Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
8C 370/2020
Urteil vom 15. Oktober 2020
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Maillard, Präsident,
Bundesrichterin Viscione, Bundesrichter Abrecht,
Gerichtsschreiber Jancar.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Benedikt Schneider,
Beschwerdeführer,
gegen
IV-Stelle Luzern, Landenbergstrasse 35, 6005 Luzern,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Invalidenversicherung (Arbeitsunfähigkeit; Invalidenrente),
Beschwerde gegen den Entscheid des Kantonsgerichts Luzern vom 4. Mai 2020 (5V 19 322).
Sachverhalt:
A.
A.a. Der 1957 geborene A.________ war Monteur bei der B.________ AG. Am 13. Oktober 1999 stürzte er von einem Gerüst auf den Rücken. Mit Verfügung vom 19. Juni 2002 sprach ihm die IV-Stelle Luzern ab 1. Oktober 2000 eine ganze Invalidenrente zu. Im Rahmen der am 1. Januar 2012 in Kraft getretenen Schlussbestimmungen der Änderung vom 18. März 2011 des IVG (6. IV-Revision, 1. Massnahmenpaket, nachfolgend SchlBest. IVG) hob die IV-Stelle die Invalidenrente mit unangefochten in Rechtskraft erwachsener Verfügung vom 14. Juni 2013 mit dem ersten Tag des zweiten Monats nach Verfügungszustellung auf. Mit Verfügung vom 13. Juni 2013 gewährte sie dem Versicherten gemäss lit. a Abs. 2 SchlBest. IVG ab 1. August 2013 berufliche Massnahmen und gemäss lit. a Abs. 3 SchlBest. IVG die Weiterausrichtung der ganzen Invalidenrente während der Wiedereingliederung, längstens aber bis 31. Juli 2015. Am 27. Oktober 2014 verfügte die IV-Stelle den Abbruch der Wiedereingliederungsmassnahmen per 8. September 2014 und die Renteneinstellung per 30. September 2014. Diese Verfügung blieb unangefochten.
A.b. Am 2. Juni 2014 meldete sich der Versicherte bei der IV-Stelle erneut zum Leistungsbezug an. Diese holte ein Gutachten des Psychiaters Dr. med. C.________ und des Dr. med. D.________, FMH Innere Medizin und Rheumaerkrankungen, vom 8. Juni 2015 ein. In der Folge zog sie ein polydisziplinäres Gutachten der ABI, Ärztliches Begutachtungsinstitut GmbH, Basel, vom 2. Mai 2017 bei. Mit Verfügung vom 20. August 2019 verneinte die IV-Stelle einen Rentenanspruch, da der Invaliditätsgrad des Versicherten bloss 25 % betrage.
B.
Die hiergegen von A.________ erhobene Beschwerde wies das Kantonsgericht Luzern mit Entscheid vom 4. Mai 2020 ab.
C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten beantragt A.________, in Aufhebung des kantonalen Entscheides seien ihm die versicherten Leistungen zu erbringen, insbesondere eine ganze Invalidenrente, eventuell eine Teilrente. Es sei ein aktuelles Gutachten nach dem strukturierten Beweisverfahren, insbesondere auch betreffend die Frage der Ressourcen und der Aggravation, einzuholen. Es sei ein leidensbedingter Abzug von 25 % zu gewähren. Es sei von einem Valideneinkommen von Fr. 70'602.- auszugehen und das Invalideneinkommen sei neu zu bestimmen. Eventuell sei die Sache an die Vorinstanz zwecks Ergänzung des Sachverhalts und zur Neuentscheidung zurückzuweisen.
Die IV-Stelle und die Vorinstanz schliessen auf Beschwerdeabweisung. Das Bundesamt für Sozialversicherungen verzichtet auf eine Vernehmlassung.
Erwägungen:
1.
Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann eine Rechtsverletzung nach Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
|
a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
Arbeitsfähigkeit und bei der konkreten Beweiswürdigung geht es grundsätzlich um Sachverhaltsfragen (nicht publ. E. 1 des Urteils BGE 141 V 585). Frei überprüfbare Rechtsfrage ist hingegen, ob und in welchem Umfang die ärztlichen Feststellungen anhand der Indikatoren nach BGE 141 V 281 auf Arbeitsunfähigkeit schliessen lassen (BGE 141 V 281 E. 7 S. 308).
