Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
9C 790/2018
Urteil vom 9. April 2019
II. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichterin Pfiffner, Präsidentin,
Bundesrichter Parrino, Bundesrichterin Moser-Szeless,
Gerichtsschreiberin Fleischanderl.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Daniel Wyssmann,
Beschwerdeführer,
gegen
Moove Sympany AG, c/o Stiftung Sympany, Peter Merian-Weg 4, 4052 Basel,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Krankenversicherung (Taggeld; Arbeitsunfähigkeit),
Beschwerde gegen den Entscheid des Verwaltungsgerichts des Kantons Bern vom 23. Oktober 2018 (200 17 1105 KV).
Sachverhalt:
A.
A.________ war bis 31. Dezember 2017 im Rahmen einer freiwilligen Einzeltaggeldversicherung nach KVG bei der Moove Sympany AG versichert (feste Lohnsumme von Fr. 60'000.-, Versicherungshöhe von 100 %, Wartefrist von 14 Tagen). Diese leistete u.a. vom 28. Oktober bis 6. Dezember 2008 und vom 24. Februar 2009 bis 4. Januar 2011 680 Taggelder (abzüglich der jeweiligen Wartefristen). Ferner wurden im Zeitraum vom 3. Dezember 2012 bis 21. Oktober 2014 687 Taggelder (abzüglich Wartefrist von 14 Tagen) vergütet. Am 3. November 2015 meldete A.________ mittels Krankheitsanzeige, dass er die Arbeit seit Mitte September 2015 erneut ausgesetzt habe. Die Moove Sympany AG holte daraufhin Berichte der behandelnden Ärzte Dr. med. B.________, FMH Angiologie/Innere Medizin, vom 1. Dezember 2015 und Dr. med. C.________, Innere Medizin FMH, vom 7. Dezember 2015 ein. Auf dieser Basis richtete sie dem Versicherten für die Zeit vom 15. September 2015 bis 31. August 2016 abermals Taggelder aus.
Mit Verfügung vom 7. Dezember 2016 forderte die Moove Sympany AG die Rückerstattung von im Zeitraum vom 3. Dezember 2012 bis 21. Oktober 2014 zu viel bezahlten Taggeldern im Gesamtbetrag von Fr. 52'607.20. Auf Einsprache von A.________ hin wurde die Rückforderungssumme unter Verrechnung zu viel geleisteter Versicherungsprämien auf Fr. 52'517.20 reduziert (Einspracheentscheid vom 17. November 2017).
B.
Die dagegen eingereichte Beschwerde wies das Verwaltungsgericht des Kantons Bern ab (Entscheid vom 23. Oktober 2018).
C.
A.________ lässt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten führen und die Aufhebung des angefochtenen Entscheids sowie des Einspracheentscheids der Moove Sympany AG vom 17. November 2017 beantragen.
Während die Moove Sympany AG auf Abweisung der Beschwerde schliesst, verzichtet das Bundesamt für Gesundheit auf eine Vernehmlassung. Mit Eingabe vom 13. Februar 2019 äussert sich A.________ nochmals replikweise zur Sache.
Erwägungen:
1.
1.1. Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann u.a. die Verletzung von Bundesrecht gerügt werden (Art. 95 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
1.2. Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
2.
2.1. Streitig und zu prüfen ist, ob die Vorinstanz Bundesrecht verletzte, indem sie den Einspracheentscheid der Beschwerdegegnerin vom 17. November 2017, mit welchem in der Zeit vom 3. Dezember 2012 bis 21. Oktober 2014 zu viel erbrachte Taggeldleistungen im Betrag von Fr. 52'517.20 zurückgefordert werden, bestätigt hat.
2.2. Im angefochtenen Entscheid wurden die hierfür massgeblichen Rechtsgrundlagen zutreffend wiedergegeben. Darauf wird nachfolgend näher eingegangen.
3.
3.1. Es betrifft dies zum einen die Bestimmungen zur freiwilligen Taggeldversicherung nach KVG (Art. 67 ff
SR 832.10 Loi fédérale du 18 mars 1994 sur l'assurance-maladie (LAMal) LAMal Art. 67 Adhésion - 1 Toute personne qui est domiciliée en Suisse ou y exerce une activité lucrative et qui est âgée de quinze ans au moins mais n'a pas atteint l'âge de 65 ans peut conclure une assurance d'indemnités journalières avec un assureur au sens des art. 2, al. 1, ou 3, LSAMal257.258 |
|
1 | Toute personne qui est domiciliée en Suisse ou y exerce une activité lucrative et qui est âgée de quinze ans au moins mais n'a pas atteint l'âge de 65 ans peut conclure une assurance d'indemnités journalières avec un assureur au sens des art. 2, al. 1, ou 3, LSAMal257.258 |
2 | Elle peut, à cet effet, choisir un autre assureur que celui de l'assurance obligatoire des soins. |
3 | L'assurance d'indemnités journalières peut être conclue sous la forme d'une assurance collective. Les assurances collectives peuvent être conclues par des: |
a | employeurs, pour leurs travailleurs ou pour eux-mêmes; |
b | organisations d'employeurs ou des associations professionnelles, pour leurs membres et les travailleurs de leurs membres; |
c | organisations de travailleurs, pour leurs membres. |
SR 832.10 Loi fédérale du 18 mars 1994 sur l'assurance-maladie (LAMal) LAMal Art. 72 Prestations - 1 L'assureur convient avec le preneur d'assurance du montant des indemnités journalières assurées. Ils peuvent limiter la couverture aux risques de la maladie et de la maternité. |
|
1 | L'assureur convient avec le preneur d'assurance du montant des indemnités journalières assurées. Ils peuvent limiter la couverture aux risques de la maladie et de la maternité. |
