Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
2C 506/2019
Urteil vom 14. Mai 2020
II. öffentlich-rechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Seiler, Präsident,
Bundesrichterinnen Aubry Girardin, Hänni,
Gerichtsschreiber Zollinger.
Verfahrensbeteiligte
A.________ AG,
Beschwerdeführerin,
vertreten durch Rechtsanwälte
Michael Bader und Kathrin Straub,
gegen
Gebäudeversicherung B.________,
Beschwerdegegnerin,
vertreten durch Rechtsanwalt Prof. Dr. Manuel Jaun.
Gegenstand
Kürzung der Versicherungsleistung in einem Brandschadenfall,
Beschwerde gegen das Urteil des Verwaltungsgerichts des Kantons Aargau, 3. Kammer, vom 19. März 2019 (WBE.2017.386).
Sachverhalt:
A.
Am 17. September 2009 erteilte die Gebäudeversicherung B.________ der A.________ AG mit Sitz in U.________ (Kanton Thurgau) die kantonale Brandschutzbewilligung für das Bauvorhaben "C.________". Die A.________ AG realisierte das Bauvorhaben als Bauherrin und Totalunternehmerin und war als solche auch Grundstückseigentümerin sowie Versicherungsnehmerin der Gebäudeversicherung B.________.
Am 10. April 2013 brach auf der dritten Etage bei der Passarelle im Bereich der Parkettverlegungsarbeiten im Haus 6 der "C.________" ein Brand aus. Das Feuer griff auf das zweite und vierte Obergeschoss über und konnte erst mit einem Grosseinsatz der Feuerwehr gelöscht werden. Aufgrund der weit fortgeschrittenen Ausbauarbeiten entstand ein Schaden von insgesamt Fr. 22'637'412.-- am Eigentum der A.________ AG.
Die Staatsanwaltschaft Brugg-Zurzach führte eine Strafuntersuchung wegen fahrlässiger Verursachung einer Feuersbrunst und allfälliger Brandstiftung. Mit Verfügung vom 31. Oktober 2013 sistierte sie das Strafverfahren auf unbestimmte Zeit, da sich die allfällige Täterschaft nicht hinreichend eingrenzen liess. Mit Schreiben vom 22. Mai 2014 teilte die Gebäudeversicherung B.________ der A.________ AG mit, dass sie eine Kürzung der Versicherungsleistung prüfe, und verlangte zusätzliche Unterlagen ein.
B.
Mit Verfügung vom 2. Februar 2015 legte die Gebäudeversicherung B.________ den Schaden auf Fr. 22'637'412.-- fest, kürzte die Versicherungsleistung um Fr. 3'291'132.05 und setzte ihre Leistung abzüglich dieser Reduktion von rund 14.5 % auf Fr. 19'346'279.95 fest.
Die dagegen von der A.________ AG erhobene Einsprache wies die Gebäudeversicherung B.________ mit Einspracheentscheid vom 20. Juli 2015 ab und bestätigte die Verfügung vom 2. Februar 2015. Die gegen den Einspracheentscheid geführte Beschwerde wies das Spezialverwaltungsgericht des Kantons Aargau, Abteilung Kausalabgaben und Enteignungen, mit Urteil vom 14. Juni 2017 ebenfalls ab. Ebenso blieb die Beschwerde beim Verwaltungsgericht des Kantons Aargau ohne Erfolg (Urteil vom 19. März 2019).
C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten vom 28. Mai 2019 gelangt die A.________ AG an das Bundesgericht. Sie beantragt die Aufhebung des Urteils vom 19. März 2019. Die von der Gebäudeversicherung B.________ auszurichtende Versicherungsleistung sei auf Fr. 22'637'412.-- festzusetzen. Die Gebäudeversicherung B.________ sei zu verpflichten, der A.________ AG die noch nicht ausbezahlte Versicherungsleistung von Fr. 3'291'132.05 zuzüglich Zins von 5 % seit dem 1. September 2014 auszubezahlen. Eventualiter sei die Versicherungsleistung um maximal Fr. 226'374.-- zu kürzen.
Die Vorinstanz verzichtet auf eine Vernehmlassung. Die Gebäudeversicherung B.________ (nachfolgend: Beschwerdegegnerin) lässt sich vernehmen und beantragt die Abweisung der Beschwerde, soweit darauf eingetreten werde. Die Beschwerdeführerin repliziert mit Eingabe vom 6. Dezember 2019, worauf die Beschwerdegegnerin erneut Stellung nimmt und an ihrem Antrag festhält.
Erwägungen:
1.
Die frist- (Art. 100 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
|
1 | Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
2 | Le délai de recours est de dix jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
b | les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale; |
c | les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93. |
d | les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95. |
3 | Le délai de recours est de cinq jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change; |
b | les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales. |
4 | Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national. |
5 | En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
6 | ...96 |
7 | Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours: |
|
a | contre les décisions rendues dans des causes de droit public; |
b | contre les actes normatifs cantonaux; |
c | qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 86 Autorités précédentes en général - 1 Le recours est recevable contre les décisions: |
|
1 | Le recours est recevable contre les décisions: |
a | du Tribunal administratif fédéral; |
b | du Tribunal pénal fédéral; |
c | de l'Autorité indépendante d'examen des plaintes en matière de radio-télévision; |
d | des autorités cantonales de dernière instance, pour autant que le recours devant le Tribunal administratif fédéral ne soit pas ouvert. |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs qui statuent comme autorités précédant immédiatement le Tribunal fédéral, sauf dans les cas où une autre loi fédérale prévoit qu'une décision d'une autre autorité judiciaire peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
3 | Pour les décisions revêtant un caractère politique prépondérant, les cantons peuvent instituer une autorité autre qu'un tribunal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 86 Autorités précédentes en général - 1 Le recours est recevable contre les décisions: |
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1 | Le recours est recevable contre les décisions: |
a | du Tribunal administratif fédéral; |
b | du Tribunal pénal fédéral; |
c | de l'Autorité indépendante d'examen des plaintes en matière de radio-télévision; |
d | des autorités cantonales de dernière instance, pour autant que le recours devant le Tribunal administratif fédéral ne soit pas ouvert. |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs qui statuent comme autorités précédant immédiatement le Tribunal fédéral, sauf dans les cas où une autre loi fédérale prévoit qu'une décision d'une autre autorité judiciaire peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
3 | Pour les décisions revêtant un caractère politique prépondérant, les cantons peuvent instituer une autorité autre qu'un tribunal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 83 Exceptions - Le recours est irrecevable contre: |
|
a | les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit58 jugée par un tribunal; |
b | les décisions relatives à la naturalisation ordinaire; |
c | les décisions en matière de droit des étrangers qui concernent: |
c1 | l'entrée en Suisse, |
c2 | une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit, |
c3 | l'admission provisoire, |
c4 | l'expulsion fondée sur l'art. 121, al. 2, de la Constitution ou le renvoi, |
