Tribunal administratif fédéral
Tribunale amministrativo federale
Tribunal administrativ federal
Cour III
C-3587/2013
Arrêt du 16 décembre 2014
Blaise Vuille (président du collège),
Composition Marie-Chantal May Canellas, Andreas Trommer, juges,
Fabien Cugni, greffier.
A._______,
Parties représentée par Maître Antoine Eigenmann, avocat,
recourante,
contre
Office fédéral des migrations (ODM),
Quellenweg 6, 3003 Berne,
autorité inférieure .
Objet Annulation de la naturalisation facilitée.
Faits :
A.
Arrivée en Suisse le 22 mars 2003, A._______, née le 24 mai 1984, d'origine algérienne, a déposé le 25 mars 2003, auprès de l'Office de la population de Vevey (VD), une demande d'autorisation de séjour au titre du regroupement familial aux fins de pouvoir vivre auprès de sa mère, C._______, née le 9 septembre 1958, résidant régulièrement dans le canton de Vaud.
Par décision du 3 octobre 2003, l'Office fédéral de l'immigration, de l'intégration et de l'émigration (devenu entre-temps l'ODM) a refusé d'approuver l'octroi d'une autorisation de séjour en faveur de l'intéressée, a prononcé son renvoi de Suisse et lui a imparti un délai au 15 décembre 2003 pour quitter le territoire de la Confédération.
Le 6 novembre 2003, A._______ a recouru contre la décision précitée auprès du Département fédéral de justice et police (DFJP). Elle a été autorisée à attendre en Suisse l'issue de la procédure de recours.
Le 27 mars 2004, la prénommée s'est mariée à Vevey (VD) avec B._______, né le 15 février 1982, citoyen suisse originaire de X.________; aucun enfant commun n'est issu de cette union.
Compte tenu de ce fait nouveau, l'office fédéral a été amené, le 22 avril 2004, soit dans le cadre de la procédure de recours, à annuler sa décision du 3 octobre 2003. Par décision du 30 avril 2004, le DFJP a alors rayé de son rôle le recours du 6 novembre 2003.
Le 13 juillet 2004, A._______ a été mise au bénéfice d'une autorisation de séjour dans le canton de Vaud afin de pouvoir vivre auprès de son conjoint.
B.
Par acte non daté, mais parvenu à l'autorité compétente le 3 juin 2008, A._______ a introduit une demande de naturalisation facilitée fondée sur ladite union conjugale.
Dans le cadre de l'instruction de cette demande, la requérante et son époux ont contresigné, le 16 février 2009, une déclaration écrite aux termes de laquelle ils confirmaient vivre en communauté conjugale effective et stable, à la même adresse, et n'avoir aucune intention de se séparer ou de divorcer. L'attention des époux a en outre été attirée sur le fait que la naturalisation facilitée ne pouvait être octroyée lorsque, avant ou pendant la procédure de naturalisation, l'un des conjoints demandait le divorce ou la séparation ou que la communauté conjugale effective n'existait plus. Si cet état de fait était dissimulé, la naturalisation facilitée pouvait ultérieurement être annulée, conformément au droit en vigueur.
C.
Par décision du 24 mars 2009, l'ODM a accordé la naturalisation facilitée à A._______, en vertu de l'art. 27

SR 141.0 Legge federale del 20 giugno 2014 sulla cittadinanza svizzera (Legge sulla cittadinanza, LCit) - Legge sulla cittadinanza LCit Art. 27 Reintegrazione in seguito a perenzione, svincolo o perdita della cittadinanza - 1 Chiunque ha perduto la cittadinanza svizzera può, entro un termine di dieci anni, presentare una domanda di reintegrazione. |
|
1 | Chiunque ha perduto la cittadinanza svizzera può, entro un termine di dieci anni, presentare una domanda di reintegrazione. |
2 | Il richiedente che risiede in Svizzera da tre anni può presentare la domanda di reintegrazione anche dopo la scadenza del termine di cui al capoverso 1. |
D.
Les époux ont ouvert une action en divorce auprès du Tribunal d'arrondissement de l'Est vaudois par requête commune du 26 janvier 2010. Ils ont tous deux conclu au divorce et requis la ratification de la convention sur les effets accessoires du divorce signée les 21 décembre 2009 et 25 janvier 2010.
E.
Par pli daté du 1er juin 2010, l'Office cantonal de la population de Vevey a transmis à l'ODM un extrait du jugement de divorce rendu par le Tribunal d'arrondissement de l'Est vaudois le 1er avril 2010 concernant les époux; ce jugement est devenu définitif et exécutoire dès le 21 avril 2010.
F.
Le 5 février 2011, A._______ s'est remariée à Annemasse (F) avec un ressortissant français, D._______, né le 27 février 1976.
G.
Le 21 mai 2012, l'ODM a annoncé à A._______ qu'il envisageait d'examiner s'il y avait lieu d'ouvrir, conformément à l'art. 41

