Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

9C 648/2016

Urteil vom 12. Juli 2017

II. sozialrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichterin Pfiffner, Präsidentin,
Bundesrichter Meyer, Parrino,
Gerichtsschreiber Grünenfelder.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Peter F. Siegen,
Beschwerdeführer,

gegen

IV-Stelle des Kantons Aargau,
Bahnhofplatz 3C, 5000 Aarau,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Invalidenversicherung,

Beschwerde gegen den Entscheid
des Versicherungsgerichts des Kantons Aargau
vom 9. August 2016.

Sachverhalt:

A.

A.a. Der 1965 geborene A.________ arbeitete bis 2001 als Electronic Commerce Development Coordinator bei der B.________ S.A.. Am 27. Mai 2002 meldete er sich wegen eines Bandscheibenvorfalles (Operation im Juli 2000), einer chronischen Hepatitis B und psychischen Beschwerden bei der Invalidenversicherung zum Leistungsbezug an. Nach verschiedenen Abklärungen sprach die IV-Stelle des Kantons Aargau A.________ ab 1. Mai 2002 eine ganze Invalidenrente zu (Verfügung vom 8. August 2003). Die nachfolgenden Rentenüberprüfungen ergaben keine Änderung.

A.b. Im Rahmen eines 2013 eingeleiteten Revisionsverfahrens veranlasste die IV-Stelle bei der Aerztlichen Begutachtungsinstitut GmbH (nachfolgend: ABI) eine polydisziplinäre Expertise (Gutachten vom 14. Oktober 2013). Gegen den abweisenden Vorbescheid erhob A.________ Einwände. Die IV-Stelle holte daraufhin ein neues ABI-Gutachten ein, das vom 1. September 2015 datiert. Gestützt darauf verfügte sie am 21. Januar 2016 die Einstellung der ganzen Invalidenrente auf Ende des Folgemonats mit der Begründung, der Gesundheitszustand des Versicherten habe sich wesentlich verbessert.

B.
Die dagegen erhobene Beschwerde wies das Versicherungsgericht des Kantons Aargau ab, soweit es darauf eintrat (Entscheid vom 9. August 2016).

C.
A.________ führt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten und beantragt, in Aufhebung des angefochtenen Entscheides sowie der Verfügung der IV-Stelle vom 21. Januar 2016 sei ihm weiterhin eine ganze Invalidenrente zuzusprechen. Eventualiter sei die Sache zum Neuentscheid an die Vorinstanz oder die IV-Stelle zurückzuweisen.
Die IV-Stelle schliesst auf Abweisung der Beschwerde. Das Bundesamt für Sozialversicherungen verzichtet auf eine Vernehmlassung.

Erwägungen:

1.

1.1. Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann unter anderem die Verletzung von Bundesrecht gerügt werden (Art. 95 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG). Die Feststellung des Sachverhalts kann nur gerügt werden, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Artikel 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
beruht und wenn die Behebung des Mangels für den Ausgang des Verfahrens entscheidend sein kann (Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
BGG). Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG). Es kann die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz von Amtes wegen berichtigen oder ergänzen, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Artikel 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
beruht (Art. 105 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG).

1.2. Neue Tatsachen und Beweismittel dürfen nur soweit vorgebracht werden, als erst der vorinstanzliche Entscheid dazu Anlass gibt (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
BGG). Der Versicherte legt einen Bericht der Klinik C.________ vom 13. Dezember 2016 und einen solchen der Klinik D.________ vom 15. Dezember 2016 ins Recht. Diese Beweismittel sind nach dem angefochtenen Entscheid entstanden. Sie bleiben aufgrund des Verbots, im Beschwerdeverfahren vor Bundesgericht echte Noven beizubringen, unbeachtlich (BGE 140 V 543 E. 3.2.2.2 S. 548; 139 III 120 E. 3.1.2 S. 123). Überdies ist im Normalfall der Sachverhalt zu beurteilen, wie er sich bis zum Verfügungszeitpunkt entwickelt hat (BGE 121 V 362 E. 1b S. 366).