c5 | les dérogations aux conditions d'admission, |
c6 | la prolongation d'une autorisation frontalière, le déplacement de la résidence dans un autre canton, le changement d'emploi du titulaire d'une autorisation frontalière et la délivrance de documents de voyage aux étrangers sans pièces de légitimation; |
d | les décisions en matière d'asile qui ont été rendues: |
d1 | par le Tribunal administratif fédéral, sauf celles qui concernent des personnes visées par une demande d'extradition déposée par l'État dont ces personnes cherchent à se protéger, |
d2 | par une autorité cantonale précédente et dont l'objet porte sur une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit; |
e | les décisions relatives au refus d'autoriser la poursuite pénale de membres d'autorités ou du personnel de la Confédération; |
f | les décisions en matière de marchés publics: |
fbis | les décisions du Tribunal administratif fédéral concernant les décisions visées à l'art. 32i de la loi fédérale du 20 mars 2009 sur le transport de voyageurs65; |
f1 | si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe; sont réservés les recours concernant des marchés du Tribunal administratif fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal fédéral des brevets, du Ministère public de la Confédération et des autorités judiciaires supérieures des cantons, ou |
f2 | si la valeur estimée du marché à adjuger est inférieure à la valeur seuil déterminante visée à l'art. 52, al. 1, et fixée à l'annexe 4, ch. 2, de la loi fédérale du 21 juin 2019 sur les marchés publics63; |
g | les décisions en matière de rapports de travail de droit public qui concernent une contestation non pécuniaire, sauf si elles touchent à la question de l'égalité des sexes; |
h | les décisions en matière d'entraide administrative internationale, à l'exception de l'assistance administrative en matière fiscale; |
i | les décisions en matière de service militaire, de service civil ou de service de protection civile; |
j | les décisions en matière d'approvisionnement économique du pays qui sont prises en cas de pénurie grave; |
k | les décisions en matière de subventions auxquelles la législation ne donne pas droit; |
l | les décisions en matière de perception de droits de douane fondée sur le classement tarifaire ou le poids des marchandises; |
m | les décisions sur l'octroi d'un sursis de paiement ou sur la remise de contributions; en dérogation à ce principe, le recours contre les décisions sur la remise de l'impôt fédéral direct ou de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice est recevable, lorsqu'une question juridique de principe se pose ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs; |
n | les décisions en matière d'énergie nucléaire qui concernent: |
n1 | l'exigence d'un permis d'exécution ou la modification d'une autorisation ou d'une décision, |
n2 | l'approbation d'un plan de provision pour les coûts d'évacuation encourus avant la désaffection d'une installation nucléaire, |
n3 | les permis d'exécution; |
o | les décisions en matière de circulation routière qui concernent la réception par type de véhicules; |
p | les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière de télécommunications, de radio et de télévision et en matière postale qui concernent:70 |
p1 | une concession ayant fait l'objet d'un appel d'offres public, |
p2 | un litige découlant de l'art. 11a de la loi du 30 avril 1997 sur les télécommunications71; |
p3 | un litige au sens de l'art. 8 de la loi du 17 décembre 2010 sur la poste73; |
q | les décisions en matière de médecine de transplantation qui concernent: |
q1 | l'inscription sur la liste d'attente, |
q2 | l'attribution d'organes; |
r | les décisions en matière d'assurance-maladie qui ont été rendues par le Tribunal administratif fédéral sur la base de l'art. 3474 de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)75; |
s | les décisions en matière d'agriculture qui concernent: |
s1 | ... |
s2 | la délimitation de zones dans le cadre du cadastre de production; |
t | les décisions sur le résultat d'examens ou d'autres évaluations des capacités, notamment en matière de scolarité obligatoire, de formation ultérieure ou d'exercice d'une profession; |
u | les décisions relatives aux offres publiques d'acquisition (art. 125 à 141 de la loi du 19 juin 2015 sur l'infrastructure des marchés financiers79); |
v | les décisions du Tribunal administratif fédéral en cas de divergences d'opinion entre des autorités en matière d'entraide judiciaire ou d'assistance administrative au niveau national; |
w | les décisions en matière de droit de l'électricité qui concernent l'approbation des plans des installations électriques à courant fort et à courant faible et l'expropriation de droits nécessaires à la construction ou à l'exploitation de telles installations, si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe. |
x | les décisions en matière d'octroi de contributions de solidarité au sens de la loi fédérale du 30 septembre 2016 sur les mesures de coercition à des fins d'assistance et les placements extrafamiliaux antérieurs à 198183, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs; |
y | les décisions prises par le Tribunal administratif fédéral dans des procédures amiables visant à éviter une imposition non conforme à une convention internationale applicable dans le domaine fiscal; |
z | les décisions citées à l'art. 71c, al. 1, let. b, de la loi du 30 septembre 2016 sur l'énergie86 concernant les autorisations de construire et les autorisations relevant de la compétence des cantons destinées aux installations éoliennes d'intérêt national qui y sont nécessairement liées, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 89 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque: |
|
1 | A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire; |
b | est particulièrement atteint par la décision ou l'acte normatif attaqué, et |
c | a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification. |
2 | Ont aussi qualité pour recourir: |
a | la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions; |
b | l'organe compétent de l'Assemblée fédérale en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération; |
c | les communes et les autres collectivités de droit public qui invoquent la violation de garanties qui leur sont reconnues par la constitution cantonale ou la Constitution fédérale; |
d | les personnes, organisations et autorités auxquelles une autre loi fédérale accorde un droit de recours. |
3 | En matière de droits politiques (art. 82, let. c), quiconque a le droit de vote dans l'affaire en cause a qualité pour recourir. |
2.
Mit der Beschwerde kann namentlich die Verletzung von Bundesrecht und interkantonalem Recht gerügt werden (Art. 95 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
dadurch Bundesrecht - namentlich das Willkürverbot - verletzt wurde (vgl. BGE 142 II 369 E. 2.1 S. 372; 138 I 143 E. 2 S. 149 f.). Seinem Urteil legt es den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
3.
