eintragung der brasilianischen Kindesanerkennung abzuweisen, subeventuell sei die Sache an die Vorinstanz zur neuen Entscheidung zurückzuweisen (Beschwerdebegehren Ziff. 4 und 5).

Es wurden die kantonalen Akten, indes keine Vernehmlassungen eingeholt.

Erwägungen:

1.

1.1. Das Obergericht hat als Rechtsmittelinstanz über eine Verfügung der Aufsichtsbehörde betreffend die Eintragung ausländischer Entscheidungen und Urkunden in das Zivilstandsregister (Art. 32 Abs. 1
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 32 - 1 Une décision ou un acte étranger concernant l'état civil est transcrit dans les registres de l'état civil en vertu d'une décision de l'autorité cantonale de surveillance en matière d'état civil.
1    Une décision ou un acte étranger concernant l'état civil est transcrit dans les registres de l'état civil en vertu d'une décision de l'autorité cantonale de surveillance en matière d'état civil.
2    La transcription est autorisée lorsque les conditions fixées aux art. 25 à 27 sont remplies.
3    Les personnes concernées sont entendues préalablement s'il n'est pas établi que, dans l'État étranger où la décision a été rendue, les droits des parties ont été suffisamment respectés au cours de la procédure.
IPRG) entschieden. Das angefochtene Urteil unterliegt der Beschwerde in Zivilsachen (Art. 72 Abs. 2 lit. b Ziff. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 72 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
1    Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
2    Sont également sujettes au recours en matière civile:
a  les décisions en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions prises en application de normes de droit public dans des matières connexes au droit civil, notamment les décisions:
b1  sur la reconnaissance et l'exécution de décisions ainsi que sur l'entraide en matière civile,
b2  sur la tenue des registres foncier, d'état civil et du commerce, ainsi que des registres en matière de protection des marques, des dessins et modèles, des brevets d'invention, des obtentions végétales et des topographies,
b3  sur le changement de nom,
b4  en matière de surveillance des fondations, à l'exclusion des institutions de prévoyance et de libre passage,
b5  en matière de surveillance des exécuteurs testamentaires et autres représentants successoraux,
b6  les décisions prises dans le domaine de la protection de l'enfant et de l'adulte,
b7  ...
BGG). Der Beschwerdeführer ist vom angefochtenen Urteil und den Eintragungen im Personenstandsregister (Infostar) besonders berührt und hat ein schutzwürdiges Interesse an der Aufhebung oder Änderung des angefochtenen Entscheides (Art. 76 Abs. 1 lit. b
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 76 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière civile quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière civile quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et
b  est particulièrement touché par la décision attaquée et a un intérêt digne de protection à son annulation ou sa modification.
2    Ont également qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 72, al. 2, la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux et, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions.41
BGG).

1.2. Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG). Neue Tatsachen und Beweismittel sind nur soweit zulässig, als erst der vorinstanzliche Entscheid dazu Anlass gibt (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
BGG), was in der Beschwerde näher auszuführen ist (BGE 133 III 393 E. 3). Diesen Vorgaben genügt der Beschwerdeführer nicht, ebenso wenig wie mit seiner Darstellung zum Sachverhalt (wie u.a. betreffend Echtheit der Dokumente, "Unterschieben eines fremden Kindes", seinen Aufenthalts- und Arbeitsverhältnissen, seiner Vorsprache auf dem Zivilstandsamt), soweit dies nicht vom Obergericht festgestellt worden ist.

1.3. Mit der vorliegenden Beschwerde kann insbesondere die Verletzung von Bundesrecht und Völkerrecht gerügt werden (Art. 95 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
und b BGG). Mit Bezug auf ausländisches Recht sind die Rügen gemäss Art. 96
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 96 - 1 Les décisions, les mesures ou les documents relatifs à une succession, de même que les droits qui dérivent d'une succession ouverte à l'étranger, sont reconnus en Suisse:
1    Les décisions, les mesures ou les documents relatifs à une succession, de même que les droits qui dérivent d'une succession ouverte à l'étranger, sont reconnus en Suisse:
a  lorsqu'ils ont été rendus, pris, dressés ou constatés dans l'État du dernier domicile du défunt ou dans l'État au droit duquel le défunt a soumis sa succession ou s'ils sont reconnus dans un de ces États, ou
b  lorsqu'ils se rapportent à des immeubles et ont été rendus, pris, dressés ou constatés dans l'État dans lequel ces biens sont situés ou s'ils sont reconnus dans cet État.
2    S'agissant d'un immeuble sis dans un État qui revendique une compétence exclusive, seuls les décisions, mesures ou documents émanant de cet État sont reconnus.
3    Les mesures conservatoires prises dans l'État du lieu de situation des biens du défunt sont reconnues en Suisse.
IPRG möglich, u.a. dass das nach dem schweizerischen Privatrecht massgebende Recht nicht richtig angewendet worden sei, sofern der Entscheid - wie hier - keine vermögensrechtliche Sache betrifft (Art. 96 lit. b
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour:
a  inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse;
b  application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire.
BGG).

1.4. In der Beschwerde ist in gedrängter Form darzulegen, inwiefern der angefochtene Entscheid Recht verletzt (Art. 42 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG; BGE 143 I 377 E. 1.2). Die Verletzung verfassungsmässiger Rechte ist ebenfalls zu begründen, wobei hier das Rügeprinzip gilt (Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG; BGE 142 III 364 E. 2.4). Das Beschwerdebegehren (Ziff. 2), wonach auf das Anerkennungsverfahren mangels Gesuch nicht einzutreten sei, lässt der Beschwerdeführer unbegründet und ist als solches unzulässig.

2.
Das Obergericht hat geprüft, ob die Nachbeurkundung der in Brasilien erfolgten Kindesanerkennung rechtskonform ist. Es hat dazu die vom Zivilstandsamt und Notariat in V.________/Brasilien ausgestellte Geburtsurkunde vom 18. Juli 2017 und die im Registerauszug als Anmerkung erwähnte Kindesanerkennung vom 23. Juli 2013 beurteilt. Die Vorinstanz hat festgehalten, dass dem Beschwerdeführer aufgrund seiner Sprachkenntnisse damals bewusst sein musste, dass es nicht bloss um eine "Namensänderung", sondern um eine Anerkennung von C.E.________ D.________ gegangen sei. Das Obergericht ist zum Ergebnis gelangt, dass eine rechtsgültig beurkundete, im Ausland erfolgte Kindesanerkennung vorliege. Der Umstand, dass der Beschwerdeführer nicht der leibliche Vater von C.E.________ D.________ sei, ändere nichts daran. Die vorliegende Anerkennung stelle keinen offensichtlichen Verstoss gegen den schweizerischen Ordre public dar; eine offensichtliche Umgehung schweizerischen Rechts sei nicht ersichtlich. Ebenso wenig liege eine Verletzung des Haager Adoptionsübereinkommens (HAÜ) oder der UN-Kinderrechtskonvention (UN-KRK) vor.

3.
Anlass zur Beschwerde ist der Entscheid des Obergerichts, welches die von der Aufsichtsbehörde bewilligte Nachbeurkundung einer Kindesanerkennung laut einer brasilianischen Zivilstandsurkunde in das schweizerische Personenstandsregister bestätigt hat. Der in der Urkunde aufgeführte, das Kind anerkennende Vater (Beschwerdeführer) wirft der Vorinstanz die Verletzung von Regeln über die Eintragung ausländischer Zivilstandsurkunden und von weiteren Bestimmungen des Bundes- und Völkerrechts vor.

