Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
8C 715/2022
Urteil vom 8. März 2023
IV. öffentlich-rechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Wirthlin, Präsident,
Bundesrichterinnen Heine, Viscione,
Gerichtsschreiber Jancar.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Herr Dr. iur. Roger Bollag,
Beschwerdeführerin,
gegen
IV-Stelle des Kantons Zürich,
Röntgenstrasse 17, 8005 Zürich,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Invalidenversicherung (Arbeitsunfähigkeit, Einkommensvergleich, Invalidenrente),
Beschwerde gegen das Urteil des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich
vom 30. September 2022 (IV.2022.00022).
Sachverhalt:
A.
Die 1962 geborene A.________ war seit 15. Oktober 2007 bis Ende Februar 2017 bei der B.________ AG als Maschinenführerin angestellt. Am 20. Dezember 2013 sprach ihr die IV-Stelle des Kantons Zürich orthopädische Serienschuhe als Hilfsmittel zu. Am 8. September 2016 meldete sich A.________ bei der IV-Stelle erneut zum Leistungsbezug an. Diese erachtete gemäss Schreiben vom 4. Februar 2019 eine bidisziplinäre Abklärung in Rheumatologie/Psychiatrie als notwendig. Mit Zwischenverfügung vom 20. März 2019 hielt die IV-Stelle an dieser Begutachtung fest. Die hiergegen von A.________ erhobene Beschwerde mit dem Antrag auf Durchführung einer multidisziplinären Begutachtung wies das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich mit Urteil vom 23. September 2019 ab. Die IV-Stelle holte ein psychiatrisches und rheumatologisches Gutachten des Swiss Medical Assessment- and Business Centers (nachfolgend: SMAB), Bern, vom 1. April 2020 mit Ergänzung seitens des rheumatologischen Gutachters vom 11. Februar 2021 ein. Die Versicherte reichte ein Gutachten der Psychiaterin Dr. med. C.________ vom 13. August 2021 ein. Mit Verfügung vom 30. November 2021 verneinte die IV-Stelle einen Rentenanspruch.
B.
Hiergegen erhob A.________ beim Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich Beschwerde. Sie legte eine Stellungnahme der Dr. med. C.________ vom 1. Januar 2022 auf. Mit Urteil vom 30. September 2022 wies das Sozialversicherungsgericht die Beschwerde ab.
C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten beantragt A.________, in Aufhebung des kantonalen Urteils sei ihr eine Invalidenrente auszurichten, die ihrer tatsächlichen Erwerbsunfähigkeit entspreche. Eventuell sei die Sache an die IV-Stelle zurückzuweisen und diese anzuweisen, (zumindest) ein drittes psychiatrisches Gutachten in Auftrag zu geben, um den Invaliditätsgrad zu bestimmen. Subeventuell sei der Versicherten ab Oktober 2017 eine Viertelsrente zu gewähren. Subsubeventuell sei die Sache zur erneuten Abklärung und anschliessenden Entscheidung an die IV-Stelle zurückzuweisen.
Ein Schriftenwechsel wurde nicht durchgeführt.
Erwägungen:
1.
Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann eine Rechtsverletzung nach Art. 95 f
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.90 |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |
Als Rechtsfrage gilt, ob die rechtserheblichen Tatsachen vollständig festgestellt und ob der Untersuchungsgrundsatz bzw. die Beweiswürdigungsregeln nach Art. 61 lit. c
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SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
|
a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
2.
Streitig ist, ob die vorinstanzlich bestätigte Verneinung eines Rentenanspruchs der Beschwerdeführerin durch die IV-Stelle vor Bundesrecht standhält.