1bis | Les prestations prises en charge sont rattachées à la période d'incapacité de travail.260 |
2 | Le droit aux indemnités journalières prend naissance lorsque l'assuré a une capacité de travail réduite au moins de moitié (art. 6 LPGA261).262 À défaut d'accord contraire, le droit prend naissance le troisième jour qui suit le début de la maladie. Le versement des prestations peut être différé moyennant une réduction correspondante du montant de la prime. Lorsque la naissance du droit à l'indemnité journalière est subordonnée à un délai d'attente convenu entre les parties, durant lequel l'employeur est tenu de verser le salaire, ce délai peut être déduit de la durée minimale du versement de l'indemnité journalière. |
3 | Les indemnités journalières doivent être versées, pour une ou plusieurs maladies, durant au moins 720 jours dans une période de 900 jours. L'art. 67 LPGA n'est pas applicable.263 |
4 | En cas d'incapacité partielle de travail, une indemnité journalière réduite en conséquence est versée pendant la durée prévue à l'al. 3. La couverture d'assurance est maintenue pour la capacité de travail résiduelle. |
5 | Lorsque les indemnités journalières sont réduites par suite d'une surindemnisation au sens de l'art. 78 de la présente loi et de l'art. 69 LPGA, la personne atteinte d'une incapacité de travail a droit à l'équivalent de 720 indemnités journalières complètes.264 Les délais relatifs à l'octroi des indemnités journalières sont prolongés en fonction de la réduction. |
6 | L'art. 19, al. 2, LPGA n'est applicable que lorsque l'employeur a participé au financement de l'assurance d'indemnités journalières. Sont réservés d'autres arrangements contractuels.265 |
SR 832.10 Loi fédérale du 18 mars 1994 sur l'assurance-maladie (LAMal) LAMal Art. 72 Prestations - 1 L'assureur convient avec le preneur d'assurance du montant des indemnités journalières assurées. Ils peuvent limiter la couverture aux risques de la maladie et de la maternité. |
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1 | L'assureur convient avec le preneur d'assurance du montant des indemnités journalières assurées. Ils peuvent limiter la couverture aux risques de la maladie et de la maternité. |
1bis | Les prestations prises en charge sont rattachées à la période d'incapacité de travail.260 |
2 | Le droit aux indemnités journalières prend naissance lorsque l'assuré a une capacité de travail réduite au moins de moitié (art. 6 LPGA261).262 À défaut d'accord contraire, le droit prend naissance le troisième jour qui suit le début de la maladie. Le versement des prestations peut être différé moyennant une réduction correspondante du montant de la prime. Lorsque la naissance du droit à l'indemnité journalière est subordonnée à un délai d'attente convenu entre les parties, durant lequel l'employeur est tenu de verser le salaire, ce délai peut être déduit de la durée minimale du versement de l'indemnité journalière. |
3 | Les indemnités journalières doivent être versées, pour une ou plusieurs maladies, durant au moins 720 jours dans une période de 900 jours. L'art. 67 LPGA n'est pas applicable.263 |
4 | En cas d'incapacité partielle de travail, une indemnité journalière réduite en conséquence est versée pendant la durée prévue à l'al. 3. La couverture d'assurance est maintenue pour la capacité de travail résiduelle. |
5 | Lorsque les indemnités journalières sont réduites par suite d'une surindemnisation au sens de l'art. 78 de la présente loi et de l'art. 69 LPGA, la personne atteinte d'une incapacité de travail a droit à l'équivalent de 720 indemnités journalières complètes.264 Les délais relatifs à l'octroi des indemnités journalières sont prolongés en fonction de la réduction. |
6 | L'art. 19, al. 2, LPGA n'est applicable que lorsque l'employeur a participé au financement de l'assurance d'indemnités journalières. Sont réservés d'autres arrangements contractuels.265 |
Das Taggeld ist ferner für eine oder mehrere Erkrankungen während mindestens 720 Tagen innerhalb von 900 Tagen zu leisten (Art. 72 Abs. 3
SR 832.10 Loi fédérale du 18 mars 1994 sur l'assurance-maladie (LAMal) LAMal Art. 72 Prestations - 1 L'assureur convient avec le preneur d'assurance du montant des indemnités journalières assurées. Ils peuvent limiter la couverture aux risques de la maladie et de la maternité. |
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1 | L'assureur convient avec le preneur d'assurance du montant des indemnités journalières assurées. Ils peuvent limiter la couverture aux risques de la maladie et de la maternité. |
1bis | Les prestations prises en charge sont rattachées à la période d'incapacité de travail.260 |
2 | Le droit aux indemnités journalières prend naissance lorsque l'assuré a une capacité de travail réduite au moins de moitié (art. 6 LPGA261).262 À défaut d'accord contraire, le droit prend naissance le troisième jour qui suit le début de la maladie. Le versement des prestations peut être différé moyennant une réduction correspondante du montant de la prime. Lorsque la naissance du droit à l'indemnité journalière est subordonnée à un délai d'attente convenu entre les parties, durant lequel l'employeur est tenu de verser le salaire, ce délai peut être déduit de la durée minimale du versement de l'indemnité journalière. |