Gemäss Art. 1 Abs. 2 des Gesetzes des Kantons Aargau vom 19. September 2006 über die Gebäudeversicherung (Gebäudeversicherungsgesetz, GebVG AG; SAR 673.100) in der im Zeitpunkt des Schadenfalls am 10. April 2013 in Kraft stehenden Fassung (Stand der Fassung: 1. Januar 2013) versichert die Gebäudeversicherung B.________ die Gebäude auf dem Kantonsgebiet gegen Feuer- und Elementarschäden. § 27 Abs. 1 GebVG AG sieht vor, dass keine Entschädigung ausgerichtet wird, wenn die Eigentümerin oder der Eigentümer das Schadenereignis vorsätzlich und schuldhaft selber herbeigeführt oder dabei mitgewirkt hat. Sodann bestimmt § 27 Abs. 2 GebVG AG, dass die Entschädigung nach Massgabe des Verschuldens gekürzt wird, wenn die Eigentümerin oder der Eigentümer den Schaden durch grobe Fahrlässigkeit verursacht hat oder wenn der Schaden auf eine offenkundige Missachtung der Präventionspflicht zurückzuführen ist.
4.
Die Vorinstanz vertritt die Auffassung, dass die Voraussetzungen gemäss § 27 Abs. 2 GebVG AG erfüllt sind, weshalb die Beschwerdegegnerin ihre Versicherungsleistung in dem von ihr vorgenommenen Umfang kürzen könne.
4.1. In tatsächlicher Hinsicht stellt die Vorinstanz vorab fest, dass sich der Brandverlauf zwar nicht mit absoluter Sicherheit nachweisen lasse. Unbestrittenermassen habe das Feuer aber im Abfall begonnen, der im Bereich der Parkettverlegearbeiten gelagert gewesen sei. Mit überwiegender Wahrscheinlichkeit käme nur ein mit selbstentzündlichem Öl getränkter Lappen in Frage. Diese Feststellung dränge sich unter der Würdigung des Untersuchungsberichts des Forensischen Instituts der Kantons- und Stadtpolizei Zürich vom 2. September 2013, des Fachberichts der Kantonspolizei Aargau vom 11. Juni 2013 sowie des forensisch-chemischen Untersuchungsberichts des Instituts für Rechtsmedizin der Universität Bern vom 29. Mai 2013 als überwiegend wahrscheinlich auf (vgl. E. 5 des angefochtenen Urteils).
4.2. In rechtlicher Hinsicht strittig sei, so die Vorinstanz, ob die Beschwerdeführerin aufgrund der Präventionspflicht nach § 27 Abs. 2 GebVG AG gehalten gewesen sei, einen Sicherheitsbeauftragten mit entsprechenden Befugnissen einzusetzen, und während der Bauzeit eine Pflicht bestanden habe, provisorische Brandabschnitte zu bilden.
4.2.1. Die Vorinstanz führt aus, gestützt auf § 5 Abs. 1 des Gesetzes des Kantons Aargau vom 21. Februar 1989 über den vorbeugenden Brandschutz (Brandschutzgesetz, BSG AG; SAR 585.100) könne der Regierungsrat technische Richtlinien anerkannter Fachverbände zum baulichen und betrieblichen Brandschutz verbindlich erklären. § 9 Abs. 1 lit. b der Brandschutzverordnung des Kantons Aargau vom 23. März 2005 (BSV AG; SAR 585.113) erkläre die Brandschutzrichtlinie "Brandverhütung, Sicherheit in Betrieben und auf Baustellen" (Fassung vom 26. März 2003; 11-03d) der Vereinigung Kantonaler Feuerversicherungen (nachfolgend: VKF-Brandschutzrichtlinie) für verbindlich. Nach Ansicht der Vorinstanz verlangt Ziff. 8.1 Abs. 2 der VKF-Brandschutzrichtlinie, dass ein Sicherheitsbeauftragter zu bestimmen sei, wenn besondere Brandgefahren oder die Grösse der Baustelle es erfordere. Gleiches ergebe sich aus Ziff. 3 des Merkblatts "Brandschutz auf Baustellen" (Ausgabe vom September 2011) der Gebäudeversicherung B.________. In der vorliegenden Angelegenheit hätte die Beschwerdeführerin zwingend einen Sicherheitsbeauftragten ernennen müssen, da dies aufgrund der Grösse der Baustelle erforderlich gewesen sei. Hingegen habe aufgrund der Präventionspflicht
keine Verpflichtung bestanden, provisorische Brandabschnitte zu bilden (vgl. E. 8 des angefochtenen Urteils).
4.2.2. Zur hypothetischen Kausalität zwischen dem Fehlen eines Sicherheitsbeauftragten und dem Brandschaden erwägt die Vorinstanz, es dürfe nicht bloss auf die Wahrscheinlichkeit abgestellt werden, dass der Sicherheitsbeauftragte die mit selbstentzündlichem Parkettöl versetzten Stofflappen entdeckt hätte. Der Sicherheitsbeauftragte trage die Verantwortung für den Brandschutz auf der Baustelle insgesamt und trage massgeblich zu einer Sicherheitskultur während der Bauphase bei. Dies gelte namentlich im Zusammenhang mit den feuergefährlichen Arbeiten wie dem Einsatz von Parkettölen.
Nach Auffassung der Vorinstanz ergibt sich das Pflichtenheft eines Sicherheitsbeauftragten aus dem Merkblatt "Brandschutz auf Baustellen" (Ausgabe vom September 2011) der Gebäudeversicherung B.________. Eine weitere Konkretisierung erfahre das Pflichtenheft eines Sicherheitsbeauftragten unter anderem im Sicherheitsdokument "Brandschutz auf Baustellen" des Schweizerischen Instituts zur Förderung der Sicherheit. Soweit die Beschwerdeführerin geltend mache, die Aufgaben eines Sicherheitsbeauftragten seien nicht geklärt, könne ihr deshalb nicht gefolgt werden. Es könne angenommen werden, dass ein ordnungsgemäss bestellter Sicherheitsbeauftragter in Bezug auf die Bodenverlegearbeiten früher, konkreter und entscheidender auf die Einhaltung der brandvorbeugenden Verhaltensvorschriften bestanden hätte. Das realisierte Risiko sei damit im Zusammenhang mit der unterbliebenen Bestimmung eines Sicherheitsbeauftragten gestanden (vgl. E. 9 und E. 10 des angefochtenen Urteils).
4.2.3. Mit Blick auf den Verschuldensmassstab erwägt die Vorinstanz, § 27 Abs. 1 und Abs. 2 GebVG AG folge dem allgemeinen versicherungsrechtlichen Grundsatz, dass der Verlust der Versicherungsleistung Vorsatz und ihre Kürzung grobe Fahrlässigkeit voraussetze. Insofern habe der kantonale Gesetzgeber für die Kürzung der Versicherungsleistung wegen offenkundiger Missachtung der Präventionspflicht ein mit der Grobfahrlässigkeit vergleichbares Kriterium aufgestellt (vgl. E. 6 des angefochtenen Urteils).
