Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
9C 680/2014
{T 0/2}
Urteil vom 15. Mai 2015
II. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichterin Glanzmann, Präsidentin,
Bundesrichter Parrino,
nebenamtlicher Bundesrichter Weber,
Gerichtsschreiber Furrer.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Claude Wyssmann,
Beschwerdeführer,
gegen
IV-Stelle Bern,
Scheibenstrasse 70, 3014 Bern,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Invalidenversicherung (Revision; Rückerstattung),
Beschwerde gegen den Entscheid des Verwaltungsgerichts des Kantons Bern
vom 7. August 2014.
Sachverhalt:
A.
Der 1952 geborene A.________, seit 17. Mai 1984 bei der B.________ AG als Montagehefter bzw. Allrounder tätig gewesen, meldete sich am 25. September 2009 bei der Invalidenversicherung (IV) zum Leistungsbezug an. Die IV-Stelle Bern (fortan: IV-Stelle) führte erwerbliche und medizinische Abklärungen durch, namentlich gab sie eine psychiatrische Begutachtung in Auftrag (Expertise des Dr. med. C.________, Facharzt für Psychiatrie und Psychotherapie FMH, vom 26. Januar 2011) und liess zur Feststellung der Hilfsbedürftigkeit eine Abklärung vor Ort durchführen (Bericht vom 12. Juli 2011). Gestützt darauf sprach sie A.________ mit Verfügung vom 16. September 2011 eine ganze Invalidenrente mit Wirkung ab 1. August 2010 (Invaliditätsgrad von 100 %) und mit Verfügung vom 29. September 2011 eine Entschädigung für Hilflosigkeit leichten Grades ab 1. Januar 2011 und eine solche für Hilflosigkeit mittleren Grades ab 1. April 2011 zu.
Aufgrund eines anonymen Hinweises, wonach sich A.________ im Alltag ohne sichtbare Einschränkungen bewege, ständig unterwegs sei und Auto fahre, veranlasste die IV-Stelle eine Beweissicherung vor Ort mittels Observierung und Videoaufzeichnung an mehreren Tagen im Zeitraum von Januar bis September 2012. Sodann liess sie A.________ einen Revisionsfragebogen ausfüllen, führte ein Gespräch mit ihm (Protokoll vom 19. Juli 2012) und liess ihn durch den Regionalen Ärztlichen Dienst neurologisch, neuropsychologisch und psychiatrisch untersuchen (Berichte vom 12. und 26. Februar sowie 21. März 2013). Nach Stellungnahme des RAD zu den Observationsergebnissen (Bericht vom 29. April 2013) und einem weiteren Gespräch mit A.________ vom 1. Juli 2013 sistierte die IV-Stelle die Hilflosenentschädigung und die Invalidenrente per sofort (Verfügungen vom 8. und 9. Juli 2013). Nach durchgeführtem Vorbescheidverfahren ordnete sie mit Verfügungen vom 20. September und 23. Oktober 2013 die Aufhebung der Hilflosenentschädigung und der Invalidenrente rückwirkend per 31. Dezember 2011 an. Zudem verpflichtete sie A.________ am 31. Oktober 2013 zur Rückerstattung eines Betrages von Fr. 54'672.- für die seit Januar 2012 unrechtmässig bezogenen Leistungen
(Invalidenrente und Hilflosenentschädigung).
B.
Gegen die Verfügungen vom 20. September, 23. und 31. Oktober 2013 erhob A.________ Beschwerde beim Verwaltungsgericht des Kantons Bern. Dieses vereinigte die Beschwerdeverfahren und wies die Beschwerden mit Entscheid vom 7. August 2014 ab.
C.
Hiegegen erhebt A.________ Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten mit dem Antrag, der angefochtene Entscheid sowie die Verfügungen der IV-Stelle vom 20. September, 23. und 31. Oktober 2013 seien aufzuheben und die Sache sei zur Durchführung einer öffentlichen Verhandlung nach Art. 6 Ziff. 1
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
|
1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
Während die Beschwerdegegnerin auf Abweisung der Beschwerde schliesst, verzichtet das Bundesamt für Sozialversicherungen auf eine Vernehmlassung. Am 11. Dezember 2014 lässt sich A.________ erneut vernehmen und reicht weitere Unterlagen zu den Akten.
Erwägungen:
1.
Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
Diese Grundsätze gelten auch in Bezug auf die konkrete Beweiswürdigung (Urteil 9C 535/2014 vom 15. Januar 2015 E. 1.1 mit Hinweisen). Dem kantonalen Versicherungsgericht steht als Sachgericht im Bereich der Beweiswürdigung ein erheblicher Ermessensspielraum zu (vgl. BGE 120 Ia 31 E. 4b S. 40). Das Bundesgericht greift auf Beschwerde hin nur ein, wenn das Sachgericht diesen missbraucht, insbesondere offensichtlich unhaltbare Schlüsse zieht, erhebliche Beweise übersieht oder solche willkürlich ausser Acht lässt (BGE 132 III 209 E. 2.1 S. 211; zum Begriff der Willkür: BGE 140 III 16 E. 2.1 S. 18 f. mit Hinweisen). Inwiefern das kantonale Gericht sein Ermessen missbraucht haben soll, ist in der Beschwerde klar und detailliert aufzuzeigen (BGE 130 I 258 E. 1.3 S. 261). Auf ungenügend begründete Rügen oder bloss allgemein gehaltene appellatorische Kritik am angefochtenen Entscheid tritt das Bundesgericht nicht ein (BGE 134 II 244 E. 2.2 S. 246 mit Hinweis).