SR 141.0 Legge federale del 20 giugno 2014 sulla cittadinanza svizzera (Legge sulla cittadinanza, LCit) - Legge sulla cittadinanza LCit Art. 41 Cittadini di più Cantoni - 1 Gli Svizzeri che possiedono la cittadinanza di più Cantoni possono depositare la domanda presso uno dei Cantoni d'origine. |
|
1 | Gli Svizzeri che possiedono la cittadinanza di più Cantoni possono depositare la domanda presso uno dei Cantoni d'origine. |
2 | Se un Cantone d'origine pronuncia lo svincolo, la notificazione della decisione implica la perdita della cittadinanza svizzera e di tutte le cittadinanze cantonali e le attinenze comunali. |
3 | Il Cantone che pronuncia lo svincolo informa d'ufficio gli altri Cantoni d'origine. |
Dans ses écritures datées du 10 juillet 2012, A._______ a exposé avoir subi des violences de la part de son ex-mari en 2004 et 2005, soit "bien avant" le dépôt de sa demande de naturalisation, mais avoir décidé de ne pas porter plainte contre lui, car elle souhaitait "sauver son couple". Elle a ajouté que les tensions au sein du couple s'étaient atténuées au moment "précis" de la signature de la déclaration sur la communauté conjugale, qu'elle pensait alors réellement pouvoir continuer à vivre auprès de son mari, mais que la situation s'était à nouveau subitement envenimée peu de temps après cette déclaration. Enfin, elle a assuré n'avoir pas abusé de sa situation maritale afin de pouvoir obtenir la nationalité suisse et avoir eu, le 16 février 2009, l'intime conviction de la stabilité de la communauté conjugale.
H.
Sur réquisition de l'ODM, l'autorité cantonale compétente a procédé le 6 septembre 2012 à l'audition rogatoire de B._______. A cette occasion, ce dernier a déclaré, entre autres, qu'il avait fait la connaissance de sa future épouse en septembre 2002, alors qu'elle travaillait comme serveuse dans un bar à Vevey, qu'il n'ignorait alors pas que celle-ci était l'objet d'une procédure en matière d'autorisation de séjour et qu'il avait pris en premier l'initiative de demander le mariage, "pour qu'elle puisse rester avec moi". Par ailleurs, il a affirmé que les difficultés conjugales étaient survenues une année après le mariage et qu'il avait été question d'une séparation ou d'un divorce trois ou quatre ans après la conclusion du mariage. A ce propos, B._______ a précisé que ces difficultés étaient de nature financière puisqu'il se trouvait au chômage à cette époque, que la différence culturelle entre les époux était trop importante, qu'il était devenu agressif et qu'il était "entré dans la spirale de la drogue". En outre, il a confirmé que le couple avait connu des problèmes de violence conjugale, en 2004 et 2005, mais que ceux-ci s'étaient apaisés au début de l'année 2009, "avant de repartir de plus belle sous forme cette fois de menaces et d'injures". De plus, il a affirmé que la séparation de fait du couple remontait à fin 2008, alors que son ex-épouse était partie de la maison, en ajoutant qu'au moment de la naturalisation entrée en force le 11 mai 2009, A._______ vivait entre le domicile conjugal et celui de sa mère. A ce propos, il a exposé qu'ellepartait dormir ailleurs (chez sa mère), "sitôt qu'un problème surgissait", en ajoutant: "nous n'avions plus de rapport". Sur un autre plan, B._______ a admis l'existence au sein du couple d'un désaccord au sujet d'une éventuelle descendance commune, en ce sens que son ex-épouse désirait avoir un enfant, alors que lui n'en voulait pas. Enfin, il a déclaré qu'aucun élément particulier n'était intervenu après la naturalisation de son épouse qui aurait été susceptible de mettre inéluctablement fin à son mariage.
I.
Par courrier du 16 octobre 2012, le Service de l'état civil et des naturalisations du canton de Berne a proposé à l'ODM d'ouvrir une procédure en annulation de la naturalisation facilitée accordée à A._______. Ledit service a également indiqué que l'intéressée avait mis au monde le 18 août 2012, à Y.________, un enfant, prénommé E._______ et issu de son mariage avec un ressortissant français.
J.
Le 11 janvier 2013, l'ODM a transmis à A._______ une copie du procès-verbal de l'audition du 6 septembre 2012, en lui fixant un délai pour lui permettre de faire part de ses éventuelles remarques à ce sujet.
Dans son écriture du 25 février 2013, l'intéressée a essentiellement contesté la déclaration de B._______ selon laquelle ce dernier ne voyait plus son avenir avec elle au début de l'année 2009. Elle a affirmé, au contraire, que son ex-époux lui avait assuré à cette époque que son unique désir était de préserver leur union de manière durable et qu'elle avait été convaincue de sa sincérité. Par ailleurs, elle a confirmée s'être occasionnellement réfugiée chez sa mère, après le 11 mai 2009, afin d'éviter de devoir subir de "nouvelles agressions". En outre, elle a évoqué une ultime dispute qui serait survenue entre les intéressés en septembre 2012 (recte: 2009). Enfin, elle a soutenu que le couple s'était définitivement séparé en février 2010.
K.
Le 8 avril 2013, l'autorité compétente du canton de Berne a donné son assentiment à l'annulation de la nationalité suisse conférée à A._______.
L.
Par courrier daté du 12 juin 2013, B._______ a tenu à rectifier certains points ressortant du procès-verbal établi par la police municipale de Vevey le 6 septembre 2012. Ainsi, il a notamment confirmé que A._______ l'avait quitté non pas en 2008, mais à la fin de l'année 2009. A ce propos, il a indiqué qu'une "ultime dispute" survenue fin 2009 avait entraîné la séparation du couple.
M.
Par décision du 30 avril 2013, l'ODM a prononcé l'annulation de la naturalisation facilitée octroyée à A._______, en relevant principalement l'enchaînement logique et chronologique des événements qui démontraient que la communauté conjugale invoquée par la prénommée dans le cadre de sa requête de naturalisation facilitée ne présentait pas ou plus l'effectivité et la stabilité requise au moment de l'octroi de la naturalisation. A cet égard, l'autorité de première instance a mis en exergue le fait qu'au moment de son mariage, l'intéressée séjournait de manière illégale en Suisse depuis plusieurs années et que les problèmes matrimoniaux étaient apparus moins d'une année après la conclusion du mariage. En outre, elle a retenu que plusieurs années avant la déclaration du 16 février 2009, le mariage invoqué dans le cadre de la demande de naturalisation facilitée était déjà émaillé "de violences récurrentes". Sur un autre plan, elle a exposé qu'il existait un désaccord définitif entre les époux au sujet d'une éventuelle descendance commune. L'ODM a par ailleurs observé qu'A._______ s'était définitivement séparée de B._______ le 27 septembre 2009, soit moins de quatre mois après la naturalisation facilitée (sic), et qu'elle s'était remariée avec un ressortissant étranger dix mois après son divorce. De plus, il a écarté l'existence d'un événement extraordinaire propre à expliquer une soudaine rupture de l'union conjugale. Enfin, l'office fédéral a constaté que la décision du 30 avril 2013 faisait également perdre la nationalité suisse à l'enfant E._______, issu le 18 août 2012 du second mariage d'A._______, cet enfant disposant au demeurant de la nationalité française par son père.
N.
Par acte du 24 juin 2013, A._______ a recouru contre cette décision devant le Tribunal administratif fédéral (ci-après: le Tribunal), en concluant à son annulation. A titre de mesure d'instruction, elle a requis l'audition d'un témoin. Sur le plan formel, elle a soutenu que l'assentiment du canton d'origine faisait défaut dans le cas d'espèce, de sorte que l'une des conditions formelles requises pour l'annulation de la naturalisation facilitée n'avait pas été respectée et que la décision entreprise devait donc être annulée pour cette raison déjà. Sur le fond, la recourante a d'abord fait grief à l'ODM d'avoir retenu de manière erronée le fait qu'elle avait vécu clandestinement en Suisse jusqu'en 1997, qu'elle avait déposé une demande d'asile durant cette année et qu'elle avait fait l'objet d'une décision de renvoi à la suite du rejet de cette requête. Sur ce point, elle a exposé que ces faits ne la concernaient pas elle-même, mais bien sa mère, C._______, qui séjournait sur le territoire helvétique depuis 1994 et qui avait sollicité l'asile dans ce pays en 1997. La recourante a affirmé ensuite n'avoir pas quitté le domicile conjugal en 2009, mais s'être occasionnellement rendue chez sa mère "en cas de conflit", ceci dans le but d'échapper aux agressions (verbales) dont elle avait été à nouveau victime de la part de son ex-mari à cette époque. Dans ce contexte, A._______ a précisé qu'après avoir été brutalisée physiquement par son ex-mari en 2004 et 2005, les époux avaient connu une période sans conflit (durant quatre ans), en ajoutant que cela l'avait confortée dans l'idée que leur union durerait pour la vie, malgré ces difficultés passagères. A ce propos, elle a précisé qu'une dernière dispute avait eu lieu au mois de septembre 2009, qui avait été "la goutte d'eau qui a fait déborder le vase", en soutenant que ce fait constituait de "la seule et unique raison" pour laquelle les époux avaient pris la décision de divorcer. S'agissant de l'argument mis en avant par l'ODM relatif au "désaccord définitif" entre les époux au sujet d'une éventuelle descendance commune, la recourante a fait valoir que ce genre de désaccord pouvait exister dans n'importe quel couple et que pareil élément ne signifiait pas pour autant que les intéressés ne formaient pas une communauté conjugale effective et stable au sens de la jurisprudence y relative. Enfin, elle a souligné ne s'être ni comportée de façon déloyale ou trompeuse dans le cadre de sa demande de naturalisation facilitée, ni avoir laissé croire faussement à l'autorité qu'elle vivait dans une communauté conjugale stable et effective.
O.
Le 17 septembre 2013, A._______ a présenté au Tribunal une demande d'assistance judiciaire complète. Par décision incidente du 27 novembre 2013, le Tribunal a admis ladite demande et désigné son mandataire en qualité d'avocat d'office.
Le 23 septembre 2013, elle a en outre fait parvenir au Tribunal une déposition écrite d'une connaissance résidant à Bulle (FR).
P.
Appelé à se prononcer sur le recours, l'ODM en a proposé le rejet par préavis du 22 janvier 2014.
La recourante a présenté ses observations sur ladite prise de position le 26 mars 2014, en persistant dans les conclusions prises dans son recours; un double de cette réponse a été porté à la connaissance de l'autorité inférieure le 1er avril 2014.
R.
Les divers autres arguments invoqués de part et d'autre dans le cadre de la procédure de recours seront examinés, si nécessaire, dans les considérants en droit ci-après.
Droit :
1.
1.1 Sous réserve des exceptions prévues à l'art. 32

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 32 Eccezioni - 1 Il ricorso è inammissibile contro: |

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 31 Principio - Il Tribunale amministrativo federale giudica i ricorsi contro le decisioni ai sensi dell'articolo 5 della legge federale del 20 dicembre 196819 sulla procedura amministrativa (PA). |

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 5 - 1 Sono decisioni i provvedimenti delle autorità nel singolo caso, fondati sul diritto pubblico federale e concernenti: |
|
1 | Sono decisioni i provvedimenti delle autorità nel singolo caso, fondati sul diritto pubblico federale e concernenti: |
a | la costituzione, la modificazione o l'annullamento di diritti o di obblighi; |
b | l'accertamento dell'esistenza, dell'inesistenza o dell'estensione di diritti o di obblighi; |
c | il rigetto o la dichiarazione d'inammissibilità d'istanze dirette alla costituzione, alla modificazione, all'annullamento o all'accertamento di diritti o di obblighi. |
2 | Sono decisioni anche quelle in materia d'esecuzione (art. 41 cpv. 1 lett. a e b), le decisioni incidentali (art. 45 e 46), le decisioni su opposizione (art. 30 cpv. 2 lett. b e 74), le decisioni su ricorso (art. 61), le decisioni in sede di revisione (art. 68) e l'interpretazione (art. 69).24 |
3 | Le dichiarazioni di un'autorità che rifiuta o solleva pretese da far valere mediante azione non sono considerate decisioni. |

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 33 Autorità inferiori - Il ricorso è ammissibile contro le decisioni: |
En particulier, les décisions de l'ODM (cf. art. 33 let. d

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 33 Autorità inferiori - Il ricorso è ammissibile contro le decisioni: |

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 1 Principio - 1 Il Tribunale amministrativo federale è il tribunale amministrativo generale della Confederazione. |

SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 83 Eccezioni - Il ricorso è inammissibile contro: |
|
a | le decisioni in materia di sicurezza interna o esterna del Paese, neutralità, protezione diplomatica e altri affari esteri, in quanto il diritto internazionale non conferisca un diritto al giudizio da parte di un tribunale; |
b | le decisioni in materia di naturalizzazione ordinaria; |
c | le decisioni in materia di diritto degli stranieri concernenti: |
c1 | l'entrata in Svizzera, |
c2 | i permessi o autorizzazioni al cui ottenimento né il diritto federale né il diritto internazionale conferiscono un diritto, |
c3 | l'ammissione provvisoria, |
c4 | l'espulsione fondata sull'articolo 121 capoverso 2 della Costituzione federale e l'allontanamento, |
c5 | le deroghe alle condizioni d'ammissione, |
c6 | la proroga del permesso per frontalieri, il cambiamento di Cantone, il cambiamento d'impiego del titolare di un permesso per frontalieri, nonché il rilascio di documenti di viaggio a stranieri privi di documenti; |
d | le decisioni in materia d'asilo pronunciate: |
d1 | dal Tribunale amministrativo federale, salvo quelle che concernono persone contro le quali è pendente una domanda d'estradizione presentata dallo Stato che hanno abbandonato in cerca di protezione, |
d2 | da un'autorità cantonale inferiore e concernenti un permesso o un'autorizzazione al cui ottenimento né il diritto federale né il diritto internazionale conferiscono un diritto; |
e | le decisioni concernenti il rifiuto dell'autorizzazione a procedere penalmente contro membri di autorità o contro agenti della Confederazione; |
f | le decisioni in materia di appalti pubblici se: |
fbis | le decisioni del Tribunale amministrativo federale concernenti decisioni secondo l'articolo 32i della legge del 20 marzo 200964 sul trasporto di viaggiatori; |
f1 | non si pone alcuna questione di diritto d'importanza fondamentale; sono fatti salvi i ricorsi contro gli appalti del Tribunale amministrativo federale, del Tribunale penale federale, del Tribunale federale dei brevetti, del Ministero pubblico della Confederazione e delle autorità giudiziarie cantonali superiori, o |
f2 | il valore stimato della commessa non raggiunge il valore soglia determinante secondo l'articolo 52 capoverso 1 in combinato disposto con l'allegato 4 numero 2 della legge federale del 21 giugno 201962 sugli appalti pubblici; |
g | le decisioni in materia di rapporti di lavoro di diritto pubblico, in quanto concernano una controversia non patrimoniale, ma non la parità dei sessi; |
h | le decisioni concernenti l'assistenza amministrativa internazionale, eccettuata l'assistenza amministrativa in materia fiscale; |
i | le decisioni in materia di servizio militare, civile o di protezione civile; |
j | le decisioni in materia di approvvigionamento economico del Paese adottate in situazioni di grave penuria; |
k | le decisioni concernenti i sussidi al cui ottenimento la legislazione non conferisce un diritto; |
l | le decisioni concernenti l'imposizione di dazi operata in base alla classificazione tariffaria o al peso delle merci; |
m | le decisioni concernenti il condono o la dilazione del pagamento di tributi; in deroga alla presente disposizione, il ricorso è ammissibile contro le decisioni concernenti il condono dell'imposta federale diretta o dell'imposta cantonale o comunale sul reddito e sull'utile se concerne una questione di diritto di importanza fondamentale o se si tratta per altri motivi di un caso particolarmente importante; |
n | le decisioni in materia di energia nucleare concernenti: |
n1 | l'esigenza di un nulla osta o la modifica di un'autorizzazione o di una decisione, |
n2 | l'approvazione di un piano d'accantonamenti per le spese di smaltimento antecedenti lo spegnimento di un impianto nucleare, |
n3 | i nulla osta; |
o | le decisioni in materia di circolazione stradale concernenti l'omologazione del tipo di veicoli; |
p | le decisioni del Tribunale amministrativo federale in materia di traffico delle telecomunicazioni, radiotelevisione e poste concernenti:69 |
p1 | concessioni oggetto di una pubblica gara, |
p2 | controversie secondo l'articolo 11a della legge del 30 aprile 199770 sulle telecomunicazioni; |
p3 | controversie secondo l'articolo 8 della legge del 17 dicembre 201072 sulle poste; |
q | le decisioni in materia di medicina dei trapianti concernenti: |
q1 | l'iscrizione nella lista d'attesa, |
q2 | l'attribuzione di organi; |
r | le decisioni in materia di assicurazione malattie pronunciate dal Tribunale amministrativo federale in virtù dell'articolo 3473 della legge del 17 giugno 200574 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF); |
s | le decisioni in materia di agricoltura concernenti: |
s1 | ... |
s2 | la delimitazione delle zone nell'ambito del catasto della produzione; |
t | le decisioni concernenti l'esito di esami e di altre valutazioni della capacità, segnatamente nei settori della scuola, della formazione continua e dell'esercizio della professione; |
u | le decisioni in materia di offerte pubbliche di acquisto (art. 125-141 della L del 19 giu. 201578 sull'infrastruttura finanziaria); |
v | le decisioni del Tribunale amministrativo federale concernenti divergenze d'opinione tra autorità in materia di assistenza amministrativa o giudiziaria a livello nazionale; |
w | le decisioni in materia di diritto dell'elettricità concernenti l'approvazione dei piani di impianti elettrici a corrente forte e di impianti elettrici a corrente debole e l'espropriazione dei diritti necessari per la costruzione o l'esercizio di siffatti impianti, se non si pone alcuna questione di diritto d'importanza fondamentale; |
x | le decisioni concernenti la concessione di contributi di solidarietà ai sensi della legge federale del 30 settembre 201682 sulle misure coercitive a scopo assistenziale e i collocamenti extrafamiliari prima del 1981, tranne se si pone una questione di diritto di importanza fondamentale o si tratta di un caso particolarmente importante per altri motivi; |
y | le decisioni pronunciate dal Tribunale amministrativo federale nelle procedure amichevoli per evitare un'imposizione non conforme alla convenzione internazionale applicabile in ambito fiscale; |
z | le decisioni concernenti le autorizzazioni edilizie di impianti eolici d'interesse nazionale secondo l'articolo 71c capoverso 1 lettera b della legge federale del 30 settembre 201685 sull'energia e le autorizzazioni di competenza cantonale a esse necessariamente connesse, se non si pone alcuna questione di diritto d'importanza fondamentale. |
1.2 A moins que la LTAF n'en dispose autrement, la procédure devant le Tribunal est régie par la PA (cf. art. 37

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 37 Principio - La procedura dinanzi al Tribunale amministrativo federale è retta dalla PA58, in quanto la presente legge non disponga altrimenti. |
1.3 A._______ a qualité pour recourir (cf. art. 48 al. 1

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 48 - 1 Ha diritto di ricorrere chi: |
|
1 | Ha diritto di ricorrere chi: |
a | ha partecipato al procedimento dinanzi all'autorità inferiore o è stato privato della possibilità di farlo; |
b | è particolarmente toccato dalla decisione impugnata; e |
c | ha un interesse degno di protezione all'annullamento o alla modificazione della stessa. |
2 | Ha inoltre diritto di ricorrere ogni persona, organizzazione o autorità cui un'altra legge federale riconosce tale diritto. |

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 50 - 1 Il ricorso dev'essere depositato entro 30 giorni dalla notificazione della decisione. |
|
1 | Il ricorso dev'essere depositato entro 30 giorni dalla notificazione della decisione. |
2 | Il ricorso per denegata o ritardata giustizia può essere interposto in ogni tempo. |

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 52 - 1 L'atto di ricorso deve contenere le conclusioni, i motivi, l'indicazione dei mezzi di prova e la firma del ricorrente o del suo rappresentante; devono essere allegati la decisione impugnata e i documenti indicati come mezzi di prova, se sono in possesso del ricorrente. |
|
1 | L'atto di ricorso deve contenere le conclusioni, i motivi, l'indicazione dei mezzi di prova e la firma del ricorrente o del suo rappresentante; devono essere allegati la decisione impugnata e i documenti indicati come mezzi di prova, se sono in possesso del ricorrente. |
2 | Se il ricorso non soddisfa a questi requisiti o se le conclusioni o i motivi del ricorrente non sono sufficientemente chiari, e il ricorso non sembra manifestamente inammissibile, l'autorità di ricorso assegna al ricorrente un breve termine suppletorio per rimediarvi. |
3 | Essa gli assegna questo termine con la comminatoria che, decorrendo infruttuoso, deciderà secondo l'inserto o, qualora manchino le conclusioni, i motivi oppure la firma, non entrerà nel merito del ricorso. |
2.
2.1 La recourante peut invoquer devant le Tribunal la violation du droit fédéral, y compris l'excès ou l'abus du pouvoir d'appréciation, la constatation inexacte ou incomplète des faits pertinents ainsi que l'inopportunité de la décision entreprise, sauf lorsqu'une autorité cantonale a statué comme autorité de recours (cf. art. 49

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 49 - Il ricorrente può far valere: |
|
a | la violazione del diritto federale, compreso l'eccesso o l'abuso del potere di apprezzamento; |
b | l'accertamento inesatto o incompleto di fatti giuridicamente rilevanti; |
c | l'inadeguatezza; questa censura non è ammissibile quando un'autorità cantonale ha giudicato come autorità di ricorso. |
2.2 Selon la maxime d'office régissant la présente procédure (cf. art. 62 al. 4