3 | Les indemnités journalières doivent être versées, pour une ou plusieurs maladies, durant au moins 720 jours dans une période de 900 jours. L'art. 67 LPGA n'est pas applicable.263 |
4 | En cas d'incapacité partielle de travail, une indemnité journalière réduite en conséquence est versée pendant la durée prévue à l'al. 3. La couverture d'assurance est maintenue pour la capacité de travail résiduelle. |
5 | Lorsque les indemnités journalières sont réduites par suite d'une surindemnisation au sens de l'art. 78 de la présente loi et de l'art. 69 LPGA, la personne atteinte d'une incapacité de travail a droit à l'équivalent de 720 indemnités journalières complètes.264 Les délais relatifs à l'octroi des indemnités journalières sont prolongés en fonction de la réduction. |
6 | L'art. 19, al. 2, LPGA n'est applicable que lorsque l'employeur a participé au financement de l'assurance d'indemnités journalières. Sont réservés d'autres arrangements contractuels.265 |
SR 832.10 Loi fédérale du 18 mars 1994 sur l'assurance-maladie (LAMal) LAMal Art. 72 Prestations - 1 L'assureur convient avec le preneur d'assurance du montant des indemnités journalières assurées. Ils peuvent limiter la couverture aux risques de la maladie et de la maternité. |
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1 | L'assureur convient avec le preneur d'assurance du montant des indemnités journalières assurées. Ils peuvent limiter la couverture aux risques de la maladie et de la maternité. |
1bis | Les prestations prises en charge sont rattachées à la période d'incapacité de travail.260 |
2 | Le droit aux indemnités journalières prend naissance lorsque l'assuré a une capacité de travail réduite au moins de moitié (art. 6 LPGA261).262 À défaut d'accord contraire, le droit prend naissance le troisième jour qui suit le début de la maladie. Le versement des prestations peut être différé moyennant une réduction correspondante du montant de la prime. Lorsque la naissance du droit à l'indemnité journalière est subordonnée à un délai d'attente convenu entre les parties, durant lequel l'employeur est tenu de verser le salaire, ce délai peut être déduit de la durée minimale du versement de l'indemnité journalière. |
3 | Les indemnités journalières doivent être versées, pour une ou plusieurs maladies, durant au moins 720 jours dans une période de 900 jours. L'art. 67 LPGA n'est pas applicable.263 |
4 | En cas d'incapacité partielle de travail, une indemnité journalière réduite en conséquence est versée pendant la durée prévue à l'al. 3. La couverture d'assurance est maintenue pour la capacité de travail résiduelle. |
5 | Lorsque les indemnités journalières sont réduites par suite d'une surindemnisation au sens de l'art. 78 de la présente loi et de l'art. 69 LPGA, la personne atteinte d'une incapacité de travail a droit à l'équivalent de 720 indemnités journalières complètes.264 Les délais relatifs à l'octroi des indemnités journalières sont prolongés en fonction de la réduction. |
6 | L'art. 19, al. 2, LPGA n'est applicable que lorsque l'employeur a participé au financement de l'assurance d'indemnités journalières. Sont réservés d'autres arrangements contractuels.265 |
Zeitpunkt der Erschöpfung der maximalen Beitragsdauer von 720 Tagen gemeint (vgl. Eugster, Krankenversicherung, a.a.O., S. 845 Rz. 1472 mit weiteren Hinweisen). Nach Ausschöpfung des Taggeldanspruchs erfolgt somit keine Aussteuerung im Umfang der durchschnittlichen Arbeitsunfähigkeit während der gesamten Bezugsdauer.
Eine erneute Leistungspflicht des Taggeldversicherers ergibt sich in derartigen Konstellationen erst wieder, wenn die versicherte Person abermals im erforderlichen Prozentsatz arbeitsunfähig wird (Eugster, Rechtsprechung, a.a.O., N. 28 zu Art. 72
SR 832.10 Loi fédérale du 18 mars 1994 sur l'assurance-maladie (LAMal) LAMal Art. 72 Prestations - 1 L'assureur convient avec le preneur d'assurance du montant des indemnités journalières assurées. Ils peuvent limiter la couverture aux risques de la maladie et de la maternité. |
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1 | L'assureur convient avec le preneur d'assurance du montant des indemnités journalières assurées. Ils peuvent limiter la couverture aux risques de la maladie et de la maternité. |
1bis | Les prestations prises en charge sont rattachées à la période d'incapacité de travail.260 |
2 | Le droit aux indemnités journalières prend naissance lorsque l'assuré a une capacité de travail réduite au moins de moitié (art. 6 LPGA261).262 À défaut d'accord contraire, le droit prend naissance le troisième jour qui suit le début de la maladie. Le versement des prestations peut être différé moyennant une réduction correspondante du montant de la prime. Lorsque la naissance du droit à l'indemnité journalière est subordonnée à un délai d'attente convenu entre les parties, durant lequel l'employeur est tenu de verser le salaire, ce délai peut être déduit de la durée minimale du versement de l'indemnité journalière. |
