Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

{T 0/2}

9C_820/2014

Urteil vom 9. Juni 2015

II. sozialrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichterin Glanzmann, Präsidentin,
Bundesrichter Parrino, Bundesrichterin Moser-Szeless,
Gerichtsschreiber Furrer.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwältin Christine Fleisch,
Beschwerdeführerin,

gegen

IV-Stelle des Kantons Zürich, Röntgenstrasse 17, 8005 Zürich,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Invalidenversicherung (Invalidenrente; Status),

Beschwerde gegen den Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich
vom 25. September 2014.

Sachverhalt:

A.
A.________, diplomierte Handelskauffrau, ist verheiratet und Mutter eines 1994 geborenen Sohnes. Ab 1. Januar 2003 arbeitete sie beim Gericht B.________ als Dolmetscherin im Stundenlohn und seit 1. April 2008 im Nebenverdienst bei der Asylorganisation C.________ als interkulturelle Übersetzerin. Am 18. Mai 2011 meldete sie sich unter Hinweis auf Multiple Sklerose und Kraftlosigkeit (bestehend sei 22. Mai 2008) bei der Invalidenversicherung (IV) zum Leistungsbezug an. Die IV-Stelle des Kantons Zürich führte medizinische und erwerbliche Abklärungen durch, namentlich veranlasste sie eine Abklärung der Verhältnisse im Haushalt (Bericht vom 14. Februar 2012). Gestützt darauf ging sie von einem Erwerbs- und Haushaltsanteil von je 50 % aus und verneinte - nach durchgeführtem Vorbescheidverfahren - mit Verfügung vom 11. April 2013 den Anspruch auf eine Invalidenrente, ausgehend von einem Invaliditätsgrad von 9 % (gewichtete Invalidität im Erwerbsbereich: 0 % [Erwerbsanteil 50 %; Einschränkung 0 %]; gewichtete Invalidität im Haushaltsbereich: 9 % [Haushaltsanteil 50 %; Einschränkung 18 %]).

B.
Die hiegegen erhobene Beschwerde wies das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich mit Entscheid vom 25. September 2014 ab.

C.
A.________ führt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten mit dem Antrag, in Aufhebung des angefochtenen Entscheids sei ihr mit Wirkung ab 18. Mai 2011 eine halbe Invalidenrente zuzusprechen.
Mit Eingabe vom 28. April 2015 reicht die Beschwerdeführerin eine Bescheinigung der Einwohnerkontrolle der Gemeinde D.________ vom 14. April 2015 zu den Akten.

Erwägungen:

1.

1.1. Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann unter anderem die Verletzung von Bundesrecht gerügt werden (Art. 95 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG), die Feststellung des Sachverhalts nur, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG beruht und wenn die Behebung des Mangels für den Ausgang des Verfahrens entscheidend sein kann (Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
BGG). Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG). Es kann deren Sachverhaltsfeststellung von Amtes wegen berichtigen oder ergänzen, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
beruht (Art. 105 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG).

1.2. Neue Tatsachen und Beweismittel dürfen nur soweit vorgebracht werden, als erst der Entscheid der Vorinstanz dazu Anlass gibt (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
BGG; BGE 135 V 194). Der vorinstanzliche Verfahrensausgang allein bildet noch keinen hinreichenden Anlass im Sinne von Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
BGG für die Zulässigkeit von unechten Noven, die bereits im kantonalen Verfahren ohne Weiteres hätten vorgebracht werden können. Das Vorbringen von Tatsachen, die sich erst nach dem angefochtenen Entscheid ereigneten oder entstanden (echte Noven), ist vor Bundesgericht unzulässig (Urteil 8C_690/2011 vom 16. Juli 2012 E. 1.3 mit Hinweis, nicht publ. in: BGE 138 V 286, aber in: SVR 2012 FZ Nr. 3 S. 7).