3.1. Es steht fest, dass der Beschwerdeführer und die Beschwerdegegnerin im Zeitpunkt der Geburt von C.E.________ D.________ (am xx.xx.2001 in Brasilien) nicht verheiratet waren. Damit ist zu prüfen, ob die Nennung des Beschwerdegegners in der brasilianischen Geburtsurkunde des Kindes (ausgestellt am 18. Juli 2017) gemäss dem massgeblichen Recht auf einer verwandtschaftsbegründenden Erklärung beruht (SIEGENTHALER, Das Personenstandsregister, 2. Aufl. 2013, Rz. 400).

3.1.1. Die Beschwerdegegnerin als ausländische Staatsangehörige stand mit dem Beschwerdeführer als Schweizer Bürger in einem familienrechtlichen Verhältnis und ist damit verpflichtet, eine vor ausländischen Behörden abgegebene Erklärung betreffend Personenstand zu melden (Art. 39
SR 211.112.2 Ordonnance du 28 avril 2004 sur l'état civil (OEC)
OEC Art. 39 - Les personnes de nationalité suisse ainsi que les ressortissants étrangers qui ont une relation avec un citoyen suisse en vertu du droit de la famille sont tenus d'annoncer la survenance des faits d'état civil qui les concernent à la représentation compétente de la Suisse; elles ont la même obligation s'agissant des déclarations et des décisions étrangères.
ZStV; SIEGENTHALER, a.a.O., Rz. 185). Sodann ist die Beschwerdegegnerin berechtigt, die Geburt ihrer im Ausland geborenen Tochter nachbeurkunden zu lassen; damit wird gleichzeitig ein allfälliges durch Rechtsakt begründetes Kindesverhältnis beurkundet (SIEGENTHALER, a.a.O., Rz. 82).

3.1.2. Die Nachbeurkundung des im Ausland begründeten Kindesverhältnisses im schweizerischen Zivilstandsregister erfolgt gemäss Art. 32
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 32 - 1 Une décision ou un acte étranger concernant l'état civil est transcrit dans les registres de l'état civil en vertu d'une décision de l'autorité cantonale de surveillance en matière d'état civil.
1    Une décision ou un acte étranger concernant l'état civil est transcrit dans les registres de l'état civil en vertu d'une décision de l'autorité cantonale de surveillance en matière d'état civil.
2    La transcription est autorisée lorsque les conditions fixées aux art. 25 à 27 sont remplies.
3    Les personnes concernées sont entendues préalablement s'il n'est pas établi que, dans l'État étranger où la décision a été rendue, les droits des parties ont été suffisamment respectés au cours de la procédure.
IPRG (Art. 45 Abs. 2 Ziff. 4
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 45 - 1 Chaque canton institue une autorité de surveillance.
1    Chaque canton institue une autorité de surveillance.
2    Cette autorité a notamment les attributions suivantes:
1  exercer la surveillance sur les offices de l'état civil;
2  assister et conseiller les officiers de l'état civil;
3  collaborer à la tenue des registres et à la procédure préparatoire du mariage;
4  décider de la reconnaissance et de la transcription des faits d'état civil survenus à l'étranger et des décisions relatives à l'état civil prises par des autorités étrangères;
5  assurer la formation et la formation continue des personnes qui travaillent dans le domaine de l'état civil.
3    La Confédération exerce la haute surveillance. Elle peut saisir les voies de droit cantonales contre les décisions des officiers de l'état civil et celles des autorités de surveillance.67
ZGB) durch Verfügung der kantonalen Aufsichtsbehörde über das Zivilstandswesen (Abs. 1). Die Eintragung wird bewilligt, wenn die Voraussetzungen der Artikel 25
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 25 - Une décision étrangère est reconnue en Suisse:
a  si la compétence des autorités judiciaires ou administratives de l'État dans lequel la décision a été rendue était donnée;
b  si la décision n'est plus susceptible de recours ordinaire ou si elle est définitive, et
c  s'il n'y a pas de motif de refus au sens de l'art. 27.
-27
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 27 - 1 La reconnaissance d'une décision étrangère doit être refusée en Suisse si elle est manifestement incompatible avec l'ordre public suisse.
1    La reconnaissance d'une décision étrangère doit être refusée en Suisse si elle est manifestement incompatible avec l'ordre public suisse.
2    La reconnaissance d'une décision doit également être refusée si une partie établit:
a  qu'elle n'a été citée régulièrement, ni selon le droit de son domicile, ni selon le droit de sa résidence habituelle, à moins qu'elle n'ait procédé au fond sans faire de réserve;
b  que la décision a été rendue en violation de principes fondamentaux ressortissant à la conception suisse du droit de procédure, notamment que ladite partie n'a pas eu la possibilité de faire valoir ses moyens;
c  qu'un litige entre les mêmes parties et sur le même objet a déjà été introduit en Suisse ou y a déjà été jugé, ou qu'il a précédemment été jugé dans un État tiers, pour autant que cette dernière décision remplisse les conditions de sa reconnaissance.
3    Au surplus, la décision étrangère ne peut faire l'objet d'une révision au fond.
IPRG erfüllt sind (Abs. 2).

3.1.3. Das massgebliche Recht bestimmt sich nach Art. 73
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 73 - 1 La reconnaissance d'un enfant intervenue à l'étranger est reconnue en Suisse lorsqu'elle est valable dans l'État de la résidence habituelle de l'enfant, dans son État national, dans l'État du domicile ou encore dans l'État national de la mère ou du père.
1    La reconnaissance d'un enfant intervenue à l'étranger est reconnue en Suisse lorsqu'elle est valable dans l'État de la résidence habituelle de l'enfant, dans son État national, dans l'État du domicile ou encore dans l'État national de la mère ou du père.
2    Les décisions étrangères sur la contestation de la reconnaissance sont reconnues en Suisse lorsqu'elles ont été rendues dans l'un des États mentionnés à l'al. 1.
IPRG. Danach wird die im Ausland erfolgte Anerkennung eines Kindes in der Schweiz anerkannt, wenn sie nach dem Recht am gewöhnlichen Aufenthalt des Kindes, nach dessen Heimatrecht, nach dem Recht am Wohnsitz oder nach dem Heimatrecht der Mutter oder des Vaters gültig ist (Abs. 1). Es genügt (in favorem recognitionis) zur Anerkennung, wenn eine im Ausland erfolgte Kindesanerkennung nach einer in Art. 73 Abs. 1
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 73 - 1 La reconnaissance d'un enfant intervenue à l'étranger est reconnue en Suisse lorsqu'elle est valable dans l'État de la résidence habituelle de l'enfant, dans son État national, dans l'État du domicile ou encore dans l'État national de la mère ou du père.
1    La reconnaissance d'un enfant intervenue à l'étranger est reconnue en Suisse lorsqu'elle est valable dans l'État de la résidence habituelle de l'enfant, dans son État national, dans l'État du domicile ou encore dans l'État national de la mère ou du père.
2    Les décisions étrangères sur la contestation de la reconnaissance sont reconnues en Suisse lorsqu'elles ont été rendues dans l'un des États mentionnés à l'al. 1.
IPRG genannten Rechtsordnung inhaltlich und der Form nach gültig ist (Urteil 5A 680/2018 vom 19. November 2019 E. 3.2; SCHWANDER, in: Basler Kommentar, Internationales Privatrecht, 4. Aufl. 2021, N. 10 zu Art. 73).