3 | Les indemnités journalières doivent être versées, pour une ou plusieurs maladies, durant au moins 720 jours dans une période de 900 jours. L'art. 67 LPGA n'est pas applicable.263 |
4 | En cas d'incapacité partielle de travail, une indemnité journalière réduite en conséquence est versée pendant la durée prévue à l'al. 3. La couverture d'assurance est maintenue pour la capacité de travail résiduelle. |
5 | Lorsque les indemnités journalières sont réduites par suite d'une surindemnisation au sens de l'art. 78 de la présente loi et de l'art. 69 LPGA, la personne atteinte d'une incapacité de travail a droit à l'équivalent de 720 indemnités journalières complètes.264 Les délais relatifs à l'octroi des indemnités journalières sont prolongés en fonction de la réduction. |
6 | L'art. 19, al. 2, LPGA n'est applicable que lorsque l'employeur a participé au financement de l'assurance d'indemnités journalières. Sont réservés d'autres arrangements contractuels.265 |
3.2. Unbestrittenermassen richtete die Beschwerdegegnerin im Rahmen differierender Arbeitsunfähigkeiten u.a. für die Zeit vom 28. Oktober bis 6. Dezember 2008 und vom 24. Februar 2009 bis 4. Januar 2011 Taggeldleistungen aus, zuletzt ab 1. Juni 2010 für eine 50 %ige Arbeitsunfähigkeit. Am 4. Januar 2011 waren während des vorangegangenen Zeitraums von 900 Tagen insgesamt 720 Taggelder (40 + 680 Taggelder abzüglich Wartefrist) ausbezahlt worden. Damit war innerhalb der Berechnungsperiode die maximale Bezugsdauer ausgeschöpft, zählen doch, wie hiervor dargelegt, auch die Tage teilweiser Arbeitsunfähigkeit als ganze Tage. Da während der Perioden nur teilweiser Arbeitsunfähigkeit lediglich ein entsprechend gekürztes Taggeld ausgerichtet worden war, blieb der Versicherungsschutz für die restliche Arbeitsunfähigkeit erhalten. Kriterium für den verbleibenden Versicherungsschutz stellt das Mass des mit der Restarbeitsfähigkeit noch erzielbaren Erwerbseinkommens dar; für das weiterversicherbare Taggeld ist auf das mutmasslich erzielbare Invalideneinkommen nach Erschöpfung der maximalen Bezugsdauer von 720 Tagen, d.h. hier auf dasjenige vom 4. Januar 2011 abzustellen (vgl. auch E. 3.2 des kantonalen Entscheids).
3.3.
3.3.1. Die Beschwerdegegnerin ging, namentlich gestützt auf die Angaben der Dres. med. C.________ und D.________, Facharzt FMH für Pneumologie, in deren Berichten vom 5. und 16. November 2010, von einer am 4. Januar 2011 verbliebenen Restarbeitsfähigkeit von 50 % aus und leistete ein entsprechend vermindertes Taggeld. Der Beschwerdeführer war somit zwar weiterhin versichert, aber - nach Ansicht von Beschwerdegegnerin und Vorinstanz - infolge der Teilaussteuerung lediglich noch im Umfang einer 50 %igen Restarbeitsfähigkeit. Die ab 3. Dezember 2012 auf der Basis eines Versicherungsschutzes für vollständige Arbeitsunfähigkeit ausgerichteten Taggeldleistungen erfolgten daher, so die Argumentation von Versicherer und kantonalem Gericht, bezüglich der den 50 %igen Erwerbsausfall übersteigenden Entschädigung zu Unrecht.
3.3.2. Vor- wie letztinstanzlich stellt sich der Versicherte demgegenüber auf den Standpunkt, im Zeitpunkt der Ausschöpfung der maximalen Bezugsdauer am 4. Januar 2011 sei er wiederum zu 100 % arbeitsfähig gewesen; die ihm ärztlich bescheinigte 50 %ige Leistungseinschränkung habe lediglich bis Ende Dezember 2010 gegolten, weshalb nicht von einer Teilaussteuerung ausgegangen werden könne. Vielmehr habe bei Eintritt des neuen Leistungsfalls im Dezember 2012 wiederum ein uneingeschränkter Versicherungsschutz bestanden.
3.4. Der Beschwerdeführer vermag mit seinen Vorbringen nicht darzutun, inwiefern die Feststellungen und Schlussfolgerungen des kantonalen Gerichts offensichtlich unrichtig oder anderweitig rechtsfehlerhaft sein sollten.
3.4.1. Wie den echtzeitlichen ärztlichen Unterlagen zu entnehmen ist, hatten die Dres. med. C.________ und D.________ ihm noch im November 2010 - und damit unmittelbar vor Ausschöpfung der maximalen Taggeldbezugsdauer Anfang Januar 2011 - übereinstimmend weiterhin, wie bereits seit 1. Juni 2010, eine Arbeitsfähigkeit von 50 % attestiert. Der Pneumologe Dr. med. D.________ nahm dabei ausdrücklich auch Bezug auf leidensadaptierte Tätigkeiten ("Zu 50 % [...] für körperlich leicht belastende Arbeiten in lufthygienisch einwandfreier Umgebung"). Dass die Beschwerdegegnerin ihrer Taggeldbemessung noch bis und mit 4. Januar 2011 eine 50 %ige Leistungseinschränkung zugrunde legte, erscheint in Anbetracht dieser Einschätzungen nachvollziehbar und die entsprechende Bestätigung durch die Vorinstanz jedenfalls nicht willkürlich. Der Umstand, dass Dr. med. C.________ die Arbeitsunfähigkeitsbescheinigung in seinem ärztlichen Zeugnis vom 6. Oktober 2010 bis Ende Dezember 2010 ausgestellt hatte, ändert daran nichts, enthält dessen detailliertere Bericht vom 5. November 2010 doch keine derartige Befristung mehr.