2.
Das kantonale Gericht hat die rechtlichen Grundlagen betreffend die Erwerbsunfähigkeit (Art. 7
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11 |
|
1 | Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11 |
2 | Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12 |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 8 Invalidité - 1 Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
|
1 | Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
2 | Les assurés mineurs sans activité lucrative sont réputés invalides s'ils présentent une atteinte à leur santé physique, mentale ou psychique qui provoquera probablement une incapacité de gain totale ou partielle.13 |
3 | Les assurés majeurs qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont il ne peut être exigé qu'ils en exercent une sont réputés invalides si l'atteinte les empêche d'accomplir leurs travaux habituels. L'art. 7, al. 2, est applicable par analogie.14 15 |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
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1 | L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
a | sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles; |
b | il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable; |
c | au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins. |
1bis | Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205 |
2 | ...206 |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré: |
|
1 | La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré: |
a | subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou |
b | atteint 100 %.19 |
2 | De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit. |
|
1 | L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit. |
1bis | L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35 |
2 | L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés. |
3 | Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
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a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
3.
Streitig ist, ob die vorinstanzliche Verneinung eines Rentenanspruchs des Beschwerdeführers vor Bundesrecht standhält.
3.1. Im polydisziplinären (allgemeininternistischen, psychiatrischen, rheumatologischen und neurologischen) ABI-Gutachten vom 2. Mai 2017 wurden folgende Diagnosen mit Einfluss auf die Arbeitsfähigkeit gestellt: 1. Rezidivierende depressive Störung, gegenwärtig leichte bis mittelgradige Episode (ICD-10 F 33.0, 33.1); 2. Chronisches panvertebrales Schmerzsyndrom (ICD-10 M53.8); 3. Diabetes mellitus Typ 2, sekundär insulinpflichtig mit aktuellem HbA1c-Wert von 8.3 % (ICD-10 E11.9). Ohne Einfluss auf die Arbeitsfähigkeit seien folgende Diagnosen: 1. Schmerzverarbeitungsstörung (ICD-10 F54); 2. Psoriasis vulgaris (ICD-10 L40); 3. Schweres obstruktives Schlafapnoe-Syndrom, AHI 54.3/h (ICD-10 G47.31); 4. Metabolisches Syndrom (ICD-10 E88.9); 5. Heterozygote Alpha-Thalassämie (ICD-10 D56.0); 6. Axiale Hiatushernie (ICD-10 K44.9).
3.2. Was die medizinische Seite anbelangt, erwog die Vorinstanz im Wesentlichen, das ABI-Gutachten vom 2. Mai 2017 sei beweiswertig. Gestützt hierauf sei von einer vollständigen Arbeitsunfähigkeit des Beschwerdeführers in der angestammten Tätigkeit als Brandschutzmonteur auszugehen. In einer angepassten, körperlich leichten und wechselbelastenden Tätigkeit bestehe eine 80%ige Arbeitsfähigkeit. Da die somatisch und psychisch begründeten Arbeitsunfähigkeiten ineinander aufgingen und nicht zu addieren seien, könne letztlich offen bleiben, ob die vom psychiatrischen ABI-Experten bestätigte Leistungseinschränkung von 20 % in der angestammten und in einer angepassten Tätigkeit einer rechtlichen Überprüfung überhaupt standhielte. Auch wenn das psychiatrische ABI-Teilgutachten vor BGE 143 V 409 ergangen sei, erlaube es eine hinreichende Indikatorenprüfung anhand des strukturierten Beweisverfahrens. Dieses ergebe insgesamt, dass beim Beschwerdeführer durchaus Potential an Ressourcen bestehe. Es sei - selbst ohne Berücksichtigung der Hinweise auf Aggravation und dergleichen - fraglich, ob die vom psychiatrischen Gutachter bestätigte 20%ige Arbeitsunfähigkeit aus rechtlicher Perspektive akzeptiert werden könne. Darauf brauche aber, wie
dargelegt, nicht weiter eingegangen zu werden.
4.