3.2. Der Beschwerdeführer kritisiert zunächst in verfahrensmässiger Hinsicht, dass er nicht (genügend) angehört worden sei. Insbesondere habe er vor der Aufsichtsbehörde keine Gelegenheit zur Stellungnahme erhalten. Gemäss Art. 32 Abs. 3
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 32 - 1 Une décision ou un acte étranger concernant l'état civil est transcrit dans les registres de l'état civil en vertu d'une décision de l'autorité cantonale de surveillance en matière d'état civil.
1    Une décision ou un acte étranger concernant l'état civil est transcrit dans les registres de l'état civil en vertu d'une décision de l'autorité cantonale de surveillance en matière d'état civil.
2    La transcription est autorisée lorsque les conditions fixées aux art. 25 à 27 sont remplies.
3    Les personnes concernées sont entendues préalablement s'il n'est pas établi que, dans l'État étranger où la décision a été rendue, les droits des parties ont été suffisamment respectés au cours de la procédure.
IPRG sind die betroffenen Personen vor der Eintragung anzuhören, wenn nicht feststeht, dass im ausländischen Urteilsstaat die verfahrensmässigen Rechte der Parteien hinreichend gewahrt worden sind.

3.2.1. Aus der Verfügung des DVI geht hervor, dass der Beschwerdeführer sich bereits selber an die Aufsichtsbehörde wandte (Eingabe vom 4. August 2017), von der Erstinstanz mehrfach zur Stellungnahme oder Antwort eingeladen wurde (Schreiben vom 14. November 2018, Schreiben vom 8. Februar 2019 und 7. März 2019 betreffend Abklärung zur Echtheit der Urkunde, Schreiben vom 24. Mai 2019 bzw. 23. August 2019 betreffend Zwischenbericht bzw. Schlussbericht des Rechtsberaters der schweizerischen Vertretung in Rio de Janeiro) und sich auch vernehmen liess (Eingabe vom 28. Februar 2019, 19. September 2019 betreffend Schlussbericht). Das Obergericht hat festgehalten, dass das Anhörungsrecht des Beschwerdeführers nach Art. 32 Abs. 3
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 32 - 1 Une décision ou un acte étranger concernant l'état civil est transcrit dans les registres de l'état civil en vertu d'une décision de l'autorité cantonale de surveillance en matière d'état civil.
1    Une décision ou un acte étranger concernant l'état civil est transcrit dans les registres de l'état civil en vertu d'une décision de l'autorité cantonale de surveillance en matière d'état civil.
2    La transcription est autorisée lorsque les conditions fixées aux art. 25 à 27 sont remplies.
3    Les personnes concernées sont entendues préalablement s'il n'est pas établi que, dans l'État étranger où la décision a été rendue, les droits des parties ont été suffisamment respectés au cours de la procédure.
IPRG vom DVI hinreichend gewahrt worden sei. Dass der Beschwerdeführer im Verfahren vor dem Obergericht rechtserhebliche Rügen vorgebracht habe, diese aber zu Unrecht übergangen worden seien, behauptet er nicht. Seine Kritik zielt auf den erstinstanzlichen Entscheid und geht im vorliegenden Verfahren fehl.

3.2.2. Unbehelflich ist, soweit der Beschwerdeführer eine Gehörsverletzung im Verfahren vor dem Obergericht rügt, weil es ihm die Stellungnahme der Beschwerdegegnerin "nie zur Stellungnahme" unterbreitet habe. Aus den vorinstanzlichen Akten geht hervor, dass ihm mit Verfügung vom 5. Mai 2020 die Beschwerdeantwort zur Kenntnis gebracht wurde. Inwiefern sein verfassungsmässiges Replikrecht (Art. 29 Abs. 1
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
1    Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
2    Les parties ont le droit d'être entendues.
3    Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert.
BV) verletzt oder kantonales Verfahrensrecht (VRPG/ AG i.V.m. § 9 Abs. 2 EG ZGB/AG) willkürlich angewendet worden sei, wird nicht dargelegt.

3.2.3. Das Obergericht hat gestützt auf die Abklärungen des DVI und die Angaben des Vertrauensanwaltes des Schweizerischen Generalkonsulates in Rio de Janeiro festgestellt, dass es sich beim Dokument vom 18. Juli 2017 (versehen mit Haager Apostille) um eine echte brasilianische Geburtsurkunde als Zweitauszug handle. Wenn die Vorinstanz gestützt auf die darin erwähnte und in den Akten liegende Kindesanerkennung (Termo de reconhecimento de filha) vom 23. Juli 2013 geschlossen hat, dass diese vom Beschwerdeführer in persönlicher Anwesenheit auf dem Zivilstandsamt und Notariat in V.________/ Brasilien unterschrieben wurde, handelt es sich um Tatsachenfeststellungen. Das Gleiche gilt für die Feststellung, dass der Beschwerdeführer wegen seinem Aufenthalt in Brasilien und seiner Tätigkeit für ein Unternehmen mit portugiesischer Arbeitssprache ohne Weiteres verstehen musste, was "reconhecimento de filha" bedeutet. Dass es sich dabei um falsche Sachverhaltsfeststellungen nach den Vorgaben von Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
BGG handle, legt der Beschwerdeführer nicht dar. Inwiefern seine verfahrensmässigen Rechte im Rahmen der persönlichen Abgabe einer freiwilligen Erklärung auf dem Zivilstandsamt und Notariat verletzt sein sollen, ist nicht ersichtlich.

3.3. Weiter wirft der Beschwerdeführer dem Obergericht vor, dass es mit seinem Entscheid über die Nachbeurkundung der Geburt bzw. Kindesanerkennung die sachlich zuständigen Instanzen und dafür vorgesehenen Verfahren übergangen habe.

3.3.1. Der Beschwerdeführer verkennt in seinen Ausführungen, dass die Prüfung der Anerkennungsvoraussetzungen bei der Eintragung durch die Aufsichtsbehörde in das Zivilstandsregister gemäss Art. 32
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 32 - 1 Une décision ou un acte étranger concernant l'état civil est transcrit dans les registres de l'état civil en vertu d'une décision de l'autorité cantonale de surveillance en matière d'état civil.
1    Une décision ou un acte étranger concernant l'état civil est transcrit dans les registres de l'état civil en vertu d'une décision de l'autorité cantonale de surveillance en matière d'état civil.
2    La transcription est autorisée lorsque les conditions fixées aux art. 25 à 27 sont remplies.
3    Les personnes concernées sont entendues préalablement s'il n'est pas établi que, dans l'État étranger où la décision a été rendue, les droits des parties ont été suffisamment respectés au cours de la procédure.
IPRG keine absolute Bedeutung hat, und die Bewilligung der Eintragung nicht ausschliesst, dass sie mit einer gerichtlichen Berichtigung gemäss Art. 42
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 42 - Une déclaration d'absence ou de décès prononcée à l'étranger est reconnue en Suisse, lorsqu'elle émane de l'État du dernier domicile connu ou de l'État national de la personne disparue.
IPRG in Frage gestellt werden kann (Urteil 5A 54/2016 vom 15. Juni 2016 E. 2.3; BUCHER, in: Commentaire romand, LDIP/CL, 2011, N. 4 zu Art. 32). Eine solche Klage betrifft die Gültigkeit ( validité) der Eintragung einer Kindesanerkennung, z.B. mit Hinweis auf eine andere, frühere Kindesanerkennung (Urteil 5A 580/2018 vom 19. November 2019 E. 3.1). Ebenso wenig schliesst die gestützt auf Art. 32
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 32 - 1 Une décision ou un acte étranger concernant l'état civil est transcrit dans les registres de l'état civil en vertu d'une décision de l'autorité cantonale de surveillance en matière d'état civil.
1    Une décision ou un acte étranger concernant l'état civil est transcrit dans les registres de l'état civil en vertu d'une décision de l'autorité cantonale de surveillance en matière d'état civil.
2    La transcription est autorisée lorsque les conditions fixées aux art. 25 à 27 sont remplies.
3    Les personnes concernées sont entendues préalablement s'il n'est pas établi que, dans l'État étranger où la décision a été rendue, les droits des parties ont été suffisamment respectés au cours de la procédure.
IPRG bewilligte Eintragung gerichtliche Feststellungs- oder Gestaltungsklagen (wie eine materielle Klage auf Anfechtung der Kindesanerkennung) oder die vorfrageweise Prüfung (Art. 29 Abs. 3
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 29 - 1 La requête en reconnaissance ou en exécution sera adressée à l'autorité compétente du canton où la décision étrangère est invoquée. Elle sera accompagnée:
1    La requête en reconnaissance ou en exécution sera adressée à l'autorité compétente du canton où la décision étrangère est invoquée. Elle sera accompagnée:
a  d'une expédition complète et authentique de la décision;
b  d'une attestation constatant que la décision n'est plus susceptible de recours ordinaire ou qu'elle est définitive, et
c  en cas de jugement par défaut, d'un document officiel établissant que le défaillant a été cité régulièrement et qu'il a eu la possibilité de faire valoir ses moyens.
2    La partie qui s'oppose à la reconnaissance et à l'exécution est entendue dans la procédure; elle peut y faire valoir ses moyens.
3    Lorsqu'une décision étrangère est invoquée à titre préalable, l'autorité saisie peut statuer elle-même sur la reconnaissance.
IPRG) in einem Prozess aus (BUCHER, a.a.O., N. 4 zu Art. 32
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 32 - 1 Celui qui, pour exercer un droit, prétend qu'une personne existe ou qu'elle est morte, ou qu'elle était vivante à une époque déterminée, ou qu'elle a survécu à une autre personne, doit prouver le fait qu'il allègue.
1    Celui qui, pour exercer un droit, prétend qu'une personne existe ou qu'elle est morte, ou qu'elle était vivante à une époque déterminée, ou qu'elle a survécu à une autre personne, doit prouver le fait qu'il allègue.
2    Lorsque plusieurs personnes sont mortes sans qu'il soit possible d'établir si l'une a survécu à l'autre, leur décès est présumé avoir eu lieu au même moment.
).