2.1. Am 1. Januar 2022 traten im Zuge der Weiterentwicklung der IV revidierte Bestimmungen im IVG (SR 831.20) sowie im ATSG (SR 830.1) in Kraft (Weiterentwicklung der IV [WEIV]; Änderung vom 19. Juni 2020, AS 2021 705, BBl 2017 2535), dies mitsamt entsprechendem Verordnungsrecht. Die dem angefochtenen Urteil zugrunde liegende Verfügung erging vor dem 1. Januar 2022. Nach den allgemeinen Grundsätzen des intertemporalen Rechts und des zeitlich massgebenden Sachverhalts (BGE 144 V 210 E. 4.3.1, 129 V 354 E. 1) sind daher die Bestimmungen des IVG und der IVV (SR 831.201) sowie des ATSG und der ATSV (SR 830.11) in der bis 31. Dezember 2021 gültig gewesenen Fassung anwendbar (BGE 148 V 174 E. 4.1).
2.2. Die Vorinstanz hat die rechtlichen Grundlagen und die Rechtsprechung betreffend die Erwerbsunfähigkeit (Art. 7
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SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11 |
|
1 | Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11 |
2 | Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12 |
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SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 8 Invalidité - 1 Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
|
1 | Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
2 | Les assurés mineurs sans activité lucrative sont réputés invalides s'ils présentent une atteinte à leur santé physique, mentale ou psychique qui provoquera probablement une incapacité de gain totale ou partielle.13 |
3 | Les assurés majeurs qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont il ne peut être exigé qu'ils en exercent une sont réputés invalides si l'atteinte les empêche d'accomplir leurs travaux habituels. L'art. 7, al. 2, est applicable par analogie.14 15 |
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SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
|
1 | L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
a | sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles; |
b | il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA203) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable; |
c | au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins. |
1bis | Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.204 |
2 | ...205 |
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SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré. |
3.
In medizinischer Hinsicht erwog die Vorinstanz im Wesentlichen, das bidisziplinäre (rheumatologische und psychiatrische) SMAB-Gutachten vom 1. April 2020 sei beweiswertig. Darin seien folgende Diagnosen mit Auswirkung auf die Arbeitsfähigkeit gestellt worden: 1. Depressive Episode, leicht- bis mittelgradig (ICD-10 F32.0/1); 2. Chronifiziertes lumbospondylogenes Syndrom; 3. Chronifiziertes zervikospondylogenes Schmerzsyndrom mit muskulärer Dysbalance des Schultergürtels und Osteochondrose C5/C6. Gestützt auf dieses Gutachten sei der Beschwerdeführerin seit Februar 2017 eine angepasste Tätigkeit zu 80 % zumutbar.
4.
4.1. Die Beschwerdeführerin macht geltend, die Vorinstanz habe die Stellungnahme der Dr. med. C.________ vom 1. Januar 2022 im Urteil nicht erwähnt und damit das rechtliche Gehör verletzt. Weiter habe sie die ihr unterstellte Arbeitsfähigkeit von 80 % aus der Zusammenfassung des Urteils (richtig wohl: des SMAB-Gutachtens 1. April 2020) übernommen, ohne sich mit ihren zusätzlichen psychischen und rheumatologischen Einschränkungen auseinanderzusetzen (vgl. auch E. 7 hiernach). Bezogen auf den Leidensabzug habe sie sich überwiegend einzig mit dem vorgerückten Alter befasst und die anderen Einschränkungen gar nicht berücksichtigt (siehe hinten E. 10).
4.2. Im Rahmen der aus dem Gehörsanspruch nach Art. 29 Abs. 2
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SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
Entgegen der Behauptung der Beschwerdeführerin setzte sich die Vorinstanz mit der Stellungnahme der Dr. med. C.________ vom 1. Januar 2022 auseinander. Sie zeigte auch auf, weshalb bezüglich der Arbeitsfähigkeit auf die bidisziplinäre Beurteilung der SMAB-Gutachter vom 1. April 2020 abzustellen sei (hierzu vgl. E. 7.2 hiernach). Die Vorinstanz nahm zudem zu den von der Beschwerdeführerin im Rahmen der Abzugsfrage geltend gemachten Kriterien Stellung. Damit kam sie ihrer Begründungspflicht hinreichend nach. Die Beschwerdeführerin zeigt insgesamt nicht auf und es ist nicht ersichtlich, dass das vorinstanzliche Urteil - auch in anderer Hinsicht - infolge einer ungenügenden Begründung nicht sachgerecht anfechtbar gewesen wäre (vgl. SVR 2021 ALV Nr. 13 S. 46, 8C 56/2021 E. 5.2; Urteil 8C 508/2022 vom 24. Januar 2023 E. 5.2.2).