1.2.1. Die Beschwerdeführerin legt letztinstanzlich drei Arbeitsverträge (vom 23. September 1986, 30. Mai 1988 und 2. November 1988), eine Arbeitgeberbescheinigung vom 25. September 1992 sowie zahlreiche Bewerbungen (datierend zwischen 8. November 2009 und 10. Mai 2010) zu den Akten. Ob die Beschwerdeführerin - wie geltend gemacht - erst durch die vorinstanzlichen Erwägungen zur Auflage dieser neuen Beweismittel veranlasst worden ist, womit es sich um keine unzulässigen Noven handelte, kann mit Blick auf den Verfahrensausgang offen blieben.

1.2.2. Weiter macht die Beschwerdeführerin erstmals vor Bundesgericht geltend, sie habe sich "vor wenigen Tagen" von ihrem Ehemann getrennt und legt am 28. April 2015 als Beweis eine Bescheinigung der Einwohnerkontrolle der Gemeinde D.________ vom 14. April 2015 auf. Das tatsächliche Vorbringen und das entsprechende Beweismittel haben unbeachtlich zu bleiben, handelt es sich doch um unzulässige echte Noven (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
BGG; BGE 139 III 120 E. 3.1.2 S. 123 mit Hinweisen; Meyer/Dormann, in: Basler Kommentar, Bundesgerichtsgesetz, 2. Aufl. 2011, N. 43 zu Art. 99
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
BGG). Ohnehin ist grundsätzlich der Sachverhalt bis zum Zeitpunkt des Verfügungserlasses massgebend (BGE 132 V 215 E. 3.1.1 S. 220; 130 V 138 E. 2.1 S. 140). Die erst rund zwei Jahre danach erfolgte Trennung von ihrem Ehemann wäre daher gegebenenfalls im Rahmen einer Neuanmeldung geltend zu machen.

2.
Nach verbindlicher (E. 1.1 hievor) und unbestritten gebliebener Feststellung der Vorinstanz zur Arbeitsfähigkeit ist der Beschwerdeführerin ein 50 %-Pensum in der bisherigen Tätigkeit als Dolmetscherin oder auch im Bürobereich zumutbar. Streitig ist hingegen, in welchem Umfang - teil- oder vollzeitlich - die Beschwerdeführerin ohne Gesundheitsschaden erwerbstätig wäre und damit einhergehend, welche Methode der Invaliditätsbemessung (E. 3.1 nachfolgend) zur Anwendung gelangt.

3.

3.1. Das kantonale Gericht hat die für die Beurteilung der Streitsache massgeblichen materiell- und beweisrechtlichen Grundlagen gemäss Gesetz und Rechtsprechung zutreffend dargelegt, worauf verwiesen wird. Dies betrifft namentlich die Bestimmungen und Grundsätze zu den Begriffen der Erwerbsunfähigkeit (Art. 7
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
1    Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
2    Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12
ATSG) und der Invalidität (Art. 8
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 8 Invalidité - 1 Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée.
1    Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée.
2    Les assurés mineurs sans activité lucrative sont réputés invalides s'ils présentent une atteinte à leur santé physique, mentale ou psychique qui provoquera probablement une incapacité de gain totale ou partielle.13
3    Les assurés majeurs qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont il ne peut être exigé qu'ils en exercent une sont réputés invalides si l'atteinte les empêche d'accomplir leurs travaux habituels. L'art. 7, al. 2, est applicable par analogie.14 15
ATSG in Verbindung mit Art. 4 Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 4 Invalidité - 1 L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45
1    L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45
2    L'invalidité est réputée survenue dès qu'elle est, par sa nature et sa gravité, propre à ouvrir droit aux prestations entrant en considération.46
IVG), zum nach dem Grad der Invalidität abgestuften Anspruch auf eine Invalidenrente (Art. 28 Abs. 2
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
1    L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
a  sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles;
b  il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable;
c  au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins.
1bis    Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205
2    ...206
IVG) sowie zur Ermittlung des Invaliditätsgrades bei erwerbstätigen Versicherten nach der Einkommensvergleichsmethode (Art. 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré.
ATSG) und bei teilweise ausserhäuslich erwerbstätigen Versicherten nach der gemischten Methode (Art. 28a Abs. 3
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28a - 1 L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210
1    L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210
2    Le taux d'invalidité de l'assuré qui n'exerce pas d'activité lucrative, qui accomplit ses travaux habituels et dont on ne peut raisonnablement exiger qu'il entreprenne une activité lucrative est évalué, en dérogation à l'art. 16 LPGA, en fonction de son incapacité à accomplir ses travaux habituels.211
3    Lorsque l'assuré exerce une activité lucrative à temps partiel ou travaille sans être rémunéré dans l'entreprise de son conjoint, le taux d'invalidité pour cette activité est évalué selon l'art. 16 LPGA. S'il accomplit ses travaux habituels, le taux d'invalidité pour cette activité est fixé selon l'al. 2.212 Dans ce cas, les parts respectives de l'activité lucrative ou du travail dans l'entreprise du conjoint et de l'accomplissement des travaux habituels sont déterminées; le taux d'invalidité est calculé dans les deux domaines d'activité.
IVG in der seit 1. Januar 2008 geltenden Fassung).

