Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
7B 249/2022
Urteil vom 18. Januar 2024
II. strafrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Abrecht, Präsident,
Bundesrichterin Koch, Bundesrichter Hurni,
Gerichtsschreiberin Lustenberger.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Thomas Schütz,
Beschwerdeführerin,
gegen
1. Oberstaatsanwaltschaft des Kantons Zürich, Güterstrasse 33,
2. C.B.________,
3. D.B.________,
4. E.B.________,
5. F.B.________,
alle vier vertreten durch Rechtsanwalt Dr. Jürg Krumm,
6. H.G.________,
7. I.G.________, J.________,
Beschwerdegegner/ -innen.
Gegenstand
Mehrfacher gewerbsmässiger Betrug, mehrfache Urkundenfälschung etc.; Schuldfähigkeit; rechtliches Gehör; Willkür, Strafzumessung, Zivilansprüche, Kosten,
Beschwerde gegen das Urteil des Obergerichts des Kantons Zürich, I. Strafkammer, vom 28. Juni 2022 (SB210227-O/U/cwo).
Sachverhalt:
A.
Mit Urteil vom 18. November 2020 erklärte das Bezirksgericht Hinwil A.________ des mehrfachen gewerbsmässigen Betrugs (Art. 146 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 146 - 1 Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, induit astucieusement en erreur une personne par des affirmations fallacieuses ou par la dissimulation de faits vrais ou la conforte astucieusement dans son erreur et détermine de la sorte la victime à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d'un tiers, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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1 | Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, induit astucieusement en erreur une personne par des affirmations fallacieuses ou par la dissimulation de faits vrais ou la conforte astucieusement dans son erreur et détermine de la sorte la victime à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d'un tiers, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Si l'auteur fait métier de l'escroquerie, il est puni d'une peine privative de liberté de six mois à dix ans. |
3 | L'escroquerie commise au préjudice des proches ou des familiers n'est poursuivie que sur plainte. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 146 - 1 Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, induit astucieusement en erreur une personne par des affirmations fallacieuses ou par la dissimulation de faits vrais ou la conforte astucieusement dans son erreur et détermine de la sorte la victime à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d'un tiers, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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1 | Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, induit astucieusement en erreur une personne par des affirmations fallacieuses ou par la dissimulation de faits vrais ou la conforte astucieusement dans son erreur et détermine de la sorte la victime à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d'un tiers, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Si l'auteur fait métier de l'escroquerie, il est puni d'une peine privative de liberté de six mois à dix ans. |
3 | L'escroquerie commise au préjudice des proches ou des familiers n'est poursuivie que sur plainte. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 146 - 1 Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, induit astucieusement en erreur une personne par des affirmations fallacieuses ou par la dissimulation de faits vrais ou la conforte astucieusement dans son erreur et détermine de la sorte la victime à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d'un tiers, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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1 | Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, induit astucieusement en erreur une personne par des affirmations fallacieuses ou par la dissimulation de faits vrais ou la conforte astucieusement dans son erreur et détermine de la sorte la victime à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d'un tiers, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Si l'auteur fait métier de l'escroquerie, il est puni d'une peine privative de liberté de six mois à dix ans. |
3 | L'escroquerie commise au préjudice des proches ou des familiers n'est poursuivie que sur plainte. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 251 - 1. Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite, |
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1 | Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite, |
2 | Abrogé |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 251 - 1. Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite, |
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1 | Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite, |
2 | Abrogé |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 251 - 1. Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite, |
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1 | Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite, |
2 | Abrogé |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 251 - 1. Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite, |
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1 | Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite, |
2 | Abrogé |
31. Mai 2013, Fr. 16'000.-- zzgl. 5 % Zins ab 30. Juni 2013 und Fr. 4'800.-- zzgl. 5 % Zins ab 31. Oktober 2013 und der Privatklägerin J.________ Fr. 20'100.-- zzgl. 5 % Zins ab 7. Dezember 2016 bezahlen. Im Mehrbetrag wurden die Zivilforderungen auf den Zivilweg verwiesen. Die Untersuchungs- und Gerichtskosten (ausgenommen diejenigen der amtlichen Verteidigung) wurden zulasten von A.________ verlegt und diese wurde angewiesen, den Privatklägern B.________ eine Prozessentschädigung von Fr. 5'221.35 zu leisten.
B.
Gegen dieses Urteil erhob A.________ Berufung. Das Obergericht des Kantons Zürich schloss sich am 28. Juni 2022 den erstinstanzlichen Schuldsprüchen weitgehend an, anstelle des einfachen Betrugs im Dossier J.________ nahm sie jedoch mehrfachen, teilweise versuchten Betrug an. Weiter bestätigte es das erstinstanzliche Urteil insbesondere im Strafpunkt und hinsichtlich Einziehung der beiden Armbanduhren. Die Zivilforderungen B.________ kürzte es um einen Betrag von EUR 2'500.-- und diejenigen der Privatklägerschaft G.________ um einen Betrag von Fr. 4'800.--. In Abweichung von der Erstinstanz stellte es sodann fest, dass A.________ gegenüber der Privatklägerin J.________ dem Grundsatz nach schadenersatzpflichtig ist und verwies letztere hinsichtlich des Quantitativs der Forderung auf den Zivilweg. Abschliessend bestätigte das Obergericht das erstinstanzliche Kosten- und Entschädigungsdispositiv und auferlegte A.________, mit Ausnahme jener der amtlichen Verteidigung, die Kosten des Berufungsverfahrens.
Auf die Anschlussberufung der Staatsanwaltschaft See/Oberland trat das Obergericht nicht ein.
C.
A.________ gelangt mit Beschwerde in Strafsachen ans Bundesgericht und beantragt die Aufhebung des angefochtenen Urteils sowie die Rückweisung der Sache zur Neubeurteilung an die Vorinstanz. Nebst dem ersucht sie um unentgeltliche Rechtspflege und Verbeiständung für das bundesgerichtliche Verfahren.
Ihr gleichzeitig gestelltes Gesuch um aufschiebende Wirkung wurde am 7. Dezember 2022 gutgeheissen und der Beschwerde wurde für die Dauer des bundesgerichtlichen Verfahrens die aufschiebende Wirkung zuerkannt.
Der Aktenbeizug bei der Vorinstanz ist wie beantragt erfolgt.
Erwägungen:
1.