5.
5.1. Die Beschwerdeführerin macht geltend, Dr. med. C.________ habe sich für die Begutachtung 2 Stunden 45 Minuten Zeit genommen, und zwar ohne Dolmetscher, weil sie sehr gut Deutsch spreche. Beim psychiatrischen SMAB-Gutachter Dr. med. D.________ habe die Begutachtung 1 Stunde 25 Minuten gedauert, wobei alles noch vom Dolmetscher übersetzt worden sei. Netto habe die Begutachtung des Dr. med. D.________ somit nur 42,5 Minuten betragen, was für die Beurteilung der Arbeitsfähigkeit ungenügend sei. Eine sorgfältige gutachterliche Beurteilung eines zuvor unbekannten Menschen könne kaum in einer ein- oder zweistündigen Untersuchung gelingen. Die Beschwerdeführerin beruft sich diesbezüglich auf die Urteile 6B 92/2010 vom 30. März 2010 E. 3.3 und 6P.40/2001 vom 14. September 2001 E. 4d/dd sowie auf den Beitrag von ROMAN SCHLEIFER, JÖRG JEGER, CARLOS CANELA, GERHARD EBNER, ERICH SEIFRITZ, MICHAEL LIEBRENZ, Abklärungstiefe psychiatrischer Gutachten, in: InFo Neurologie & Psychiatrie, 2014 Nr. 6 S. 30.
5.2. Die Beschwerdeführerin ruft erstmals vor Bundesgericht die letztgenannte medizinische Literatur an. Da diese im Internet allgemein zugänglich ist, ist ihr Vorgehen nach Art. 99 Abs. 1
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
|
1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
5.3.
5.3.1. Nach neuerer konstanter Rechtsprechung kann aus einer - verhältnismässig - kurzen Dauer der psychiatrischen Exploration nicht von vornherein auf eine Sorgfaltswidrigkeit des Gutachters geschlossen werden. Für den Aussagegehalt eines medizinischen Berichts kommt es nämlich nicht in erster Linie auf die Dauer der Untersuchung an. Massgeblich ist vielmehr, ob der Bericht inhaltlich vollständig und im Ergebnis schlüssig ist. Der für eine psychiatrische Untersuchung zu betreibende zeitliche Aufwand hängt stets von der Fragestellung und der zu beurteilenden Psychopathologie ab. Wichtigste Grundlage gutachterlicher Schlussfolgerungen bildet - gegebenenfalls neben standardisierten Tests - die klinische Untersuchung mit Anamneseerhebung, Symptomerfassung und Verhaltensbeobachtung (vgl. nebst vielen: SVR 2016 IV Nr. 35 S. 109, 8C 47/2016 E. 3.2.2 mit Hinweis; Urteile 9C 290/2022 vom 11. Januar 2023 E. 4.1, 8C 127/2022 vom 8. Juli 2022 E. 5.2.2 und 9C 190/2019 vom 14. Mai 2019 E. 3.1).
