Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

{T 0/2}
9C 85/2011

Sentenza del 17 gennaio 2012
II Corte di diritto sociale

Composizione
Giudici federali U. Meyer, Presidente,
Borella, Glanzmann,
cancelliere Grisanti.

Partecipanti al procedimento
B.________,
patrocinato dall'avv. David Husmann,
ricorrente,

contro

Ufficio dell'assicurazione invalidità del Cantone Ticino, Via Ghiringhelli 15a, 6500 Bellinzona,
opponente.

Oggetto
Assicurazione per l'invalidità,

ricorso contro il giudizio del Tribunale delle assicurazioni del Cantone Ticino del 9 dicembre 2010.

Fatti:

A.
Con preavviso del 25 gennaio 2010 l'Ufficio AI del Cantone Ticino ha preannunciato a B.________, nato nel 1970, la riduzione, da intera a mezza, della rendita AI fin lì assegnatagli. Per decisione del 12 maggio 2010 l'amministrazione ha confermato - con effetto dal 1° luglio 2010 - il provvedimento. Nonostante l'assicurato fosse regolarmente patrocinato da un legale (avv. David Husmann) - che si era legittimato mediante procura e aveva tra le altre cose anche formulato le osservazioni al progetto di decisione -, l'Ufficio AI ha notificato il provvedimento direttamente a B.________ che lo ha ritirato il 17 maggio 2010.

B.
Patrocinato dall'avv. Husmann, B.________ ha impugnato con ricorso del 17 settembre 2010 la decisione amministrativa al Tribunale delle assicurazioni del Cantone Ticino, al quale ha chiesto in via principale il mantenimento del diritto alla rendita intera e in via subordinata l'esecuzione di una nuova perizia medica. Per pronuncia del 9 dicembre 2010 la Corte cantonale, ritenendolo tardivo, ha dichiarato irricevibile il gravame.

C.
Sempre assistito dall'avv. Husmann, B.________ interpone ricorso al Tribunale federale al quale domanda di riconoscergli le prestazioni di legge, di annullare il giudizio cantonale e di fare obbligo all'istanza precedente di trattare nel merito il suo ricorso. Dei motivi si dirà, per quanto occorra, nei considerandi.

L'Ufficio AI propone la reiezione del gravame, mentre l'Ufficio federale delle assicurazioni sociali non si è determinato.

Diritto:

1.
Il procedimento si svolge in una delle lingue ufficiali (tedesco, francese, italiano, rumantsch grischun), di regola nella lingua della decisione impugnata. Se le parti utilizzano un'altra lingua ufficiale, il procedimento può svolgersi in tale lingua (art. 54 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 54 - 1 La procédure est conduite dans l'une des langues officielles (allemand, français, italien, rumantsch grischun), en règle générale dans la langue de la décision attaquée. Si les parties utilisent une autre langue officielle, celle-ci peut être adoptée.
1    La procédure est conduite dans l'une des langues officielles (allemand, français, italien, rumantsch grischun), en règle générale dans la langue de la décision attaquée. Si les parties utilisent une autre langue officielle, celle-ci peut être adoptée.
2    Dans les procédures par voie d'action, il est tenu compte de la langue des parties s'il s'agit d'une langue officielle.
3    Si une partie a produit des pièces qui ne sont pas rédigées dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut, avec l'accord des autres parties, renoncer à exiger une traduction.
4    Si nécessaire, le Tribunal fédéral ordonne une traduction.
LTF). Nel caso concreto il ricorso è stato scritto in tedesco. Tenuto conto del fatto che la lingua della pronuncia impugnata è quella italiana e che il ricorrente risiede da anni in Ticino, si giustifica senz'altro di rendere la presente sentenza in italiano.

2.
In sede federale l'oggetto del contendere verte unicamente sul tema di sapere se la Corte cantonale abbia a ragione dichiarato irricevibile, per tardività, il ricorso 17 settembre 2010 di B.________. Le conclusioni ricorsuali tendenti a chiedere il riconoscimento delle prestazioni AI di legge sono pertanto irricevibili (cfr. DTF 123 V 335).

3.
Con il ricorso in materia di diritto pubblico può in particolare venir censurata la violazione del diritto federale (art. 95 lett. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
LTF), nozione che comprende anche i diritti costituzionali dei cittadini (DTF 133 III 446 consid. 3.1, 462 consid. 2.3). Il Tribunale federale applica d'ufficio il diritto (art. 106 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
LTF). Tuttavia, conformemente all'art. 106 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
LTF, esamina la violazione di diritti fondamentali soltanto se il ricorrente ha sollevato e motivato tale censura. Il gravame deve pertanto contenere un'esauriente motivazione giuridica dalla quale si possa segnatamente dedurre se, perché ed eventualmente in quale misura la decisione impugnata leda il ricorrente nei suoi diritti costituzionali (v. DTF 130 I 26 consid. 2.1 pag. 31; 129 I 113 consid. 2.1 pag. 120; 127 I 38 consid. 3c pag. 43). Anche l'accertamento dei fatti può venir censurato solo entro limiti ristretti, ovvero se è stato svolto in modo manifestamente inesatto o in violazione del diritto ai sensi dell'art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
LTF e se l'eliminazione del vizio può essere determinante per l'esito del procedimento (art. 97 cpv. 1 e
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
105 cpv. 1 e 2 LTF).