2.
2.1. Der Beschwerdeführer hatte im vorinstanzlichen Verfahren betreffend die Aufhebung der Invalidenrente und die Rückerstattung von IV-Leistungen die Durchführung einer (mündlichen) öffentlichen Verhandlung verlangt. Weil seinem Antrag nicht entsprochen worden ist, sieht er Art. 6 Ziff. 1
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
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1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
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1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
Gemäss Art. 6 Ziff. 1
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
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1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
2.2. Es ist unbestritten und aufgrund der Akten erstellt, dass der Beschwerdeführer weder in der Beschwerde vom 22. November 2013 noch in der nach zweimaliger Fristerstreckung eingereichten Replik vom 11. April 2014 die Durchführung einer öffentlichen Verhandlung nach Art. 6 Ziff. 1
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
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1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
Eingedenk des Umstands, dass das kantonale Gericht den Rechtsvertreter des Beschwerdeführers am 28. Mai 2014 gleichzeitig mit der Zustellung der Duplik zur Einreichung einer Kostennote aufforderte, war es offenkundig und für den (stets) anwaltlich vertretenen Beschwerdeführer ohne Weiteres erkennbar, dass das Gericht den ordentlichen Schriftenwechsel (implizite) zu schliessen beabsichtigte und - vorbehältlich weiterer Eingaben der Parteien - in Kürze zur Urteilsfindung schreiten würde. Der Beschwerdeführer hätte daher, sofern er von seinem Replikrecht (zur Duplik) hätte Gebrauch machen wollen, dies nach Treu und Glauben umgehend tun müssen (BGE 138 III 252 E. 2.2 S. 255). Nach 20 Tagen nach Mitteilung einer Eingabe darf praxisgemäss vom Verzicht auf das Replikrecht ausgegangen werden (vgl. Urteil 9C 193/2013 vom 22. Juli 2013 E. 2.1.2 i.f. mit Hinweisen). Der Beschwerdeführer liess sich in dieser Frist nicht zur Duplik vernehmen. Sodann reichte er mit Eingabe vom 16. Juli 2014 lediglich ein weiteres Beweismittel zu den Akten, ohne sich zur Duplik zu äussern. Selbst wenn dem Beschwerdeführer vorliegend mehr als 20 Tage zugebilligt würden, um von seinem Replikrecht Gebrauch zu machen, wäre doch allerspätestens am 16. Juli 2014 vom
Verzicht auf das Replikrecht und damit einhergehend vom Ende des ordentlichen Schriftenwechsels auszugehen. Der erst danach gestellte Antrag auf eine öffentliche Verhandlung erfolgte im Lichte der in BGE 134 I 331 E. 2.3.2 S. 334 dargelegten Praxis klar verspätet.
Entgegen der Beschwerde kann keine Rede davon sein, er habe "nach Treu und Glauben" davon ausgehen dürfen, dass dem am 24. Juli 2014 eingereichten Gesuch um Durchführung einer öffentlichen Verhandlung stattgegeben würde. Der (aktuelle) Rechtsvertreter hat sich noch vor der Mandatsannahme beim Gerichtssekretariat danach erkundigt, ob der Schriftenwechsel bereits geschlossen sei, was von Seiten des Gerichts explizit bejaht wurde (Aktennotiz vom 21. Juli 2014). Folglich war von vornherein offenkundig, dass einem solchen Antrag kein Erfolg beschieden sein würde. Dass das Gericht den Schriftenwechsel nicht förmlich geschlossen hatte, ändert daran nichts; immerhin wurde am 28. Mai 2014 die Kostennote einverlangt. Im Übrigen können die Verfahrensakten bereits deshalb nicht als Vertrauensgrundlage herangezogen werden, weil diese dem neuen Rechtsvertreter zum Zeitpunkt des Gesuches gar nicht bzw. nicht vollständig vorlagen (vgl. Schreiben des Beschwerdeführers vom 24. Juli 2014 S. 1; Aktennotiz vom 8. August 2014).
Zusammenfassend erfolgte der Antrag auf eine öffentliche Verhandlung verspätet, womit offen bleiben kann, ob der in Kenntnis des weit fortgeschrittenen Verfahrensstands gestellte Antrag zugleich als schikanös bzw. dem Grundsatz der Einfachheit und Raschheit des Verfahrens (Art. 61 lit. a
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
|
a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
2.3. Da der Beschwerdeführer bei der Vorinstanz nicht rechtzeitig um Durchführung einer öffentlichen Verhandlung nach Art. 6 Ziff. 1
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
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1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
3.
