Bundesverwaltungsgericht
Tribunal administratif fédéral
Tribunale amministrativo federale
Tribunal administrativ federal


Cour VI

F-4226/2017

Arrêt du 8 octobre 2019

Yannick Antoniazza-Hafner (président du collège),

Composition Gregor Chatton, Fulvio Haefeli, juges,

Claudine Schenk, greffière.

A._______,
Parties
recourante,

contre

Secrétariat d'Etat aux migrations SEM,

Quellenweg 6, 3003 Berne,

autorité inférieure,

Objet Refus d'approbation d'une décision préalable de l'autorité cantonale du marché du travail concernant X._______.

Faits :

A.

A.a Par requête du 24 février 2014 (contresignée par son employeur), X._______ (ressortissant turc, né en 1974) a déposé auprès du Service de la population du canton de Vaud (ci-après: SPOP) une demande d'autorisation de séjour avec activité lucrative. A l'appui de sa demande, il a produit un contrat de travail du 24 février 2014, indiquant qu'il travaillait depuis le 1er janvier 2011 au service de la société A._______ comme "tôlier en carrosserie automobile".

Dans une lettre datée du 26 février 2014, le prénommé a sollicité la régularisation de ses conditions de séjour et de celles de sa famille. Il a fait valoir qu'il vivait en Suisse depuis le mois de novembre 2010, que son épouse et leurs deux enfants (ressortissants turcs, nés respectivement en 1979, 1997 et 2003) l'avaient rejoint au mois de mai 2011 et que ces derniers étaient scolarisés depuis lors et désormais bien intégrés.

Dans une lettre de soutien datée du 27 février 2014, la société A._______ a expliqué qu'elle avait engagé l'intéressé en raison d'une surcharge de travail et que son employé avait toujours exécuté les tâches qui lui avaient été confiées "avec engagement et professionnalisme".

A.b Par décision du 11 juillet 2014, le SPOP, après avoir octroyé le droit d'être entendu au prénommé, a refusé de délivrer aux membres de cette famille des autorisations de séjour "sous quelque forme que ce soit", au motif que ceux-ci ne se trouvaient pas dans une situation de détresse personnelle au sens de l'art. 30 al. 1 let. b
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 30 - 1 È possibile derogare alle condizioni d'ammissione (art. 18-29) al fine di:
1    È possibile derogare alle condizioni d'ammissione (art. 18-29) al fine di:
a  disciplinare l'attività lucrativa degli stranieri ammessi in Svizzera nel quadro del ricongiungimento familiare, purché non sussista un diritto ad esercitare un'attività lucrativa (art. 46);
b  tenere conto dei casi personali particolarmente gravi o di importanti interessi pubblici;
c  disciplinare il soggiorno dei minori affiliati;
d  proteggere le persone particolarmente esposte al pericolo di sfruttamento nel contesto della loro attività lucrativa;
e  disciplinare il soggiorno delle vittime e dei testimoni della tratta di esseri umani, nonché delle persone che collaborano con le autorità di perseguimento penale nell'ambito di un programma di protezione dei testimoni svizzero, estero o di un tribunale penale internazionale;
f  consentire soggiorni nel quadro di programmi di aiuto e di sviluppo in materia di cooperazione economica e tecnica;
g  agevolare gli scambi internazionali nel settore economico, scientifico e culturale, nonché la formazione professionale e la formazione professionale continua;
h  semplificare il trasferimento, per motivi aziendali, di quadri superiori e specialisti indispensabili in imprese che operano su scala internazionale;
i  ...
j  consentire soggiorni di formazione continua in Svizzera a impiegati alla pari collocati da un'organizzazione riconosciuta;
k  agevolare la riammissione degli stranieri ex titolari di un permesso di dimora o di domicilio;
l  disciplinare l'attività lucrativa e la partecipazione a programmi occupazionali da parte di richiedenti l'asilo (art. 43 della L del 26 giu. 199845 sull'asilo, LAsi), stranieri ammessi provvisoriamente (art. 85) e persone bisognose di protezione (art. 75 LAsi).
2    Il Consiglio federale stabilisce le condizioni generali e disciplina la procedura.
LEtr (en relation avec l'art. 31 al. 1
SR 142.201 Ordinanza del 24 ottobre 2007 sull'ammissione, il soggiorno e l'attività lucrativa (OASA)
OASA Art. 31 Casi personali particolarmente gravi - (art. 30 cpv. 1 lett. b, 50 cpv. 1 lett. b e 84 cpv. 5 LStrI; art. 14 LAsi)
1    Se sussiste un caso personale particolarmente grave, può essere rilasciato un permesso di dimora. Nella valutazione occorre considerare in particolare:
a  l'integrazione del richiedente conformemente ai criteri di cui all'articolo 58a capoverso 1 LStrI;
b  ...
c  la situazione familiare, in particolare il momento e la durata della scolarizzazione dei figli;
d  la situazione finanziaria;
e  la durata della presenza in Svizzera;
f  lo stato di salute;
g  la possibilità di un reinserimento nel Paese d'origine.
2    Il richiedente deve rivelare la sua identità.
3    L'esercizio di un'attività lucrativa dipendente o indipendente non è soggetto ad autorizzazione.74
4    ...75
5    Se il richiedente non ha potuto partecipare alla vita economica o acquisire una formazione (art. 58a cpv. 1 lett. d LStrI) a causa dell'età, dello stato di salute o del divieto di lavoro secondo l'articolo 43 LAsi, occorre tenerne conto nella valutazione della situazione finanziaria.76
6    Nella valutazione di una domanda di rilascio di un permesso di dimora secondo l'articolo 84 capoverso 5 LStrI, va presa in considerazione la partecipazione con successo a un programma d'integrazione o d'occupazione.77
OASA) au regard de la durée réduite de leur séjour et de leur intégration relativement limitée en Suisse. Il a par ailleurs prononcé le renvoi des intéressés de Suisse.

A.c Le 28 août 2014, X._______, agissant pour lui-même et sa famille, a recouru contre cette décision auprès de la Cour de droit administratif et public du Tribunal cantonal vaudois (ci-après: Tribunal cantonal), se prévalant de son intégration et de celle de ses enfants en Suisse.

A.d Une audience s'est tenue le 20 mars 2015 par-devant le Tribunal cantonal, en présence du recourant (assisté de son conseil) et d'un représentant du SPOP. Lors de cette audience, la fille et l'employeur du recourant ont été entendus en qualité de témoins.

Etant donné que, de l'avis du représentant du SPOP, le recourant et sa famille ne remplissaient pas les conditions requises par la jurisprudence (notamment en termes de durée de séjour) pour obtenir la reconnaissance du cas de rigueur, le Président dudit tribunal s'est déclaré favorable à la suspension de la procédure afin de permettre à la société A._______ de présenter une (nouvelle) demande de prise d'emploi en faveur de l'intéressé fondée sur ses qualifications de carrossier spécialisé dans la restauration de voitures anciennes et de collection.

A.e Par ordonnance du 20 avril 2015, le Tribunal cantonal a ordonné la suspension de la procédure de recours dirigée contre la décision du SPOP du 11 juillet 2014 jusqu'à droit connu sur la demande de prise d'emploi que la société A._______ entendait présenter au Service de l'emploi du canton de Vaud (ci-après: SDE).

B.

B.a Le 17 juin 2015, la société A._______ a déposé, auprès du SDE, une (nouvelle) demande de prise d'emploi en faveur de X._______, fondée sur ses qualifications de spécialiste de la restauration de voitures anciennes et de collection.

Dite société a invoqué en substance que cela faisait plusieurs années qu'elle tentait - en vain - de recruter un carrossier-tôlier susceptible de remplacer son "dernier collaborateur spécialiste" qui était parti à la retraite et qu'elle avait engagé le prénommé à partir du 1er janvier 2011, après un temps d'essai de deux jours seulement, du fait qu'il jouissait de compétences rares dans ce domaine.

A l'appui de sa requête, elle a produit un dossier de pièces justificatives dans lequel figurait notamment, en sus du contrat de travail du 24 février 2014, le décompte de salaire de son employé du mois de mai 2015, deux certificats de travail attestant de l'expérience professionnelle acquise par l'intéressé en Turquie et des pièces attestant des recherches qu'elle avait entreprises en vue de repourvoir le poste resté vacant.

B.b Par décision du 2 septembre 2015, le SDE a rejeté la demande de prise d'emploi du 17 juin 2015.

B.c Le 30 septembre 2015, la société A._______ a recouru contre cette décision auprès du Tribunal cantonal.

B.d Par ordonnance du 8 octobre 2015, le Tribunal cantonal a ordonné la suspension de la procédure de recours dirigée contre la décision du SPOP du 11 juillet 2014 jusqu'à droit connu sur le recours ayant été formé contre la décision du SDE du 2 septembre 2015.

C.

C.a Invité par le Tribunal cantonal à se déterminer sur le recours ayant été formé contre sa décision du 2 septembre 2015, le SDE, dans sa réponse du 22 septembre 2015, a conclu au rejet du recours. La société recourante a répliqué le 21 janvier 2016. Le SDE a présenté ses observations finales par courrier du 23 février 2016, en se référant à sa réponse du 22 septembre 2015. Par ordonnance du 25 février 2016, le Tribunal cantonal a transmis ce courrier à la société recourante, à titre d'information.

C.b Invité par le Tribunal cantonal à compléter le recours qu'il avait formé contre la décision du SPOP du 11 juillet 2014 (en se prononçant en particulier sur le parcours d'intégration de ses enfants), X._______ a présenté un mémoire complémentaire en date du 22 mars 2016. Dans sa réponse du 31 mars 2016, le SPOP a conclu au rejet du recours. Dite réponse a été transmise le même jour au recourant, à titre d'information.

C.c Par ordonnance du 8 septembre 2016, le Tribunal cantonal a ordonné la jonction des procédures de recours ayant été introduites contre la décision du SPOP du 11 juillet 2014, d'une part, et contre la décision du SDE du 2 septembre 2015, d'autre part.

C.d Par arrêt du 30 septembre 2016, le Tribunal cantonal a admis le recours ayant été formé contre la décision du SDE du 2 septembre 2015, annulé cette décision et renvoyé le dossier de la cause au SDE pour instruction complémentaire et nouvelle décision. Il a également admis le recours ayant été formé contre la décision du SPOP du 11 juillet 2014, annulé cette décision et renvoyé le dossier de la cause au SPOP pour (instruction complémentaire et) nouvelle décision.

Dans ses considérants, le Tribunal cantonal, sans se prononcer sur la question de savoir si X._______ et sa famille remplissaient (ou non) les conditions requises par la jurisprudence pour la délivrance d'autorisations de séjour fondées sur l'art. 30 al. 1 let. b
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 30 - 1 È possibile derogare alle condizioni d'ammissione (art. 18-29) al fine di:
1    È possibile derogare alle condizioni d'ammissione (art. 18-29) al fine di:
a  disciplinare l'attività lucrativa degli stranieri ammessi in Svizzera nel quadro del ricongiungimento familiare, purché non sussista un diritto ad esercitare un'attività lucrativa (art. 46);
b  tenere conto dei casi personali particolarmente gravi o di importanti interessi pubblici;
c  disciplinare il soggiorno dei minori affiliati;
d  proteggere le persone particolarmente esposte al pericolo di sfruttamento nel contesto della loro attività lucrativa;
e  disciplinare il soggiorno delle vittime e dei testimoni della tratta di esseri umani, nonché delle persone che collaborano con le autorità di perseguimento penale nell'ambito di un programma di protezione dei testimoni svizzero, estero o di un tribunale penale internazionale;
f  consentire soggiorni nel quadro di programmi di aiuto e di sviluppo in materia di cooperazione economica e tecnica;
g  agevolare gli scambi internazionali nel settore economico, scientifico e culturale, nonché la formazione professionale e la formazione professionale continua;
h  semplificare il trasferimento, per motivi aziendali, di quadri superiori e specialisti indispensabili in imprese che operano su scala internazionale;
i  ...
j  consentire soggiorni di formazione continua in Svizzera a impiegati alla pari collocati da un'organizzazione riconosciuta;
k  agevolare la riammissione degli stranieri ex titolari di un permesso di dimora o di domicilio;
l  disciplinare l'attività lucrativa e la partecipazione a programmi occupazionali da parte di richiedenti l'asilo (art. 43 della L del 26 giu. 199845 sull'asilo, LAsi), stranieri ammessi provvisoriamente (art. 85) e persone bisognose di protezione (art. 75 LAsi).
2    Il Consiglio federale stabilisce le condizioni generali e disciplina la procedura.
LEtr (en relation avec l'art. 31 al. 1
SR 142.201 Ordinanza del 24 ottobre 2007 sull'ammissione, il soggiorno e l'attività lucrativa (OASA)
OASA Art. 31 Casi personali particolarmente gravi - (art. 30 cpv. 1 lett. b, 50 cpv. 1 lett. b e 84 cpv. 5 LStrI; art. 14 LAsi)
1    Se sussiste un caso personale particolarmente grave, può essere rilasciato un permesso di dimora. Nella valutazione occorre considerare in particolare:
a  l'integrazione del richiedente conformemente ai criteri di cui all'articolo 58a capoverso 1 LStrI;
b  ...
c  la situazione familiare, in particolare il momento e la durata della scolarizzazione dei figli;
d  la situazione finanziaria;
e  la durata della presenza in Svizzera;
f  lo stato di salute;
g  la possibilità di un reinserimento nel Paese d'origine.
2    Il richiedente deve rivelare la sua identità.
3    L'esercizio di un'attività lucrativa dipendente o indipendente non è soggetto ad autorizzazione.74
4    ...75
5    Se il richiedente non ha potuto partecipare alla vita economica o acquisire una formazione (art. 58a cpv. 1 lett. d LStrI) a causa dell'età, dello stato di salute o del divieto di lavoro secondo l'articolo 43 LAsi, occorre tenerne conto nella valutazione della situazione finanziaria.76
6    Nella valutazione di una domanda di rilascio di un permesso di dimora secondo l'articolo 84 capoverso 5 LStrI, va presa in considerazione la partecipazione con successo a un programma d'integrazione o d'occupazione.77
OASA), s'est borné à examiner le bien-fondé de la décision cantonale préalable concernant le marché du travail rendue le 2 septembre 2015 par le SDE. Il a estimé que l'instruction de la cause avait permis d'établir que la société recourante avait déployé des "efforts constants" depuis 2009 (voire depuis 2007) en vue de tenter de recruter un candidat apte à occuper le poste à repourvoir et que le prénommé, même s'il n'était au bénéfice d'aucun diplôme, disposait d'un savoir-faire peu commun dans le domaine de la restauration de voitures anciennes et de collection, puisqu'il avait débuté sa formation pratique dès l'âge de douze ans sur de tels véhicules. Il a toutefois considéré que le SDE n'avait pas instruit la demande de prise d'emploi qui lui avait été soumise le 17 juin 2015 dans toute sa spécificité en vue de déterminer si les conditions de l'art. 23 al. 3 let. c
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 23 Condizioni personali - 1 Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
1    Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
2    All'atto del rilascio del permesso di dimora occorre inoltre esaminare se la qualifica professionale, la capacità di adattamento professionale e sociale, le conoscenze linguistiche e l'età dell'interessato ne lascino presagire un'integrazione durevole nel mercato svizzero del lavoro e nel contesto sociopolitico.
3    In deroga ai capoversi 1 e 2, possono essere ammessi in Svizzera:
a  investitori e imprenditori che mantengono posti di lavoro o ne creano di nuovi;
b  persone riconosciute in ambito scientifico, culturale o sportivo;
c  persone con conoscenze o attitudini professionali specifiche, sempreché ne sia dimostrato il bisogno;
d  persone trasferite in Svizzera che fanno parte dei quadri di aziende attive sul piano internazionale;
e  persone la cui attività in Svizzera è indispensabile nel contesto di relazioni d'affari internazionali importanti dal punto di vista economico.
LEtr étaient (ou non) remplies. Il lui a, en particulier, reproché de ne pas avoir fait la distinction entre l'activité de "carrossier-tôlier" (pour laquelle il existait un cursus de formation en Suisse aboutissant à un CFC) et celle de "tôlier-formeur" spécialisé dans la restauration de voitures anciennes et de collection (un travail d'artisanat pour lequel il n'existait en Suisse aucun cursus de formation couronné par un diplôme, ainsi qu'il ressortait d'une attestation émise le 30 septembre 2015 par la Direction générale de l'enseignement post-obligatoire) et de ne pas avoir instruit "les éléments spécifiques de la formation et de l'expérience professionnelle" acquises par l'intéressé en vue de l'exercice de l'activité de "tôlier-formeur" spécialisé dans la restauration de voitures anciennes et de collection qui lui avait été proposée par la société recourante, ni vérifié s'il existait en Suisse un besoin avéré de spécialistes dans ce secteur d'activité.

C.e Par décision préalable du 28 février 2017, le SDE a accepté la demande de prise d'emploi en faveur de X._______ qui lui avait été soumise le 17 juin 2015 par la société A._______, sous réserve de l'approbation du Secrétariat d'Etat aux migrations (ci-après: SEM ou autorité inférieure, respectivement intimée), auquel il a transmis le dossier.

C.f Le 30 mai 2017, le SEM a informé la société requérante qu'il envisageait de refuser d'approuver la décision cantonale susmentionnée et lui a octroyé le droit d'être entendu à ce sujet.

C.g Dite société s'est déterminée le 16 juin 2017, pièces à l'appui.

D.

Par décision du 17 juillet 2017, le SEM a refusé d'approuver la décision cantonale préalable rendue le 28 février 2017 par l'autorité vaudoise du marché du travail.

Tout en admettant que X._______ semblait bénéficier de l'expérience pratique requise pour le poste qu'il occupait au sein de la société requérante, il a retenu que les recherches entreprises par celle-ci en vue de recruter, en Suisse et dans les Etats de l'Union européenne (UE) et de l'Association Européenne de Libre-Echange (AELE), une personne répondant au profil recherché n'avaient pas été suffisamment approfondies. Il a fait valoir qu'il ne pouvait raisonnablement croire qu'il fût impossible (ou extrêmement difficile) de trouver une telle personne sur le marché du travail suisse ou européen, en voulant pour preuve qu'aucune demande de prise d'emploi ne lui avait été soumise à ce jour pour un poste de "tôlier-formeur" spécialisé dans la restauration de voitures anciennes et de collection. Se référant aux mesures d'instruction suggérées par le Tribunal cantonal dans son arrêt du 30 septembre 2016, il a indiqué qu'il avait consulté dans l'intervalle la Direction générale de l'enseignement post-obligatoire et que celle-ci l'avait informé que la spécialisation requise en matière de restauration de voitures anciennes et de collection existait en Suisse uniquement sous forme de cours (sans diplôme), du fait que la demande en matière de spécialistes dans ce domaine était trop faible pour justifier les coûts de mise en place d'une formation aboutissant à un CFC. Il a invoqué qu'il appartenait en premier lieu à l'entreprise, si son besoin pour un profil particulier de travailleur était manifeste, de dispenser à son personnel la spécialisation requise lorsque ceci lui était possible (ce qui était le cas, aux dires de l'administrateur de la société requérante, même si cela nécessitait apparemment un investissement conséquent en termes de temps) et/ou de le faire former (notamment en lui proposant de suivre des cours de spécialisation), et que, dans la mesure où la personne recrutée pouvait in casu être formée en Suisse, les conditions de l'art. 23 al. 3 let. c
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 23 Condizioni personali - 1 Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
1    Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
2    All'atto del rilascio del permesso di dimora occorre inoltre esaminare se la qualifica professionale, la capacità di adattamento professionale e sociale, le conoscenze linguistiche e l'età dell'interessato ne lascino presagire un'integrazione durevole nel mercato svizzero del lavoro e nel contesto sociopolitico.
3    In deroga ai capoversi 1 e 2, possono essere ammessi in Svizzera:
a  investitori e imprenditori che mantengono posti di lavoro o ne creano di nuovi;
b  persone riconosciute in ambito scientifico, culturale o sportivo;
c  persone con conoscenze o attitudini professionali specifiche, sempreché ne sia dimostrato il bisogno;
d  persone trasferite in Svizzera che fanno parte dei quadri di aziende attive sul piano internazionale;
e  persone la cui attività in Svizzera è indispensabile nel contesto di relazioni d'affari internazionali importanti dal punto di vista economico.
LEtr n'étaient pas réalisées. Se fondant sur les renseignements qui lui avaient été fournis par la Direction générale de l'enseignement post-obligatoire, il a retenu que d'autres entreprises (spécialisées dans la restauration de voitures anciennes et de collection) actives en Suisse romande et en Suisse alémanique étaient en mesure de mener à bien les mandats que la société requérante ne pourrait pas honorer faute d'obtenir l'autorisation de séjour et de travail requise en faveur de son employé, de sorte que l'admission de cette personne n'apparaissait pas indispensable pour préserver les intérêts économiques du pays. Il a observé enfin qu'une procédure en vue de l'octroi d'autorisations de séjour fondées sur l'art. 30 al. 1 let. b
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 30 - 1 È possibile derogare alle condizioni d'ammissione (art. 18-29) al fine di:
1    È possibile derogare alle condizioni d'ammissione (art. 18-29) al fine di:
a  disciplinare l'attività lucrativa degli stranieri ammessi in Svizzera nel quadro del ricongiungimento familiare, purché non sussista un diritto ad esercitare un'attività lucrativa (art. 46);
b  tenere conto dei casi personali particolarmente gravi o di importanti interessi pubblici;
c  disciplinare il soggiorno dei minori affiliati;
d  proteggere le persone particolarmente esposte al pericolo di sfruttamento nel contesto della loro attività lucrativa;
e  disciplinare il soggiorno delle vittime e dei testimoni della tratta di esseri umani, nonché delle persone che collaborano con le autorità di perseguimento penale nell'ambito di un programma di protezione dei testimoni svizzero, estero o di un tribunale penale internazionale;
f  consentire soggiorni nel quadro di programmi di aiuto e di sviluppo in materia di cooperazione economica e tecnica;
g  agevolare gli scambi internazionali nel settore economico, scientifico e culturale, nonché la formazione professionale e la formazione professionale continua;
h  semplificare il trasferimento, per motivi aziendali, di quadri superiori e specialisti indispensabili in imprese che operano su scala internazionale;
i  ...
j  consentire soggiorni di formazione continua in Svizzera a impiegati alla pari collocati da un'organizzazione riconosciuta;
k  agevolare la riammissione degli stranieri ex titolari di un permesso di dimora o di domicilio;
l  disciplinare l'attività lucrativa e la partecipazione a programmi occupazionali da parte di richiedenti l'asilo (art. 43 della L del 26 giu. 199845 sull'asilo, LAsi), stranieri ammessi provvisoriamente (art. 85) e persone bisognose di protezione (art. 75 LAsi).
2    Il Consiglio federale stabilisce le condizioni generali e disciplina la procedura.
LEtr avait été
initiée sur le plan cantonal, qu'en cas d'admission des demandes d'autorisations de séjour à la lumière de cette disposition, le prénommé obtiendrait une autorisation de travail sur simple requête de son employeur et qu'au regard de l'ensemble des circonstances, la poursuite de l'examen de la présente cause sous l'angle de cette disposition aurait, à ses yeux, dû être privilégiée par les autorités cantonales.