4.
4.1 Giusta l'art. 60 cpv. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 60 Délai de recours - 1 Le recours doit être déposé dans les trente jours suivant la notification de la décision sujette à recours.
1    Le recours doit être déposé dans les trente jours suivant la notification de la décision sujette à recours.
2    Les art. 38 à 41 sont applicables par analogie.
LPGA (RS 830.1), il ricorso deve essere interposto entro 30 giorni dalla notificazione della decisione o della decisione contro cui l'opposizione è esclusa. Questo termine non è prorogabile (art. 40 cpv. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 40 Prolongation des délais et retard - 1 Le délai légal ne peut pas être prolongé.
1    Le délai légal ne peut pas être prolongé.
2    Si l'assureur fixe un délai pour une action déterminée, il indique en même temps les conséquences d'un retard. Celui-ci ne peut avoir d'autres conséquences que celles mentionnées dans l'avertissement.
3    Le délai fixé par l'assureur peut être prolongé pour des motifs pertinents si la partie en fait la demande avant son expiration.
LPGA). Per i combinati disposti degli art. 39 cpv. 1 e
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 39 Observation des délais - 1 Les écrits doivent être remis au plus tard le dernier jour du délai à l'assureur ou, à son adresse, à La Poste suisse ou à une représentation diplomatique ou consulaire suisse.
1    Les écrits doivent être remis au plus tard le dernier jour du délai à l'assureur ou, à son adresse, à La Poste suisse ou à une représentation diplomatique ou consulaire suisse.
2    Lorsqu'une partie s'adresse en temps utile à un assureur incompétent, le délai est réputé observé.
60 cpv. 2 LPGA, il termine di 30 giorni è osservato solo se il ricorso è consegnato al più tardi l'ultimo giorno del termine al tribunale delle assicurazioni di primo grado o, per conto di quest'ultimo, in particolare a un ufficio postale svizzero. Una volta scaduto il termine, la decisione amministrativa cresce (formalmente) in giudicato e il tribunale di primo grado non può entrare nel merito di un ricorso tardivo (cfr. DTF 134 V 49 consid. 2 pag. 51).

4.2 Una parte può farsi rappresentare, se non deve agire personalmente, o farsi patrocinare nella misura in cui l'urgenza di un'inchiesta non lo escluda (art. 37 cpv. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 37 Représentation et assistance - 1 Une partie peut, en tout temps, se faire représenter, à moins qu'elle ne doive agir personnellement, ou se faire assister, pour autant que l'urgence d'une enquête ne l'exclue pas.
1    Une partie peut, en tout temps, se faire représenter, à moins qu'elle ne doive agir personnellement, ou se faire assister, pour autant que l'urgence d'une enquête ne l'exclue pas.
2    L'assureur peut exiger du mandataire qu'il justifie ses pouvoirs par une procuration écrite.
3    Tant que la partie ne révoque pas la procuration, l'assureur adresse ses communications au mandataire.
4    Lorsque les circonstances l'exigent, l'assistance gratuite d'un conseil juridique est accordée au demandeur.
LPGA). Finché la parte non revochi la procura, l'assicuratore comunica con il rappresentante (art. 37 cpv. 3
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 37 Représentation et assistance - 1 Une partie peut, en tout temps, se faire représenter, à moins qu'elle ne doive agir personnellement, ou se faire assister, pour autant que l'urgence d'une enquête ne l'exclue pas.
1    Une partie peut, en tout temps, se faire représenter, à moins qu'elle ne doive agir personnellement, ou se faire assister, pour autant que l'urgence d'une enquête ne l'exclue pas.
2    L'assureur peut exiger du mandataire qu'il justifie ses pouvoirs par une procuration écrite.
3    Tant que la partie ne révoque pas la procuration, l'assureur adresse ses communications au mandataire.
4    Lorsque les circonstances l'exigent, l'assistance gratuite d'un conseil juridique est accordée au demandeur.
LPGA). Questo principio - preesistente all'entrata in vigore della LPGA - risponde a un'esigenza di certezza del diritto e mira a eliminare ogni possibile dubbio sulla persona a cui indirizzare le comunicazioni oltre a stabilire una regola chiara in merito alla notificazione determinante per la decorrenza dei termini di ricorso (DTF 99 V 177 consid. 3 pag. 182; SVR 2009 UV n. 16 pag. 62 [8C 210/2008]; SVR 2011 IV n. 32 pag. 93 [9C 791/2010] consid. 2.2; RAMI 1997 n. U 288 pag. 442 consid. 2b).

4.3 L'art. 49 cpv. 3
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 49 Décision - 1 L'assureur doit rendre par écrit les décisions qui portent sur des prestations, créances ou injonctions importantes ou avec lesquelles l'intéressé n'est pas d'accord.
1    L'assureur doit rendre par écrit les décisions qui portent sur des prestations, créances ou injonctions importantes ou avec lesquelles l'intéressé n'est pas d'accord.
2    Si le requérant rend vraisemblable un intérêt digne d'être protégé, l'assureur rend une décision en constatation.
3    Les décisions indiquent les voies de droit. Elles doivent être motivées si elles ne font pas entièrement droit aux demandes des parties. La notification irrégulière d'une décision ne doit entraîner aucun préjudice pour l'intéressé.
4    L'assureur qui rend une décision touchant l'obligation d'un autre assureur d'allouer des prestations est tenu de lui en communiquer un exemplaire. Cet autre assureur dispose des mêmes voies de droit que l'assuré.
5    Dans sa décision, l'assureur peut priver toute opposition ou tout recours de l'effet suspensif, même si cette décision porte sur une prestation en espèces. Les décisions ordonnant la restitution de prestations versées indûment sont exceptées.42
LPGA codifica anch'esso un principio generale (dedotto dalla tutela della buona fede [v. sentenza 2C 244/2007 del 10 ottobre 2007 consid. 2.5]) già valido prima dell'entrata in vigore della LPGA e cioè che la notificazione irregolare di una decisione non deve provocare pregiudizi per l'interessato. Secondo giurisprudenza, non ogni notificazione irregolare comporta però la sua nullità e osta alla decorrenza del termine di ricorso. Le parti sono sufficientemente tutelate se la notificazione raggiunge comunque il suo scopo malgrado la sua irregolarità. Occorre quindi esaminare, secondo le circostanze del caso concreto, se la parte interessata è realmente stata indotta in errore dalla irregolarità della notificazione e se, per questo motivo, ha subito un pregiudizio. Per stabilire ciò, ci si deve attenere alle regole della buona fede che pongono un limite all'invocazione di un vizio di forma (fra le tante: DTF 132 I 249 consid. 6 pag. 253 seg.; 122 I 97 consid. 3a/aa pag. 99; 111 V 149 consid. 4c pag. 150; cfr. pure consid. 3 non pubblicato in DTF 133 V 147, ma in SVR 2007 BVG n. 28 pag. 99; v. infine Yves Donzallaz, La notification en droit interne suisse, 2002, n. 1200).

