Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
8C 741/2014
Urteil vom 11. März 2015
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichterin Leuzinger, Präsidentin,
Bundesrichter Ursprung, Bundesrichter Frésard,
Gerichtsschreiberin Kopp Käch.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwältin lic. iur. Nicole Allemann,
Beschwerdeführerin,
gegen
IV-Stelle des Kantons Solothurn,
Allmendweg 6, 4528 Zuchwil,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Invalidenversicherung (Invalidenrente),
Beschwerde gegen den Entscheid des Versicherungsgerichts des Kantons Solothurn vom 28. August 2014.
Sachverhalt:
A.
A.a. A.________ verheiratet und Mutter von vier Kindern (Jg. 1996, 1997, 1998 und 2000), arbeitete zuletzt im Rahmen eines Teilzeitpensums als Angestellte bei der B.________ AG. Am 27. November 2007 wurde A.________ auf dem Trottoir von einem Auto angefahren und erlitt eine HWS-Distorsion, eine Kniekontusion, eine Rissquetschwunde am Kopf und verlor zwei Zähne. Die Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (SUVA) erbrachte die gesetzlichen Leistungen in Form von Heilbehandlung und Taggeld, stellte ihre Leistungen jedoch mit Verfügung vom 9. Dezember 2008, bestätigt mit Einspracheentscheid vom 20. September 2010, per 31. Dezember 2008 ein.
A.b. Bereits am 21. Juli 2008 hatte sich A.________ unter Hinweis auf die Unfallfolgen bei der Invalidenversicherung zum Leistungsbezug angemeldet. Die IV-Stelle Solothurn sprach A.________ ein Belastbarkeitstraining im Netzwerk D.________ vom 2. März bis 28. Juni 2009 zu und klärte die Verhältnisse in medizinischer sowie in beruflich-erwerblicher Hinsicht ab; namentlich veranlasste sie eine polydisziplinäre (internistische, rheumatologische und psychiatrische) Begutachtung bei dem Begutachtungsinstitut C.________ (Gutachten vom 18. August 2010. Nach durchgeführtem Vorbescheidverfahren sprach die IV-Stelle A.________ mit Verfügung vom 29. Mai 2012 ausgehend von einem Invaliditätsgrad von 100 % eine ganze befristete Invalidenrente für den Zeitraum ab 1. November 2008 bis 30. Juni 2010 zu.
B.
Die hiegegen erhobene Beschwerde, mit welcher A.________ die weitere Ausrichtung einer ganzen Invalidenrente beantragen liess, wies das Versicherungsgericht des Kantons Solothurn mit Entscheid vom 28. August 2014 ab.
C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten lässt A.________ beantragen, es sei ihr in Aufhebung des angefochtenen Entscheids rückwirkend ab 1. Juli 2010 eine halbe Invalidenrente zuzusprechen, eventualiter sei die Angelegenheit zur Neubeurteilung an die IV-Stelle zurückzuweisen. Zudem lässt sie um Gewährung der unentgeltlichen Rechtspflege ersuchen.
Die vorinstanzlichen Akten wurden eingeholt. Ein Schriftenwechsel wurde nicht durchgeführt.
Erwägungen:
1.
1.1. Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten (Art. 82 ff
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours: |
|
a | contre les décisions rendues dans des causes de droit public; |
b | contre les actes normatifs cantonaux; |
c | qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
Diese Grundsätze gelten auch in Bezug auf die konkrete Beweiswürdigung (Urteil 9C 431/2013 vom 12. August 2013 E. 1.2.1 mit Hinweisen).
1.2. Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
2.
Streitig und unter sachverhaltsmässig eingeschränktem Blickwinkel zu prüfen ist, ob die Vorinstanz Bundesrecht verletzte, indem sie die mit Verfügung der Beschwerdegegnerin vom 29. Mai 2012 zugesprochene ganze, bis 30. Juni 2010 befristete Invalidenrente bestätigt und eine weitere Rentenausrichtung verneint hat.
