Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

9C 636/2018

Urteil vom 20. Dezember 2018

II. sozialrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichterin Pfiffner, Präsidentin,
Bundesrichterinnen Glanzmann, Moser-Szeless,
Gerichtsschreiber Fessler.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Urs Wüthrich,
Beschwerdeführer,

gegen

IV-Stelle des Kantons Aargau,
Bahnhofplatz 3C, 5000 Aarau,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Invalidenversicherung (Rente; Revision),

Beschwerde gegen den Entscheid des Versicherungsgerichts des Kantons Aargau
vom 16. Juli 2018 (VBE.2018.275).

Sachverhalt:

A.
A.________ bezog ab dem 1. Juni 2006 eine ganze Rente der Invalidenversicherung. Als Ergebnis des im November 2011 eingeleiteten Revisionsverfahrens hob die IV-Stelle des Kantons Aargau u.a. gestützt auf das interdisziplinäre Gutachten des MZR Medizinisches Zentrum Römerhof vom 8. Oktober 2013 die Rente mit Verfügung vom 28. Februar 2017 auf, was das Versicherungsgericht des Kantons Aargau auf Beschwerde hin mit Entscheid vom 27. September 2017 bestätigte. Mit Urteil 9C 803/2017 vom 12. April 2018 hob das Bundesgericht dieses Erkenntnis aus formellen Gründen auf und wies die Sache zu neuer Entscheidung im Sinne der Erwägungen an die Vorinstanz zurück.

B.
Mit Entscheid vom 16. Juli 2018 wies das Versicherungsgericht des Kantons Aargau die Beschwerde des A.________ gegen die Verfügung der kantonalen IV-Stelle vom 28. Februar 2017 erneut ab.

C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten beantragt A.________, der Entscheid vom 16. Juli 2018 sei aufzuheben, und es sei ihm weiterhin eine ganze Rente auszurichten; eventualiter sei die Sache zur Einholung eines ergänzenden, insbesondere psychiatrischen Gutachtens an die Vorinstanz zurückzuweisen.

Die IV-Stelle des Kantons Aargau ersucht um Abweisung der Beschwerde, eventualiter Rückweisung der Sache zur weiteren Abklärung an das kantonale Versicherungsgericht. Das Bundesamt für Sozialversicherungen verzichtet auf eine Vernehmlassung.

Erwägungen:

1.
Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann unter anderem wegen Verletzung von Bundesrecht erhoben werden (Art. 95 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG). Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG). Es kann deren Sachverhaltsfeststellung von Amtes wegen berichtigen oder ergänzen, wenn sie offensichtlich unrichtig [wie die Beweiswürdigung willkürlich; BGE 142 II 433 E. 4.4 S. 444] ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Artikel 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
beruht (Art. 105 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG; vgl. auch Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
BGG). Unter diesem eingeschränktem Blickwinkel ist etwa die Frage zu prüfen, ob eine im Sinne von Art. 17 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
1    La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
a  subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou
b  atteint 100 %.19
2    De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement.
ATSG erhebliche Änderung der tatsächlichen Verhältnisse vorliegt (BGE 141 V 9 E. 2.3 S. 10; Urteil 9C 720/2017 vom 21. Juni 2018 E. 1 mit Hinweis). Dagegen ist eine im Rahmen der Rechtsanwendung von Amtes wegen (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG) frei überprüfbare Rechtsfrage, ob ein Grundlage für eine Rentenrevision bildendes Gutachten Beweiswert hat, d.h. den diesbezüglichen Anforderungen genügt (vgl. dazu BGE 134 V 231 E. 5.1 S. 232; Urteil 9C 221/2018 vom 16. Oktober 2018 E. 1 mit Hinweis).

Wegen der grundsätzlichen Bindung des Bundesgerichts an den von der Vorinstanz festgestellten Sachverhalt haben nach dem angefochtenen Entscheid eingetretene Tatsachen ausser Acht zu bleiben (echte Noven; BGE 140 V 543 E. 3.2.2.2 S. 548). Das betrifft im vorliegenden Fall den Bericht des behandelnden Psychiaters Dr. med. B.________ vom 10. September 2018. Soweit darin Sachverhalte vor Erlass des angefochtenen Entscheids beschrieben werden, handelt es sich um unzulässige unechte Noven im Sinne von Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
BGG, woran der Ausgang des vorangegangenen Verfahrens nichts ändert (Urteil 9C 368/2017 vom 3. August 2017 E. 1 mit Hinweis; vgl. auch Urteil 5A 109/2018 vom 20. April 2018 E. 3.3).

2.
Streitgegenstand bildet die vom kantonalen Versicherungsgericht bestätigte Aufhebung der ganzen Rente durch die Beschwerdegegnerin gestützt auf Art. 17 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
1    La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
a  subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou
b  atteint 100 %.19
2    De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement.
ATSG bzw. die Frage, ob der Beschwerdeführer über den 30. April 2017 hinaus weiterhin Anspruch auf eine ganze Rente hat.