Neue Tatsachen und Beweismittel dürfen nur soweit vorgebracht werden, als erst der Entscheid der Vorinstanz dazu Anlass gibt (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
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1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
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1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
Der Beschwerdeführer legt am 11. Dezember 2014 vier medizinische Berichte vom 1., 2. und 29. Oktober 2014 auf. Diese haben unbeachtlich zu bleiben: Die Beweismitteleingabe erfolgte erst lange nach Ablauf der gesetzlichen Beschwerdefrist (Art. 100 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
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1 | Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
2 | Le délai de recours est de dix jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
b | les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale; |
c | les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93. |
d | les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95. |
3 | Le délai de recours est de cinq jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change; |
b | les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales. |
4 | Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national. |
5 | En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
6 | ...96 |
7 | Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 117 Procédure de recours - Les art. 90 à 94, 99, 100, 102, 103, al. 1 et 3, 104, 106, al. 2, et 107 à 112 s'appliquent par analogie à la procédure du recours constitutionnel. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
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1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
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1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
Gesundheitszustand im Zeitpunkt des Verfügungserlasses zu geben, so dass auch aus diesem Grund deren Berücksichtigung im vorliegenden Verfahren zu unterbleiben hat.
4.
Das kantonale Gericht hat die für die Beurteilung der Streitsache massgeblichen materiell- und beweisrechtlichen Grundlagen gemäss Gesetz und Rechtsprechung zutreffend dargelegt. Dies betrifft namentlich die Bestimmungen und Grundsätze zum Begriff der Invalidität (Art. 8
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 8 Invalidité - 1 Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
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1 | Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
2 | Les assurés mineurs sans activité lucrative sont réputés invalides s'ils présentent une atteinte à leur santé physique, mentale ou psychique qui provoquera probablement une incapacité de gain totale ou partielle.13 |
3 | Les assurés majeurs qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont il ne peut être exigé qu'ils en exercent une sont réputés invalides si l'atteinte les empêche d'accomplir leurs travaux habituels. L'art. 7, al. 2, est applicable par analogie.14 15 |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 4 Invalidité - 1 L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45 |
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1 | L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45 |
2 | L'invalidité est réputée survenue dès qu'elle est, par sa nature et sa gravité, propre à ouvrir droit aux prestations entrant en considération.46 |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
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1 | L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
a | sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles; |
b | il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable; |
c | au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins. |
1bis | Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205 |
2 | ...206 |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré: |
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1 | La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré: |
a | subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou |
b | atteint 100 %.19 |
2 | De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement. |
5.
Die Vorinstanz erwog, die Rentenzusprache habe auf dem Gutachten des Dr. med. C.________ vom 26. Januar 2011 basiert. In diesem sei ein ängstlicher, zu Agitiertheit und Affektinkontinenz neigender Regressionszustand bei starkem Verdacht auf eine mittelgradige vaskuläre Demenz mit gemischter Symptomatik bei Status nach Myocardinfarkt bei koronarer Herzkrankheit und Mehretagen-peripherer arterieller Verschlusskrankheit und einem Verdacht auf eine beginnende organische Persönlichkeitsstörung diagnostiziert und eine vollständige Arbeitsunfähigkeit aus psychiatrischer Sicht für sämtliche Tätigkeiten attestiert worden. In den in der Folge durchgeführten Untersuchungen des RAD seien das stark divergierende Verhalten während der Untersuchung (Bericht der Dr. med. D.________, Fachärztin für Neurologie FMH, vom 12. Februar 2013), neuropsychologisch unplausible und logisch inkonsistente Symptomproduktion ohne eigenen Krankheitswert bei eindeutigem und klarem Indiz für eine willkürliche Unterdrückung der richtigen Antworten (Bericht des Dr. phil. E.________, Fachpsychologe für Neuropsychologie FSP, vom 26. Februar 2013) und ein insgesamt inkonsistentes Zustandsbild sowie Anhaltspunkte für Aggravation bzw. Simulation (Bericht der Dr. med.