5.3.2. Anhaltspunkte dafür, dass der psychiatrische SMAB-Gutachter Dr. med. D._______ die entsprechenden Vorgaben nicht bzw. nur ungenügend beachtet hätte, sind nicht erkennbar und werden beschwerdeweise auch nicht spezifisch dargetan. Er erhob die Anamnese und berücksichtigte die von der Beschwerdeführerin geklagten Beschwerden. Weiter setzte er sich mit den Standardindikatoren auseinander und äusserte sich auch zur Ressourcenfrage (vgl. auch E. 6.3 hiernach). Da im Ergebnis von inhaltlicher Vollständigkeit und Schlüssigkeit seiner Expertise ausgegangen werden kann, ist die Untersuchungsdauer nicht entscheidend (SVR 2016 IV Nr. 35 S. 109 E. 3.2.2 mit Hinweis).
6.
6.1. Weiter wendet die Beschwerdeführerin im Wesentlichen ein, die Vorinstanz habe Dr. med. von C.________ vorgeworfen, sie habe die Diagnose einer Persönlichkeitsstörung (ICD-10 F61) aufgrund eines strukturierten Interviews (SCID-5-PD) gestellt, ohne den entsprechenden Fragebogen beizulegen, was der Nachvollziehbarkeit der Diagnose entgegenstehe. Die IV-Stelle bzw. die Vorinstanz hätten aber den Fragebogen bzw. eine überprüfbare Auswertung desselben bei der Beschwerdeführerin einverlangen müssen. Indem sie dies nicht getan hätten, hätten sie den Untersuchungsgrundsatz verletzt. Demgegenüber habe die Vorinstanz die Ausführungen des Dr. med. D._______ akzeptiert, obwohl er an keiner Stelle aufgezeigt habe, wie er dazu gekommen sei. Er habe in seinem Gutachten festgehalten, auf der Basis der anamnestischen Angaben der Beschwerdeführerin sei nicht zweifelsfrei zu entscheiden, ob eine rezidivierende depressive Störung oder eine nunmehr lang anhaltende depressive Episode vorliege. Ohne Begründung habe er in der Folge ausgeführt, dass von einer leichten bis zeitweilig mittelschweren depressiven Episode auszugehen sei. Sein Gutachten sei somit nicht nachvollziehbar. Dr. med. C.________ habe im Gutachten vom 13. August 2021 und in der
Stellungnahme vom 1. Januar 2022 schlüssig dargelegt, weshalb bei der Beschwerdeführerin eine Persönlichkeitsstörung vorliege. Die von der Vorinstanz ins Feld geführte Stellungnahme des Psychiaters Dr. med. E.________, Regionaler Ärztlicher Dienst (RAD) der IV-Stelle, vom 19. November 2021, worin er das Vorliegen einer Persönlichkeitsstörung verneint habe, überzeuge nicht.
6.2.
6.2.1. Vorab ist mit der Vorinstanz festzuhalten, dass es in der Invalidenversicherung für die Bestimmung des Rentenanspruchs letztlich grundsätzlich unabhängig von der diagnostischen Einordnung eines Leidens und unbesehen der Ätiologie ausschlaggebend ist, ob und in welchem Ausmass eine Beeinträchtigung der Arbeits- bzw. Erwerbsfähigkeit vorliegt (vgl. BGE 148 V 49 E. 6.2.2, 143 V 409 E.4.2.1 f.; Urteil 8C 508/2022 vom 24. Januar 2023 E. 6.3).
6.2.2. Hiervon abgesehen ist festzuhalten, dass nicht nur die Dres. med. D.________ und F.________, sondern auch der Psychiater Dr. med. G.________, Medizinisches Zentrum H.________, in der vorinstanzlich aufgelegten und vom kantonalen Gericht erwähnten Stellungnahme zum SMAB-Gutachten vom 15. September 2020 entgegen Dr. med. C.________ keine Persönlichkeitsstörung der Beschwerdeführerin feststellten.
Zudem hat Dr. med. D.________ entgegen der Behauptung der Beschwerdeführerin seine Diagnose einer depressivere Episode, leicht- bis mittelgradig (ICD-10 F32.0/1), auf S. 29 Ziff. 6 seines Gutachtens begründet.