E.
Le 26 juillet 2017, la société A._______ a recouru contre la décision susmentionnée auprès du Tribunal administratif fédéral (ci-après: TAF ou Tribunal de céans), en concluant implicitement à l'annulation de cette décision et à ce que la décision préalable de l'autorité vaudoise du marché du travail soit approuvée, de manière à permettre la prise d'emploi de X._______.

Elle a fait valoir que, s'il existait certes la possibilité de suivre actuellement des cours en Suisse romande (de six mois) et en Suisse allemande (de 18 mois) en matière de restauration de voitures anciennes et de collection, cette possibilité n'avait pas existé au moment du dépôt de ses demandes de prise d'emploi en faveur du prénommé et qu'en tout état de cause, les compétences et le savoir-faire requis pour l'exercice de cette activité ne pouvaient s'acquérir en suivant une formation de six ou 18 mois, mais nécessitaient plusieurs années d'expérience pratique, car un spécialiste en la matière devait être en mesure non seulement de réparer ou de changer une pièce, mais également de la créer, voire même de fabriquer l'outil nécessaire pour solutionner les problèmes techniques auxquels il pouvait éventuellement être confronté. Elle a invoqué que l'art. 23 al. 3 let. c
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 23 Condizioni personali - 1 Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
1    Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
2    All'atto del rilascio del permesso di dimora occorre inoltre esaminare se la qualifica professionale, la capacità di adattamento professionale e sociale, le conoscenze linguistiche e l'età dell'interessato ne lascino presagire un'integrazione durevole nel mercato svizzero del lavoro e nel contesto sociopolitico.
3    In deroga ai capoversi 1 e 2, possono essere ammessi in Svizzera:
a  investitori e imprenditori che mantengono posti di lavoro o ne creano di nuovi;
b  persone riconosciute in ambito scientifico, culturale o sportivo;
c  persone con conoscenze o attitudini professionali specifiche, sempreché ne sia dimostrato il bisogno;
d  persone trasferite in Svizzera che fanno parte dei quadri di aziende attive sul piano internazionale;
e  persone la cui attività in Svizzera è indispensabile nel contesto di relazioni d'affari internazionali importanti dal punto di vista economico.
LEtr n'exigeait pas la possession d'un diplôme particulier, que le prénommé - même s'il ne disposait d'aucune formation à proprement parler - était un "maître de la restauration" de voitures anciennes et de collection au regard des années d'expérience pratique dont il bénéficiait dans ce domaine d'activité, que cela faisait depuis 2007 qu'elle cherchait à recruter un "spécialiste tôlier-formeur avec un minimum de 15 ans d'expérience validée dans la restauration" apte à collaborer avec des clients fortunés et exigeants tels ceux de la branche automobile de prestige de la région lémanique (ainsi qu'en témoignaient les pièces qu'elle avait produites dans le cadre de la procédure cantonale et par-devant l'autorité inférieure), mais que ses efforts étaient restés vains. Elle a relevé qu'elle réalisait actuellement 20% de son chiffre d'affaires en restaurant des voitures de collection (ou "oldtimers"), que son objectif était de recruter dans un proche avenir un deuxième collaborateur spécialisé en vue d'augmenter cette part à 25% ou à 30%, qu'il existait une demande importante dans ce secteur d'activité et qu'il était regrettable que ce travail spécialisé et à forte valeur ajoutée soit souvent effectué au-delà des frontières helvétiques (notamment en Grande-Bretagne et aux USA).

F.

Invité à se déterminer sur le recours, le SEM a conclu au rejet du recours, dans sa réponse du 24 novembre 2017. La société recourante a répliqué le 25 janvier 2018. Le SEM a dupliqué le 26 mars 2018. La société recourante s'est déterminée une dernière fois le 29 juin 2018. Cette détermination a été transmise le 20 juillet 2018 au SEM, à titre d'information.

G.
Les autres faits de la cause seront évoqués, si nécessaire, dans les considérants qui suivent.

Droit :

1.

1.1 Sous réserve des exceptions prévues à l'art. 32
SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF)
LTAF Art. 32 Eccezioni - 1 Il ricorso è inammissibile contro:
1    Il ricorso è inammissibile contro:
a  le decisioni in materia di sicurezza interna o esterna del Paese, neutralità, protezione diplomatica e altri affari esteri, in quanto il diritto internazionale pubblico non conferisca un diritto al giudizio da parte di un tribunale;
b  le decisioni in materia di diritto di voto dei cittadini nonché di elezioni e votazioni popolari;
c  le decisioni in materia di salario al merito del personale federale, in quanto non concernano la parità dei sessi;
d  ...
e  le decisioni nel settore dell'energia nucleare concernenti:
e1  le autorizzazioni di massima per impianti nucleari,
e2  l'approvazione del programma di smaltimento,
e3  la chiusura di depositi geologici in profondità,
e4  la prova dello smaltimento;
f  le decisioni in materia di rilascio o estensione di concessioni di infrastrutture ferroviarie;
g  le decisioni dell'autorità indipendente di ricorso in materia radiotelevisiva;
h  le decisioni in materia di rilascio di concessioni per case da gioco;
i  le decisioni in materia di rilascio, modifica o rinnovo della concessione della Società svizzera di radiotelevisione (SSR);
j  le decisioni in materia di diritto ai sussidi di una scuola universitaria o di un altro istituto accademico.
2    Il ricorso è inoltre inammissibile contro:
a  le decisioni che, in virtù di un'altra legge federale, possono essere impugnate mediante opposizione o ricorso dinanzi a un'autorità ai sensi dell'articolo 33 lettere c-f;
b  le decisioni che, in virtù di un'altra legge federale, possono essere impugnate mediante ricorso dinanzi a un'autorità cantonale.
LTAF (RS 173.32), le Tribunal de céans, en vertu de l'art. 31
SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF)
LTAF Art. 31 Principio - Il Tribunale amministrativo federale giudica i ricorsi contro le decisioni ai sensi dell'articolo 5 della legge federale del 20 dicembre 196819 sulla procedura amministrativa (PA).
LTAF, connaît des recours contre les décisions au sens de l'art. 5
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 5 - 1 Sono decisioni i provvedimenti delle autorità nel singolo caso, fondati sul diritto pubblico federale e concernenti:
1    Sono decisioni i provvedimenti delle autorità nel singolo caso, fondati sul diritto pubblico federale e concernenti:
a  la costituzione, la modificazione o l'annullamento di diritti o di obblighi;
b  l'accertamento dell'esistenza, dell'inesistenza o dell'estensione di diritti o di obblighi;
c  il rigetto o la dichiarazione d'inammissibilità d'istanze dirette alla costituzione, alla modificazione, all'annullamento o all'accertamento di diritti o di obblighi.
2    Sono decisioni anche quelle in materia d'esecuzione (art. 41 cpv. 1 lett. a e b), le decisioni incidentali (art. 45 e 46), le decisioni su opposizione (art. 30 cpv. 2 lett. b e 74), le decisioni su ricorso (art. 61), le decisioni in sede di revisione (art. 68) e l'interpretazione (art. 69).24
3    Le dichiarazioni di un'autorità che rifiuta o solleva pretese da far valere mediante azione non sono considerate decisioni.
PA (RS 172.021) prises par les autorités mentionnées à l'art. 33
SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF)
LTAF Art. 33 Autorità inferiori - Il ricorso è ammissibile contro le decisioni:
a  del Consiglio federale e degli organi dell'Assemblea federale in materia di rapporti di lavoro del personale federale, compreso il rifiuto dell'autorizzazione a procedere penalmente;
b  del Consiglio federale concernenti:
b1  la destituzione di un membro del Consiglio della banca o della direzione generale o di un loro supplente secondo la legge del 3 ottobre 200325 sulla Banca nazionale,
b10  la revoca di un membro del consiglio d'amministrazione del Servizio svizzero di assegnazione delle tracce o l'approvazione della risoluzione del rapporto di lavoro del direttore da parte del consiglio d'amministrazione secondo la legge federale del 20 dicembre 195743 sulle ferrovie;
b2  la revoca di un membro del consiglio di amministrazione dell'Autorità federale di vigilanza sui mercati finanziari o l'approvazione dello scioglimento del rapporto di lavoro del direttore da parte del consiglio di amministrazione secondo la legge del 22 giugno 200726 sulla vigilanza dei mercati finanziari,
b3  il blocco di valori patrimoniali secondo la legge del 18 dicembre 201528 sui valori patrimoniali di provenienza illecita,
b4  il divieto di determinate attività secondo la LAIn30,
b4bis  il divieto di organizzazioni secondo la LAIn,
b5  la revoca di un membro del Consiglio d'istituto dell'Istituto federale di metrologia secondo la legge federale del 17 giugno 201133 sull'Istituto federale di metrologia,
b6  la revoca di un membro del consiglio di amministrazione dell'Autorità federale di sorveglianza dei revisori o l'approvazione dello scioglimento del rapporto di lavoro del direttore da parte del consiglio di amministrazione secondo la legge del 16 dicembre 200535 sui revisori,
b7  la revoca di un membro del Consiglio dell'Istituto svizzero per gli agenti terapeutici secondo la legge del 15 dicembre 200037 sugli agenti terapeutici,
b8  la revoca di un membro del consiglio di amministrazione dell'istituto secondo la legge del 16 giugno 201739 sui fondi di compensazione,
b9  la revoca di un membro del consiglio d'Istituto dell'Istituto svizzero di diritto comparato secondo la legge federale del 28 settembre 201841 sull'Istituto svizzero di diritto comparato,
c  del Tribunale penale federale in materia di rapporti di lavoro dei suoi giudici e del suo personale;
cbis  del Tribunale federale dei brevetti in materia di rapporti di lavoro dei suoi giudici e del suo personale;
cquater  del procuratore generale della Confederazione in materia di rapporti di lavoro dei procuratori pubblici federali da lui nominati e del personale del Ministero pubblico della Confederazione;
cquinquies  dell'autorità di vigilanza sul Ministero pubblico della Confederazione in materia di rapporti di lavoro del personale della sua segreteria;
cter  dell'autorità di vigilanza sul Ministero pubblico della Confederazione in materia di rapporti di lavoro dei membri del Ministero pubblico della Confederazione eletti dall'Assemblea federale plenaria;
d  della Cancelleria federale, dei dipartimenti e dei servizi dell'Amministrazione federale loro subordinati o aggregati amministrativamente;
e  degli stabilimenti e delle aziende della Confederazione;
f  delle commissioni federali;
g  dei tribunali arbitrali costituiti in virtù di contratti di diritto pubblico sottoscritti dalla Confederazione, dai suoi stabilimenti o dalle sue aziende;
h  delle autorità o organizzazioni indipendenti dall'Amministrazione federale che decidono nell'adempimento di compiti di diritto pubblico loro affidati dalla Confederazione;
i  delle autorità cantonali, in quanto una legge federale preveda che le loro decisioni sono impugnabili mediante ricorso dinanzi al Tribunale amministrativo federale.
LTAF. En particulier, les décisions du SEM en matière d'approbation de décisions préalables (à la délivrance d'autorisations de séjour avec activité lucrative auxquelles ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit) rendues par les autorités cantonales du marché du travail peuvent être contestées devant le Tribunal de céans, qui statue de manière définitive (cf. art. 1 al. 2
SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF)
LTAF Art. 1 Principio - 1 Il Tribunale amministrativo federale è il tribunale amministrativo generale della Confederazione.
1    Il Tribunale amministrativo federale è il tribunale amministrativo generale della Confederazione.
2    In quanto la legge non escluda il ricorso al Tribunale federale, il Tribunale amministrativo federale giudica quale autorità di grado precedente.
3    È dotato di 50-70 posti di giudice.
4    L'Assemblea federale stabilisce il numero dei posti di giudice mediante ordinanza.
5    Per far fronte a un afflusso straordinario di nuove pratiche, l'Assemblea federale può di volta in volta autorizzare, per due anni al massimo, posti supplementari di giudice.
LTAF, en relation avec l'art. 83 let. c ch. 2
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria
LTF Art. 83 Eccezioni - Il ricorso è inammissibile contro:
a  le decisioni in materia di sicurezza interna o esterna del Paese, neutralità, protezione diplomatica e altri affari esteri, in quanto il diritto internazionale non conferisca un diritto al giudizio da parte di un tribunale;
b  le decisioni in materia di naturalizzazione ordinaria;
c  le decisioni in materia di diritto degli stranieri concernenti:
c1  l'entrata in Svizzera,
c2  i permessi o autorizzazioni al cui ottenimento né il diritto federale né il diritto internazionale conferiscono un diritto,
c3  l'ammissione provvisoria,
c4  l'espulsione fondata sull'articolo 121 capoverso 2 della Costituzione federale e l'allontanamento,
c5  le deroghe alle condizioni d'ammissione,
c6  la proroga del permesso per frontalieri, il cambiamento di Cantone, il cambiamento d'impiego del titolare di un permesso per frontalieri, nonché il rilascio di documenti di viaggio a stranieri privi di documenti;
d  le decisioni in materia d'asilo pronunciate:
d1  dal Tribunale amministrativo federale, salvo quelle che concernono persone contro le quali è pendente una domanda d'estradizione presentata dallo Stato che hanno abbandonato in cerca di protezione,
d2  da un'autorità cantonale inferiore e concernenti un permesso o un'autorizzazione al cui ottenimento né il diritto federale né il diritto internazionale conferiscono un diritto;
e  le decisioni concernenti il rifiuto dell'autorizzazione a procedere penalmente contro membri di autorità o contro agenti della Confederazione;
f  le decisioni in materia di appalti pubblici se:
fbis  le decisioni del Tribunale amministrativo federale concernenti decisioni secondo l'articolo 32i della legge del 20 marzo 200963 sul trasporto di viaggiatori;
f1  non si pone alcuna questione di diritto d'importanza fondamentale; sono fatti salvi i ricorsi contro gli appalti del Tribunale amministrativo federale, del Tribunale penale federale, del Tribunale federale dei brevetti, del Ministero pubblico della Confederazione e delle autorità giudiziarie cantonali superiori, o
f2  il valore stimato della commessa non raggiunge il valore soglia determinante secondo l'articolo 52 capoverso 1 in combinato disposto con l'allegato 4 numero 2 della legge federale del 21 giugno 201961 sugli appalti pubblici;
g  le decisioni in materia di rapporti di lavoro di diritto pubblico, in quanto concernano una controversia non patrimoniale, ma non la parità dei sessi;
h  le decisioni concernenti l'assistenza amministrativa internazionale, eccettuata l'assistenza amministrativa in materia fiscale;
i  le decisioni in materia di servizio militare, civile o di protezione civile;
j  le decisioni in materia di approvvigionamento economico del Paese adottate in situazioni di grave penuria;
k  le decisioni concernenti i sussidi al cui ottenimento la legislazione non conferisce un diritto;
l  le decisioni concernenti l'imposizione di dazi operata in base alla classificazione tariffaria o al peso delle merci;
m  le decisioni concernenti il condono o la dilazione del pagamento di tributi; in deroga alla presente disposizione, il ricorso è ammissibile contro le decisioni concernenti il condono dell'imposta federale diretta o dell'imposta cantonale o comunale sul reddito e sull'utile se concerne una questione di diritto di importanza fondamentale o se si tratta per altri motivi di un caso particolarmente importante;
n  le decisioni in materia di energia nucleare concernenti:
n1  l'esigenza di un nulla osta o la modifica di un'autorizzazione o di una decisione,
n2  l'approvazione di un piano d'accantonamenti per le spese di smaltimento antecedenti lo spegnimento di un impianto nucleare,
n3  i nulla osta;
o  le decisioni in materia di circolazione stradale concernenti l'omologazione del tipo di veicoli;
p  le decisioni del Tribunale amministrativo federale in materia di traffico delle telecomunicazioni, radiotelevisione e poste concernenti:68
p1  concessioni oggetto di una pubblica gara,
p2  controversie secondo l'articolo 11a della legge del 30 aprile 199769 sulle telecomunicazioni;
p3  controversie secondo l'articolo 8 della legge del 17 dicembre 201071 sulle poste;
q  le decisioni in materia di medicina dei trapianti concernenti:
q1  l'iscrizione nella lista d'attesa,
q2  l'attribuzione di organi;
r  le decisioni in materia di assicurazione malattie pronunciate dal Tribunale amministrativo federale in virtù dell'articolo 3472 della legge del 17 giugno 200573 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF);
s  le decisioni in materia di agricoltura concernenti:
s1  ...
s2  la delimitazione delle zone nell'ambito del catasto della produzione;
t  le decisioni concernenti l'esito di esami e di altre valutazioni della capacità, segnatamente nei settori della scuola, della formazione continua e dell'esercizio della professione;
u  le decisioni in materia di offerte pubbliche di acquisto (art. 125-141 della L del 19 giu. 201577 sull'infrastruttura finanziaria);
v  le decisioni del Tribunale amministrativo federale concernenti divergenze d'opinione tra autorità in materia di assistenza amministrativa o giudiziaria a livello nazionale;
w  le decisioni in materia di diritto dell'elettricità concernenti l'approvazione dei piani di impianti elettrici a corrente forte e di impianti elettrici a corrente debole e l'espropriazione dei diritti necessari per la costruzione o l'esercizio di siffatti impianti, se non si pone alcuna questione di diritto d'importanza fondamentale;
x  le decisioni concernenti la concessione di contributi di solidarietà ai sensi della legge federale del 30 settembre 201681 sulle misure coercitive a scopo assistenziale e i collocamenti extrafamiliari prima del 1981, tranne se si pone una questione di diritto di importanza fondamentale o si tratta di un caso particolarmente importante per altri motivi;
y  le decisioni pronunciate dal Tribunale amministrativo federale nelle procedure amichevoli per evitare un'imposizione non conforme alla convenzione internazionale applicabile in ambito fiscale;
z  le decisioni concernenti le autorizzazioni edilizie di impianti eolici d'interesse nazionale secondo l'articolo 71c capoverso 1 lettera b della legge federale del 30 settembre 201684 sull'energia e le autorizzazioni di competenza cantonale a esse necessariamente connesse, se non si pone alcuna questione di diritto d'importanza fondamentale.
LTF [RS 173.110]).

1.2 A moins que la LTAF n'en dispose autrement, la procédure devant le Tribunal de céans est régie par la PA (cf. art. 37
SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF)
LTAF Art. 37 Principio - La procedura dinanzi al Tribunale amministrativo federale è retta dalla PA56, in quanto la presente legge non disponga altrimenti.
LTAF).

1.3 La société recourante, qui est inscrite au registre du commerce du canton de Vaud et représentée par son associé gérant (détenteur du pouvoir de signature individuelle), a qualité pour recourir, dès lors qu'elle a pris part à la procédure devant l'autorité inférieure, est spécialement atteinte par la décision attaquée et a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification (cf. art. 48 al. 1
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 48 - 1 Ha diritto di ricorrere chi:
1    Ha diritto di ricorrere chi:
a  ha partecipato al procedimento dinanzi all'autorità inferiore o è stato privato della possibilità di farlo;
b  è particolarmente toccato dalla decisione impugnata; e
c  ha un interesse degno di protezione all'annullamento o alla modificazione della stessa.
2    Ha inoltre diritto di ricorrere ogni persona, organizzazione o autorità cui un'altra legge federale riconosce tale diritto.
PA). Présenté dans la forme et les délais prescrits par la loi, le recours est recevable (cf. art. 50
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 50 - 1 Il ricorso dev'essere depositato entro 30 giorni dalla notificazione della decisione.
1    Il ricorso dev'essere depositato entro 30 giorni dalla notificazione della decisione.
2    Il ricorso per denegata o ritardata giustizia può essere interposto in ogni tempo.
et 52
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 52 - 1 L'atto di ricorso deve contenere le conclusioni, i motivi, l'indicazione dei mezzi di prova e la firma del ricorrente o del suo rappresentante; devono essere allegati la decisione impugnata e i documenti indicati come mezzi di prova, se sono in possesso del ricorrente.
1    L'atto di ricorso deve contenere le conclusioni, i motivi, l'indicazione dei mezzi di prova e la firma del ricorrente o del suo rappresentante; devono essere allegati la decisione impugnata e i documenti indicati come mezzi di prova, se sono in possesso del ricorrente.
2    Se il ricorso non soddisfa a questi requisiti o se le conclusioni o i motivi del ricorrente non sono sufficientemente chiari, e il ricorso non sembra manifestamente inammissibile, l'autorità di ricorso assegna al ricorrente un breve termine suppletorio per rimediarvi.
3    Essa gli assegna questo termine con la comminatoria che, decorrendo infruttuoso, deciderà secondo l'inserto o, qualora manchino le conclusioni, i motivi oppure la firma, non entrerà nel merito del ricorso.
PA).

2.

2.1 La partie recourante peut invoquer devant le Tribunal de céans la violation du droit fédéral, y compris l'excès ou l'abus du pouvoir d'appréciation, la constatation inexacte ou incomplète des faits pertinents et, à moins qu'une autorité cantonale n'ait statué comme autorité de recours, l'inopportunité de la décision entreprise (cf. art. 49
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 49 - Il ricorrente può far valere:
a  la violazione del diritto federale, compreso l'eccesso o l'abuso del potere di apprezzamento;
b  l'accertamento inesatto o incompleto di fatti giuridicamente rilevanti;
c  l'inadeguatezza; questa censura non è ammissibile quando un'autorità cantonale ha giudicato come autorità di ricorso.
PA). Le Tribunal de céans examine les décisions qui lui sont soumises avec un plein pouvoir d'examen en fait et en droit. Conformément à la maxime inquisitoire, il constate les faits d'office (cf. art. 12
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 12 - L'autorità accerta d'ufficio i fatti e si serve, se necessario, dei seguenti mezzi di prova:
a  documenti;
b  informazioni delle parti;
c  informazioni o testimonianze di terzi;
d  sopralluoghi;
e  perizie.
PA). Appliquant d'office le droit fédéral, il n'est pas lié par les motifs invoqués par les parties (cf. art. 62 al. 4
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 62 - 1 L'autorità di ricorso può modificare la decisione impugnata a vantaggio di una parte.
1    L'autorità di ricorso può modificare la decisione impugnata a vantaggio di una parte.
2    Essa può modificare a pregiudizio di una parte la decisione impugnata quando questa violi il diritto federale o poggi su un accertamento inesatto o incompleto dei fatti; per inadeguatezza, la decisione impugnata non può essere modificata a pregiudizio di una parte, a meno che la modificazione giovi ad una controparte.
3    L'autorità di ricorso che intenda modificare la decisione impugnata a pregiudizio di una parte deve informarla della sua intenzione e darle la possibilità di esprimersi.
4    L'autorità di ricorso non è vincolata in nessun caso dai motivi del ricorso.
PA), ni par les considérants juridiques de la décision querellée; dans son arrêt, il prend en considération l'état de fait existant au moment où il statue (cf. ATAF 2014/1 consid. 2).

2.2 La décision querellée a été rendue en application de la loi sur les étrangers du 16 décembre 2005 dans sa teneur en vigueur jusqu'au 31 décembre 2018 (LEtr, RO 2007 5437) et de l'ordonnance relative à l'admission, au séjour et à l'exercice d'une activité lucrative du 24 octobre 2007 dans sa teneur en vigueur jusqu'au 31 décembre 2018 (OASA, RO 2007 5497). Or, le 1er janvier 2019 sont entrées en vigueur les dernières dispositions de la modification partielle du 16 décembre 2016 de cette loi - laquelle s'intitule nouvellement loi fédérale sur les étrangers et l'intégration du 16 décembre 2005 (LEI, RS 142.20, RO 2018 3171) - et la modification partielle du 15 août 2018 de cette ordonnance (OASA, RS 142.201, RO 2018 3173).