5.
5.1 Nel dichiarare irricevibile il ricorso dell'assicurato, la Corte cantonale ha applicato la giurisprudenza sviluppata - e confermata a più riprese (v. ad esempio DLA 2002 pag. 66 [C 196/00] consid. 3; RAMI 2006 n. U 577 pag. 168 [U 99/05] consid. 3.2) - dal Tribunale federale (delle assicurazioni) nella sentenza C 168/00, pubblicata in RSAS 2002 pag. 509. Stante tale prassi, è considerata irregolare la notificazione di una decisione direttamente all'assicurato anziché al suo rappresentante legale. Nondimeno, all'interessato incombe l'onere di farsi parte diligente e di informarsi al più tardi l'ultimo giorno del termine di ricorso dalla notifica irregolare in merito all'ulteriore modo di procedere, ritenuto che in virtù del principio della buona fede a partire da tale data viene concesso un secondo termine di ricorso di trenta giorni per rimediare al vizio di notifica. Applicando tali principi, dopo avere accertato (contrariamente a quanto invece avvenuto nella sentenza 9C 594/2011 del 24 ottobre 2011) che la decisione del 12 maggio 2010 era stata effettivamente notificata direttamente all'assicurato il 17 maggio seguente, il primo giudice ha stabilito che il (secondo) termine di 30 giorni decorreva dal 16 giugno 2010 ed era
dunque scaduto, in virtù della sospensione per le ferie giudiziarie (art. 38 cpv. 4
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 38 Calcul et suspension des délais - 1 Si le délai, compté par jours ou par mois, doit être communiqué aux parties, il commence à courir le lendemain de la communication.
1    Si le délai, compté par jours ou par mois, doit être communiqué aux parties, il commence à courir le lendemain de la communication.
2    S'il ne doit pas être communiqué aux parties, il commence à courir le lendemain de l'événement qui le déclenche.
2bis    Une communication qui n'est remise que contre la signature du destinataire ou d'un tiers habilité est réputée reçue au plus tard sept jours après la première tentative infructueuse de distribution.31
3    Lorsque le délai échoit un samedi, un dimanche ou un jour férié selon le droit fédéral ou cantonal, son terme est reporté au premier jour ouvrable qui suit. Le droit cantonal déterminant est celui du canton où la partie ou son mandataire a son domicile ou son siège.32
4    Les délais en jours ou en mois fixés par la loi ou par l'autorité ne courent pas:
a  du 7e jour avant Pâques au 7e jour après Pâques inclusivement;
b  du 15 juillet au 15 août inclusivement;
c  du 18 décembre au 2 janvier inclusivement.
LPGA), il 16 agosto 2010. Dal momento però che il ricorso era stato consegnato alla posta solo il 17 settembre 2010, esso si rivelava tardivo.

5.2 Il ricorrente contesta la valutazione del Tribunale cantonale e di riflesso anche la prassi instaurata dalla sentenza C 168/00. Le ritiene contrarie all'art. 49 cpv. 3
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 49 Décision - 1 L'assureur doit rendre par écrit les décisions qui portent sur des prestations, créances ou injonctions importantes ou avec lesquelles l'intéressé n'est pas d'accord.
1    L'assureur doit rendre par écrit les décisions qui portent sur des prestations, créances ou injonctions importantes ou avec lesquelles l'intéressé n'est pas d'accord.
2    Si le requérant rend vraisemblable un intérêt digne d'être protégé, l'assureur rend une décision en constatation.
3    Les décisions indiquent les voies de droit. Elles doivent être motivées si elles ne font pas entièrement droit aux demandes des parties. La notification irrégulière d'une décision ne doit entraîner aucun préjudice pour l'intéressé.
4    L'assureur qui rend une décision touchant l'obligation d'un autre assureur d'allouer des prestations est tenu de lui en communiquer un exemplaire. Cet autre assureur dispose des mêmes voies de droit que l'assuré.
5    Dans sa décision, l'assureur peut priver toute opposition ou tout recours de l'effet suspensif, même si cette décision porte sur une prestation en espèces. Les décisions ordonnant la restitution de prestations versées indûment sont exceptées.42
LPGA oltre che in contrasto con i principi della buona fede, di proporzionalità e di parità di trattamento. Lamenta inoltre una violazione del suo diritto di essere sentito nonché del divieto d'arbitrio. Infine sostiene che l'operato della istanza precedente sarebbe eccessivamente formalistico e gli avrebbe precluso l'accesso a un tribunale come pure lo svolgimento di un processo equo, in contrasto con le garanzie costituzionali e della CEDU.