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 62 - 1 L'autorità di ricorso può modificare la decisione impugnata a vantaggio di una parte. |
|
1 | L'autorità di ricorso può modificare la decisione impugnata a vantaggio di una parte. |
2 | Essa può modificare a pregiudizio di una parte la decisione impugnata quando questa violi il diritto federale o poggi su un accertamento inesatto o incompleto dei fatti; per inadeguatezza, la decisione impugnata non può essere modificata a pregiudizio di una parte, a meno che la modificazione giovi ad una controparte. |
3 | L'autorità di ricorso che intenda modificare la decisione impugnata a pregiudizio di una parte deve informarla della sua intenzione e darle la possibilità di esprimersi. |
4 | L'autorità di ricorso non è vincolata in nessun caso dai motivi del ricorso. |

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 12 - L'autorità accerta d'ufficio i fatti e si serve, se necessario, dei seguenti mezzi di prova: |
|
a | documenti; |
b | informazioni delle parti; |
c | informazioni o testimonianze di terzi; |
d | sopralluoghi; |
e | perizie. |

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 62 - 1 L'autorità di ricorso può modificare la decisione impugnata a vantaggio di una parte. |
|
1 | L'autorità di ricorso può modificare la decisione impugnata a vantaggio di una parte. |
2 | Essa può modificare a pregiudizio di una parte la decisione impugnata quando questa violi il diritto federale o poggi su un accertamento inesatto o incompleto dei fatti; per inadeguatezza, la decisione impugnata non può essere modificata a pregiudizio di una parte, a meno che la modificazione giovi ad una controparte. |
3 | L'autorità di ricorso che intenda modificare la decisione impugnata a pregiudizio di una parte deve informarla della sua intenzione e darle la possibilità di esprimersi. |
4 | L'autorità di ricorso non è vincolata in nessun caso dai motivi del ricorso. |
3.
3.1 En vertu de l'art. 27 al. 1

SR 141.0 Legge federale del 20 giugno 2014 sulla cittadinanza svizzera (Legge sulla cittadinanza, LCit) - Legge sulla cittadinanza LCit Art. 27 Reintegrazione in seguito a perenzione, svincolo o perdita della cittadinanza - 1 Chiunque ha perduto la cittadinanza svizzera può, entro un termine di dieci anni, presentare una domanda di reintegrazione. |
|
1 | Chiunque ha perduto la cittadinanza svizzera può, entro un termine di dieci anni, presentare una domanda di reintegrazione. |
2 | Il richiedente che risiede in Svizzera da tre anni può presentare la domanda di reintegrazione anche dopo la scadenza del termine di cui al capoverso 1. |
3.2 La notion de communauté conjugale dont il est question dans la loi sur la nationalité, en particulier aux art. 27 al. 1 let. c

SR 141.0 Legge federale del 20 giugno 2014 sulla cittadinanza svizzera (Legge sulla cittadinanza, LCit) - Legge sulla cittadinanza LCit Art. 27 Reintegrazione in seguito a perenzione, svincolo o perdita della cittadinanza - 1 Chiunque ha perduto la cittadinanza svizzera può, entro un termine di dieci anni, presentare una domanda di reintegrazione. |
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1 | Chiunque ha perduto la cittadinanza svizzera può, entro un termine di dieci anni, presentare una domanda di reintegrazione. |
2 | Il richiedente che risiede in Svizzera da tre anni può presentare la domanda di reintegrazione anche dopo la scadenza del termine di cui al capoverso 1. |

SR 141.0 Legge federale del 20 giugno 2014 sulla cittadinanza svizzera (Legge sulla cittadinanza, LCit) - Legge sulla cittadinanza LCit Art. 28 Effetto - Con la reintegrazione, il richiedente acquisisce la cittadinanza cantonale e l'attinenza comunale che ha avuto da ultimo. |

SR 210 Codice civile svizzero del 10 dicembre 1907 CC Art. 159 - 1 La celebrazione del matrimonio crea l'unione coniugale. |
|
1 | La celebrazione del matrimonio crea l'unione coniugale. |
2 | I coniugi si obbligano a cooperare alla prosperità dell'unione ed a provvedere in comune ai bisogni della prole. |
3 | Essi si devono reciproca assistenza e fedeltà. |
Une communauté conjugale au sens des dispositions précitées suppose donc l'existence, au moment de la décision de naturalisation facilitée, d'une volonté matrimoniale intacte et orientée vers l'avenir ("ein auf die Zukunft gerichteter Ehewille"), autrement dit la ferme intention des époux de poursuivre la communauté conjugale au-delà de la décision de naturalisation facilitée. Il est permis de mettre en doute l'existence d'une telle volonté lorsque le mariage est dissous peu après l'obtention de la naturalisation facilitée par le conjoint étranger. Dans ces circonstances, il y a lieu de présumer que la communauté conjugale n'était plus étroite et effective durant la procédure de naturalisation facilitée, la volonté réciproque des époux de poursuivre leur vie commune n'existant plus alors (cf. ATF 135 II précité, ibid.).
3.3 La communauté conjugale telle que définie ci-dessus doit non seulement exister au moment du dépôt de la demande, mais doit subsister pendant toute la procédure jusqu'au prononcé de la décision sur la requête de naturalisation facilitée (cf. ATF 135 II précité, ibid.). Il sied de relever que le législateur fédéral, lorsqu'il a créé l'institution de la naturalisation facilitée en faveur du conjoint étranger d'un ressortissant suisse, avait en vue la conception du mariage telle que définie par les dispositions du Code civil sur le droit du mariage, à savoir une union contractée par amour en vue de la constitution d'une communauté de vie étroite (de toit, de table et de lit) au sein de laquelle les conjoints sont prêts à s'assurer mutuellement fidélité et assistance, et qui est envisagée comme durable, à savoir comme une communauté de destin (cf. art. 159 al. 2

SR 210 Codice civile svizzero del 10 dicembre 1907 CC Art. 159 - 1 La celebrazione del matrimonio crea l'unione coniugale. |
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1 | La celebrazione del matrimonio crea l'unione coniugale. |
2 | I coniugi si obbligano a cooperare alla prosperità dell'unione ed a provvedere in comune ai bisogni della prole. |
3 | Essi si devono reciproca assistenza e fedeltà. |

SR 210 Codice civile svizzero del 10 dicembre 1907 CC Art. 159 - 1 La celebrazione del matrimonio crea l'unione coniugale. |
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1 | La celebrazione del matrimonio crea l'unione coniugale. |
2 | I coniugi si obbligano a cooperare alla prosperità dell'unione ed a provvedere in comune ai bisogni della prole. |
3 | Essi si devono reciproca assistenza e fedeltà. |
Malgré l'évolution des moeurs et des mentalités, seule cette conception du mariage, communément admise et jugée digne de protection par le législateur fédéral, est susceptible de justifier - aux conditions prévues aux art. 27

SR 141.0 Legge federale del 20 giugno 2014 sulla cittadinanza svizzera (Legge sulla cittadinanza, LCit) - Legge sulla cittadinanza LCit Art. 27 Reintegrazione in seguito a perenzione, svincolo o perdita della cittadinanza - 1 Chiunque ha perduto la cittadinanza svizzera può, entro un termine di dieci anni, presentare una domanda di reintegrazione. |
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1 | Chiunque ha perduto la cittadinanza svizzera può, entro un termine di dieci anni, presentare una domanda di reintegrazione. |
2 | Il richiedente che risiede in Svizzera da tre anni può presentare la domanda di reintegrazione anche dopo la scadenza del termine di cui al capoverso 1. |

SR 141.0 Legge federale del 20 giugno 2014 sulla cittadinanza svizzera (Legge sulla cittadinanza, LCit) - Legge sulla cittadinanza LCit Art. 28 Effetto - Con la reintegrazione, il richiedente acquisisce la cittadinanza cantonale e l'attinenza comunale che ha avuto da ultimo. |
4.
4.1 Avec l'assentiment de l'autorité du canton d'origine, l'ODM peut, dans le délai prévu par la loi, annuler la naturalisation ou la réintégration obtenue par des déclarations mensongères ou par la dissimulation de faits essentiels (cf. art. 41 al. 1

SR 141.0 Legge federale del 20 giugno 2014 sulla cittadinanza svizzera (Legge sulla cittadinanza, LCit) - Legge sulla cittadinanza LCit Art. 41 Cittadini di più Cantoni - 1 Gli Svizzeri che possiedono la cittadinanza di più Cantoni possono depositare la domanda presso uno dei Cantoni d'origine. |
|
1 | Gli Svizzeri che possiedono la cittadinanza di più Cantoni possono depositare la domanda presso uno dei Cantoni d'origine. |
2 | Se un Cantone d'origine pronuncia lo svincolo, la notificazione della decisione implica la perdita della cittadinanza svizzera e di tutte le cittadinanze cantonali e le attinenze comunali. |
3 | Il Cantone che pronuncia lo svincolo informa d'ufficio gli altri Cantoni d'origine. |