Conformément aux principes généraux de droit intertemporel, le Tribunal de céans (en sa qualité d'autorité de recours), en l'absence de dispositions transitoires contenues dans la LEI et l'OASA réglementant ce changement législatif (cf. arrêt du TAF F-3231/2017 du 9 mai 2019 consid. 3.1), doit appliquer le droit matériel en vigueur au jour où l'autorité de première instance a statué, à moins que l'application immédiate du nouveau droit matériel réponde à un intérêt public prépondérant (cf. ATF 141 II 393 consid. 2.4, 139 II 470 consid. 4.2, et la jurisprudence citée). Dans la mesure où les dispositions applicables dans le cadre de la présente cause (en particulier les art. 18
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 18 Esercizio di un'attività lucrativa dipendente - Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa dipendente se:
a  l'ammissione è nell'interesse dell'economia svizzera;
b  un datore di lavoro ne ha fatto domanda; e
c  sono adempite le condizioni di cui agli articoli 20-25.
, 20
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 20 Misure limitative - 1 Il Consiglio federale può limitare il numero dei primi permessi di soggiorno di breve durata e di dimora (art. 32 e 33) per l'esercizio di un'attività lucrativa. Esso consulta preventivamente i Cantoni e le parti sociali.
1    Il Consiglio federale può limitare il numero dei primi permessi di soggiorno di breve durata e di dimora (art. 32 e 33) per l'esercizio di un'attività lucrativa. Esso consulta preventivamente i Cantoni e le parti sociali.
2    Il Consiglio federale può stabilire contingenti massimi per la Confederazione e i Cantoni.
3    La SEM può emanare decisioni per primi permessi di soggiorno di breve durata e di dimora computandoli sui contingenti federali oppure aumentare i contingenti cantonali. Essa tiene conto dei bisogni dei Cantoni e dell'interesse dell'economia svizzera.
à 24
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 24 Abitazione - Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se dispone di un'abitazione conforme ai suoi bisogni.
LEtr et l'art. 20 al. 1
SR 142.201 Ordinanza del 24 ottobre 2007 sull'ammissione, il soggiorno e l'attività lucrativa (OASA)
OASA Art. 20 - 1 I Cantoni possono rilasciare permessi di dimora agli stranieri che non rientrano nel campo d'applicazione dell'ALC36 o della Convenzione AELS37 computandoli sui contingenti giusta l'allegato 2 numero 1 lettera a.38
1    I Cantoni possono rilasciare permessi di dimora agli stranieri che non rientrano nel campo d'applicazione dell'ALC36 o della Convenzione AELS37 computandoli sui contingenti giusta l'allegato 2 numero 1 lettera a.38
2    Il contingente a disposizione della Confederazione figura nell'allegato 2 numero 1 lettera b. Tale contingente serve a compensare le necessità economiche e del mercato del lavoro fra i Cantoni.
3    Su domanda, la SEM può ripartire fra i Cantoni il contingente a disposizione della Confederazione. Allo scopo considera le necessità dei Cantoni e l'interesse economico globale durante il periodo di contingentamento definito nell'allegato 2.
OASA) n'ont pas subi de modifications susceptibles d'influer sur l'issue de la cause, il n'est pas nécessaire d'examiner s'il existe des motifs importants d'intérêt public à même de justifier l'application immédiate du nouveau droit matériel (cf. ATF 135 II 384 consid. 2.3). Dans le présent arrêt, le Tribunal de céans appliquera donc la loi sur les étrangers dans sa teneur en vigueur jusqu'au 31 décembre 2018, en utilisant l'ancienne dénomination (LEtr), et citera l'OASA selon sa teneur en vigueur jusqu'au 31 décembre 2018 (dans le même sens, cf. notamment l'arrêt du TAF F-4470/2017 du 12 juillet 2019 consid. 2.2, et la jurisprudence citée).

2.3 La présente cause a par ailleurs été soumise par le SPOP à l'approbation du SEM conformément aux art. 40 al. 1
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 40 Autorità competenti per il rilascio dei permessi e decisione preliminare delle autorità preposte al mercato del lavoro - 1 I permessi di cui agli articoli 32-35 e 37-39 sono rilasciati dai Cantoni. È fatta salva la competenza dell'autorità federale nel contesto di misure limitative (art. 20) e di deroghe alle condizioni d'ammissione (art. 30) e alla procedura d'approvazione (art. 99).
1    I permessi di cui agli articoli 32-35 e 37-39 sono rilasciati dai Cantoni. È fatta salva la competenza dell'autorità federale nel contesto di misure limitative (art. 20) e di deroghe alle condizioni d'ammissione (art. 30) e alla procedura d'approvazione (art. 99).
2    Se non sussiste un diritto all'esercizio di un'attività lucrativa, è necessaria una decisione preliminare delle autorità cantonali preposte al mercato del lavoro per ammettere l'esercizio di un'attività lucrativa, il cambiamento d'impiego o il passaggio a un'attività indipendente.
3    Se un Cantone chiede il rilascio di un permesso di soggiorno di breve durata o di dimora computato sui contingenti della Confederazione, la decisione preliminare è emanata dalla SEM.
et 99
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 99 Procedura d'approvazione - 1 Il Consiglio federale determina i casi in cui i permessi di soggiorno di breve durata, di dimora e di domicilio nonché le decisioni preliminari delle autorità cantonali preposte al mercato del lavoro sono soggetti all'approvazione della SEM.
1    Il Consiglio federale determina i casi in cui i permessi di soggiorno di breve durata, di dimora e di domicilio nonché le decisioni preliminari delle autorità cantonali preposte al mercato del lavoro sono soggetti all'approvazione della SEM.
2    La SEM può rifiutare di approvare la decisione di un'autorità amministrativa cantonale o di un'autorità cantonale di ricorso, limitarne la durata di validità oppure vincolarla a condizioni e oneri.
LEtr et à l'art. 1 de l'ordonnance du Département fédéral de justice et police (DFJP) relative aux autorisations soumises à la procédure d'approbation et aux décisions préalables dans le domaine du droit des étrangers (RS 142.201.1), ordonnance qui est entrée en vigueur le 1er septembre 2015 (soit avant le prononcé de la décision querellée) et qui est applicable par renvoi de l'art. 85 al. 2
SR 142.201 Ordinanza del 24 ottobre 2007 sull'ammissione, il soggiorno e l'attività lucrativa (OASA)
OASA Art. 85 Permessi e decisioni preliminari soggetti ad approvazione - (art. 30 cpv. 2 e 99 LStrI)
1    La SEM è competente per l'approvazione del rilascio e del rinnovo dei permessi di soggiorno di breve durata e di dimora, del rilascio dei permessi di domicilio nonché delle decisioni preliminari delle autorità cantonali preposte al mercato del lavoro (art. 83).
2    Il DFGP determina in un'ordinanza i casi in cui i permessi di soggiorno di breve durata, di dimora o di domicilio nonché le decisioni preliminari delle autorità preposte al mercato del lavoro devono essere sottoposti alla procedura d'approvazione.227
3    L'autorità cantonale preposta al mercato del lavoro (art. 83) e l'autorità cantonale della migrazione (art. 88 cpv. 1) possono sottoporre alla SEM per approvazione una decisione cantonale affinché verifichi se le condizioni previste dal diritto federale sono adempiute.228
OASA, dans sa teneur en vigueur depuis le 1er septembre 2015 (cf. art. 1 let. c de l'ordonnance du DFJP précitée et entré en vigueur le 1er septembre 2015, dont la teneur a été reprise à l'actuel art. 1 let. a ch. 2 de l'ordonnance du DFJP précitée, en vigueur depuis le 15 avril 2018).

On relèvera, dans ce contexte, que la modification de l'art. 99
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 99 Procedura d'approvazione - 1 Il Consiglio federale determina i casi in cui i permessi di soggiorno di breve durata, di dimora e di domicilio nonché le decisioni preliminari delle autorità cantonali preposte al mercato del lavoro sono soggetti all'approvazione della SEM.
1    Il Consiglio federale determina i casi in cui i permessi di soggiorno di breve durata, di dimora e di domicilio nonché le decisioni preliminari delle autorità cantonali preposte al mercato del lavoro sono soggetti all'approvazione della SEM.
2    La SEM può rifiutare di approvare la decisione di un'autorità amministrativa cantonale o di un'autorità cantonale di ricorso, limitarne la durata di validità oppure vincolarla a condizioni e oneri.
LEI entrée en vigueur le 1er juin 2019 (disposition qui prévoit notamment, à l'alinéa 2, que le SEM peut refuser d'approuver une décision d'une autorité cantonale de recours), qui est en principe immédiatement applicable (cf. arrêts du TAF F-1412/2017 du 16 juillet 2019 consid. 4 et F-6072/2017 du 4 juillet 2019 consid. 4), est sans incidence sur l'issue de la présente cause. En effet, force est de constater que, dans son arrêt du 30 septembre 2016, le Tribunal cantonal n'a pas admis la demande de prise d'emploi à la base de la présente procédure, ni les demandes d'autorisations de séjour fondées sur l'art. 30 al. 1 let. b
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 30 - 1 È possibile derogare alle condizioni d'ammissione (art. 18-29) al fine di:
1    È possibile derogare alle condizioni d'ammissione (art. 18-29) al fine di:
a  disciplinare l'attività lucrativa degli stranieri ammessi in Svizzera nel quadro del ricongiungimento familiare, purché non sussista un diritto ad esercitare un'attività lucrativa (art. 46);
b  tenere conto dei casi personali particolarmente gravi o di importanti interessi pubblici;
c  disciplinare il soggiorno dei minori affiliati;
d  proteggere le persone particolarmente esposte al pericolo di sfruttamento nel contesto della loro attività lucrativa;
e  disciplinare il soggiorno delle vittime e dei testimoni della tratta di esseri umani, nonché delle persone che collaborano con le autorità di perseguimento penale nell'ambito di un programma di protezione dei testimoni svizzero, estero o di un tribunale penale internazionale;
f  consentire soggiorni nel quadro di programmi di aiuto e di sviluppo in materia di cooperazione economica e tecnica;
g  agevolare gli scambi internazionali nel settore economico, scientifico e culturale, nonché la formazione professionale e la formazione professionale continua;
h  semplificare il trasferimento, per motivi aziendali, di quadri superiori e specialisti indispensabili in imprese che operano su scala internazionale;
i  ...
j  consentire soggiorni di formazione continua in Svizzera a impiegati alla pari collocati da un'organizzazione riconosciuta;
k  agevolare la riammissione degli stranieri ex titolari di un permesso di dimora o di domicilio;
l  disciplinare l'attività lucrativa e la partecipazione a programmi occupazionali da parte di richiedenti l'asilo (art. 43 della L del 26 giu. 199845 sull'asilo, LAsi), stranieri ammessi provvisoriamente (art. 85) e persone bisognose di protezione (art. 75 LAsi).
2    Il Consiglio federale stabilisce le condizioni generali e disciplina la procedura.
LEtr sur lesquelles il était appelé à statuer dans le même arrêt; il s'est au contraire contenté d'annuler les décisions de première instance qui lui avaient été déférées et de renvoyer les dossiers aux autorités cantonales inférieures pour instruction complémentaire et nouvelles décisions (cf. let. C.d supra), en laissant ainsi une large marge de manoeuvre à l'autorité administrative cantonale, sans préjuger du résultat de son instruction.

Il s'ensuit que le SEM et, a fortiori, le Tribunal de céans ne sont liés ni par l'arrêt du Tribunal cantonal du 30 septembre 2016, ni par la décision préalable rendue le 28 février 2017 par l'autorité cantonale du marché du travail et peuvent donc s'écarter de l'appréciation émise par ces autorités.

3.

3.1 D'emblée, il sied de constater que l'objet de la présente procédure est circonscrit par la décision querellée à la seule question de savoir si c'est à bon droit que le SEM a refusé d'approuver la décision préalable rendue le 28 février 2017 par le SDE, décision par laquelle l'autorité vaudoise du marché du travail avait préavisé favorablement la délivrance en faveur de X._______ d'une autorisation de séjour (avec activité lucrative) dans les limites des nombres maximums (et, plus précisément, du contingent cantonal) fixés par le Conseil fédéral (cf. art. 20 al. 1
SR 142.201 Ordinanza del 24 ottobre 2007 sull'ammissione, il soggiorno e l'attività lucrativa (OASA)
OASA Art. 20 - 1 I Cantoni possono rilasciare permessi di dimora agli stranieri che non rientrano nel campo d'applicazione dell'ALC36 o della Convenzione AELS37 computandoli sui contingenti giusta l'allegato 2 numero 1 lettera a.38
1    I Cantoni possono rilasciare permessi di dimora agli stranieri che non rientrano nel campo d'applicazione dell'ALC36 o della Convenzione AELS37 computandoli sui contingenti giusta l'allegato 2 numero 1 lettera a.38
2    Il contingente a disposizione della Confederazione figura nell'allegato 2 numero 1 lettera b. Tale contingente serve a compensare le necessità economiche e del mercato del lavoro fra i Cantoni.
3    Su domanda, la SEM può ripartire fra i Cantoni il contingente a disposizione della Confederazione. Allo scopo considera le necessità dei Cantoni e l'interesse economico globale durante il periodo di contingentamento definito nell'allegato 2.
OASA, en relation avec l'art. 20 al. 1
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 20 Misure limitative - 1 Il Consiglio federale può limitare il numero dei primi permessi di soggiorno di breve durata e di dimora (art. 32 e 33) per l'esercizio di un'attività lucrativa. Esso consulta preventivamente i Cantoni e le parti sociali.
1    Il Consiglio federale può limitare il numero dei primi permessi di soggiorno di breve durata e di dimora (art. 32 e 33) per l'esercizio di un'attività lucrativa. Esso consulta preventivamente i Cantoni e le parti sociali.
2    Il Consiglio federale può stabilire contingenti massimi per la Confederazione e i Cantoni.
3    La SEM può emanare decisioni per primi permessi di soggiorno di breve durata e di dimora computandoli sui contingenti federali oppure aumentare i contingenti cantonali. Essa tiene conto dei bisogni dei Cantoni e dell'interesse dell'economia svizzera.
et 2
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 20 Misure limitative - 1 Il Consiglio federale può limitare il numero dei primi permessi di soggiorno di breve durata e di dimora (art. 32 e 33) per l'esercizio di un'attività lucrativa. Esso consulta preventivamente i Cantoni e le parti sociali.
1    Il Consiglio federale può limitare il numero dei primi permessi di soggiorno di breve durata e di dimora (art. 32 e 33) per l'esercizio di un'attività lucrativa. Esso consulta preventivamente i Cantoni e le parti sociali.
2    Il Consiglio federale può stabilire contingenti massimi per la Confederazione e i Cantoni.
3    La SEM può emanare decisioni per primi permessi di soggiorno di breve durata e di dimora computandoli sui contingenti federali oppure aumentare i contingenti cantonali. Essa tiene conto dei bisogni dei Cantoni e dell'interesse dell'economia svizzera.
LEtr).

En effet, bien que le Tribunal cantonal ait, dans son arrêt du 30 septembre 2016, annulé la décision du SPOP du 11 juillet 2014 (rejetant les demandes d'autorisations de séjour fondées sur l'art. 30 al. 1 let. b
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 30 - 1 È possibile derogare alle condizioni d'ammissione (art. 18-29) al fine di:
1    È possibile derogare alle condizioni d'ammissione (art. 18-29) al fine di:
a  disciplinare l'attività lucrativa degli stranieri ammessi in Svizzera nel quadro del ricongiungimento familiare, purché non sussista un diritto ad esercitare un'attività lucrativa (art. 46);
b  tenere conto dei casi personali particolarmente gravi o di importanti interessi pubblici;
c  disciplinare il soggiorno dei minori affiliati;
d  proteggere le persone particolarmente esposte al pericolo di sfruttamento nel contesto della loro attività lucrativa;
e  disciplinare il soggiorno delle vittime e dei testimoni della tratta di esseri umani, nonché delle persone che collaborano con le autorità di perseguimento penale nell'ambito di un programma di protezione dei testimoni svizzero, estero o di un tribunale penale internazionale;
f  consentire soggiorni nel quadro di programmi di aiuto e di sviluppo in materia di cooperazione economica e tecnica;
g  agevolare gli scambi internazionali nel settore economico, scientifico e culturale, nonché la formazione professionale e la formazione professionale continua;
h  semplificare il trasferimento, per motivi aziendali, di quadri superiori e specialisti indispensabili in imprese che operano su scala internazionale;
i  ...
j  consentire soggiorni di formazione continua in Svizzera a impiegati alla pari collocati da un'organizzazione riconosciuta;
k  agevolare la riammissione degli stranieri ex titolari di un permesso di dimora o di domicilio;
l  disciplinare l'attività lucrativa e la partecipazione a programmi occupazionali da parte di richiedenti l'asilo (art. 43 della L del 26 giu. 199845 sull'asilo, LAsi), stranieri ammessi provvisoriamente (art. 85) e persone bisognose di protezione (art. 75 LAsi).
2    Il Consiglio federale stabilisce le condizioni generali e disciplina la procedura.
LEtr qui lui avaient été présentées par le prénommé et sa famille) et l'ait invité à reprendre l'examen de la cause et à statuer à nouveau, le SPOP n'a pas encore rendu une nouvelle décision (soumise à l'approbation du SEM) en la matière (cf. les renseignements fournis le 12 septembre 2019 à ce sujet par le SPOP, actes TAF 15 et 16).

3.2 En tant que ressortissant turc, X._______ ne peut se prévaloir ni de l'Accord conclu le 21 juin 1999 entre la Confédération suisse, d'une part, et la Communauté européenne et ses Etats membres, d'autre part, sur la libre circulation des personnes (ALCP, RS 0.142.112.681), ni de la Convention instituant l'Association Européenne de Libre-Echange (AELE) conclue le 4 janvier 1960 (Convention instituant l'AELE, RS 0.632.31). Dans la mesure où il est ressortissant d'un Etat tiers, son admission au marché du travail suisse est donc soumise aux règles de droit national et, plus précisément, à la LEtr et à l'OASA (dans sa teneur en vigueur jusqu'au 31 décembre 2018; cf. consid. 2.2 supra).

4.

4.1 L'art. 20
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 20 Misure limitative - 1 Il Consiglio federale può limitare il numero dei primi permessi di soggiorno di breve durata e di dimora (art. 32 e 33) per l'esercizio di un'attività lucrativa. Esso consulta preventivamente i Cantoni e le parti sociali.
1    Il Consiglio federale può limitare il numero dei primi permessi di soggiorno di breve durata e di dimora (art. 32 e 33) per l'esercizio di un'attività lucrativa. Esso consulta preventivamente i Cantoni e le parti sociali.
2    Il Consiglio federale può stabilire contingenti massimi per la Confederazione e i Cantoni.
3    La SEM può emanare decisioni per primi permessi di soggiorno di breve durata e di dimora computandoli sui contingenti federali oppure aumentare i contingenti cantonali. Essa tiene conto dei bisogni dei Cantoni e dell'interesse dell'economia svizzera.
LEtr consacre le principe du contingentement (par le biais de contingents cantonaux et d'un contingent de la Confédération) des autorisations de séjour et de courte durée (au sens des art. 32
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 32 Permesso di soggiorno di breve durata - 1 Per soggiorni di un anno al massimo è rilasciato un permesso di breve durata.
1    Per soggiorni di un anno al massimo è rilasciato un permesso di breve durata.
2    Esso è rilasciato per un determinato scopo di soggiorno e può essere vincolato a ulteriori condizioni.
3    Può essere prorogato fino a due anni. Il cambiamento d'impiego è possibile solo per motivi gravi.
4    Un nuovo permesso di breve durata può essere rilasciato solo dopo un'adeguata interruzione del soggiorno in Svizzera.
et 33
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 33 Permesso di dimora - 1 Per soggiorni di oltre un anno è rilasciato un permesso di dimora.
1    Per soggiorni di oltre un anno è rilasciato un permesso di dimora.
2    Il permesso di dimora è rilasciato per un determinato scopo di soggiorno e può essere vincolato a ulteriori condizioni.
3    È di durata limitata e può essere prorogato se non vi sono motivi di revoca secondo l'articolo 62 capoverso 151.
4    In caso di rilascio e di proroga del permesso di dimora, la durata di validità del permesso è determinata prendendo in considerazione l'integrazione dello straniero.52
5    Il rilascio e la proroga del permesso di dimora possono essere vincolati alla conclusione di un accordo d'integrazione se, alla luce dei criteri di cui all'articolo 58a, vi è un bisogno d'integrazione particolare.53
LEtr) initiales délivrées en vue de l'exercice d'une activité lucrative pour les ressortissants des Etats dits tiers, à savoir pour les étrangers en provenance de pays qui ne sont pas soumis à l'ALCP ou à la Convention instituant l'AELE (aussi appelés étrangers du deuxième cercle). Dans ce cadre, les conditions d'admission s'appliquent en principe aussi aux étrangers qui séjournent déjà en Suisse sans activité lucrative, mais qui veulent par la suite en exercer une (cf. Message concernant la loi sur les étrangers[ci-après: Message LEtr] du 8 mars 2002, FF 2002 3469, spéc. p. 3536 s. ch. 2.4.2 ad art. 17
IR 0.142.112.681 Accordo del 21 giugno 1999 tra la Confederazione Svizzera, da una parte, e la Comunità europea ed i suoi Stati membri, dall'altra, sulla libera circolazione delle persone (con allegati, protocolli e atto finale)
ALC Art. 17 Evoluzione del diritto - (1) Non appena una parte contraente avvia il processo d'adozione di un progetto di modifica della propria normativa interna, o non appena sopravvenga un cambiamento nella giurisprudenza degli organi le cui decisioni non sono soggette a un ricorso giurisdizionale di diritto interno in un settore disciplinato dal presente Accordo, la parte contraente in questione ne informa l'altra attraverso il Comitato misto.
et 19
IR 0.142.112.681 Accordo del 21 giugno 1999 tra la Confederazione Svizzera, da una parte, e la Comunità europea ed i suoi Stati membri, dall'altra, sulla libera circolazione delle persone (con allegati, protocolli e atto finale)
ALC Art. 19 Composizione delle controversie - (1) Le parti contraenti possono rivolgersi al Comitato misto per qualsiasi controversia relativa all'interpretazione o all'applicazione del presente Accordo.
du projet de loi).