2.1. Die für die Beurteilung relevanten gesetzlichen Grundlagen und die entscheidwesentliche Rechtsprechung wurden im kantonalen Entscheid zutreffend dargelegt. Es betrifft dies namentlich die Bestimmungen und Grundsätze zu den Begriffen der Arbeitsunfähigkeit (Art. 6
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 6 Incapacité de travail - Est réputée incapacité de travail toute perte, totale ou partielle, de l'aptitude de l'assuré à accomplir dans sa profession ou son domaine d'activité le travail qui peut raisonnablement être exigé de lui, si cette perte résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique.9 En cas d'incapacité de travail de longue durée, l'activité qui peut être exigée de lui peut aussi relever d'une autre profession ou d'un autre domaine d'activité. |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 4 Invalidité - 1 L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45 |
|
1 | L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45 |
2 | L'invalidité est réputée survenue dès qu'elle est, par sa nature et sa gravité, propre à ouvrir droit aux prestations entrant en considération.46 |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 8 Invalidité - 1 Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
|
1 | Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
2 | Les assurés mineurs sans activité lucrative sont réputés invalides s'ils présentent une atteinte à leur santé physique, mentale ou psychique qui provoquera probablement une incapacité de gain totale ou partielle.13 |
3 | Les assurés majeurs qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont il ne peut être exigé qu'ils en exercent une sont réputés invalides si l'atteinte les empêche d'accomplir leurs travaux habituels. L'art. 7, al. 2, est applicable par analogie.14 15 |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
|
1 | L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
a | sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles; |
b | il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable; |
c | au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins. |
1bis | Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205 |
2 | ...206 |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28a - 1 L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210 |
|
1 | L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210 |
2 | Le taux d'invalidité de l'assuré qui n'exerce pas d'activité lucrative, qui accomplit ses travaux habituels et dont on ne peut raisonnablement exiger qu'il entreprenne une activité lucrative est évalué, en dérogation à l'art. 16 LPGA, en fonction de son incapacité à accomplir ses travaux habituels.211 |
3 | Lorsque l'assuré exerce une activité lucrative à temps partiel ou travaille sans être rémunéré dans l'entreprise de son conjoint, le taux d'invalidité pour cette activité est évalué selon l'art. 16 LPGA. S'il accomplit ses travaux habituels, le taux d'invalidité pour cette activité est fixé selon l'al. 2.212 Dans ce cas, les parts respectives de l'activité lucrative ou du travail dans l'entreprise du conjoint et de l'accomplissement des travaux habituels sont déterminées; le taux d'invalidité est calculé dans les deux domaines d'activité. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré. |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28a - 1 L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210 |
|
1 | L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210 |
2 | Le taux d'invalidité de l'assuré qui n'exerce pas d'activité lucrative, qui accomplit ses travaux habituels et dont on ne peut raisonnablement exiger qu'il entreprenne une activité lucrative est évalué, en dérogation à l'art. 16 LPGA, en fonction de son incapacité à accomplir ses travaux habituels.211 |
3 | Lorsque l'assuré exerce une activité lucrative à temps partiel ou travaille sans être rémunéré dans l'entreprise de son conjoint, le taux d'invalidité pour cette activité est évalué selon l'art. 16 LPGA. S'il accomplit ses travaux habituels, le taux d'invalidité pour cette activité est fixé selon l'al. 2.212 Dans ce cas, les parts respectives de l'activité lucrative ou du travail dans l'entreprise du conjoint et de l'accomplissement des travaux habituels sont déterminées; le taux d'invalidité est calculé dans les deux domaines d'activité. |