2.
Das kantonale Gericht hat die gesetzlichen Bestimmungen und Grundsätze zur Invalidität (Art. 4 Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 4 Invalidité - 1 L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45
1    L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45
2    L'invalidité est réputée survenue dès qu'elle est, par sa nature et sa gravité, propre à ouvrir droit aux prestations entrant en considération.46
IVG und Art. 7 f
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
1    Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
2    Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12
. ATSG) sowie zur Rentenrevision (Art. 17 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
1    La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
a  subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou
b  atteint 100 %.19
2    De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement.
ATSG) korrekt wiedergegeben. Richtig sind auch die Ausführungen zum relevanten Vergleichszeitpunkt (BGE 133 V 108 E. 5 S. 110 ff.) und zur Beweiskraft medizinischer Berichte und Gutachten (BGE 134 V 231 E. 5.1 S. 232; 125 V 351 E. 3a S. 352), insbesondere im Zusammenhang mit der Revision von Invalidenrenten (SVR 2012 IV Nr. 18, 9C 418/2010 E. 4.2; Urteil 8C 441/2012 vom 25. Juli 2013 E. 6.1.2). Darauf wird verwiesen.

3.
Streitig und zu prüfen ist, ob die Vorinstanz die rentenaufhebende Verfügung der IV-Stelle vom 21. Januar 2016 zu Recht geschützt hat.

3.1. Das kantonale Gericht hat den polydisziplinären ABI-Gutachten vom 14. Oktober 2013 und 1. September 2015 Beweiskraft beigemessen. Gestützt darauf hat es eine Arbeitsfähigkeit von 80 % für die angestammte und jede andere angepasste Tätigkeit als zumutbar erachtet. Daraus hat die Vorinstanz geschlossen, dass sich der psychische Gesundheitszustand des Beschwerdeführers wesentlich verbessert habe, weshalb ein Revisionsgrund gemäss Art. 17 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
1    La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
a  subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou
b  atteint 100 %.19
2    De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement.
ATSG vorliege. Sodann hat sie aufgrund eines Prozentvergleichs einen Invaliditätsgrad von 20 % ermittelt und die Rentenaufhebung bestätigt.

3.2. Die konkrete Beweiswürdigung stellt eine Tatfrage dar. Dagegen ist die Beachtung des Untersuchungsgrundsatzes und der Beweiswürdigungsregeln nach Art. 61 lit. c
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes:
a  elle doit être simple, rapide et en règle générale publique;
b  l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté;
c  le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement;
d  le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours;
e  si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats;
f  le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant;
fbis  pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté;
g  le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige;
h  les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit;
i  les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement.
ATSG eine Rechtsfrage (BGE 132 V 393 E. 3.2 und 4 S. 397 ff.; Urteil I 865/06 vom 12. Oktober 2007 E. 4 mit Hinweisen), welche das Bundesgericht im Rahmen der den Parteien obliegenden Begründungs- bzw. Rügepflicht (Art. 42 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG und Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG; BGE 133 II 249 E. 1.4.1 und 1.4.2 S. 254) frei überprüfen kann (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG).

4.

4.1. Wenn der Beschwerdeführer vorbringt, die beiden ABI-Gutachten vom 14. Oktober 2013 und 1. September 2015 seien nicht beweiskräftig, weil die ABI-Experten die Auswirkungen der somatischen und psychischen Beschwerden nicht genügend differenziert beurteilt hätten, beschränkt er sich darauf, die bereits im vorinstanzlichen Verfahren vorgebrachten Rügen zu wiederholen und den Erwägungen des kantonalen Gerichts die eigene Sichtweise entgegenzuhalten, was nicht genügt. Der Einwand, die Gutachten seien abgefasst, "wie wenn es sich bei ihm um einen Bauarbeiter handeln würde", ist nicht stichhaltig: Im Gegenteil berücksichtigten die ABI-Gutachter den gesamten beruflichen und sozialen Werdegang des Versicherten umfassend. So geht bereits aus dem ersten Gutachten vom 14. Oktober 2013 explizit hervor, der Explorand habe nach dem vergeblichen Versuch, in Zürich Medizin zu studieren, mehrere Jahre im EDV-Bereich als Instruktor, Consultant und Koordinator im Aussendienst gearbeitet. Letztgenannte Tätigkeit könne als die angestammte angesehen werden (ABI-Gutachten vom 14. Oktober 2013, "Arbeitsfähigkeit aus orthopädischer Sicht", Ziff. 4.2.5 S. 19). Im Rahmen des Gutachtens 2015 gelangte der orthopädische Experte Dr. med. E.________ zum
Schluss, seit dem ABI-Gutachten vom 14. Oktober 2013 sei es zu keiner wesentlichen Veränderung der Arbeitsfähigkeit gekommen (vgl. ABI-Gutachten vom 1. September 2015, Ziff. 4.2.6 S. 21). Dr. med. E.________ begründete zudem nachvollziehbar, welche Tätigkeiten (körperlich leicht unter Wechselbelastung; ohne Heben und Tragen von Lasten über 10 kg) dem Versicherten in welchem zeitlichen Umfang zumutbar seien (vgl. ABI-Gutachten vom 1. September 2015, Ziff. 4.2.5 S. 21). Damit liegt - entgegen den Ausführungen in der Beschwerde - aus orthopädischer Sicht ein schlüssiges Belastungsprofil vor, das mit demjenigen eines Bauarbeiters nichts gemeinsam hat. Von "laienhaften Annahmen", wie sie in der Beschwerde geltend gemacht werden, kann keine Rede sein.