3.
Ändert sich der Invaliditätsgrad eines Rentenbezügers erheblich, so wird die Rente von Amtes wegen oder auf Gesuch hin für die Zukunft entsprechend erhöht, herabgesetzt oder aufgehoben (Art. 17 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
1    La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
a  subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou
b  atteint 100 %.19
2    De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement.
ATSG [i.V.m. Art. 1 Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 1 - 1 Les dispositions de la loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)6 s'appliquent à l'AI (art. 1a à 26bis et 28 à 70), à moins que la présente loi ne déroge expressément à la LPGA.7
1    Les dispositions de la loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)6 s'appliquent à l'AI (art. 1a à 26bis et 28 à 70), à moins que la présente loi ne déroge expressément à la LPGA.7
2    Les art. 32 et 33 LPGA s'appliquent également à l'encouragement de l'aide aux invalides (art. 71 à 76).
IVG und Art. 2
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 2 Champ d'application et rapports avec les lois spéciales sur les assurances sociales - Les dispositions de la présente loi sont applicables aux assurances sociales régies par la législation fédérale, si et dans la mesure où les lois spéciales sur les assurances sociales le prévoient.
ATSG]). Anlass zu einer in rechtlicher und tatsächlicher Hinsicht umfassenden Überprüfung des Rentenanspruchs geben u.a. Änderungen des Gesundheitszustandes im Vergleichszeitraum (BGE 133 V 108; Urteil 9C 46/2009 vom 14. August 2009 E. 3.1, in: SVR 2010 IV Nr. 4 S. 7), die sich auf die Arbeitsfähigkeit auswirken. Hingegen ist die lediglich unterschiedliche Beurteilung eines im Wesentlichen gleich gebliebenen medizinischen Sachverhalts im revisionsrechtlichen Kontext unbeachtlich (BGE 141 V 9 E. 2.3 S. 10 mit Hinweisen).

4.
Das kantonale Versicherungsgericht hat festgestellt, gemäss dem Gutachten des MZR vom 8. Oktober 2013 habe die zusätzlich durchgeführte MRI-Untersuchung im Unterschied zu den medizinischen Unterlagen, welche der Rentenzusprechung zugrunde lagen, keine Diskushernie C5/C6 mit C6-Wurzelkompression links mehr gezeigt. Eine im Sinne von Art. 17 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
1    La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
a  subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou
b  atteint 100 %.19
2    De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement.
ATSG relevante Änderung in den tatsächlichen Verhältnissen sei somit evident. Weiter hat das Versicherungsgericht das strukturierte Beweisverfahren nach BGE 141 V 281 (Standardindikatorenprüfung) auf der Grundlage der Expertise vom 8. Oktober 2013 durchgeführt. Es ist zum Ergebnis gelangt, die aus psychiatrischer Sicht bescheinigte Arbeitsunfähigkeit von 100 % (für alle Tätigkeiten auf dem freien Arbeitsmarkt; richtig: 50 % ["Stellungnahme Ergänzungsfragen" des MZR vom 5. März 2014]) sei nicht nachvollziehbar. Sowohl die rezidivierende depressive Störung (gegenwärtig mittelgradig mit somatischem Syndrom) als auch die (anhaltende somatoforme) Schmerzstörung hätten aus rechtlicher Sicht keine invalidisierende Wirkung. Somit sei von der aus rein somatischer Sicht beschriebenen vollständigen Arbeitsfähigkeit in einer angepassten Tätigkeit auszugehen. Die geltend gemachte Verschlechterung des
psychischen Gesundheitszustandes seit der Begutachtung sei invalidenversicherungsrechtlich unbeachtlich. Die auf dieser Grundlage vorgenommene Invaliditätsbemessung durch Einkommensvergleich (Art. 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré.
ATSG i.V.m. Art. 28a Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28a - 1 L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210
1    L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210
2    Le taux d'invalidité de l'assuré qui n'exerce pas d'activité lucrative, qui accomplit ses travaux habituels et dont on ne peut raisonnablement exiger qu'il entreprenne une activité lucrative est évalué, en dérogation à l'art. 16 LPGA, en fonction de son incapacité à accomplir ses travaux habituels.211
3    Lorsque l'assuré exerce une activité lucrative à temps partiel ou travaille sans être rémunéré dans l'entreprise de son conjoint, le taux d'invalidité pour cette activité est évalué selon l'art. 16 LPGA. S'il accomplit ses travaux habituels, le taux d'invalidité pour cette activité est fixé selon l'al. 2.212 Dans ce cas, les parts respectives de l'activité lucrative ou du travail dans l'entreprise du conjoint et de l'accomplissement des travaux habituels sont déterminées; le taux d'invalidité est calculé dans les deux domaines d'activité.
IVG) ergab keinen anspruchsbegründenden Invaliditätsgrad von wenigstens 40 % (Art. 28 Abs. 2
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
1    L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
a  sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles;
b  il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable;
c  au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins.
1bis    Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205
2    ...206
IVG).