4.2 Ainsi, les cantons peuvent délivrer aux étrangers qui ne sont pas couverts par le champ d'application de l'ALCP ou de la Convention instituant l'AELE des autorisations de séjour et de courte durée dans les limites des nombres maximums (contingents cantonaux) fixés par le Conseil fédéral au ch. 1 let. a des annexes 1 et 2 (cf. art. 19 al. 1
SR 142.201 Ordinanza del 24 ottobre 2007 sull'ammissione, il soggiorno e l'attività lucrativa (OASA)
OASA Art. 19 - 1 I Cantoni possono rilasciare permessi di soggiorno di breve durata agli stranieri che non rientrano nel campo d'applicazione dell'accordo del 21 giugno 199924 tra la Confederazione Svizzera, da una parte, e la Comunità europea ed i suoi Stati membri, dall'altra, sulla libera circolazione delle persone (ALC) e della Convenzione del 4 gennaio 196025 istitutiva dell'Associazione europea di libero scambio (Convenzione AELS), computandoli sui contingenti giusta l'allegato 1 numero 1 lettera a.26
1    I Cantoni possono rilasciare permessi di soggiorno di breve durata agli stranieri che non rientrano nel campo d'applicazione dell'accordo del 21 giugno 199924 tra la Confederazione Svizzera, da una parte, e la Comunità europea ed i suoi Stati membri, dall'altra, sulla libera circolazione delle persone (ALC) e della Convenzione del 4 gennaio 196025 istitutiva dell'Associazione europea di libero scambio (Convenzione AELS), computandoli sui contingenti giusta l'allegato 1 numero 1 lettera a.26
2    Il contingente a disposizione della Confederazione figura nell'allegato 1 numero 1 lettera b. Tale contingente serve a compensare le necessità economiche e del mercato del lavoro fra i Cantoni.
3    Su domanda, la SEM può ripartire fra i Cantoni il contingente a disposizione della Confederazione. Allo scopo considera le necessità dei Cantoni e l'interesse economico globale durante il periodo di contingentamento definito nell'allegato 1.
4    Sono esclusi dai contingenti di cui ai capoversi 1 e 2 gli stranieri che:
a  in un arco di tempo di 12 mesi esercitano un'attività lucrativa in Svizzera per complessivi quattro mesi, a condizione che:
a1  la durata e lo scopo del soggiorno siano definiti in anticipo, e
a2  il numero degli stranieri occupati temporaneamente superi soltanto in casi eccezionali e motivati il quarto dell'effettivo totale del personale dell'azienda;
b  soggiornano in Svizzera per otto mesi al massimo in un arco di tempo di 12 mesi ed esercitano un'attività lucrativa come artisti nei settori della musica, della letteratura, dello spettacolo o delle arti figurative o come artisti di circo o di teatro di varietà.
et art. 20 al. 1
SR 142.201 Ordinanza del 24 ottobre 2007 sull'ammissione, il soggiorno e l'attività lucrativa (OASA)
OASA Art. 20 - 1 I Cantoni possono rilasciare permessi di dimora agli stranieri che non rientrano nel campo d'applicazione dell'ALC36 o della Convenzione AELS37 computandoli sui contingenti giusta l'allegato 2 numero 1 lettera a.38
1    I Cantoni possono rilasciare permessi di dimora agli stranieri che non rientrano nel campo d'applicazione dell'ALC36 o della Convenzione AELS37 computandoli sui contingenti giusta l'allegato 2 numero 1 lettera a.38
2    Il contingente a disposizione della Confederazione figura nell'allegato 2 numero 1 lettera b. Tale contingente serve a compensare le necessità economiche e del mercato del lavoro fra i Cantoni.
3    Su domanda, la SEM può ripartire fra i Cantoni il contingente a disposizione della Confederazione. Allo scopo considera le necessità dei Cantoni e l'interesse economico globale durante il periodo di contingentamento definito nell'allegato 2.
OASA, en relation avec l'art. 20 al. 1
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 20 Misure limitative - 1 Il Consiglio federale può limitare il numero dei primi permessi di soggiorno di breve durata e di dimora (art. 32 e 33) per l'esercizio di un'attività lucrativa. Esso consulta preventivamente i Cantoni e le parti sociali.
1    Il Consiglio federale può limitare il numero dei primi permessi di soggiorno di breve durata e di dimora (art. 32 e 33) per l'esercizio di un'attività lucrativa. Esso consulta preventivamente i Cantoni e le parti sociali.
2    Il Consiglio federale può stabilire contingenti massimi per la Confederazione e i Cantoni.
3    La SEM può emanare decisioni per primi permessi di soggiorno di breve durata e di dimora computandoli sui contingenti federali oppure aumentare i contingenti cantonali. Essa tiene conto dei bisogni dei Cantoni e dell'interesse dell'economia svizzera.
et 2
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 20 Misure limitative - 1 Il Consiglio federale può limitare il numero dei primi permessi di soggiorno di breve durata e di dimora (art. 32 e 33) per l'esercizio di un'attività lucrativa. Esso consulta preventivamente i Cantoni e le parti sociali.
1    Il Consiglio federale può limitare il numero dei primi permessi di soggiorno di breve durata e di dimora (art. 32 e 33) per l'esercizio di un'attività lucrativa. Esso consulta preventivamente i Cantoni e le parti sociali.
2    Il Consiglio federale può stabilire contingenti massimi per la Confederazione e i Cantoni.
3    La SEM può emanare decisioni per primi permessi di soggiorno di breve durata e di dimora computandoli sui contingenti federali oppure aumentare i contingenti cantonali. Essa tiene conto dei bisogni dei Cantoni e dell'interesse dell'economia svizzera.
LEtr).

Avant d'octroyer une première autorisation de séjour ou de courte durée en vue de l'exercice d'une activité lucrative à un ressortissant d'un Etat tiers, l'autorité cantonale du marché du travail décide, par le biais d'une décision cantonale préalable concernant le marché du travail, si les conditions prévues par les art. 18
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 18 Esercizio di un'attività lucrativa dipendente - Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa dipendente se:
a  l'ammissione è nell'interesse dell'economia svizzera;
b  un datore di lavoro ne ha fatto domanda; e
c  sono adempite le condizioni di cui agli articoli 20-25.
à 25
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 25 Ammissione di frontalieri - 1 Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa come frontaliero unicamente se:
1    Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa come frontaliero unicamente se:
a  fruisce di un diritto di soggiorno duraturo in uno Stato limitrofo e il suo luogo di residenza si trova da almeno sei mesi nella vicina zona di frontiera; e
b  lavora in Svizzera entro la zona di frontiera.
2    Gli articoli 20, 23 e 24 non sono applicabili.
LEtr pour exercer une activité lucrative salariée ou indépendante sont remplies (cf. art. 83 al. 1 let. a
SR 142.201 Ordinanza del 24 ottobre 2007 sull'ammissione, il soggiorno e l'attività lucrativa (OASA)
OASA Art. 83 Decisione preliminare - (art. 40 cpv. 2 LStrI)
1    Prima del primo rilascio di un permesso di soggiorno di breve durata o di un permesso di dimora per l'esercizio di un'attività lucrativa, l'autorità cantonale competente (art. 88 cpv. 1) decide se sono adempite le condizioni:
a  per l'esercizio di un'attività lucrativa indipendente o dipendente secondo gli articoli 18-25 LStrI;
b  per la prestazione di servizi transfrontaliera da parte di una persona o di una ditta con domicilio o sede all'estero secondo l'articolo 26 LStrI;
c  per il passaggio a un'attività lucrativa indipendente da parte di uno straniero titolare del permesso di dimora secondo l'articolo 38 capoverso 3 LStrI.
2    Tale autorità decide parimenti se il permesso di soggiorno di breve durata può essere prorogato o rinnovato nonché, nel caso di uno straniero titolare del permesso di soggiorno di breve durata o di un richiedente l'asilo, se la persona in questione può essere autorizzata a cambiare impiego.219
3    La decisione preliminare delle autorità cantonali preposte al mercato del lavoro può essere vincolata a condizioni e oneri, in particolare per quanto concerne il tipo e la durata di un'attività lucrativa temporanea in Svizzera.
4    D'intesa con la SEM, invece di decisioni nel singolo caso secondo il capoverso 1 lettera c e il capoverso 2 può essere concessa un'approvazione generale per determinate categorie di stranieri e di domande.
OASA, en relation avec l'art. 40 al. 2
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 40 Autorità competenti per il rilascio dei permessi e decisione preliminare delle autorità preposte al mercato del lavoro - 1 I permessi di cui agli articoli 32-35 e 37-39 sono rilasciati dai Cantoni. È fatta salva la competenza dell'autorità federale nel contesto di misure limitative (art. 20) e di deroghe alle condizioni d'ammissione (art. 30) e alla procedura d'approvazione (art. 99).
1    I permessi di cui agli articoli 32-35 e 37-39 sono rilasciati dai Cantoni. È fatta salva la competenza dell'autorità federale nel contesto di misure limitative (art. 20) e di deroghe alle condizioni d'ammissione (art. 30) e alla procedura d'approvazione (art. 99).
2    Se non sussiste un diritto all'esercizio di un'attività lucrativa, è necessaria una decisione preliminare delle autorità cantonali preposte al mercato del lavoro per ammettere l'esercizio di un'attività lucrativa, il cambiamento d'impiego o il passaggio a un'attività indipendente.
3    Se un Cantone chiede il rilascio di un permesso di soggiorno di breve durata o di dimora computato sui contingenti della Confederazione, la decisione preliminare è emanata dalla SEM.
LEtr).

La décision préalable de l'autorité cantonale du marché du travail peut être assortie de conditions (cf. art. 83 al. 3
SR 142.201 Ordinanza del 24 ottobre 2007 sull'ammissione, il soggiorno e l'attività lucrativa (OASA)
OASA Art. 83 Decisione preliminare - (art. 40 cpv. 2 LStrI)
1    Prima del primo rilascio di un permesso di soggiorno di breve durata o di un permesso di dimora per l'esercizio di un'attività lucrativa, l'autorità cantonale competente (art. 88 cpv. 1) decide se sono adempite le condizioni:
a  per l'esercizio di un'attività lucrativa indipendente o dipendente secondo gli articoli 18-25 LStrI;
b  per la prestazione di servizi transfrontaliera da parte di una persona o di una ditta con domicilio o sede all'estero secondo l'articolo 26 LStrI;
c  per il passaggio a un'attività lucrativa indipendente da parte di uno straniero titolare del permesso di dimora secondo l'articolo 38 capoverso 3 LStrI.
2    Tale autorità decide parimenti se il permesso di soggiorno di breve durata può essere prorogato o rinnovato nonché, nel caso di uno straniero titolare del permesso di soggiorno di breve durata o di un richiedente l'asilo, se la persona in questione può essere autorizzata a cambiare impiego.219
3    La decisione preliminare delle autorità cantonali preposte al mercato del lavoro può essere vincolata a condizioni e oneri, in particolare per quanto concerne il tipo e la durata di un'attività lucrativa temporanea in Svizzera.
4    D'intesa con la SEM, invece di decisioni nel singolo caso secondo il capoverso 1 lettera c e il capoverso 2 può essere concessa un'approvazione generale per determinate categorie di stranieri e di domande.
OASA).

4.3 Aux termes de l'art. 18
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 18 Esercizio di un'attività lucrativa dipendente - Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa dipendente se:
a  l'ammissione è nell'interesse dell'economia svizzera;
b  un datore di lavoro ne ha fatto domanda; e
c  sono adempite le condizioni di cui agli articoli 20-25.
LEtr, un étranger peut être admis en vue de l'exercice d'une activité lucrative salariée aux conditions suivantes :

a.son admission sert les intérêts économiques du pays;

b.son employeur a déposé une demande;

c.les conditions fixées aux art. 20
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 20 Misure limitative - 1 Il Consiglio federale può limitare il numero dei primi permessi di soggiorno di breve durata e di dimora (art. 32 e 33) per l'esercizio di un'attività lucrativa. Esso consulta preventivamente i Cantoni e le parti sociali.
1    Il Consiglio federale può limitare il numero dei primi permessi di soggiorno di breve durata e di dimora (art. 32 e 33) per l'esercizio di un'attività lucrativa. Esso consulta preventivamente i Cantoni e le parti sociali.
2    Il Consiglio federale può stabilire contingenti massimi per la Confederazione e i Cantoni.
3    La SEM può emanare decisioni per primi permessi di soggiorno di breve durata e di dimora computandoli sui contingenti federali oppure aumentare i contingenti cantonali. Essa tiene conto dei bisogni dei Cantoni e dell'interesse dell'economia svizzera.
à 25
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 25 Ammissione di frontalieri - 1 Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa come frontaliero unicamente se:
1    Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa come frontaliero unicamente se:
a  fruisce di un diritto di soggiorno duraturo in uno Stato limitrofo e il suo luogo di residenza si trova da almeno sei mesi nella vicina zona di frontiera; e
b  lavora in Svizzera entro la zona di frontiera.
2    Gli articoli 20, 23 e 24 non sono applicabili.
LEtr sont remplies, notamment celles relatives à l'ordre de priorité (art. 21
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 21 Priorità - 1 Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se è dimostrato che per tale attività non è possibile reperire un lavoratore indigeno o un cittadino di uno Stato con cui è stato concluso un accordo di libera circolazione delle persone che corrisponda al profilo richiesto.
1    Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se è dimostrato che per tale attività non è possibile reperire un lavoratore indigeno o un cittadino di uno Stato con cui è stato concluso un accordo di libera circolazione delle persone che corrisponda al profilo richiesto.
2    Sono considerati lavoratori indigeni:
a  i cittadini svizzeri;
b  i titolari di un permesso di domicilio;
c  i titolari di un permesso di dimora autorizzati a esercitare un'attività lucrativa;
d  le persone ammesse provvisoriamente;
e  le persone alle quali è stata concessa protezione provvisoria e che sono titolari di un permesso per l'esercizio di un'attività lucrativa.
3    In deroga al capoverso 1, lo straniero con diploma universitario svizzero può essere ammesso in Svizzera se la sua attività lucrativa riveste un elevato interesse scientifico o economico. È ammesso per un periodo di sei mesi a partire dalla conclusione della sua formazione o della sua formazione continua in Svizzera affinché possa trovare una siffatta attività lucrativa.30 31
LEtr), aux conditions de rémunération et de travail (art. 22
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 22 Condizioni di salario e di lavoro nonché rimborso delle spese dei lavoratori distaccati - 1 Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se:
1    Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se:
a  sono osservate le condizioni di lavoro e di salario usuali nella località, nella professione e nel settore; e se
b  i rimborsi di cui al capoverso 2 corrispondono a quelli usuali nella località, nella professione e nel settore.
2    Il datore di lavoro rimborsa ai lavoratori distaccati le spese in relazione al lavoro distaccato sostenute nell'ambito di una prestazione di servizi transfrontaliera o di un trasferimento per motivi aziendali, come quelle per il viaggio, il vitto e l'alloggio. Tali rimborsi non sono considerati componente del salario.
3    In caso di lavoro distaccato di lunga durata, il Consiglio federale può emanare disposizioni sulla durata dell'obbligo di rimborso di cui al capoverso 2.
LEtr) et aux qualifications personnelles (art. 23
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 23 Condizioni personali - 1 Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
1    Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
2    All'atto del rilascio del permesso di dimora occorre inoltre esaminare se la qualifica professionale, la capacità di adattamento professionale e sociale, le conoscenze linguistiche e l'età dell'interessato ne lascino presagire un'integrazione durevole nel mercato svizzero del lavoro e nel contesto sociopolitico.
3    In deroga ai capoversi 1 e 2, possono essere ammessi in Svizzera:
a  investitori e imprenditori che mantengono posti di lavoro o ne creano di nuovi;
b  persone riconosciute in ambito scientifico, culturale o sportivo;
c  persone con conoscenze o attitudini professionali specifiche, sempreché ne sia dimostrato il bisogno;
d  persone trasferite in Svizzera che fanno parte dei quadri di aziende attive sul piano internazionale;
e  persone la cui attività in Svizzera è indispensabile nel contesto di relazioni d'affari internazionali importanti dal punto di vista economico.
LEtr).

L'art. 18
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 18 Esercizio di un'attività lucrativa dipendente - Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa dipendente se:
a  l'ammissione è nell'interesse dell'economia svizzera;
b  un datore di lavoro ne ha fatto domanda; e
c  sono adempite le condizioni di cui agli articoli 20-25.
LEtr étant rédigé en la forme potestative, les autorités compétentes bénéficient d'un large pouvoir d'appréciation, même si celui-ci n'est pas illimité (cf. Peter Uebersax, in : Nguyen/Amarelle [éd.], Code annoté du droit des migrations, volume II : Loi sur les étrangers [LEtr], Berne 2017, ad art. 18 n. 4 et 8 s.; Lisa Ott, in : Caroni/Gächter/Thurnherr [éd.], Bundesgesetz über die Ausländerinnen und Ausländer, Berne 2010, ad art. 18
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 18 Esercizio di un'attività lucrativa dipendente - Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa dipendente se:
a  l'ammissione è nell'interesse dell'economia svizzera;
b  un datore di lavoro ne ha fatto domanda; e
c  sono adempite le condizioni di cui agli articoli 20-25.
-29
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 29 Cure mediche - Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per ricevere cure mediche. Il finanziamento e la partenza dalla Svizzera devono essere garantiti.
LEtr n. 5).

4.3.1 En ce qui concerne la condition du respect de l'ordre de priorité, l'art. 21
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 21 Priorità - 1 Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se è dimostrato che per tale attività non è possibile reperire un lavoratore indigeno o un cittadino di uno Stato con cui è stato concluso un accordo di libera circolazione delle persone che corrisponda al profilo richiesto.
1    Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se è dimostrato che per tale attività non è possibile reperire un lavoratore indigeno o un cittadino di uno Stato con cui è stato concluso un accordo di libera circolazione delle persone che corrisponda al profilo richiesto.
2    Sono considerati lavoratori indigeni:
a  i cittadini svizzeri;
b  i titolari di un permesso di domicilio;
c  i titolari di un permesso di dimora autorizzati a esercitare un'attività lucrativa;
d  le persone ammesse provvisoriamente;
e  le persone alle quali è stata concessa protezione provvisoria e che sono titolari di un permesso per l'esercizio di un'attività lucrativa.
3    In deroga al capoverso 1, lo straniero con diploma universitario svizzero può essere ammesso in Svizzera se la sua attività lucrativa riveste un elevato interesse scientifico o economico. È ammesso per un periodo di sei mesi a partire dalla conclusione della sua formazione o della sua formazione continua in Svizzera affinché possa trovare una siffatta attività lucrativa.30 31
LEtr prévoit qu'un étranger ne peut être admis en vue de l'exercice d'une activité lucrative que s'il est démontré qu'aucun travailleur en Suisse, ni aucun ressortissant d'un Etat avec lequel a été conclu un accord sur la libre circulation des personnes correspondant au profil requis n'a pu être trouvé (al. 1). Sont considérés comme travailleurs en Suisse les ressortissants de ce pays, les étrangers titulaires d'une autorisation d'établissement ainsi que les étrangers titulaires d'une autorisation de séjour qui ont le droit d'exercer une activité lucrative (al. 2).

4.3.2 S'agissant de l'exigence relative aux conditions de rémunération et de travail, l'art. 22
SR 142.201 Ordinanza del 24 ottobre 2007 sull'ammissione, il soggiorno e l'attività lucrativa (OASA)
OASA Art. 22 Condizioni di salario e di lavoro - (art. 22 LStrI)
1    Le condizioni di salario e di lavoro usuali per il luogo e la professione sono determinate in base alle prescrizioni legali, ai contratti collettivi e ai contratti normali di lavoro nonché ai salari e alle condizioni vigenti per un lavoro analogo nella stessa azienda e ramo. Vanno inoltre considerati i risultati dei rilevamenti statistici sui salari.
2    Il datore di lavoro deve presentare un contratto di lavoro o una conferma del mandato al servizio cui compete secondo il diritto cantonale l'ammissione sul mercato del lavoro. Nel caso di prestazione di servizi transfrontaliera vanno presentati la conferma del distaccamento e il contratto relativo alla prestazione di servizi. Tali documenti devono contenere indicazioni sulla durata dell'attività lucrativa, sulle condizioni d'assunzione e sul salario.
OASA prescrit qu'un étranger ne peut être admis en vue de l'exercice d'une activité lucrative qu'aux conditions de rémunération et de travail usuelles du lieu, de la profession et de la branche.

4.3.3 Pour ce qui est des qualifications personnelles requises, l'art. 23
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 23 Condizioni personali - 1 Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
1    Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
2    All'atto del rilascio del permesso di dimora occorre inoltre esaminare se la qualifica professionale, la capacità di adattamento professionale e sociale, le conoscenze linguistiche e l'età dell'interessato ne lascino presagire un'integrazione durevole nel mercato svizzero del lavoro e nel contesto sociopolitico.
3    In deroga ai capoversi 1 e 2, possono essere ammessi in Svizzera:
a  investitori e imprenditori che mantengono posti di lavoro o ne creano di nuovi;
b  persone riconosciute in ambito scientifico, culturale o sportivo;
c  persone con conoscenze o attitudini professionali specifiche, sempreché ne sia dimostrato il bisogno;
d  persone trasferite in Svizzera che fanno parte dei quadri di aziende attive sul piano internazionale;
e  persone la cui attività in Svizzera è indispensabile nel contesto di relazioni d'affari internazionali importanti dal punto di vista economico.
LEtr énonce que seuls les cadres, les spécialistes ou les autres travailleurs qualifiés peuvent en principe obtenir une autorisation de courte durée ou de séjour (al. 1). En cas d'octroi d'une autorisation de séjour, la qualification professionnelle de l'étranger, sa capacité d'adaptation professionnelle et sociale, ses connaissances linguistiques et son âge doivent en outre laisser supposer qu'il s'intégrera durablement à l'environnement professionnel et social (al. 2). En dérogation aux alinéas 1 et 2, peuvent être admis (notamment) les personnes possédant des connaissances ou des capacités professionnelles particulières, si leur admission répond de manière avérée à un besoin (al. 3 let. c).

Peuvent se réclamer de l'art. 23 al. 3 let. c
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 23 Condizioni personali - 1 Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
1    Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
2    All'atto del rilascio del permesso di dimora occorre inoltre esaminare se la qualifica professionale, la capacità di adattamento professionale e sociale, le conoscenze linguistiche e l'età dell'interessato ne lascino presagire un'integrazione durevole nel mercato svizzero del lavoro e nel contesto sociopolitico.
3    In deroga ai capoversi 1 e 2, possono essere ammessi in Svizzera:
a  investitori e imprenditori che mantengono posti di lavoro o ne creano di nuovi;
b  persone riconosciute in ambito scientifico, culturale o sportivo;
c  persone con conoscenze o attitudini professionali specifiche, sempreché ne sia dimostrato il bisogno;
d  persone trasferite in Svizzera che fanno parte dei quadri di aziende attive sul piano internazionale;
e  persone la cui attività in Svizzera è indispensabile nel contesto di relazioni d'affari internazionali importanti dal punto di vista economico.
LEtr les travailleurs moins qualifiés (ne remplissant pas les conditions des alinéas 1 et 2), mais qui disposent de connaissances et de capacités spécialisées indispensables à l'accomplissement de certaines activités, par exemple le travail du cirque, le nettoyage et l'entretien d'installations spéciales ou la construction de tunnels. Il doit toutefois s'agir d'activités ne pouvant pas, ou alors de manière insuffisante, être exécutées par un travailleur indigène ou un ressortissant d'un Etat membre de l'UE ou de l'AELE (cf. Message LEtr, p. 3541 ch. 2.4.2, ad art. 23 al. 3 du projet de loi [dérogations]).