Angefochten ist ein Endentscheid in Strafsachen einer letzten kantonalen Instanz, die als oberes Gericht auf Berufung hin geurteilt hat (Art. 80
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 80 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance ou par la Cour des plaintes et la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral.49 |
|
1 | Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance ou par la Cour des plaintes et la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral.49 |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours. Sont exceptés les cas dans lesquels le code de procédure pénale du 5 octobre 2007 (CPP)50 prévoit un tribunal des mesures de contrainte ou un autre tribunal comme instance cantonale unique.51 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 81 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
|
1 | A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et |
b | a un intérêt juridique à l'annulation ou à la modification de la décision attaquée, soit en particulier: |
b1 | l'accusé, |
b2 | le représentant légal de l'accusé, |
b3 | le ministère public, sauf pour les décisions relatives à la mise en détention provisoire ou pour des motifs de sûreté, à la prolongation de la détention ou à sa levée, |
b4 | ... |
b5 | la partie plaignante, si la décision attaquée peut avoir des effets sur le jugement de ses prétentions civiles, |
b6 | le plaignant, pour autant que la contestation porte sur le droit de porter plainte, |
b7 | le Ministère public de la Confédération et les autorités administratives participant à la poursuite et au jugement des affaires pénales administratives selon la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif56. |
2 | Une autorité fédérale a qualité pour recourir si le droit fédéral prévoit que la décision doit lui être communiquée.57 |
3 | La qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 78, al. 2, let. b, appartient également à la Chancellerie fédérale, aux départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, aux unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 78 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière pénale. |
|
1 | Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière pénale. |
2 | Sont également sujettes au recours en matière pénale: |
a | les décisions sur les prétentions civiles qui doivent être jugées en même temps que la cause pénale; |
b | les décisions sur l'exécution de peines et de mesures. |
2.
Hintergrund des angefochtenen Urteils bildet in aller Kürze der Vorwurf, die aus dem Kosovo stammende Beschwerdeführerin habe in vier voneinander unabhängigen Tatkomplexen Geldleistungen erwirkt, indem sie sich als Schweizer Polizistin ausgegeben habe. Bei den Geschädigten habe es sich allesamt um Personen aus demselben Kulturkreis gehandelt, die mit den schweizerischen Rechtsverhältnissen nicht vertraut seien. Diesen habe sie vorgetäuscht, als Polizeibeamtin Einfluss auf und Kontakte zu staatlichen Stellen zu haben, welche es ihr ermöglichen würden, staatliche Anordnungen zugunsten der Ansprecher abzuändern oder solche erhältlich zu machen (Fall B.________: Verkürzung der Freiheitsstrafe eines Familienmitglieds, Fall G.________: Vorzeitige Aufhebung einer Einreisesperre, Fall J.________: Ermöglichung der Vorfinanzierung einer Liegenschaft, Fall K.________: Beschaffung der notwendigen Reisepapiere für eine Reise in den Kosovo).
Die Vorinstanz erachtet die Anklagevorwürfe im Grundsatz als erstellt.
3.
3.1. Der verfassungsmässige Anspruch auf rechtliches Gehör (Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 3 Respect de la dignité et procès équitable - 1 Les autorités pénales respectent la dignité des personnes impliquées dans la procédure, à tous les stades de celle-ci. |
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1 | Les autorités pénales respectent la dignité des personnes impliquées dans la procédure, à tous les stades de celle-ci. |
2 | Elles se conforment notamment: |
a | au principe de la bonne foi; |
b | à l'interdiction de l'abus de droit; |
c | à la maxime voulant qu'un traitement équitable et le droit d'être entendu soient garantis à toutes les personnes touchées par la procédure; |
d | à l'interdiction d'appliquer des méthodes d'enquête qui sont attentatoires à la dignité humaine. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 107 Droit d'être entendu - 1 Une partie a le droit d'être entendue; à ce titre, elle peut notamment: |
|
1 | Une partie a le droit d'être entendue; à ce titre, elle peut notamment: |
a | consulter le dossier; |
b | participer à des actes de procédure; |
c | se faire assister par un conseil juridique; |
d | se prononcer au sujet de la cause et de la procédure; |
e | déposer des propositions relatives aux moyens de preuves. |
2 | Les autorités pénales attirent l'attention des parties sur leurs droits lorsqu'elles ne sont pas versées dans la matière juridique. |
3.2. Die Beschwerde ist zu begründen, wobei anhand der Erwägungen des angefochtenen Entscheids in gedrängter Form darzulegen ist, inwiefern dieser Recht verletzt (Art. 42 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
4.
Unter formellen Gesichtspunkten rügt die Beschwerdeführerin in verschiedener Hinsicht eine Verletzung des Anklagegrundsatzes bzw. in diesem Zusammenhang ihres Anspruchs auf rechtliches Gehör.
4.1. In den Dossiers G.________ und J.________ beanstandet die Beschwerdeführerin, es sei für sie aus der Anklageschrift nicht erkennbar gewesen, dass sie nicht nur wegen Fälschung, sondern auch wegen Gebrauchs einer gefälschten Urkunde angeklagt sei. Es werde nicht ausgeführt, auf welche Weise sie die gefälschten Dokumente verwendet haben soll. Nebst dem will die Beschwerdeführerin eine Verletzung ihres Anspruchs auf rechtliches Gehör erkennen, weil sich die Vorinstanz mit der Rüge, in der Anklageschrift im Fall B.________ fehle der Vorwurf der Urkundenfälschung, nicht befasse.
4.2. Was die Beschwerdeführerin mit dieser Argumentation bezweckt, erhellt nicht.
Im Fall G.________ wurde sie nur wegen der Herstellung einer gefälschten Urkunde und im Fall J.________ nur wegen Verfälschung einer Urkunde schuldig gesprochen, nicht aber wegen deren Verwendung. Die Kritik an der Anklageschrift zielt somit ins Leere.
Im Fall B.________ erging gar kein Schuldspruch wegen Urkundenfälschung. Ungeachtet der von der Beschwerdeführerin angerufenen formellen Natur des Gehörsanspruchs wird auf die Rüge von dessen Verletzung mangels rechtlich geschütztem Interesse daher nicht weiter eingegangen.
5.
Bezüglich der Betrugsdelikte wirft die Beschwerdeführerin der Vorinstanz Willkür und eine Verletzung des rechtlichen Gehörs wegen Abweisung von Beweisanträgen vor.
5.1. Das Bundesgericht kann die Feststellung des Sachverhalts durch die Vorinstanz nur berichtigen oder ergänzen, wenn sie offensichtlich unrichtig und damit willkürlich ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
5.2. Willkürlich ist nach Auffassung der Beschwerdeführerin die Feststellung der Vorinstanz, C.B.________, D.B.________, E.B.________ und F.B.________ (Beschwerdegegner 2-5) hätten ihrem Sohn, L.________, einen Betrag von Fr. 4'000.-- ihr zuhanden übergeben. Sie kritisiert dabei zum einen die vorinstanzliche Würdigung der Aussagen der Beschwerdegegner 2-4. Darüber hinaus unterstellt sie der Vorinstanz eine unzulässige antizipierte Beweiswürdigung, da L.________ zur streitigen Geldübergabe nie befragt wurde.