4.1. Der Beschwerdeführer beruft sich auf die vorinstanzlich am 30. April 2020 eingereichten Berichte der Radiologie E.________ vom 11. März 2020 und des Dr. med. F.________, Facharzt FMH für Orthopädische Chirurgie und Traumatologie des Bewegungsapparates, vom 7. April 2020. Mit diesen Berichten habe erstmals die Ursache seiner Schulterbeschwerden nachgewiesen werden können. Diese hätten bereits seit Jahren und mithin vor Erlass der strittigen Verfügung vom 20. August 2019 bestanden. Die Vorinstanz habe diese Schulterbeschwerden somit zu Unrecht nicht berücksichtigt und damit den Untersuchungsgrundsatz sowie seinen Anspruch auf rechtliches Gehör verletzt.
4.2. Zeitliche Bezugsgrösse der richterlichen Überprüfungsbefugnis bildet die Verfügung der IV-Stelle vom 20. August 2019 (BGE 143 V 409 E. 2.1 S. 411). Spätere Arztberichte sind aber in die Beurteilung miteinzubeziehen, soweit sie Rückschlüsse auf die in diesem Zeitpunkt gegebene Situation erlauben (BGE 121 V 362 E. 1b in fine S. 366; Urteil 8C 414/2019 vom 25. September 2019 E. 2.2.2). Die Vorinstanz berücksichtigte die vom Beschwerdeführer angerufenen Arztberichte vom 11. März und 7. April 2020 nicht, da sie nach der Verfügung vom 20. August 2019 datierten und sich daraus nichts Relevantes für die Zeit davor ergebe. Eine Verletzung der aus dem Anspruch auf rechtliches Gehör nach Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
4.3.
4.3.1. Die ABI-Gutachter stellten im Rahmen des diagnostizierten chronischen panvertebralen Schmerzsyndroms (ICD-10 M48.1) u.a. eine Schultergürtelprotraktion fest. Als Unterdiagnosen der Schmerzverarbeitungsstörung (ICD-10 F54) beschrieben sie u.a. ein unspezifisches Schulter-Arm-Syndrom links (ICD-10 M989.0) sowie aktenanamnestisch gemäss Arthro-MRT vom 12/2013 an der linken Schulter eine aktivierte AC-Gelenksarthrose bei jedoch intakter Rotatorenmanschettenmuskulatur. Der rheumatologische ABI-Gutachter verwies hinsichtlich des Schulterbefundes zudem auch auf eine CT sowie Knochen-SPECT und Ganzkörperskelettszintigraphie der Klinik G.________ vom 14. Juli 2014. Gestützt hierauf stellte er eine degenerativ bedingte schwächere Speicherung der AC, SC und Schultergelenke linksbetont sowie einen degenerativ bedingten erhöhten Knochenumsatz an der Schulterpartie fest.
4.3.2. Im Verwaltungsverfahren legte der Beschwerdeführer am 2. November 2017 den Bericht der Rheumatologin Dr. med. H.________ vom 25. Oktober 2017 auf. Diese stützte sich auf ihre Untersuchung des Beschwerdeführers und auf den Bericht der Klinik I.________ betreffend das MRI des Schultergürtels und der Thoraxwand vom 23. August 2017. Der Beschwerdeführer macht aber nicht geltend und es ist aus diesen Berichten auch nicht ersichtlich, dass damals ein neuer, im Zeitpunkt der ABI-Begutachtung noch nicht vorhanden gewesener, bildgebend feststellbarer Schulterbefund vorgelegen hätte. Dr. med. H.________ diagnostizierte nämlich bloss einen Verdacht auf eine Supraspinatusläsion rechts (MRI 8/17) (vgl. auch Urteil 8C 113/2020 vom 27. März 2020 E. 8.2.2.1).
Erst aus den ärztlichen Berichten vom 11. März und 7. April 2020 (vgl. E. 4.1 hiervor) ergeben sich neue, bildgebend nachweisbare Befunde, nämlich eine grosse Supraspinatussehnenruptur rechts und eine kleine, vorwiegend articularseitige Partialruptur der Supraspinatsussehne anterolateral links. Daraus geht aber nicht hervor, diese Befunde hätten bereits bei Verfügungserlass am 20. August 2019 vorgelegen. Dass nach Angaben des Beschwerdeführers die Schulterschmerzen gemäss dem Bericht vom 7. April 2020 schon seit drei Jahren vorhanden waren, bedeutet nicht, dass die erst im Jahre 2020 bildgebend festgestellten Befunde bereits damals bestanden. Dies ergibt sich aus keinem ärztlichen Bericht. Hinsichtlich dieser Beschwerden stellte die Vorinstanz somit zu Recht auf das ABI-Gutachten vom 2. Mai 2017 ab.