5.
Der Beschwerdeführer rügt, das kantonale Versicherungsgericht habe das grundsätzlich beweistaugliche Administrativgutachten vom 8. Oktober 2013 nur selektiv und nicht als Ganzes für die Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts herangezogen. Seine Schlussfolgerung, er könne die Depression überwinden und er habe noch nicht alle Behandlungsmöglichkeiten ausgeschöpft, sei medizinisch und damit auch rechtlich nicht haltbar. Die Gutachter hätten denn auch keine (weiteren) erfolgversprechenden ambulanten medizinischen Massnahmen vorschlagen können. Diese Einschätzung gelte heute umso mehr, als er, anders als damals, mehrere (teils teil-) stationäre Aufenthalte in psychiatrischen Kliniken hinter sich habe. Schliesslich habe das kantonale Versicherungsgericht den Sachverhalt insofern willkürlich festgestellt, als es in der Belastung durch die während mehreren Jahren drohende Einstellung der Rentenleistungen die klare und einzige Ursache der Depression erblickt habe.

6.
Die Stichhaltigkeit der Vorbringen in der Beschwerde ist an den Erwägungen im angefochtenen Entscheid zur Frage, ob den gesundheitlichen Beeinträchtigungen im Lichte von BGE 141 V 281 sowie BGE 143 V 409 und BGE 143 V 418 (auch) rechtlich invalidisierende Wirkung zukommt (zur Begründungspflicht der Parteien: Art. 42 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
und 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG sowie Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG; BGE 138 I 274 E. 1.6 S. 280; 133 II 249 E. 1.4.1 S. 254), zu messen:

6.1.

6.1.1. Unbestritten verlieren Gutachten nach Art. 44
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 44 Expertise - 1 Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles:
1    Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles:
a  expertise monodisciplinaire;
b  expertise bidisciplinaire;
c  expertise pluridisciplinaire.
2    Si l'assureur doit recourir aux services d'un ou de plusieurs experts indépendants pour élucider les faits dans le cadre d'une expertise, il communique leur nom aux parties. Les parties peuvent récuser les experts pour les motifs indiqués à l'art. 36, al. 1, et présenter des contre-propositions dans un délai de dix jours.
3    Lorsqu'il communique le nom des experts, l'assureur soumet aussi aux parties les questions qu'il entend poser aux experts et leur signale qu'elles ont la possibilité de remettre par écrit des questions supplémentaires dans le même délai. L'assureur décide en dernier ressort des questions qui sont posées aux experts.
4    Si, malgré la demande de récusation, l'assureur maintient son choix du ou des experts pressentis, il en avise les parties par une décision incidente.
5    Les disciplines médicales sont déterminées à titre définitif par l'assureur pour les expertises visées à l'al. 1, let. a et b, et par le centre d'expertises pour les expertises visées à l'al. 1, let. c.
6    Sauf avis contraire de l'assuré, les entretiens entre l'assuré et l'expert font l'objet d'enregistrements sonores, lesquels sont conservés dans le dossier de l'assureur.
7    Le Conseil fédéral:
a  peut régler la nature de l'attribution du mandat à un centre d'expertises, pour les expertises visées à l'al. 1;
b  édicte des critères pour l'admission des experts médicaux et des experts en neuropsychologie, pour les expertises visées à l'al. 1;
c  crée une commission réunissant des représentants des différentes assurances sociales, des centres d'expertises, des médecins, des neuropsychologues, des milieux scientifiques, ainsi que des organisations d'aide aux patients et aux personnes en situation de handicap qui veille au contrôle de l'accréditation, du processus, et du résultat des expertises médicales. Elle émet des recommandations publiques.
ATSG, welche vor den erwähnten Grundsatzurteilen erstellt wurden, was auf die Expertise des MZR vom 8. Oktober 2013 zutrifft, nicht per se ihren Beweiswert (BGE 141 V 281 E. 8 S. 309; Urteil 9C 680/2017 vom 22. Juni 2018 E. 5.3). In diesem Zusammenhang ist zu beachten, dass nach der geänderten Rechtsprechung der Frage, ob die depressive Störung eine eigenständige von der anhaltenden somatoformen Schmerzstörung (vollständig) losgelöste Erkrankung ist, was nach Auffassung des Beschwerdeführers hier zutreffe, grundsätzlich nicht mehr dieselbe Bedeutung wie früher zukommt (vgl. BGE 139 V 547 E. 9.1.1-2 S. 565 i.V.m. 143 V 418 E. 8.1 S. 429 f.). Entgegen den Vorbringen in der Beschwerde hat sich das kantonale Versicherungsgericht sodann nicht zu den Ursachen der depressiven Störung geäussert. Es hat nur, aber immerhin festgestellt, in verschiedenen ärztlichen Berichten werde festgehalten, die von ihm geltend gemachte Verschlechterung des psychischen Gesundheitszustandes seit der Begutachtung sei aufgetreten, nachdem er mit der Möglichkeit einer Rentenaufhebung konfrontiert wurde bzw. aufgrund sozialer und finanzieller Probleme, was invalidenversicherungsrechtlich unbeachtlich sei.
Der Beschwerdeführer bestreitet die betreffenden Erwägungen mit keinem Wort, womit es sein Bewenden hat (E. 6 Ingress).