4.2. Auch die Rüge des Beschwerdeführers, die Einschätzung in den beiden psychiatrischen ABI-Gutachten sei lückenhaft, hilft nicht weiter: Der ABI-Experte Dr. med. F.________ führte aus, die Einschränkung der Arbeitsfähigkeit des Versicherten sei durch die vorliegenden psychischen Störungen (rezidivierende depressive Störung, gegenwärtig leichte Episode [ICD-10 F33.0]; Panikstörung [ICD-10 F41.0]) bedingt. Dadurch komme es bei der Arbeit vor allem zu einer erhöhten Ermüdbarkeit, was einen vermehrten Pausenbedarf erfordere (vgl. ABI-Gutachten vom 14. Oktober 2013 und 1. September 2015, "Arbeitsfähigkeit aus psychiatrischer Sicht", Ziff. 4.1.5 S. 13 bzw. S. 16). Überdies äusserte sich Dr. med. F.________ bei der Beantwortung der von der IV-Stelle gestellten Ergänzungsfragen nochmals explizit zu den vorhandenen psychischen Ressourcen des Versicherten. Dabei ging er detailliert auf dessen beruflichen Werdegang (beabsichtigtes Medizinstudium; Schulabschluss als EDV-Instruktor; Tätigkeit bei der B.________ S.A.) ein (vgl. ABI-Stellungnahme vom 24. November 2015). Diese Einschätzung ist - entgegen der Auffassung des Beschwerdeführers - in allen Teilen bundesrechtskonform. Aus der Gesamtbeurteilung des ABI geht sodann unmissverständlich
hervor, dass die 20%ige Einschränkung der Arbeitsfähigkeit sämtliche körperlich leichten, geeigneten Tätigkeiten - also auch die zuletzt ausgeübte - umfasst (ABI-Gutachten vom 1. September 2015, Ziff. 6.2 S. 27). Der Einwand, der psychiatrische ABI-Experte habe mit keinem Wort erklärt, von welchem Tätigkeitsprofil er ausgehe, ist folglich unbehelflich. Auch im Übrigen bringt der Beschwerdeführer nichts vor, was Zweifel an der Beweiskraft der psychiatrischen ABI-Gutachten rechtfertigen könnte. Soweit er sich auf pauschale Behauptungen beschränkt, denen kein eigentlicher Begründungsgehalt unterlegt ist, sind diese zum vorneherein nicht zu hören.

4.3. Die Arbeitsfähigkeit des Versicherten ist aus neurologischer Sicht unstreitig nicht beeinträchtigt. Daher erübrigen sich Ausführungen zu den diesbezüglichen Vorbringen des Bescherdeführers ohne weiteres. Insgesamt durfte d as kantonale Gericht auf die ABI-Gutachten vom 14. Oktober 2013 und 1. September 2015 abstellen, ohne Bundesrecht zu verletzen. Der Verzicht auf weitere Abklärungen erfolgte in zulässiger antizipierender Beweiswürdigung (BGE 136 I 229 E. 5.3 S. 236 f. mit Hinweis).

5.

5.1. Was das Vorliegen eines Revisionsgrundes (Art. 17 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
1    La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
a  subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou
b  atteint 100 %.19
2    De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement.
ATSG) anbelangt, hat die Vorinstanz beweiswürdigend festgestellt, im Gutachten vom 14. Oktober 2013 hätten die ABI-Gutachter ausgeführt, es könne aus psychiatrischer Sicht diagnostisch von einer rezidivierenden depressiven Störung ausgegangen werden. Diese sei vor allem früher, entsprechend den Angaben des behandelnden Psychiaters Dr. med. G.________ und auch der erfolgten Rentenzusprache, mit einer schweren Episode ausgeprägt gewesen. Gegenwärtig könne aber eine schwere depressive Episode nicht mehr bestätigt werden. Auch aufgrund der täglichen Aktivitäten, welche dem Beschwerdeführer möglich seien, liege keine Arbeitsunfähigkeit mehr vor.