SR 141.0 Legge federale del 20 giugno 2014 sulla cittadinanza svizzera (Legge sulla cittadinanza, LCit) - Legge sulla cittadinanza LCit Art. 41 Cittadini di più Cantoni - 1 Gli Svizzeri che possiedono la cittadinanza di più Cantoni possono depositare la domanda presso uno dei Cantoni d'origine. |
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1 | Gli Svizzeri che possiedono la cittadinanza di più Cantoni possono depositare la domanda presso uno dei Cantoni d'origine. |
2 | Se un Cantone d'origine pronuncia lo svincolo, la notificazione della decisione implica la perdita della cittadinanza svizzera e di tutte le cittadinanze cantonali e le attinenze comunali. |
3 | Il Cantone che pronuncia lo svincolo informa d'ufficio gli altri Cantoni d'origine. |
L'annulation de la naturalisation présuppose donc que celle-ci ait été obtenue frauduleusement, c'est-à-dire par un comportement déloyal et trompeur. A cet égard, il n'est pas nécessaire qu'il y ait eu fraude au sens du droit pénal. Il faut néanmoins que le requérant ait consciemment donné de fausses indications à l'autorité, respectivement qu'il ait laissé faussement croire à l'autorité qu'il se trouvait dans la situation prévue par les art. 27 al. 1 let. c

SR 141.0 Legge federale del 20 giugno 2014 sulla cittadinanza svizzera (Legge sulla cittadinanza, LCit) - Legge sulla cittadinanza LCit Art. 27 Reintegrazione in seguito a perenzione, svincolo o perdita della cittadinanza - 1 Chiunque ha perduto la cittadinanza svizzera può, entro un termine di dieci anni, presentare una domanda di reintegrazione. |
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1 | Chiunque ha perduto la cittadinanza svizzera può, entro un termine di dieci anni, presentare una domanda di reintegrazione. |
2 | Il richiedente che risiede in Svizzera da tre anni può presentare la domanda di reintegrazione anche dopo la scadenza del termine di cui al capoverso 1. |
4.2 La nature potestative de l'art. 41 al. 1

SR 141.0 Legge federale del 20 giugno 2014 sulla cittadinanza svizzera (Legge sulla cittadinanza, LCit) - Legge sulla cittadinanza LCit Art. 41 Cittadini di più Cantoni - 1 Gli Svizzeri che possiedono la cittadinanza di più Cantoni possono depositare la domanda presso uno dei Cantoni d'origine. |
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1 | Gli Svizzeri che possiedono la cittadinanza di più Cantoni possono depositare la domanda presso uno dei Cantoni d'origine. |
2 | Se un Cantone d'origine pronuncia lo svincolo, la notificazione della decisione implica la perdita della cittadinanza svizzera e di tutte le cittadinanze cantonali e le attinenze comunali. |
3 | Il Cantone che pronuncia lo svincolo informa d'ufficio gli altri Cantoni d'origine. |
4.3 La procédure administrative fédérale est régie par le principe de la libre appréciation des preuves (cf. art. 40

SR 273 Legge del 4 dicembre 1947 di procedura civile federale PC Art. 40 - Il giudice valuta le prove secondo il suo libero convincimento. Egli prende in considerazione il contegno delle parti nel processo, per esempio il rifiuto di ottemperare ad una citazione personale, di rispondere a domande del giudice o di produrre i mezzi di prova richiesti. |

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 19 - Alla procedura probatoria sono, inoltre, applicabili per analogia gli articoli 37, 39 a 41 e 43 a 61 della legge di procedura civile federale, del 4 dicembre 194748; le sanzioni penali previste in detta legge contro le parti e i terzi renitenti sono sostituite con quelle previste nell'articolo 60 della presente legge. |

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 37 Principio - La procedura dinanzi al Tribunale amministrativo federale è retta dalla PA58, in quanto la presente legge non disponga altrimenti. |

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 13 - 1 Le parti sono tenute a cooperare all'accertamento dei fatti: |
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1 | Le parti sono tenute a cooperare all'accertamento dei fatti: |
a | in un procedimento da esse proposto; |
b | in un altro procedimento, se propongono domande indipendenti; |
c | in quanto un'altra legge federale imponga loro obblighi più estesi d'informazione o di rivelazione. |
1bis | L'obbligo di cooperazione non comprende la consegna di oggetti e documenti inerenti ai contatti tra una parte e il suo avvocato autorizzato a esercitare la rappresentanza in giudizio in Svizzera secondo la legge del 23 giugno 200033 sugli avvocati.34 |
2 | L'autorità può dichiarare inammissibili le domande formulate nei procedimenti menzionati alle lettere a e b, qualora le parti neghino la cooperazione necessaria e ragionevolmente esigibile. |
4.4 S'agissant d'une présomption de fait, qui ressortit à l'appréciation des preuves et ne modifie pas le fardeau de la preuve, l'administré n'a pas besoin, pour la renverser, de rapporter la preuve contraire du fait présumé, à savoir faire acquérir à l'autorité la certitude qu'il n'a pas menti. Il suffit qu'il parvienne à faire admettre l'existence d'une possibilité raisonnable qu'il n'ait pas menti en déclarant former une communauté stable avec son conjoint. Il peut le faire en rendant vraisemblable soit un événement extraordinaire survenu après l'octroi de la naturalisation facilitée et susceptible d'expliquer une détérioration rapide du lien conjugal, soit l'absence de conscience de la gravité de ses problèmes de couple et, ainsi, l'existence d'une véritable volonté de maintenir une union stable avec son conjoint lorsqu'il a signé la déclaration (cf. ATF 135 II précité, ibid., voir également les arrêts précités du Tribunal fédéral 1C_155/2012 consid. 2.2.2 et 1C_158/2011 consid. 4.2.2).
5.
5.1 A titre préliminaire, la recourante soutient que l'assentiment de son canton d'origine fait défaut et que l'une des conditions formelles de l'annulation de la naturalisation facilitée n'a pas été respectée dans le cas d'espèce (cf. mémoire de recours, p. 17). Sur ce point, Le Tribunal se bornera à relever que l'assentiment au sens de l'art. 41 al. 1

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1 | Gli Svizzeri che possiedono la cittadinanza di più Cantoni possono depositare la domanda presso uno dei Cantoni d'origine. |
2 | Se un Cantone d'origine pronuncia lo svincolo, la notificazione della decisione implica la perdita della cittadinanza svizzera e di tutte le cittadinanze cantonali e le attinenze comunali. |
3 | Il Cantone che pronuncia lo svincolo informa d'ufficio gli altri Cantoni d'origine. |
Le grief d'ordre formel soulevé par la recourante sur ce point doit donc être écarté.
5.2 C'est ici le lieu de préciser que la teneur de l'art. 41

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1 | Gli Svizzeri che possiedono la cittadinanza di più Cantoni possono depositare la domanda presso uno dei Cantoni d'origine. |
2 | Se un Cantone d'origine pronuncia lo svincolo, la notificazione della decisione implica la perdita della cittadinanza svizzera e di tutte le cittadinanze cantonali e le attinenze comunali. |
3 | Il Cantone che pronuncia lo svincolo informa d'ufficio gli altri Cantoni d'origine. |

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2 | Se un Cantone d'origine pronuncia lo svincolo, la notificazione della decisione implica la perdita della cittadinanza svizzera e di tutte le cittadinanze cantonali e le attinenze comunali. |
3 | Il Cantone che pronuncia lo svincolo informa d'ufficio gli altri Cantoni d'origine. |

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2 | Se un Cantone d'origine pronuncia lo svincolo, la notificazione della decisione implica la perdita della cittadinanza svizzera e di tutte le cittadinanze cantonali e le attinenze comunali. |
3 | Il Cantone che pronuncia lo svincolo informa d'ufficio gli altri Cantoni d'origine. |

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2 | Se un Cantone d'origine pronuncia lo svincolo, la notificazione della decisione implica la perdita della cittadinanza svizzera e di tutte le cittadinanze cantonali e le attinenze comunali. |
3 | Il Cantone che pronuncia lo svincolo informa d'ufficio gli altri Cantoni d'origine. |
In casu, les conditions formelles prévues à l'art. 41

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2 | Se un Cantone d'origine pronuncia lo svincolo, la notificazione della decisione implica la perdita della cittadinanza svizzera e di tutte le cittadinanze cantonali e le attinenze comunali. |
3 | Il Cantone che pronuncia lo svincolo informa d'ufficio gli altri Cantoni d'origine. |

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1 | Gli Svizzeri che possiedono la cittadinanza di più Cantoni possono depositare la domanda presso uno dei Cantoni d'origine. |
2 | Se un Cantone d'origine pronuncia lo svincolo, la notificazione della decisione implica la perdita della cittadinanza svizzera e di tutte le cittadinanze cantonali e le attinenze comunali. |
3 | Il Cantone che pronuncia lo svincolo informa d'ufficio gli altri Cantoni d'origine. |