F.________, Fachärztin für Psychiatrie und Psychotherapie FMH, vom 21. März 2013) festgestellt worden. Bemerkenswert sei ferner, dass sich der Hausarzt im Dezember 2012 bezüglich Fahrtauglichkeit eindeutig positiv geäussert und den Beschwerdeführer als psychisch unauffällig, aufgestellt und ohne Zeichen von Demenz beschrieben habe, womit der Eindruck entstehe, der Beschwerdeführer mache je nach Kontext der Untersuchung unterschiedliche Angaben. Nach Sichtung der Observationsergebnisse sei Dr. med. F.________ zum Schluss gelangt, der Beschwerdeführer verhalte sich ausserhalb des versicherungsmedizinischen Kontexts offensichtlich anders, wobei die Diskrepanzen im Verhalten nicht mit einer psychischen Erkrankung erklärbar seien. Vielmehr verstärkten sie die Anhaltspunkte für Aggravation bzw. Simulation. Eine psychiatrische Diagnose mit Auswirkung auf die Arbeitsfähigkeit könne nicht gestellt werden. Damit sei ein seit der Rentenzusprache deutlich verbes-serter Gesundheitszustand erstellt und ein Revisionsgrund ausgewiesen. Gestützt auf die beweiskräftigen RAD-Untersuchungsberichte sei davon auszugehen, dass spätestens ab Januar 2012 die Wiederaufnahme einer angepassten Tätigkeit vollschichtig zumutbar gewesen sei. Gemäss dem
zutreffenden Einkommensvergleich der IV-Stelle resultiere ein Invaliditätsgrad von 17 %. Weil der Beschwerdeführer die Gesundheitsveränderung nicht gemeldet habe und ihm mindestens Fahrlässigkeit vorzuwerfen sei, liege eine schuldhafte Meldepflichtverletzung vor, womit die Rentenleistung zu Recht rückwirkend per 31. Dezember 2011 aufgehoben worden sei. Dasselbe gelte betreffend die Hilflosenentschädigung. Schliesslich werde die Rückerstattungsverfügung vom 22. November 2013 weder in masslicher Hinsicht noch anderweitig (substanziiert) bestritten. Demzufolge seien die Beschwerden abzuweisen.
6.
6.1. Der Beschwerdeführer stellt eine Verbesserung des Gesundheitszustands in Frage. Er vermag indes nichts vorzubringen, was den Schluss von Beschwerdegegnerin und Vorinstanz, seit der Leistungszusprache habe sich die gesundheitliche Situation deutlich verbessert, im Ergebnis, worauf es einzig ankommt (BGE 135 V 2 E. 1.3 S. 4; Urteil 9C 346/2012 vom 31. Mai 2012 E. 1), als offensichtlich unrichtig oder sonstwie bundesrechtswidrig erscheinen liesse (E. 1 hievor) :
Dr. med. C.________ hatte im Gutachten vom 26. Januar 2011 ausgeführt, die mit der mittelgradigen vaskulären Demenz mit gemischter Symptomatik einhergehenden kognitiven und Lebensbewältigungsdefizite würden eine ernste Behinderung für ein unabhängiges Leben darstellen. Der Beschwerdeführer könne nicht mehr ohne Fremdhilfe im täglichen Leben auskommen, er sei voraussichtlich dauernd auf Unterstützung und Hilfe durch Dritte bei der Alltagsbewältigung angewiesen und die Arbeitsfähigkeit für alle Tätigkeiten betrage 0 %. Weiter wurde im Abklärungsbericht Hilflosenentschädigung vom 12. Juli 2011 u.a. festgehalten, der Beschwerdeführer bedürfe der dauernden persönlichen Überwachung, da er sein Handeln nicht mehr beurteilen könne. So lasse er unbeobachtet den Kochherd oder die Waschmaschine an, auch müsse tagsüber die Haustüre abgeschlossen werden, damit er nicht weglaufe. Für kurze Strecken ausser Haus nehme die (ehemalige) Ehefrau ihn mit oder organisiere Freunde oder ein Patenkind, welche den Beschwerdeführer überwachten. Auch sei er auf lebenspraktische Begleitung angewiesen. Der Beschwerdeführer kommuniziere nur noch mit seiner Ex-Ehefrau. Er benötige Hilfe, um seinen Tag zu strukturieren. An guten Tagen könne er mit "Schritt und
Schritt-Anleitung" bei einfachen Tätigkeiten wie Waschmaschine einfüllen mithelfen.
Demgegenüber gelangte Dr. med. F.________ im Untersuchungsbericht vom 21. März 2013 zum Schluss, bei inkonsistenten Befunden könne aus psychiatrischer Sicht keine Diagnose mit Einschränkung auf die Arbeitsfähigkeit gestellt werden. Als Diagnose ohne Einschränkung auf die Arbeitsfähigkeit liege mit einer sehr niedrigen Wahrscheinlichkeit eine dissoziative Störung vor. Indes bestünden zahlreiche grobe Diskrepanzen, weshalb differenzialdiagnostisch eine Aggravation oder Simulation in Betracht gezogen werden müsse. Sodann konnte der Beschwerdeführer im Rahmen der Observation, deren Zulässigkeit mit Blick auf BGE 137 I 327 ohne Weiteres zu bejahen ist, regelmässig beim Lenken eines Personenwagens in G.________ und H.________ beobachtet werden, wobei er auch in der Lage war, sein Fahrzeug problemlos rückwärts einzuparkieren (Feststellungen vom 9. Mai 2012). Ferner war er u.a. im Stande, Billet- und Geldautomaten zu bedienen, im Kiosk einzukaufen, in ein Restaurant zu gehen, Gespräche mit dem Mobiltelefon zu führen, durch die Stadt G.________ zu schlendern, Schaufenster anzusehen und Einkäufe nach Hause zu tragen. Dieses an den Tag gelegte Verhalten, welches zum Teil erhebliche kognitive, visuelle und motorische Fähigkeiten voraussetzt
(wie das Autofahren im dichten Verkehr einer städtischen Agglomeration), geht weit über die gemäss Dr. med. C.________ bzw. gemäss Abklärungsbericht Hilflosenentschädigung noch vorhandenen Fähigkeiten hinaus. Insofern geben die observationsweise erhobenen Feststellungen entgegen dem Beschwerdeführer sehr wohl Aufschluss über das Vorhandensein (erheblich einschränkender bzw. invalidisierender) psychischer Störungen. Mithin ist eine Verbesserung des Gesundheitszustands evident. Anders als der Beschwerdeführer zu glauben machen versucht, sprechen die zeitlichen Verhältnisse nicht gegen den Eintritt einer Gesundheitsverbesserung, zumal zwischen der Exploration durch Dr. med. C.________ vom 19. November 2010 und der angenommenen Verbesserung per Januar 2012 immerhin gut ein Jahr liegt. Aufgrund der augenfälligen Gesundheitsverbesserung ist auch nicht entscheidend, ob sich die Berichte der Dr. med. F.________ vom 21. März und 3. April 2013 hinreichend zum Verlauf bzw. zur Änderung des Gesundheitszustands aussprechen (Urteil 9C 418/2010 vom 29. August 2011 E. 4.2 i.f., in: SVR 2012 IV Nr. 18 S. 81).