2.2. Hervorzuheben ist, dass die für die Invaliditätsbemessung massgebliche Frage, in welchem Ausmass die versicherte Person ohne gesundheitliche Beeinträchtigung erwerbstätig wäre, mit Rücksicht auf die gesamten Umstände, so die persönlichen, familiären, sozialen und erwerblichen Verhältnisse, zu beantworten ist. Dabei handelt es sich zwangsläufig um eine hypothetische Beurteilung, die auch hypothetische Willensentscheidungen der versicherten Person zu berücksichtigen hat. Diese sind als innere Tatsachen einer direkten Beweisführung indessen nicht zugänglich und müssen in aller Regel aus äusseren Indizien erschlossen werden. Die Beurteilung hypothetischer Geschehensabläufe stellt eine Tatfrage dar, soweit sie auf Beweiswürdigung beruht, selbst wenn darin auch Schlussfolgerungen aus der allgemeinen Lebenserfahrung mitberücksichtigt werden. Ebenso sind Feststellungen über innere oder psychische Tatsachen Tatfragen, wie beispielsweise was jemand wollte oder wusste. Um Rechtsfragen handelt es sich demgegenüber bei Folgerungen, die ausschliesslich - losgelöst vom konkreten Sachverhalt - auf die allgemeine Lebenserfahrung gestützt werden, oder bei der Frage, ob aus festgestellten Indizien mit Recht auf bestimmte Rechtsfolgen
geschlossen worden ist (Urteile 8C 604/2014 vom 11. Dezember 2014 E. 2.2 und 8C 823/2013 vom 15. April 2014 E. 2.2, je mit Hinweisen).
3.
Unbestrittenermassen ist die Beschwerdeführerin als teilerwerbstätige Hausfrau zu qualifizieren, sodass die Invaliditätsbemessung nach der gemischten Methode zu erfolgen hat. Beanstandet wird jedoch die prozentuale Aufteilung der beiden Bereiche "Erwerbstätigkeit" einerseits und "Haushaltsführung" andrerseits. Streitig sind sodann im erwerblichen Tätigkeitsbereich die Ermittlung des Valideneinkommens und des Invalideneinkommens einschliesslich des Verzichts auf einen leidensbedingten Abzug sowie im Haushaltsbereich die Ermittlung der Einschränkung.
4.
Das kantonale Gericht und die Beschwerdegegnerin gehen davon aus, dass die Beschwerdeführerin bei intakter Gesundheit zu 45 % ausserhäuslich tätig wäre und sich im Umfang von 55 % den Haushaltsaufgaben einschliesslich Kinderbetreuung widmen würde. Die Versicherte hält dem entgegen, sie würde ohne gesundheitliche Beeinträchtigung zu mindestens 50 % im Betrieb ihres Ehemannes mitarbeiten und in den restlichen 50 % den Haushalt besorgen.
4.1. Die Vorinstanz stützte sich bei der Annahme einer im Gesundheitsfall zu 45 % ausgeübten erwerblichen Tätigkeit im Wesentlichen auf das Protokoll der Besprechung der Versicherten mit der Aussendienstmitarbeiterin der SUVA vom 3. April 2008, auf die Anmeldung zum Bezug von Leistungen der Invalidenversicherung vom 21. Juli 2008 sowie auf das Protokoll des Früherfassungsgesprächs vom 24. September 2008, wo die Beschwerdeführerin jeweils angegeben hat, sie habe im Rahmen eines Pensums von rund 40 % gearbeitet. Dies stimmt mit dem Abschlussbericht der IV-Stelle Solothurn, Berufliche Eingliederung, vom 13. Juli 2009 sowie mit dem Gutachten des Begutachtungsinstituts C.________ vom 18. August 2010 überein, wo ebenfalls festgehalten worden ist, die Versicherte sei in einem Pensum von 40 % im Betrieb ihres Ehemannes tätig gewesen. Lediglich auf dem Fragebogen zur Rentenabklärung betreffend Erwerbstätigkeit/Haushalt vom 30. August 2009 hat die Beschwerdeführerin angegeben, sie würde ohne Behinderung eine ausserhäusliche Tätigkeit im Geschäft ihres Ehemannes im Ausmass von 50 % ausüben. Der Abklärungsfachmann der IV-Stelle hat sodann in seiner Stellungnahme vom 30. Juni 2011 dargelegt, aufgrund der bisher abgerechneten Beiträge, vor
allem derjenigen für das Jahr 2008, sowie aufgrund der allgemeinen Lebenserfahrung sei, auch unter Berücksichtigung des Alters der vier Kinder, eine 45-%ige Erwerbstätigkeit der Versicherten als realistisch anzusehen.