Die Vorinstanz führt weiter aus, im Bereich der Parkettarbeiten hätten unter anderem infolge der Deponierung ölgetränkter Stofflappen und von Schleifstaub mehrfach vorschriftswidrige Zustände bestanden. Diese Verhaltensweisen seien der Beschwerdeführerin als Bauleiterin zuzurechnen. Sie habe damit elementarste Vorsichtsmassnahmen und Sicherheitsvorkehrungen ausser Acht gelassen. Dass die Beschwerdeführerin keinen Sicherheitsbeauftragten bestellt und vorschriftswidrige Verhaltensweisen nicht unterbunden habe, könne nicht mehr nur als pflichtwidrige Unvorsichtigkeit angesehen werden. Vielmehr erweise sich die unterbliebene Bestellung eines Sicherheitsbeauftragten und die damit einhergehenden Sorgfaltspflichtverletzungen bei der Ausführung der Parkettverlegearbeiten als grobfahrlässig (vgl. E. 13 des angefochtenen Urteils).
4.3. Die Entschädigungskürzung im Umfang von 14.5 % erscheine, so die Vorinstanz abschliessend, unter dem Aspekt der Rechtsgleichheit und des Willkürverbots unproblematisch. Die Beschwerdegegnerin sei vom Regelfall - d.h der Kürzung um 20 % - nach unten abgewichen und habe dies mit der ausserordentlich hohen Schadenssumme begründet. Damit sei dem allgemeinen versicherungsrechtlichen Grundsatz Rechnung getragen worden, dass die Kürzungsquote umso tiefer anzusetzen sei, je höher die Schadenssumme ausfalle. Es werde ferner nicht geltend gemacht und sei auch nicht anzunehmen, dass die Kürzung der Versicherungsleistung die Beschwerdeführerin besonders hart treffe und deren Existenz gefährde. Die Kürzung der Entschädigung um Fr. 3'291'132.05 liege damit im pflichtgemässen Ermessen der Beschwerdegegnerin und sei deshalb nicht zu beanstanden, da ihr eine Überprüfung der Angemessenheit nicht zustehe (vgl. E. 14 des angefochtenen Urteils).
5.
Die Beschwerdeführerin rügt in verschiedener Hinsicht eine rechtsfehlerhafte Anwendung von § 27 Abs. 2 GebVG AG. Die angewendete kantonale Norm bedarf im Grundsatz der Verletzung einer Präventionspflicht (vgl. E. 5.1 hiernach), die einen Schaden kausal herbeiführt (vgl. E. 5.2 hiernach) und deren Verletzung sich als grobfahrlässig erweist (vgl. E. 5.3 hiernach), damit die Versicherungsleistung gekürzt werden darf (vgl. E. 6 hiernach). Es stellt sich bei den einzelnen Kürzungsvoraussetzungen jeweils zunächst die Frage, mit welcher Kognition das Bundesgericht deren Vorhandensein überprüft.
5.1. Die Beschwerdeführerin beanstandet die vorinstanzliche Auffassung, wonach zwingend ein Sicherheitsbeauftragter im Sinne einer Präventionspflicht nach § 27 Abs. 2 GebVG AG zu bestimmen gewesen sei (vgl. E. 4.2.1 hiervor; E. 8.2.6 f. des angefochtenen Urteils). Die Auffassung der Vorinstanz sei unhaltbar, da Ziff. 8.1 Abs. 2 der VKF-Brandschutzrichtlinie einen Sicherheitsbeauftragten nur vorschreibe, wenn besondere Brandgefahren oder die Grösse der Baustelle es erfordere. Die Norm eröffne damit einen Beurteilungsspielraum für den Einzelfall, selbst wenn - wie vorliegend - eine Grossbaustelle betroffen sei. Wenn bei jeder Grossbaustelle ein Sicherheitsbeauftragter einzusetzen wäre, dann hätte die Bestimmung dies eindeutig verlangen müssen. Das entscheidende Kriterium zur Bestimmung, ob ein Sicherheitsbeauftragter eingesetzt werden müsse, sei die Frage, ob ein solcher erforderlich sei.
5.1.1. Die Interkantonale Vereinbarung zum Abbau technischer Handelshemmnisse (IVTH; SAR 950.050) ist am 23. Oktober 1998 von der Konferenz der Kantonsregierungen beschlossen worden und für den Kanton Aargau am 4. Februar 2003 in Kraft getreten. Gemäss Art. 6 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
gemäss der VKF-Brandschutzrichtlinie zu beurteilen, liegt von einem interkantonalen Organ erlassenes Recht vor. Dieses gilt als interkantonales Recht, welches das Bundesgericht frei prüft (vgl. Art. 95 lit. e
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
5.1.2. Die Beschwerdeführerin wirft der Vorinstanz vor, Letztere mache die Erforderlichkeit eines Sicherheitsbeauftragten einzig vom Vorliegen einer Grossbaustelle abhängig. Diesbezüglich mag zwar zutreffen, dass die genannte Bestimmung der VKF-Brandschutzrichtlinie bei Vorliegen einer Grossbaustelle nicht ohne Weiteres den Einsatz eines Sicherheitsbeauftragten nach sich ziehen muss. Insofern ist der Beschwerdeführerin zuzustimmen, wenn sie vorbringt, dass der Wortlaut der Norm die Bestimmung eines Sicherheitsbeauftragten lediglich verlange, wenn besondere Brandgefahren oder die Grösse der Baustelle es erfordere (vgl. Ziff. 8.1 Abs. 2 der VKF-Brandschutzrichtlinie). Jedoch lässt die Beschwerdeführerin ausser Acht, dass die Vorinstanz aufgrund der Umstände der vorliegenden Angelegenheit die Erforderlichkeit eines Sicherheitsbeauftragten hat bejahen dürfen.
5.1.3. Wie bereits die Vorinstanz überzeugend darlegt, handelt es sich beim Bauvorhaben "C.________" um eine äusserst komplexe Baustelle. Die Geschossfläche beläuft sich auf rund 70'000 m2 und weist eine besondere Architektur auf. Infolgedessen ergeben sich horizontal und vertikal zusammenhängende, offene Bereiche mit einer Fläche von rund 38'000 m2. Sodann ist die Gebäudekapazität für mehrere tausend Personen ausgelegt und enthält Unterrichts- sowie Büroräumlichkeiten, einen grossen Saal, eine Mensa, eine Bibliothek, einen Gastronomiebereich, Attikawohnungen und eine Parkgarage im Untergeschoss. Die Versicherungssumme des Bauprojekts beläuft sich auf Fr. 160 Mio. (vgl. E. 8.2.6 des angefochtenen Urteils). Die vorinstanzliche Auffassung, das Ausmass der Baustelle dränge den Einsatz eines Sicherheitsbeauftragten auf, ist vor diesem Hintergrund ohne Weiteres rechtmässig.