Laut angefochtenem Urteil seien die Aussagen der Beschwerdegegner 2-4 betreffend die Geldübergabe deckungsgleich und auch aus dem aktenkundigen SMS-Verkehr zwischen den Beschwerdegegnern 2-5 und der Beschwerdeführerin ergäben sich gewichtige Indizien betreffend die Übergabe. Die Erstinstanz, auf welche die Vorinstanz in zulässiger Weise verweist (Art. 82 Abs. 4
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 82 Restrictions à l'obligation de motiver - 1 Le tribunal de première instance renonce à une motivation écrite du jugement aux conditions suivantes: |
|
1 | Le tribunal de première instance renonce à une motivation écrite du jugement aux conditions suivantes: |
a | il motive le jugement oralement; |
b | il ne prononce pas de peine privative de liberté supérieure à deux ans, d'internement au sens de l'art. 64 CP36, de traitement au sens de l'art. 59 CP ou, lors de la révocation d'un sursis, de privation de liberté de plus de deux ans. |
2 | Le tribunal notifie ultérieurement aux parties un jugement motivé dans les cas suivants: |
a | une partie le demande dans les dix jours qui suivent la notification du dispositif du jugement; |
b | une partie forme un recours. |
3 | Si la partie plaignante est seule à demander un jugement motivé ou à former un recours, le jugement n'est motivé que dans la mesure où il concerne le comportement punissable à l'origine du préjudice subi par la partie plaignante ainsi que les prétentions civiles de celle-ci. |
4 | Lors de la procédure de recours, le tribunal peut, s'agissant de l'appréciation en fait et en droit des faits faisant l'objet de l'accusation, renvoyer à l'exposé des motifs de l'autorité inférieure. |
5.3. Auch die dem Schuldspruch wegen Urkundenfälschung im Fall J.________ zugrundeliegende Beweiswürdigung taxiert die Beschwerdeführerin als willkürlich. Hierbei beschränkt sie sich jedoch darauf, einen von den vorinstanzlichen Sachverhaltsfeststellungen abweichenden, eher abenteuerlich anmutenden Geschehensablauf zu skizzieren. Derartige Ausführungen sind für den Nachweis von Willkür ebenfalls nicht geeignet und bleiben vor Bundesgericht daher unbeachtlich.
5.4. Ähnliches gilt für die tatsächlichen Einwände der Beschwerdeführerin im Dossier K.________. Sie präsentiert dem Bundesgericht wiederum eine "naheliegende Sachverhaltsversion" und rügt, die Vorinstanz habe diese Version in Verletzung ihres Anspruchs auf rechtliches Gehör nicht widerlegt. Hiermit ist aber keine Willkür in den vorinstanzlichen Erwägungen dargetan, zumal die Beschwerdeführerin implizit selber eingesteht, dass die von ihr vertretene Version in den Akten keine Stütze findet, sondern eine "Arbeitshypothese" der Verteidigung darstellt. Mangels tauglicher Willkürrüge ist auch nicht weiter zu prüfen, ob die Vorinstanz berechtigterweise auf weitere Beweiserhebungen in Form einer Befragung der Rechtsanwältin der Privatklägerschaft K.________ verzichtet hat.
6.
Von der Beschwerdeführerin angefochten wird sodann die Verurteilung wegen Vergehens gegen das WG.
6.1. In tatsächlicher Hinsicht hält die Vorinstanz fest, die Beschwerdeführerin sowie die Verteidigung hätten nicht bestritten, dass sie eine täuschend echt aussehende, verbotene Soft-Air-Waffe plus Schalldämpfer besessen habe. Sie beruft sich in diesem Zusammenhang auf das Plädoyer der Verteidigung im erstinstanzlichen Verfahren sowie auf die Zusammenfassung der Aussagen der Beschwerdeführerin im erstinstanzlichen Urteil. Daraus geht hervor, dass die Beschwerdeführerin zumindest den objektiven Tatbestand nie bestritten hat. Es ist daher nicht nachvollziehbar, wie sie aus dem Vorhalt, die Vorinstanz habe keine Abklärungen zur Besitzesdauer getätigt und insbesondere ihren Sohn dazu nicht befragt, Willkür ableiten will.
6.2.
6.2.1. Zum (Eventual-) Vorsatz erwägt die Vorinstanz, es sei "sattsam bekannt", dass es kosovarischen Staatsangehörigen in der Schweiz verboten ist, Waffen zu besitzen. Die Beschwerdeführerin habe sich schlicht darum foutiert und eine Widerhandlung zumindest in Kauf genommen.
6.2.2. Nach Ansicht der Beschwerdeführerin fehlt es diesen Erwägungen an der genügenden Begründungsdichte. Die Vorinstanz lege nicht dar, dass dieses Verbot auch ihr, der Beschwerdeführerin selbst, bekannt gewesen sei.
6.2.3. Ob die Täterin die Tatbestandsverwirklichung im Sinne von Art. 12 Abs. 2
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 12 - 1 Sauf disposition expresse et contraire de la loi, est seul punissable l'auteur d'un crime ou d'un délit qui agit intentionnellement. |
|
1 | Sauf disposition expresse et contraire de la loi, est seul punissable l'auteur d'un crime ou d'un délit qui agit intentionnellement. |
2 | Agit intentionnellement quiconque commet un crime ou un délit avec conscience et volonté. L'auteur agit déjà intentionnellement lorsqu'il tient pour possible la réalisation de l'infraction et l'accepte au cas où celle-ci se produirait. |
3 | Agit par négligence quiconque, par une imprévoyance coupable, commet un crime ou un délit sans se rendre compte des conséquences de son acte ou sans en tenir compte. L'imprévoyance est coupable quand l'auteur n'a pas usé des précautions commandées par les circonstances et par sa situation personnelle. |
6.2.4. Zwar trifft zu, dass die vorinstanzliche Entscheidbegründung hier dünn ausfällt, es lässt sich aber hinreichend nachvollziehen, welche Überlegungen sie zu ihrer Einschätzung bewogen haben. Es ist auch nicht zu beanstanden, wenn sie aus dem in der Allgemeinheit grundsätzlich vorhandenen Wissen darauf schliesst, die Beschwerdeführerin habe die Tatbestandsverwirklichung für möglich gehalten und in Kauf genommen: Bei einer Waffe, die zwar nicht echt ist, aber täuschend echt aussieht, liegt die Annahme nahe, dass sie unter das WG fällt und damit nicht ohne Weiteres besessen werden darf. Die Wahrscheinlichkeit der Tatbestandsverwirklichung war somit gross. Ausserdem hatte die Beschwerdeführerin in mehreren Einvernahmen angegeben, die Waffe aufgrund einer möglichen Blutrache einer Familie aus dem Kosovo und somit für den Fall, dass sie bedroht würde, bei sich zu tragen. Damit sprechen auch ihre Beweggründe für Eventualvorsatz. Dessen Bejahung durch die Vorinstanz hält im Ergebnis vor Bundesrecht stand.
7.
Die Beschwerdeführerin wendet sich zusätzlich gegen die Schuldsprüche mit dem Argument, dass ein psychiatrisches Gutachten zu ihrer Schuldfähigkeit hätte eingeholt werden müssen.