5.
Zu prüfen ist weiter die psychische Problematik des Beschwerdeführers.
5.1. Dieser macht geltend, gemäss den Angaben des psychiatrischen ABI-Gutachters Dr. med. J.________ habe der Untersuch mit Dolmetscher 60 Minuten gedauert. Aus dem Gutachten sei ersichtlich, dass die persönliche Befragung kurz gewesen sein müsse und keine weitergehenden Fragen oder Tests betreffend den Alltag und den Umgang mit den Ressourcen gestellt bzw. durchgeführt worden seien. Entsprechend seien auch die Schlussfolgerungen unvollständig sowie undifferenziert und es sei nicht sachlogisch pauschal auf Aggravation geschlossen worden.
5.2. Dem ist entgegenzuhalten, dass einem testmässigen Erfassen der Psychopathologien im Rahmen der psychiatrischen Exploration generell nur ergänzende Funktion beigemessen werden kann, während die klinische Untersuchung mit Anamneseerhebung, Symptomerfassung und Verhaltensbeobachtung ausschlaggebend ist. Es liegt im Ermessen der medizinischen Fachperson, ob sie psychologische Tests durchführen will. Da den Experten bei der Wahl der Methode zur Erstellung des Gutachtens ein grosses Ermessen zukommt, kann nicht gesagt werden, dass nur die Anwendung einer Methode zulässig ist. Massgebend ist vielmehr, dass das Gutachten gesamthaft gesehen nachvollziehbar begründet und überzeugend ist. Dauer der Untersuchung und Anzahl der psychiatrischen Explorationen unterliegen grundsätzlich ebenfalls der Fachkenntnis und dem Ermessensspielraum des Experten (vgl. Urteil 8C 466/2017 vom 9. November 2017 E. 5.1 mit Hinweisen). Inwiefern das psychiatrische ABI-Gutachten des Dr. med. J.________ in dieser Hinsicht mangelhaft sein soll, vermag der Beschwerdeführer nicht überzeugend darzutun.
6.
Der Beschwerdeführer bringt weiter vor, im Rahmen des Gutachtens des Psychiaters Dr. med. C.________ vom 8. Juni 2015 seien umfangreiche Befragungen und Tests durchgeführt worden, die auf eine Depression schwersten Grades hingewiesen hätten. Der psychiatrische ABI-Gutachter Dr. med. J.________ habe diese Tests nicht erwähnt und nicht diskutiert.
Dieser Einwand ist nicht stichhaltig. Denn das Gutachten des Dr. med. C.________ vom 8. Juni 2015 wurde vom Regionalen Ärztlichen Dienst der IV-Stelle als nicht rechtsgenüglich erachtet, weshalb sie das ABI-Gutachten in Auftrag gab. Hiervon abgesehen war dem ABI-Gutachter Dr. med. J.________ das Gutachten des Psychiaters Dr. med. C.________ vom 8. Juni 2015 bekannt. Dieser hatte zudem nicht eine schwerste Depression, sondern eine mittelgradige depressive Episode diagnostiziert.
7.
7.1. Der Beschwerdeführer beruft sich weiter auf diverse Berichte von ihn behandelnden Arztpersonen. Er bringt vor, sie beurteilten seine Schmerzen und sein psychisches Leiden wesentlich schwerer als die Gutachter, die weder die Schmerzen noch deren Verarbeitung berücksichtigt hätten und auf die Frage der Ressourcen nicht eingegangen seien.