3.4.2. Ebenso wenig lässt sich aus der Verfügung der IV-Stelle Bern vom 10. März 2011, welche mit Entscheid des Verwaltungsgerichts des Kantons Bern vom 26. September 2011 rechtskräftig bestätigt worden war, etwas anderes herleiten. Zum einen war auch darin nicht von einer im Rahmen leidensangepasster Beschäftigungen uneingeschränkten Arbeitsfähigkeit die Rede, sondern nahm die Verwaltung ein um 20 % vermindertes Leistungsvermögen an. Überdies handelt es sich dabei um eine retrospektive Beurteilung der IV-Stelle, die der Beschwerdegegnerin im Zeitpunkt der Ausrichtung ihrer Taggelder Ende 2010/Anfang 2011 noch nicht vorgelegen hatte.
3.4.3. Sodann ergibt sich auch aus der Notiz bezüglich eines am 23. Dezember 2010 geführten Telefonats, wonach der Beschwerdeführer der Beschwerdegegnerin auf deren Ankündigung vom 9. Dezember 2010 hin, die maximale Leistungsdauer werde am 4. Januar 2011 erreicht sein, mitteilte, er werde ab 3. Januar 2011 wieder zu 100 % arbeiten, nichts zugunsten des Versicherten. Im Gegenteil darf die versicherte Person - und darauf zielte der Beschwerdeführer gemäss Wortlaut der erwähnten Gesprächsnotiz offenkundig ab - die Erschöpfung der Bezugsberechtigung gerade nicht dadurch verhindern, dass sie vor der ärztlich bescheinigten Beendigung der Arbeitsunfähigkeit auf Taggeldleistungen verzichtet (vgl. Ziff. 8.3.1 Abs. 5 AVB).
3.4.4. Schliesslich erweist sich der Einwand in der Beschwerde als unbehelflich, die Beschwerdegegnerin habe trotz angeblicher Teilaussteuerung weiterhin die vollen Prämien kassiert. Aus der Höhe der bezahlten Prämien kann nicht auf den Umfang des Versicherungsschutzes geschlossen werden. Die teilweise Aussteuerung tritt auf Grund von Art. 72
SR 832.10 Loi fédérale du 18 mars 1994 sur l'assurance-maladie (LAMal) LAMal Art. 72 Prestations - 1 L'assureur convient avec le preneur d'assurance du montant des indemnités journalières assurées. Ils peuvent limiter la couverture aux risques de la maladie et de la maternité. |
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1 | L'assureur convient avec le preneur d'assurance du montant des indemnités journalières assurées. Ils peuvent limiter la couverture aux risques de la maladie et de la maternité. |
1bis | Les prestations prises en charge sont rattachées à la période d'incapacité de travail.260 |
2 | Le droit aux indemnités journalières prend naissance lorsque l'assuré a une capacité de travail réduite au moins de moitié (art. 6 LPGA261).262 À défaut d'accord contraire, le droit prend naissance le troisième jour qui suit le début de la maladie. Le versement des prestations peut être différé moyennant une réduction correspondante du montant de la prime. Lorsque la naissance du droit à l'indemnité journalière est subordonnée à un délai d'attente convenu entre les parties, durant lequel l'employeur est tenu de verser le salaire, ce délai peut être déduit de la durée minimale du versement de l'indemnité journalière. |
3 | Les indemnités journalières doivent être versées, pour une ou plusieurs maladies, durant au moins 720 jours dans une période de 900 jours. L'art. 67 LPGA n'est pas applicable.263 |
4 | En cas d'incapacité partielle de travail, une indemnité journalière réduite en conséquence est versée pendant la durée prévue à l'al. 3. La couverture d'assurance est maintenue pour la capacité de travail résiduelle. |
5 | Lorsque les indemnités journalières sont réduites par suite d'une surindemnisation au sens de l'art. 78 de la présente loi et de l'art. 69 LPGA, la personne atteinte d'une incapacité de travail a droit à l'équivalent de 720 indemnités journalières complètes.264 Les délais relatifs à l'octroi des indemnités journalières sont prolongés en fonction de la réduction. |
6 | L'art. 19, al. 2, LPGA n'est applicable que lorsque l'employeur a participé au financement de l'assurance d'indemnités journalières. Sont réservés d'autres arrangements contractuels.265 |
3.5. Es besteht somit kein Anlass, von der vorinstanzlichen Beurteilung abzuweichen. Die Taggeldleistungen ab 3. Dezember 2012 waren folglich basierend auf einer fehlerhaften Annahme der Beschwerdegegnerin (vollständiger Versicherungsschutz) teilweise zu Unrecht ausgerichtet worden.
4.
4.1. Zu beurteilen ist in einem nächsten Schritt die - vom Beschwerdeführer in Frage gestellte - Rechtmässigkeit der Rückforderung der zu viel ausgerichteten Taggeldleistungen.