7.1. Im Einzelnen führt die Beschwerdeführerin dazu aus, sie habe die Vorwürfe nicht nur vehement bestritten, sondern - so auch die Einschätzung der Erstinstanz - in zunehmendem Masse abenteuerliche, wahnhaft anmutende Angaben gemacht. Die Vorinstanzen liessen ausser Acht, dass dieses Aussageverhalten allenfalls durch ihre abnorme Pathologie begründet sei und darin nicht ein Lügen-, sondern ein Krankheitssignal zu sehen sei. Insbesondere setze sich die Vorinstanz in Widerspruch zu der mit der Abklärung der Einvernahmefähigkeit beauftragten Fachärztin Dr. med. M.________. Diese erwähne auffällige psychopathologische Befunde, die sich nicht mit einer posttraumatischen Belastungsstörung erklären liessen, und denke an dissoziative sowie histrionische (Persönlichkeits-) Störungen. Sie hege auch den Verdacht einer "pseudologia phantastica". Dabei handle es sich um eine Störung mit Krankheitswert, die sich durchaus auf die Steuerungsfähigkeit auswirken könne. Die Wahrnehmung der Gutachterin decke sich mit derjenigen der Verteidigung anlässlich der Instruktionsgespräche: Die Ausführungen der Beschwerdeführerin seien teils unlogisch und unverständlich und ihre Persönlichkeit sei in höchstem Mass auffällig und abnorm. Sie stehe nicht nur in
völligem Widerspruch zu den ihr vorgeworfenen Taten, sondern weiche auch eklatant von der üblichen Geistesverfassung von Betrügern ab.
Überdies, so die Ausführungen in der Beschwerde, widerspreche die Vorinstanz den Schlussfolgerungen der Fachärztin für Psychiatrie und Psychotherapie Dr. med. N.________. Der Ärztin zufolge liege bei ihr, der Beschwerdeführerin, eine ausgeprägte psychopathologische Symptomatik mit dissoziativen Symptomen und emotionaler Instabilität vor. Sie habe auch Mühe, Realität und Fiktion zu unterscheiden. Es sei durchaus möglich, dass die festgestellten psychischen Störungen die Steuerungsfähigkeit beeinträchtigen könnten. Obgleich sowohl die Gutachterin als auch die Fachärztin die Einholung eines psychiatrischen Gutachtens für angezeigt erachteten, befinde die Vorinstanz dies - basierend auf ihrer eigenen Sichtweise - nicht für notwendig.
Auch der Bericht der O.________ AG hätte eine Begutachtung verlangt, denn es sei gerichtsnotorisch, dass sich die darin diagnostizierten Befunde (Anpassungsstörung, posttraumatische Belastungsstörung sowie Persönlichkeitsveränderung nach Extrembelastung) auf die Steuerungsfähigkeit auswirken könnten. Schliesslich lasse die Invalidenversicherung (IV) aktuell eine psychiatrische Exploration durchführen. Aus den Akten der IV ergebe sich zudem, dass sie, die Beschwerdeführerin, mindestens seit 1993 an schweren psychischen Krankheiten leide. Seither werde sie von sämtlichen behandelnden Ärzten als vollständig arbeitsunfähig eingestuft.
Die Vorinstanz missachte die Vorgaben von Art. 20
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 20 - L'autorité d'instruction ou le juge ordonne une expertise s'il existe une raison sérieuse de douter de la responsabilité de l'auteur. |
7.2. Gemäss vorinstanzlicher Beurteilung sei kein Zusammenhang zwischen den gesundheitlichen Problemen der Beschwerdeführerin und den ihr vorgeworfenen Taten erkennbar. Es sei zwar tragisch, dass sie 1993 Opfer eines Gewaltverbrechens geworden sei (dabei seien ihre dreijährige Tochter erschossen und sie selber sowie ihr Sohn angeschossen worden). Eine Verbindung zu den Straftaten lasse sich aber nicht herstellen. Daran vermöchten auch die belastenden medizinischen Eingriffe, depressive Verstimmungen, Stimmungswechsel, Logorrhoe, theatralische Züge etc. nichts zu ändern. Daneben spreche das planmässige und systematische Vorgehen zu den Tatzeitpunkten klar gegen das Vorliegen konnexer psychischer Probleme. Die Aussagen der Beschwerdeführerin seien sodann nicht als wahnhaft zu beurteilen, sondern als vehementes Abstreiten der Taten, dies zum Teil auch entgegen objektiv feststellbaren Tatsachen. Es seien keine substanziierten, ernsthaften Anzeichen für eine relevante psychische Störung, welche tatzeitaktuell eine Verminderung der Schuldfähigkeit indizieren könnte, ersichtlich.
7.3. War die Täterin zur Zeit der Tat nicht fähig, das Unrecht ihrer Tat einzusehen oder gemäss dieser Einsicht zu handeln, so ist sie nicht strafbar (Art. 19 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 19 - 1 L'auteur n'est pas punissable si, au moment d'agir, il ne possédait pas la faculté d'apprécier le caractère illicite de son acte ou de se déterminer d'après cette appréciation. |
|
1 | L'auteur n'est pas punissable si, au moment d'agir, il ne possédait pas la faculté d'apprécier le caractère illicite de son acte ou de se déterminer d'après cette appréciation. |
2 | Le juge atténue la peine si, au moment d'agir, l'auteur ne possédait que partiellement la faculté d'apprécier le caractère illicite de son acte ou de se déterminer d'après cette appréciation. |
3 | Les mesures prévues aux art. 59 à 61, 63, 64, 67, 67b et 67e peuvent cependant être ordonnées.15 |
4 | Si l'auteur pouvait éviter l'irresponsabilité ou la responsabilité restreinte et prévoir l'acte commis en cet état, les al. 1 à 3 ne sont pas applicables. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 20 - L'autorité d'instruction ou le juge ordonne une expertise s'il existe une raison sérieuse de douter de la responsabilité de l'auteur. |
Ein Gutachten ist anzuordnen, wenn das Gericht nach den Umständen des Falles ernsthafte Zweifel an der Schuldfähigkeit hat oder haben sollte. Bei der Prüfung dieser Zweifel ist zu berücksichtigen, dass nicht jede geringfügige Herabsetzung der Fähigkeit, sich zu beherrschen, genügt, um verminderte Schuldfähigkeit anzunehmen. Die Betroffene muss vielmehr, zumal der Begriff des normalen Menschen nicht eng zu fassen ist, in hohem Masse in den Bereich des Abnormen fallen. Ihre Geistesverfassung muss nach Art und Grad stark vom Durchschnitt nicht bloss der Rechts-, sondern auch der Verbrechensgenossinnen abweichen. Die Notwendigkeit, eine sachverständige Person beizuziehen, ist erst gegeben, wenn Anzeichen vorliegen, die geeignet sind, Zweifel hinsichtlich der vollen Schuldfähigkeit zu wecken, wie etwa ein Widerspruch zwischen Tat und Täterpersönlichkeit oder ein völlig unübliches Verhalten. Zeigt das Verhalten der Täterin vor, während und nach der Tat, dass ein Realitätsbezug erhalten war, sie sich an wechselnde Erfordernisse der Situation anpassen, auf eine Gelegenheit zur Tat warten oder diese gar herbeiführen konnte, so hat eine schwere Beeinträchtigung nicht vorgelegen (BGE 133 IV 145 E. 3.3; Urteile 6B 25/2021 vom 20. Juli 2022 E.