3.3.2. Richtig ist der Hinweis des Beschwerdeführers, dass mit der Klage nach Art. 42
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 42 - 1 Toute personne qui justifie d'un intérêt personnel légitime peut demander au juge d'ordonner l'inscription, la rectification ou la radiation de données litigieuses relatives à l'état civil. Les autorités cantonales de surveillance concernées sont entendues et le juge leur notifie sa décision.
1    Toute personne qui justifie d'un intérêt personnel légitime peut demander au juge d'ordonner l'inscription, la rectification ou la radiation de données litigieuses relatives à l'état civil. Les autorités cantonales de surveillance concernées sont entendues et le juge leur notifie sa décision.
2    Les autorités cantonales de surveillance ont également qualité pour agir.
ZGB nicht nur auf Berichtigung einer Eintragung, sondern auch auf Eintragung selbst geklagt werden kann, wenn die Angaben streitig sind. Das betrifft den Fall, wenn Angaben über den Personenstand auf deren Eintragung in das Zivilstandsregister durch Urkunden zu belegen sind, aber unmöglich oder unzumutbar ist, die entsprechenden Urkunden zu beschaffen (GRAF-GAISER/MONTINI, in: Basler Kommentar, Zivilgesetzbuch I, 6. Aufl. 2018, N. 1 zu Art. 42). Ein solcher Fall liegt hier nicht vor: Vorliegend ist über die Eintragung (Nachbeurkundung) einer durch Urkunden dokumentierten ausländischen Kindesanerkennung in das Zivilstandsregister zu entscheiden. Der Entscheid über die Eintragung fällt - wie erwähnt (E. 3.1) - in die Kompetenz der Aufsichtsbehörde nach Art. 32
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 32 - 1 Une décision ou un acte étranger concernant l'état civil est transcrit dans les registres de l'état civil en vertu d'une décision de l'autorité cantonale de surveillance en matière d'état civil.
1    Une décision ou un acte étranger concernant l'état civil est transcrit dans les registres de l'état civil en vertu d'une décision de l'autorité cantonale de surveillance en matière d'état civil.
2    La transcription est autorisée lorsque les conditions fixées aux art. 25 à 27 sont remplies.
3    Les personnes concernées sont entendues préalablement s'il n'est pas établi que, dans l'État étranger où la décision a été rendue, les droits des parties ont été suffisamment respectés au cours de la procédure.
IPRG (GRAF-GAISER/ MONTINI, a.a.O., N. 8 zu Art. 42), wie das Obergericht zu Recht bestätigt hat. Entgegen der Darstellung des Beschwerdeführers kann von einem ungesetzlichen Verfahren nicht gesprochen werden.

3.4. Der Beschwerdeführer bringt vor, es seien die Regeln (E. 3.1) über die Eintragung der ausländischen Urkunden über die im Ausland erfolgte Kindesanerkennung verletzt worden.

3.4.1. Gegenstand von Art. 73 Abs. 1
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 73 - 1 La reconnaissance d'un enfant intervenue à l'étranger est reconnue en Suisse lorsqu'elle est valable dans l'État de la résidence habituelle de l'enfant, dans son État national, dans l'État du domicile ou encore dans l'État national de la mère ou du père.
1    La reconnaissance d'un enfant intervenue à l'étranger est reconnue en Suisse lorsqu'elle est valable dans l'État de la résidence habituelle de l'enfant, dans son État national, dans l'État du domicile ou encore dans l'État national de la mère ou du père.
2    Les décisions étrangères sur la contestation de la reconnaissance sont reconnues en Suisse lorsqu'elles ont été rendues dans l'un des États mentionnés à l'al. 1.
IPRG ("im Ausland erfolgte Anerkennungen") sind regelmässig private, meist formgebundene Erklärungen, die von ausländischen Behörden oder Gerichten entgegengenommen werden, oder einseitige formgebundene Erklärungen (wie Testament, öffentliche Urkunde) ausserhalb eines Behördenverfahrens (Urteil 5A 680/2018 vom 19. November 2019 E. 3.2.1; SCHWANDER, a.a.O., N. 3 zu Art. 73). Im vorliegenden Fall geht es um die vom 4. Zivilstandsamt und öffentlichen Notariat F.________ in V.________/Brasilien ausgestellte Geburtsurkunde als vollständiger Auszug (Certidão de nascimento inteiro teor) vom 18. Juli 2017 und die im Registerauszug als Anmerkung erwähnte und im Verfahren vorgelegte Kindesanerkennung (Termo de reconhecimento de filha) vom 23. Juli 2013, welche der Beschwerdeführer im gleichen Zivilstandsamt und Notariat mit Zustimmung der Beschwerdegegnerin in beglaubigter Form abgegeben hatte. Entgegen der Auffassung des Beschwerdeführers wird das zur Nachbeurkundung nach Art. 32
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 32 - 1 Une décision ou un acte étranger concernant l'état civil est transcrit dans les registres de l'état civil en vertu d'une décision de l'autorité cantonale de surveillance en matière d'état civil.
1    Une décision ou un acte étranger concernant l'état civil est transcrit dans les registres de l'état civil en vertu d'une décision de l'autorité cantonale de surveillance en matière d'état civil.
2    La transcription est autorisée lorsque les conditions fixées aux art. 25 à 27 sont remplies.
3    Les personnes concernées sont entendues préalablement s'il n'est pas établi que, dans l'État étranger où la décision a été rendue, les droits des parties ont été suffisamment respectés au cours de la procédure.
IPRG vorgelegte Dokument als Zivilstandsurkunde über die Kindesanerkennung von Art. 73
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 73 - 1 La reconnaissance d'un enfant intervenue à l'étranger est reconnue en Suisse lorsqu'elle est valable dans l'État de la résidence habituelle de l'enfant, dans son État national, dans l'État du domicile ou encore dans l'État national de la mère ou du père.
1    La reconnaissance d'un enfant intervenue à l'étranger est reconnue en Suisse lorsqu'elle est valable dans l'État de la résidence habituelle de l'enfant, dans son État national, dans l'État du domicile ou encore dans l'État national de la mère ou du père.
2    Les décisions étrangères sur la contestation de la reconnaissance sont reconnues en Suisse lorsqu'elles ont été rendues dans l'un des États mentionnés à l'al. 1.
IPRG grundsätzlich erfasst.