5.1.4. Insoweit sich die Erforderlichkeit eines Sicherheitsbeauftragten nicht bereits aufgrund der Besonderheiten der Baustelle ergibt, ist ausserdem auf die Sistierungsverfügung der Staatsanwaltschaft Brugg-Zurzach vom 31. Oktober 2013 hinzuweisen. Auch die Staatsanwaltschaft Brugg-Zurzach geht davon aus, dass auf der betroffenen Baustelle die Einsetzung eines Sicherheitsbeauftragten erforderlich gewesen wäre. Aus ihrer Sistierungsverfügung lässt sich entnehmen, dass mit Blick auf die Abfallentsorgung auf der Baustelle ein Entsorgungskonzept gänzlich gefehlt hat und durch die Bauherrschaft keine diesbezüglichen Kontrollen durchgeführt worden sind. Die Staatsanwaltschaft hat daraus geschlossen, das Fehlen eines Sicherheitsbeauftragten und damit regelmässiger Kontrollen habe zur Folge gehabt, dass die Abfallentsorgung auf der Baustelle nicht konsequent und sachgemäss betrieben worden sei. Der Bericht des Brandermittlers halte denn auch fest, dass in den Gängen der Baustelle auf allen Etagen irgendwelche Behältnisse herumgelegen hätten, die randvoll mit Abfall gefüllt gewesen seien (vgl. S. 4 der Sistierungsverfügung vom 31. Oktober 2013).
5.1.5. Im Lichte der Umstände des vorliegenden Einzelfalls ist die vorinstanzliche Auffassung, ein Sicherheitsbeauftragter sei gemäss Ziff. 8.1 Abs. 2 der VKF-Brandschutzrichtlinie erforderlich gewesen, nicht zu beanstanden. Der Einsatz eines Sicherheitsbeauftragten, den die Vorinstanz im Sinne einer Präventionspflicht im Sinne von § 27 Abs. 2 GebVG AG verlangt, ist im interkantonalen Recht vorgesehen und verletzt kein Bundesrecht. Indem die Beschwerdeführerin es unterlassen hat, einen Sicherheitsbeauftragen zu bestimmen, hat sie folglich eine Pflichtverletzung begangen. Daran vermag auch der Umstand nichts zu ändern, dass die Beschwerdeführerin anderweitige Massnahmen ergriffen hat. Die Vorinstanz gelangt zu Recht zum Schluss, dass der fehlende Einsatz eines Sicherheitsbeauftragten nicht durch andere Massnahmen kompensiert werden könne, da der Sicherheitsbeauftragte massgeblich zu einer Sicherheitskultur während der Bauphase beitrage. Ergibt sich - wie die Vorinstanz in zulässiger Weise annimmt - eine Pflicht zur Bestellung eines Sicherheitsbeauftragten, da der Einsatz eines solchen erforderlich ist, besteht in der Folge auch kein Raum für kompensierende Massnahmen im Sinne eines Wahlrechts nach Ermessen der Beschwerdeführerin.
5.1.6. Damit bedarf die weitere Beanstandung der Beschwerdeführerin, wonach die Vorinstanz mit Art. 105 der SIA-Norm 118 sowie dem "Sicherheitsdokument Brandschutz auf Baustellen des Schweizerischen Instituts zur Förderung der Sicherheit swissi" in willkürlicher Weise nicht massgebende Rechtsgrundlagen angewendet habe, keiner weiteren Beurteilung. Insoweit die Beschwerdeführerin in tatsächlicher Hinsicht geltend macht, die Vorinstanz würdige das implementierte Massnahmenpaket zum Brandschutz offensichtlich unrichtig, bringt die Beschwerdeführerin rein appellatorische Kritik am angefochtenen Urteil vor (vgl. Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
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1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
5.2. Die Beschwerdeführerin bemängelt sodann die vorinstanzlichen Erwägungen zur hypothetischen Kausalität (vgl. E. 4.2.2 hiervor; E. 10.4 f. des angefochtenen Urteils). Sie bringt vor, zur Beurteilung der Kausalität zwischen der fehlenden Einsetzung eines Sicherheitsbeauftragten und dem Brandausbruch müsse zunächst das Pflichtenheft eines Sicherheitsbeauftragten bestimmt werden. Hierzu habe die Beschwerdeführerin bereits vor der Vorinstanz dargelegt, es gebe weder ein Musterpflichtenheft noch sonstige Hinweise in den anwendbaren Brandschutznormen, Richtlinien oder Merkblättern. Die Vorinstanz treffe willkürliche Feststellungen und Annahmen über die generellen Aufgaben sowie die Ausbildung und Baustellenpräsenz eines Sicherheitsbeauftragten. Ein Sicherheitsbeauftragter sei nicht permanent auf der Baustelle, sondern nur in regelmässigen Abständen. Die Vorinstanz habe bei ihren Kausalitätsüberlegungen zu Unrecht darauf abgestellt, was ein Sicherheitsbeauftragter im Idealfall getan hätte. Vielmehr hätte sie darauf abstellen müssen, was auf den Schweizer Baustellen tatsächlich Usus sei und "in der Realität" gemacht werde.
5.2.1. Indem die Beschwerdeführerin darauf verzichtet hat, einen Sicherheitsbeauftragten zu bestellen, hat sie eine Präventionspflicht verletzt - mithin eine Sorgfaltspflichtverletzung durch Unterlassen begangen (vgl. E. 5.1.5 hiervor). Steht eine Sorgfaltspflichtverletzung durch Unterlassen zur Diskussion, ist nach bundesgerichtlicher Rechtsprechung anhand eines hypothetischen Kausalzusammenhangs zu prüfen, ob nach dem gewöhnlichen Lauf der Dinge und den Erfahrungen des Lebens bei Vornahme der gebotenen Handlung der Erfolg mit überwiegender Wahrscheinlichkeit ausgeblieben wäre (vgl. BGE 134 V 255 E. 4.4.1 S. 264 f.; 124 III 155 E. 3d S. 165; 117 IV 130 E. 2a S. 133 f.; Urteil 6B 1104/2017 vom 13. April 2018 E. 2.3.2).