6.2.
6.2.1. Weiter macht der Beschwerdeführer geltend, die Vorinstanz habe den Sachverhalt in Verletzung des Untersuchungsgrundsatzes unvollständig abgeklärt. In kardiologischer, angiologischer, neurologischer und endokrinologischer/internistischer Sicht fehlten hinreichende Beweisgrundlagen. Dem kann nicht gefolgt werden:
Im Rahmen der somatischen Begutachtung durch die RAD-Neurologin Dr. med. D.________ wurden als Diagnosen mit Auswirkungen auf die Arbeitsfähigkeit sowohl die periphere arterielle Verschlusskrankheit (PAVK II) als auch die koronare Herzkrankheit aufgeführt und daraus abgeleitet, die vaskuläre Pathologie (Herz/peripher arteriell) schliesse eine schwere körperliche oder regelmässige mittelschwere Tätigkeit aus. Dadurch wurde diesen Beschwerden im Rahmen des Zumutbarkeitsprofils hinreichend Rechnung getragen. Hinweise dafür, dass aufgrund der kardiologischen Beschwerden noch weitergehende Einschränkungen resultierten bzw. selbst eine adaptierte (leichte) Tätigkeit nicht mehr zumutbar sein sollte, sind den Akten nicht zu entnehmen.
Soweit der Beschwerdeführer meint, weil er aufgrund der Verdachtsdiagnose einer mittelgradigen vaskulären Demenz berentet worden sei, hätte zwingend eine angiologische Abklärung stattfinden müssen, geht er fehl. Das Vorliegen einer vaskulären Demenz bezeichnete die Neurologin Dr. med. D.________ mit Blick auf die Akten und die klinische Untersuchung als "sehr unwahrscheinlich". Diese Einschätzung wird durch die Erkenntnisse der neuropsychologischen Abklärung des Dr. phil. E.________, wonach sich weder Art noch Ausmass der neuropsychologisch unplausiblen und logisch inkonsistenten Symptomproduktion als Folge einer wie auch immer gearteten zerebralen Affektion oder Dysfunktion erklären lasse, vollumfänglich gestützt. Angesichts derart eindeutiger Abklärungsergebnisse durfte die Vorinstanz - ohne gegen den Untersuchungsgrundsatz zu verstossen (Art. 61 lit. c
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
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a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
Was die neurologische Abklärung betrifft, hat die RAD-Expertin dargelegt, dass zwar ein gesteigertes Reflexbild vorliege, welches auf eine zervikale Myelopathie hinweisen könne. Gleichzeitig hat sie ausgeführt, dass die gesteigerten Reflexe - mangels Spastizität - jedoch keinen Einfluss auf die Arbeitsfähigkeit hätten. Ebenso wenig habe die Polyneuropathie Auswirkungen auf die Arbeitsfähigkeit, was mit Blick auf die klinischen Befunde (keine funktionellen Einschränkungen wie bspw. motorische Ausfälle) einleuchtet. Hinsichtlich der zervikalen Myelopathie und der Polyneuropathie bestand nach dem Gesagten kein weiterer Abklärungsbedarf. Auch was den geklagten Schwindel betrifft, welchem die RAD-Expertin keinen Einfluss auf die Arbeitsfähigkeit zumass, ist kein weiterer Abklärungsbedarf ersichtlich. Zum einen hat der behandelnde Neurologe Dr. med. I.________, Spitalzentrum H.________, den Schwindel (ebenfalls) nicht objektivieren können. Stattdessen sind ihm (erhebliche) Diskrepanzen zwischen Anamnese und Untersuchung aufgefallen ("demonstrative Falltendenz nach links oder rechts, wenn die Wand in der Nähe ist und keine Falltendenz, wenn die Wand nicht in der Nähe ist"). Zum anderen wurden die Vorbringen des Beschwerdeführers
betreffend angeblichem Schwindel und Gleichgewichtsstörungen ("er könne nicht gerade stehen und müsse sich an den Wänden und am Tisch festhalten") durch die Erkenntnisse der Observation widerlegt.