3.4.2. Unbehelflich ist weiter, soweit der Beschwerdeführer mit Hinweis darauf, dass er nicht der leibliche Vater von C.E.________ D.________ sei, eine Anwendung von Art. 78
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 78 - 1 Les adoptions intervenues à l'étranger sont reconnues en Suisse lorsqu'elles ont été prononcées dans l'État du domicile ou dans l'État national de l'adoptant ou des époux adoptants.
1    Les adoptions intervenues à l'étranger sont reconnues en Suisse lorsqu'elles ont été prononcées dans l'État du domicile ou dans l'État national de l'adoptant ou des époux adoptants.
IPRG ("Anerkennung ausländischer Adoptionen") herbeiführen will. Kindesanerkennungen werden nicht als Adoptionen gewertet, wenn sich herausstellt, dass jemand das Kind anerkannt hat, obwohl er nicht der Vater ist; derartige "Adoptionsanerkennungen" sind als Anerkennung zu werten und nach Art. 73 Abs. 1 zu beurteilen (SIEHR/MARKUS, in: Zürcher Kommentar zum IPRG, 3. Aufl. 2018, N. 33 zu Art. 78). Darauf hat die Vorinstanz zu Recht mit Blick darauf, dass der Beschwerdeführer nicht der leibliche Vater ist, hingewiesen. Sie hat indes geprüft, ob die Anerkennung Ordre public-widrig sei, worauf zurückzukommen ist.

3.5. Das Obergericht hat - entsprechend dem Vorgehen in der erstinstanzlichen Verfügung - die formelle und inhaltliche Gültigkeit der Kindesanerkennung nach brasilianischem Recht geprüft. Dabei steht ausser Frage, dass brasilianisches Recht - das Heimatrecht des Kindes sowie der Mutter - Gültigkeitsstatut der Kindesanerkennung sein kann (E. 3.1). Nach brasilianischem Recht kann ein aussereheliches Kind von seinen Eltern gemeinsam oder getrennt anerkannt werden; die Anerkennung des ausserehelichen Kindes ist unwiderruflich und erfolgt durch Eintragung im Geburtsregister, durch eine öffentliche oder privatschriftliche Urkunde die im Notariat archiviert wird, sowie durch Testament oder im gerichtlichen Prozess (Art. 1607, Art. 1609 des brasilianischen Zivilgesetzbuches [Código Civil] vom 10. Januar 2002 [ br ZGB], abgedruckt bei SCHMIDT, Brasilien, in: Bergmann/Ferid, Internationales Ehe- und Kindschaftsrecht, Stand: 2016, S. 77).

3.6. Der Beschwerdeführer macht in formeller Hinsicht geltend, es liege keine "echte oder offizielle", sondern eine nachträglich veränderte Geburtsurkunde vor. Er erblickt die Ungültigkeit der Kindesanerkennung im Umstand, dass die Geburtsurkunde vom 18. Juli 2017 sich nicht auf die Verhältnisse im Zeitpunkt der Geburt des Kindes (am 14. September 2001) beziehe, weshalb sie "falsch" sei. Es ist indes bekannt, dass in verschiedenen Staaten, darunter Brasilien, die Kindesanerkennung mit der Geburtsurkunde nachgewiesen wird (Kreisschreiben EAZW Nr. 20.08.01 vom 15. Januar 2008, Nachweis Kindesverhältnis, S. 3, Ziff. 1, Fn. 4). Sodann steht fest, dass der Aufsichtsbehörde die Dokumente vorgelegt wurden, wonach - gemäss Anmerkung in der am 18. Juli 2017 ausgestellten Geburtsurkunde - der Beschwerdeführer mit notarieller Kindesanerkennungsurkunde vom 23. Juli 2013 C.E.________ D.________ anerkannt und sie dadurch den Namen E.________ D.________ angenommen hat. Mit Blick auf die Form, in welcher die Anerkennung gemäss Art. 1609 br ZGB (Eintragung im Geburtsregister, notariell hinterlegte Urkunde) erfolgte, ist nicht ersichtlich, inwiefern der brasilianische Nachweis zur Nachbeurkundung der Kindesanerkennung nicht genügend sein soll.

3.7. Was der Beschwerdeführer weiter vorbringt, richtet sich gegen die inhaltliche Gültigkeit der Kindesanerkennung.

3.7.1. Der Beschwerdeführer habe zwar am 23. Juli 2013 wohl ein "Dokument" unterzeichnet, aber lediglich um damit einer "Namensänderung" des Kindes zuzustimmen, jedoch nicht um ein Kind anzuerkennen. Wegen Verständnisproblemen und familiärem Druck fehle es an einer wissentlichen und willentlichen Erklärung zur Kindesanerkennung. Die Ausführungen laufen auf einen Widerruf der Kindesanerkennung oder auf angebliche Willensmängel bei der Erklärung hinaus. Allerdings ist die Kindesanerkennung nach brasilianischem Recht unwiderruflich (Art. 1609 br ZGB) und nur im Falle eines substanziellen Willensmangels anfechtbar (SCHMIDT, a.a.O., S. 40). Im vorliegenden Verfahren zur Nachbeurkundung der Kindesanerkennung nach Art. 32
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 32 - 1 Une décision ou un acte étranger concernant l'état civil est transcrit dans les registres de l'état civil en vertu d'une décision de l'autorité cantonale de surveillance en matière d'état civil.
1    Une décision ou un acte étranger concernant l'état civil est transcrit dans les registres de l'état civil en vertu d'une décision de l'autorité cantonale de surveillance en matière d'état civil.
2    La transcription est autorisée lorsque les conditions fixées aux art. 25 à 27 sont remplies.
3    Les personnes concernées sont entendues préalablement s'il n'est pas établi que, dans l'État étranger où la décision a été rendue, les droits des parties ont été suffisamment respectés au cours de la procédure.
IPRG kann die Aufsichtsbehörde (mangels sachlicher Zuständigkeit) jedoch nicht über die allfälligen Gründe zur gerichtlichen Anfechtung der Kindesanerkennung entscheiden. Die Ausführungen des Beschwerdeführers zu den Willensmängeln vermögen daher die Nachbeurkundung der vorgelegten Kindesanerkennung nicht in Frage zu stellen.

3.7.2. Mit Blick auf die inhaltliche Gültigkeit der brasilianischen Kindesanerkennung haben sich die kantonalen Instanzen zur Frage geäussert, welche Wirkung eine bewusst unrichtige Erklärung habe. Das DVI hat festgehalten, dass nach brasilianischem Recht die Kindesanerkennung auch dann wirksam sei, wenn der Beschwerdeführer C.E.________ D.________ im Wissen anerkannt habe, dass er nicht der biologische Vater sei. Der sozioaffektiven Vaterschaft komme eine tragende - das Kindesverhältnis begründende - Bedeutung zu, wenn ein Elternteil das Kind im Wissen anerkenne, dass es nicht von ihm abstammt. Das Obergericht hat sich die erstinstanzliche Rechtsauffassung zu eigen gemacht, indem es darauf verwiesen hat.