Lors des débats des chambres, il a également été question de spécialistes des technologies de l'information (en particulier des techniques de l'informatique) et du personnel soignant. La référence aux "autres travailleurs qualifiés" devrait permettre d'admettre des travailleurs étrangers en tenant davantage compte des exigences du marché du travail que de la fonction exercée ou de la spécificité de la formation suivie, ce pour autant que les prestations offertes par le travailleur étranger ne puissent être exécutées par de la main-d'oeuvre indigène ou européenne peu ou pas qualifiée (cf. Marc Spescha, in: Spescha/Thür/Zünd/Bolzli/Hruschka [éd.], Kommentar zum Migrationsrecht, Zurich 2015, ad art. 23
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 23 Condizioni personali - 1 Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
1    Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
2    All'atto del rilascio del permesso di dimora occorre inoltre esaminare se la qualifica professionale, la capacità di adattamento professionale e sociale, le conoscenze linguistiche e l'età dell'interessato ne lascino presagire un'integrazione durevole nel mercato svizzero del lavoro e nel contesto sociopolitico.
3    In deroga ai capoversi 1 e 2, possono essere ammessi in Svizzera:
a  investitori e imprenditori che mantengono posti di lavoro o ne creano di nuovi;
b  persone riconosciute in ambito scientifico, culturale o sportivo;
c  persone con conoscenze o attitudini professionali specifiche, sempreché ne sia dimostrato il bisogno;
d  persone trasferite in Svizzera che fanno parte dei quadri di aziende attive sul piano internazionale;
e  persone la cui attività in Svizzera è indispensabile nel contesto di relazioni d'affari internazionali importanti dal punto di vista economico.
LEtr n. 1 et 7; Lisa Ott, in : Caroni/Gächter/Thurnherr [éd.], op. cit., ad art. 23
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 23 Condizioni personali - 1 Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
1    Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
2    All'atto del rilascio del permesso di dimora occorre inoltre esaminare se la qualifica professionale, la capacità di adattamento professionale e sociale, le conoscenze linguistiche e l'età dell'interessato ne lascino presagire un'integrazione durevole nel mercato svizzero del lavoro e nel contesto sociopolitico.
3    In deroga ai capoversi 1 e 2, possono essere ammessi in Svizzera:
a  investitori e imprenditori che mantengono posti di lavoro o ne creano di nuovi;
b  persone riconosciute in ambito scientifico, culturale o sportivo;
c  persone con conoscenze o attitudini professionali specifiche, sempreché ne sia dimostrato il bisogno;
d  persone trasferite in Svizzera che fanno parte dei quadri di aziende attive sul piano internazionale;
e  persone la cui attività in Svizzera è indispensabile nel contesto di relazioni d'affari internazionali importanti dal punto di vista economico.
LEtr n. 22; Guillaume Vianin, in : Nguyen/ Amarelle [éd.], op. cit., ad art. 23
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 23 Condizioni personali - 1 Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
1    Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
2    All'atto del rilascio del permesso di dimora occorre inoltre esaminare se la qualifica professionale, la capacità di adattamento professionale e sociale, le conoscenze linguistiche e l'età dell'interessato ne lascino presagire un'integrazione durevole nel mercato svizzero del lavoro e nel contesto sociopolitico.
3    In deroga ai capoversi 1 e 2, possono essere ammessi in Svizzera:
a  investitori e imprenditori che mantengono posti di lavoro o ne creano di nuovi;
b  persone riconosciute in ambito scientifico, culturale o sportivo;
c  persone con conoscenze o attitudini professionali specifiche, sempreché ne sia dimostrato il bisogno;
d  persone trasferite in Svizzera che fanno parte dei quadri di aziende attive sul piano internazionale;
e  persone la cui attività in Svizzera è indispensabile nel contesto di relazioni d'affari internazionali importanti dal punto di vista economico.
LEtr n. 24).

4.4 Afin d'assurer l'application uniforme de certaines dispositions légales, l'administration peut indiquer, dans des directives, l'interprétation qu'elle entend leur donner. S'agissant de la portée juridique des directives (qui sont des ordonnances administratives), on notera que celles-ci ne lient ni les administrés, ni les tribunaux, ni même l'administration. Elles ne dispensent en particulier pas cette dernière de se prononcer à la lumière des circonstances du cas d'espèce. En outre, elles ne peuvent sortir du cadre fixé par la norme supérieure qu'elles sont censées concrétiser. En d'autres termes, à défaut de lacune, elles ne peuvent prévoir autre chose que ce qui découle de la législation ou de la jurisprudence. Lorsque le texte légal est clair, l'autorité qui applique le droit ne peut donc s'en écarter que s'il existe des motifs sérieux de penser que ce texte ne correspond pas en tous points au sens véritable de la disposition visée et conduit à des résultats que le législateur ne peut avoir voulus et qui heurtent le sentiment de la justice ou le principe de l'égalité de traitement (cf. ATF 142 II 182 consid. 2.3.2, 138 II 536 consid. 5.4.3, et la jurisprudence citée; ATAF 2011/1 consid. 6.4, 2009/15 consid. 5.1; arrêts du TAF F-4018/2016 du 28 septembre 2017 consid. 3.4 et C-5184/2014 du 31 mars 2016 consid. 5.1.1).

4.5 Au chapitre 4 de sa Directive I. Domaine des étrangers, le SEM a indiqué l'interprétation qu'il entendait donner aux dispositions susmentionnées (cf. dite directive, dans ses versions du 30.9.2011 [Directive LEtr] et du 1.6.2019 [Directive LEI], cette dernière version étant consultable sur le site Internet du SEM : www.sem.admin.ch > Publications & services > Directives et circulaires > I. Domaine des étrangers > Chapitre 4: Séjour avec activité lucrative).

4.5.1 Ainsi que le précise la directive susmentionnée, les ressortissants d'Etats tiers sont admis sur le marché du travail suisse si leur admission sert les intérêts économiques du pays, et ce à long terme. Lors de l'appréciation du cas, il convient ainsi de tenir compte en particulier de la situation sur le marché du travail, de l'évolution économique durable et de la capacité de l'étranger concerné de s'intégrer. Il ne s'agit pas de maintenir une infrastructure avec une main-d'oeuvre peu qualifiée disposée à travailler pour de bas salaires, ni de soutenir des intérêts particuliers. Les étrangers nouvellement entrés dans notre pays ne doivent donc pas faire concurrence aux travailleurs en Suisse de manière à provoquer un dumping salarial et social (cf. dite directive, ch. 4.3.1, dans ses versions des 30.9.2011 et 1.6.2019; dans le même sens, cf. Message LEtr, p. 3485 s. ch. 1.2.3.1, et p. 3536 ch. 2.4.2 ad art. 17
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 17 Regolamentazione del soggiorno fino alla decisione relativa al permesso - 1 Lo straniero entrato legalmente in Svizzera in vista di un soggiorno temporaneo, ma che in seguito richiede un permesso per un soggiorno duraturo, deve attendere la decisione all'estero.
1    Lo straniero entrato legalmente in Svizzera in vista di un soggiorno temporaneo, ma che in seguito richiede un permesso per un soggiorno duraturo, deve attendere la decisione all'estero.
2    Se è manifesto che le condizioni d'ammissione saranno adempite, l'autorità cantonale competente può autorizzare lo straniero a rimanere in Svizzera durante la procedura.
du projet de loi).

4.5.2 Selon la directive susmentionnée, le principe de la priorité des travailleurs indigènes (ancré à l'art. 21
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 21 Priorità - 1 Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se è dimostrato che per tale attività non è possibile reperire un lavoratore indigeno o un cittadino di uno Stato con cui è stato concluso un accordo di libera circolazione delle persone che corrisponda al profilo richiesto.
1    Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se è dimostrato che per tale attività non è possibile reperire un lavoratore indigeno o un cittadino di uno Stato con cui è stato concluso un accordo di libera circolazione delle persone che corrisponda al profilo richiesto.
2    Sono considerati lavoratori indigeni:
a  i cittadini svizzeri;
b  i titolari di un permesso di domicilio;
c  i titolari di un permesso di dimora autorizzati a esercitare un'attività lucrativa;
d  le persone ammesse provvisoriamente;
e  le persone alle quali è stata concessa protezione provvisoria e che sono titolari di un permesso per l'esercizio di un'attività lucrativa.
3    In deroga al capoverso 1, lo straniero con diploma universitario svizzero può essere ammesso in Svizzera se la sua attività lucrativa riveste un elevato interesse scientifico o economico. È ammesso per un periodo di sei mesi a partire dalla conclusione della sua formazione o della sua formazione continua in Svizzera affinché possa trovare una siffatta attività lucrativa.30 31
LEtr, qui correspond à l'actuel art. 21
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 21 Priorità - 1 Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se è dimostrato che per tale attività non è possibile reperire un lavoratore indigeno o un cittadino di uno Stato con cui è stato concluso un accordo di libera circolazione delle persone che corrisponda al profilo richiesto.
1    Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se è dimostrato che per tale attività non è possibile reperire un lavoratore indigeno o un cittadino di uno Stato con cui è stato concluso un accordo di libera circolazione delle persone che corrisponda al profilo richiesto.
2    Sono considerati lavoratori indigeni:
a  i cittadini svizzeri;
b  i titolari di un permesso di domicilio;
c  i titolari di un permesso di dimora autorizzati a esercitare un'attività lucrativa;
d  le persone ammesse provvisoriamente;
e  le persone alle quali è stata concessa protezione provvisoria e che sono titolari di un permesso per l'esercizio di un'attività lucrativa.
3    In deroga al capoverso 1, lo straniero con diploma universitario svizzero può essere ammesso in Svizzera se la sua attività lucrativa riveste un elevato interesse scientifico o economico. È ammesso per un periodo di sei mesi a partire dalla conclusione della sua formazione o della sua formazione continua in Svizzera affinché possa trovare una siffatta attività lucrativa.30 31
LEI) doit en général être appliqué dans tous les cas, quelle que soit la situation de l'économie et du marché du travail. L'admission de ressortissants d'Etats tiers n'est possible que si, à qualifications égales, aucun travailleur en Suisse ou ressortissant d'un Etat de l'UE ou de l'AELE ne peut être recruté pour occuper l'emploi en question (cf. dite directive, ch. 4.3.2.1, dans ses versions des 30.9.2011 et 1.6.2019; dans le même sens, cf. Message LEtr, p. 3538 ch. 2.4.2 ad art. 20 du projet de loi; cf. également ATAF 2011/1 consid. 6.3).

Ainsi que le prévoit la directive susmentionnée, il appartient à l'employeur de procéder à des recherches actives pour trouver un travailleur disponible, notamment en indiquant le plus rapidement possible aux Offices régionaux de placement (ORP) les emplois vacants, en faisant publier des offres d'emploi dans les quotidiens et la presse spécialisée, en diffusant des annonces dans les médias électroniques et en s'approchant des agences privées de placement, voire en offrant une formation continue spécifique aux travailleurs disponibles sur le marché suisse du travail. L'employeur doit être en mesure de rendre crédible les efforts qu'il a déployés, en temps opportun et de manière appropriée, en vue d'attribuer le poste en question à des candidats indigènes ou à des candidats ressortissants d'Etats membres de l'UE/AELE. Des ressortissants d'Etats tiers ne seront ainsi contactés que dans le cas où les efforts entrepris n'ont pas abouti. Il convient en effet de veiller à ce que ces démarches ne soient pas entreprises à la seule fin de s'acquitter d'une exigence. Elles doivent être engagées suffisamment tôt, dans un délai convenable avant l'échéance prévue pour la signature du contrat de travail. En outre, il faut éviter que les personnes ayant la priorité ne soient exclues sur la base de critères professionnels non pertinents tels que des séjours à l'étranger, des aptitudes linguistiques ou techniques qui ne sont pas indispensables pour exercer l'activité en question, etc. (cf. dite directive, ch. 4.3.2.1 et 4.3.2.2, dans leurs versions des 30.9.2011 et 1.6.2019).

L'employeur doit notamment apporter la preuve qu'il n'a pas trouvé en Suisse et dans les Etats de l'UE/AELE de travailleur bénéficiant de la priorité de recrutement, en présentant des offres d'emplois et des mises au concours dans le système suisse d'information sur les demandeurs d'emploi (PLASTA) et dans le portail européen sur la mobilité de l'emploi EURES (European Employment System), réseaux électroniques à disposition des ORP (dans ce sens, cf. Message LEtr, p. 3538 ch. 2.4.2 ad art. 20 du projet de loi). Dans la mesure du possible, l'ORP indique les candidatures entrant en ligne de compte. L'employeur doit ensuite justifier pourquoi les candidats en question ne satisfont pas aux exigences requises (cf. Peter Uebersax, in : Nguyen/Amarelle [éd.], op. cit., ad art. 21
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 21 Priorità - 1 Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se è dimostrato che per tale attività non è possibile reperire un lavoratore indigeno o un cittadino di uno Stato con cui è stato concluso un accordo di libera circolazione delle persone che corrisponda al profilo richiesto.
1    Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se è dimostrato che per tale attività non è possibile reperire un lavoratore indigeno o un cittadino di uno Stato con cui è stato concluso un accordo di libera circolazione delle persone che corrisponda al profilo richiesto.
2    Sono considerati lavoratori indigeni:
a  i cittadini svizzeri;
b  i titolari di un permesso di domicilio;
c  i titolari di un permesso di dimora autorizzati a esercitare un'attività lucrativa;
d  le persone ammesse provvisoriamente;
e  le persone alle quali è stata concessa protezione provvisoria e che sono titolari di un permesso per l'esercizio di un'attività lucrativa.
3    In deroga al capoverso 1, lo straniero con diploma universitario svizzero può essere ammesso in Svizzera se la sua attività lucrativa riveste un elevato interesse scientifico o economico. È ammesso per un periodo di sei mesi a partire dalla conclusione della sua formazione o della sua formazione continua in Svizzera affinché possa trovare una siffatta attività lucrativa.30 31
LEtr, n. 18; Spescha/Kerland/Bolzli, Handbuch zum Migrationsrecht, Zurich 2015, p. 176 ss).

4.5.3 En vertu de la directive susmentionnée, l'art. 22
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 22 Condizioni di salario e di lavoro nonché rimborso delle spese dei lavoratori distaccati - 1 Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se:
1    Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se:
a  sono osservate le condizioni di lavoro e di salario usuali nella località, nella professione e nel settore; e se
b  i rimborsi di cui al capoverso 2 corrispondono a quelli usuali nella località, nella professione e nel settore.
2    Il datore di lavoro rimborsa ai lavoratori distaccati le spese in relazione al lavoro distaccato sostenute nell'ambito di una prestazione di servizi transfrontaliera o di un trasferimento per motivi aziendali, come quelle per il viaggio, il vitto e l'alloggio. Tali rimborsi non sono considerati componente del salario.
3    In caso di lavoro distaccato di lunga durata, il Consiglio federale può emanare disposizioni sulla durata dell'obbligo di rimborso di cui al capoverso 2.
LEtr (qui correspond à l'actuel art. 22
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 22 Condizioni di salario e di lavoro nonché rimborso delle spese dei lavoratori distaccati - 1 Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se:
1    Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se:
a  sono osservate le condizioni di lavoro e di salario usuali nella località, nella professione e nel settore; e se
b  i rimborsi di cui al capoverso 2 corrispondono a quelli usuali nella località, nella professione e nel settore.
2    Il datore di lavoro rimborsa ai lavoratori distaccati le spese in relazione al lavoro distaccato sostenute nell'ambito di una prestazione di servizi transfrontaliera o di un trasferimento per motivi aziendali, come quelle per il viaggio, il vitto e l'alloggio. Tali rimborsi non sono considerati componente del salario.
3    In caso di lavoro distaccato di lunga durata, il Consiglio federale può emanare disposizioni sulla durata dell'obbligo di rimborso di cui al capoverso 2.
LEI) a pour but de protéger les travailleurs étrangers contre des conditions d'engagement abusives, mais également les travailleurs indigènes contre la concurrence d'une main-d'oeuvre étrangère meilleur marché. Dans les limites des prescriptions régissant le marché du travail, il importe de veiller à ce que l'on offre aux travailleurs étrangers les mêmes conditions de rémunération et de travail en usage dans la localité et la profession que pour les travailleurs indigènes. Pour en juger, il faut en premier lieu se fonder sur les prescriptions légales et les conditions de salaire et de travail offertes pour un travail similaire, dans la même entreprise et la même branche. Etant donné que les salaires fixés par les conventions collectives de travail ne correspondent souvent pas aux salaires réels des travailleurs indigènes, il faut notamment tenir compte des relevés actuels en matière de statistique, tels ceux de l'Office fédéral de la statistique (cf. dite directive, ch. 4.3.4, dans ses versions des 30.9.2011 et 1.6.2019).

4.5.4 Quant aux qualifications personnelles (au sens de l'art. 23
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 23 Condizioni personali - 1 Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
1    Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
2    All'atto del rilascio del permesso di dimora occorre inoltre esaminare se la qualifica professionale, la capacità di adattamento professionale e sociale, le conoscenze linguistiche e l'età dell'interessato ne lascino presagire un'integrazione durevole nel mercato svizzero del lavoro e nel contesto sociopolitico.
3    In deroga ai capoversi 1 e 2, possono essere ammessi in Svizzera:
a  investitori e imprenditori che mantengono posti di lavoro o ne creano di nuovi;
b  persone riconosciute in ambito scientifico, culturale o sportivo;
c  persone con conoscenze o attitudini professionali specifiche, sempreché ne sia dimostrato il bisogno;
d  persone trasferite in Svizzera che fanno parte dei quadri di aziende attive sul piano internazionale;
e  persone la cui attività in Svizzera è indispensabile nel contesto di relazioni d'affari internazionali importanti dal punto di vista economico.
LEtr, qui correspond à l'actuel art. 23
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 23 Condizioni personali - 1 Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
1    Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
2    All'atto del rilascio del permesso di dimora occorre inoltre esaminare se la qualifica professionale, la capacità di adattamento professionale e sociale, le conoscenze linguistiche e l'età dell'interessato ne lascino presagire un'integrazione durevole nel mercato svizzero del lavoro e nel contesto sociopolitico.
3    In deroga ai capoversi 1 e 2, possono essere ammessi in Svizzera:
a  investitori e imprenditori che mantengono posti di lavoro o ne creano di nuovi;
b  persone riconosciute in ambito scientifico, culturale o sportivo;
c  persone con conoscenze o attitudini professionali specifiche, sempreché ne sia dimostrato il bisogno;
d  persone trasferite in Svizzera che fanno parte dei quadri di aziende attive sul piano internazionale;
e  persone la cui attività in Svizzera è indispensabile nel contesto di relazioni d'affari internazionali importanti dal punto di vista economico.
LEI), elles peuvent, selon la directive susmentionnée, avoir été obtenues, selon la profession ou la spécialisation, à différents niveaux: diplôme universitaire ou d'une haute école spécialisée; formation professionnelle spéciale assortie de plusieurs années d'expérience; diplôme professionnel complété d'une formation supplémentaire; connaissances linguistiques exceptionnelles et indispensables dans des domaines spécifiques. L'existence des qualifications requises peut souvent, lors de l'examen sous l'angle du marché du travail, être déduite également de la fonction du travailleur étranger, par exemple lorsqu'il s'agit de personnes appelées à créer ou à diriger des entreprises importantes pour le marché du travail. Pour le surplus, ladite directive contient, au ch. 4.7, un aperçu de différentes branches, professions et fonctions pour lesquelles les qualifications personnelles spécifiques requises sont explicitement énoncées (cf. dite directive, ch. 4.3.5, dans ses versions des 30.9.2011 et 1.6.2019). Rien ne figure à ce propos s'agissant du domaine de la carrosserie automobile.

Il est à noter que le terme de qualifications personnelles constitue une notion juridique indéterminée, pour l'interprétation de laquelle l'autorité dispose d'une latitude de jugement (sur ce dernier point, cf. arrêts du TAF C-5420/2012 du 15 janvier 2014 consid. 8.4 et C-8717/2010 du 8 juillet 2011 consid. 7.4).

4.5.5 Dans ce contexte, il convient de rappeler qu'en matière d'admission d'un ressortissant d'un Etat tiers en vue de l'exercice d'une activité lucrative, le SEM jouit d'une grande liberté d'appréciation (cf. consid. 4.3 supra) et, dans le cadre de l'interprétation de notions juridiques indéterminées, d'une latitude de jugement (cf. consid. 4.5.4 supra). A priori, la directive du SEM susmentionnée s'inscrit parfaitement dans le cadre fixé par les normes législatives en question. Rien ne justifie donc que le Tribunal de céans s'écarte de cette directive dans le cas particulier, au risque de créer des inégalités de traitement.

5.

5.1 Pour déterminer si l'ordre de priorité prévu par l'art. 21 al. 1
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 21 Priorità - 1 Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se è dimostrato che per tale attività non è possibile reperire un lavoratore indigeno o un cittadino di uno Stato con cui è stato concluso un accordo di libera circolazione delle persone che corrisponda al profilo richiesto.
1    Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se è dimostrato che per tale attività non è possibile reperire un lavoratore indigeno o un cittadino di uno Stato con cui è stato concluso un accordo di libera circolazione delle persone che corrisponda al profilo richiesto.
2    Sono considerati lavoratori indigeni:
a  i cittadini svizzeri;
b  i titolari di un permesso di domicilio;
c  i titolari di un permesso di dimora autorizzati a esercitare un'attività lucrativa;
d  le persone ammesse provvisoriamente;
e  le persone alle quali è stata concessa protezione provvisoria e che sono titolari di un permesso per l'esercizio di un'attività lucrativa.
3    In deroga al capoverso 1, lo straniero con diploma universitario svizzero può essere ammesso in Svizzera se la sua attività lucrativa riveste un elevato interesse scientifico o economico. È ammesso per un periodo di sei mesi a partire dalla conclusione della sua formazione o della sua formazione continua in Svizzera affinché possa trovare una siffatta attività lucrativa.30 31
LEtr a été respecté dans le cadre de la présente cause, il convient d'examiner si la société recourante a démontré à satisfaction de droit qu'elle avait entrepris, en temps opportun et de manière appropriée, des démarches suffisamment approfondies en vue de recruter, en Suisse et dans les Etats de l'UE/AELE, un travailleur correspondant au profil de X._______ (cf. consid. 4.5.2 supra).

C'est ici le lieu de rappeler que la société recourante et X._______ ont déposé conjointement une première demande de prise d'emploi en date du 24 février 2014, demande que la société recourante a réitérée le 17 juin 2015. A l'appui de ces demandes, ils ont produit le contrat de travail qu'ils avaient signé le 24 février 2014, soit le jour même du dépôt de la première demande de prise d'emploi, contrat dont il appert qu'en réalité, le prénommé travaillait (au noir) au service de cette société depuis le 1er janvier 2011 déjà (cf. art. 1 et 8 dudit contrat).