5.2. Der Beschwerdeführer wendet dagegen einzig ein, in psychiatrischer Hinsicht sei entscheidend, dass gegenwärtig eine andauernde depressive Reaktion (ICD-10 F43.21) vorliege. Da entgegen den Erwägungen des kantonalen Gerichts auch am 8. August 2003 keine schwere Depression bestanden habe, könne nicht auf eine Verbesserung des psychischen Gesundheitszustands geschlossen werden. Dies greift insoweit zu kurz, als eine unveränderte Diagnose allein nicht genügt, damit lediglich von einer - die Rentenrevision ausschliessenden - anderen Beurteilung des gleichen Sachverhalts ausgegangen werden könnte (zum Hinzutreten bzw. Wegfallen einer Diagnose vgl. BGE 141 V 9 E. 2.3 S. 10 mit weiteren Hinweisen). Der Beschwerdeführer übersieht, dass das kantonale Gericht einen Revisionsgrund (auch) aufgrund einer Verbesserung des Aktivitätsniveaus bejaht hat (vgl. die vorinstanzliche Erwägung 4.3). In der Tat hielt der psychiatrische Gutachter Dr. med. F.________ mit Blick auf die täglichen Aktivitäten fest, der Versicherte könne (neu) auch körperlich nicht anspruchsvolle Haushalttätigkeiten verrichten und fahre vor allem selber Auto, wenn auch nicht längere Strecken; dies spreche gegen das Vorliegen von deutlichen Konzentrationsstörungen (vgl.
ABI-Gutachten vom 14. Oktober 2013, Ziff. 4.1.8 in fine S. 14). Demgegenüber war der behandelnde Psychiater Dr. med. G.________ im Frühling 2003 mit Blick auf die alltäglichen Verrichtungen noch von einem gänzlich fehlenden Antrieb, Kraftlosigkeit, einem (depressiv bedingt) reduzierten Gedächtnis und insbesondere von Konzentrationsstörungen ausgegangen (vgl. Bericht vom 31. März 2003). Das kantonale Gericht hat die daraus folgende Einschätzung des psychiatrischen ABI-Experten übernommen, wonach gestützt auf die täglichen Aktivitäten des Versicherten keine Arbeitsunfähigkeit mehr vorliege (vgl. E. 5.1 vorne, letzter Satz). Die diesbezügliche Sachverhaltsfeststellung ist jedenfalls nicht offensichtlich unrichtig oder sonst wie bundesrechtswidrig (willkürlich), zumal der Beschwerdeführer dazu nicht (substantiiert) Stellung nimmt; sie bleibt für das Bundesgericht verbindlich (vgl. E. 1.1 vorne). Die Schlussfolgerung des kantonalen Gerichts, dass ein Revisionsgrund im Sinne von Art. 17 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
1    La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
a  subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou
b  atteint 100 %.19
2    De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement.
ATSG vorliege, hält vor Bundesrecht stand. Weitere Ausführungen zur Frage, ob auch aus orthopädischer Sicht eine Änderung des Gesundheitszustands anzunehmen ist, erübrigen sich.

6.

6.1. Streitig ist weiter die anwendbare Methode der Invaliditätsbemessung. Das kantonale Gericht hat erwogen, weil dem Beschwerdeführer gestützt auf das ABI-Gutachten sowohl die angestammte als auch eine angepasste Tätigkeit zu 80 % zumutbar sei, resultiere unter Anwendung eines Prozentvergleichs ein Invaliditätsgrad von 20 %. Damit habe der Beschwerdeführer keinen Rentenanspruch mehr. Auf Ausführungen zum anrechenbaren Validen- und Invalideneinkommen könne verzichtet werden.

6.2.