6.1.2. Im Weitern ist das kantonale Versicherungsgericht nicht vom Vorliegen von Ausschlussgründen ausgegangen, welche die Annahme eines invalidisierenden Gesundheitsschadens von vornherein ausschlössen (BGE 141 V 281 E. 2.2 S. 287 f). Umgekehrt steht ausser Frage, dass gemäss Gutachten Hinweise für eine relevante bewusstseinsnahe Schmerzverdeutlichung mit Selbstlimitierung und Inkonsistenzen bestanden. Der Beschwerdeführer macht nicht geltend, die Vorinstanz habe diesen Umstand im Rahmen der von BGE 141 V 281 geforderten Gesamtbetrachtung nicht mitberücksichtigen dürfen (vgl. BGE 141 V 281 E. 2.2.2 S. 288).

6.2. Zur Kategorie "funktioneller Schweregrad" (BGE 141 V 281 E. 4.1.3 S. 297 f.) ergibt sich Folgendes:

6.2.1. Zum Indikator "Ausprägung der diagnoserelevanten Befunde und Symptome" (BGE 141 V 281 E. 4.3.1.1 S. 298) hat das kantonale Versicherungsgericht erwogen, ausgehend vom Tagesablauf und den Aktivitäten des Beschwerdeführers sei insgesamt von einem durchaus noch aktiven und geregelten Leben auszugehen. Es könne demnach nicht auf eine schwere Ausprägung der psychischen Störungen geschlossen werden, zumal dies auch dem Gutachten - insbesondere mit Blick auf die Befunde - nicht zu entnehmen sei. Vielmehr habe der psychiatrische Experte aufgrund des Verhaltens des Exploranden lediglich eine formale Zuordnung der Beschwerden vornehmen und den Schweregrad nicht hinreichend bestimmen können.

6.2.1.1. Die Gutachter des MZR stellten aus psychiatrischer Sicht folgende Diagnosen: Rezidivierende (chronifizierte) depressive Störung, gegenwärtig mittelgradig, mit somatischem Syndrom (ICD-10 F.33.11). Anhaltende somatoforme Schmerzstörung (ICD-10 F45.4). Das kantonale Versicherungsgericht legt nicht dar, inwiefern lediglich nicht oder zumindest nicht relevant ausgeprägte Befunde vorliegen sollen, was jedoch mit Blick darauf angezeigt gewesen wäre, dass zwei Störungen diagnostiziert wurden, auf welche beide das strukturierte Beweisverfahren nach BGE 141 V 281 anwendbar wäre.

6.2.1.2. Was sodann die Bestimmbarkeit des Grades der depressiven Störung betrifft, hielt der psychiatrische Gutachter fest, seine Beurteilung stimme inhaltlich vollständig überein mit den Berichten der behandelnden Ärzte. "Dass mal eine mittelschwere und mal eine schwere depressive Störung diagnostiziert wird, entspricht einer natürlichen Schwankungsbreite, die für Depressionen nicht ungewöhnlich sind" (Expertise S. 59). Diese gutachterlichen Feststellungen sprechen gegen die Annahme, die Befunde seien im unteren Bereich des mittleren Schweregrades anzusiedeln bzw. höchstens mässig ausgeprägt, wie der Beschwerdeführer sinngemäss vorbringt.

6.2.2. Zum Indikator "Behandlungserfolg oder -resistenz" (BGE 141 V 281 E. 4.3.1.2 S. 299) hat sich das kantonale Versicherungsgericht nicht ausdrücklich geäussert. Im Zusammenhang mit dem zur Kategorie "Konsistenz (Gesichtspunkte des Verhaltens) " gehörenden Indikator "behandlungs- und eingliederungsanamnestischer Leidensdruck" (BGE 141 V 281 E. 4.4.2 S. 304) hat es u.a. ausgeführt, der Beschwerdeführer habe die bisherige Behandlung trotz unbefriedigender Ergebnisse (vor dem Begutachungszeitpunkt) jahrelang unverändert fortgesetzt und sich nicht um Alternativen - auch mit unterschiedlichem therapeutischem Ansatz - bemüht. Sodann sei die Sitzungsfrequenz der Therapie gering gewesen. Im Weitern bestünden noch offene therapeutische Möglichkeiten im Sinne einer Anpassung der Medikation bzw. Etablierung einer kontrollierten Medikamenteneinnahme, weshalb eine Behandlungsresistenz zu verneinen sei.