3.7.3. Der Beschwerdeführer stellt die brasilianische Rechtslage zur Gültigkeit der Kindesanerkennung zu Recht nicht in Frage. In der Literatur zum brasilianischen Recht wird (mit Hinweis auf die Rechtsprechung zur sog. adocão à brasileira) bestätigt, dass in der bewusst unrichtigen Anerkennung eine strafbare Umgehung der Vorschriften zur Adoption liegen kann, diese Anerkennung jedoch ihre Rechtswirkungen entfalte und von den Eltern nicht mehr angefochten werden könne, wenn das Abstammungsverhältnis einen erheblichen Zeitraum gelebt wurde (SCHMIDT, a.a.O., S. 44). Der Beschwerdeführer kritisiert allerdings den Schluss der Vorinstanz, dass mit der Nachbeurkundung der Kindesanerkennung kein Ordre public-Verstoss vorliegen soll, insbesondere weil mit der vorliegenden Eintragung die Bestimmungen der Adoption "umgangen" würden. Darauf ist im Folgenden näher einzugehen.

3.8. Die im Ausland erfolgte Kindesanerkennung (Art. 73
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 73 - 1 La reconnaissance d'un enfant intervenue à l'étranger est reconnue en Suisse lorsqu'elle est valable dans l'État de la résidence habituelle de l'enfant, dans son État national, dans l'État du domicile ou encore dans l'État national de la mère ou du père.
1    La reconnaissance d'un enfant intervenue à l'étranger est reconnue en Suisse lorsqu'elle est valable dans l'État de la résidence habituelle de l'enfant, dans son État national, dans l'État du domicile ou encore dans l'État national de la mère ou du père.
2    Les décisions étrangères sur la contestation de la reconnaissance sont reconnues en Suisse lorsqu'elles ont été rendues dans l'un des États mentionnés à l'al. 1.
IPRG), welche nach Art. 32
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 32 - 1 Une décision ou un acte étranger concernant l'état civil est transcrit dans les registres de l'état civil en vertu d'une décision de l'autorité cantonale de surveillance en matière d'état civil.
1    Une décision ou un acte étranger concernant l'état civil est transcrit dans les registres de l'état civil en vertu d'une décision de l'autorité cantonale de surveillance en matière d'état civil.
2    La transcription est autorisée lorsque les conditions fixées aux art. 25 à 27 sont remplies.
3    Les personnes concernées sont entendues préalablement s'il n'est pas établi que, dans l'État étranger où la décision a été rendue, les droits des parties ont été suffisamment respectés au cours de la procédure.
IPRG einzutragen ist, steht unter dem Vorbehalt des Ordre public: Die Eintragung der ausländischen Kindesanerkennung wird nicht bewilligt, wenn deren Anerkennung in der Schweiz mit dem schweizerischen Ordre public - den hiesigen rechtlichen und ethischen Wertvorstellungen - offensichtlich unvereinbar wäre (Art. 27 Abs. 1
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 27 - 1 La reconnaissance d'une décision étrangère doit être refusée en Suisse si elle est manifestement incompatible avec l'ordre public suisse.
1    La reconnaissance d'une décision étrangère doit être refusée en Suisse si elle est manifestement incompatible avec l'ordre public suisse.
2    La reconnaissance d'une décision doit également être refusée si une partie établit:
a  qu'elle n'a été citée régulièrement, ni selon le droit de son domicile, ni selon le droit de sa résidence habituelle, à moins qu'elle n'ait procédé au fond sans faire de réserve;
b  que la décision a été rendue en violation de principes fondamentaux ressortissant à la conception suisse du droit de procédure, notamment que ladite partie n'a pas eu la possibilité de faire valoir ses moyens;
c  qu'un litige entre les mêmes parties et sur le même objet a déjà été introduit en Suisse ou y a déjà été jugé, ou qu'il a précédemment été jugé dans un État tiers, pour autant que cette dernière décision remplisse les conditions de sa reconnaissance.
3    Au surplus, la décision étrangère ne peut faire l'objet d'une révision au fond.
i.V.m. Art. 32 Abs. 2
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 32 - 1 Une décision ou un acte étranger concernant l'état civil est transcrit dans les registres de l'état civil en vertu d'une décision de l'autorité cantonale de surveillance en matière d'état civil.
1    Une décision ou un acte étranger concernant l'état civil est transcrit dans les registres de l'état civil en vertu d'une décision de l'autorité cantonale de surveillance en matière d'état civil.
2    La transcription est autorisée lorsque les conditions fixées aux art. 25 à 27 sont remplies.
3    Les personnes concernées sont entendues préalablement s'il n'est pas établi que, dans l'État étranger où la décision a été rendue, les droits des parties ont été suffisamment respectés au cours de la procédure.
IPRG; BGE 141 III 328 E. 5.1; SIEHR/ MARKUS, a.a.O., N. 13 zu Art. 73).

3.8.1. Nach schweizerischer Rechtsauffassung ist die biologische Vaterschaft nicht Voraussetzung zur Anerkennung (TUOR/SCHNYDER/JUNGO, Das Schweizerische Zivilgesetzbuch, 14. Aufl. 2015, § 40 Rz. 26, 29). Auch die bewusst unrichtige Anerkennung ist wirksam und kann ebenfalls nur durch Anfechtungsklage beseitigt werden (so SCHWENZER/ COTTIER, in: Basler Kommentar, Zivilgesetzbuch I, 6. Aufl. 2018, N. 7 zu Art. 260; GUILLOD, in: Commentaire romand, Code civil I, 2010, N. 11 zu Art. 260). Die Auffassung ist umstritten. Zum Teil wird die Meinung vertreten, dass die Kindesanerkennung dann abzulehnen sei, wenn die Vaterschaft erkennbar ausgeschlossen sei, z.B. wegen des Alters bzw. Altersunterschiedes (TUOR/SCHNYDER/JUNGO, a.a.O., § 40 Rz. 26 Fn. 37; SIEHR/MARKUS, a.a.O., N. 13 zu Art. 73), bzw. nach kantonaler Praxis, wenn Rechtsmissbrauch oder Gesetzesumgehung offensichtlich seien (vgl. Urteil 5A 10/2019 vom 13. März 2019 E. 3, ohne materielle Stellungnahme in E. 5). Ausgeschlossen ist die Kindesanerkennung, wenn ein Gerichtsurteil entgegensteht (BGE 122 III 99 f.; GUILLOD, a.a.O.).

3.8.2. Ob das Obergericht im konkreten Fall genügend Anhaltspunkte hatte, um einen erkennbaren Ausschluss der biologischen Vaterschaft zu prüfen und anzunehmen, kann offen gelassen werden. Der Beschwerdeführer übergeht, dass die Vorinstanz den Ordre public-Verstoss verneint hat, auch wenn eine bewusst unrichtige Kindesanerkennung vorliegt, weil eine "Rechtsumgehung" nicht erkennbar sei. Dass das Obergericht bei der Ordre public-Beurteilung nicht nur auf einen erkennbaren Ausschluss der Vaterschaft, sondern auch auf die weiteren konkreten Umstände Bezug genommen hat, ist jedoch nicht zu beanstanden: Ob der Ordre public offensichtlich verletzt ist, beurteilt sich jedenfalls nicht abstrakt, sondern mit Blick auf die Auswirkungen im Einzelfall. Zu berücksichtigen sind auch die Beziehungen zum ausländischen Staat und der Zeitraum zwischen Ausfertigung der Urkunde und dem Prüfungsentscheid (BGE 141 III 328 E. 5.1). Diese Grundsätze gelten auch bei einer bewusst unrichtigen Kindesanerkennung, insbesondere wenn sich der Anerkennende Jahre später in einem familienrechtlichen Prozess auf die Ordre public-Widrigkeit seiner eigenen Anerkennung beruft (vgl. OTHENIN-GIRARD, La réserve d'ordre public en droit international privé, 1999, Rz. 878).