7.2. Die unterschiedliche Natur von Behandlungsauftrag der therapeutisch tätigen (Fach-) Person einerseits und Begutachtungsauftrag des amtlich bestellten fachmedizinischen Experten anderseits (BGE 124 I 170 E. 4 S. 175) lässt es nicht zu, ein Administrativ- oder Gerichtsgutachten stets in Frage zu stellen und zum Anlass weiterer Abklärungen zu nehmen, wenn die behandelnden Arztpersonen bzw. Therapiekräfte zu anderslautenden Einschätzungen gelangen. Vorbehalten bleiben Fälle, in denen sich eine abweichende Beurteilung aufdrängt, weil diese wichtige - und nicht rein subjektiver Interpretation entspringende - Aspekte benennen, die bei der Begutachtung unerkannt oder ungewürdigt geblieben sind (Urteil 8C 313/2020 vom 12. August 2020 E. 8.2.3). Solche Aspekte legt der Beschwerdeführer nicht substanziiert dar und sind auch nicht ersichtlich. Entgegen seinem Vorbringen befasste sich der ABI-Gutachter Dr. med. J.________ insbesondere auch mit seinen Ressourcen.
Soweit sich der Beschwerdeführer u.a. auf den nach dem ABI-Gutachten vom 2. Mai 2017 erstellten Bericht der behandelnden Psychiaterin Dr. med. K.________, Institut L.________, vom 21. Dezember 2017 (recte 2018) beruft, ist dies unbehelflich. Die Vorinstanz stellte diesbezüglich nämlich richtig fest, dass der Facharzt für Psychiatrie und Psychotherapie M.________, Regionaler Ärztlicher Dienst (RAD) der IV-Stelle, mit Stellungnahme vom 15. Februar 2019 unter Bezugnahme auf diesen Bericht eine Verschlechterung des Gesundheitszustandes des Beschwerdeführers seit dem ABI-Gutachten verneinte. Der RAD-Arzt befürwortete weiterhin ein Abstellen auf dieses Gutachten (zur Aufgabe des RAD, die funktionelle Leistungsfähigkeit der versicherten Person zu beurteilen vgl. Art. 59 Abs. 2
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 59 - 1 Les offices AI s'organisent de manière à garantir que les tâches énumérées à l'art. 57 seront exécutées avec compétence et efficacité dans le respect des dispositions légales et des directives de la Confédération.334 |
|
1 | Les offices AI s'organisent de manière à garantir que les tâches énumérées à l'art. 57 seront exécutées avec compétence et efficacité dans le respect des dispositions légales et des directives de la Confédération.334 |
2 | ...335 |
2bis | ...336 |
3 | Les offices AI peuvent faire appel à des spécialistes de l'aide privée aux invalides, à des experts, aux centres d'observation médicale et professionnelle, à des services spécialisés dans l'intégration des étrangers, à des services d'interprétariat communautaire ainsi qu'aux organes d'autres assurances sociales.337 |
4 | Les offices AI peuvent conclure avec d'autres assureurs et avec les organes de l'aide sociale publique des conventions portant sur le recours aux services médicaux régionaux.338 |
5 | Les offices AI peuvent faire appel à des spécialistes pour lutter contre la perception indue de prestations.339 |
6 | Les offices AI tiennent compte, dans le cadre de leurs prestations, des spécificités linguistiques, sociales et culturelles de l'assuré, sans que ce dernier puisse en déduire un droit à une prestation particulière.340 |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 59 - 1 Les offices AI s'organisent de manière à garantir que les tâches énumérées à l'art. 57 seront exécutées avec compétence et efficacité dans le respect des dispositions légales et des directives de la Confédération.334 |
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1 | Les offices AI s'organisent de manière à garantir que les tâches énumérées à l'art. 57 seront exécutées avec compétence et efficacité dans le respect des dispositions légales et des directives de la Confédération.334 |
2 | ...335 |
2bis | ...336 |
3 | Les offices AI peuvent faire appel à des spécialistes de l'aide privée aux invalides, à des experts, aux centres d'observation médicale et professionnelle, à des services spécialisés dans l'intégration des étrangers, à des services d'interprétariat communautaire ainsi qu'aux organes d'autres assurances sociales.337 |