4.2. Wenn die Vorinstanz angesichts der beschriebenen Sachlage zum Schluss kam, die von der IV-Stelle vorgenommene Aufteilung in 45 % Erwerbstätigkeit und 55 % Haushaltstätigkeit erweise sich als korrekt, ist diese Beurteilung nicht zu beanstanden. Die dagegen erhobenen Einwendungen lassen die für das Bundesgericht grundsätzlich verbindliche Sachverhaltsfeststellung nicht als offensichtlich unrichtig oder rechtsverletzend erscheinen. Wie im angefochtenen Entscheid dargelegt wurde, fehlen Anhaltspunkte dafür, dass die Beschwerdeführerin in einem höheren Pensum erwerbstätig gewesen wäre. Mit Ausnahme des Fragebogens zur Rentenabklärung vom 30. August 2009 äusserte sich die Versicherte denn auch immer dahin gehend, sie sei im Umfang von 40 % erwerbstätig gewesen. Diese Angaben erfolgten unter verschiedenen Umständen, beim Früherfassungsgespräch vom 24. September 2008 mit Übersetzungshilfe des Ehemannes und anlässlich der psychiatrischen Begutachtung durch das Begutachtungsinstitut C.________ unter Beizug einer Dolmetscherin. Keinesfalls war damit lediglich ein "Wunschpensum" gemeint, wie dies in der Beschwerde nun dargestellt wird, wurde doch verschiedentlich nach dem effektiv geleisteten Arbeitspensum gefragt. Die allenfalls
missverständliche Formulierung nach dem "Wunschpensum ohne Behinderung" findet sich lediglich im Protokoll des Früherfassungsgesprächs vom 24. September 2008, wobei die dort angegebenen 40 % mit den Antworten auf die Frage nach dem effektiv geleisteten Pensum übereinstimmen. Ergänzend ist in diesem Zusammenhang darauf hinzuweisen, dass der Darstellung der konkret betroffenen Person erhöhter Stellenwert zukommt, da es sich bei der Statusfrage um einen hypothetischen, für den Fall intakter gesundheitlicher Verhältnisse angenommen Sachverhalt handelt. Die ersten, intuitiven Angaben sind in diesem Kontext sodann regelmässig als glaubhafter einzustufen als im Nachgang dazu gemachte, widersprechende Aussagen. Letztere bedingen eine kritische Würdigung, können sie doch - bewusst oder unbewusst - von nachträglichen Überlegungen versicherungsrechtlicher oder anderer Art beeinflusst sein ("Aussagen der ersten Stunde"; BGE 121 V 45 E. 2a S. 47).
4.3. Zusammenfassend haben die Beschwerdegegnerin und die Vorinstanz den Invaliditätsgrad zu Recht anhand der gemischten Methode bei einer Aufteilung von 45 % Erwerbstätigkeit und 55 % Haushaltstätigkeit ermittelt.
5.
Streitig und zu prüfen ist sodann der Invaliditätsgrad im Erwerbsbereich und diesbezüglich namentlich die dem Einkommensvergleich zugrunde zu legenden Verdienste.
5.1.