Nach dem Beweismass der überwiegenden Wahrscheinlichkeit ("la vraisemblance prépondérante", "la verosimiglianza preponderante") gilt ein Beweis als erbracht, wenn für die Richtigkeit der Sachbehauptung nach objektiven Gesichtspunkten derart gewichtige Gründe sprechen, dass andere denkbare Möglichkeiten vernünftigerweise nicht in Betracht fallen (vgl. BGE 144 III 264 E. 5.2 S. 269; 140 III 610 E. 4.1 S. 612; 132 III 715 E. 3.1 S. 720; 130 III 321 E. 3.3 S. 325).
Obwohl die Vorinstanz bei der Anwendung des kantonalen Rechts zu Recht an die bundesgerichtliche Rechtsprechung zur hypothetischen Kausalität anknüpft (vgl. BGE 144 I 318 E. 5.3.2 S. 326), steht die Kürzungsvoraussetzung der hypothetischen Kausalität weiterhin im Zusammenhang mit der relevanten kantonalen Norm (vgl. § 27 Abs. 2 GebVG AG). Sodann beruhen die vorinstanzlichen Erwägungen zum hypothetischen Kausalzusammenhang vorliegend auf einer Würdigung der in den Akten befindlichen Berichte. Die vorinstanzliche Beweiswürdigung mit Blick auf den hypothetischen Kausalzusammenhang prüft das Bundesgericht in der vorliegenden Angelegenheit daher mit eingeschränkter Kognition (vgl. BGE 132 III 305 E. 3.5 S. 310 f.; 115 II 440 E. 5a f. S. 447 ff.; Urteil 4A 420/2013 vom 22. Januar 2014 E. 5.3.2).
5.2.2. Ohne im Detail beurteilen zu müssen, ob ein Sicherheitsbeauftragter ein vordefiniertes Musterpflichtenheft zu befolgen hätte, ergibt sich jedenfalls, dass das Festlegen und Umsetzen von Brandschutzmassnahmen zur Kernaufgabe des Sicherheitsbeauftragten gehört. Wie die Vorinstanz umfassend feststellt (vgl. E. 9.3 f. des angefochtenen Urteils), ist ein Sicherheitsbeauftragter massgeblich für den Brandschutz auf den Baustellen verantwortlich. Er hat in diesem Rahmen unter anderem dafür zu sorgen, dass brennbares Material sowie Bauschutt periodisch entfernt oder in genügendem Abstand zur Baustelle gelagert, mögliche Zündquellen von brennbaren Abfällen getrennt und selbstentzündliche Öle, Fette und Farben in nicht brennbaren, verschlossenen Behältern aufbewahrt werden.
In tatsächlicher Hinsicht ist es daher nicht offensichtlich unrichtig, wenn die Vorinstanz einen Zusammenhang zwischen dem Fehlen eines Sicherheitsbeauftragten und dem Brand herstellt (vgl. Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
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1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
Sodann verfängt es nicht, vorzubringen, die Vorinstanz habe bei ihren Kausalitätsüberlegungen in unhaltbarer Weise darauf abgestellt, was ein Sicherheitsbeauftragter im Idealfall getan hätte, sondern darauf abstellen müssen, was auf den Schweizer Baustellen Usus sei und in der Realität gemacht werde. Insoweit eine solche Überlegung überhaupt sachgerecht wäre, stösst sie im Lichte der nachfolgenden Erwägung ohnehin ins Leere.
5.2.3. Aus dem Fachbericht der Kantonspolizei Aargau vom 11. Juni 2013 ergibt sich, dass sich die Baustelle allgemein und insbesondere im Bereich der Parkettverlegungsarbeiten aufgrund von Abfalldeponien in einem aus Sicht des Brandschutzes problematischen Zustand befand. Die von der unsachgemässen Entsorgung ölgetränkter Stofflappen ausgehende hohe Gefahr wäre einem Sicherheitsbeauftragten bewusst gewesen, weshalb ein solcher mit überwiegender Wahrscheinlichkeit auf eine fach- und sachgerechte Entsorgung hingewirkt hätte. Die Vorinstanz verfällt deshalb nicht in Willkür, wenn sie aufgrund der Aufgaben und Verantwortlichkeiten eines Sicherheitsbeauftragten sowie einer umfassenden Würdigung der Untersuchungsberichte erwägt, ein Sicherheitsbeauftragter hätte früher, konkreter und entscheidender auf die Einhaltung der brandvorbeugenden Verhaltensvorschriften bestanden (zu den Berichten vgl. auch E. 4.1 hiervor). Zu diesem Ergebnis hätte die Vorinstanz auch gelangen dürfen, wenn sie davon ausgegangen wäre, dass der Sicherheitsbeauftragte nicht permanent auf der Baustelle sei, sondern in regelmässigen Abständen, häufige Kontrollen durchführte. Wie bereits dargelegt (vgl. E. 5.1.5 hiervor) trägt der Sicherheitsbeauftragte massgeblich zu
einer Sicherheitskultur während der Bauphase bei.
5.2.4. Nach dem Gesagten kommt die Vorinstanz im Rahmen ihrer Beweiswürdigung in haltbarer Weise zum Schluss, dass nach dem gewöhnlichen Lauf der Dinge und den Erfahrungen des Lebens sowie aufgrund der Aufgaben und Verantwortlichkeiten eines Sicherheitsbeauftragten beim gehörigen Einsatz eines solchen der Brand vom 10. April 2013 mit überwiegender Wahrscheinlichkeit ausgeblieben wäre. An diesem Ergebnis ändern auch die Ausführungen der Beschwerdeführerin zu einem kausalitätsunterbrechenden Drittverschulden nichts. Insoweit ein solches Drittverschulden eines einzelnen Bauarbeiters überhaupt erstellt wäre, bestehen keine - von der Vorinstanz in unhaltbarer Weise nicht berücksichtigte - Hinweise, dass die Beschwerdeführerin deswegen nicht für die Sicherheit und den Brandschutz auf ihrer Baustelle verantwortlich gewesen wäre. Es erschliesst sich in diesem Zusammenhang nicht, wenn die Beschwerdeführerin vorbringt, das Wegwerfen eines mit Parkettöl versetzten Lappens durch einen einzelnen Bauarbeiter einer Subunternehmerin in eine Abfalldeponie sei nicht vorhersehbar gewesen und könne ihr nicht zugerechnet werden.
5.3. Im Weiteren hält die Beschwerdeführerin die vorinstanzlichen Ausführungen zum Verschuldensmassstab für unhaltbar (vgl. E. 4.2.3 hiervor; E. 13.4 des angefochtenen Urteils). Aufgrund der grossen Anzahl von Schutznormen im Bereich der Brandschutzvorschriften sei die Pflicht zur Bestellung nicht ohne Weiteres erkennbar gewesen. Diese Erkennbarkeit wäre nur gegeben, wenn ein Sicherheitsbeauftragter in der Brandschutzbewilligung per Auflage verlangt worden wäre. Angesichts der Untätigkeit der Beschwerdegegnerin und der offen gehaltenen Bestimmung in den einschlägigen Vorschriften habe die Beschwerdeführerin selbst beurteilen dürfen, ob ein Sicherheitsbeauftragter erforderlich sei. Die fehlende Bestellung eines solchen sei jedenfalls nicht grobfahrlässig.