6.2.2.1. Das definitive Scheitern einer indizierten, lege artis und mit optimaler Kooperation des Versicherten durchgeführten Therapie weist auf eine negative Prognose hin. Entspricht eine erfolglos gebliebene Behandlung nicht (mehr) dem aktuellen Stand der Medizin oder erscheint sie im Einzelfall als ungeeignet, kann daraus für den Schweregrad der Störung nichts abgeleitet werden (BGE 141 V 281 E. 4.3.1.2 S. 299). Wie der Beschwerdeführer sinngemäss vorbringt, ist es auch bzw. in erster Linie Sache des behandelnden Arztes, die optimale Behandlungsform zu wählen und bei Nicht-Ansprechen des Patienten nach Alternativen zu suchen.

6.2.2.2. Der psychiatrische Gutachter stellte fest, dass bis zum Zeitpunkt der Untersuchung "leider" keine stationäre Behandlung durchgeführt worden war. Sodann bestanden aufgrund des fehlenden bzw. zu tiefen Spiegels Zweifel an der Compliance in Bezug auf die Einnahme der verordneten Medikamente, weshalb er entsprechende Kontrollen als indiziert erachtete. Gleichzeitig hielt er fest, die an sich notwendige Optimierung der Medikation habe aufgrund "atypischer Nebenwirkungen" nicht erfolgen können. Im Rahmen der interdisziplinären Beurteilung führten die Gutachter aus, es bestünden keine Möglichkeiten, das aktuell ermittelte Belastungsprofil des Versicherten zu verbessern. Eine stationäre Behandlung sei angesichts des langjährigen Verlaufs und der gezeigten Symptomatik zum heutigen Zeitpunkt nicht mehr erfolgversprechend.

6.2.2.3. Diese Darlegungen sprechen im Lichte des in E. 6.2.1 Gesagten jedenfalls nicht gegen einen auch aus rechtlicher Sicht beachtlichen Schweregrad der Störung.

6.2.3. Weiter hat das kantonale Versicherungsgericht erwogen, aus somatischer Sicht bestünden zwar "Komorbiditäten" (BGE 141 V 241 E. 4.3.1.3 S. 300). Diese fielen jedoch nicht besonders ins Gewicht, zumal sie nicht zu einer Einschränkung der Arbeitsfähigkeit in einer angepassten Tätigkeit führten. Ihnen könne daher keine ressourcenhemmende Wirkung beigemessen werden. Diese Argumentation verletzt Bundesrecht
Der Umstand, dass die Arbeitsfähigkeit in einer angepassten Tätigkeit nicht eingeschränkt ist, gibt keine Antwort auf die im Kontext interessierende Frage, inwiefern sich körperliche (oder psychische Begleit-) Erkrankungen auf die Ressourcen bzw. deren Mobilisierung auswirken (BGE 143 V 418 E. 8.1 S. 429; Urteil 9C 21/2017 vom 22. Februar 2018 E. 5.2.1; schon BGE 141 V 281 E. 4.3.1.3 S. 300 f.). Es kommt dazu, dass die Gutachterstelle in ihrer "Stellungnahme Ergänzungs-fragen" vom 5. März 2014 festhielt, aufgrund der depressiven Störung liege aus psychiatrischer Sicht eine Komorbidität von erheblicher Schwere vor (im Sinne der damals anwendbaren sog. "Foerster-Kriterien" [vgl. BGE 139 V 547 E. 9.1.1 S. 565], an welchen sich denn auch der Psychiater des MZR orientiert hatte). Ins Gewicht fallende und damit rechtlich relevante Begleiterkrankungen ("Komorbiditäten") zur psychischen Störung können somit nicht ausgeschlossen werden.

6.2.4. Zum Komplex "Persönlichkeit" (Persönlichkeitsdiagnostik, persönliche Ressourcen; BGE 141 V 281 E. 4.3.2 S. 302) hat das kantonale Versicherungsgericht festgestellt, neben den beiden psychiatrischen Diagnosen fänden sich keine Hinweise auf eine ins Gewicht fallende Einschränkung oder Ähnliches. Eine Persönlichkeitsstörung oder eine vergleichbare Erkrankung liege nicht vor. Die diesbezüglichen Vorbringen des Beschwerdeführers, wonach er lediglich behauptet, über keine Ressourcen zu verfügen, erschöpfen sich in unzulässige appellatorischer Kritik (BGE 142 III 364 E. 2.4 S. 368).