6.
6.1 L'insorgente inserisce nel suo ricorso al Tribunale federale tutta una serie di allegazioni fattuali nuove che né erano state invocate in sede cantonale - nonostante il chiaro invito del primo giudice a prendere posizione sull'eccezione di tardività sollevata dall'ufficio opponente - né tantomeno sono state oggetto di accertamento da parte dell'istanza precedente. In tale misura queste nuove allegazioni non possono essere considerate (art. 99 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
LTF; cfr. pure Bernard Corboz, Commentaire de la LTF, 2009, n. 15 ad art. 99). Ciò vale specialmente per l'esposizione delle circostanze e delle motivazioni che avrebbero accompagnato la richiesta dell'avv. Husmann di farsi trasmettere copia della decisione 12 maggio 2010, come pure per l'invocata (ma non comprovata) prassi vigente nel Cantone X.________ - ma non in quello competente del Ticino -, su cui il patrocinatore in parola avrebbe fatto affidamento e stando alla quale in simili casi il termine di ricorso comincerebbe a decorrere dal momento in cui il rappresentante riceve una copia della decisione. A prescindere da queste considerazioni, il ricorrente sostiene (v. ricorso, pagg. 4 e 6) inoltre in chiaro contrasto con le tavole processuali che la copia della decisione del 12
maggio 2010 sarebbe stata notificata al suo patrocinatore soltanto il 17 settembre 2010, quando dal fascicolo (come pure dal ricorso cantonale) risulta chiaramente la ricezione da parte di quest'ultimo al 18 agosto 2010. Il 17 settembre 2010 è per contro la data di spedizione del ricorso cantonale.

6.2 Contrariamente a quanto lascia intendere il ricorrente anche in questa sede, la LPGA, e in particolare il suo art. 49 cpv. 3
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 49 Décision - 1 L'assureur doit rendre par écrit les décisions qui portent sur des prestations, créances ou injonctions importantes ou avec lesquelles l'intéressé n'est pas d'accord.
1    L'assureur doit rendre par écrit les décisions qui portent sur des prestations, créances ou injonctions importantes ou avec lesquelles l'intéressé n'est pas d'accord.
2    Si le requérant rend vraisemblable un intérêt digne d'être protégé, l'assureur rend une décision en constatation.
3    Les décisions indiquent les voies de droit. Elles doivent être motivées si elles ne font pas entièrement droit aux demandes des parties. La notification irrégulière d'une décision ne doit entraîner aucun préjudice pour l'intéressé.
4    L'assureur qui rend une décision touchant l'obligation d'un autre assureur d'allouer des prestations est tenu de lui en communiquer un exemplaire. Cet autre assureur dispose des mêmes voies de droit que l'assuré.
5    Dans sa décision, l'assureur peut priver toute opposition ou tout recours de l'effet suspensif, même si cette décision porte sur une prestation en espèces. Les décisions ordonnant la restitution de prestations versées indûment sont exceptées.42
, non ha modificato per nulla la situazione giuridica in esame. Per quanto concerne le disposizioni qui in discussione, la LPGA ha infatti semplicemente codificato nel diritto delle assicurazioni sociali dei principi generali che erano già pacificamente riconosciuti in precedenza. La prassi sviluppata con la sentenza C 168/00 è infatti stata ripresa anche in seguito (v. da ultimo ancora la sentenza 9C 921/2010 del 19 gennaio 2011 consid. 5.2; cfr. pure RAMI 2006 n. U 577 pag. 168 consid. 3.2).

Il vizio di notificazione in oggetto, al pari della carente indicazione dei rimedi di diritto (v. DTF 129 II 125 consid. 3.3 pag. 134; 119 IV 330 consid. 1c pag. 334; ASA 76 pag. 616 [2A.164/2001] consid. 3) o (di solito) della incompetenza per territorio della autorità decidente (Ulrich Häfelin/Georg Müller/Felix Uhlmann, Allgemeines Verwaltungsrecht, 6a ed., 2010, n. 959 seg.), non costituisce un motivo di nullità, ma "solo" di annullabilità della decisione. Sarebbe del resto incompatibile con i precetti della buona fede - che non vincola solo lo Stato come sembrerebbe pretendere il ricorrente, ma obbliga ugualmente i privati (art. 5 cpv. 3
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 5 Principes de l'activité de l'État régi par le droit - 1 Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État.
1    Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État.
2    L'activité de l'État doit répondre à un intérêt public et être proportionnée au but visé.
3    Les organes de l'État et les particuliers doivent agir de manière conforme aux règles de la bonne foi.
4    La Confédération et les cantons respectent le droit international.
Cost.) - e della certezza del diritto pensare che una decisione amministrativa possa, in simile ipotesi, essere impugnata in ogni momento dinanzi a un giudice (v. sentenza del Tribunale federale delle assicurazioni I 868/02 del 21 marzo 2003 consid. 2). Anche una decisione notificata direttamente all'assicurato anziché al suo rappresentante deve essere giuridicamente valida se non viene messa in discussione entro un termine ragionevole da quando il suo destinatario ha preso conoscenza del suo contenuto. L'assicurato non può infatti semplicemente ignorare la decisione. Come per altri casi di
notificazione irregolare, egli è tenuto - per esigenze dettate dal principio della buona fede e della certezza del diritto (v. DTF 104 V 162 consid. 3 pag. 167) - ad impugnarla entro il termine usuale di ricorso o comunque ad informarsi (segnatamente presso il suo rappresentante) entro un termine ragionevole se può riconoscere il carattere vincolante dell'atto e se non intende lasciarselo opporre (cfr. DTF 129 II 125 consid. 3.3 pag. 134; 119 IV 330 consid. 1c pag. 334; v. pure per analogia sentenza citata 2C 244/2007 consid. 2.5). Come per altri casi di notificazione irregolare, sono le circostanze concrete e l'obbligo di diligenza imposto dalle circostanze (SVR 2007 BVG n. 28 pag. 99 consid. 3.2; v. pure sentenza citata 2C 244/2007 consid. 2.5) a stabilire la lunghezza di tale termine. È chiaro però che per definire questo periodo di tempo ci si orienterà alla durata usuale del termine di ricorso (ASA 76 pag. 617 consid. 3).