5.3.1. Nach Auffassung der Vorinstanz hat der kantonale Gesetzgeber für die Kürzung der Entschädigung wegen offenkundiger Missachtung der Präventionspflicht nach § 27 Abs. 2 GebVG AG ein mit der Grobfahrlässigkeit vergleichbares Kriterium aufgestellt (vgl. E. 4.2.3 hiervor). Diese Auffassung wird von der Beschwerdeführerin nicht beanstandet. Sie bestreitet lediglich die vorinstanzliche Beurteilung der fehlenden Bestellung eines Sicherheitsbeauftragten als grobfahrlässige Pflichtverletzung.
Die Vorinstanz versteht den Begriff der Grobfahrlässigkeit wie er nach ständiger Rechtsprechung aus zivilrechtlicher Sicht definiert wird. Demnach liegt grobe Fahrlässigkeit vor, wenn eine Person unter Verletzung der elementarsten Vorsichtsgebote handelt und dadurch ausser Acht lässt, was jedem verständigen Menschen in der gleichen Lage und unter den gleichen Umständen hätte einleuchten müssen (vgl. BGE 143 I 147 E. 5.3.4 S. 157; 128 III 76 E. 1b S. 81; 119 II 443 E. 2a S. 448).
Obwohl die Vorinstanz bei der Anwendung des kantonalen Rechts zu Recht an die bundesgerichtliche Rechtsprechung zum bundeszivilrechtlichen Begriff der Grobfahrlässigkeit anknüpft (vgl. BGE 144 I 318 E. 5.3.2 S. 326), handelt es sich bei der Kürzungsvoraussetzung der Grobfahrlässigkeit im Sinne einer offenkundigen Missachtung nach § 27 Abs. 2 GebVG AG weiterhin um kantonales Recht. Die Überprüfung dieser Voraussetzung durch das Bundesgericht erfolgt daher mit eingeschränkter Kognition (vgl. Urteile 6B 428/2011 vom 21. November 2011 E. 3.5; 2C 111/2011 vom 7. Juli 2011 E. 3.1; vgl. auch E. 2 hiervor).
5.3.2. Mit dem Unterlassen, einen Sicherheitsbeauftragten einzusetzen, hat die Beschwerdeführerin eine wesentliche Präventionspflicht verletzt und auf ihrer Baustelle die Entstehung von vorschriftswidrigen Zuständen toleriert. Eine darauf zurückführende Verwirklichung eines Gefährdungspotenzials darf willkürfrei der Beschwerdeführerin zugerechnet werden. Es ist gemeinhin bekannt, dass die unsachgemässe Entsorgung oder Deponierung ölgetränkter Stofflappen ein erhebliches Selbstentzündungsrisiko birgt. Werden solche Stofflappen dennoch unsachgemäss entsorgt oder gelagert, geht damit ohne Weiteres eine Verletzung von elementarsten Vorsichtsgeboten einher. Die Beschwerdeführerin hat nicht die im Rahmen ihrer Präventionspflicht erforderlichen Massnahmen ergriffen, um auf ihrer Baustelle die unsachgemässe Entsorgung ölgetränkter Stofflappen zu verhindern. Die Verwirklichung dieses Brandrisikos und die dieser vorgelagerten Verletzung elementarster Vorsichtsgebote ist ihr zuzurechnen.
Eine pflichtwidrige Unvorsichtigkeit - wie sie die Beschwerdeführerin geltend macht - fällt aufgrund der Bedeutung eines Sicherheitsbeauftragten für den Brandschutz und aufgrund der ihr anzurechnenden elementaren Verletzung von Vorsichtsgeboten bei der Deponierung ölgetränkter Stofflappen ausser Betracht. In diesem Lichte darf in bundesrechtskonformer Weise von einer grobfahrlässigen Unterlassung ausgegangen werden. Die Vorinstanz gelangt folglich willkürfrei zur Ansicht, dass sich die unterbliebene Einsetzung eines Sicherheitsbeauftragten als offenkundige Missachtung einer Präventionspflicht nach § 27 Abs. 2 GebVG AG erweist.
5.3.3. Daran vermag auch der Umstand nichts zu ändern, dass die Beschwerdegegnerin in der Brandschutzbewilligung vom 17. September 2009 die Einsetzung eines Sicherheitsbeauftragten nicht per Auflage angeordnet hat. Aus Ziff. 1 der Brandschutzbewilligung geht hervor, dass die VKR-Brandschutzrichtlinie eine der anwendbaren gesetzlichen Grundlage darstellt. Wie bereits dargelegt, bestimmt Ziff. 8.1 Abs. 2 der VKR-Brandschutzrichtlinie, dass ein Sicherheitsbeauftragter zu bestimmen ist, wenn besondere Brandgefahren oder die Grösse der Baustelle es erfordern (vgl. E. 5.1.2 hiervor). Sodann ergibt sich aus der Ziff. 56 der Brandschutzbewilligung, dass mit Blick auf den Brandschutz während der Bauzeit die Sicherheitsvorkehrungen gemäss dem beiliegenden Merkblatt "Brandschutz auf Baustellen" der Gebäudeversicherung B.________ einzuhalten sind. Ziff. 3 dieses Merkblatts legt gleichermassen fest, dass ein Sicherheitsbeauftragter zu bestimmen ist, wenn besondere Brandgefahren oder die Grösse der Baustelle es erfordern. Der Beschwerdeführerin gelingt es somit auch nicht eine willkürliche Rechtsanwendung darzutun, indem sie die Erkennbarkeit dieser Präventionspflicht aufgrund der grossen Anzahl von Schutznormen im Bereich der
Brandschutzvorschriften in Frage stellt. Die Pflicht, bei Erforderlichkeit einen Sicherheitsbeauftragten einzusetzen, ergibt sich, wenn auch nicht aus dem Wortlaut, sodann in erkennbarer Weise aus den Hinweisen und Anhängen der Brandschutzbewilligung.
5.3.4. Zusammenfassend ergibt sich, dass die Vorinstanz nicht in Willkür verfällt, wenn sie im Verhalten der Beschwerdeführerin eine offenkundige Missachtung der Präventionspflicht im Sinne einer grobfahrlässigen Pflichtverletzung anerkennt.
6.