6.2.5. In Bezug auf den Komplex "Sozialer Kontext" (BGE 141 V 281 E. 4.3.3 S. 303) hat das kantonale Versicherungsgericht einen zumindest teilweisen sozialen Rückzug, insbesondere die Verminderung des Kontakts zu Kollegen, nicht ausgeschlossen. Mit Blick auf die Einbettung in die Familie seien insgesamt jedoch eher positive Auswirkungen auf das Ressourcenpotenzial auszumachen. Der Beschwerdeführer bringt vor, krankheitsbedingt unterhalte er heute praktisch keine sozialen Kontakte mehr. Ausnahme sei die Beziehung zu den beiden Kindern und zur Ehefrau und seit gut einem Jahr zu seinem Enkel.

6.3. Die Kategorie "Konsistenz (Gesichtspunkte des Verhaltens) " (BGE 141 V 281 E. 4.1.3 S. 298) gibt zu folgenden Erwägungen Anlass:

6.3.1. Zum Indikator einer "gleichmässigen Einschränkung des Aktivitätenniveaus in allen vergleichbaren Lebensbereichen" (BGE 141 V 281 E. 4.4.1 S. 303) hat das kantonale Versicherungsgericht erwogen, die geltend gemachten Einschränkungen im Erwerbsbereich stellten sich wesentlich gravierender dar als diejenigen in den sonstigen Lebensbereichen. In diesem Zusammenhang erwähnte es Auslandreisen, die Benutzung von Auto für kürzere Strecken und öffentlichen Verkehrsmitteln sowie im nahegelegenen Wald kürzere Strecken Spazieren gehen. Es bestehe somit eine Inkonsistenz.

6.3.1.1. In E. 5.3.1 des angefochtenen Entscheids hat das kantonale Versicherungsgericht unter Hinweis auf einen ärztlichen Bericht festgestellt, der Beschwerdeführer sei nach Erhalt der Todesnachricht über seinen Vater ins Ausland verreist. Weitere Auslandreisen werden nirgends erwähnt. Aus der (einmaligen) Reise ans Begräbnis des Vaters kann indessen nichts zu Ungunsten des Versicherten im Sinne eines inkonsistenten Verhaltens abgeleitet werden, wie in der Beschwerde vorgebracht wird. Dies gilt auch für die übrigen angeführten Aktivitäten.

6.3.1.2. Im Weitern ist zu beachten, dass der Versicherte aus psychiatrischer Sicht lediglich zu 50 % arbeitsunfähig ist, was ein bestimmtes Mass an Freizeitaktivitäten zulässt. Im Übrigen spricht das kantonale Versicherungsgericht von den "geltend gemachten Einschränkungen im Erwerbsbereich", ohne näher darzulegen, was darunter zu verstehen ist. In diesem Zusammenhang ist zu berücksichtigen, dass der behandelnde Psychiater und Psychotherapeut den Beschwerdeführer als 100 % arbeitsunfähig betrachtete, was zumindest teilweise erklärt, dass und soweit er sich selber nicht als erwerbsfähig ansah.

Die vom kantonalen Versicherungsgericht angeführten Umstände reichen somit nicht aus, um dem Indikator einer "gleichmässigen Einschränkung des Aktivitätenniveaus in allen vergleichbaren Lebensbereichen" ausschlaggebende Bedeutung im Rahmen des strukturierten Beweisverfahrens nach BGE 141 V 281 beizumessen. Es bestehen nicht genügend Anhaltspunkte, um sich diesbezüglich ein vollständiges stimmiges Bild zu machen.

6.3.2. Zum Aspekt "behandlungs- und eingliederungsanamnestisch ausgewiesener Leidensdruck" (BGE 141 V 281 E. 4.4.2 S. 304) hat das kantonale Versicherungsgericht erwogen, der Beschwerdeführer nehme die verordneten Medikamente nur unzureichend ein. Im Medikamentenspiegel seien Depakin und Remeron gar nicht, Pranzine nur im subtherapeutischen Bereich nachweisbar gewesen. Dies spreche gegen einen hohen Leidensdruck. Daran ändere nichts, dass er seit der Begutachtung seine Medikamente ordnungsgemäss einnehme. Sodann habe der Beschwerdeführer die bisherige Behandlung trotz unbefriedigender Ergebnisse (vor dem Begutachtungszeitpunkt) jahrelang unverändert fortgesetzt und sich nicht um Alternativen - auch mit unterschiedlichem therapeutischem Ansatz - bemüht. Ebenfalls sei die Therapiefrequenz gering gewesen. Im Weitern bestünden noch offene therapeutische Möglichkeiten im Sinne einer Anpassung der Medikation bzw. Etablierung einer kontrollierten Medikamenteneinnahme. Ein behandlungsanamnestisch ausgewiesener Leidensdruck sei damit zu verneinen (vgl. E. 6.2.2). Zudem sprächen die wenig nachvollziehbaren und vagen Beschreibungen des Beschwerdeführers im Rahmen der Begutachtung sowie die geringe Sitzungsfrequenz der Therapie gegen die
Annahme einer Konsistenz.