3.2. Ob eine versicherte Person als ganztägig oder zeitweilig erwerbstätig oder als nichterwerbstätig einzustufen ist (Statusfrage), was je zur Anwendung einer andern Methode der Invaliditätsbemessung (Einkommensvergleich, gemischte Methode, Betätigungsvergleich) führt, ergibt sich aus der Prüfung, was die Person bei im Übrigen unveränderten Umständen täte, wenn keine gesundheitliche Beeinträchtigung bestünde. Entscheidend ist somit nicht, welches Ausmass der Erwerbstätigkeit der versicherten Person im Gesundheitsfall zugemutet werden könnte, sondern in welchem Pensum sie hypothetisch erwerbstätig wäre. Bei im Haushalt tätigen Versicherten im Besonderen sind die persönlichen, familiären, sozialen und erwerblichen Verhältnisse ebenso wie allfällige Erziehungs- und Betreuungsaufgaben gegenüber Kindern, das Alter, die beruflichen Fähigkeiten und die Ausbildung sowie die persönlichen Neigungen und Begabungen zu berücksichtigen. Massgebend sind die Verhältnisse, wie sie sich bis zum Erlass der Verwaltungsverfügung entwickelt haben, wobei für die hypothetische Annahme einer im Gesundheitsfall ausgeübten (Teil-) Erwerbstätigkeit der im Sozialversicherungsrecht übliche Beweisgrad der überwiegenden Wahrscheinlichkeit erforderlich ist (BGE
141 V 15 E. 3.1 S. 20; 137 V 334 E. 3.2 S. 338; 125 V 146 E. 2c S. 150; 117 V 194 E. 3b S. 194 f.; je mit Hinweisen).
Bei der Beantwortung der Statusfrage handelt es sich zwangsläufig um eine hypothetische Beurteilung, die auch hypothetische Willensentscheidungen der versicherten Person zu berücksichtigen hat. Diese sind als innere Tatsachen einer direkten Beweisführung indessen nicht zugänglich und müssen in aller Regel aus äusseren Indizien erschlossen werden. Die Beurteilung hypothetischer Geschehensabläufe stellt eine Tatfrage dar, soweit sie auf Beweiswürdigung beruht, selbst wenn darin auch Schlussfolgerungen aus der allgemeinen Lebenserfahrung mitberücksichtigt werden. Ebenso sind Feststellungen über innere oder psychische Tatsachen Tatfragen, wie beispielsweise was jemand wollte oder wusste (BGE 130 IV 58 E. 8.5 S. 62; 115 II 440 E. 5b S. 448; Urteil 9C_559/2009 vom 18. Dezember 2009 E. 3, publ. in: SVR 2010 IV Nr. 35 S. 111; je mit Hinweisen). Die auf einer Würdigung konkreter Umstände basierende Festsetzung des hypothetischen Umfanges der Erwerbstätigkeit ist für das Bundesgericht daher verbindlich, ausser wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung beruht. Rechtsfragen sind hingegen Folgerungen, die ausschliesslich - losgelöst vom konkreten Sachverhalt - auf die allgemeine Lebenserfahrung gestützt werden oder
die Frage, ob aus festgestellten Indizien mit Recht auf bestimmte Rechtsfolgen geschlossen worden ist (BGE 132 V 393 E. 3.3 S. 399; Urteil 9C_112/ 2011 vom 5. August 2011 E. 3).