Das kantonale Gericht hat auch die hierfür entscheidwesentlichen rechtlichen Grundlagen betreffend die Rückerstattung unrechtmässig bezogener Leistungen (Art. 25 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 25 Restitution - 1 Les prestations indûment touchées doivent être restituées. La restitution ne peut être exigée lorsque l'intéressé était de bonne foi et qu'elle le mettrait dans une situation difficile. |
|
1 | Les prestations indûment touchées doivent être restituées. La restitution ne peut être exigée lorsque l'intéressé était de bonne foi et qu'elle le mettrait dans une situation difficile. |
2 | Le droit de demander la restitution s'éteint trois ans après le moment où l'institution d'assurance a eu connaissance du fait, mais au plus tard cinq ans après le versement de la prestation.23 Si la créance naît d'un acte punissable pour lequel le droit pénal prévoit un délai de prescription plus long, celui-ci est déterminant. |
3 | Le remboursement de cotisations payées en trop peut être demandé. Le droit s'éteint une année après que le cotisant a eu connaissance de ses paiements trop élevés, mais au plus tard cinq ans après la fin de l'année civile au cours de laquelle les cotisations ont été payées. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 53 Révision et reconsidération - 1 Les décisions et les décisions sur opposition formellement passées en force sont soumises à révision si l'assuré ou l'assureur découvre subséquemment des faits nouveaux importants ou trouve des nouveaux moyens de preuve qui ne pouvaient être produits auparavant. |
|
1 | Les décisions et les décisions sur opposition formellement passées en force sont soumises à révision si l'assuré ou l'assureur découvre subséquemment des faits nouveaux importants ou trouve des nouveaux moyens de preuve qui ne pouvaient être produits auparavant. |
2 | L'assureur peut revenir sur les décisions ou les décisions sur opposition formellement passées en force lorsqu'elles sont manifestement erronées et que leur rectification revêt une importance notable. |
3 | Jusqu'à l'envoi de son préavis à l'autorité de recours, l'assureur peut reconsidérer une décision ou une décision sur opposition contre laquelle un recours a été formé. |
4.2. In der Beschwerde wird namentlich das - vorinstanzlich bejahte - Wiedererwägungselement der zweifellosen Unrichtigkeit eines Teils des vom 3. Dezember 2012 bis 21. Oktober 2014 erfolgten Taggeldbezugs bestritten.
4.2.1. Der Versicherte rügt in diesem Zusammenhang zum einen, die der angeblichen unrechtmässigen Leistungsausrichtung zugrunde liegende Annahme von Beschwerdegegnerin und Vorinstanz, am 4. Januar 2011 habe noch eine Arbeitsunfähigkeit von 50 % bestanden, sei nicht mit zweifelsfreier Sicherheit erstellt, was einer Wiedererwägung entgegenstehe. Er verkennt dabei, dass sich die Voraussetzung der zweifellosen Unrichtigkeit hier auf die Ausrichtung von Taggeldern im Zeitraum vom 3. Dezember 2012 bis 21. Oktober 2014 auf der Grundlage eines vollumfänglichen Versicherungsschutzes bezieht, nicht auf die Frage des Beweisgrades des Vorhandenseins des im Zeitpunkt der Ausschöpfung der Bezugsdauer bestehenden Leistungsvermögens. Letztere war bereits in einem vorgelagerten, den spezifisch krankentaggeldversicherungsrechtlichen Leistungsanspruch betreffenden Schritt zu beantworten, was vorstehend in E. 3 geschehen ist. Darauf ist im Kontext der Wiedererwägungserfordernisse nicht nochmals einzugehen.
4.2.2. Die Unrechtmässigkeit der besagten Leistungsausrichtung im Sinne der zweifellosen Unrichtigkeit gemäss Art. 53 Abs. 2
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 53 Révision et reconsidération - 1 Les décisions et les décisions sur opposition formellement passées en force sont soumises à révision si l'assuré ou l'assureur découvre subséquemment des faits nouveaux importants ou trouve des nouveaux moyens de preuve qui ne pouvaient être produits auparavant. |
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1 | Les décisions et les décisions sur opposition formellement passées en force sont soumises à révision si l'assuré ou l'assureur découvre subséquemment des faits nouveaux importants ou trouve des nouveaux moyens de preuve qui ne pouvaient être produits auparavant. |
2 | L'assureur peut revenir sur les décisions ou les décisions sur opposition formellement passées en force lorsqu'elles sont manifestement erronées et que leur rectification revêt une importance notable. |
3 | Jusqu'à l'envoi de son préavis à l'autorité de recours, l'assureur peut reconsidérer une décision ou une décision sur opposition contre laquelle un recours a été formé. |
SR 832.10 Loi fédérale du 18 mars 1994 sur l'assurance-maladie (LAMal) LAMal Art. 72 Prestations - 1 L'assureur convient avec le preneur d'assurance du montant des indemnités journalières assurées. Ils peuvent limiter la couverture aux risques de la maladie et de la maternité. |
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1 | L'assureur convient avec le preneur d'assurance du montant des indemnités journalières assurées. Ils peuvent limiter la couverture aux risques de la maladie et de la maternité. |
1bis | Les prestations prises en charge sont rattachées à la période d'incapacité de travail.260 |
2 | Le droit aux indemnités journalières prend naissance lorsque l'assuré a une capacité de travail réduite au moins de moitié (art. 6 LPGA261).262 À défaut d'accord contraire, le droit prend naissance le troisième jour qui suit le début de la maladie. Le versement des prestations peut être différé moyennant une réduction correspondante du montant de la prime. Lorsque la naissance du droit à l'indemnité journalière est subordonnée à un délai d'attente convenu entre les parties, durant lequel l'employeur est tenu de verser le salaire, ce délai peut être déduit de la durée minimale du versement de l'indemnité journalière. |