Der Beschwerdeführer macht sinngemäss geltend, aus dem einmaligen im Rahmen der Begutachtung erhobenen Medikamentenspiegel könne nicht gefolgert werden, er habe gleichsam regelmässig die verordneten Arzneien nicht oder nur in ungenügendem Masse eingenommen. Im Übrigen habe der psychiatrische Gutachter festgehalten, die an sich notwendige Optimierung der Medikation habe aufgrund "atypischer Nebenwirkungen" nicht erfolgen können (vgl. E. 6.2.2.2), ohne allerdings zu sagen, worin diese bestanden (unter Hinweis auf den Bericht des Dr. med. B.________ vom 18. Februar 2011). Sodann bestreitet er, dass die (ambulante) Behandlung nicht adäquat gewesen sein soll und er sich trotz Erfolglosigkeit nicht um Alternativen bemüht habe. Dieser Einwand ist insoweit berechtigt, als es in erster Linie Sache das Arztes ist, die geeignete und wirksame Therapieform anzuwenden (vgl. E. 6.2.2.1). Im Übrigen hat das kantonale Versicherungsgericht nicht festgestellt und es fehlen Hinweise im Gutachten, dass sich der Beschwerdeführer gegen eine Anpassung der Behandlung, namentlich einen stationären Aufenthalt in einer psychiatrischen Klinik, gewehrt hatte oder hätte.

Unter diesen Umständen kann ein entscheidend ins Gewicht fallender fehlender Leidensdruck nicht angenommen werden.

6.4. Nach dem Gesagten vermag die Indikatorenprüfung des kantonalen Versicherungsgerichts in verschiedenen Punkten nicht zu überzeugen. Umgekehrt kann nicht ohne weiteres (auch) aus rechtlicher Sicht auf die Einschätzung der Arbeitsfähigkeit von 50 % in einer körperlich angepassten Tätigkeit im Gutachten des MZR vom 8. Oktober 2013 abgestellt werden. Die Experten führten zur Begründung an, dass medizinisch theoretisch eine mittelgradige depressive Störung einer Arbeitsunfähigkeit von 50 % entspricht. Ihre Einschätzung erfolgte somit losgelöst vom konkreten Sachverhalt. In diesem Zusammenhang ist zu beachten, dass zwischen Diagnose und Arbeitsunfähigkeit keine Korrelation besteht (BGE 140 V 193 E. 3.1 i.f. S. 195), welche eine solche Zuordnung erlaubte.

Das kantonale Versicherungsgericht wird ein Gerichtsgutachten einzuholen haben und danach über den Anspruch des Beschwerdeführers auf eine Rente der Invalidenversicherung ab 1. Mai 2017 neu entscheiden. Die Beschwerde ist im Eventualstandpunkt begründet

7.
Ausgangsgemäss hat die Beschwerdegegnerin die Gerichtskosten zu tragen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG) und dem Beschwerdeführer eine Parteientschädigung zu bezahlen (Art. 68 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
BGG).
Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird teilweise gutgeheissen. Der Entscheid des Versicherungsgerichts des Kantons Aargau vom 16. Juli 2018 wird aufgehoben und die Sache zu neuer Entscheidung im Sinne der Erwägungen an dieses zurückgewiesen. Im Übrigen wird die Beschwerde abgewiesen.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden der Beschwerdegegnerin auferlegt.

3.
Die Beschwerdegegnerin hat den Beschwerdeführer für das bundesgerichtliche Verfahren mit Fr. 2'800.- zu entschädigen.

4.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Versicherungsgericht des Kantons Aargau und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.

Luzern, 20. Dezember 2018

Im Namen der II. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Die Präsidentin: Pfiffner

Der Gerichtsschreiber: Fessler
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 9C_636/2018
Date : 20 décembre 2018
Publié : 07 janvier 2019
Source : Tribunal fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Assurance-invalidité
Objet : Invalidenversicherung (Rente; Revision)