4.
Das kantonale Gericht erwog, im Zeitpunkt des hypothetischen Rentenbeginns im Jahre 2011 wäre die Beschwerdeführerin - in Übereinstimmung mit der von der Abklärungsperson vorgenommenen Qualifikation - im Gesundheitsfall mit überwiegender Wahrscheinlichkeit je zu 50 % im Erwerbs- und Haushaltsbereich tätig gewesen, womit die gemischte Methode zur Anwendung gelange. Das Vorbringen der Beschwerdeführerin, wonach sie ab 1985 bei der E.________ AG, alsdann bei der F.________ AG und schliesslich bei der G.________ jeweils vollschichtig gearbeitet habe, sei nicht belegt. Aufgrund des Auszugs aus dem Individuellen Konto (IK) sei lediglich erstellt, dass sie vor der Geburt des Sohnes (1994) ein höheres Pensum innegehabt habe. Zudem ergebe sich aus dem IK-Auszug, dass sie das bis 2007 aus der Dolmetschertätigkeit erwirtschaftete, sehr geringe Einkommen im Jahr 2008 klar gesteigert habe. Indes habe sie diese Tätigkeit - entgegen der IV-Anmeldung - nicht mit einem Pensum von 50 % ausgeübt. Gemäss E-Mail an die Abklärungsperson habe die Beschwerdeführerin im Frühling 2008 entschieden, als Dolmetscherin mehr zu arbeiten und monatlich ca. Fr. 700.- bis 1'000.- zu erzielen. Bei einem Stundenlohn von Fr. 75.- entspreche dies mitnichten einem
Pensum von 50 %, sondern einem solchen von 5-8 %. Folglich resultierte, selbst wenn zu Gunsten der Beschwerdeführerin davon auszugehen wäre, dass sie zusätzlich zur Dolmetschertätigkeit eine Tätigkeit im erlernten Beruf im Umfang bis 50 % gesucht hätte, ein Erwerbsanteil von maximal 60 %. Zu berücksichtigen sei jedoch, dass sie offenbar Bewerbungen im Umfang von 20-50 % und nicht nur von 50 % getätigt habe. Unter diesen Umständen sei die Annahme eines Pensums von 50 % gerechtfertigt. An den im Rahmen der Abklärung vor Ort gemachten Angaben vermöchten die Lohnabrechnungen von Juni und August 2008 nichts zu ändern, ebenso wenig wie die nicht überprüfbare Aufstellung der Arbeitsstunden pro 2008. Schliesslich genüge der Hinweis auf die gewünschte finanzielle Unabhängigkeit vom Ehemann und den Wegfall der Betreuungspflichten nicht, um die Vermutung einer 100 %igen Erwerbstätigkeit zu begründen.

5.