6.2.1. Für die Bestimmung des Invalideneinkommens - soweit dieses nicht aufgrund eines tatsächlich erzielten Einkommens feststeht - können die vom Bundesamt für Statistik (BfS) herausgegebenen Lohnstrukturerhebungen (nachfolgend: LSE; BGE 126 V 75 E. 3b S. 76 mit Hinweisen) beigezogen werden (vgl. nachfolgend E. 6.5.1). Ein Abweichen von diesem Grundsatz ist indes zulässig, wenn die fraglichen Erwerbseinkommen ziffernmässig nicht genau bestimmt werden können. Der Verdienstausfall ist diesfalls durch die Gegenüberstellung blosser Prozentzahlen zu schätzen, was eine zulässige Variante des Einkommensvergleichs (Art. 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré.
ATSG) anhand der LSE-Tabellenwerte darstellt. Das ohne Invalidität erzielbare hypothetische Erwerbseinkommen ist alsdann mit 100 % zu bewerten, während das Invalideneinkommen auf einen entsprechend kleineren Prozentsatz veranschlagt wird, sodass sich aus der Prozentdifferenz der Invaliditätsgrad ergibt (sogenannter Prozentvergleich; BGE 114 V 310 E. 3a S. 312 f.). Die Anwendung dieser Methode ist gerechtfertigt, wenn der versicherten Person die Wiederaufnahme der angestammten Tätigkeit noch offen steht (weil beispielsweise keine Kündigung des Arbeitsvertrages erfolgte), oder wenn sie an ihrer bisherigen Arbeitsstelle
als bestmöglich eingegliedert gilt (weil etwa der vor Eintritt des Gesundheitsschadens erzielte Verdienst höher ist als das Invalideneinkommen; Urteil 9C 225/2016 vom 14. Juli 2016 E. 6.2.2 mit Hinweisen).

6.2.2. Die Frage, in welchem Ausmass die versicherte Person ohne Gesundheitsschaden erwerbstätig wäre, ist mit Rücksicht auf die gesamten Umstände, so die persönlichen, familiären, sozialen und erwerblichen Verhältnisse, zu beantworten. Dabei handelt es sich zwangsläufig um eine hypothetische Beurteilung, die auch hypothetische Willensentscheidungen der versicherten Person berücksichtigen muss, die indessen als innere Tatsache einer direkten Beweisführung nicht zugänglich sind und in aller Regel aus äusseren Indizien erschlossen werden müssen. Die Beurteilung hypothetischer Geschehensabläufe ist eine Tatfrage, insoweit sie auf Beweiswürdigung beruht, selbst wenn darin auch Schlussfolgerungen aus der allgemeinen Lebenserfahrung berücksichtigt werden. Rechtsfragen sind hingegen Folgerungen, die ausschliesslich auf die allgemeine Lebenserfahrung gestützt werden (Urteil 9C 3/2016 vom 10. Oktober 2016 E. 1.2 mit Hinweisen).

6.3. Die Vorinstanz übersieht, dass die letzte Arbeitsstelle des Beschwerdeführers als Electronic Commerce Development Coordinator bei der B.________ S.A. infolge der Kündigung durch die Arbeitgeberin nicht mehr besteht (vgl. Arbeitgeberangaben vom 7. Juni 2002). Der Versicherte hat zudem unstreitig letztmals im Mai 2001 in seiner angestammten Tätigkeit gearbeitet (vgl. Verfügung vom 8. August 2003). Mit Blick auf den technischen Fortschritt in der IT-Branche ist nicht davon auszugehen, dass er ein ähnliches Einkommen wird erzielen können wie vor Eintritt des Gesundheitsschadens vor über fünfzehn Jahren. Damit fällt auch eine Wiederaufnahme der angestammten Tätigkeit, wie in der Beschwerde zu Recht geltend gemacht wird, ausser Betracht. Die Voraussetzungen für einen Prozentvergleich sind nicht gegeben (vgl. E. 6.2.1 vorne); das Vorgehen des kantonalen Gerichts verletzt Bundesrecht. Validen- und Invalideneinkommen sind ziffernmässig festzulegen.

6.4.

6.4.1. Das Valideneinkommen ist so konkret wie möglich zu bestimmen (E. 3.1; Urteile 9C 846/2015 vom 2. März 2016 E. 2.2 Abs. 3; 9C 796/2013 vom 28. Januar 2014 E. 2.1). Dabei wird in der Regel am zuletzt erzielten, nötigenfalls der Teuerung und der realen Einkommensentwicklung angepassten Verdienst angeknüpft, da es empirischer Erfahrung entspricht, dass die bisherige Tätigkeit ohne Gesundheitsschaden fortgesetzt worden wäre. Ausnahmen müssen mit überwiegender Wahrscheinlichkeit erstellt sein (BGE 129 V 222 E. 4.3.1 S. 224 mit Hinweisen; SVR 2016 UV Nr. 13 S. 39, 8C 215/2015 E. 4.2; 2013 UV Nr. 4 S. 13, 8C 145/2012 E. 3.1). In diesem Sinne bedarf das Abgehen vom zuletzt erzielten Verdienst besonderer Begründung (Urteil 9C 846/2015 vom 2. März 2016 E. 2.2 Abs. 3).