3 | Les indemnités journalières doivent être versées, pour une ou plusieurs maladies, durant au moins 720 jours dans une période de 900 jours. L'art. 67 LPGA n'est pas applicable.263 |
4 | En cas d'incapacité partielle de travail, une indemnité journalière réduite en conséquence est versée pendant la durée prévue à l'al. 3. La couverture d'assurance est maintenue pour la capacité de travail résiduelle. |
5 | Lorsque les indemnités journalières sont réduites par suite d'une surindemnisation au sens de l'art. 78 de la présente loi et de l'art. 69 LPGA, la personne atteinte d'une incapacité de travail a droit à l'équivalent de 720 indemnités journalières complètes.264 Les délais relatifs à l'octroi des indemnités journalières sont prolongés en fonction de la réduction. |
6 | L'art. 19, al. 2, LPGA n'est applicable que lorsque l'employeur a participé au financement de l'assurance d'indemnités journalières. Sont réservés d'autres arrangements contractuels.265 |
SR 832.10 Loi fédérale du 18 mars 1994 sur l'assurance-maladie (LAMal) LAMal Art. 72 Prestations - 1 L'assureur convient avec le preneur d'assurance du montant des indemnités journalières assurées. Ils peuvent limiter la couverture aux risques de la maladie et de la maternité. |
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1 | L'assureur convient avec le preneur d'assurance du montant des indemnités journalières assurées. Ils peuvent limiter la couverture aux risques de la maladie et de la maternité. |
1bis | Les prestations prises en charge sont rattachées à la période d'incapacité de travail.260 |
2 | Le droit aux indemnités journalières prend naissance lorsque l'assuré a une capacité de travail réduite au moins de moitié (art. 6 LPGA261).262 À défaut d'accord contraire, le droit prend naissance le troisième jour qui suit le début de la maladie. Le versement des prestations peut être différé moyennant une réduction correspondante du montant de la prime. Lorsque la naissance du droit à l'indemnité journalière est subordonnée à un délai d'attente convenu entre les parties, durant lequel l'employeur est tenu de verser le salaire, ce délai peut être déduit de la durée minimale du versement de l'indemnité journalière. |
3 | Les indemnités journalières doivent être versées, pour une ou plusieurs maladies, durant au moins 720 jours dans une période de 900 jours. L'art. 67 LPGA n'est pas applicable.263 |
4 | En cas d'incapacité partielle de travail, une indemnité journalière réduite en conséquence est versée pendant la durée prévue à l'al. 3. La couverture d'assurance est maintenue pour la capacité de travail résiduelle. |
5 | Lorsque les indemnités journalières sont réduites par suite d'une surindemnisation au sens de l'art. 78 de la présente loi et de l'art. 69 LPGA, la personne atteinte d'une incapacité de travail a droit à l'équivalent de 720 indemnités journalières complètes.264 Les délais relatifs à l'octroi des indemnités journalières sont prolongés en fonction de la réduction. |
6 | L'art. 19, al. 2, LPGA n'est applicable que lorsque l'employeur a participé au financement de l'assurance d'indemnités journalières. Sont réservés d'autres arrangements contractuels.265 |
Da das Erfordernis der erheblichen Bedeutung der Berichtigung ohne Weiteres zu bejahen ist, sind die Voraussetzungen für eine Wiedererwägung somit mit der Vorinstanz als erfüllt zu betrachten.
4.3. Der Beschwerdeführer macht ferner geltend, der Rückforderungsanspruch der Beschwerdegegnerin sei im Zeitpunkt des Verfügungserlasses vom 7. Dezember 2016 bereits verwirkt gewesen.
4.3.1. Gemäss Art. 25 Abs. 2
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 25 Restitution - 1 Les prestations indûment touchées doivent être restituées. La restitution ne peut être exigée lorsque l'intéressé était de bonne foi et qu'elle le mettrait dans une situation difficile. |
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1 | Les prestations indûment touchées doivent être restituées. La restitution ne peut être exigée lorsque l'intéressé était de bonne foi et qu'elle le mettrait dans une situation difficile. |
2 | Le droit de demander la restitution s'éteint trois ans après le moment où l'institution d'assurance a eu connaissance du fait, mais au plus tard cinq ans après le versement de la prestation.23 Si la créance naît d'un acte punissable pour lequel le droit pénal prévoit un délai de prescription plus long, celui-ci est déterminant. |
3 | Le remboursement de cotisations payées en trop peut être demandé. Le droit s'éteint une année après que le cotisant a eu connaissance de ses paiements trop élevés, mais au plus tard cinq ans après la fin de l'année civile au cours de laquelle les cotisations ont été payées. |
rückerstattungspflichtigen Person ergibt (Urteil 9C 195/2014 vom 3. September 2014 E. 2.1 mit Hinweisen, in: SVR 2015 IV Nr. 5 S. 10). Verfügt der Versicherungsträger (oder das Durchführungsorgan) über genügende Hinweise auf einen möglichen Rückforderungsanspruch, sind die Unterlagen aber noch unvollständig, hat er die zusätzlich erforderlichen Abklärungen innert angemessener Zeit vorzunehmen. Bei Säumnis ist der Beginn der Verwirkungsfrist auf den Zeitpunkt festzusetzen, in welchem die Verwaltung mit zumutbarem Einsatz ihre unvollständige Kenntnis so zu ergänzen imstande gewesen wäre, dass der Rückforderungsanspruch hätte geltend gemacht werden können (Urteil 8C 90/2018 vom 13. August 2018 E. 4.4 mit Hinweisen).