4 | Les offices AI peuvent conclure avec d'autres assureurs et avec les organes de l'aide sociale publique des conventions portant sur le recours aux services médicaux régionaux.338 |
5 | Les offices AI peuvent faire appel à des spécialistes pour lutter contre la perception indue de prestations.339 |
6 | Les offices AI tiennent compte, dans le cadre de leurs prestations, des spécificités linguistiques, sociales et culturelles de l'assuré, sans que ce dernier puisse en déduire un droit à une prestation particulière.340 |
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI) RAI Art. 49 Tâches - 1 Les services médicaux régionaux évaluent les conditions médicales du droit aux prestations. Ils sont libres dans le choix de la méthode d'examen appropriée, dans le cadre de leurs compétences médicales et des directives spécialisées de portée générale de l'OFAS. |
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1 | Les services médicaux régionaux évaluent les conditions médicales du droit aux prestations. Ils sont libres dans le choix de la méthode d'examen appropriée, dans le cadre de leurs compétences médicales et des directives spécialisées de portée générale de l'OFAS. |
1bis | Lors de la détermination des capacités fonctionnelles (art. 54a, al. 3, LAI), la capacité de travail attestée médicalement pour l'activité exercée jusque-là et pour les activités adaptées est évaluée et justifiée en tenant compte, qualitativement et quantitativement, de toutes les ressources et limitations physiques, mentales ou psychiques.268 |
2 | Les services médicaux régionaux peuvent au besoin procéder eux-mêmes à des examens médicaux sur la personne des assurés. Ils consignent les résultats de ces examens par écrit. |
3 | Les services médicaux régionaux se tiennent à la disposition des offices AI de leur région pour les conseiller. |
8.
Der Beschwerdeführer beruft sich zudem auf seine Arbeitsversuche bei der Stiftung N.________ und bei der Firma O.________, wo er die Arbeitsleistung wegen starken Schmerzen nicht einmal auf 60 % habe steigern können. Es sei zu wesentlichen Arbeitsausfällen gekommen, obwohl er sich bemüht habe, das Programm durchzuziehen.
Die Vorinstanz stellte richtig fest, dass der psychiatrische ABI-Gutachter Dr. med. J.________ die Auswirkungen des Arbeitstrainings des Versicherten berücksichtigt hat (zum Zusammenwirken zwischen der Ärzteschaft und der Berufsberatung bei der Beurteilung der Leistungsfähigkeit der versicherten Person vgl. BGE 140 V 193 E. 3.2 S. 196; Urteil 8C 30/2020 vom 6. Mai 2020 E. 5.2.1). Hiergegen bringt der Beschwerdeführer keine stichhaltigen Einwände vor.
9.
9.1. Der Beschwerdeführer rügt weiter, das psychiatrische ABI-Gutachten des Dr. med. J.________ befasse sich nur rudimentär, nicht ausführlich und nicht schlüssig mit den Indikatoren nach BGE 141 V 281. Die Indikatoren müssten von einer Fachperson gesamthaft ergänzt werden. Es könne nicht genügen, wenn das Gericht den Gutachter nach eigenem Gutdünken ersetze.
9.2. Die Rechtsanwender prüfen die medizinischen Angaben frei insbesondere daraufhin, ob die Ärzte sich an die massgebenden normativen Rahmenbedingungen gehalten haben und ob und in welchem Umfang die ärztlichen Feststellungen anhand der rechtserheblichen Indikatoren auf Arbeitsunfähigkeit schliessen lassen. Im Rahmen der Beweiswürdigung obliegt es den Rechtsanwendern zu überprüfen, ob in concreto ausschliesslich funktionelle Ausfälle bei der medizinischen Einschätzung berücksichtigt wurden und ob die Zumutbarkeitsbeurteilung auf einer objektivierten Grundlage erfolgte. Es soll keine losgelöste juristische Parallelüberprüfung nach Massgabe des strukturierten Beweisverfahrens stattfinden, sondern im Rahmen der Beweiswürdigung überprüft werden, ob die funktionellen Auswirkungen medizinisch anhand der Indikatoren schlüssig und widerspruchsfrei festgestellt wurden und somit den normativen Vorgaben Rechnung tragen (BGE 144 V 50 E. 4.3 S. 54; Urteil 8C 465/2019 vom 12. November 2019 E. 7.3).