6.4.2. Der vom Versicherten als Gesunder in der bisherigen Tätigkeit erzielte Verdienst beläuft sich per 1. Januar 2003 (hypothetisch) auf Fr. 8'262.80 im Monat (vgl. Arbeitgeberangaben vom 17. März 2003; Verfügung vom 8. August 2003). Dass die Tätigkeit als Electronic Commerce Development Coordinator bei der B.________ S.A. als solche auf dem Arbeitsmarkt nicht mehr vorhanden oder die letzte Arbeitsstelle des Versicherten aus wirtschaftlichen Gründen verloren gegangen wäre (diesfalls wäre der Tabellenlohn Anknüpfungspunkt für das Valideneinkommen), steht nicht zur Diskussion. Gestützt darauf ist, wie dies in der Beschwerde beantragt wird, das in den Verfügungen vom 8. August 2003 und 21. Januar 2016 korrekt berücksichtigte Valideneinkommen von Fr. 123'443.- (13 x Fr. 8'262.80 = Fr. 107'416.-, indexiert auf 2012) heranzuziehen. Nachdem die Vergleichseinkommen auf der gleichen zeitlichen Grundlage zu berechnen sind, erübrigt sich eine Anpassung an die Verhältnisse im Verfügungszeitpunkt (21. Januar 2016; zum Invalideneinkommen vgl. nachfolgend E. 6.5).

6.5.

6.5.1. Auch für die Bestimmung des Invalideneinkommens ist primär von der beruflich-erwerblichen Situation auszugehen, in welcher die versicherte Person konkret steht. Übt sie nach Eintritt der Invalidität eine Erwerbstätigkeit aus, bei der - kumulativ - besonders stabile Arbeitsverhältnisse gegeben sind und anzunehmen ist, dass sie die ihr verbleibende Arbeitsfähigkeit in zumutbarer Weise voll ausschöpft, und erscheint zudem das Einkommen aus der Arbeitsleistung als angemessen und nicht als Soziallohn, gilt grundsätzlich der tatsächlich erzielte Verdienst als Invalidenlohn. Ist kein solches tatsächlich erzieltes Erwerbseinkommen gegeben, namentlich weil die versicherte Person nach Eintritt des Gesundheitsschadens keine oder jedenfalls keine ihr an sich zumutbare neue Erwerbstätigkeit aufgenommen hat, so können insbesondere LSE-Tabellenlöhne herangezogen werden (BGE 129 V 472 E. 4.2.1 S. 475 mit Hinweisen; Urteil 8C 898/2015 vom 13. Juni 2016 E. 3.2).

6.5.2. Wird das Invalideneinkommen auf der Grundlage von statistischen Durchschnittswerten ermittelt, ist der entsprechende Ausgangswert (Tabellenlohn) allenfalls zu kürzen. Damit soll der Tatsache Rechnung getragen werden, dass persönliche und berufliche Merkmale, wie Art und Ausmass der Behinderung, Lebensalter, Dienstjahre, Nationalität oder Aufenthaltskategorie und Beschäftigungsgrad Auswirkungen auf die Lohnhöhe haben können (BGE 124 V 321 E. 3b/aa S. 323) und die versicherte Person - je nach Ausprägung - deswegen die verbliebene Arbeitsfähigkeit auch auf einem ausgeglichenen Arbeitsmarkt nur mit unterdurchschnittlichem erwerblichem Erfolg verwerten kann (BGE 126 V 75 E. 5b/aa in fine S. 80). Der Abzug ist unter Würdigung der Umstände im Einzelfall nach pflichtgemässem Ermessen gesamthaft zu schätzen. Er darf 25 % nicht übersteigen (BGE 135 V 297 E. 5.2 S. 301; 126 V 75 E. 5b/bb-cc S. 80).

6.5.3. Die Frage, ob ein (behinderungsbedingt oder anderweitig begründeter) Abzug vorzunehmen sei, ist eine frei überprüfbare Rechtsfrage (BGE 137 V 71 E. 5.1 S. 72 f. mit Hinweis; Urteil 8C 652/2008 vom 8. Mai 2009 E. 4 in fine, nicht publiziert in: BGE 135 V 297).

6.5.4.