3.3.1; 6B 196/2021 vom 25. April 2022 E. 6.4.1; je mit Hinweisen).
7.4. Neue Tatsachen und Beweismittel dürfen vor Bundesgericht nur so weit vorgebracht werden, als erst der Entscheid der Vorinstanz dazu Anlass gibt (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
|
1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
7.5. Als unbegründet erweist sich zunächst der Vorwurf, die gehörsrechtliche Begründungspflicht sei verletzt. Die Vorinstanz hält ihre Erwägungen zwar relativ kurz, sie befasst sich aber mit sämtlichen wesentlichen Aspekten und legt hinreichend verständlich dar, wie bzw. weshalb sie zum beanstandeten Verzicht auf eine Begutachtung gelangt. Insbesondere finden auch die Beeinträchtigungen der psychischen Gesundheit der Beschwerdeführerin Niederschlag im angefochtenen Urteil.
7.6. Auch in der Sache selbst kann der Beschwerdeführung nicht gefolgt werden.
Von vornherein unbehelflich ist der Hinweis der Beschwerdeführerin auf die IV-Akten, gemäss welchen sie offenbar als vollständig arbeitsunfähig eingestuft wird. Diese hat sie der Vorinstanz nach eigenen Angaben nicht vorgelegt, weshalb sie als unzulässige unechte Noven im Sinne von Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
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1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
Weiter ist unbestritten und wird namentlich auch von der Vorinstanz anerkannt, dass die Beschwerdeführerin an verschiedenen psychischen Problemen leidet. Die Frage, ob die Unrechtseinsicht oder Steuerungsfähigkeit aufgrund solcher Probleme entfallen sein könnte, hat sich jedoch stets auf die konkrete Straftat zu beziehen (vgl. Urteil 6B 1278/2020 vom 27. August 2023 E. 4.3.3. mit Hinweisen). Inwiefern sich die bei ihr festgestellten Befunde konkret auf ihr deliktisches Verhalten ausgewirkt haben könnten, zeigt die Beschwerdeführerin nicht auf und ist auch nicht ersichtlich. Insbesondere die Vermutung der Verteidigung, das abnorme, abenteuerliche Aussageverhalten der Beschwerdeführerin könnte pathologisch bedingt sein, sagt nichts über ihren Zustand und dessen Auswirkungen auf ihr Verhalten in den Tatzeitpunkten aus. Gleiches gilt, soweit die mit der Beurteilung der Einvernahmefähigkeit beauftragte Gutachterin hinsichtlich der Legalprognose und somit mit Blick auf die Zukunft eine psychiatrische Begutachtung empfiehlt. Das Vorhandensein einer psychischen Erkrankung allein reicht letztlich nicht aus, um ernsthafte Zweifel an der Schuldfähigkeit entstehen zu lassen (vgl. Urteile 6B 1096/2019 vom 17. April 2020 E. 1.5; 6B 1173/2015
vom 13. Mai 2016 E. 1.4).
Die Beschwerdeführerin bediente sich eines systematisch erstellten Lügengebäudes, bestehend aus gefälschten Dokumenten und behördlichen Ausweisen, falschem behördlichen Schriftenverkehr mit dem Bundesgericht, einem gefälschten Bankauszug, einer inhaltlich falschen Telefonbeantworteransage, falschen Visitenkarten sowie einem täuschenden Auftritt als Polizeibeamtin auf Facebook und in einer albanischen Zeitschrift. Dadurch gelang es ihr, verschiedene Personen davon zu überzeugen, Polizeibeamtin zu sein und als solche gegen entsprechende Bezahlung staatliche Anordnungen zugunsten der Getäuschten erwirken zu können. Der so erzielte deliktische Erlös beläuft sich auf mindestens Fr. 63'500.-- und EUR 13'300.--. Das vielschichtige, gezielte Vorgehen der Beschwerdeführerin über einen Zeitraum von mehreren Jahren spricht - auch unter Berücksichtigung ihrer psychischen Beeinträchtigung - klar für einen intakten Realitätsbezug.
Mit der Vorinstanz deutet in der Gesamtbetrachtung nichts darauf hin, dass die Einsichts- und/oder Steuerungsfähigkeit der Beschwerdeführerin tatzeitaktuell beeinträchtigt gewesen wäre. Die Vorinstanz durfte somit ohne Bundesrecht zu verletzen auf die Einholung eines psychiatrischen Gutachtens zu dieser Frage verzichten.
8.
Im Dossier G.________ stellt sich die Beschwerdeführerin auf den Standpunkt, es liege unechte Konkurrenz vor. Die Urkundendelikte (Fälschung bundesgerichtlicher Korrespondenz) erschienen als blosse Vorbereitungshandlungen und gingen im Betrug auf.
Nach der bundesgerichtlichen Rechtsprechung besteht aufgrund der Verschiedenheit der betroffenen Rechtsgüter zwischen Art. 251
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 251 - 1. Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite, |
|
1 | Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite, |
2 | Abrogé |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 146 - 1 Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, induit astucieusement en erreur une personne par des affirmations fallacieuses ou par la dissimulation de faits vrais ou la conforte astucieusement dans son erreur et détermine de la sorte la victime à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d'un tiers, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
|
1 | Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, induit astucieusement en erreur une personne par des affirmations fallacieuses ou par la dissimulation de faits vrais ou la conforte astucieusement dans son erreur et détermine de la sorte la victime à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d'un tiers, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Si l'auteur fait métier de l'escroquerie, il est puni d'une peine privative de liberté de six mois à dix ans. |
3 | L'escroquerie commise au préjudice des proches ou des familiers n'est poursuivie que sur plainte. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 146 - 1 Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, induit astucieusement en erreur une personne par des affirmations fallacieuses ou par la dissimulation de faits vrais ou la conforte astucieusement dans son erreur et détermine de la sorte la victime à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d'un tiers, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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1 | Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, induit astucieusement en erreur une personne par des affirmations fallacieuses ou par la dissimulation de faits vrais ou la conforte astucieusement dans son erreur et détermine de la sorte la victime à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d'un tiers, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Si l'auteur fait métier de l'escroquerie, il est puni d'une peine privative de liberté de six mois à dix ans. |
3 | L'escroquerie commise au préjudice des proches ou des familiers n'est poursuivie que sur plainte. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 251 - 1. Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite, |
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1 | Quiconque, dans le dessein de porter atteinte aux intérêts pécuniaires ou aux droits d'autrui, ou de se procurer ou de procurer à un tiers un avantage illicite, |
2 | Abrogé |
9.