6.3 Ne discende che anche dopo ulteriore valutazione, la prassi instaurata dalla sentenza C 168/00 permane senz'altro valida e resiste alle critiche ricorsuali. Essa scaturisce da una equilibrata ponderazione dei contrapposti interessi - pubblici e privati - in gioco e tiene così pienamente conto, nel rispetto del principio di proporzionalità (art. 5 cpv. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 5 Principes de l'activité de l'État régi par le droit - 1 Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État.
1    Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État.
2    L'activité de l'État doit répondre à un intérêt public et être proportionnée au but visé.
3    Les organes de l'État et les particuliers doivent agir de manière conforme aux règles de la bonne foi.
4    La Confédération et les cantons respectent le droit international.
Cost.), della tutela della buona fede (art. 5 cpv. 3 e
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 5 Principes de l'activité de l'État régi par le droit - 1 Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État.
1    Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État.
2    L'activité de l'État doit répondre à un intérêt public et être proportionnée au but visé.
3    Les organes de l'État et les particuliers doivent agir de manière conforme aux règles de la bonne foi.
4    La Confédération et les cantons respectent le droit international.
art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
Cost.), della certezza del diritto e quindi anche della parità di trattamento (art. 8 cpv. 1
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 8 Égalité - 1 Tous les êtres humains sont égaux devant la loi.
1    Tous les êtres humains sont égaux devant la loi.
2    Nul ne doit subir de discrimination du fait notamment de son origine, de sa race, de son sexe, de son âge, de sa langue, de sa situation sociale, de son mode de vie, de ses convictions religieuses, philosophiques ou politiques ni du fait d'une déficience corporelle, mentale ou psychique.
3    L'homme et la femme sont égaux en droit. La loi pourvoit à l'égalité de droit et de fait, en particulier dans les domaines de la famille, de la formation et du travail. L'homme et la femme ont droit à un salaire égal pour un travail de valeur égale.
4    La loi prévoit des mesures en vue d'éliminer les inégalités qui frappent les personnes handicapées.
Cost.). Non vi è motivo per procedere a un cambiamento di prassi (sui presupposti per una tale modifica v. DTF 136 III 6 consid. 3 pag. 8; 135 I 79 consid. 3 pag. 82; 134 V 72 consid. 3.3 pag. 76).

6.4 Ciò significa concretamente che se anche - nonostante l'atto non menzionasse in calce l'invio in copia al patrocinatore - l'assicurato inizialmente - alla ricezione, il 17 maggio 2010, della decisione del 12 maggio 2010 - poteva partire dal presupposto che l'amministrazione rispettasse il rapporto di rappresentanza regolarmente segnalato, egli avrebbe quantomeno dovuto nutrire dubbi al riguardo allorché al volgere del termine di ricorso di 30 giorni indicato nella decisione non aveva ancora ricevuto alcuna notizia dal suo patrocinatore. Egli aveva infatti innegabilmente ricevuto la decisione (se così non fosse stato cfr. RAMI 2006 n. U 577 pag. 168 consid. 3.2) e poteva chiaramente riconoscerne il contenuto sfavorevole. Ora, se intendeva impugnare la decisione, egli avrebbe dovuto - facendo uso della diligenza che ci si poteva da lui ragionevolmente attendere - reagire al silenzio del suo patrocinatore e informarsi presso di lui al più tardi alla scadenza - il 16 giugno 2010 - del termine ordinario di ricorso di 30 giorni. In tale momento non vi era infatti più motivo alcuno per non attivarsi. In applicazione del principio della buona fede, al ricorrente andava pertanto giustamente - come ritenuto dalla Corte cantonale -
concesso, a partire da tale data, un secondo termine di ricorso di 30 giorni per rimediare al vizio di notifica. La proroga - non di poco conto - di 30 giorni del termine di ricorso iniziale era però ampiamente scaduta (contrariamente a quanto per contro avvenuto nelle fattispecie esaminata nella sentenza citata C 196/00) allorché l'avv. Husmann ha introdotto il 17 settembre 2010 il proprio ricorso al Tribunale cantonale delle assicurazioni.