Der Vorinstanz ist beizupflichten, dass das ABI-Gutachten vom 2. Mai 2017 eine schlüssige Beurteilung der Arbeitsfähigkeit des Beschwerdeführers im Lichte der massgeblichen Indikatoren nach BGE 141 V 281 erlaubt. Sie hat das ABI-Gutachten in diesem Sinne überprüft. Hinsichtlich der Indikatorenprüfung gibt der Beschwerdeführer insgesamt die eigene Sichtweise wieder, wie die medizinischen Akten zu würdigen und welche rechtlichen Schlüsse daraus zu ziehen seien. Dies genügt nicht, um den angefochtenen Entscheid im Ergebnis in tatsächlicher Hinsicht als offensichtlich unrichtig oder anderweitig als bundesrechtswidrig erscheinen zu lassen (vgl. nicht publ. E. 6.3 des Urteils BGE 141 V 25, veröffentlicht in: SVR 2015 KV Nr. 8 S. 29, 9C 535/2014; Urteil 8C 465/2019 vom 12. November 2019 E. 8.2.4).
10.
10.1. Strittig ist weiter die beruflich-erwerbliche Seite der Invaliditätsbemessung (Art. 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré. |
10.2. Das vom Beschwerdeführer im Gesundheitsfall erzielbare Valideneinkommen setzte die Vorinstanz auf jährlich Fr. 64'255.55 fest. Dieses sei um rund 6.28 % tiefer als branchenüblich, weshalb das trotz Gesundheitsschaden erzielbare Invalideneinkommen (hierzu siehe E. 11 hiernach) nach Abzug der 5%igen Toleranzgrenze im Umfang von 1,28 % zu parallelisieren bzw. herabzusetzen sei (vgl. BGE 141 V 1, 135 V 58, 297).
Das pauschale Vorbringen des Beschwerdeführers, im Vorbescheid vom 26. Juni 2019 habe die IV-Stelle ein Valideneinkommen von Fr. 70'602.- (recte: Fr. 70'620.-) veranschlagt, vermag die vorinstanzlichen Feststellungen weder als offensichtlich unrichtig noch anderweitig als bundesrechtswidrig erscheinen zu lassen.
11.
11.1. Strittig ist weiter das vom Beschwerdeführer trotz Gesundheitsschaden erzielbare Invalideneinkommen. Hat die versicherte Person - wie hier - nach Eintritt des Gesundheitsschadens keine oder jedenfalls keine ihr an sich zumutbare neue Erwerbstätigkeit aufgenommen, so können nach der Rechtsprechung die Tabellenlöhne gemäss der vom Bundesamt für Statistik herausgegebenen Schweizerischen Lohnstrukturerhebung (LSE) herangezogen werden (BGE 143 V 295 E. 2.2 S. 296). Praxisgemäss können persönliche und berufliche Merkmale der versicherten Person wie Alter, Dauer der Betriebszugehörigkeit, Nationalität oder Aufenthaltskategorie sowie Beschäftigungsgrad einen auf höchstens 25 % begrenzten Leidensabzug vom LSE-Tabellenlohn rechtfertigen, soweit anzunehmen ist, dass die trotz des Gesundheitsschadens verbleibende Leistungsfähigkeit infolge eines oder mehrerer dieser Merkmale auf dem ausgeglichenen Arbeitsmarkt nur mit unterdurchschnittlichem Einkommen verwertet werden kann (BGE 142 V 178 E. 2.5.7 i.f. S. 189, 135 V 297 E. 5.2 S. 301). Ob ein solcher Abzug vorzunehmen ist, ist eine vom Bundesgericht frei überprüfbare Rechtsfrage (BGE 146 V 16 E. 4.2 S. 20; Urteil 8C 139/2020 vom 30. Juli 2020 E. 6.1 und E. 6.3).
11.2.
11.2.1. Die Vorinstanz ermittelte das Invalideneinkommen ausgehend von der LSE 2014, Tabelle TA1, Total, Männer, Kompetenzniveau 1 (einfache Tätigkeiten körperlicher oder handwerklicher Art). Der entsprechende Lohn habe bei einer wöchentlichen Arbeitszeit von 40 Stunden monatlich Fr. 5312.- betragen. Unter Berücksichtigung der betriebsüblichen wöchentlichen Arbeitszeit von 41.7 Stunden resultiere ein Jahreseinkommen von Fr. 66'453.10. Nach Abzug der Parallelisierung von 1.28 % (E. 10.2 hiervor) und unter Berücksichtigung des zumutbaren Arbeitspensums von 80 % betrage das Invalideneinkommen Fr. 52'482.-. Der Vergleich dieses Invalideneinkommens mit dem Valideneinkommen von Fr. 64'255.55 ergebe einen Invaliditätsgrad von gerundet 18 %. Letztlich könne offen bleiben, ob ein Leidensabzug vom Invalideneinkommen zu gewähren sei. Denn selbst mit einem leidensbedingten Abzug von 25 % resultiere ein rentenausschliessender Invaliditätsgrad von gerundet 39 %.