Die Beschwerdeführerin beanstandet die Strafzumessung.
9.1.
9.1.1. Zunächst will sie auch hier eine Verletzung der richterlichen Begründungspflicht (Art. 29 Abs. 2
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 29 - Un devoir particulier dont la violation fonde ou aggrave la punissabilité et qui incombe uniquement à la personne morale, à la société ou à l'entreprise en raison individuelle18 est imputé à une personne physique lorsque celle-ci agit: |
|
a | en qualité d'organe d'une personne morale ou de membre d'un tel organe; |
b | en qualité d'associé; |
c | en qualité de collaborateur d'une personne morale, d'une société ou d'une entreprise en raison individuelle19 disposant d'un pouvoir de décision indépendant dans le secteur d'activité dont il est chargé; |
d | en qualité de dirigeant effectif qui n'est ni un organe ou un membre d'un organe, ni un associé ou un collaborateur. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 50 - Si le jugement doit être motivé, le juge indique dans les motifs les circonstances pertinentes pour la fixation de la peine et leur importance. |
9.1.2. Das Sachgericht hat die für die Strafzumessung erheblichen Umstände und deren Gewichtung festzuhalten und seine Überlegungen in den Grundzügen wiederzugeben, sodass die Strafzumessung nachvollziehbar ist (Art. 50
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 50 - Si le jugement doit être motivé, le juge indique dans les motifs les circonstances pertinentes pour la fixation de la peine et leur importance. |
9.1.3. Die Kritik der Beschwerdeführerin erweist sich als unbegründet. Auch wenn die Vorinstanz nicht jeden einzelnen Strafzumessungsschritt zahlenmässig erläutert, ist ohne Weiteres nachvollziehbar, wie sie die einzelnen Komponenten gewichtet und die zweijährige Freiheitsstrafe herleitet. Dies gilt auch in Bezug auf das von der Beschwerdeführerin in der Vergangenheit erlebte Gewaltdelikt sowie für den langen Zeitablauf seit Begehung der Taten. Diese Umstände würdigt die Vorinstanz bei den Täterkomponenten zugunsten der Beschwerdeführerin, was sie von einer Einsatzstrafe von 33 Monaten - zwecks Ermöglichung des bedingten Vollzugs - zu einer Freiheitsstrafe von 24 Monaten führt. Es kommt somit zu einer deutlich sichtbaren Reduktion. Dabei geht die Vorinstanz im Übrigen implizit vom Wohlverhalten der Beschwerdeführerin aus, ansonsten sie den Zeitablauf seit den Taten von Gesetzes wegen nicht zu ihren Gunsten hätte werten dürfen (Art. 48 lit. e
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 48 - Le juge atténue la peine: |
|
a | si l'auteur a agi: |
a1 | en cédant à un mobile honorable; |
a2 | dans une détresse profonde; |
a3 | sous l'effet d'une menace grave; |
a4 | sous l'ascendant d'une personne à laquelle il devait obéissance ou de laquelle il dépendait; |
b | si l'auteur a été induit en tentation grave par la conduite de la victime; |
c | si l'auteur a agi en proie à une émotion violente que les circonstances rendaient excusable ou s'il a agi dans un état de profond désarroi; |
d | si l'auteur a manifesté par des actes un repentir sincère, notamment s'il a réparé le dommage autant qu'on pouvait l'attendre de lui; |
e | si l'intérêt à punir a sensiblement diminué en raison du temps écoulé depuis l'infraction et que l'auteur s'est bien comporté dans l'intervalle. |
9.2. Im Folgenden bemängelt die Beschwerdeführerin, dass die Vorinstanz ihre "überaus schlechte gesundheitliche Verfassung" sowie die ausserstrafrechtlichen Folgen (ausländerrechtliche Massnahmen) bei der Strafzumessung nicht berücksichtige.
9.2.1. Das Gericht misst die Strafe nach dem Verschulden der Täterin zu. Es berücksichtigt das Vorleben und die persönlichen Verhältnisse sowie die Wirkung der Strafe auf das Leben der Täterin (Art. 47 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 47 - 1 Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
|
1 | Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
2 | La culpabilité est déterminée par la gravité de la lésion ou de la mise en danger du bien juridique concerné, par le caractère répréhensible de l'acte, par les motivations et les buts de l'auteur et par la mesure dans laquelle celui-ci aurait pu éviter la mise en danger ou la lésion, compte tenu de sa situation personnelle et des circonstances extérieures. |
Eine erhöhte Strafempfindlichkeit ist nur bei aussergewöhnlichen Umständen zu bejahen (Urteil 6B 78/2021 vom 23. Dezember 2022 E. 7.2.4 mit Hinweis). Bei medizinischen Gründen ist der Strafempfindlichkeit daher lediglich Rechnung zu tragen, wenn die Betroffene besonders empfindlich ist. Als Beispiel hierfür nennt die Rechtsprechung Gehirnverletzte, Schwerkranke, unter Haftpsychose Leidende oder Taubstumme (Urteile 6B 82/2018 vom 25. September 2018 E. 4.6.3; 6B 476/2015 vom 26. November 2015 E. 5.4; je mit Hinweisen).
9.2.2. Die Beschwerdeführerin stützt sich bei der Darstellung ihrer angeblich seit Jahren bestehenden schweren psychischen und physischen Erkrankung und die damit einhergehende Arbeitsunfähigkeit einzig auf die Akten der IV. Es wurde bereits dargelegt, dass es sich hierbei um unzulässige Noven handelt, die vor Bundesgericht keine Berücksichtigung finden (siehe E. 7.4 und 7.6 oben). Weshalb sich aus den von der Vorinstanz festgestellten psychischen und körperlichen Leiden der Beschwerdeführerin (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
9.2.3. Gemäss Art. 47 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 47 - 1 Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
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1 | Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
2 | La culpabilité est déterminée par la gravité de la lésion ou de la mise en danger du bien juridique concerné, par le caractère répréhensible de l'acte, par les motivations et les buts de l'auteur et par la mesure dans laquelle celui-ci aurait pu éviter la mise en danger ou la lésion, compte tenu de sa situation personnelle et des circonstances extérieures. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 47 - 1 Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
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1 | Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
2 | La culpabilité est déterminée par la gravité de la lésion ou de la mise en danger du bien juridique concerné, par le caractère répréhensible de l'acte, par les motivations et les buts de l'auteur et par la mesure dans laquelle celui-ci aurait pu éviter la mise en danger ou la lésion, compte tenu de sa situation personnelle et des circonstances extérieures. |
10.
Des Weiteren wehrt sich die Beschwerdeführerin gegen die Einziehung von zwei gefälschten Herrenarmbanduhren. Dabei bringt sie unter anderem vor, die Uhren würden ihrem Sohn gehören.