5.2 Afin de pouvoir juger si la société recourante a entrepris des démarches appropriées en vue de recruter un travailleur correspondant au profil de X._______, il convient d'examiner préalablement quelles étaient les connaissances et capacités professionnelles dont bénéficiait le prénommé à son arrivée en Suisse en novembre 2010 (respectivement lors de son engagement par la société recourante à la fin de l'année 2010), sans qu'il soit nécessaire, à ce stade, de se prononcer sur la question de savoir si l'intéressé bénéficiait alors des qualifications personnelles requises par l'art. 23
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 23 Condizioni personali - 1 Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
1    Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
2    All'atto del rilascio del permesso di dimora occorre inoltre esaminare se la qualifica professionale, la capacità di adattamento professionale e sociale, le conoscenze linguistiche e l'età dell'interessato ne lascino presagire un'integrazione durevole nel mercato svizzero del lavoro e nel contesto sociopolitico.
3    In deroga ai capoversi 1 e 2, possono essere ammessi in Svizzera:
a  investitori e imprenditori che mantengono posti di lavoro o ne creano di nuovi;
b  persone riconosciute in ambito scientifico, culturale o sportivo;
c  persone con conoscenze o attitudini professionali specifiche, sempreché ne sia dimostrato il bisogno;
d  persone trasferite in Svizzera che fanno parte dei quadri di aziende attive sul piano internazionale;
e  persone la cui attività in Svizzera è indispensabile nel contesto di relazioni d'affari internazionali importanti dal punto di vista economico.
LEtr et, en particulier, par l'art. 23 al. 3 let. c
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 23 Condizioni personali - 1 Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
1    Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
2    All'atto del rilascio del permesso di dimora occorre inoltre esaminare se la qualifica professionale, la capacità di adattamento professionale e sociale, le conoscenze linguistiche e l'età dell'interessato ne lascino presagire un'integrazione durevole nel mercato svizzero del lavoro e nel contesto sociopolitico.
3    In deroga ai capoversi 1 e 2, possono essere ammessi in Svizzera:
a  investitori e imprenditori che mantengono posti di lavoro o ne creano di nuovi;
b  persone riconosciute in ambito scientifico, culturale o sportivo;
c  persone con conoscenze o attitudini professionali specifiche, sempreché ne sia dimostrato il bisogno;
d  persone trasferite in Svizzera che fanno parte dei quadri di aziende attive sul piano internazionale;
e  persone la cui attività in Svizzera è indispensabile nel contesto di relazioni d'affari internazionali importanti dal punto di vista economico.
LEtr.

5.2.1 A ce propos, la société recourante a fait valoir que X._______, même s'il ne bénéficiait d'aucun diplôme professionnel, jouissait à son arrivée en Suisse (à l'âge de 36 ans) de près de 25 ans d'expérience pratique comme "tôlier-formeur" spécialisé dans la restauration de voitures anciennes et de collection (en particulier de "oldtimers", par quoi il faut entendre des automobiles âgées de plus de 30 ans), que l'intéressé était en quelque sorte un "maître de la restauration" de telles voitures, que les qualifications et compétences techniques dans ce domaine d'activité ne pouvaient s'acquérir qu'au fil d'une longue expérience acquise "en situation continue" et que cela faisait de nombreuses années qu'elle tentait de recruter, en vain, un "spécialiste tôlier-formeur avec un minimum de 15 ans d'expérience validée dans la restauration" apte à collaborer avec des clients fortunés et exigeants tels ceux de la branche automobile de prestige de la région lémanique.

5.2.2 Dans son curriculum vitae (cf. acte TAF 1, annexe 3), X._______ a indiqué avoir achevé l'école primaire obligatoire en Turquie en mai 1986 (à l'âge de 11 ans et demi), puis avoir accompli dans son pays une formation pratique de 16 mois (d'octobre 1986 à janvier 1988) comme "carrossier tôlier toutes marques". Il aurait ensuite travaillé dans son pays successivement dans trois carrosseries, respectivement comme "spécialiste restauration voitures classiques" (jusqu'en octobre 1997), puis comme "associé & spécialiste restauration voitures classiques" et "formateur/spécialiste tôlier toutes marques" (jusqu'en septembre 2001) et, finalement, comme "responsable atelier carrosserie toutes marques" (jusqu'en septembre 2009).

Les attestations de travail ayant été versées en cause (cf. acte TAF 1, annexes 4 et 5) révèlent à ce propos que, suite à la fermeture de l'entreprise dans laquelle il avait accompli une formation pratique de 16 mois, l'intéressé avait fondé avec un associé, en janvier 1988, un "atelier de carrosserie et de peinture" spécialisé dans la "réparation de voitures anciennes classiques et de voitures récentes" (atelier dans lequel il aurait oeuvré jusqu'en octobre 1997) et, en novembre 1997, une nouvelle société active dans le commerce de voitures dont les activités principales auraient été "en général, la réparation d'automobiles classiques, ainsi que la restauration de carrosseries", société pour laquelle il aurait cessé de travailler en septembre 2001 (cf. l'attestation de travail y relative, établie par son associé). S'agissant de l'activité de "responsable atelier carrosserie toutes marques" qu'il dit avoir exercée d'octobre 2001 à septembre 2009, l'attestation de travail y relative ne fait état que d'un emploi de "technicien en carrosserie" dans une "carrosserie automobile" (cf. l'attestation de travail du 17 août 2015 y relative).

5.2.3 En l'occurrence, il n'est pas contesté que tout carrossier jouissant d'une solide expérience pratique acquise dans des pays connaissant un niveau de développement sensiblement inférieur à celui de la Suisse - pays dans lesquels le parc automobile est généralement plus ancien et où il est parfois difficile de se procurer ou de financer des pièces de rechange - bénéficie nécessairement d'une certaine expertise (en termes de connaissances artisanales et d'habileté manuelle) lorsqu'il s'agit de créer des pièces de rechange ou de fabriquer les outils permettant de solutionner d'éventuels problèmes techniques rencontrés lors de la réparation de voitures anciennes.

Il n'en demeure pas moins que X._______ ne dispose pas d'une formation professionnelle à proprement parler comparable à celles - d'une durée de quatre ans - qui sont dispensées en Suisse dans le domaine de la carrosserie automobile et sont couronnées par un CFC de "carrossier-tôlier" ou de "carrossier-peintre" par exemple, puisque de telles formations ne sont apparemment pas disponibles en Turquie.

De surcroît, il ne ressort nullement des pièces ayant été versées en cause par la société recourante que le prénommé aurait bénéficié à son arrivée en Suisse - comme allégué - de 25 ans d'expérience pratique acquise "en situation continue" dans la restauration de voitures anciennes et de collection. En effet, force est de constater d'emblée que, dans son curriculum vitae, l'intéressé n'a jamais fait état d'une activité professionnelle qu'il aurait exercée dans la restauration de voitures de collection de prestige (de "oldtimers", en particulier) avant son arrivée en Suisse. Il appert en outre de son curriculum vitae et de ses attestations de travail que le prénommé a exercé une activité de "spécialiste restauration voitures [anciennes] classiques" tout au plus de janvier 1988 à septembre 2001, soit pendant treize ans et demi au total. En effet, il ne ressort ni de ce curriculum vitae, ni des autres pièces du dossier que l'intéressé aurait travaillé dans le domaine de la restauration de voitures anciennes entre octobre 2001 et septembre 2009, années durant lesquelles il avait été employé par une agence Hyundai (ainsi qu'il appert dudit curriculum vitae et du recours, p. 4 ch. 5), ni qu'il aurait exercé une quelconque activité professionnelle entre le mois d'octobre 2009 et la fin de l'année 2010, à savoir durant l'année précédant son entrée en Suisse. On ignore d'ailleurs les motifs pour lesquels l'intéressé a perdu son emploi au service de cette agence Hyundai en septembre 2009.

A cela s'ajoute que l'allégation, selon laquelle le prénommé aurait travaillé de manière continue comme "spécialiste restauration voitures [anciennes] classiques" de janvier 1988 à septembre 2001, est fortement sujette à caution. Il n'est en effet manifestement pas plausible que l'intéressé ait bénéficié en janvier 1988 - à l'âge de 13 ans - de l'expertise d'un carrossier spécialisé dans la restauration de voitures anciennes, alors qu'il n'avait accompli jusque-là qu'une formation pratique de 16 mois comme "carrossier tôlier toutes marques" au sein d'une entreprise qui avait ensuite été contrainte de fermer ses portes. Il appert en outre de l'attestation de travail non datée établie par son ancien associé (cf. acte TAF 1, annexe 4) que l'activité de spécialiste alléguée a été exercée par le prénommé uniquement pour le compte de sociétés qu'il avait lui-même créées (qui ont, elles aussi, cessé leur activité) et que ces sociétés n'étaient pas actives exclusivement dans le domaine de la restauration de voitures anciennes, mais également dans la réparation de voitures récentes et de carrosseries en général. Dans ces conditions, rien ne permet de penser que l'intéressé aurait travaillé exclusivement (respectivement de manière continue et à temps complet) dans le domaine de la restauration de voitures anciennes entre janvier 1988 et septembre 2001, ce d'autant moins qu'aucun élément d'information n'a été apporté quant aux chiffre d'affaires et bénéfices ayant été réalisés durant cette période par lesdites sociétés (dans le domaine de la restauration de voitures anciennes) et quant aux motifs ayant ensuite conduit ces sociétés à cesser leur activité.

5.2.4 En conclusion, force est de constater qu'il n'est nullement démontré, ni même rendu vraisemblable que X._______ aurait bénéficié, à son arrivée en Suisse (à la fin de l'année 2010), d'une expérience professionnelle dans le domaine de la restauration de voitures de collection de prestige (de "oldtimers", en particulier), domaine dans lequel la société recourante dit vouloir renforcer ses activités, ni que le prénommé aurait occupé un emploi spécialisé dans la restauration de voitures anciennes à partir du mois d'octobre 2001, soit durant les quelque neuf années précédant son entrée en Suisse. De plus, la société recourante n'a pas démontré à satisfaction de droit que l'intéressé aurait exercé, de manière continue et à temps complet, une activité spécialisée dans le domaine de la restauration de voitures anciennes de janvier 1988 à septembre 2001 (soit de l'âge de 13 ans à l'âge de 26 ans et demi).

Dans ce contexte, il est d'ailleurs significatif de constater que le contrat de travail conclu le 24 février 2014 par la société recourante et le prénommé (qui demeure valable actuellement) fait état d'un emploi de "tôlier en carrosserie automobile" et non de spécialiste en restauration de voitures anciennes et de collection (cf. art. 1 dudit contrat). Quant au salaire mensuel brut convenu par les intéressés (et versé douze fois l'an), qui avait été fixé initialement à 4'610 francs (cf. art. 8 dudit contrat) et augmenté à 5'300 francs à partir du mois de mai 2015 (cf. le décompte de salaire ayant été produit à l'appui de la demande de prise d'emploi du 17 juin 2015), s'il se situe certes dans les normes en vigueur dans la branche (comme le relève la société recourante), il ne correspond pas à celui d'un spécialiste expérimenté appelé à exécuter des tâches complexes dans le secteur du commerce et/ou de la réparation d'automobiles, selon les relevés de l'Office fédéral de la statistique (en ligne sur son site: www.bfs.admin.ch > Trouver des statistiques > 3. Travail et rémunération > Niveau des salaires - Suisse > Salaire mensuel brut selon les branches économiques, le niveau de compétences et le sexe [version du 8.11.2018]), ce d'autant moins que ces relevés statistiques se fondent sur une activité de 40 heures de travail hebdomadaires, alors que le contrat de travail conclu par les intéressés prévoit une durée de travail hebdomadaire de 44 heures et précise qu'il s'agit là d'un "horaire de base" auquel il convient "d'adjoindre, en fonction des éventuels impératifs de la société et des responsabilités à la charge de l'employé, la souplesse nécessaire" (cf. art. 5 dudit contrat).

5.3 A la lumière des considérations qui précèdent, il convient d'examiner si la société recourante a entrepris, en temps opportun, des démarches à la fois appropriées et suffisamment approfondies en vue de recruter, en Suisse et dans les Etats de l'UE/AELE, un travailleur correspondant au profil de X._______ (tel que décrit aux consid. 5.2.2 à 5.2.4 supra), sachant que le prénommé a travaillé (au noir) au service de cette société dès le 1er janvier 2011 et que celle-ci a présenté des demandes de prise d'emploi en faveur de l'intéressé les 24 février 2014 et 17 juin 2015.

5.3.1 A cet égard, la société recourante a invoqué en substance que cela faisait de nombreuses années qu'elle tentait de recruter un "spécialiste tôlier formeur avec un minimum de 15 ans d'expérience validée dans la restauration" de voitures anciennes et de collection, mais que ces efforts étaient restés vains en dépit des contacts qu'elle entretenait depuis 2007 avec les ORP les plus proches, d'une annonce qu'elle avait fait paraître le 1er octobre 2009 dans le quotidien "24 Heures", du "bouche à oreille" qui avait cours dans les milieux de la Fédération des carrossiers romands (FCR) et de la centaine d'offres spontanées qui lui était adressée chaque année par des peintres et tôliers en carrosserie en provenance de toute la Suisse et des pays de l'UE et par des agences de placement spécialisées de Suisse romande et de Suisse alémanique. S'agissant des recherches qu'elle avait effectuées, elle s'est référée aux pièces qu'elle avait versées en cause dans le cadre de la procédure de première instance cantonale (en particulier à l'appui de sa seconde demande de prise d'emploi du 17 juin 2015), par-devant le Tribunal cantonal (en particulier à l'appui de son recours du 30 septembre 2015 et de sa réplique du 21 janvier 2016), par-devant le SEM (à l'appui de sa détermination du 16 juin 2017) et dans le cadre de la présente procédure de recours (cf. recours du 26 juillet 2017, p. 3 à 5, et réplique du 25 janvier 2018, p. 7).

5.3.2 D'emblée, il sied de relever que, pour déterminer si l'ordre de priorité prévu par l'art. 21 al. 1
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 21 Priorità - 1 Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se è dimostrato che per tale attività non è possibile reperire un lavoratore indigeno o un cittadino di uno Stato con cui è stato concluso un accordo di libera circolazione delle persone che corrisponda al profilo richiesto.
1    Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se è dimostrato che per tale attività non è possibile reperire un lavoratore indigeno o un cittadino di uno Stato con cui è stato concluso un accordo di libera circolazione delle persone che corrisponda al profilo richiesto.
2    Sono considerati lavoratori indigeni:
a  i cittadini svizzeri;
b  i titolari di un permesso di domicilio;
c  i titolari di un permesso di dimora autorizzati a esercitare un'attività lucrativa;
d  le persone ammesse provvisoriamente;
e  le persone alle quali è stata concessa protezione provvisoria e che sono titolari di un permesso per l'esercizio di un'attività lucrativa.
3    In deroga al capoverso 1, lo straniero con diploma universitario svizzero può essere ammesso in Svizzera se la sua attività lucrativa riveste un elevato interesse scientifico o economico. È ammesso per un periodo di sei mesi a partire dalla conclusione della sua formazione o della sua formazione continua in Svizzera affinché possa trovare una siffatta attività lucrativa.30 31
LEtr a été respecté, seules sont déterminantes les "recherches actives" (et avérées) ayant été menées par l'employeur - avant le début des rapports de travail - en vue de recruter, en Suisse et dans des Etats de l'UE/AELE, un candidat dont le profil correspond au poste à pourvoir (cf. 4.5.2 supra). Le "bouche à oreille" ayant cours dans certains milieux professionnels ne saurait donc être pris en considération.

S'agissant des recherches actives ayant été entreprises in casu, il appert du dossier que la société recourante a effectivement annoncé à plusieurs reprises un poste vacant de "tôlier en carrosserie" aux ORP les plus proches avant le dépôt de ses demandes de prise d'emploi des 24 février 2014 et 17 juin 2015 en faveur de X._______ (à savoir en octobre 2007, en juin et en septembre 2008, en octobre 2009, ainsi qu'à la fin du mois de janvier 2012 et au mois de mai 2012; cf. en particulier la liste des postes annoncés aux ORP entre octobre 2007 et septembre 2015, liste ayant été jointe, sous annexe 1, à la réplique qu'elle avait adressée le 21 janvier 2016 au Tribunal cantonal). Ce n'est toutefois que postérieurement à sa première demande de prise d'emploi du 24 février 2014 (soit en novembre 2014) que la société recourante a cherché, pour la première fois, à recruter, en Suisse, un "carrossier restaurateur de voitures anciennes" par l'entremise des ORP. Et ce n'est que postérieurement à sa seconde demande de prise d'emploi du 17 juin 2015 (soit en septembre 2015, en janvier 2016, en septembre 2017 et en avril 2018) que dite société a sollicité des ORP qu'ils étendent leurs recherches (portant sur un "carrossier restaurateur de voitures anciennes" et, à partir de septembre 2017, sur un "tôlier spécialiste en restauration de voitures anciennes") aux Etats de l'UE/AELE par le biais du portail EURES (cf. le document intitulé "Preuves de recherches intensives d'un spécialiste tôlier/formeur depuis 2007" ayant été joint, sous annexe 2, au dossier de pièces complémentaires qu'elle avait produit à l'appui de son recours du 30 septembre 2015 au Tribunal cantonal, document dans lequel elle avait clairement fait la distinction entre les recherches des ORP qui avaient été menées exclusivement en Suisse et celles qui avaient été effectuées à la fois en Suisse et dans les Etats de l'UE/AELE; cf. également les confirmations d'inscription de ses offres d'emploi auprès des ORP du 1er février 2012 et de novembre 2014, qui ne font état d'aucune publication dans le portail EURES, alors que celles de septembre 2015, de janvier 2016, de septembre 2017 et d'avril 2018 font état d'une telle publication).

La société recourante a également fait valoir qu'elle avait fait paraître, en date du 1er octobre 2010, une offre d'emploi dans les colonnes du quotidien "24 Heures" en vue de recruter un spécialiste de la restauration de voitures anciennes et de collection, offre d'emploi qu'elle n'a jamais versée en cause. Or, ainsi qu'il appert de l'une des deux lettres de candidature qui lui avaient été adressées en réponse à cette offre d'emploi, l'offre publiée portait sur un emploi de "tôlier" en carrosserie, et non de spécialiste en restauration de voitures anciennes et de collection (cf. le dossier de pièces complémentaires du 30 septembre 2015, annexe 3).

En outre, la société recourante n'a jamais fait état d'offres d'emploi qu'elle aurait fait paraître dans la presse spécialisée en matière de restauration de voitures anciennes et de collection avant le dépôt de ses demandes de prise d'emploi des 24 février 2014 et 17 juin 2015, en vue d'optimiser ses chances de parvenir à recruter un candidat adéquat provenant de la Suisse ou des Etats de l'UE/AELE, en particulier des principaux pays européens producteurs de véhicules automobiles (qui sont notamment l'Allemagne, l'Espagne, la France, le Royaume-Uni, l'Italie, la République tchèque, la Slovaquie, la Pologne, la Roumanie et la Hongrie; cf. Association des Constructeurs Européens d'Automobiles [ACEA] ou European Automobile Manufacturers' Association, The Automobile Industry Pocket Guide 2019/2020, en ligne sur son site: www.acea.be > Publications > ACEA Pocket Guide 2019/2020, p. 14 et 20).

Force est dès lors de conclure que la société recourante n'a pas accompli, en temps opportun (à savoir avant d'engager X._______ à la fin de l'année 2010), la moindre démarche - notamment auprès des ORP, dans des quotidiens et dans la presse spécialisée - en vue de recruter, en Suisse et dans les Etats de l'UE/AELE, un carrossier-tôlier spécialisé dans la restauration de voitures anciennes et de collection.

Quant aux recherches qu'elle a entreprises après avoir engagé X._______ (soit à partir de l'année 2011) en vue de recruter un tel spécialiste, elles sont assurément minimes, puisqu'elles se sont pratiquement limitées à faire publier par l'entremise des ORP, postérieurement aux demandes de prise d'emploi qu'elle avait déposées les 24 février 2014 et 17 juin 2015 en faveur du prénommé, une seule offre d'emploi par année portant sur un poste de carrossier-tôlier spécialisé dans la restauration de voitures anciennes, recherches qui - de surcroît - n'ont été étendues aux Etats de l'UE/AELE que postérieurement au dépôt de la seconde demande de prise d'emploi. On relèvera en outre que les deux dernières offres d'emploi qu'elle a fait publier par l'entremise des ORP (celles de septembre 2017 et d'avril 2018) exigeaient impérativement (en sus d'une formation de base de carrossier-tôlier) "au minimum dix ans" d'expérience en qualité de "tôlier spécialiste confirmé en restauration de voitures anciennes", alors qu'il n'est nullement démontré que le prénommé aurait bénéficié de qualifications professionnelles équivalentes à son arrivée en Suisse (cf. consid. 5.2.2 à 5.2.4 supra).

Tout porte donc à penser que la société recourante, lorsqu'elle a engagé X._______ (au noir) comme "tôlier en carrosserie automobile" à la fin de l'année 2010, n'envisageait pas de recruter un spécialiste de la restauration de voitures anciennes et de collection (de voitures de collection de prestige, en particulier), mais souhaitait simplement faire face à une surcharge de travail momentanée, ainsi qu'elle l'a expliqué dans sa lettre du 27 février 2014 (cf. let. A.a supra). Il est également hautement probable, sur le vu des pièces du dossier, que la société recourante, conformément à ses obligations (cf. consid. 4.5.2 supra), ait alors dispensé à son employé une formation spécifique dans le domaine de la restauration de voitures de collection (cf. recours du 26 juillet 2017, p. 1 et 2, où l'associé-gérant de cette société, qui est lui-même au bénéfice d'une formation de carrossier-tôlier [avec maîtrise fédérale] et jouit de nombreuses années d'expérience en matière de restauration de voitures anciennes et de collection, s'est targué d'avoir déjà formé de nombreux apprentis et collaborateurs dans ce domaine), et qu'elle n'ait ensuite entamé des démarches en vue de recruter (en Suisse, puis dans les Etats de l'UE/AELE) un carrossier-tôlier spécialisé dans ce domaine que pour les besoins de la cause (à savoir dans le seul but d'étayer les demandes de prise d'emploi qu'elle avait présentées les 24 février 2014 et 17 juin 2015 en faveur du prénommé), en alignant au surplus les exigences requises pour le poste à repourvoir aux (nouvelles) qualifications acquises dans l'intervalle par son employé, dans le but de dissuader de potentiels candidats prioritaires de postuler.

5.3.3 De plus, et en tout état de cause, la société recourante a reconnu que, depuis le début de ses recherches en octobre 2007, une centaine de lettres de candidature spontanées (ou offres spontanées) lui avaient été adressées chaque année par des professionnels de la carrosserie automobile provenant de toute la Suisse et des pays de l'UE (surtout de la France, de l'Italie, du Portugal et de l'Espagne) et par des agences de placement spécialisées de Suisse romande et de Suisse alémanique (cf. recours du 26 juillet 2017, p. 3, et réplique du 25 janvier 2018, p. 8).

Environ 600 à 700 lettres de candidature spontanées (ou offres spontanées) sont donc parvenues à la société recourante avant le dépôt de ses demandes de prise d'emploi des 24 février 2014 et 17 juin 2015 en faveur de X._______, en sus des dossiers de candidature qui lui ont été transmis par les ORP. Or, dite société n'a versé en cause qu'une dizaine d'entre elles (cf. les offres spontanées jointes, sous annexe 3, à son dossier complémentaire du 30 septembre 2015 et, sous annexe 2, à sa détermination du 16 juin 2017 adressée au SEM).

5.4 En conclusion, force est de constater que la société recourante n'a pas démontré qu'elle se serait trouvée dans l'impossibilité de recruter un carrossier-tôlier indigène ou européen présentant le profil de X._______ à son arrivée en Suisse (tel que décrit aux consid. 5.2.2 à 5.2.4 supra) parmi les centaines de lettres de candidature spontanées qui lui sont parvenues avant le dépôt de ses demandes de prise d'emploi des 24 février 2014 et 17 juin 2015 en faveur du prénommé (cf. consid. 5.3.3 supra). En outre, il est patent que la société recourante n'a pas entrepris, en temps opportun (à savoir avant d'engager X._______ au noir à la fin de l'année 2010), ni même avant le dépôt de ses demandes de prise d'emploi en faveur du prénommé (soit tardivement), des démarches appropriées et suffisamment approfondies en vue de tenter de recruter, à la fois en Suisse et dans les Etats de l'UE/AELE, un carrossier-tôlier spécialisé dans la restauration de voitures anciennes et de collection (cf. consid. 5.3.2 supra).