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1 | Gli Svizzeri che possiedono la cittadinanza di più Cantoni possono depositare la domanda presso uno dei Cantoni d'origine. |
2 | Se un Cantone d'origine pronuncia lo svincolo, la notificazione della decisione implica la perdita della cittadinanza svizzera e di tutte le cittadinanze cantonali e le attinenze comunali. |
3 | Il Cantone che pronuncia lo svincolo informa d'ufficio gli altri Cantoni d'origine. |
5.3 A ce stade, force est donc de constater que toutes les conditions formelles de l'annulation de la naturalisation facilitée prévues par l'art. 41

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1 | Gli Svizzeri che possiedono la cittadinanza di più Cantoni possono depositare la domanda presso uno dei Cantoni d'origine. |
2 | Se un Cantone d'origine pronuncia lo svincolo, la notificazione della decisione implica la perdita della cittadinanza svizzera e di tutte le cittadinanze cantonali e le attinenze comunali. |
3 | Il Cantone che pronuncia lo svincolo informa d'ufficio gli altri Cantoni d'origine. |
6.
Il convient dès lors d'examiner si les circonstances du cas particulier répondent aux conditions matérielles de l'annulation de la naturalisation facilitée.
6.1 Dans la motivation de la décision querellée, l'autorité inférieure a retenu que l'enchaînement logique et chronologique des évènements démontrait qu'au moment du prononcé de la naturalisation, la communauté sur laquelle était basée la requête de naturalisation facilitée ne remplissait pas ou plus les critères exigés en la matière.
L'examen des faits pertinents de la cause, ainsi que leur déroulement chronologique relativement rapide, amènent le Tribunal à une conclusion identique, sauf en tant que l'autorité inférieure retient dans la décision querellée (cf. pp. 1 et 5) qu'A._______ est arrivée en Suisse le 2 avril 1994, qu'elle a vécu clandestinement en ce pays jusqu'en 1997 et qu'elle a déposé en cette année une demande d'asile qui a débouché sur une décision négative assortie d'un renvoi de Suisse. En effet, comme cela est exposé de manière circonstanciée dans le pourvoi du 24 juin 2013 (cf. mémoire de recours, pp. 7, 8, 17 et 18, ainsi que la pièce no 17 produite à l'appui du recours), l'autorité de première instance ne pouvait pas retenir les faits relatés ci-avant puisqu'ils ne se rapportent effectivement pas à la recourante, mais bien à la mère de cette dernière, C.________. Cette constatation manifestement erronée des faits ne saurait cependant remettre, à elle seule, fondamentalement en cause l'enchaînement chronologique retenu par l'autorité inférieure et, partant, justifier l'annulation de la décision entreprise. Il appert en effet des pièces versées au dossier que la recourante est entrée en Suisse bien après ces faits (22 mars 2003) et, en ce qui la concerne, que ses conditions de séjour dans ce pays étaient effectivement précaires avant la conclusion de son mariage avec B._______ le 27 mars 2004, puisqu'elle était sous le coup d'une décision de renvoi prononcée par l'autorité fédérale le 3 octobre 2003, suite au refus de cette dernière d'approuver une autorisation de séjour en sa faveur, dans le canton de Vaud, au titre du regroupement familial. Aussi l'intéressée n'a-t-elle autorisée à poursuivre son séjour en Suisse que parce qu'elle bénéficiait de l'effet suspensif accordé au recours qu'elle avait formé contre cette décision le 6 novembre 2003 (cf. déterminations de la recourante du 26 mars 2014 et les pièces produites). Au demeurant, il convient de rappeler que le Tribunal n'est pas lié par les considérants juridiques de la décision querellée (cf. consid. 2.2 supra).
6.2 Cela étant, le Tribunal constate qu'A._______ et B._______ ont signé, en date du 16 février 2009, une déclaration selon laquelle ils vivaient en communauté conjugale effective et stable. Par décision du 24 mars 2009, l'ODM a accordé la naturalisation facilitée à la prénommée. Selon la convention sur les effets accessoires du divorce signée les 21 décembre 2009 et 25 janvier 2010, les époux ont vécu séparément depuis le 27 septembre 2009, soit six mois seulement après la naturalisation facilitée conférée à l'intéressée. Le 26 janvier 2010, les époux ont introduit une requête commune en divorce auprès du Tribunal civil d'arrondissement de l'Est vaudois et leur union a été dissoute par jugement du 1er avril 2010, devenu définitif et exécutoire dès le 21 avril 2010. Le 5 février 2011, A._______ a conclu un nouveau mariage avec un citoyen français résidant à Annemasse. Le 18 août 2012, elle a donné naissance à Y._______ à un fils, prénommé E._______.
6.3 Les éléments précités et leur enchaînement chronologique relativement rapide sont de nature à fonder la présomption de fait selon laquelle, au moment de la signature de la déclaration commune et a fortiori lors de la décision de naturalisation, A._______ n'avait plus la volonté de maintenir une communauté conjugale effective et stable au sens de l'art. 27