6.5.4.1. Der Beschwerde ist insoweit zu folgen, als betreffend das Invalideneinkommen die Voraussetzungen für die Heranziehung der LSE-Tabellenwerte erfüllt sind. Mit Blick auf die anwendbare LSE 2012 entfällt die Anrechnung des Totalwerts, weil der Beschwerdeführer nur im Dienstleistungssektor über Berufserfahrung verfügt. Wird mit der Beschwerde die Branche "Information und Kommunikation" (LSE 2012, TA1, Spalte 58-63) herangezogen, so erscheint die Anrechnung des Kompetenzniveaus 2 angemessen, worin praktische Tätigkeiten u.a. im Bereich der Administration und Datenverarbeitung enthalten sind (Fr. 6'946.-; LSE 2012, TA1, Kompetenzniveau 2, Männer). Dies führt unter Berücksichtigung der betriebsüblichen wöchentlichen Arbeitszeit zu einem Betrag von Fr. 85'435.80 (Fr. 6'946.- x 12 : 40 x 41.0). Bei einer Arbeitsfähigkeit von 80 % (vgl. E. 3.1 vorne) resultiert ein Invalideneinkommen von Fr. 68'348.60 (Fr. 85'435.80 x 0.8). Alternativ könnte auch die Branche "Freiberufliche, wissenschaftliche und technische Dienstl." (Fr. 6'420.-; LSE 2012, TA1, Spalte 69-75, Kompetenzniveau 2, Männer) herangezogen werden. Gestützt darauf ergibt sich ein Invalideneinkommen von Fr. 63'943.20 (Fr. 6'420.- x 12 : 40 x 41.5 = Fr. 79'929.- x 0.8).

6.5.4.2. Der Beschwerdeführer macht sodann geltend, es sei ein Abzug vom Tabellenlohn von 20 % vorzunehmen. Soweit er diesbezüglich rügt, er leide immer noch unter somatischen Beschwerden (u.a. einer Hepatitis B), ist nicht ersichtlich, weshalb gestützt darauf ein Abzug gerechtfertigt sein sollte. Gegenteils wurden die somatischen Leiden in der ABI-Expertise im Rahmen der 20%igen Einschränkung der Arbeitsfähigkeit berücksichtigt. Dies gilt insbesondere für den erhöhten Pausenbedarf infolge der Nebenwirkungen der Hepatitis B-Therapie, was gemäss Einschätzung der Gutachter zu einer (mit Blick auf die psychiatrische Arbeitsunfähigkeit nicht additiven) Leistungsminderung von 10 % führe (vgl. ABI-Gutachten vom 1. September 2015, Ziff. 3.4 S. 11 f.). Dem Umstand, dass der Versicherte in Anbetracht der langen Berufspause und der Entwicklung in der IT-Branche keinen "Durchschnittslohn" mehr erreichen könne, worauf dieser weiter verweist, wird durch das Abstellen auf das Kompetenzniveau 2 der LSE-Tabellenwerte hinreichend Rechnung getragen (vgl. E. 6.5.4.1 vorne). Inwieweit ferner die - wie der Beschwerdeführer selber einräumt - bereits guten Deutsch- und Englischkenntnisse einen Abzug rechtfertigen sollen, ist nicht ersichtlich und wird
in der Beschwerde auch nicht (substantiiert) dargetan. Ebenso wenig vermag der (pauschale) Hinweis, der Beschwerdeführer sei "alt" (vgl. dazu statt vieler: Urteil 9C 455/2013 vom 4. Oktober 2013 E. 4.2), eine wesentliche Erschwernis bei der Integration in den Arbeitsmarkt zu begründen: Der im Verfügungszeitpunkt knapp über fünfzigjährige Versicherte verfügt mit einer in der Schweiz anerkannten Matura, einer EDV-Ausbildung und einiger Berufserfahrung über ein solides berufliches Rüstzeug (vgl. berufliche Anamnese; ABI-Gutachten vom 1. September 2015, S. 13). Schliesslich bringt der Beschwerdeführer zu Recht nicht vor, dass sich das Kriterium der Teilzeitarbeit bei einem zumutbaren Pensum von 80 % nachteilig auswirke (vgl. Urteil 8C 805/2016 vom 22. März 2017 E. 3.2 mit weiteren Hinweisen). Auch im Übrigen sind keine abzugsrelevanten Umstände ersichtlich, weshalb es mit dem ermittelten Invalideneinkommen (E. 6.5.4.1 vorne) sein Bewenden hat.

6.6. Insgesamt resultiert in Anbetracht der festgelegten Vergleichseinkommen (Valideneinkommen: Fr. 123'443.-; Invalideneinkommen: Fr. 68'348.60) ein Invaliditätsgrad von 44.6 % (bzw. bei einem Invalideneinkommen von Fr. 63'943.20 [vgl. vorne E. 6.5.4.1 in fine] ein solcher von 48.2 %). So oder anders führt dies nicht zur revisionsweisen Aufhebung, sondern zur Herabsetzung der bisher ausgerichteten ganzen Invalidenrente auf eine Viertelsrente (Art. 28 Abs. 2
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
1    L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
a  sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles;
b  il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable;
c  au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins.
1bis    Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205
2    ...206
IVG); der Rentenanspruch besteht ab 1. März 2016. Die Beschwerde ist teilweise begründet.