6.3. Die Beschwerdeführerin macht geltend, Dr. med. C.________ habe die ihr zumutbare Arbeitsleistung nicht aufgrund der Diagnose, sondern nach der Gesundheitsschädigung ICF (richtig wohl: nach den ICF-Kriterien [International Classification of Functioning]) vorgenommen. Demgegenüber habe Dr. med. D.________ in seinem Gutachten nicht angeführt, wie er zu seinem Ergebnis gekommen sei.
Diese Vorbringen sind nicht stichhaltig. Die Vorinstanz hat nämlich richtig festgestellt, dass der psychiatrische SMAB-Gutachter Dr. med. D.________ die Arbeitsfähigkeit der Beschwerdeführerin aufgrund der massgebenden Standardindikatoren nach BGE 141 V 281 E. 4.1.3 beurteilte. Sie hat sein Gutachten gemäss diesen Indikatoren überprüft (hierzu vgl. Urteil 8C 295/2022 vom 21. Dezember 2022 E. 9.2.2 mit Hinweis) und ist zum Schluss gekommen, dass er sich an die relevanten normativen Rahmenbedingungen gehalten habe und vor diesem Hintergrund seine Einschätzung einer 20%igen Einschränkung der Arbeitsfähigkeit der Beschwerdeführerin überzeuge. Diese bringt keine Einwände vor, welche die vorinstanzliche Indikatorenprüfung in tatsächlicher Hinsicht als offensichtlich unrichtig, willkürlich oder anderweitig als bundesrechtswidrig erscheinen liessen.
7.
7.1. Die Beschwerdeführerin bringt weiter vor, die Vorinstanz habe die ihr unterstellte 80%ige Arbeitsfähigkeit aus der Zusammenfassung (richtig: der bidisziplinären Gesamtbeurteilung) des SMAB-Gutachtens vom 1. April 2020 übernommen. Der rheumatologische SMAB-Gutachter Dr. med. I.________ sei aber gar nicht einbezogen worden, da er das Gutachten nur eingesehen und sich mit den Schlussfolgerungen lediglich einverstanden erklärt habe. Die Vorinstanz habe sich keine Gedanken darüber gemacht, dass wegen der somatischen Beschwerden (rheumatologische Symptomatik) ein vermehrter Pausenbedarf von 20 % und in den übrigen 80 % zusätzlich eine Leistungsminderung wegen der psychischen Beschwerden (Affektregulationsstörung) bestehe, weil die Beschwerdeführerin pro Zeiteinheit weniger leiste. Damit habe die Vorinstanz eine willkürliche Beweiswürdigung vorgenommen.
7.2.
7.2.1. Der bidisziplinären Gesamtbeurteilung der SMAB-Gutachter vom 1. April 2020 lässt sich entnehmen, dass sich die Einschränkungen der Beschwerdeführerin im Sinne einer 80%igen Arbeitsfähigkeit in einer optimal adaptierten Tätigkeit durch die psychiatrische und rheumatologische Symptomatik begründeten. Diese Teil-Arbeitsunfähigkeiten addierten sich dabei nicht. Das Belastungsprofil wurde wie folgt definiert: Die Beschwerdeführerin sei in der Lage, leichte körperliche Arbeiten mit Vermeiden von Heben und Tragen von Lasten über 7 kg auszuüben. Arbeiten in chronischer Vorneigehaltung, in kniender und kauernder Körperposition oder in rein statischer Belastung des Achsenskeletts im Sitzen und Stehen ohne die Möglichkeit zu Wechselpositionen seien zu vermeiden. Dabei könne sie lediglich Arbeiten einfacher bis durchschnittlicher geistiger Art und einfacher bis durchschnittlicher Verantwortung ohne besonderen Zeitdruck ausüben.