Im Rahmen des Eventualantrags verlangt die Beschwerdeführerin eine Reduktion der Kürzungsquote auf 1 % der Schadenssumme. Sie begründet diese Forderung mit der aussergewöhnlichen Schadenshöhe, einem verminderten Verschuldensgrad sowie den einschneidenden finanziellen Auswirkungen der Leistungskürzung. Im Gegensatz zum Spezialverwaltungsgericht habe die Vorinstanz keine Pflicht darin erkannt, provisorische Brandabschnitte zu bilden (vgl. E. 4.2.1 hiervor; E. 8.3.5 f. des angefochtenen Urteils). Dennoch habe die Vorinstanz den Umfang der Entschädigungskürzung nicht reduziert (vgl. E. 4.3 hiervor; E. 14.4 des angefochtenen Urteils). Der Wegfall dieses Vorwurfs hätte sich in der Kürzungsquote auswirken müssen. Sodann habe die Beschwerdeführerin im vorinstanzlichen Verfahren - entgegen den Ausführungen der Vorinstanz - vorgebracht, dass die Kürzung von Fr. 3'291'132.05 sie angesichts des zunehmend härteren Konkurrenzkampfs in der Baubranche in finanzieller Hinsicht durchaus erheblich treffe. Die Kürzungsquote von 14.5 % verstosse gegen das Willkürverbot, die Rechtsgleichheit und den Grundsatz der Verhältnismässigkeit.
6.1. Insoweit die Beschwerdeführerin ein Verletzung der Rechtsgleichheit nach Art. 8 Abs. 1
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 8 Égalité - 1 Tous les êtres humains sont égaux devant la loi. |
|
1 | Tous les êtres humains sont égaux devant la loi. |
2 | Nul ne doit subir de discrimination du fait notamment de son origine, de sa race, de son sexe, de son âge, de sa langue, de sa situation sociale, de son mode de vie, de ses convictions religieuses, philosophiques ou politiques ni du fait d'une déficience corporelle, mentale ou psychique. |
3 | L'homme et la femme sont égaux en droit. La loi pourvoit à l'égalité de droit et de fait, en particulier dans les domaines de la famille, de la formation et du travail. L'homme et la femme ont droit à un salaire égal pour un travail de valeur égale. |
4 | La loi prévoit des mesures en vue d'éliminer les inégalités qui frappent les personnes handicapées. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
6.2. Die Kürzung der Entschädigung nach § 27 Abs. 2 GebVG AG hat vor dem Grundsatz der Verhältnismässigkeit standzuhalten. Der Verhältnismässigkeitsgrundsatz kann zwar im Rahmen der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten direkt und unabhängig von einem Grundrecht angerufen werden. Ausserhalb der Einschränkung von Grundrechten prüft das Bundesgericht bei der Anwendung des kantonalen Rechts die Beachtung des Verhältnismässigkeitsgrundsatzes indes nur unter dem Blickwinkel des Willkürverbots (vgl. BGE 141 I 1 E. 5.3.2 S. 7 f.; 139 II 7 E. 7.3 S. 27 f.; 134 I 153 E. 4.1 ff. S. 156 ff.).
6.2.1. Zunächst ist festzuhalten, dass die Vorinstanz davon hat ausgehen dürfen, dass die Kürzung bei Grobfahrlässigkeit entsprechend der versicherungsrechtlichen Praxis in der Regel 20 % beträgt. Diese Praxis wird von der Beschwerdeführerin nicht beanstandet. Wenn sie die Kürzungsquote von rund 14.5 % als im pflichtgemässen Ermessen der Beschwerdegegnerin liegend bezeichnet, verfällt sie nicht in Willkür. Damit wird der ausserordentlichen Schadenshöhe jedenfalls in haltbarer Weise hinreichend Rechnung getragen.
6.2.2. Indessen verbleibt einerseits zu prüfen, ob die finanziellen Auswirkungen der Leistungskürzung für die Beschwerdeführerin dieser Beurteilung entgegenstehen. Wenn die Beschwerdeführerin in diesem Zusammenhang bloss vorbringt, die Kürzung treffe sie angesichts des zunehmend härteren Konkurrenzkampfs in der Baubranche in finanzieller Hinsicht durchaus erheblich, vermag sie damit noch keine Willkür darzutun. Da die finanziellen Auswirkungen nicht weiter substanziiert werden, ist die Kürzungsquote von 14.5 % willkürfrei mit dem Verhältnismässigkeitsgrundsatz vereinbar. Die in diesem Zusammenhang gerügte Verletzung des Anspruch auf rechtliches Gehör nach Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
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1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
6.2.3. Andererseits bleibt zu prüfen, ob sich die Verneinung der Pflicht, Brandabschnitte zu bilden (vgl. E. 4.2.1 hiervor), auf die Kürzungsquote hätte auswirken müssen. Entgegen der Auffassung der Beschwerdeführerin widerspiegelt sich in der Kürzungsquote von 14.5 % indes keine Kumulation mehrerer Hauptvorwürfe, von denen einzelne im Verlaufe des kantonalen Verfahrens fallen gelassen worden sind. Vielmehr ergibt sich bereits aus dem Fehlen eines Sicherheitsbeauftragten eine grobe Pflichtverletzung, die die Kürzungsquote von 14.5 % nach Massgabe dieses Verschuldens aus dem Blickwinkel des Willkürverbots als verhältnismässig erscheinen lässt. Die Beschwerdegegnerin hat in ihrer Kürzungsverfügung vom 2. Februar 2015 auf eine weitergehende Kürzung infolge einer Kumulation verzichtet, obwohl sie damals von mehreren Pflichtverletzungen der Beschwerdeführerin ausgegangen ist. Wenn die Vorinstanz eine grobfahrlässige Pflichtverletzung lediglich noch infolge der fehlenden Bestellung eines Sicherheitsbeauftragten bestätigt, ist es ihr trotzdem in haltbarer Weise offengestanden, an der bisherigen Kürzungsquote von 14.5 % festzuhalten.
6.3. Zusammenfassend ergibt sich, dass die Kürzungsquote von 14.5 % dem Verhältnismässigkeitsgrundsatz willkürfrei standhält.
7.
Im Ergebnis erweist sich die Beschwerde als unbegründet, weshalb sie abzuweisen ist. Diesem Verfahrensausgang entsprechend trägt die Beschwerdeführerin die Gerichtskosten (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 20'000.-- werden der Beschwerdeführerin auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Verfahrensbeteiligten und dem Verwaltungsgericht des Kantons Aargau, 3. Kammer, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 14. Mai 2020
Im Namen der II. öffentlich-rechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Seiler
Der Gerichtsschreiber: Zollinger