Répertoire des lois
LAI: 1 
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 1 - 1 Les dispositions de la loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)6 s'appliquent à l'AI (art. 1a à 26bis et 28 à 70), à moins que la présente loi ne déroge expressément à la LPGA.7
1    Les dispositions de la loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)6 s'appliquent à l'AI (art. 1a à 26bis et 28 à 70), à moins que la présente loi ne déroge expressément à la LPGA.7
2    Les art. 32 et 33 LPGA s'appliquent également à l'encouragement de l'aide aux invalides (art. 71 à 76).
28 
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
1    L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
a  sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles;
b  il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable;
c  au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins.
1bis    Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205
2    ...206
28a
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28a - 1 L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210
1    L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210
2    Le taux d'invalidité de l'assuré qui n'exerce pas d'activité lucrative, qui accomplit ses travaux habituels et dont on ne peut raisonnablement exiger qu'il entreprenne une activité lucrative est évalué, en dérogation à l'art. 16 LPGA, en fonction de son incapacité à accomplir ses travaux habituels.211
3    Lorsque l'assuré exerce une activité lucrative à temps partiel ou travaille sans être rémunéré dans l'entreprise de son conjoint, le taux d'invalidité pour cette activité est évalué selon l'art. 16 LPGA. S'il accomplit ses travaux habituels, le taux d'invalidité pour cette activité est fixé selon l'al. 2.212 Dans ce cas, les parts respectives de l'activité lucrative ou du travail dans l'entreprise du conjoint et de l'accomplissement des travaux habituels sont déterminées; le taux d'invalidité est calculé dans les deux domaines d'activité.
LPGA: 2 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 2 Champ d'application et rapports avec les lois spéciales sur les assurances sociales - Les dispositions de la présente loi sont applicables aux assurances sociales régies par la législation fédérale, si et dans la mesure où les lois spéciales sur les assurances sociales le prévoient.
16 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré.
17 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
1    La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
a  subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou
b  atteint 100 %.19
2    De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement.
44
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 44 Expertise - 1 Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles:
1    Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles:
a  expertise monodisciplinaire;
b  expertise bidisciplinaire;
c  expertise pluridisciplinaire.
2    Si l'assureur doit recourir aux services d'un ou de plusieurs experts indépendants pour élucider les faits dans le cadre d'une expertise, il communique leur nom aux parties. Les parties peuvent récuser les experts pour les motifs indiqués à l'art. 36, al. 1, et présenter des contre-propositions dans un délai de dix jours.
3    Lorsqu'il communique le nom des experts, l'assureur soumet aussi aux parties les questions qu'il entend poser aux experts et leur signale qu'elles ont la possibilité de remettre par écrit des questions supplémentaires dans le même délai. L'assureur décide en dernier ressort des questions qui sont posées aux experts.
4    Si, malgré la demande de récusation, l'assureur maintient son choix du ou des experts pressentis, il en avise les parties par une décision incidente.
5    Les disciplines médicales sont déterminées à titre définitif par l'assureur pour les expertises visées à l'al. 1, let. a et b, et par le centre d'expertises pour les expertises visées à l'al. 1, let. c.
6    Sauf avis contraire de l'assuré, les entretiens entre l'assuré et l'expert font l'objet d'enregistrements sonores, lesquels sont conservés dans le dossier de l'assureur.
7    Le Conseil fédéral:
a  peut régler la nature de l'attribution du mandat à un centre d'expertises, pour les expertises visées à l'al. 1;
b  édicte des critères pour l'admission des experts médicaux et des experts en neuropsychologie, pour les expertises visées à l'al. 1;
c  crée une commission réunissant des représentants des différentes assurances sociales, des centres d'expertises, des médecins, des neuropsychologues, des milieux scientifiques, ainsi que des organisations d'aide aux patients et aux personnes en situation de handicap qui veille au contrôle de l'accréditation, du processus, et du résultat des expertises médicales. Elle émet des recommandations publiques.
LTF: 42 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
66 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
68 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
95 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
97 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
99 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
105 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
106
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
Répertoire ATF
133-II-249 • 133-V-108 • 134-V-231 • 138-I-274 • 139-V-547 • 140-V-193 • 140-V-543 • 141-V-234 • 141-V-281 • 141-V-9 • 142-II-433 • 142-III-364 • 143-V-409 • 143-V-418
Weitere Urteile ab 2000
5A_109/2018 • 9C_21/2017 • 9C_221/2018 • 9C_368/2017 • 9C_46/2009 • 9C_636/2018 • 9C_680/2017 • 9C_720/2017 • 9C_803/2017
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
aarau • application du droit • argovie • atteinte à la santé • autorité inférieure • avocat • bénéfice • catégorie • clinique psychiatrique • comparaison des revenus • comportement • constatation des faits • d'office • diagnostic • doute • décision • dépression • déterminabilité • exactitude • examinateur • expert • expertise • expertise ordonnée par l'administration • expertise psychiatrique • famille • force probante • forêt • frais judiciaires • greffier • incapacité de travail • intéressé • mesure • motivation de la demande • motivation de la décision • médecin • nombre • objet du litige • office ai • office fédéral des assurances sociales • patient • peintre • poids • pronostic • pré • père • question • recours en matière de droit public • rente entière • riz • réponse au recours • suppression de la prestation d'assurance • suppression • thérapie • tiré • traitement ambulatoire • tribunal des assurances • tribunal fédéral • trouble somatoforme douloureux • utilisation • vie • violation du droit • état de fait • état de santé