6.5 Nulla muta a tale conclusione il fatto che l'11 agosto 2010 l'Ufficio opponente abbia, su richiesta, inviato all'avv. Husmann copia della decisione del 12 maggio 2010. Tale invio - per quanto ammesso dallo stesso avv. Husmann in sede cantonale - gli è stato recapitato il 18 agosto 2010 e non contiene altri riferimenti di data o di contenuto rispetto a quelli della decisione 12 maggio 2010. Per questa ragione come pure in considerazione del fatto che a quel momento (18 agosto 2010) anche il secondo termine (prorogato) di ricorso era comunque già scaduto, il ricorrente non può ora prevalersi del principio dell'affidamento e pretendere che con questa comunicazione gli sarebbe stato fatto credere di poter ancora ricorrere nei 30 giorni dalla notifica di tale copia al patrocinatore. La notifica della copia della decisione non poteva in realtà più incidere sulla (in)osservanza del termine prorogato e non poteva pertanto imporre una sua restituzione (cfr. per analogia anche DTF 117 II 508 consid. 2 pag. 511 seg.). Quanto alla asserita intenzione manifestata dall'avv. Husmann il 10 agosto 2010 di voler ricorrere contro l'atto amministrativo, essa, oltre a non risultare inequivocabilmente dalle tavole processuali, non ha potuto essere
accertata dalla Corte cantonale e non può dunque essere presa in considerazione dal Tribunale federale (art. 99 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
LTF). Né cambia alcunché - anche alla luce di quanto osservato sopra al consid. 6.2 come pure della chiarezza di contenuto dell'atto amministrativo - il fatto, ugualmente sollevato per la prima volta in sede federale, che la decisione del 12 maggio 2010 - ma non l'allegata motivazione - recherebbe per errore l'indicazione dell'Ufficio AI del Cantone Y.________.

6.6 Dalla sentenza 9C 791/2010 - che non confligge con la prassi, ancora recentemente confermata (v. sentenza citata 9C 921/2010), in materia di questo Tribunale - il ricorrente non può inferire nulla a sostegno della sua tesi. In quella circostanza - contrariamente al caso qui in esame - non si era infatti potuta stabilire la data di notifica della decisione (spedita giovedì 6 maggio 2010) all'assicurata, la quale al momento in cui si rivolse (il 7 giugno 2010) al suo avvocato per giunta nemmeno era più in possesso del provvedimento (sull'onere della prova, incombente all'amministrazione, e le conseguenze dell'assenza di prova in caso di contestazione o di dubbi circa la [data di] notifica di una decisione cfr. 129 I 8 consid. 2.2 pag. 10; 124 V 400 consid. 2a pag. 402 con riferimenti). In quella vertenza non era dunque stato possibile escludere - come invece lo si può nella presente causa - che l'assicurata si fosse attivata in tempo presso l'avvocato e che quest'ultimo avesse presentato ricorso (l'8 luglio 2010) entro il termine supplementare di cui alla sentenza C 168/00. Infine, sempre in quella vertenza (9C 791/2010), nel notificare (il 9 giugno 2010) la decisione al patrocinatore, l'Ufficio AI di Berna aveva espressamente
(e, in assenza di prova, contrariamente a quanto avvenuto nel caso qui in esame) indicato che il termine di ricorso avrebbe cominciato a decorrere da tale data.

6.7 Non avendo la parte ricorrente dimostrato la diligenza richiesta dalle circostanze, essa nemmeno è legittimata, tenuto conto delle regole sulla buona fede, a invocare una violazione del suo diritto di essere sentita, di cui fa parte anche il diritto di essere rappresentata e assistita in corso di procedura (SVR 2007 BVG n. 28 pag. 99 consid. 3 con riferimenti). Né l'applicazione dei principi procedurali sviluppati in caso di notificazione diretta all'assicurato anziché al suo patrocinatore può dirsi eccessivamente formalistica e costitutiva di un diniego di giustizia. L'applicazione rigorosa di tale regole processuali è giustificata, per quanto visto in precedenza (v. consid. 6.3), da importanti interessi degni di essere tutelati e non è certamente né fine a se stessa né impedisce o complica in modo insostenibile la realizzazione del diritto materiale (DTF 135 I 6 consid. 2.1 pag. 9; 132 I 249 consid. 5 pag. 253; 130 V 177 consid. 5.4.1 pag. 183).

6.8 Trattandosi di una forma particolare del diniego di giustizia (DTF 136 II 380 consid. 2 pag. 381), le considerazioni poc'anzi esposte si attagliano infine ugualmente per rispondere alla ulteriore censura dell'insorgente, secondo il quale il giudizio della Corte cantonale lo avrebbe privato della possibilità di accedere a un tribunale e di beneficiare di un processo equo ai sensi dell'art. 6 n
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
. 1 CEDU. Giova ricordare al ricorrente che neppure il diritto d'accesso a un tribunale garantito dall'art. 6 n
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
. 1 CEDU è assoluto, ma è suscettibile di essere limitato, specialmente in ordine alle condizioni di ammissibilità di un ricorso, riguardo alle quali la Convenzione riserva un certo margine di apprezzamento agli Stati partecipanti. A tal proposito va ricordato che anche per la Corte europea dei diritti dell'uomo la regolamentazione relativa alle formalità e ai termini ricorsuali da osservare mira a garantire la buona amministrazione della giustizia e il rispetto, in particolare, del principio della certezza del diritto (sentenza Miragall Escolano e altri c. Spagna del 25 gennaio 2000, Recueil CourEDH 2000-I pag. 275 § 33). Certo, per essere compatibili con l'art. 6 n
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
. 1 CEDU tali limitazioni devono perseguire uno scopo legittimo e
devono trovarsi in un ragionevole rapporto di proporzionalità con i mezzi impiegati e lo scopo perseguito (fra le tante, v. sentenze della Corte europea dei diritti dell'uomo Levages Prestations Services c. Francia del 23 ottobre 1996, Recueil CourEDH 1996-V pag. 1543 § 40, e Louli c. Grecia del 31 ottobre 2008 § 18). Ciò che, per quanto esposto in precedenza, si realizza per l'appunto nell'evenienza concreta in relazione alle suddette regole di ricevibilità di un ricorso introdotto dopo il termine di legge e a seguito di una notifica irregolare all'assicurato invece che al suo rappresentante. Del resto, anche per la giurisprudenza della Corte europea dei diritti dell'uomo, il diritto di ricorso deve esercitarsi a partire dal momento in cui gli interessati possono effettivamente conoscere le decisioni che gli impongono degli obblighi o che potrebbero essere di pregiudizio per i loro diritti o interessi legittimi (sentenza Miragall Escolano e altri c. Spagna, citata, § 37).