5.1. Die Beschwerdeführerin rügt, die Vorinstanz verletze mit ihrer Statusfestlegung bzw. der Anwendung der gemischten Methode Bundesrecht. Die Aussage, wonach sie zu 50 % im Haushalt und zu 50 % als Dolmetscherin tätig wäre, beziehe sich nicht auf den Gesundheitsfall. Dies ergebe sich aus der E-Mail an die Abklärungsperson sowie den eingereichten Bewerbungsunterlagen. Im Jahr 2009, als sie bereits erkrankt gewesen sei, habe sie zusätzlich zur Dolmetschertätigkeit eine Teilzeitstelle von 50-80 % gesucht. Dies zeige, dass sie ihr Pensum massiv aufgestockt hätte, wäre sie nicht krank geworden. Zu Unrecht habe die Vorinstanz das 2008 erzielte Einkommen nicht als Beweis für die angestrebte Aufstockung auf ein 100 %-Pensum gewertet. Dasselbe gelte für die Aufstellung der Arbeitsstunden pro April und Mai 2008. Sodann bewiesen die Arbeitsverträge, dass sie vor 20 Jahren tatsächlich zu 100 % gearbeitet habe. Im Zeitpunkt des Verfügungserlasses habe keine Betreuungspflicht mehr bestanden, was einzig den Schluss auf ein Vollpensum zulasse.