SR 141.0 Legge federale del 20 giugno 2014 sulla cittadinanza svizzera (Legge sulla cittadinanza, LCit) - Legge sulla cittadinanza LCit Art. 27 Reintegrazione in seguito a perenzione, svincolo o perdita della cittadinanza - 1 Chiunque ha perduto la cittadinanza svizzera può, entro un termine di dieci anni, presentare una domanda di reintegrazione. |
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1 | Chiunque ha perduto la cittadinanza svizzera può, entro un termine di dieci anni, presentare una domanda di reintegrazione. |
2 | Il richiedente che risiede in Svizzera da tre anni può presentare la domanda di reintegrazione anche dopo la scadenza del termine di cui al capoverso 1. |
Il est au demeurant conforme à la jurisprudence en la matière d'admettre une présomption de fait selon laquelle la communauté conjugale n'était pas stable lors de l'octroi de la naturalisation facilitée si une séparation et l'ouverture d'une procédure en divorce intervient, comme en l'espèce, quelques mois plus tard (soit, en l'occurrence, six mois - s'agissant de la séparation - et dix mois - s'agissant de l'ouverture de la procédure en divorce - après la décision de naturalisation (voir, en ce sens, l'arrêt du Tribunal fédéral 1C_172/2012 du 11 mai 2012 consid. 2.3 et les arrêts cités).
7.
Conformément à la jurisprudence mentionnée plus haut (cf. consid. 4.4), il incombe à la recourante de renverser cette présomption en rendant vraisemblable soit la survenance d'un évènement extraordinaire survenu après l'octroi de la naturalisation facilitée, susceptible d'expliquer une dégradation aussi rapide du lien conjugal, soit l'absence de conscience de la gravité de ses problèmes de couple au moment de la signature de la déclaration commune.
7.1 Dans son pourvoi, A._______ souligne que les ex-époux ont signé cette déclaration "en toute bonne foi", que tous deux s'aimaient "d'un amour profond", malgré les violences, et que "c'est la force de cet amour" qui l'a dissuadée de déposer une plainte contre son ex-mari pour les agressions subies. Aussi tient-elle à relativiser les mauvais traitements dont elle a été victime durant son mariage, en affirmant qu'il arrive à tous les couples de connaître des difficultés ("ce sont des choses de la vie"; cf. mémoire de recours, p. 11). Dans ce contexte, elle fait essentiellement grief à l'autorité inférieure d'avoir procédé à un tri sélectif des déclarations de son ex-époux pour n'en retenir que les aspects défavorables. Ainsi, elle insiste sur le fait que les violences conjugales retenues par l'ODM ont eu lieu en 2004 et 2005 et qu'elle n'a plus subi de telles violences "après l'épisode" du mois de janvier 2005. Elle ajoute cependant qu'elle a subi de nouvelles agressions de la part de son ex-époux en 2009, verbalement cette-fois, et qu'une dernière dispute a eu lieu au mois de septembre de cette année-là, "qui a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase" (ibid. p. 12). Elle infère de ce qui précède que l'autorité inférieure a mal apprécié la situation réelle en retenant que les violences conjugales étaient "récurrentes". Par ailleurs, la recourante conteste l'affirmation de cette autorité selon laquelle elle allait loger régulièrement chez sa mère au moment des fréquents désaccords et heurts avec son époux. A ce propos, elle soutient que ces séjours n'étaient qu'occasionnels, lorsqu'un problème surgissait et qu'elle voulait éviter de "nouvelles agressions". Enfin, la recourante considère que l'argument de l'ODM tiré du fait que les époux ne partageaient pas tous deux le projet d'avoir une descendance commune et de fonder une famille n'est pas décisif.
Après avoir procédé à l'examen des pièces du dossier, le Tribunal estime que ces éléments, avancés par la recourante pour démontrer que la communauté conjugale qu'elle formait avec son ex-époux au moment de la naturalisation était stable et orientée vers un avenir commun, ne permettent pas de renverser la présomption fondée sur la chronologie des événements telle que relatée plus haut (cf. consid. 6). Ainsi, interrogé sur l'effectivité et la stabilité de ladite communauté au moment de l'entrée en force de la naturalisation facilitée de son épouse le 11 mai 2009, B._______ a répondu (cf. p.-v. d'audition du 6 septembre 2012, pp. 3 et 4) que son ex-épouse vivait entre le domicile conjugal et celui de sa mère, en précisant qu'elle partait dormir chez sa mère sitôt qu'un problème surgissait, et que les intéressés n'avaient alors "plus de rapport". En outre, il a clairement admis l'existence d'un désaccord entre les ex-époux au sujet d'une éventuelle descendance commune, ayant déclaré que son ex-épouse désirait un enfant, tandis que lui n'en voulait pas. Sur un autre plan, B._______ a fait savoir qu'il n'y avait plus de "flammes" entre les ex-époux durant la période s'étendant du 11 mai 2009 (entrée en force de la naturalisation facilitée) au 27 septembre 2009 (séparation), même si ceux-ci partageaient encore certaines activités communes ("on participait à certaines fêtes ensemble"). A._______ a d'ailleurs elle-même évoqué dans un courrier la situation conjugale instable et précaire dans laquelle se trouvait le couple durant cette période. Ainsi, après avoir d'abord affirmé que les tensions au sein du couple s'étaient atténuées au moment précis de la signature de la déclaration du 16 février 2009, elle a néanmoins reconnu que la situation s'était à nouveau subitement envenimée ensuite, c'est-à-dire "peu de temps" après dite déclaration (cf. courrier du 10 juillet 2012). Sur un autre plan, il convient certes d'admettre, avec la recourante, que les violences conjugales subies durant son mariage ne peuvent être qualifiées de "récurrentes", dans la mesure où celles-ci s'étaient concentrées sur les années 2004 et 2005 et où le couple avait connu ensuite une période de quatre années sans violences conjugales, avant que celles-ci ne reprennent toutefois après la déclaration du 16 février 2009, "sous la forme verbale cette fois-ci" (cf. mémoire de recours, p. 19). S'il est vrai que les mauvais traitements subis par l'intéressée - qui trouvent leur origine au début de la relation - ne semblent pas avoir été l'unique raison de la rupture définitive du couple, il n'en demeure pas moins que de tels actes de violence physique et psychologique envers l'un des conjoints ne sauraient témoigner d'une bonne entente au sein
du couple et sont dès lors incompatibles avec la notion de communauté conjugale effective et stable prévalant en matière de naturalisation facilitée (à ce sujet, cf. arrêt du Tribunal administratif fédéral C-5831/2009 du 23 juillet 2010 consid. 6.4).
Le Tribunal arrive donc à la conclusion que la séparation du couple apparaît comme le résultat d'un long processus durant lequel le comportement de B._______ est devenu de moins en moins supportable pour son ex-épouse, jusqu'à provoquer une rupture définitive de l'union conjugale. La recourante n'est dès lors pas crédible lorsqu'elle tend à faire accroire que c'est seulement au cours d'une dernière dispute, qui aurait eu lieu au mois de septembre 2009, soit six mois après l'octroi de la naturalisation facilitée, qu'elle aurait réalisé que son union était définitivement vouée à l'échec et pris la décision de couper les ponts avec son ex-mari en sollicitant le divorce (cf. mémoire de recours, p. 12).
7.2 Dans ces circonstances, la recourante n'a pas rendu vraisemblable qu'elle n'avait pas conscience de la gravité des problèmes du couple au moment de la signature de la déclaration commune. Par ailleurs, elle n'a apporté aucun élément propre à démontrer la survenance d'un événement extraordinaire postérieur à la signature de ladite déclaration et susceptible d'expliquer une dégradation aussi rapide du lien conjugal. Il y a donc lieu de s'en tenir à la présomption de fait que la naturalisation facilitée a été obtenue de manière frauduleuse. Partant, l'ODM était parfaitement fondé à prononcer, avec l'assentiment du canton d'origine, l'annulation de la naturalisation facilitée.
8.
S'agissant de la requête tendant à l'audition d'un témoin en vue d'attester la stabilité et l'effectivité de la communauté conjugale à l'époque de la demande de naturalisation (cf. mémoire de recours, p. 23), le Tribunal observe que la recourante a eu la faculté de produire une déposition écrite de la personne concernée (cf. témoignage écrit, daté du 28 août 2013, produit le 23 septembre 2013) et que l'état de fait afférant à la présente cause apparaît suffisamment établi, de sorte qu'il peut se dispenser de procéder à ladite mesure d'instruction complémentaire.
9.
Le dispositif de la décision entreprise (ch. 3) précise qu'en vertu de l'art. 41 al. 3

SR 141.0 Legge federale del 20 giugno 2014 sulla cittadinanza svizzera (Legge sulla cittadinanza, LCit) - Legge sulla cittadinanza LCit Art. 41 Cittadini di più Cantoni - 1 Gli Svizzeri che possiedono la cittadinanza di più Cantoni possono depositare la domanda presso uno dei Cantoni d'origine. |
|
1 | Gli Svizzeri che possiedono la cittadinanza di più Cantoni possono depositare la domanda presso uno dei Cantoni d'origine. |
2 | Se un Cantone d'origine pronuncia lo svincolo, la notificazione della decisione implica la perdita della cittadinanza svizzera e di tutte le cittadinanze cantonali e le attinenze comunali. |
3 | Il Cantone che pronuncia lo svincolo informa d'ufficio gli altri Cantoni d'origine. |
10.
Il ressort de ce qui précède que la décision prononcée par l'ODM le 30 avril 2013 est conforme au droit.
En conséquence, le recours est rejeté.
Par décision incidente du 27 novembre 2013, le Tribunal a mis la recourante au bénéfice de l'assistance judiciaire et désigné Me Antoine Eigenmann comme avocat d'office en application de l'art. 65 al. 1

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 65 - 1 Se una parte non dispone dei mezzi necessari e le sue conclusioni non sembrano prive di probabilità di successo, l'autorità di ricorso, il suo presidente o il giudice dell'istruzione la dispensa, a domanda, dopo il deposito del ricorso, dal pagamento delle spese processuali.110 |
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1 | Se una parte non dispone dei mezzi necessari e le sue conclusioni non sembrano prive di probabilità di successo, l'autorità di ricorso, il suo presidente o il giudice dell'istruzione la dispensa, a domanda, dopo il deposito del ricorso, dal pagamento delle spese processuali.110 |
2 | Se è necessario per tutelare i diritti di tale parte, l'autorità di ricorso, il suo presidente o il giudice dell'istruzione le designa inoltre un avvocato.111 |
3 | L'onorario e le spese d'avvocato sono messi a carico conformemente all'articolo 64 capoversi 2 a 4. |
4 | La parte, ove cessi d'essere nel bisogno, deve rimborsare l'onorario e le spese d'avvocato all'ente o all'istituto autonomo che li ha pagati. |
5 | Il Consiglio federale disciplina la determinazione degli onorari e delle spese.112 Sono fatti salvi l'articolo 16 capoverso 1 lettera a della legge del 17 giugno 2005113 sul Tribunale amministrativo federale e l'articolo 73 della legge del 19 marzo 2010114 sull'organizzazione delle autorità penali.115 |

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 65 - 1 Se una parte non dispone dei mezzi necessari e le sue conclusioni non sembrano prive di probabilità di successo, l'autorità di ricorso, il suo presidente o il giudice dell'istruzione la dispensa, a domanda, dopo il deposito del ricorso, dal pagamento delle spese processuali.110 |
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1 | Se una parte non dispone dei mezzi necessari e le sue conclusioni non sembrano prive di probabilità di successo, l'autorità di ricorso, il suo presidente o il giudice dell'istruzione la dispensa, a domanda, dopo il deposito del ricorso, dal pagamento delle spese processuali.110 |
2 | Se è necessario per tutelare i diritti di tale parte, l'autorità di ricorso, il suo presidente o il giudice dell'istruzione le designa inoltre un avvocato.111 |
3 | L'onorario e le spese d'avvocato sono messi a carico conformemente all'articolo 64 capoversi 2 a 4. |
4 | La parte, ove cessi d'essere nel bisogno, deve rimborsare l'onorario e le spese d'avvocato all'ente o all'istituto autonomo che li ha pagati. |
5 | Il Consiglio federale disciplina la determinazione degli onorari e delle spese.112 Sono fatti salvi l'articolo 16 capoverso 1 lettera a della legge del 17 giugno 2005113 sul Tribunale amministrativo federale e l'articolo 73 della legge del 19 marzo 2010114 sull'organizzazione delle autorità penali.115 |
Par conséquent, il y a lieu de dispenser l'intéressée du paiement d'une partie des frais de la présente procédure, soit à raison d'un montant de 500 francs, et d'allouer à Me Antoine Eigenmann une indemnité à titre d'honoraires pour les frais indispensables et relativement élevés occasionnés par la présente procédure de recours depuis le 17 septembre 2013 (cf. art. 64 al. 2