11.2.2.
11.2.2.1. Der Beschwerdeführer bringt vor, ein Lohn von Fr. 5312.- sei aufgrund seiner Fähigkeiten und sprachlichen Kompetenz nicht erreichbar, weshalb auf den bei O.________ erzielten Hilfsarbeiterlohn abzustellen sei. Als gesunder Arbeiter habe er lediglich Fr. 4100.- verdient. Beim Invalideneinkommen könne sicher kein höherer Wert als beim Valideneinkommen eingesetzt werden. Dem ist entgegenzuhalten, dass es durchaus Konstellationen gibt, in welchen das Invalideneinkommen höher ist als das Valideneinkommen. Darin liegt - wie auch vorliegend - keine Verletzung von Bundesrecht und insbesondere keine Willkür (vgl. Urteil 9C 674/2019 vom 9. Dezember 2019 E. 3.4.4 mit Hinweisen). Zudem beinhaltet der ausgeglichene Arbeitsmarkt im LSE-Kompetenzniveau 1 eine Vielzahl von leichten Tätigkeiten, die den gesundheitlichen Einschränkungen des Beschwerdeführers Rechnung tragen. Dabei fallen nicht nur rein handwerkliche, sondern auch leichte körperliche Tätigkeiten, die keine besonderen sprachlichen oder schulischen Kenntnisse erfordern, in Betracht (Urteil 8C 549/2019 vom 26. November 2019 E. 7.3).
11.2.2.2. Weiter wendet der Beschwerdeführer ein, es könne nicht sein, dass zu seinem Nachteil eine Anrechnung der Toleranzgrenze von 5 % beim Invalideneinkommen zur Negierung des Leidensabzugs führe. Damit werde das Institut des Leidensabzugs ausgehöhlt und unterwandert. Eine Toleranz könnte höchstens dahingehend berücksichtigt werden, dass derselbe Prozentsatz vom zunächst zu bestimmenden Leidensabzug abzuziehen sei. Es werde daher eine Ungleichbehandlung und eine Verletzung des Anspruchs auf ein faires Verfahren gerügt.
Die Vorinstanz hielt sich bezüglich der Gewährung des Parallelisierungsabzugs beim Invalideneinkommen an die Vorgaben der Rechtsprechung (vgl. BGE 141 V 1, 135 V 297). Gründe für eine Praxisänderung zeigt der Beschwerdeführer nicht auf und sind nicht ersichtlich (hierzu vgl. BGE 145 V 304 E. 4.4 S. 309). Mit der Argumentation der Vorinstanz, selbst bei einem Abzug von 25 % resultiere kein rentenbegründender Invaliditätsgrad, setzt sich der Beschwerdeführer nicht auseinander, weshalb es auch diesbezüglich sein Bewenden hat.
11.2.2.3. Insgesamt vermag der Beschwerdeführer nicht aufzuzeigen, inwiefern die vorinstanzlichen Feststellungen hinsichtlich des Invalideneinkommens offensichtlich unrichtig oder bundesrechtswidrig sein sollen.
12.
Da von weiteren Abklärungen keine entscheidrelevanten Ergebnisse zu erwarten sind, verzichtete die Vorinstanz darauf zu Recht (antizipierte Beweiswürdigung; BGE 144 V 361 E. 6.5 S. 368 f., 136 I 229 E. 5.3 S. 236). Der angefochtene Entscheid ist somit zu bestätigen.
13.
Der unterliegende Beschwerdeführer trägt die Gerichtskosten (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Kantonsgericht Luzern und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 15. Oktober 2020
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Maillard
Der Gerichtsschreiber: Jancar