Ora, non vi è dubbio che l'assicurato, che ha atteso quasi tre mesi per interpellare il proprio legale dopo avere ricevuto una decisione facilmente comprensibile e a lui sfavorevole, ha agito negligentemente. A ciò si aggiunge che l'irricevibilità non ha in realtà, come nelle sentenze della Corte europea dei diritti dell'uomo menzionate nel ricorso (sentenza Boulougouras c. Grecia del 27 maggio 2004 § 26; cfr. pure sentenza Platakou Foula c. Grecia dell'11 gennaio 2001, Recueil CourEDH 2001-I pag. 1 § 39), penalizzato l'assicurato per un errore commesso dall'amministrazione. Questo errore è infatti stato compensato con il ripristino, sancito dalla suesposta prassi, del termine di ricorso di 30 giorni. Sono piuttosto la passività e la negligenza dell'assicurato all'origine dell'inosservanza del secondo termine di ricorso. In tali condizioni non vi è motivo per rimproverare all'autorità giudiziaria cantonale una interpretazione particolarmente rigorosa delle regole di procedura che avrebbe privato l'interessato del diritto di accesso a un tribunale.

7.
Ne segue che il ricorso va respinto nella misura della sua ammissibilità. Le spese seguono la soccombenza e sono poste a carico del ricorrente (art. 66 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
LTF).

Per questi motivi, il Tribunale federale pronuncia:

1.
Nella misura in cui è ammissibile, il ricorso è respinto.

2.
Le spese giudiziarie di fr. 500.- sono poste a carico del ricorrente.

3.
Comunicazione alle parti, al Tribunale delle assicurazioni del Cantone Ticino e all'Ufficio federale delle assicurazioni sociali.

Lucerna, 17 gennaio 2012

In nome della II Corte di diritto sociale
del Tribunale federale svizzero

Il Presidente: Meyer

Il Cancelliere: Grisanti
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 9C_85/2011
Date : 17 janvier 2012
Publié : 04 février 2012
Source : Tribunal fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Assurance-invalidité
Objet : Assicurazione per l'invalidità