6.2.2. Zusammenfassend ergeben die ausführlichen Abklärungen des RAD - an welchen keine auch nur geringe Zweifel an der Zuverlässigkeit und Schlüssigkeit bestehen (vgl. Urteil 8C 197/2014 vom 3. Oktober 2014 E. 4.2) -, ergänzt durch die mittels Observation gewonnenen Erkenntnisse, ein hinreichendes Bild über die gesundheitliche Situation und die sich daraus ergebenden Auswirkungen auf die Arbeitsfähigkeit. Darauf durfte die Vorinstanz abstellen und in antizipierter Beweiswürdigung (BGE 124 V 90 E. 4b S. 94; 122 V 157 E. 1d S. 162) auf weitere vom Beschwerdeführer beantragte Beweismassnahmen verzichten.
6.2.3. Der Einkommensvergleich des kantonalen Gerichts wird nicht beanstandet und gibt keinen Anlass zu Weiterungen. Dasselbe gilt für die Feststellung, wonach keine Hilfsbedürftigkeit (mehr) ausgewiesen sei, weshalb es damit sein Bewenden hat. Folglich zu Recht hat die Vorinstanz die Aufhebung der Invalidenrente und der Hilflosenentschädigung geschützt.
6.2.4. Vor Bundesgericht wendet der Beschwerdeführer erstmals ein, es sei ihm als zum Verfügungszeitpunkt 61-Jähriger ohne in der Schweiz anerkannte Berufsausbildung nicht mehr zumutbar, eine medizinisch-theoretische Restarbeitsfähigkeit umzusetzen. Selbst wenn die Verwertbarkeit der Restarbeitsfähigkeit bejaht würde, hätte die Vorinstanz vor der Rentenaufhebung berufliche Eingliederungsmassnahmen anordnen müssen.
Diese (rechtlichen) Einwände sind nicht stichhaltig. Der am 20. Dezember 1952 geborene Beschwerdeführer war in dem für die Beurteilung der Verwertbarkeit der Restarbeitsfähigkeit massgebenden Zeitpunkt des Vorbescheids vom 10. Juli 2013 (Kenntnisgabe des Zumutbarkeitsprofils) 60 Jahre alt, was für sich allein die Verwertbarkeit noch nicht ausschliesst. Im Gegensatz zu dem von ihm angeführten Urteil 9C 954/2012 vom 10. Mai 2013 (betreffend einen Versicherten, welcher 20 Jahre lang meist mittelschwere bis schwere Arbeiten ausgeführt hat) arbeitete er bei der früheren Arbeitgeberin als "Allround-Man" und war gemäss Zwischenzeugnis vom 5. Oktober 2009 mit verschiedensten, auch leichteren Arbeiten (u.a. Chauffeur- und Kommissionärdienst mit Kleinlieferwagen, kleinere Reparaturarbeiten an Maschinen und Einrichtungen, Camions entladen mit Elektrostapler) betraut, womit er sich unterschiedlichste Fähigkeiten aneignen konnte. Deshalb steht ihm ein breites Spektrum an leichten Verweistätigkeiten (bspw. Chauffeurdienste, Bedienung oder Überwachung von Maschinen, Kontrollfunktionen sowie Sortier- und Prüfarbeiten) offen, womit die Restarbeitsfähigkeit wirtschaftlich verwertbar ist. Was die Frage nach der Notwendigkeit der Durchführung von
Eingliederungsmassnahmen betrifft, ist festzuhalten, dass die von der Rechtsprechung stipulierten besonderen Voraussetzungen mit der Überschreitung des 55. Altersjahrs zwar gegeben sind (Urteil 9C 228/2010 vom 26. April 2011 E. 3, in: SVR 2011 IV Nr. 73 S. 220). Doch erhellt aus den Observationsergebnissen, dass der Beschwerdeführer im gesellschaftlichen Leben integriert ist, hinrechend agil und gewandt erscheint, so dass beim gegebenen medizinischen Zumutbarkeitsprofil die Verwertbarkeit des noch vorhandenen Restleistungsvermögens trotz fortgeschrittenem Alter ausnahmsweise auch ohne vorgängige Durchführung befähigender Massnahmen nichts entgegensteht.
7.
7.1. Schliesslich bemängelt der Beschwerdeführer den Zeitpunkt der Aufhebung der IV-Leistungen (31. Dezember 2011) und die angeordnete Rückerstattung der seit 1. Januar 2012 bezogenen Leistungen.