5.2. Die Beschwerdeführerin bringt nichts vor, was die vorinstanzliche Festsetzung des hypothetischen Umfanges der Erwerbstätigkeit, welche auf einer Würdigung der konkreten Umstände (Erwerbsbiografie, Aussagen der Beschwerdeführerin gegenüber der Abklärungsperson, getätigte Bewerbungen) beruht und als Tatfrage für das Bundesgericht grundsätzlich verbindlich ist (E. 3.2 hievor), als offensichtlich unrichtig oder sonstwie bundesrechtswidrig erscheinen liesse. Insbesondere ist eine Beweiswürdigung nicht bereits dann offensichtlich unrichtig, d.h. willkürlich (zum Begriff der Willkür: BGE 140 III 16 E. 2.1 S. 18 f. mit Hinweisen), wenn eine andere Lösung ebenfalls vertretbar erscheint oder gar vorzuziehen wäre, sondern erst dann, wenn der Entscheid offensichtlich unhaltbar ist, zur tatsächlichen Situation in klarem Widerspruch steht oder auf einem offenkundigen Fehler beruht. Dies ist in concreto nicht der Fall:
Der Beschwerdeführerin ist insoweit beizupflichten, als mit Blick auf die letztinstanzlich aufgelegten Arbeitsverträge die vor der Geburt des Sohnes ausgeübte vollzeitliche Erwerbstätigkeit nunmehr erstellt ist. Indes ging die Vorinstanz - selbst wenn sie ein 100 %-Pensum für nicht ausgewiesen erachtete - (zumindest implizite) nicht von einem geringen Arbeitspensum aus. Mit anderen Worten beruht die Beweiswürdigung der Vorinstanz in diesem Punkt nicht auf einer offensichtlich falschen Sachverhaltsfeststellung. Nicht gefolgt werden kann der Beschwerdeführerin hingegen, soweit sie geltend macht, die gegenüber der Abklärungsperson gemachte Aussage, sie wäre zu je 50 % im Haushalts- und Erwerbsbereich tätig, beziehe sich nicht auf den Gesundheitsfall. Bereits die im Abklärungsbericht festgehaltenen, erläuternden Angaben der Beschwerdeführerin - "2008 (sei sie) auf gutem Weg gewesen, sich dauerhaft als Dolmetscherin zu etablieren. Gerne hätte sie diese Arbeit in einem Pensum von ca. 50 % ausgeführt. Daneben hätte sie sich ihrer Arbeit als Hausfrau widmen wollen " (Ziff. 2.5 des Berichts) - deuten auf ein korrektes Verständnis der Frage hin. Dass sie die Fragen nach dem (hypothetischen) Validitäts- und dem (tatsächlichen)
Invaliditätsfall tatsächlich zu unterscheiden vermochte, erhellt aus der Antwort für die Gründe der Aufgabe resp. Reduktion der Erwerbstätigkeit. Hierzu legte sie dar, sie fühle sich "krankheitsbedingt nicht mehr in der Lage, Übersetzungen zu machen". Sie wolle sich daher eher auf den kaufmännischen Bereich verlagern (Ziff. 2.4 des Berichts). Mithin kann keine Rede davon sein, das gegenüber der Abklärungsperson angegebene je 50 %ige Pensum als Dolmetscherin und Hausfrau beziehe sich auf den Krankheitsfall.
Aus dem (undatierten) E-Mail an die Abklärungsperson sowie den eingereichten Bewerbungsschreiben ergibt sich nichts Gegenteiliges: Anders als die Beschwerdeführerin zu glauben machen versucht, lässt das erwähnte E-Mail nicht auf eine Vollerwerbstätigkeit im Gesundheitsfall schliessen. Zum einen führte die Beschwerdeführerin darin aus, ihr Ziel sei es gewesen, mit dem Dolmetschen monatlich etwa Fr. 700.- bis Fr. 1'000.- zu generieren. Dies entspräche - wie die Vorinstanz zutreffend feststellte - bei einem Stundenlohn von Fr. 75.- (Arbeitgeberfragebogen des Gerichts B.________ vom 15. Juni 2011) lediglich einem sehr kleinen und keinesfalls einem 50 %-Pensum. Zum anderen ist mit dem kantonalen Gericht fraglich, ob die Beschwerdeführerin die angestrebte Teilzeittätigkeit als Handelsfachfrau - wie geltend gemacht - zusätzlich oder aber anstelle der Dolmetschertätigkeit hätte ausüben wollen. Denn die aufgelegten Bewerbungsschreiben wurden allesamt zu einem Zeitpunkt verfasst, als der Gesundheitsschaden bereits eingetreten war. Dieser aber führte gemäss Angaben der Beschwerdeführerin zum Entschluss, die Erwerbstätigkeit in den kaufmännischen Bereich zu verlegen (Ziff. 2.4 des Abklärungsberichts), was gegen die geltend gemachte
Pensenkumulation spricht. Nicht zu beanstanden ist die vorinstanzliche Feststellung, bei einem Dolmetscherpensum, welches Fr. 700.- bis Fr. 1'000.- generiere, führte selbst eine Kumulation der Dolmetschertätigkeit mit einer Tätigkeit im erlernten Beruf im Umfang von 50 % lediglich zu einem (rentenausschliessenden) 60 %-Pensum. Zutreffend ist sodann, dass die Beschwerdeführerin sich nicht nur auf Stellen mit 50 %-Pensen beworben hat, liegen doch auch Bewerbungen auf niedrigprozentige (10 %- und 30 %-) Stellen vor.
Dass die Vorinstanz mit Blick auf die Aussage der ersten Stunde (BGE 121 V 45 E. 2a S. 47 mit Hinweisen; Urteil I 478/04 vom 5. Dezember 2006 E. 2.2.4.4, publ. in: SVR 2007 IV Nr. 22 S. 77) sowie die genannten Indizien ein Teilpensum von 50 % für überwiegend wahrscheinlich erachtete, ist nach dem Dargelegten weder willkürlich noch sonstwie bundesrechtswidrig. Daran ändern auch die Lohnabrechnungen Juni und August 2008 betreffend die (zahlreichen) Einsätze von April, Mai und Juli 2008 nichts, zumal das Auftragsvolumen bei einer Dolmetschertätigkeit ohne fixes Pensum stark schwanken kann. Immerhin untermauern sie den gegenüber der Abklärungsperson geäusserten Willen, sie habe beabsichtigt, das Pensum als Dolmetscherin auf 50 % zu steigern. Nichts am Ergebnis ändert die von der Beschwerdeführerin erstellte, von keinem Arbeitgeber anerkannte Auflistung der Arbeitsstunden für das Jahr 2008, deren Beweiswert äusserst fraglich erscheint. Schliesslich ist nicht entscheidend, ob zum Zeitpunkt des Verfügungserlasses keine Betreuungspflichten gegenüber dem Sohn mehr bestanden. Dies beschlägt einzig die Frage der Zumutbarkeit einer (vollen) Erwerbstätigkeit, und nicht diejenige, in welchem Umfang sie hypothetisch erwerbstätig wäre (E. 3.2
hievor).