7.
Dem Verfahrensausgang entsprechend sind die Gerichtskosten der unterliegenden Beschwerdegegnerin aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
Satz 1 BGG), welche dem Beschwerdeführer eine Parteientschädigung auszurichten hat (Art. 68 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
und 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird teilweise gutgeheissen. Der Entscheid des Versicherungsgerichts des Kantons Aargau vom 9. August 2016 und die Verfügung der IV-Stelle des Kantons Aargau vom 21. Januar 2016 werden dahingehend abgeändert, dass die Beschwerdegegnerin dem Beschwerdeführer ab 1. März 2016 eine Viertelsrente der Invalidenversicherung auszurichten hat. Im Übrigen wird die Beschwerde abgewiesen.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden der Beschwerdegegnerin auferlegt.

3.
Die Beschwerdegegnerin hat den Beschwerdeführer für das bundesgerichtliche Verfahren mit Fr. 2800.- zu entschädigen.

4.
Die Sache wird zur Neuverlegung der Kosten und der Parteientschädigung des vorangegangenen Verfahrens an das Versicherungsgericht des Kantons Aargau zurückgewiesen.

5.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Versicherungsgericht des Kantons Aargau und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.

Luzern, 12. Juli 2017

Im Namen der II. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Die Präsidentin: Pfiffner

Der Gerichtsschreiber: Grünenfelder
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 9C_648/2016
Date : 12 juillet 2017
Publié : 03 août 2017
Source : Tribunal fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Assurance-invalidité
Objet : Invalidenversicherung


Répertoire des lois
LAI: 4 
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 4 Invalidité - 1 L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45
1    L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45
2    L'invalidité est réputée survenue dès qu'elle est, par sa nature et sa gravité, propre à ouvrir droit aux prestations entrant en considération.46
28
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
1    L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
a  sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles;
b  il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable;
c  au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins.
1bis    Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205
2    ...206
LPGA: 7 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
1    Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
2    Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12
16 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré.
17 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
1    La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
a  subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou
b  atteint 100 %.19
2    De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement.
61
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes:
a  elle doit être simple, rapide et en règle générale publique;
b  l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté;
c  le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement;
d  le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours;
e  si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats;
f  le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant;
fbis  pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté;
g  le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige;
h  les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit;
i  les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement.
LTF: 42 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
66 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
68 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
95 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
97 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
99 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
105 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
106
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
Répertoire ATF
114-V-310 • 121-V-362 • 124-V-321 • 125-V-351 • 126-V-75 • 129-V-222 • 129-V-472 • 132-V-393 • 133-II-249 • 133-V-108 • 134-V-231 • 135-V-297 • 136-I-229 • 137-V-71 • 139-III-120 • 140-V-543 • 141-V-9
Weitere Urteile ab 2000
8C_145/2012 • 8C_215/2015 • 8C_441/2012 • 8C_652/2008 • 8C_805/2016 • 8C_898/2015 • 9C_225/2016 • 9C_3/2016 • 9C_418/2010 • 9C_455/2013 • 9C_648/2016 • 9C_796/2013 • 9C_846/2015 • I_865/06
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
aa • aarau • accès • argovie • atteinte à la santé • atteinte à la santé physique • autorité inférieure • avocat • calcul • communication • comparaison des revenus • constatation des faits • contrat de travail • d'office • diagnostic • dimensions de la construction • doute • durée et horaire de travail • décision • déclaration • dépression • empêchement • exactitude • examinateur • expert • expertise psychiatrique • expérience • faits nouveaux • fin • force probante • frais judiciaires • greffier • hameau • hépatite • incapacité de travail • incombance • instructeur • intégration sociale • intéressé • langue • marché équilibré du travail • modification • mois • motif de révision • motivation de la décision • moyen de preuve • office ai • office fédéral de la statistique • office fédéral des assurances sociales • perception de prestation • pouvoir d'appréciation • pré • quart de rente • question • question de fait • recours en matière de droit public • rejet de la demande • renchérissement • rente d'invalidité • revenu d'invalide • revenu d'une activité lucrative • revenu sans invalidité • répétition • révision • salaire moyen • salaire social • statistique • suppression de la prestation d'assurance • thérapie • traitement électronique des données • tribunal des assurances • tribunal fédéral • violation du droit • état de fait • état de santé • étendue