7.2.2. Diese gutachterlichen Aussagen sind klar. Weshalb die Vorinstanz in diesem Lichte zusätzliche Einschränkungen der Arbeitsfähigkeit der Beschwerdeführerin hätte in Erwägung ziehen sollen, ist nicht ersichtlich. Unbehelflich ist insbesondere ihr Einwand, der rheumatologische SMAB-Gutachter Dr. med. I.________ sei in die gutachterliche Entscheidfindung nicht einbezogen worden. Indem er nämlich die Gesamtbeurteilung der SMAB vom 1. April 2020 eingesehen und sich mit den Schlussfolgerungen unterschriftlich einverstanden erklärt hat, kommt dem SMAB-Gutachten auch hinsichtlich des rheumatologischen Teils voller Beweiswert zu (vgl. Urteil 9C 270/2008 vom 12. August 2008 E. 3.3).
8.
Zusammenfassend vermag die Beschwerdeführerin keine konkreten Indizien gegen die Zuverlässigkeit des bidisziplinären SMAB-Gutachtens vom 1. April 2020 aufzuzeigen (vgl. BGE 147 V 79 E. 8.1, 135 V 465 E. 4.4). Sie gibt im Wesentlichen die eigene Sicht wieder, wie die medizinischen Akten zu würdigen und welche Schlüsse daraus zu ziehen seien. Dies genügt nicht, um die vorinstanzliche Beurteilung, die sich auf dieses Gutachten stützte, in Frage zu stellen (BGE 143 V 208 E. 6.3.2; Urteil 8C 508/2022 vom 24. Januar 2023 E. 7.1). Insgesamt ist es weder in tatsächlicher Hinsicht offensichtlich unrichtig noch sonstwie bundesrechtswidrig, wenn die Vorinstanz gestützt auf das SMAB-Gutachten vom 1. April 2020 zum Schluss kam, dass die Beschwerdeführerin in einer angepassten Tätigkeit seit Februar 2017 zu 80 % arbeitsfähig sei (vgl. E. 3 und E. 7.2 hiervor). Da von weiteren medizinischen Abklärungen nach willkürfreier Einschätzung der Vorinstanz keine entscheidrelevanten Resultate zu erwarten waren, durfte sie davon absehen (Art. 29 Abs. 2
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SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
9.
9.1. In beruflich-erwerblicher Hinsicht ist das von der Vorinstanz festgestellte, im Gesundheitsfall hypothetisch erzielbare Valideneinkommen der Beschwerdeführerin von Fr. 69'817.05 im Jahr 2017 unbestritten, weshalb es damit sein Bewenden hat.
9.2. Das von der Beschwerdeführerin trotz Gesundheitsschadens hypothetisch erzielbare Invalideneinkommen ermittelte die Vorinstanz anhand der vom Bundesamt für Statistik herausgegebenen Schweizerischen Lohnstrukturerhebung (LSE) des Jahres 2016. Sie zog dabei den Lohn für Hilfsarbeiten (Tabelle TA1, Total, Kompetenzniveau 1) heran. Dies ergab angepasst an die betriebsübliche durchschnittliche wöchentliche Arbeitszeit, die Entwicklung des Nominallohnindexes und das der Beschwerdeführerin zumutbare 80%ige Arbeitspensum für das Jahr 2017 ein Einkommen von Fr. 43'839.55, was ebenfalls unbestritten ist.
10.
10.1. Streitig ist einzig, ob beim Invalideneinkommen ein Abzug vorzunehmen ist, was die Vorinstanz verneint hat. Die Beschwerdeführerin verlangt einen solchen von mindestens 10 %.
10.2. Die Vorinstanz hat die Rechtsprechung betreffend den Tabellenlohnabzug richtig dargelegt (vgl. BGE 148 V 174 E. 6.3). Ob ein behinderungsbedingt oder anderweitig begründeter Abzug vom Tabellenlohn vorzunehmen ist, stellt eine vom Bundesgericht frei überprüfbare Rechtsfrage dar (BGE 146 V 16 E. 4.2).