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 64 - 1 L'autorità di ricorso, se ammette il ricorso in tutto o in parte, può, d'ufficio o a domanda, assegnare al ricorrente una indennità per le spese indispensabili e relativamente elevate che ha sopportato. |
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1 | L'autorità di ricorso, se ammette il ricorso in tutto o in parte, può, d'ufficio o a domanda, assegnare al ricorrente una indennità per le spese indispensabili e relativamente elevate che ha sopportato. |
2 | Il dispositivo indica l'ammontare dell'indennità e l'addossa all'ente o all'istituto autonomo, nel cui nome l'autorità inferiore ha deciso, in quanto non possa essere messa a carico di una controparte soccombente. |
3 | Se una controparte soccombente ha presentato conclusioni indipendenti, l'indennità può essere messa a suo carico, secondo la propria solvenza. |
4 | L'ente o l'istituto autonomo, nel cui nome l'autorità inferiore ha deciso, risponde dell'indennità addossata a una controparte soccombente, in quanto non possa essere riscossa. |
5 | Il Consiglio federale disciplina la determinazione delle spese ripetibili.106 Sono fatti salvi l'articolo 16 capoverso 1 lettera a della legge del 17 giugno 2005107 sul Tribunale amministrativo federale e l'articolo 73 della legge del 19 marzo 2010108 sull'organizzazione delle autorità penali.109 |

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 64 - 1 L'autorità di ricorso, se ammette il ricorso in tutto o in parte, può, d'ufficio o a domanda, assegnare al ricorrente una indennità per le spese indispensabili e relativamente elevate che ha sopportato. |
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1 | L'autorità di ricorso, se ammette il ricorso in tutto o in parte, può, d'ufficio o a domanda, assegnare al ricorrente una indennità per le spese indispensabili e relativamente elevate che ha sopportato. |
2 | Il dispositivo indica l'ammontare dell'indennità e l'addossa all'ente o all'istituto autonomo, nel cui nome l'autorità inferiore ha deciso, in quanto non possa essere messa a carico di una controparte soccombente. |
3 | Se una controparte soccombente ha presentato conclusioni indipendenti, l'indennità può essere messa a suo carico, secondo la propria solvenza. |
4 | L'ente o l'istituto autonomo, nel cui nome l'autorità inferiore ha deciso, risponde dell'indennità addossata a una controparte soccombente, in quanto non possa essere riscossa. |
5 | Il Consiglio federale disciplina la determinazione delle spese ripetibili.106 Sono fatti salvi l'articolo 16 capoverso 1 lettera a della legge del 17 giugno 2005107 sul Tribunale amministrativo federale e l'articolo 73 della legge del 19 marzo 2010108 sull'organizzazione delle autorità penali.109 |

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 65 - 1 Se una parte non dispone dei mezzi necessari e le sue conclusioni non sembrano prive di probabilità di successo, l'autorità di ricorso, il suo presidente o il giudice dell'istruzione la dispensa, a domanda, dopo il deposito del ricorso, dal pagamento delle spese processuali.110 |
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1 | Se una parte non dispone dei mezzi necessari e le sue conclusioni non sembrano prive di probabilità di successo, l'autorità di ricorso, il suo presidente o il giudice dell'istruzione la dispensa, a domanda, dopo il deposito del ricorso, dal pagamento delle spese processuali.110 |
2 | Se è necessario per tutelare i diritti di tale parte, l'autorità di ricorso, il suo presidente o il giudice dell'istruzione le designa inoltre un avvocato.111 |
3 | L'onorario e le spese d'avvocato sono messi a carico conformemente all'articolo 64 capoversi 2 a 4. |
4 | La parte, ove cessi d'essere nel bisogno, deve rimborsare l'onorario e le spese d'avvocato all'ente o all'istituto autonomo che li ha pagati. |
5 | Il Consiglio federale disciplina la determinazione degli onorari e delle spese.112 Sono fatti salvi l'articolo 16 capoverso 1 lettera a della legge del 17 giugno 2005113 sul Tribunale amministrativo federale e l'articolo 73 della legge del 19 marzo 2010114 sull'organizzazione delle autorità penali.115 |

SR 173.320.2 Regolamento del 21 febbraio 2008 sulle tasse e sulle spese ripetibili nelle cause dinanzi al Tribunale amministrativo federale (TS-TAF) TS-TAF Art. 8 Spese ripetibili - 1 Le ripetibili comprendono le spese di rappresentanza o di patrocinio ed eventuali altri disborsi di parte. |
|
1 | Le ripetibili comprendono le spese di rappresentanza o di patrocinio ed eventuali altri disborsi di parte. |
2 | Per spese non necessarie non vengono corrisposte indennità. |

SR 173.320.2 Regolamento del 21 febbraio 2008 sulle tasse e sulle spese ripetibili nelle cause dinanzi al Tribunale amministrativo federale (TS-TAF) TS-TAF Art. 12 Avvocati d'ufficio - Gli articoli 8-11 sono applicabili per analogia agli avvocati d'ufficio. |
Compte tenu du travail accompli par le mandataire d'A._______ depuis le dépôt de la demande d'assistance judiciaire, du tarif applicable en l'espèce et du degré de difficulté de la présente cause au plan juridique, cette indemnité, à titre d'honoraires, sera fixée à 800 francs (TVA comprises).
(dispositif page suivante)
Par ces motifs, le Tribunal administratif fédéral prononce :
1.
Le recours est rejeté.
2.
Les frais de procédure, d'un montant de 500 francs, sont mis à la charge de la recourante. Ils sont prélevés sur l'avance de 1'000 francs versée le 14 août 2013, dont le solde, soit 500 francs, sera restitué par le Tribunal dès l'entrée en force du présent arrêt.
3.
Le Tribunal versera à Me Antoine Eigenmann un montant de 800 francs, à titre d'honoraires, dès l'entrée en force du présent arrêt.
4.
Le présent arrêt est adressé :
- à la recourante (Acte judiciaire; annexe: un formulaire "adresse de paiement" à retourner dûment rempli au Tribunal)
- à l'autorité inférieure, dossier en retour.
Le président du collège : Le greffier :
Blaise Vuille Fabien Cugni
Indication des voies de droit :
Le présent arrêt peut être attaqué devant le Tribunal fédéral, 1000 Lausanne 14, par la voie du recours en matière de droit public, dans les trente jours qui suivent la notification (art. 82 ss

SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 82 Principio - Il Tribunale federale giudica i ricorsi: |
|
a | contro le decisioni pronunciate in cause di diritto pubblico; |
b | contro gli atti normativi cantonali; |
c | concernenti il diritto di voto dei cittadini nonché le elezioni e votazioni popolari. |

SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 90 Decisioni finali - Il ricorso è ammissibile contro le decisioni che pongono fine al procedimento. |

SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 42 Atti scritti - 1 Gli atti scritti devono essere redatti in una lingua ufficiale, contenere le conclusioni, i motivi e l'indicazione dei mezzi di prova ed essere firmati. |
|
1 | Gli atti scritti devono essere redatti in una lingua ufficiale, contenere le conclusioni, i motivi e l'indicazione dei mezzi di prova ed essere firmati. |
1bis | Se un procedimento in materia civile si è svolto in inglese dinanzi all'autorità inferiore, gli atti scritti possono essere redatti in tale lingua.14 |
2 | Nei motivi occorre spiegare in modo conciso perché l'atto impugnato viola il diritto. Qualora il ricorso sia ammissibile soltanto se concerne una questione di diritto di importanza fondamentale o un caso particolarmente importante per altri motivi, occorre spiegare perché la causa adempie siffatta condizione.15 16 |
3 | Se sono in possesso della parte, i documenti indicati come mezzi di prova devono essere allegati; se l'atto scritto è diretto contro una decisione, anche questa deve essere allegata. |
4 | In caso di trasmissione per via elettronica, la parte o il suo patrocinatore deve munire l'atto scritto di una firma elettronica qualificata secondo la legge del 18 marzo 201617 sulla firma elettronica. Il Tribunale federale determina mediante regolamento: |
a | il formato dell'atto scritto e dei relativi allegati; |
b | le modalità di trasmissione; |
c | le condizioni alle quali può essere richiesta la trasmissione successiva di documenti cartacei in caso di problemi tecnici.18 |
5 | Se mancano la firma della parte o del suo patrocinatore, la procura dello stesso o gli allegati prescritti, o se il patrocinatore non è autorizzato in quanto tale, è fissato un congruo termine per sanare il vizio, con la comminatoria che altrimenti l'atto scritto non sarà preso in considerazione. |
6 | Gli atti illeggibili, sconvenienti, incomprensibili, prolissi o non redatti in una lingua ufficiale possono essere del pari rinviati al loro autore affinché li modifichi. |
7 | Gli atti scritti dovuti a condotta processuale da querulomane o altrimenti abusiva sono inammissibili. |
Expédition :