Grundsätzlich kann die beschuldigte Person Einziehungen mit dem Argument anfechten, dass die einzuziehenden Gegenstände einem Dritten gehören würden (BGE 121 IV 365 E. 7). Vorliegend verhält es sich aber so, dass der Besitz von gefälschten Waren zwar nicht verboten ist. Jedoch macht sich nach Art. 61 Abs. 1
SR 232.11 Loi fédérale du 28 août 1992 sur la protection des marques et des indications de provenance (Loi sur la protection des marques, LPM) - Loi sur la protection des marques LPM Art. 61 Violation du droit à la marque - 1 Sur plainte du lésé, est puni d'une peine privative de liberté d'un an au plus ou d'une peine pécuniaire celui qui, intentionnellement, viole le droit à la marque d'autrui: |
|
1 | Sur plainte du lésé, est puni d'une peine privative de liberté d'un an au plus ou d'une peine pécuniaire celui qui, intentionnellement, viole le droit à la marque d'autrui: |
a | en usurpant, contrefaisant ou imitant ladite marque; |
b | en utilisant la marque usurpée, contrefaite ou imitée pour offrir ou mettre en circulation des produits, fournir des services, importer, exporter ou faire transiter des produits, les entreposer en vue de leur mise en circulation ou faire de la publicité en leur faveur ou offrir des services ou faire de la publicité en leur faveur. |
2 | Est puni de la même peine, sur plainte du lésé, celui qui refuse d'indiquer la provenance et la quantité des objets se trouvant en sa possession et sur lesquels la marque a été apposée illicitement et de désigner les destinataires et la quantité des objets qui ont été remis à des acheteurs commerciaux. |
3 | Si l'auteur de l'infraction agit par métier, il est poursuivi d'office. La peine est une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou une peine pécuniaire. ...92 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
1 E. 1.1 mit Hinweisen; Urteil 7B 183/2023 vom 26. Juli 2023 E. 1.3). Da die Beschwerdeführerin dieser Obliegenheit nicht nachkommt, erübrigt sich ein Eintreten auf die Beschwerde in diesem Punkt.
11.
Schliesslich macht die Beschwerdeführerin auch hinsichtlich der Zivilansprüche in den Dossiers G.________ und B.________ eine Verletzung der gehörsrechtlichen Begründungspflicht geltend.
11.1. Im Fall G.________, so die Beschwerdeführerin konkret, befasse sich die Vorinstanz nicht mit ihrem Einwand, wonach die Zivilforderung ungenügend beziffert sei und Gesamthandsgemeinschaften übereinstimmende Rechtsbegehren stellen müssten. Gleiches gelte für den Einwand, dass das Geld im Fall B.________ nicht nur von den Beschwerdegegnern 2-5, sondern auch von nahestehenden Dritten stamme, die nicht als Privatkläger auftreten würden.
11.2. Zur Begründung ihres Entscheids über die Zivilforderungen in den Fällen G.________ und B.________ verweist die Vorinstanz im Grundsatz auf das erstinstanzliche Urteil (Art. 82 Abs. 4
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 82 Restrictions à l'obligation de motiver - 1 Le tribunal de première instance renonce à une motivation écrite du jugement aux conditions suivantes: |
|
1 | Le tribunal de première instance renonce à une motivation écrite du jugement aux conditions suivantes: |
a | il motive le jugement oralement; |
b | il ne prononce pas de peine privative de liberté supérieure à deux ans, d'internement au sens de l'art. 64 CP36, de traitement au sens de l'art. 59 CP ou, lors de la révocation d'un sursis, de privation de liberté de plus de deux ans. |
2 | Le tribunal notifie ultérieurement aux parties un jugement motivé dans les cas suivants: |
a | une partie le demande dans les dix jours qui suivent la notification du dispositif du jugement; |
b | une partie forme un recours. |
3 | Si la partie plaignante est seule à demander un jugement motivé ou à former un recours, le jugement n'est motivé que dans la mesure où il concerne le comportement punissable à l'origine du préjudice subi par la partie plaignante ainsi que les prétentions civiles de celle-ci. |
4 | Lors de la procédure de recours, le tribunal peut, s'agissant de l'appréciation en fait et en droit des faits faisant l'objet de l'accusation, renvoyer à l'exposé des motifs de l'autorité inférieure. |
12.
Zu guter Letzt kritisiert die Beschwerdeführerin die vorinstanzliche Kostenregelung.
12.1. Sie begründet dies damit, dass die Vorinstanz im Dossier J.________ in Abweichung vom erstinstanzlichen Urteil nicht auf gewerbsmässigen, sondern bloss auf versuchten einfachen Betrug schliesse. Ausserdem erhielten die Beschwerdegegner 2-6 und die Beschwerdegegnerin 7 weniger Schadenersatz als ursprünglich beantragt respektive von der Erstinstanz zugesprochen. J.________ (Beschwerdegegnerin 8) werde mit ihrer Forderung, anders als im erstinstanzlichen Verfahren, vollständig auf den Zivilweg verwiesen. Im Falle K.________ schliesslich sei bereits erstinstanzlich der Vorhalt der Gewerbsmässigkeit verworfen und nur auf einfachen Betrug erkannt worden. Damit sei sie, die Beschwerdeführerin, im Berufungsverfahren mit ihren Anträgen in den Zivilpunkten und in strafrechtlicher Hinsicht zumindest teilweise durchgedrungen. Den Aufwand der Vorinstanz betreffend die erstinstanzliche rechtliche Würdigung sowie die Strafzumessung habe im Übrigen nicht sie zu vertreten, ebenso wenig denjenigen betreffend die ungerechtfertigte Anschlussberufung der Staatsanwaltschaft.