Quoi qu'en dise la société recourante, les recherches qu'elle a effectuées à cette époque (voire même à ce jour) sont largement insuffisantes au regard de la jurisprudence en la matière, telle que concrétisée dans la directive du SEM. Le Tribunal de céans ne saurait en conséquence suivre la société recourante lorsque celle-ci invoque avoir fait tout son possible pour trouver des candidats sur le marché de l'emploi, indigène et européen.

A l'instar du Tribunal cantonal et de l'autorité inférieure, le Tribunal de céans n'entend pas minimiser les connaissances et le savoir-faire acquis par le prénommé avant son arrivée en Suisse et, également, après son arrivée en Suisse, grâce à la qualité de la formation dont il a selon toute vraisemblance pu bénéficier de la part de l'associé-gérant de la société recourante. Il ne peut toutefois que constater que la société recourante n'a pas respecté l'ordre de priorité prescrit par l'art. 21 al. 1
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 21 Priorità - 1 Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se è dimostrato che per tale attività non è possibile reperire un lavoratore indigeno o un cittadino di uno Stato con cui è stato concluso un accordo di libera circolazione delle persone che corrisponda al profilo richiesto.
1    Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se è dimostrato che per tale attività non è possibile reperire un lavoratore indigeno o un cittadino di uno Stato con cui è stato concluso un accordo di libera circolazione delle persone che corrisponda al profilo richiesto.
2    Sono considerati lavoratori indigeni:
a  i cittadini svizzeri;
b  i titolari di un permesso di domicilio;
c  i titolari di un permesso di dimora autorizzati a esercitare un'attività lucrativa;
d  le persone ammesse provvisoriamente;
e  le persone alle quali è stata concessa protezione provvisoria e che sono titolari di un permesso per l'esercizio di un'attività lucrativa.
3    In deroga al capoverso 1, lo straniero con diploma universitario svizzero può essere ammesso in Svizzera se la sua attività lucrativa riveste un elevato interesse scientifico o economico. È ammesso per un periodo di sei mesi a partire dalla conclusione della sua formazione o della sua formazione continua in Svizzera affinché possa trovare una siffatta attività lucrativa.30 31
LEtr.

Ainsi, point n'est besoin d'examiner si les autres conditions d'admission d'un étranger non ressortissant des Etats de l'UE/AELE en vue de l'exercice d'une activité lucrative (telles celles prévues par les art. 22
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 22 Condizioni di salario e di lavoro nonché rimborso delle spese dei lavoratori distaccati - 1 Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se:
1    Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se:
a  sono osservate le condizioni di lavoro e di salario usuali nella località, nella professione e nel settore; e se
b  i rimborsi di cui al capoverso 2 corrispondono a quelli usuali nella località, nella professione e nel settore.
2    Il datore di lavoro rimborsa ai lavoratori distaccati le spese in relazione al lavoro distaccato sostenute nell'ambito di una prestazione di servizi transfrontaliera o di un trasferimento per motivi aziendali, come quelle per il viaggio, il vitto e l'alloggio. Tali rimborsi non sono considerati componente del salario.
3    In caso di lavoro distaccato di lunga durata, il Consiglio federale può emanare disposizioni sulla durata dell'obbligo di rimborso di cui al capoverso 2.
et 23
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 23 Condizioni personali - 1 Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
1    Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
2    All'atto del rilascio del permesso di dimora occorre inoltre esaminare se la qualifica professionale, la capacità di adattamento professionale e sociale, le conoscenze linguistiche e l'età dell'interessato ne lascino presagire un'integrazione durevole nel mercato svizzero del lavoro e nel contesto sociopolitico.
3    In deroga ai capoversi 1 e 2, possono essere ammessi in Svizzera:
a  investitori e imprenditori che mantengono posti di lavoro o ne creano di nuovi;
b  persone riconosciute in ambito scientifico, culturale o sportivo;
c  persone con conoscenze o attitudini professionali specifiche, sempreché ne sia dimostrato il bisogno;
d  persone trasferite in Svizzera che fanno parte dei quadri di aziende attive sul piano internazionale;
e  persone la cui attività in Svizzera è indispensabile nel contesto di relazioni d'affari internazionali importanti dal punto di vista economico.
LEtr) sont (ou non) réalisées.

6.

6.1 Dans la mesure où la décision querellée apparaît conforme au droit (cf. art. 49
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 49 - Il ricorrente può far valere:
a  la violazione del diritto federale, compreso l'eccesso o l'abuso del potere di apprezzamento;
b  l'accertamento inesatto o incompleto di fatti giuridicamente rilevanti;
c  l'inadeguatezza; questa censura non è ammissibile quando un'autorità cantonale ha giudicato come autorità di ricorso.
PA), le recours doit être rejeté.

6.2 Vu l'issue de la cause, les frais de la procédure doivent être mis à la charge de la recourante, qui ne peut par ailleurs prétendre à l'octroi de dépens (cf. art. 63 al. 1
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 63 - 1 L'autorità di ricorso mette nel dispositivo le spese processuali, consistenti in una tassa di decisione nelle tasse di cancelleria e negli sborsi, di regola a carico della parte soccombente. Se questa soccombe solo parzialmente, le spese processuali sono ridotte. Per eccezione, si possono condonare le spese processuali.
1    L'autorità di ricorso mette nel dispositivo le spese processuali, consistenti in una tassa di decisione nelle tasse di cancelleria e negli sborsi, di regola a carico della parte soccombente. Se questa soccombe solo parzialmente, le spese processuali sono ridotte. Per eccezione, si possono condonare le spese processuali.
2    Nessuna spesa processuale è messa a carico dell'autorità inferiore ne delle autorità federali, che promuovano il ricorso e soccombano; se l'autorità ricorrente, che soccombe, non è un'autorità federale, le spese processuali le sono addossate in quanto la causa concerna interessi pecuniari di enti o d'istituti autonomi.
3    Alla parte vincente possono essere addossate solo le spese processuali che abbia cagionato violando le regole di procedura.
4    L'autorità di ricorso, il suo presidente o il giudice dell'istruzione esige dal ricorrente un anticipo equivalente alle presunte spese processuali. Stabilisce un congruo termine per il pagamento con la comminatoria che altrimenti non entrerà nel merito. Se sussistono motivi particolari, può rinunciare interamente o in parte a esigere l'anticipo.100
4bis    La tassa di decisione è stabilita in funzione dell'ampiezza e della difficoltà della causa, del modo di condotta processuale e della situazione finanziaria delle parti. Il suo importo oscilla:
a  da 100 a 5000 franchi nelle controversie senza interesse pecuniario;
b  da 100 a 50 000 franchi nelle altre controversie.101
5    Il Consiglio federale disciplina i dettagli relativi alla determinazione delle tasse.102 Sono fatti salvi l'articolo 16 capoverso 1 lettera a della legge del 17 giugno 2005103 sul Tribunale amministrativo federale e l'articolo 73 della legge del 19 marzo 2010104 sull'organizzazione delle autorità penali.105
1ère phrase et art. 64 al. 1 a
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 64 - 1 L'autorità di ricorso, se ammette il ricorso in tutto o in parte, può, d'ufficio o a domanda, assegnare al ricorrente una indennità per le spese indispensabili e relativamente elevate che ha sopportato.
1    L'autorità di ricorso, se ammette il ricorso in tutto o in parte, può, d'ufficio o a domanda, assegnare al ricorrente una indennità per le spese indispensabili e relativamente elevate che ha sopportato.
2    Il dispositivo indica l'ammontare dell'indennità e l'addossa all'ente o all'istituto autonomo, nel cui nome l'autorità inferiore ha deciso, in quanto non possa essere messa a carico di una controparte soccombente.
3    Se una controparte soccombente ha presentato conclusioni indipendenti, l'indennità può essere messa a suo carico, secondo la propria solvenza.
4    L'ente o l'istituto autonomo, nel cui nome l'autorità inferiore ha deciso, risponde dell'indennità addossata a una controparte soccombente, in quanto non possa essere riscossa.
5    Il Consiglio federale disciplina la determinazione delle spese ripetibili.106 Sono fatti salvi l'articolo 16 capoverso 1 lettera a della legge del 17 giugno 2005107 sul Tribunale amministrativo federale e l'articolo 73 della legge del 19 marzo 2010108 sull'organizzazione delle autorità penali.109
contrario PA, en relation avec l'art. 7 al. 1 a
SR 173.320.2 Regolamento del 21 febbraio 2008 sulle tasse e sulle spese ripetibili nelle cause dinanzi al Tribunale amministrativo federale (TS-TAF)
TS-TAF Art. 7 Principio - 1 La parte vincente ha diritto alle ripetibili per le spese necessarie derivanti dalla causa.
1    La parte vincente ha diritto alle ripetibili per le spese necessarie derivanti dalla causa.
2    Se la parte vince solo parzialmente, le spese ripetibili sono ridotte in proporzione.
3    Le autorità federali e, di regola, le altre autorità con qualità di parte non hanno diritto a un'indennità a titolo di ripetibili.
4    Se le spese sono relativamente modeste, si può rinunciare a concedere alla parte un'indennità a titolo di ripetibili.
5    L'articolo 6a è applicabile per analogia.7
contrario du règlement du 21 février 2008 concernant les frais, dépens et indemnités fixés par le Tribunal administratif fédéral [FITAF, RS 173.320.2]).

(dispositif page suivante)

Par ces motifs, le Tribunal administratif fédéral prononce :

1.
Le recours est rejeté.

2.
Les frais de procédure, d'un montant de 1'300 francs, sont mis à la charge de la recourante. Ils sont prélevés sur l'avance de frais du même montant versée le 11 septembre 2017 par l'intéressée.

3.

Il n'est pas alloué de dépens.

4.
Le présent arrêt est adressé :

- à la recourante (Recommandé);

- à l'autorité inférieure, avec dossier SYMIC ... en retour;

- en copie au Service de la population du canton de Vaud (Recommandé; annexe: dossier cantonal en retour), pour suite utile (s'agissant des demandes d'autorisations de séjour fondées sur l'art. 30 al. 1 let. b
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 30 - 1 È possibile derogare alle condizioni d'ammissione (art. 18-29) al fine di:
1    È possibile derogare alle condizioni d'ammissione (art. 18-29) al fine di:
a  disciplinare l'attività lucrativa degli stranieri ammessi in Svizzera nel quadro del ricongiungimento familiare, purché non sussista un diritto ad esercitare un'attività lucrativa (art. 46);
b  tenere conto dei casi personali particolarmente gravi o di importanti interessi pubblici;
c  disciplinare il soggiorno dei minori affiliati;
d  proteggere le persone particolarmente esposte al pericolo di sfruttamento nel contesto della loro attività lucrativa;
e  disciplinare il soggiorno delle vittime e dei testimoni della tratta di esseri umani, nonché delle persone che collaborano con le autorità di perseguimento penale nell'ambito di un programma di protezione dei testimoni svizzero, estero o di un tribunale penale internazionale;
f  consentire soggiorni nel quadro di programmi di aiuto e di sviluppo in materia di cooperazione economica e tecnica;
g  agevolare gli scambi internazionali nel settore economico, scientifico e culturale, nonché la formazione professionale e la formazione professionale continua;
h  semplificare il trasferimento, per motivi aziendali, di quadri superiori e specialisti indispensabili in imprese che operano su scala internazionale;
i  ...
j  consentire soggiorni di formazione continua in Svizzera a impiegati alla pari collocati da un'organizzazione riconosciuta;
k  agevolare la riammissione degli stranieri ex titolari di un permesso di dimora o di domicilio;
l  disciplinare l'attività lucrativa e la partecipazione a programmi occupazionali da parte di richiedenti l'asilo (art. 43 della L del 26 giu. 199845 sull'asilo, LAsi), stranieri ammessi provvisoriamente (art. 85) e persone bisognose di protezione (art. 75 LAsi).
2    Il Consiglio federale stabilisce le condizioni generali e disciplina la procedura.
LEtr ayant été présentées par X._______ et sa famille).

Le président du collège : La greffière :

Yannick Antoniazza-Hafner Claudine Schenk

Expédition :
Informazioni decisione   •   DEFRITEN
Documento : F-4226/2017
Data : 08. ottobre 2019
Pubblicato : 04. novembre 2019
Sorgente : Tribunale amministrativo federale
Stato : Inedito
Ramo giuridico : Cittadinanza e diritto degli stranieri
Oggetto : Refus d'approbation d'une décision préalable de l'autorité cantonale du marché du travail