5.1.1. Das hypothetische Einkommen, welches die Beschwerdeführerin ohne Gesundheitsschaden bei einem Beschäftigungsgrad von 45 % erzielen würde (Valideneinkommen), hat die Vorinstanz anhand der Durchschnittslöhne gemäss der vom Bundesamt für Statistik herausgegebenen schweizerischen Lohnstrukturerhebung (LSE) ermittelt, da bezüglich des zuletzt erzielten Verdienstes zu unterschiedliche Angaben vorlägen. Sie hat dargelegt, dass die Versicherte als gelernte Malerin/Tapeziererin ihre Arbeitskraft vorwiegend auf der Baustelle für Maler-, Reinigungs-, Aufräum-, Magazin-, Büro- und Handlangerarbeiten hätte einsetzen können und daher auf den Durchschnittswert im Baugewerbe (LSE 2010, Privater Sektor, Tabelle TA1, Baugewerbe Ziff. 41 bis 43, Anforderungsniveau 3, Frauen) abgestellt. Angepasst an die betriebsübliche wöchentliche Arbeitszeit von durchschnittlich 41,6 Stunden hat das kantonale Gericht für das 45%-Pensum ein Valideneinkommen von Fr. 2'486.50 pro Monat bzw. Fr. 29'838.- pro Jahr ermittelt.
In der Beschwerde wird dagegen im Wesentlichen eingewendet, bei ihrer Arbeit auf der Baustelle wäre die Versicherte dem Gesamtarbeitsvertrag (GAV) für das Maler- und Gipsergewerbe oder das Bauhauptgewerbe unterstellt. Als gelernte Berufsarbeiterin mit über dreijähriger Berufserfahrung hätte sie als Malerin gemäss GAV im Jahr 2012 Anspruch auf einen monatlichen Mindestlohn von Fr. 4'780.-, was unter Berücksichtigung des 13. Monatslohnes und gewichtet mit 50 % ein Valideneinkommen von Fr. 2'589.16 pro Monat bzw. Fr. 31'070.- pro Jahr ergebe.
5.1.2. Für die Bemessung des Valideneinkommens ist entscheidend, was die versicherte Person im massgebenden Zeitpunkt des Rentenbeginns nach dem Beweisgrad der überwiegenden Wahrscheinlichkeit als Gesunde tatsächlich verdienen würde. Die Ermittlung des Valideneinkommens muss so konkret wie möglich erfolgen. Da die bisherige Tätigkeit erfahrungsgemäss fortgesetzt worden wäre, ist in der Regel vom letzten Lohn auszugehen, der vor Eintritt der Gesundheitsschädigung erzielt wurde. Dieses Gehalt ist wenn nötig der Teuerung und der realen Einkommensentwicklung anzupassen (BGE 135 V 58 E. 3.1 S. 59).
5.1.3. Das kantonale Gericht hat einlässlich dargelegt, dass für die bisherige Tätigkeit der Versicherten im per Sommer 2007 eröffneten Einzelunternehmen des Ehemannes aufgrund unterschiedlicher Angaben nicht zuverlässige Schlüsse hinsichtlich des im Gesundheitsfall erzielten Einkommens gezogen werden können, dass aber davon auszugehen sei, die Beschwerdeführerin würde ihre Arbeitskraft vorwiegend auf der Baustelle einsetzen. Wenn die Vorinstanz bei dieser Ausgangslage auf den tabellarischen Wert der LSE 2010 für den Privaten Sektor, Baugewerbe, Anforderungsniveau 3, Frauen, abgestellt und für den Anteil Erwerbstätigkeit von 45 % ein jährliches Valideneinkommen von Fr. 29'838.- ermittelt hat, ist dies nicht zu beanstanden. Soweit die Versicherte stattdessen unter Berufung auf den GAV für das Maler- und Gipsergewerbe die Berücksichtigung eines jährlichen Valideneinkommens von Fr. 31'070.- geltend macht, ist darauf hinzuweisen, dass der etwas höhere Wert daraus resultiert, dass die Beschwerdeführerin den Anteil mit 50 % gewichtet hat. Geht man indessen korrekterweise von einem Anteil Erwerbstätigkeit von 45 % aus, ergäbe sich bei der Betrachtungsweise der Versicherten unter Berücksichtigung des GAV ein tieferes Valideneinkommen von
Fr. 27'963.-. Auf die Frage, ob anstelle der LSE der GAV beizuziehen sei, ist daher nicht weiter einzugehen.