12.2. In Anwendung von Art. 426 Abs. 1
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 426 Frais à la charge du prévenu et des parties dans le cadre d'une procédure indépendante en matière de mesures - 1 Le prévenu supporte les frais de procédure s'il est condamné. Font exception les frais afférents à la défense d'office; l'art. 135, al. 4, est réservé. |
|
1 | Le prévenu supporte les frais de procédure s'il est condamné. Font exception les frais afférents à la défense d'office; l'art. 135, al. 4, est réservé. |
2 | Lorsque la procédure fait l'objet d'une ordonnance de classement ou que le prévenu est acquitté, tout ou partie des frais de procédure peuvent être mis à sa charge s'il a, de manière illicite et fautive, provoqué l'ouverture de la procédure ou rendu plus difficile la conduite de celle-ci. |
3 | Le prévenu ne supporte pas les frais: |
a | que la Confédération ou le canton ont occasionnés par des actes de procédure inutiles ou erronés; |
b | qui sont imputables aux traductions rendues nécessaires du fait qu'il est allophone. |
4 | Les frais de l'assistance judiciaire gratuite de la partie plaignante ne peuvent être mis à la charge du prévenu que si celui-ci bénéficie d'une bonne situation financière. |
5 | Les dispositions ci-dessus s'appliquent par analogie aux parties dans une procédure indépendante en matière de mesures, lorsque la décision est rendue à leur détriment. |
12.3. Nach Art. 426 Abs. 1
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 426 Frais à la charge du prévenu et des parties dans le cadre d'une procédure indépendante en matière de mesures - 1 Le prévenu supporte les frais de procédure s'il est condamné. Font exception les frais afférents à la défense d'office; l'art. 135, al. 4, est réservé. |
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1 | Le prévenu supporte les frais de procédure s'il est condamné. Font exception les frais afférents à la défense d'office; l'art. 135, al. 4, est réservé. |
2 | Lorsque la procédure fait l'objet d'une ordonnance de classement ou que le prévenu est acquitté, tout ou partie des frais de procédure peuvent être mis à sa charge s'il a, de manière illicite et fautive, provoqué l'ouverture de la procédure ou rendu plus difficile la conduite de celle-ci. |
3 | Le prévenu ne supporte pas les frais: |
a | que la Confédération ou le canton ont occasionnés par des actes de procédure inutiles ou erronés; |
b | qui sont imputables aux traductions rendues nécessaires du fait qu'il est allophone. |
4 | Les frais de l'assistance judiciaire gratuite de la partie plaignante ne peuvent être mis à la charge du prévenu que si celui-ci bénéficie d'une bonne situation financière. |
5 | Les dispositions ci-dessus s'appliquent par analogie aux parties dans une procédure indépendante en matière de mesures, lorsque la décision est rendue à leur détriment. |
12.4.
12.4.1. Die Kosten- und Entschädigungsfolgen im Rechtsmittelverfahren tragen die Parteien nach Massgabe ihres Obsiegens und Unterliegens (Art. 428 Abs. 1
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 428 Frais dans la procédure de recours - 1 Les frais de la procédure de recours sont mis à la charge des parties dans la mesure où elles ont obtenu gain de cause ou succombé. La partie dont le recours est irrecevable ou qui retire le recours est également considérée avoir succombé. |
|
1 | Les frais de la procédure de recours sont mis à la charge des parties dans la mesure où elles ont obtenu gain de cause ou succombé. La partie dont le recours est irrecevable ou qui retire le recours est également considérée avoir succombé. |
2 | Lorsqu'une partie qui interjette un recours obtient une décision qui lui est plus favorable, les frais de la procédure peuvent être mis à sa charge dans les cas suivants: |
a | les conditions qui lui ont permis d'obtenir gain de cause n'ont été réalisées que dans la procédure de recours; |
b | la modification de la décision est de peu d'importance. |
3 | Si l'autorité de recours rend elle-même une nouvelle décision, elle se prononce également sur les frais fixés par l'autorité inférieure. |
4 | S'ils annulent une décision et renvoient la cause pour une nouvelle décision à l'autorité inférieure, la Confédération ou le canton supportent les frais de la procédure de recours et, selon l'appréciation de l'autorité de recours, les frais de la procédure devant l'autorité inférieure. |
5 | Lorsqu'une demande de révision est admise, l'autorité pénale appelée à connaître ensuite de l'affaire fixe les frais de la première procédure selon son pouvoir d'appréciation. |
Bei der Regelung der Kosten- und Entschädigungsfolgen verfügt das Sachgericht über einen weiten Ermessensspielraum. Da dieses am besten in der Lage ist, die Angemessenheit der Kostenverteilung zu beurteilen, auferlegt sich das Bundesgericht eine gewisse Zurückhaltung. Es schreitet nur ein, wenn das Sachgericht den ihm zustehenden weiten Ermessensspielraum überschritten hat (Urteile 7B 218/2022 vom 23. Oktober 2023 E. 3.2; 6B 870/2022 vom 28. Juni 2023 E. 1.2.3; je mit Hinweisen).
12.4.2. Im Berufungsverfahren war das erstinstanzliche Urteil vollumfänglich angefochten. Die Vorinstanz hatte folglich über eine Vielzahl von Fragen zu befinden. Ihre Kostenregelung ist vor diesem Hintergrund zu sehen.
Konkret beantragte die Beschwerdeführerin im Berufungsverfahren die Aufhebung des erstinstanzlichen Urteils, eventualiter die Vertagung der Berufungsverhandlung zwecks Beweisergänzung, subeventualiter - soweit an dieser Stelle von Belang - einen vollumfänglichen Freispruch und die Abweisung der Zivilforderungen, evtl. deren Verweisung auf den Zivilweg. Mit diesen Anträgen ist sie allesamt, mit Ausnahme der Zivilforderung der Beschwerdegegnerin 8, die auf den Zivilweg verwiesen wurde, nicht durchgedrungen. Dies und die Tatsache, dass die Vorinstanz die von ihr zu begleichenden Zivilforderungen leicht reduziert (im Fall B.________ um rund 6 % und im Fall G.________ um rund 11 %) brauchte bei der Kostenverlegung jedoch nicht zwingend berücksichtigt zu werden. Gleiches gilt für den Umstand, dass die Vorinstanz in der Angelegenheit J.________ das Merkmal der Gewerbsmässigkeit verneint. Vielmehr lag es in ihrem Ermessen, diesen Befunden nur untergeordnete Bedeutung beizumessen. Schliesslich durfte sie auch den durch die Anschlussberufung der Staatsanwaltschaft entstandenen Aufwand - auf die sie mit kurzer, knapp einseitiger Begründung nicht eintritt - in der Gesamtbetrachtung als vernachlässigbar einstufen. Damit hält die
vorinstanzliche Kostenregelung der bundesgerichtlichen Überprüfung stand.
13.
Vor Bundesgericht ficht die Beschwerdeführerin das gesamte Berufungsurteil an. Wo sie jedoch keine begründeten Anträge stellt - dies ist hinsichtlich der grundsätzlichen Schadenersatzpflicht gegenüber der Beschwerdegegnerin 8 und der Pflicht zur Leistung einer Parteientschädigung an die Beschwerdegegner 2-5 der Fall - wird auf die Beschwerde nicht eingetreten (Art. 42 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
14.
Zusammenfassend ist die Beschwerde abzuweisen, soweit darauf mit Blick auf die über weite Strecken unzureichend begründete Kritik überhaupt einzutreten ist.
Dem Verfahrensausgang entsprechend wird die Beschwerdeführerin nach dem in Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
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1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
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1 | Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
2 | L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. |
3 | Son montant est fixé en règle générale: |
a | entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations. |
4 | Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent: |
a | des prestations d'assurance sociale; |
b | des discriminations à raison du sexe; |
c | des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs; |
d | des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24. |
5 | Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf eingetreten wird.
2.
Das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege wird abgewiesen.
3.
Die Gerichtskosten von Fr. 1'500.-- werden der Beschwerdeführerin auferlegt.
4.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Obergericht des Kantons Zürich, I. Strafkammer, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 18. Januar 2024
Im Namen der II. strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Abrecht
Die Gerichtsschreiberin: Lustenberger