6.
Nach dem Gesagten hat es bei der Festlegung des Status durch Verwaltung und Vorinstanz sein Bewenden, womit der Invaliditätsgrad zu Recht anhand der gemischten Methode ermittelt wurde. Die Invaliditätsbemessung ist weiter nicht bestritten. Es besteht kein Anlass zu einer näheren Prüfung.

7.
Die unterliegende Beschwerdeführerin trägt die Verfahrenskosten (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden der Beschwerdeführerin auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.

Luzern, 9. Juni 2015

Im Namen der II. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Die Präsidentin: Glanzmann

Der Gerichtsschreiber: Furrer
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 9C_820/2014
Date : 09 juin 2015
Publié : 23 juin 2015
Source : Tribunal fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Assurance-invalidité
Objet : Invalidenversicherung (Invalidenrente; Status)


Répertoire des lois
LAI: 4 
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 4 Invalidité - 1 L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45
1    L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45
2    L'invalidité est réputée survenue dès qu'elle est, par sa nature et sa gravité, propre à ouvrir droit aux prestations entrant en considération.46
28 
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
1    L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
a  sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles;
b  il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable;
c  au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins.
1bis    Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205
2    ...206
28a
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28a - 1 L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210
1    L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210
2    Le taux d'invalidité de l'assuré qui n'exerce pas d'activité lucrative, qui accomplit ses travaux habituels et dont on ne peut raisonnablement exiger qu'il entreprenne une activité lucrative est évalué, en dérogation à l'art. 16 LPGA, en fonction de son incapacité à accomplir ses travaux habituels.211
3    Lorsque l'assuré exerce une activité lucrative à temps partiel ou travaille sans être rémunéré dans l'entreprise de son conjoint, le taux d'invalidité pour cette activité est évalué selon l'art. 16 LPGA. S'il accomplit ses travaux habituels, le taux d'invalidité pour cette activité est fixé selon l'al. 2.212 Dans ce cas, les parts respectives de l'activité lucrative ou du travail dans l'entreprise du conjoint et de l'accomplissement des travaux habituels sont déterminées; le taux d'invalidité est calculé dans les deux domaines d'activité.
LPGA: 7 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
1    Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
2    Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12
8 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 8 Invalidité - 1 Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée.
1    Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée.
2    Les assurés mineurs sans activité lucrative sont réputés invalides s'ils présentent une atteinte à leur santé physique, mentale ou psychique qui provoquera probablement une incapacité de gain totale ou partielle.13
3    Les assurés majeurs qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont il ne peut être exigé qu'ils en exercent une sont réputés invalides si l'atteinte les empêche d'accomplir leurs travaux habituels. L'art. 7, al. 2, est applicable par analogie.14 15
16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré.
LTF: 66 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
95 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
97 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
99 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
105
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
Répertoire ATF
115-II-440 • 117-V-194 • 121-V-45 • 125-V-146 • 130-IV-58 • 130-V-138 • 132-V-215 • 132-V-393 • 135-V-194 • 137-V-334 • 138-V-286 • 139-III-120 • 140-III-16 • 141-V-15
Weitere Urteile ab 2000
8C_690/2011 • 9C_559/2009 • 9C_820/2014 • I_478/04
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
autorité inférieure • tribunal fédéral • ménage • e-mail • état de fait • question • violation du droit • question de fait • rente d'invalidité • salaire horaire • constatation des faits • recours en matière de droit public • office ai • atteinte à la santé • greffier • moyen de preuve • emploi • femme au foyer • mois • commune
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