Répertoire des lois
CEDH: 6n
Cst: 5 
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 5 Principes de l'activité de l'État régi par le droit - 1 Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État.
1    Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État.
2    L'activité de l'État doit répondre à un intérêt public et être proportionnée au but visé.
3    Les organes de l'État et les particuliers doivent agir de manière conforme aux règles de la bonne foi.
4    La Confédération et les cantons respectent le droit international.
8 
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 8 Égalité - 1 Tous les êtres humains sont égaux devant la loi.
1    Tous les êtres humains sont égaux devant la loi.
2    Nul ne doit subir de discrimination du fait notamment de son origine, de sa race, de son sexe, de son âge, de sa langue, de sa situation sociale, de son mode de vie, de ses convictions religieuses, philosophiques ou politiques ni du fait d'une déficience corporelle, mentale ou psychique.
3    L'homme et la femme sont égaux en droit. La loi pourvoit à l'égalité de droit et de fait, en particulier dans les domaines de la famille, de la formation et du travail. L'homme et la femme ont droit à un salaire égal pour un travail de valeur égale.
4    La loi prévoit des mesures en vue d'éliminer les inégalités qui frappent les personnes handicapées.
9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
LPGA: 37 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 37 Représentation et assistance - 1 Une partie peut, en tout temps, se faire représenter, à moins qu'elle ne doive agir personnellement, ou se faire assister, pour autant que l'urgence d'une enquête ne l'exclue pas.
1    Une partie peut, en tout temps, se faire représenter, à moins qu'elle ne doive agir personnellement, ou se faire assister, pour autant que l'urgence d'une enquête ne l'exclue pas.
2    L'assureur peut exiger du mandataire qu'il justifie ses pouvoirs par une procuration écrite.
3    Tant que la partie ne révoque pas la procuration, l'assureur adresse ses communications au mandataire.
4    Lorsque les circonstances l'exigent, l'assistance gratuite d'un conseil juridique est accordée au demandeur.
38 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 38 Calcul et suspension des délais - 1 Si le délai, compté par jours ou par mois, doit être communiqué aux parties, il commence à courir le lendemain de la communication.
1    Si le délai, compté par jours ou par mois, doit être communiqué aux parties, il commence à courir le lendemain de la communication.
2    S'il ne doit pas être communiqué aux parties, il commence à courir le lendemain de l'événement qui le déclenche.
2bis    Une communication qui n'est remise que contre la signature du destinataire ou d'un tiers habilité est réputée reçue au plus tard sept jours après la première tentative infructueuse de distribution.31
3    Lorsque le délai échoit un samedi, un dimanche ou un jour férié selon le droit fédéral ou cantonal, son terme est reporté au premier jour ouvrable qui suit. Le droit cantonal déterminant est celui du canton où la partie ou son mandataire a son domicile ou son siège.32
4    Les délais en jours ou en mois fixés par la loi ou par l'autorité ne courent pas:
a  du 7e jour avant Pâques au 7e jour après Pâques inclusivement;
b  du 15 juillet au 15 août inclusivement;
c  du 18 décembre au 2 janvier inclusivement.
39 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 39 Observation des délais - 1 Les écrits doivent être remis au plus tard le dernier jour du délai à l'assureur ou, à son adresse, à La Poste suisse ou à une représentation diplomatique ou consulaire suisse.
1    Les écrits doivent être remis au plus tard le dernier jour du délai à l'assureur ou, à son adresse, à La Poste suisse ou à une représentation diplomatique ou consulaire suisse.
2    Lorsqu'une partie s'adresse en temps utile à un assureur incompétent, le délai est réputé observé.
40 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 40 Prolongation des délais et retard - 1 Le délai légal ne peut pas être prolongé.
1    Le délai légal ne peut pas être prolongé.
2    Si l'assureur fixe un délai pour une action déterminée, il indique en même temps les conséquences d'un retard. Celui-ci ne peut avoir d'autres conséquences que celles mentionnées dans l'avertissement.
3    Le délai fixé par l'assureur peut être prolongé pour des motifs pertinents si la partie en fait la demande avant son expiration.
49 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 49 Décision - 1 L'assureur doit rendre par écrit les décisions qui portent sur des prestations, créances ou injonctions importantes ou avec lesquelles l'intéressé n'est pas d'accord.
1    L'assureur doit rendre par écrit les décisions qui portent sur des prestations, créances ou injonctions importantes ou avec lesquelles l'intéressé n'est pas d'accord.
2    Si le requérant rend vraisemblable un intérêt digne d'être protégé, l'assureur rend une décision en constatation.
3    Les décisions indiquent les voies de droit. Elles doivent être motivées si elles ne font pas entièrement droit aux demandes des parties. La notification irrégulière d'une décision ne doit entraîner aucun préjudice pour l'intéressé.
4    L'assureur qui rend une décision touchant l'obligation d'un autre assureur d'allouer des prestations est tenu de lui en communiquer un exemplaire. Cet autre assureur dispose des mêmes voies de droit que l'assuré.
5    Dans sa décision, l'assureur peut priver toute opposition ou tout recours de l'effet suspensif, même si cette décision porte sur une prestation en espèces. Les décisions ordonnant la restitution de prestations versées indûment sont exceptées.42
60
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 60 Délai de recours - 1 Le recours doit être déposé dans les trente jours suivant la notification de la décision sujette à recours.
1    Le recours doit être déposé dans les trente jours suivant la notification de la décision sujette à recours.
2    Les art. 38 à 41 sont applicables par analogie.
LTF: 54 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 54 - 1 La procédure est conduite dans l'une des langues officielles (allemand, français, italien, rumantsch grischun), en règle générale dans la langue de la décision attaquée. Si les parties utilisent une autre langue officielle, celle-ci peut être adoptée.
1    La procédure est conduite dans l'une des langues officielles (allemand, français, italien, rumantsch grischun), en règle générale dans la langue de la décision attaquée. Si les parties utilisent une autre langue officielle, celle-ci peut être adoptée.
2    Dans les procédures par voie d'action, il est tenu compte de la langue des parties s'il s'agit d'une langue officielle.
3    Si une partie a produit des pièces qui ne sont pas rédigées dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut, avec l'accord des autres parties, renoncer à exiger une traduction.
4    Si nécessaire, le Tribunal fédéral ordonne une traduction.
66 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
95 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
97 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
99 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
106
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
Répertoire ATF
104-V-162 • 111-V-149 • 117-II-508 • 119-IV-330 • 122-I-97 • 123-V-335 • 124-V-400 • 127-I-38 • 129-I-113 • 129-I-8 • 129-II-125 • 130-I-26 • 130-V-177 • 132-I-249 • 133-III-446 • 133-V-147 • 134-V-49 • 134-V-72 • 135-I-6 • 135-I-79 • 136-II-380 • 136-III-6 • 99-V-177
Weitere Urteile ab 2000
2A.164/2001 • 2C_244/2007 • 8C_210/2008 • 9C_594/2011 • 9C_791/2010 • 9C_85/2011 • 9C_921/2010 • C_168/00 • C_196/00 • I_868/02 • U_99/05
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
questio • recourant • tribunal fédéral • notification irrégulière • cio • office ai • tribunal des assurances • principe de la bonne foi • doute • cour européenne des droits de l'homme • cedh • décision • fédéralisme • examinateur • violation du droit • notification de la décision • droit d'être entendu • suppression • communication • calcul • langue officielle • délai raisonnable • tribunal fédéral des assurances • droit social • droit constitutionnel • office fédéral des assurances sociales • italie • analogie • entrée en vigueur • allemand • courrier a • mention • procès équitable • tribunal cantonal • espagne • ai • répartition des tâches • condition • décision • déclaration • droit fondamental • délai de recours • fin • maxime du procès • autorité judiciaire • pratique judiciaire et administrative • état de fait • éclairage • loi fédérale sur la partie générale du droit des assurances sociales • augmentation • utilisation • salaire • modification • changement de pratique • motivation de la décision • représentation en procédure • délai • débat • motif • motif du recours • travailleur • forme et contenu • manifestation • intérêt public • directive • café • interdiction de l'arbitraire • frais judiciaires • recours en matière de droit public • but • ordre militaire • avis • limitation • titre • début • obligation d'entretien • réception • opposition • droit constitutionnel à la protection de la bonne foi • bonne foi subjective • principe de la réception • frais • nouvelles • charge publique • principe de la confiance • projet de décision • représentation légale • expertise médicale • remise à la poste • intéressé • d'office • otan • droit matériel • rente entière • mois • urgence • droit des assurances • football • cirque • féries judiciaires • constatation des faits • chose assurée • droit d'accès • bellinzone • fardeau de la preuve • français • géorgie
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