3.8.3. Der Beschwerdeführer hält fest, es sei Ordre public-widrig, wenn zwischen einem "Anerkennenden und dem Kind" keinerlei Beziehung vorliege. Das Obergericht hat (unter Verweisung auf die Erwägungen des DVI) festgehalten, dass eine offensichtliche Umgehung schweizerischen Rechts wie z.B. des Ausländerrechts nicht ersichtlich sei. Damit wird Bezug genommen auf den Umstand, dass (wie aus den Akten und Zivilstandsurkunden hervorgeht) die Ehegatten im Jahre 2013 - im Zeitpunkt der Kindesanerkennung - mit C.E.________ D.________ bereits gültig der Schweiz in V.________/ZH, W.________strasse yyy, im gemeinsamen Familienhaushalt lebten. Die Beschwerdegegnerin bzw. C.E.________ D.________ waren im Zeitpunkt der Kindesanerkennung zwar nicht in Brasilien domiziliert. Wenn das Obergericht im Ergebnis angenommen hat, dass beide mit Brasilien, wo sie (gemäss den vorgelegten Zivilstandsurkunden) geboren sind und Familienbeziehungen unterhalten (wie der Beschwerdeführer selber festhält), eine genügende Verbindung haben, welche das Vermeiden eines hinkendes Rechtsverhältnisses rechtfertigt, hat es seinen Beurteilungsspielraum nicht verletzt. Mit Blick auf die urkundlich belegte Kindesanerkennung im Jahre 2013 kann sodann berücksichtigt
werden, dass mehrere Jahre vergingen, bis der Beschwerdeführer sich (erst) nach Anhebung des Scheidungsprozesses im Jahre 2016 auf die Ungültigkeit seiner eigenen Erklärung berief. Weiter hat die Vorinstanz berücksichtigt, dass weder im Aus- noch Inland ein Kindesverhältnis zu einem anderen Mann besteht. Damit ist nicht ersichtlich, inwiefern das Obergericht eine offensichtliche Unvereinbarkeit mit dem schweizerischen Ordre public verkannt habe, wenn es zum Ergebnis gelangt ist, dass die Nachbeurkundung der brasilianischen Kindesanerkennung zu bestätigen sei. Die Ausführungen des Beschwerdeführers, durch seine Erklärung würden Adoptionsregeln umgangen, sind unbehelflich.

3.8.4. Schliesslich macht der Beschwerdeführer eine Verletzung von Art. 7 Abs. 1 UN-KRK geltend. Die Vorinstanz habe übergangen, dass die Beschwerdegegnerin eine zur Zeit der Geburt ausgestellte Geburtsurkunde nie vorgelegt habe, weshalb der vorinstanzliche Entscheid mit der UN-KRK nicht vereinbar sei. Der Beschwerdeführer legt nicht dar, inwiefern durch die Anmerkung der im Jahre 2013 erfolgten Kindesanerkennung auf der Geburtsurkunde (als Zweitauszug) Art. 7 Abs. 1 UN-KRK verletzt sein soll. Im Übrigen liegt in den Akten (auch) die Geburtsurkunde vom 26. September 2001 mit der Bestätigung, dass das bereits erwähnte Zivilstandsamt die Geburt von C.E.________, mit der Angabe von B.E.________ als Mutter, jedoch noch ohne Angabe eines Vaters, in das brasilianische Zivilstandsregister eingetragen wurde.

3.9. Nach dem Dargelegten stellt keine Rechtsverletzung dar, wenn das Obergericht die vom DVI gutgeheissene Nachbeurkundung der am 23. Juli 2013 in Brasilien erfolgten Kindesanerkennung in das schweizerische Personenstandsregister bestätigt hat.

4.
Die Beschwerde ist unbegründet, soweit darauf überhaupt eingetreten werden kann. Bei diesem Ausgang des Verfahrens wird der Beschwerdeführer kostenpflichtig (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG). Eine Parteientschädigung ist nicht zu leisten, da der Beschwerdegegnerin keine ersatzpflichtigen Kosten entstanden sind.

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 3'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Verfahrensbeteiligten und dem Obergericht des Kantons Aargau, Zivilgericht, 3. Kammer, und dem Bundesamt für Justiz, Eidgenössisches Amt für das Zivilstandswesen, mitgeteilt.

Lausanne, 21. Februar 2022

Im Namen der II. zivilrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Der Präsident: Herrmann

Der Gerichtsschreiber: Levante
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 5A_822/2020
Date : 21 février 2022
Publié : 14 mars 2022
Source : Tribunal fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Droit de la famille
Objet : Anerkennung und Eintragung einer Kindesanerkennung im Personenstandsregister