7.1.1. Nach Art. 88bis Abs. 2
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI) RAI Art. 88bis Effet - 1 L'augmentation de la rente, de l'allocation pour impotent ou de la contribution d'assistance prend effet, au plus tôt:391 |
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1 | L'augmentation de la rente, de l'allocation pour impotent ou de la contribution d'assistance prend effet, au plus tôt:391 |
a | si la révision est demandée par l'assuré, dès le mois où cette demande est présentée; |
b | si la révision a lieu d'office, dès le mois pour lequel on l'avait prévue; |
c | s'il est constaté que la décision de l'office AI désavantageant l'assuré était manifestement erronée, dès le mois où ce vice a été découvert.392 |
2 | La diminution ou la suppression de la rente, de l'allocation pour impotent ou de la contribution d'assistance prend effet:393 |
a | au plus tôt le premier jour du deuxième mois qui suit la notification de la décision; |
b | rétroactivement à la date où elle a cessé de correspondre aux droits de l'assuré, s'il se l'est fait attribuer irrégulièrement ou s'il a manqué, à un moment donné, à l'obligation de renseigner qui lui incombe raisonnablement en vertu de l'art. 77, que la poursuite du versement de la prestation ait eu lieu ou non en raison de l'obtention irrégulière ou de la violation de l'obligation de renseigner. |
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI) RAI Art. 77 Avis obligatoire - L'ayant droit ou son représentant légal, ainsi que toute personne ou autorité à qui la prestation est payée, doit communiquer immédiatement à l'office AI tout changement important qui peut avoir des répercussions sur le droit aux prestations, en particulier les changements qui concernent l'état de santé, la capacité de gain ou de travail, l'impotence, ou encore le besoin de soins ou le besoin d'aide découlant de l'invalidité, le lieu de séjour déterminant pour fixer le montant de l'allocation pour impotent et de la contribution d'assistance, ainsi que la situation personnelle et éventuellement économique de l'assuré. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 31 Avis obligatoire en cas de modification des circonstances - 1 L'ayant droit, ses proches ou les tiers auxquels une prestation est versée sont tenus de communiquer à l'assureur ou, selon le cas, à l'organe compétent toute modification importante des circonstances déterminantes pour l'octroi d'une prestation. |
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1 | L'ayant droit, ses proches ou les tiers auxquels une prestation est versée sont tenus de communiquer à l'assureur ou, selon le cas, à l'organe compétent toute modification importante des circonstances déterminantes pour l'octroi d'une prestation. |
2 | Toute personne ou institution participant à la mise en oeuvre des assurances sociales a l'obligation d'informer l'assureur si elle apprend que les circonstances déterminantes pour l'octroi de prestations se sont modifiées. |
Tatbestand der Meldepflichtverletzung ist ein schuldhaftes Fehlverhalten erforderlich, wobei nach ständiger Rechtsprechung bereits eine leichte Fahrlässigkeit genügt (BGE 118 V 214 E. 2a S. 218; Urteil 9C 226/2011 vom 15. Juli 2011 E. 4.2.1, nicht publ. in: BGE 137 V 369, aber in: SVR 2012 IV Nr. 12 S. 61).
7.1.2. Unrechtmässig bezogene Leistungen sind zurückzuerstatten. Wer Leistungen in gutem Glauben empfangen hat, muss sie nicht zurückerstatten, wenn eine grosse Härte vorliegt (Art. 25 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 25 Restitution - 1 Les prestations indûment touchées doivent être restituées. La restitution ne peut être exigée lorsque l'intéressé était de bonne foi et qu'elle le mettrait dans une situation difficile. |
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1 | Les prestations indûment touchées doivent être restituées. La restitution ne peut être exigée lorsque l'intéressé était de bonne foi et qu'elle le mettrait dans une situation difficile. |
2 | Le droit de demander la restitution s'éteint trois ans après le moment où l'institution d'assurance a eu connaissance du fait, mais au plus tard cinq ans après le versement de la prestation.23 Si la créance naît d'un acte punissable pour lequel le droit pénal prévoit un délai de prescription plus long, celui-ci est déterminant. |
3 | Le remboursement de cotisations payées en trop peut être demandé. Le droit s'éteint une année après que le cotisant a eu connaissance de ses paiements trop élevés, mais au plus tard cinq ans après la fin de l'année civile au cours de laquelle les cotisations ont été payées. |
7.2. Das kantonale Gericht hat eine rückwirkende Aufhebung der Invalidenrente und der Hilflosenentschädigung per 31. Dezember 2011 als rechtens erachtet, weil der Beschwerdeführer die überwiegend wahrscheinlich bereits im Januar 2012 bestandene Verbesserung der gesundheitlichen Situation nicht gemeldet und eine schuldhafte Meldepflichtverletzung begangen habe.