5.1.4. Zusammenfassend bleibt es bei einem Valideneinkommen von Fr. 29'838.- für einen Anteil Erwerbstätigkeit von 45 %.
5.2.
5.2.1. Das trotz Gesundheitsschädigung in einer leidensadaptierten Tätigkeit zumutbarerweise erzielbare Einkommen (Invalideneinkommen) hat die Vorinstanz anhand der LSE 2010, Privater Sektor, TA1, Total, Anforderungsniveau 4, Frauen, angepasst an die betriebsübliche wöchentliche Arbeitszeit von 41,6 Stunden, für den Anteil Erwerbstätigkeit von 45 % auf Fr. 23'728.- festgesetzt.
Die Beschwerdeführerin macht diesbezüglich im Wesentlichen geltend, es sei nicht auf den Totalwert, sondern auf den Durchschnittswert im Dienstleistungssektor, Anforderungsniveau 4, Frauen, abzustellen, da ihr aufgrund der physischen Einschränkungen eine Tätigkeit im Produktionssektor verwehrt sei. Zudem sei beim Invalideneinkommen ein Abzug von 25 % gerechtfertigt. Indem das kantonale Gericht die einen Abzug rechtfertigenden Umstände, insbesondere die fehlende Qualifikation und Berufserfahrung, mangelnde Deutschkenntnisse sowie fehlender Führerausweis nicht gewürdigt habe, sei das Ermessen rechtsfehlerhaft ausgeübt worden.
5.2.2. Die vorinstanzlich festgestellte vollständige Arbeits- und Leistungsfähigkeit der Beschwerdeführerin für eine angepasste körperlich leichte Tätigkeit ergibt sich aus dem Gutachten des Begutachtungsinstituts C.________ vom 18. August 2010 und ist grundsätzlich nicht bestritten. Wie im Gutachten dargelegt, ist Voraussetzung für die 100%ige Arbeitsfähigkeit, dass die Versicherte keine repetitiven Tätigkeiten über Schulterhöhe, keine Tätigkeiten mit anhaltender Zwangshaltung der HWS und keine repetitiven HWS-Rotationsbewegungen durchführen muss; zudem ist ihr kein Heben von Lasten über 15 kg sowie kein repetitives Heben über 5 kg möglich. Inwiefern solche Tätigkeiten lediglich im Dienstleistungssektor möglich sein sollten, ist nicht ersichtlich und wird in der Beschwerde nicht dargelegt. Die Einschränkungen der Versicherten hat das kantonale Gericht durch Abstellen auf das Anforderungsniveau 4 berücksichtigt, was nicht zu beanstanden ist.
5.2.3. Die Frage, ob und in welchem Ausmass Tabellenlöhne herabzusetzen sind, hängt von sämtlichen persönlichen und beruflichen Umständen des konkreten Einzelfalles ab (leidensbedingte Einschränkung, Alter, Dienstjahre, Nationalität/Aufenthaltskategorie und Beschäftigungsgrad). Der Einfluss sämtlicher Merkmale auf das Invalideneinkommen ist nach pflichtgemässem Ermessen gesamthaft zu schätzen, wobei der Abzug auf insgesamt höchstens 25 % zu begrenzen ist (BGE 129 V 472 E. 4.2.3 S. 481; 126 V 75 E. 5b/bb S. 80).