Répertoire des lois
CC: 32 
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 32 - 1 Celui qui, pour exercer un droit, prétend qu'une personne existe ou qu'elle est morte, ou qu'elle était vivante à une époque déterminée, ou qu'elle a survécu à une autre personne, doit prouver le fait qu'il allègue.
1    Celui qui, pour exercer un droit, prétend qu'une personne existe ou qu'elle est morte, ou qu'elle était vivante à une époque déterminée, ou qu'elle a survécu à une autre personne, doit prouver le fait qu'il allègue.
2    Lorsque plusieurs personnes sont mortes sans qu'il soit possible d'établir si l'une a survécu à l'autre, leur décès est présumé avoir eu lieu au même moment.
42 
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 42 - 1 Toute personne qui justifie d'un intérêt personnel légitime peut demander au juge d'ordonner l'inscription, la rectification ou la radiation de données litigieuses relatives à l'état civil. Les autorités cantonales de surveillance concernées sont entendues et le juge leur notifie sa décision.
1    Toute personne qui justifie d'un intérêt personnel légitime peut demander au juge d'ordonner l'inscription, la rectification ou la radiation de données litigieuses relatives à l'état civil. Les autorités cantonales de surveillance concernées sont entendues et le juge leur notifie sa décision.
2    Les autorités cantonales de surveillance ont également qualité pour agir.
45
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 45 - 1 Chaque canton institue une autorité de surveillance.
1    Chaque canton institue une autorité de surveillance.
2    Cette autorité a notamment les attributions suivantes:
1  exercer la surveillance sur les offices de l'état civil;
2  assister et conseiller les officiers de l'état civil;
3  collaborer à la tenue des registres et à la procédure préparatoire du mariage;
4  décider de la reconnaissance et de la transcription des faits d'état civil survenus à l'étranger et des décisions relatives à l'état civil prises par des autorités étrangères;
5  assurer la formation et la formation continue des personnes qui travaillent dans le domaine de l'état civil.
3    La Confédération exerce la haute surveillance. Elle peut saisir les voies de droit cantonales contre les décisions des officiers de l'état civil et celles des autorités de surveillance.67
Cst: 29
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
1    Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
2    Les parties ont le droit d'être entendues.
3    Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert.
LDIP: 25 
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 25 - Une décision étrangère est reconnue en Suisse:
a  si la compétence des autorités judiciaires ou administratives de l'État dans lequel la décision a été rendue était donnée;
b  si la décision n'est plus susceptible de recours ordinaire ou si elle est définitive, et
c  s'il n'y a pas de motif de refus au sens de l'art. 27.
27 
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 27 - 1 La reconnaissance d'une décision étrangère doit être refusée en Suisse si elle est manifestement incompatible avec l'ordre public suisse.
1    La reconnaissance d'une décision étrangère doit être refusée en Suisse si elle est manifestement incompatible avec l'ordre public suisse.
2    La reconnaissance d'une décision doit également être refusée si une partie établit:
a  qu'elle n'a été citée régulièrement, ni selon le droit de son domicile, ni selon le droit de sa résidence habituelle, à moins qu'elle n'ait procédé au fond sans faire de réserve;
b  que la décision a été rendue en violation de principes fondamentaux ressortissant à la conception suisse du droit de procédure, notamment que ladite partie n'a pas eu la possibilité de faire valoir ses moyens;
c  qu'un litige entre les mêmes parties et sur le même objet a déjà été introduit en Suisse ou y a déjà été jugé, ou qu'il a précédemment été jugé dans un État tiers, pour autant que cette dernière décision remplisse les conditions de sa reconnaissance.
3    Au surplus, la décision étrangère ne peut faire l'objet d'une révision au fond.
29 
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 29 - 1 La requête en reconnaissance ou en exécution sera adressée à l'autorité compétente du canton où la décision étrangère est invoquée. Elle sera accompagnée:
1    La requête en reconnaissance ou en exécution sera adressée à l'autorité compétente du canton où la décision étrangère est invoquée. Elle sera accompagnée:
a  d'une expédition complète et authentique de la décision;
b  d'une attestation constatant que la décision n'est plus susceptible de recours ordinaire ou qu'elle est définitive, et
c  en cas de jugement par défaut, d'un document officiel établissant que le défaillant a été cité régulièrement et qu'il a eu la possibilité de faire valoir ses moyens.
2    La partie qui s'oppose à la reconnaissance et à l'exécution est entendue dans la procédure; elle peut y faire valoir ses moyens.
3    Lorsqu'une décision étrangère est invoquée à titre préalable, l'autorité saisie peut statuer elle-même sur la reconnaissance.
32 
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 32 - 1 Une décision ou un acte étranger concernant l'état civil est transcrit dans les registres de l'état civil en vertu d'une décision de l'autorité cantonale de surveillance en matière d'état civil.
1    Une décision ou un acte étranger concernant l'état civil est transcrit dans les registres de l'état civil en vertu d'une décision de l'autorité cantonale de surveillance en matière d'état civil.
2    La transcription est autorisée lorsque les conditions fixées aux art. 25 à 27 sont remplies.
3    Les personnes concernées sont entendues préalablement s'il n'est pas établi que, dans l'État étranger où la décision a été rendue, les droits des parties ont été suffisamment respectés au cours de la procédure.
42 
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 42 - Une déclaration d'absence ou de décès prononcée à l'étranger est reconnue en Suisse, lorsqu'elle émane de l'État du dernier domicile connu ou de l'État national de la personne disparue.
73 
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 73 - 1 La reconnaissance d'un enfant intervenue à l'étranger est reconnue en Suisse lorsqu'elle est valable dans l'État de la résidence habituelle de l'enfant, dans son État national, dans l'État du domicile ou encore dans l'État national de la mère ou du père.
1    La reconnaissance d'un enfant intervenue à l'étranger est reconnue en Suisse lorsqu'elle est valable dans l'État de la résidence habituelle de l'enfant, dans son État national, dans l'État du domicile ou encore dans l'État national de la mère ou du père.
2    Les décisions étrangères sur la contestation de la reconnaissance sont reconnues en Suisse lorsqu'elles ont été rendues dans l'un des États mentionnés à l'al. 1.
78 
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 78 - 1 Les adoptions intervenues à l'étranger sont reconnues en Suisse lorsqu'elles ont été prononcées dans l'État du domicile ou dans l'État national de l'adoptant ou des époux adoptants.
1    Les adoptions intervenues à l'étranger sont reconnues en Suisse lorsqu'elles ont été prononcées dans l'État du domicile ou dans l'État national de l'adoptant ou des époux adoptants.
96
SR 291 Loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé (LDIP)
LDIP Art. 96 - 1 Les décisions, les mesures ou les documents relatifs à une succession, de même que les droits qui dérivent d'une succession ouverte à l'étranger, sont reconnus en Suisse:
1    Les décisions, les mesures ou les documents relatifs à une succession, de même que les droits qui dérivent d'une succession ouverte à l'étranger, sont reconnus en Suisse:
a  lorsqu'ils ont été rendus, pris, dressés ou constatés dans l'État du dernier domicile du défunt ou dans l'État au droit duquel le défunt a soumis sa succession ou s'ils sont reconnus dans un de ces États, ou
b  lorsqu'ils se rapportent à des immeubles et ont été rendus, pris, dressés ou constatés dans l'État dans lequel ces biens sont situés ou s'ils sont reconnus dans cet État.
2    S'agissant d'un immeuble sis dans un État qui revendique une compétence exclusive, seuls les décisions, mesures ou documents émanant de cet État sont reconnus.
3    Les mesures conservatoires prises dans l'État du lieu de situation des biens du défunt sont reconnues en Suisse.
LTF: 42 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
66 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
72 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 72 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
1    Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
2    Sont également sujettes au recours en matière civile:
a  les décisions en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions prises en application de normes de droit public dans des matières connexes au droit civil, notamment les décisions:
b1  sur la reconnaissance et l'exécution de décisions ainsi que sur l'entraide en matière civile,
b2  sur la tenue des registres foncier, d'état civil et du commerce, ainsi que des registres en matière de protection des marques, des dessins et modèles, des brevets d'invention, des obtentions végétales et des topographies,
b3  sur le changement de nom,
b4  en matière de surveillance des fondations, à l'exclusion des institutions de prévoyance et de libre passage,
b5  en matière de surveillance des exécuteurs testamentaires et autres représentants successoraux,
b6  les décisions prises dans le domaine de la protection de l'enfant et de l'adulte,
b7  ...
76 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 76 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière civile quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière civile quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et
b  est particulièrement touché par la décision attaquée et a un intérêt digne de protection à son annulation ou sa modification.
2    Ont également qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 72, al. 2, la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux et, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions.41
95 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
96 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour:
a  inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse;
b  application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire.
97 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
99 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
105 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
106
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
OEC: 39
SR 211.112.2 Ordonnance du 28 avril 2004 sur l'état civil (OEC)
OEC Art. 39 - Les personnes de nationalité suisse ainsi que les ressortissants étrangers qui ont une relation avec un citoyen suisse en vertu du droit de la famille sont tenus d'annoncer la survenance des faits d'état civil qui les concernent à la représentation compétente de la Suisse; elles ont la même obligation s'agissant des déclarations et des décisions étrangères.
Répertoire ATF
122-III-99 • 133-III-393 • 141-III-328 • 142-III-364 • 143-I-377
Weitere Urteile ab 2000
5A_10/2019 • 5A_54/2016 • 5A_580/2018 • 5A_680/2018 • 5A_822/2020
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
abus de droit • acte de l'état civil • action en contestation • action en modification • apostille • argovie • attestation • authenticité • autorisation ou approbation • autorité de recours • autorité inférieure • autorité étrangère • avis • avocat • brésil • code civil suisse • compétence ratione materiae • conclusion du mariage • conjoint • connaissance • conscience • constatation des faits • convention relative aux droits de l'enfant • copie • différence d'âge • document écrit • dossier • droit international privé • droit national • droit suisse • droit étranger • décision • décision étrangère • département • emploi • enfant né hors mariage • exactitude • examen • extrait du registre • forme et contenu • frais judiciaires • fraude à la loi • greffier • hameau • homme • hors • inscription • intimé • intéressé • jour • lausanne • littérature • livre • mariage • mention • motivation de la décision • moyen de preuve • mère • nationalité suisse • nullité • office fédéral de l'état civil • office fédéral de la justice • ordre public • parents • personne concernée • portugais • pratique judiciaire et administrative • pression • procédure cantonale • pré • père • question • rapport • reconnaissance d'un enfant • recours en matière civile • registre de l'état civil • registre des naissances • réponse au recours • réserve de l'ordre public • résidence habituelle • testament • tribunal civil • tribunal fédéral • valeur • vice du consentement • violation du droit • volonté • zurich • état civil • état de fait • état étranger