10.3. Nicht stichhaltig ist der Einwand der Beschwerdeführerin, die IV-Stelle habe im Vorbescheid vom 12. Oktober 2018 einen Abzug von 10 % veranschlagt. Denn dies hat keine Bindungswirkung für das weitere Verfahren (SVR 2008 IV Nr. 43 S. 145, 9C 115/2007 E. 4 f.; Urteil 8C 203/2019 vom 18. Juli 2019 E. 5.2).
10.4.
10.4.1. Die Beschwerdeführerin macht weiter im Wesentlichen geltend, ihre in der SMAB-Gesamtbeurteilung vom 1. April 2020 festgestellten Beeinträchtigungen (vgl. E. 7.2.1 hiervor) wirkten sich offensichtlich bei den ihr offen stehenden zumutbaren Hilfsarbeiten aus, weshalb die Verwertbarkeit ihrer Restarbeitsfähigkeit über die Statistik hinaus deutlich eingeschränkt sei. Ihre Beeinträchtigungen seien zwar bereits teilweise mit der Arbeitsfähigkeit von 80 % berücksichtigt worden, bildeten jedoch Umstände, die auf dem ausgeglichenen Arbeitsmarkt als ausserordentlich bezeichnet würden und damit zu einem leidensbedingten Abzug führen könnten. Dies gelte, weil bei ihr weitere Anforderungen an den Arbeitsplatz (wie geringe geistige Anforderungen, keine Verantwortung etc.) zu beachten seien. Zu berücksichtigen sei zudem, dass sie weder eine vielseitige Arbeitserfahrung an unterschiedlichen Stellen noch eine Berufsausbildung habe. Sie sei in den letzten zehn Jahren an derselben Stelle mit immer gleicher Arbeit beschäftigt gewesen. Unter diesen Umständen sei praxisgemäss mindestens ein 10%iger Abzug rechtmässig.
10.4.2.
10.4.2.1. Mit der Vorinstanz ist davon auszugehen, dass die gesundheitsbedingten Einschränkungen, einschliesslich des vermehrten Pausenbedarfs, im von den SMAB-Gutachtern formulierten Zumutbarkeitsprofil (E. 7.2.1 hiervor) bereits enthalten sind. Sie dürfen daher im Rahmen eines allfälligen Abzugs nicht erneut berücksichtigt werden (vgl. Urteil 8C 805/2016 vom 22. März 2017 E. 3.4.1 mit Hinweisen). Praxisgemäss ist sodann der Umstand allein, dass nur noch leichte Arbeiten zumutbar sind, kein Grund für einen zusätzlichen leidensbedingten Abzug, weil der LSE-Tabellenlohn im hier beigezogenen Kompetenzniveau 1 bereits eine Vielzahl von leichten Tätigkeiten umfasst (vgl. Urteile 8C 623/2022 12. Januar 2023 E. 5.2.2 und 8C 799/2021 vom 3. März 2022 E. 4.3.3 mit Hinweis).
Weiter verkennt die Beschwerdeführerin, dass die gutachterlich festgestellten qualitativen Einschränkungen ihrer Arbeitsfähigkeit im Rahmen körperlich leichter Tätigkeiten (E. 7.2.1 hiervor) keinen Schluss darauf erlauben, dass sie deswegen im Kompetenzniveau 1 über die Lohneinbusse aufgrund eines lediglich 80%igen Pensums hinaus weitere finanzielle Nachteile gewärtigen müsste. Denn es steht ihr ein genügend breites Spektrum an körperlich leichten Hilfsarbeitertätigkeiten auf dem ausgeglichenen Arbeitsmarkt zur Verfügung, in denen sich die qualitativen Einschränkungen nicht zusätzlich lohnrelevant auswirken (vgl. auch Urteil 8C 623/2022 12. Januar 2023 E. 5.2.2).