Dem ist zuzustimmen: Dem Beschwerdeführer musste bei pflichtgemässer Aufmerksamkeit bewusst sein, dass er nicht zur gleichen Zeit eine Hilflosenentschädigung mittleren Grades - basierend auf einer Notwendigkeit der dauernden persönlichen Überwachung, der lebenspraktischen Begleitung und der Hilflosigkeit in vier alltäglichen Lebensverrichtungen - beziehen konnte, wenn es ihm zeitgleich ohne Weiteres möglich war, die im Rahmen der Observation dokumentierten Aktivitäten (sowohl zusammen mit der Ex-Ehefrau aber auch alleine) selbstständig, zielgerichtet und ohne sichtbare Einschränkungen zu bewältigen. Er hat den verbesserten Zustand der Hilflosigkeit indes nicht nur nicht gemeldet, sondern er hat - wie mit Blick auf die Ergebnisse der Überwachung feststeht - im Fragebogen Revision Invalidenrente/Hilflosenentschädigung vom 2. Juni 2012 und an den Befragungen vom 19. Juli 2012 und 1. Juli 2013 sogar wiederholt zahlreiche wahrheitswidrige Angaben gemacht. So hat er angegeben, tagsüber und nachts auf persönliche Überwachung angewiesen zu sein, "bei allem" die Hilfe der Ex-Ehefrau zu benötigen und nicht mehr Auto zu fahren. Dies obschon er gestützt auf Art. 28
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 28 Collaboration lors de la mise en oeuvre - 1 Les assurés et les employeurs doivent collaborer gratuitement à l'exécution des différentes lois sur les assurances sociales. |
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1 | Les assurés et les employeurs doivent collaborer gratuitement à l'exécution des différentes lois sur les assurances sociales. |
2 | Quiconque fait valoir son droit à des prestations doit fournir gratuitement tous les renseignements nécessaires pour établir ce droit, fixer les prestations dues et faire valoir les prétentions récursoires.26 |
3 | Le requérant est tenu d'autoriser dans le cas d'espèce les personnes et institutions concernées, notamment les employeurs, les médecins, les assurances et les organes officiels, à fournir les renseignements nécessaires pour établir le droit aux prestations et faire valoir les prétentions récursoires.27 Ces personnes et institutions sont tenues de donner les renseignements requis. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit. |
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1 | L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit. |
1bis | L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35 |
2 | L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés. |
3 | Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable. |
verpflichtet war (Urteil 9C 258/2014 vom 3. September 2014 E. 4.4). Unter diesen Umständen ist eine schuldhafte Meldepflichtverletzung hinsichtlich des Zustands der Hilflosigkeit ohne jeden Zweifel gegeben. Hätte der Beschwerdeführer den Wegfall der Hilflosigkeit pflichtgemäss gemeldet, wäre gleichzeitig der Rentenanspruch überprüft worden, da beide Leistungen in Folge desselben Gesundheitsschadens (resp. derselben Verdachtsdiagnose) ausgerichtet wurden. Gleich wie die Meldung über den Wegfall der Hilflosigkeit hätte im Übrigen auch die wahrheitsgemässe Auskunft, wieder Auto fahren zu können, zu einer Rentenüberprüfung geführt. Das Beherrschen einer solch anspruchsvollen Fähigkeit lässt sich mit der Diagnose einer mittelschweren Demenz mit vollständiger Invalidisierung und Unfähigkeit, im täglichen Leben bzw. bei den Alltagsverrichtungen ohne Hilfe zurecht zu kommen (Gutachten des Dr. med. C.________ vom 26. März 2011), schlichtweg nicht vereinbaren (vgl. Rolf Seeger, Fahreignung bei Demenz-Erkrankungen, in: Therapeutische Umschau 4/2015 S. 239 ff.; ders., Fahreignung bei kognitiven Einschränkungen, Hausarzt Praxis 2010, 19-20, S. 31 ff.; Wagner/Müri/Nef/Mosimann, Cognition and driving in older persons, in: Swiss Medical Weekly
141 (2011), no. 2, p. 21-26). Eine Meldepflichtverletzung liegt - soweit eine getrennte Betrachtung überhaupt möglich ist - nach dem Dargelegten auch in Bezug auf den Rentenanspruch vor.
Aufgrund der unüberbrückbaren, geradezu ins Auge springenden Diskrepanzen zwischen den Feststellungen gemäss Dr. med. C.________ bzw. Abklärungsbericht Hilflosenentschädigung vom 12. Juli 2011 und dem an den Tag gelegten Verhalten sowie der wiederholten Falschangaben gegenüber den Mitarbeitern der IV-Stelle ist die Meldepflichtverletzung mindestens als grobfahrlässig zu qualifizieren. Folge dessen erübrigen sich Weiterungen zu der von der Vorinstanz zwar erwähnten, doch nicht (explizite) verneinten Erlassvoraussetzung des guten Glaubens (E. 7.1.2 hievor).
7.3. Nach dem Gesagten ist der Zeitpunkt der Aufhebung der IV-Leistungen per Ende Dezember 2011 und die angeordnete Rückerstattung, welche in masslicher Hinsicht unbestritten ist, nicht zu beanstanden.
8.
Dem Ausgang des Verfahrens entsprechend hat der Beschwerdeführer die Gerichtskosten zu tragen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Verwaltungsgericht des Kantons Bern, Sozialversicherungsrechtliche Abteilung, und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 15. Mai 2015
Im Namen der II. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Die Präsidentin: Glanzmann
Der Gerichtsschreiber: Furrer