Wie die Vorinstanz einlässlich und überzeugend dargelegt hat, wurde den gesundheitlichen Einschränkungen im Rahmen der noch vollumfänglich zumutbaren leichten Tätigkeit gebührend Rechnung getragen und sind auch die übrigen Merkmale, die einen Abzug rechtfertigen könnten, nicht erfüllt. Im Totalwert über alle Branchen sind im Anforderungsniveau 4 genügend Stellen enthalten, welche der Beschwerdeführerin trotz ihrer gesundheitlichen Einschränkungen zumutbar sind. Somit ist nicht zu beanstanden, dass das kantonale Gericht keinen Abzug vom Tabellenlohn wegen leidensbedingten Einschränkungen vorgenommen hat.
5.2.4. Hat die Vorinstanz den von der Versicherten beantragten Abzug zu Recht nicht gewährt, bleibt es bei einem Invalideneinkommen von Fr. 23'728.- für den Anteil Erwerbstätigkeit von 45 %.
5.3. Wird zusammenfassend dem Valideneinkommen von Fr. 29'838.-ein Invalideneinkommen von Fr. 23'728.- gegenübergestellt, ergibt sich im erwerblichen Bereich ein Invaliditätsgrad von 20,48 %, gewichtet mit 45 % ein Teilinvaliditätsgrad von 9,22 %.
6.
Gerügt wird schliesslich die Ermittlung des Invaliditätsgrades im Haushaltsbereich, namentlich das Fehlen einer Abklärung an Ort und Stelle.
6.1. Für gewöhnlich stellt die von einer qualifizierten Person durchgeführte Abklärung vor Ort (nach Massgabe von Art. 69 Abs. 2
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI) RAI Art. 69 Généralités - 1 L'office AI examine, au besoin en liaison avec la caisse de compensation compétente en vertu de l'art. 44, si l'assuré remplit les conditions. |
|
1 | L'office AI examine, au besoin en liaison avec la caisse de compensation compétente en vertu de l'art. 44, si l'assuré remplit les conditions. |
2 | Si ces conditions sont remplies, l'office AI réunit les pièces nécessaires, en particulier sur l'état de santé du requérant, son activité, sa capacité de travail et son aptitude à être réadapté, ainsi que sur l'indication de mesures déterminées de réadaptation. Des rapports ou des renseignements, des expertises ou une instruction sur place peuvent être exigés ou effectués; il peut être fait appel aux spécialistes de l'aide publique ou privée aux invalides.293 |
3 | Les offices AI peuvent convoquer les assurés à un entretien. La date de l'entretien doit leur être communiquée dans un délai approprié.294 |
4 | ...295 |
6.2. Die Beschwerdeführerin schätzt ihre Einschränkung im Haushaltsbereich auf 70 %, unter Berücksichtigung der zumutbaren Mithilfe der Familienmitglieder auf 50 %. Bei einer Gewichtung von 50 % beziffert sie die Einschränkung im Haushaltsbereich daher mit 25 %.
6.3. Wird auf die Angaben der Beschwerdeführerin abgestellt und von einer Einschränkung von 50 % ausgegangen, der Anteil Haushalt jedoch korrekterweise mit 55 % nicht mit 50 % gewichtet, ergäbe sich für den Anteil Haushalt ein Teilinvaliditätsgrad von 27,5 %.
7.
Selbst unter Berücksichtigung des auf den Angaben der Beschwerdeführerin beruhenden Teilinvaliditätsgrades für den mit 55 % gewichteten Anteil Haushalt von 27,5 % ergäbe sich zusammen mit dem Teilinvaliditätsgrad für den mit 45 % gewichteten Anteil Erwerbstätigkeit von 9,22 % ein rentenausschliessender Gesamtinvaliditätsgrad von 36,72 %, was zur Abweisung der Beschwerde führt.
8.
Die Kosten des Verfahrens sind von der unterliegenden Beschwerdeführerin zu tragen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
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1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
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1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege wird abgewiesen.
3.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden der Beschwerdeführerin auferlegt.
4.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Versicherungsgericht des Kantons Solothurn und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 11. März 2015
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Die Präsidentin: Leuzinger
Die Gerichtsschreiberin: Kopp Käch