10.4.2.2. Unbehelflich ist die Berufung der Beschwerdeführerin auf eine fehlende Berufsbildung. Gemäss eigenen Angaben hat sie nämlich in L.________ in den Jahren 1977 bis 1981 den Beruf als Sekretärin gelernt. Selbst wenn davon auszugehen wäre, dass diese Ausbildung in der Schweiz nicht mehr verwertbar ist, ist festzuhalten, dass sich eine fehlende Ausbildung in Form einer Lehre bei den der Beschwerdeführerin zumutbaren Tätigkeiten im Kompetenzniveau 1 nicht negativ auswirkt (Urteile 8C 192/2022 vom 7. Juli 2022 E. 7.2.2 und 8C 549/2019 vom 26. November 2019 E. 7.7, je mit Hinweisen).
10.4.2.3. Soweit die Beschwerdeführerin argumentiert, ihre fehlende vielseitige Arbeitserfahrung an unterschiedlichen Stellen rechtfertige einen Tabellenlohnabzug, ist auf die Kasuistik zu verweisen. In dem von ihr angerufenen Urteil 8C 319/2017 vom 6. September 2017 E. 3.3.2.1 wurden eine fehlende vielseitige Arbeitserfahrung an unterschiedlichen Stellen zusammen mit den gesundheitsbedingten Defiziten und einer mangelnden Berufsbildung als Gründe dafür angesehen, dass die versicherte Person im untersten Anforderungs- bzw. Kompetenzniveau auch auf dem ausgeglichenen Arbeitsmarkt insgesamt nur mit einem unterdurchschnittlichen erwerblichen Erfolg zu rechnen habe. Demgegenüber wurde im Urteil 9C 862/2017 vom 29. Juni 2018 E. 3.3.1 f. erwogen, eine fehlende Arbeitserfahrung bei vielen verschiedenen Arbeitgebern sei im Rahmen der beigezogenen Verweisungstätigkeit im tiefsten Anforderungsniveau irrelevant.
Wie es sich hiermit grundsätzlich verhält, kann offen bleiben. Die Beschwerdeführerin gibt nämlich an, sehr gut deutsch zu sprechen, was Dr. med. C.________ in der Stellungnahme vom 1. Januar 2021 bestätigte. Laut ihrem Gutachten vom 13. August 2021 arbeitete die Beschwerdeführerin in der Schweiz zunächst von 1990 bis 2007 in einem Hotel in der Hauswirtschaft. Gemäss den Angaben der B.________ AG im Fragebogen vom 6. Januar 2017 arbeitete die Beschwerdeführerin bei ihr seit 1. Januar 2007 als Maschinenführerin. Ihr Tätigkeitsprofil umfasste das Bedienen von Verpackungsmaschinen, das Verpacken von Hand, Reinigungsarbeiten, hygienisches Arbeiten mit Lebensmitteln sowie die Einhaltung und Kontrolle von Qualitätsvorgaben. Diese Arbeitserfahrungen der Beschwerdeführerin lassen insgesamt nicht darauf schliessen, dass sie durch Umorientierung auf eine Hilfsarbeit im Vergleich zum LSE-Tabellenlohn nur einen unterdurchschnittlichen Lohn zu erzielen vermöchte (vgl. Urteil 8C 250/2022 vom 8. November 2022 E. 5.3.1).
10.4.2.4. Insgesamt ist die Nichtgewährung eines Abzugs vom statistischen Wert nicht bundesrechtswidrig.
10.5. Nach dem Gesagten hat die Vorinstanz bei einem Valideneinkommen von Fr. 69'817.05 und einem Invalideneinkommen von Fr. 43'839.55 zu Recht einen rentenausschliessenden Invaliditätsgrad von gerundet 37 % ermittelt, weshalb die Beschwerde abzuweisen ist.
11.
Die unterliegende Beschwerdeführerin trägt die Gerichtskosten (Art. 66 Abs. 1
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden der Beschwerdeführerin auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 8. März 2023
Im Namen der IV. öffentlich-rechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Wirthlin
Der Gerichtsschreiber: Jancar