4.3.2. Das erstmalige - nach dem hiervor Ausgeführten für den Beginn der relativen einjährigen Verwirkungsfrist nicht ausschlaggebende - unrichtige Handeln der Beschwerdegegnerin bestand in der irrtümlichen Nichtberücksichtigung der teilweisen Aussteuerung im am 4. Januar 2011 abgeschlossenen Leistungsfall, welche zu den überhöhten Taggeldauszahlungen ab 3. Dezember 2012 führte. Die Unrichtigkeit dieser Vorgehensweise ist unbestritten, ändert aber - und darin geht der Beschwerdeführer fehl - nichts daran, dass als fristauslösend im Sinne des geforderten "zusätzlichen Indizes" der Moment zu gelten hat, an dem der Krankentaggeldversicherer den Fehler bei der ihm gebotenen und zumutbaren Aufmerksamkeit später hätte erkennen können. Die Vorinstanz terminierte diesen jedenfalls nicht vor dem 14. Dezember 2015, dem Tag, an welchem der letzte von der Beschwerdegegnerin im Nachgang zur erneuten Anmeldung des Beschwerdeführers mit Krankheitsanzeige vom 3. November 2015 angeforderte Arztbericht des Dr. med. C.________ vom 7. Dezember 2015 beim Versicherer eingegangen war. Erst zu jenem Zeitpunkt habe die Beschwerdegegnerin - so die vorinstanzliche Begründung - über sämtliche Unterlagen verfügt, die zur Beurteilung eines erneuten
Leistungsanspruchs erforderlich gewesen seien und gestützt auf die am 16. Dezember 2015 denn auch die entsprechende Leistungsabrechnung erfolgt sei. Mit Blick auf eine möglichst effiziente Leistungsabwicklung leuchte ein, dass ein möglicher Leistungsanspruch seitens der Sachbearbeitung des Krankenversicherers nur einmal - dafür aber in medizinischer und rechtlicher Hinsicht umfassend - bei Vorliegen aller notwendigen Akten geprüft werde. Unter diesen Umständen hätte die Beschwerdegegnerin, entgegen der Sichtweise des Beschwerdeführers, nicht schon vor dem 14. Dezember 2015 zumutbare Kenntnis des Fehlers haben müssen bzw. wäre sie nicht gehalten gewesen, den allfälligen Leistungsanspruch bereits anlässlich der erneuten Anmeldung (vom 3. November 2015) zu prüfen, ohne dass der medizinische Sachverhalt liquid abgeklärt gewesen wäre. Der Rückforderungsanspruch sei daher bei Erlass der Verfügung vom 7. Dezember 2016 noch nicht verwirkt gewesen.
Auch die diesbezüglichen Erwägungen im angefochtenen Entscheid vermögen ohne Weiteres vor Bundesrecht standzuhalten. Es ist entgegen den Ausführungen in der Beschwerde nicht nachvollziehbar, weshalb die Beschwerdegegnerin unmittelbar bei erneuter Anmeldung des Versicherten zum Leistungsbezug am 3. November 2015, eingegangen beim Versicherer am 18. November 2015, ohne weitergehende Abklärungen bezüglich eines möglichen Leistungsanspruchs hätte realisieren sollen, dass am 4. Januar 2011 eine Aussteuerung im Umfang von 50 % eingetreten war und die vom 3. Dezember 2012 bis 21. Oktober 2014 auf der Basis eines vollen Versicherungsschutzes ausgerichteten Taggeldleistungen somit teilweise unrechtmässig erfolgt waren. Erst im Zeitpunkt der materiellen Beurteilung bzw. der erstmaligen Auszahlung im Nachgang zur Anmeldung vom 3. November 2015 sah sich die Beschwerdegegnerin veranlasst, die Höhe der zu tätigenden Auszahlung und den Umfang des Versicherungsschutzes bzw. eine diesbezügliche allfällige Reduktion auf Grund einer Teilaussteuerung aus früheren Leistungsfällen zu überprüfen. Ebenso lässt allein der Umstand, dass zwischen fehlerauslösender Tatsache (teilweise Aussteuerung am 4. Januar 2011) und Rückforderungsverfügung knapp sechs
Jahre liegen, keine Rückschlüsse auf eine Verletzung der von der Beschwerdegegnerin zu erwartenden Sorgfaltspflichten zu. Schliesslich ist auch der Einwand des Beschwerdeführers, wonach die Beschwerdegegnerin anlässlich des am 23. Dezember 2010 geführten Telefonats (vgl. E. 3.4.3 hiervor) bereits Kenntnis über einen möglichen zukünftigen und dazu noch unrechtmässigen Leistungsbezug hätte haben können, nicht stichhaltig.
Mit dem Erlass der Rückforderungsverfügung vom 7. Dezember 2016 wurde die einjährige Verwirkungsfrist gemäss Art. 25 Abs. 2
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 25 Restitution - 1 Les prestations indûment touchées doivent être restituées. La restitution ne peut être exigée lorsque l'intéressé était de bonne foi et qu'elle le mettrait dans une situation difficile. |
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1 | Les prestations indûment touchées doivent être restituées. La restitution ne peut être exigée lorsque l'intéressé était de bonne foi et qu'elle le mettrait dans une situation difficile. |
2 | Le droit de demander la restitution s'éteint trois ans après le moment où l'institution d'assurance a eu connaissance du fait, mais au plus tard cinq ans après le versement de la prestation.23 Si la créance naît d'un acte punissable pour lequel le droit pénal prévoit un délai de prescription plus long, celui-ci est déterminant. |
3 | Le remboursement de cotisations payées en trop peut être demandé. Le droit s'éteint une année après que le cotisant a eu connaissance de ses paiements trop élevés, mais au plus tard cinq ans après la fin de l'année civile au cours de laquelle les cotisations ont été payées. |
4.4. Es bleibt damit bei der in masslicher Hinsicht unbestritten gebliebenen Rückforderung von Fr. 52'517.20.
5.
Dem Ausgang des Verfahrens entsprechend hat der Beschwerdeführer die Gerichtskosten zu tragen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 500.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Verwaltungsgericht des Kantons Bern und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 9. April 2019
Im Namen der II. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Die Präsidentin: Pfiffner
Die Gerichtsschreiberin: Fleischanderl