Registro di legislazione
CE: Ac libera circ.: 17 
IR 0.142.112.681 Accordo del 21 giugno 1999 tra la Confederazione Svizzera, da una parte, e la Comunità europea ed i suoi Stati membri, dall'altra, sulla libera circolazione delle persone (con allegati, protocolli e atto finale)
ALC Art. 17 Evoluzione del diritto - (1) Non appena una parte contraente avvia il processo d'adozione di un progetto di modifica della propria normativa interna, o non appena sopravvenga un cambiamento nella giurisprudenza degli organi le cui decisioni non sono soggette a un ricorso giurisdizionale di diritto interno in un settore disciplinato dal presente Accordo, la parte contraente in questione ne informa l'altra attraverso il Comitato misto.
19
IR 0.142.112.681 Accordo del 21 giugno 1999 tra la Confederazione Svizzera, da una parte, e la Comunità europea ed i suoi Stati membri, dall'altra, sulla libera circolazione delle persone (con allegati, protocolli e atto finale)
ALC Art. 19 Composizione delle controversie - (1) Le parti contraenti possono rivolgersi al Comitato misto per qualsiasi controversia relativa all'interpretazione o all'applicazione del presente Accordo.
LStr: 17 
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 17 Regolamentazione del soggiorno fino alla decisione relativa al permesso - 1 Lo straniero entrato legalmente in Svizzera in vista di un soggiorno temporaneo, ma che in seguito richiede un permesso per un soggiorno duraturo, deve attendere la decisione all'estero.
1    Lo straniero entrato legalmente in Svizzera in vista di un soggiorno temporaneo, ma che in seguito richiede un permesso per un soggiorno duraturo, deve attendere la decisione all'estero.
2    Se è manifesto che le condizioni d'ammissione saranno adempite, l'autorità cantonale competente può autorizzare lo straniero a rimanere in Svizzera durante la procedura.
18 
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 18 Esercizio di un'attività lucrativa dipendente - Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa dipendente se:
a  l'ammissione è nell'interesse dell'economia svizzera;
b  un datore di lavoro ne ha fatto domanda; e
c  sono adempite le condizioni di cui agli articoli 20-25.
20 
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 20 Misure limitative - 1 Il Consiglio federale può limitare il numero dei primi permessi di soggiorno di breve durata e di dimora (art. 32 e 33) per l'esercizio di un'attività lucrativa. Esso consulta preventivamente i Cantoni e le parti sociali.
1    Il Consiglio federale può limitare il numero dei primi permessi di soggiorno di breve durata e di dimora (art. 32 e 33) per l'esercizio di un'attività lucrativa. Esso consulta preventivamente i Cantoni e le parti sociali.
2    Il Consiglio federale può stabilire contingenti massimi per la Confederazione e i Cantoni.
3    La SEM può emanare decisioni per primi permessi di soggiorno di breve durata e di dimora computandoli sui contingenti federali oppure aumentare i contingenti cantonali. Essa tiene conto dei bisogni dei Cantoni e dell'interesse dell'economia svizzera.
21 
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 21 Priorità - 1 Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se è dimostrato che per tale attività non è possibile reperire un lavoratore indigeno o un cittadino di uno Stato con cui è stato concluso un accordo di libera circolazione delle persone che corrisponda al profilo richiesto.
1    Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se è dimostrato che per tale attività non è possibile reperire un lavoratore indigeno o un cittadino di uno Stato con cui è stato concluso un accordo di libera circolazione delle persone che corrisponda al profilo richiesto.
2    Sono considerati lavoratori indigeni:
a  i cittadini svizzeri;
b  i titolari di un permesso di domicilio;
c  i titolari di un permesso di dimora autorizzati a esercitare un'attività lucrativa;
d  le persone ammesse provvisoriamente;
e  le persone alle quali è stata concessa protezione provvisoria e che sono titolari di un permesso per l'esercizio di un'attività lucrativa.
3    In deroga al capoverso 1, lo straniero con diploma universitario svizzero può essere ammesso in Svizzera se la sua attività lucrativa riveste un elevato interesse scientifico o economico. È ammesso per un periodo di sei mesi a partire dalla conclusione della sua formazione o della sua formazione continua in Svizzera affinché possa trovare una siffatta attività lucrativa.30 31
22 
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 22 Condizioni di salario e di lavoro nonché rimborso delle spese dei lavoratori distaccati - 1 Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se:
1    Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se:
a  sono osservate le condizioni di lavoro e di salario usuali nella località, nella professione e nel settore; e se
b  i rimborsi di cui al capoverso 2 corrispondono a quelli usuali nella località, nella professione e nel settore.
2    Il datore di lavoro rimborsa ai lavoratori distaccati le spese in relazione al lavoro distaccato sostenute nell'ambito di una prestazione di servizi transfrontaliera o di un trasferimento per motivi aziendali, come quelle per il viaggio, il vitto e l'alloggio. Tali rimborsi non sono considerati componente del salario.
3    In caso di lavoro distaccato di lunga durata, il Consiglio federale può emanare disposizioni sulla durata dell'obbligo di rimborso di cui al capoverso 2.
23 
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 23 Condizioni personali - 1 Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
1    Il permesso di soggiorno di breve durata o di dimora per esercitare un'attività lucrativa può essere rilasciato solo a quadri, specialisti e altri lavoratori qualificati.
2    All'atto del rilascio del permesso di dimora occorre inoltre esaminare se la qualifica professionale, la capacità di adattamento professionale e sociale, le conoscenze linguistiche e l'età dell'interessato ne lascino presagire un'integrazione durevole nel mercato svizzero del lavoro e nel contesto sociopolitico.
3    In deroga ai capoversi 1 e 2, possono essere ammessi in Svizzera:
a  investitori e imprenditori che mantengono posti di lavoro o ne creano di nuovi;
b  persone riconosciute in ambito scientifico, culturale o sportivo;
c  persone con conoscenze o attitudini professionali specifiche, sempreché ne sia dimostrato il bisogno;
d  persone trasferite in Svizzera che fanno parte dei quadri di aziende attive sul piano internazionale;
e  persone la cui attività in Svizzera è indispensabile nel contesto di relazioni d'affari internazionali importanti dal punto di vista economico.
24 
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 24 Abitazione - Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa unicamente se dispone di un'abitazione conforme ai suoi bisogni.
25 
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 25 Ammissione di frontalieri - 1 Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa come frontaliero unicamente se:
1    Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per esercitare un'attività lucrativa come frontaliero unicamente se:
a  fruisce di un diritto di soggiorno duraturo in uno Stato limitrofo e il suo luogo di residenza si trova da almeno sei mesi nella vicina zona di frontiera; e
b  lavora in Svizzera entro la zona di frontiera.
2    Gli articoli 20, 23 e 24 non sono applicabili.
29 
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 29 Cure mediche - Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per ricevere cure mediche. Il finanziamento e la partenza dalla Svizzera devono essere garantiti.
30 
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 30 - 1 È possibile derogare alle condizioni d'ammissione (art. 18-29) al fine di:
1    È possibile derogare alle condizioni d'ammissione (art. 18-29) al fine di:
a  disciplinare l'attività lucrativa degli stranieri ammessi in Svizzera nel quadro del ricongiungimento familiare, purché non sussista un diritto ad esercitare un'attività lucrativa (art. 46);
b  tenere conto dei casi personali particolarmente gravi o di importanti interessi pubblici;
c  disciplinare il soggiorno dei minori affiliati;
d  proteggere le persone particolarmente esposte al pericolo di sfruttamento nel contesto della loro attività lucrativa;
e  disciplinare il soggiorno delle vittime e dei testimoni della tratta di esseri umani, nonché delle persone che collaborano con le autorità di perseguimento penale nell'ambito di un programma di protezione dei testimoni svizzero, estero o di un tribunale penale internazionale;
f  consentire soggiorni nel quadro di programmi di aiuto e di sviluppo in materia di cooperazione economica e tecnica;
g  agevolare gli scambi internazionali nel settore economico, scientifico e culturale, nonché la formazione professionale e la formazione professionale continua;
h  semplificare il trasferimento, per motivi aziendali, di quadri superiori e specialisti indispensabili in imprese che operano su scala internazionale;
i  ...
j  consentire soggiorni di formazione continua in Svizzera a impiegati alla pari collocati da un'organizzazione riconosciuta;
k  agevolare la riammissione degli stranieri ex titolari di un permesso di dimora o di domicilio;
l  disciplinare l'attività lucrativa e la partecipazione a programmi occupazionali da parte di richiedenti l'asilo (art. 43 della L del 26 giu. 199845 sull'asilo, LAsi), stranieri ammessi provvisoriamente (art. 85) e persone bisognose di protezione (art. 75 LAsi).
2    Il Consiglio federale stabilisce le condizioni generali e disciplina la procedura.
32 
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 32 Permesso di soggiorno di breve durata - 1 Per soggiorni di un anno al massimo è rilasciato un permesso di breve durata.
1    Per soggiorni di un anno al massimo è rilasciato un permesso di breve durata.
2    Esso è rilasciato per un determinato scopo di soggiorno e può essere vincolato a ulteriori condizioni.
3    Può essere prorogato fino a due anni. Il cambiamento d'impiego è possibile solo per motivi gravi.
4    Un nuovo permesso di breve durata può essere rilasciato solo dopo un'adeguata interruzione del soggiorno in Svizzera.
33 
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 33 Permesso di dimora - 1 Per soggiorni di oltre un anno è rilasciato un permesso di dimora.
1    Per soggiorni di oltre un anno è rilasciato un permesso di dimora.
2    Il permesso di dimora è rilasciato per un determinato scopo di soggiorno e può essere vincolato a ulteriori condizioni.
3    È di durata limitata e può essere prorogato se non vi sono motivi di revoca secondo l'articolo 62 capoverso 151.
4    In caso di rilascio e di proroga del permesso di dimora, la durata di validità del permesso è determinata prendendo in considerazione l'integrazione dello straniero.52
5    Il rilascio e la proroga del permesso di dimora possono essere vincolati alla conclusione di un accordo d'integrazione se, alla luce dei criteri di cui all'articolo 58a, vi è un bisogno d'integrazione particolare.53
40 
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 40 Autorità competenti per il rilascio dei permessi e decisione preliminare delle autorità preposte al mercato del lavoro - 1 I permessi di cui agli articoli 32-35 e 37-39 sono rilasciati dai Cantoni. È fatta salva la competenza dell'autorità federale nel contesto di misure limitative (art. 20) e di deroghe alle condizioni d'ammissione (art. 30) e alla procedura d'approvazione (art. 99).
1    I permessi di cui agli articoli 32-35 e 37-39 sono rilasciati dai Cantoni. È fatta salva la competenza dell'autorità federale nel contesto di misure limitative (art. 20) e di deroghe alle condizioni d'ammissione (art. 30) e alla procedura d'approvazione (art. 99).
2    Se non sussiste un diritto all'esercizio di un'attività lucrativa, è necessaria una decisione preliminare delle autorità cantonali preposte al mercato del lavoro per ammettere l'esercizio di un'attività lucrativa, il cambiamento d'impiego o il passaggio a un'attività indipendente.
3    Se un Cantone chiede il rilascio di un permesso di soggiorno di breve durata o di dimora computato sui contingenti della Confederazione, la decisione preliminare è emanata dalla SEM.
99
SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI)
LStrI Art. 99 Procedura d'approvazione - 1 Il Consiglio federale determina i casi in cui i permessi di soggiorno di breve durata, di dimora e di domicilio nonché le decisioni preliminari delle autorità cantonali preposte al mercato del lavoro sono soggetti all'approvazione della SEM.
1    Il Consiglio federale determina i casi in cui i permessi di soggiorno di breve durata, di dimora e di domicilio nonché le decisioni preliminari delle autorità cantonali preposte al mercato del lavoro sono soggetti all'approvazione della SEM.
2    La SEM può rifiutare di approvare la decisione di un'autorità amministrativa cantonale o di un'autorità cantonale di ricorso, limitarne la durata di validità oppure vincolarla a condizioni e oneri.
LTAF: 1 
SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF)
LTAF Art. 1 Principio - 1 Il Tribunale amministrativo federale è il tribunale amministrativo generale della Confederazione.
1    Il Tribunale amministrativo federale è il tribunale amministrativo generale della Confederazione.
2    In quanto la legge non escluda il ricorso al Tribunale federale, il Tribunale amministrativo federale giudica quale autorità di grado precedente.
3    È dotato di 50-70 posti di giudice.
4    L'Assemblea federale stabilisce il numero dei posti di giudice mediante ordinanza.
5    Per far fronte a un afflusso straordinario di nuove pratiche, l'Assemblea federale può di volta in volta autorizzare, per due anni al massimo, posti supplementari di giudice.
31 
SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF)
LTAF Art. 31 Principio - Il Tribunale amministrativo federale giudica i ricorsi contro le decisioni ai sensi dell'articolo 5 della legge federale del 20 dicembre 196819 sulla procedura amministrativa (PA).
32 
SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF)
LTAF Art. 32 Eccezioni - 1 Il ricorso è inammissibile contro:
1    Il ricorso è inammissibile contro:
a  le decisioni in materia di sicurezza interna o esterna del Paese, neutralità, protezione diplomatica e altri affari esteri, in quanto il diritto internazionale pubblico non conferisca un diritto al giudizio da parte di un tribunale;
b  le decisioni in materia di diritto di voto dei cittadini nonché di elezioni e votazioni popolari;
c  le decisioni in materia di salario al merito del personale federale, in quanto non concernano la parità dei sessi;
d  ...
e  le decisioni nel settore dell'energia nucleare concernenti:
e1  le autorizzazioni di massima per impianti nucleari,
e2  l'approvazione del programma di smaltimento,
e3  la chiusura di depositi geologici in profondità,
e4  la prova dello smaltimento;
f  le decisioni in materia di rilascio o estensione di concessioni di infrastrutture ferroviarie;
g  le decisioni dell'autorità indipendente di ricorso in materia radiotelevisiva;
h  le decisioni in materia di rilascio di concessioni per case da gioco;
i  le decisioni in materia di rilascio, modifica o rinnovo della concessione della Società svizzera di radiotelevisione (SSR);
j  le decisioni in materia di diritto ai sussidi di una scuola universitaria o di un altro istituto accademico.
2    Il ricorso è inoltre inammissibile contro:
a  le decisioni che, in virtù di un'altra legge federale, possono essere impugnate mediante opposizione o ricorso dinanzi a un'autorità ai sensi dell'articolo 33 lettere c-f;
b  le decisioni che, in virtù di un'altra legge federale, possono essere impugnate mediante ricorso dinanzi a un'autorità cantonale.
33 
SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF)
LTAF Art. 33 Autorità inferiori - Il ricorso è ammissibile contro le decisioni:
a  del Consiglio federale e degli organi dell'Assemblea federale in materia di rapporti di lavoro del personale federale, compreso il rifiuto dell'autorizzazione a procedere penalmente;
b  del Consiglio federale concernenti:
b1  la destituzione di un membro del Consiglio della banca o della direzione generale o di un loro supplente secondo la legge del 3 ottobre 200325 sulla Banca nazionale,
b10  la revoca di un membro del consiglio d'amministrazione del Servizio svizzero di assegnazione delle tracce o l'approvazione della risoluzione del rapporto di lavoro del direttore da parte del consiglio d'amministrazione secondo la legge federale del 20 dicembre 195743 sulle ferrovie;
b2  la revoca di un membro del consiglio di amministrazione dell'Autorità federale di vigilanza sui mercati finanziari o l'approvazione dello scioglimento del rapporto di lavoro del direttore da parte del consiglio di amministrazione secondo la legge del 22 giugno 200726 sulla vigilanza dei mercati finanziari,
b3  il blocco di valori patrimoniali secondo la legge del 18 dicembre 201528 sui valori patrimoniali di provenienza illecita,
b4  il divieto di determinate attività secondo la LAIn30,
b4bis  il divieto di organizzazioni secondo la LAIn,
b5  la revoca di un membro del Consiglio d'istituto dell'Istituto federale di metrologia secondo la legge federale del 17 giugno 201133 sull'Istituto federale di metrologia,
b6  la revoca di un membro del consiglio di amministrazione dell'Autorità federale di sorveglianza dei revisori o l'approvazione dello scioglimento del rapporto di lavoro del direttore da parte del consiglio di amministrazione secondo la legge del 16 dicembre 200535 sui revisori,
b7  la revoca di un membro del Consiglio dell'Istituto svizzero per gli agenti terapeutici secondo la legge del 15 dicembre 200037 sugli agenti terapeutici,
b8  la revoca di un membro del consiglio di amministrazione dell'istituto secondo la legge del 16 giugno 201739 sui fondi di compensazione,
b9  la revoca di un membro del consiglio d'Istituto dell'Istituto svizzero di diritto comparato secondo la legge federale del 28 settembre 201841 sull'Istituto svizzero di diritto comparato,
c  del Tribunale penale federale in materia di rapporti di lavoro dei suoi giudici e del suo personale;
cbis  del Tribunale federale dei brevetti in materia di rapporti di lavoro dei suoi giudici e del suo personale;
cquater  del procuratore generale della Confederazione in materia di rapporti di lavoro dei procuratori pubblici federali da lui nominati e del personale del Ministero pubblico della Confederazione;
cquinquies  dell'autorità di vigilanza sul Ministero pubblico della Confederazione in materia di rapporti di lavoro del personale della sua segreteria;
cter  dell'autorità di vigilanza sul Ministero pubblico della Confederazione in materia di rapporti di lavoro dei membri del Ministero pubblico della Confederazione eletti dall'Assemblea federale plenaria;
d  della Cancelleria federale, dei dipartimenti e dei servizi dell'Amministrazione federale loro subordinati o aggregati amministrativamente;
e  degli stabilimenti e delle aziende della Confederazione;
f  delle commissioni federali;
g  dei tribunali arbitrali costituiti in virtù di contratti di diritto pubblico sottoscritti dalla Confederazione, dai suoi stabilimenti o dalle sue aziende;
h  delle autorità o organizzazioni indipendenti dall'Amministrazione federale che decidono nell'adempimento di compiti di diritto pubblico loro affidati dalla Confederazione;
i  delle autorità cantonali, in quanto una legge federale preveda che le loro decisioni sono impugnabili mediante ricorso dinanzi al Tribunale amministrativo federale.
37
SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF)
LTAF Art. 37 Principio - La procedura dinanzi al Tribunale amministrativo federale è retta dalla PA56, in quanto la presente legge non disponga altrimenti.
LTF: 83
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria
LTF Art. 83 Eccezioni - Il ricorso è inammissibile contro:
a  le decisioni in materia di sicurezza interna o esterna del Paese, neutralità, protezione diplomatica e altri affari esteri, in quanto il diritto internazionale non conferisca un diritto al giudizio da parte di un tribunale;
b  le decisioni in materia di naturalizzazione ordinaria;
c  le decisioni in materia di diritto degli stranieri concernenti:
c1  l'entrata in Svizzera,
c2  i permessi o autorizzazioni al cui ottenimento né il diritto federale né il diritto internazionale conferiscono un diritto,
c3  l'ammissione provvisoria,
c4  l'espulsione fondata sull'articolo 121 capoverso 2 della Costituzione federale e l'allontanamento,
c5  le deroghe alle condizioni d'ammissione,
c6  la proroga del permesso per frontalieri, il cambiamento di Cantone, il cambiamento d'impiego del titolare di un permesso per frontalieri, nonché il rilascio di documenti di viaggio a stranieri privi di documenti;
d  le decisioni in materia d'asilo pronunciate:
d1  dal Tribunale amministrativo federale, salvo quelle che concernono persone contro le quali è pendente una domanda d'estradizione presentata dallo Stato che hanno abbandonato in cerca di protezione,
d2  da un'autorità cantonale inferiore e concernenti un permesso o un'autorizzazione al cui ottenimento né il diritto federale né il diritto internazionale conferiscono un diritto;
e  le decisioni concernenti il rifiuto dell'autorizzazione a procedere penalmente contro membri di autorità o contro agenti della Confederazione;
f  le decisioni in materia di appalti pubblici se:
fbis  le decisioni del Tribunale amministrativo federale concernenti decisioni secondo l'articolo 32i della legge del 20 marzo 200963 sul trasporto di viaggiatori;
f1  non si pone alcuna questione di diritto d'importanza fondamentale; sono fatti salvi i ricorsi contro gli appalti del Tribunale amministrativo federale, del Tribunale penale federale, del Tribunale federale dei brevetti, del Ministero pubblico della Confederazione e delle autorità giudiziarie cantonali superiori, o
f2  il valore stimato della commessa non raggiunge il valore soglia determinante secondo l'articolo 52 capoverso 1 in combinato disposto con l'allegato 4 numero 2 della legge federale del 21 giugno 201961 sugli appalti pubblici;
g  le decisioni in materia di rapporti di lavoro di diritto pubblico, in quanto concernano una controversia non patrimoniale, ma non la parità dei sessi;
h  le decisioni concernenti l'assistenza amministrativa internazionale, eccettuata l'assistenza amministrativa in materia fiscale;
i  le decisioni in materia di servizio militare, civile o di protezione civile;
j  le decisioni in materia di approvvigionamento economico del Paese adottate in situazioni di grave penuria;
k  le decisioni concernenti i sussidi al cui ottenimento la legislazione non conferisce un diritto;
l  le decisioni concernenti l'imposizione di dazi operata in base alla classificazione tariffaria o al peso delle merci;
m  le decisioni concernenti il condono o la dilazione del pagamento di tributi; in deroga alla presente disposizione, il ricorso è ammissibile contro le decisioni concernenti il condono dell'imposta federale diretta o dell'imposta cantonale o comunale sul reddito e sull'utile se concerne una questione di diritto di importanza fondamentale o se si tratta per altri motivi di un caso particolarmente importante;
n  le decisioni in materia di energia nucleare concernenti:
n1  l'esigenza di un nulla osta o la modifica di un'autorizzazione o di una decisione,
n2  l'approvazione di un piano d'accantonamenti per le spese di smaltimento antecedenti lo spegnimento di un impianto nucleare,
n3  i nulla osta;
o  le decisioni in materia di circolazione stradale concernenti l'omologazione del tipo di veicoli;
p  le decisioni del Tribunale amministrativo federale in materia di traffico delle telecomunicazioni, radiotelevisione e poste concernenti:68
p1  concessioni oggetto di una pubblica gara,
p2  controversie secondo l'articolo 11a della legge del 30 aprile 199769 sulle telecomunicazioni;
p3  controversie secondo l'articolo 8 della legge del 17 dicembre 201071 sulle poste;
q  le decisioni in materia di medicina dei trapianti concernenti:
q1  l'iscrizione nella lista d'attesa,
q2  l'attribuzione di organi;
r  le decisioni in materia di assicurazione malattie pronunciate dal Tribunale amministrativo federale in virtù dell'articolo 3472 della legge del 17 giugno 200573 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF);
s  le decisioni in materia di agricoltura concernenti:
s1  ...
s2  la delimitazione delle zone nell'ambito del catasto della produzione;
t  le decisioni concernenti l'esito di esami e di altre valutazioni della capacità, segnatamente nei settori della scuola, della formazione continua e dell'esercizio della professione;
u  le decisioni in materia di offerte pubbliche di acquisto (art. 125-141 della L del 19 giu. 201577 sull'infrastruttura finanziaria);
v  le decisioni del Tribunale amministrativo federale concernenti divergenze d'opinione tra autorità in materia di assistenza amministrativa o giudiziaria a livello nazionale;
w  le decisioni in materia di diritto dell'elettricità concernenti l'approvazione dei piani di impianti elettrici a corrente forte e di impianti elettrici a corrente debole e l'espropriazione dei diritti necessari per la costruzione o l'esercizio di siffatti impianti, se non si pone alcuna questione di diritto d'importanza fondamentale;
x  le decisioni concernenti la concessione di contributi di solidarietà ai sensi della legge federale del 30 settembre 201681 sulle misure coercitive a scopo assistenziale e i collocamenti extrafamiliari prima del 1981, tranne se si pone una questione di diritto di importanza fondamentale o si tratta di un caso particolarmente importante per altri motivi;
y  le decisioni pronunciate dal Tribunale amministrativo federale nelle procedure amichevoli per evitare un'imposizione non conforme alla convenzione internazionale applicabile in ambito fiscale;
z  le decisioni concernenti le autorizzazioni edilizie di impianti eolici d'interesse nazionale secondo l'articolo 71c capoverso 1 lettera b della legge federale del 30 settembre 201684 sull'energia e le autorizzazioni di competenza cantonale a esse necessariamente connesse, se non si pone alcuna questione di diritto d'importanza fondamentale.
OASA: 19 
SR 142.201 Ordinanza del 24 ottobre 2007 sull'ammissione, il soggiorno e l'attività lucrativa (OASA)
OASA Art. 19 - 1 I Cantoni possono rilasciare permessi di soggiorno di breve durata agli stranieri che non rientrano nel campo d'applicazione dell'accordo del 21 giugno 199924 tra la Confederazione Svizzera, da una parte, e la Comunità europea ed i suoi Stati membri, dall'altra, sulla libera circolazione delle persone (ALC) e della Convenzione del 4 gennaio 196025 istitutiva dell'Associazione europea di libero scambio (Convenzione AELS), computandoli sui contingenti giusta l'allegato 1 numero 1 lettera a.26
1    I Cantoni possono rilasciare permessi di soggiorno di breve durata agli stranieri che non rientrano nel campo d'applicazione dell'accordo del 21 giugno 199924 tra la Confederazione Svizzera, da una parte, e la Comunità europea ed i suoi Stati membri, dall'altra, sulla libera circolazione delle persone (ALC) e della Convenzione del 4 gennaio 196025 istitutiva dell'Associazione europea di libero scambio (Convenzione AELS), computandoli sui contingenti giusta l'allegato 1 numero 1 lettera a.26
2    Il contingente a disposizione della Confederazione figura nell'allegato 1 numero 1 lettera b. Tale contingente serve a compensare le necessità economiche e del mercato del lavoro fra i Cantoni.
3    Su domanda, la SEM può ripartire fra i Cantoni il contingente a disposizione della Confederazione. Allo scopo considera le necessità dei Cantoni e l'interesse economico globale durante il periodo di contingentamento definito nell'allegato 1.
4    Sono esclusi dai contingenti di cui ai capoversi 1 e 2 gli stranieri che:
a  in un arco di tempo di 12 mesi esercitano un'attività lucrativa in Svizzera per complessivi quattro mesi, a condizione che:
a1  la durata e lo scopo del soggiorno siano definiti in anticipo, e
a2  il numero degli stranieri occupati temporaneamente superi soltanto in casi eccezionali e motivati il quarto dell'effettivo totale del personale dell'azienda;
b  soggiornano in Svizzera per otto mesi al massimo in un arco di tempo di 12 mesi ed esercitano un'attività lucrativa come artisti nei settori della musica, della letteratura, dello spettacolo o delle arti figurative o come artisti di circo o di teatro di varietà.
20 
SR 142.201 Ordinanza del 24 ottobre 2007 sull'ammissione, il soggiorno e l'attività lucrativa (OASA)
OASA Art. 20 - 1 I Cantoni possono rilasciare permessi di dimora agli stranieri che non rientrano nel campo d'applicazione dell'ALC36 o della Convenzione AELS37 computandoli sui contingenti giusta l'allegato 2 numero 1 lettera a.38
1    I Cantoni possono rilasciare permessi di dimora agli stranieri che non rientrano nel campo d'applicazione dell'ALC36 o della Convenzione AELS37 computandoli sui contingenti giusta l'allegato 2 numero 1 lettera a.38
2    Il contingente a disposizione della Confederazione figura nell'allegato 2 numero 1 lettera b. Tale contingente serve a compensare le necessità economiche e del mercato del lavoro fra i Cantoni.
3    Su domanda, la SEM può ripartire fra i Cantoni il contingente a disposizione della Confederazione. Allo scopo considera le necessità dei Cantoni e l'interesse economico globale durante il periodo di contingentamento definito nell'allegato 2.
22 
SR 142.201 Ordinanza del 24 ottobre 2007 sull'ammissione, il soggiorno e l'attività lucrativa (OASA)
OASA Art. 22 Condizioni di salario e di lavoro - (art. 22 LStrI)
1    Le condizioni di salario e di lavoro usuali per il luogo e la professione sono determinate in base alle prescrizioni legali, ai contratti collettivi e ai contratti normali di lavoro nonché ai salari e alle condizioni vigenti per un lavoro analogo nella stessa azienda e ramo. Vanno inoltre considerati i risultati dei rilevamenti statistici sui salari.
2    Il datore di lavoro deve presentare un contratto di lavoro o una conferma del mandato al servizio cui compete secondo il diritto cantonale l'ammissione sul mercato del lavoro. Nel caso di prestazione di servizi transfrontaliera vanno presentati la conferma del distaccamento e il contratto relativo alla prestazione di servizi. Tali documenti devono contenere indicazioni sulla durata dell'attività lucrativa, sulle condizioni d'assunzione e sul salario.
31 
SR 142.201 Ordinanza del 24 ottobre 2007 sull'ammissione, il soggiorno e l'attività lucrativa (OASA)
OASA Art. 31 Casi personali particolarmente gravi - (art. 30 cpv. 1 lett. b, 50 cpv. 1 lett. b e 84 cpv. 5 LStrI; art. 14 LAsi)
1    Se sussiste un caso personale particolarmente grave, può essere rilasciato un permesso di dimora. Nella valutazione occorre considerare in particolare:
a  l'integrazione del richiedente conformemente ai criteri di cui all'articolo 58a capoverso 1 LStrI;
b  ...
c  la situazione familiare, in particolare il momento e la durata della scolarizzazione dei figli;
d  la situazione finanziaria;
e  la durata della presenza in Svizzera;
f  lo stato di salute;
g  la possibilità di un reinserimento nel Paese d'origine.
2    Il richiedente deve rivelare la sua identità.
3    L'esercizio di un'attività lucrativa dipendente o indipendente non è soggetto ad autorizzazione.74
4    ...75
5    Se il richiedente non ha potuto partecipare alla vita economica o acquisire una formazione (art. 58a cpv. 1 lett. d LStrI) a causa dell'età, dello stato di salute o del divieto di lavoro secondo l'articolo 43 LAsi, occorre tenerne conto nella valutazione della situazione finanziaria.76
6    Nella valutazione di una domanda di rilascio di un permesso di dimora secondo l'articolo 84 capoverso 5 LStrI, va presa in considerazione la partecipazione con successo a un programma d'integrazione o d'occupazione.77
83 
SR 142.201 Ordinanza del 24 ottobre 2007 sull'ammissione, il soggiorno e l'attività lucrativa (OASA)
OASA Art. 83 Decisione preliminare - (art. 40 cpv. 2 LStrI)
1    Prima del primo rilascio di un permesso di soggiorno di breve durata o di un permesso di dimora per l'esercizio di un'attività lucrativa, l'autorità cantonale competente (art. 88 cpv. 1) decide se sono adempite le condizioni:
a  per l'esercizio di un'attività lucrativa indipendente o dipendente secondo gli articoli 18-25 LStrI;
b  per la prestazione di servizi transfrontaliera da parte di una persona o di una ditta con domicilio o sede all'estero secondo l'articolo 26 LStrI;
c  per il passaggio a un'attività lucrativa indipendente da parte di uno straniero titolare del permesso di dimora secondo l'articolo 38 capoverso 3 LStrI.
2    Tale autorità decide parimenti se il permesso di soggiorno di breve durata può essere prorogato o rinnovato nonché, nel caso di uno straniero titolare del permesso di soggiorno di breve durata o di un richiedente l'asilo, se la persona in questione può essere autorizzata a cambiare impiego.219
3    La decisione preliminare delle autorità cantonali preposte al mercato del lavoro può essere vincolata a condizioni e oneri, in particolare per quanto concerne il tipo e la durata di un'attività lucrativa temporanea in Svizzera.
4    D'intesa con la SEM, invece di decisioni nel singolo caso secondo il capoverso 1 lettera c e il capoverso 2 può essere concessa un'approvazione generale per determinate categorie di stranieri e di domande.
85
SR 142.201 Ordinanza del 24 ottobre 2007 sull'ammissione, il soggiorno e l'attività lucrativa (OASA)
OASA Art. 85 Permessi e decisioni preliminari soggetti ad approvazione - (art. 30 cpv. 2 e 99 LStrI)
1    La SEM è competente per l'approvazione del rilascio e del rinnovo dei permessi di soggiorno di breve durata e di dimora, del rilascio dei permessi di domicilio nonché delle decisioni preliminari delle autorità cantonali preposte al mercato del lavoro (art. 83).
2    Il DFGP determina in un'ordinanza i casi in cui i permessi di soggiorno di breve durata, di dimora o di domicilio nonché le decisioni preliminari delle autorità preposte al mercato del lavoro devono essere sottoposti alla procedura d'approvazione.227
3    L'autorità cantonale preposta al mercato del lavoro (art. 83) e l'autorità cantonale della migrazione (art. 88 cpv. 1) possono sottoporre alla SEM per approvazione una decisione cantonale affinché verifichi se le condizioni previste dal diritto federale sono adempiute.228
PA: 5 
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 5 - 1 Sono decisioni i provvedimenti delle autorità nel singolo caso, fondati sul diritto pubblico federale e concernenti:
1    Sono decisioni i provvedimenti delle autorità nel singolo caso, fondati sul diritto pubblico federale e concernenti:
a  la costituzione, la modificazione o l'annullamento di diritti o di obblighi;
b  l'accertamento dell'esistenza, dell'inesistenza o dell'estensione di diritti o di obblighi;
c  il rigetto o la dichiarazione d'inammissibilità d'istanze dirette alla costituzione, alla modificazione, all'annullamento o all'accertamento di diritti o di obblighi.
2    Sono decisioni anche quelle in materia d'esecuzione (art. 41 cpv. 1 lett. a e b), le decisioni incidentali (art. 45 e 46), le decisioni su opposizione (art. 30 cpv. 2 lett. b e 74), le decisioni su ricorso (art. 61), le decisioni in sede di revisione (art. 68) e l'interpretazione (art. 69).24
3    Le dichiarazioni di un'autorità che rifiuta o solleva pretese da far valere mediante azione non sono considerate decisioni.
12 
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 12 - L'autorità accerta d'ufficio i fatti e si serve, se necessario, dei seguenti mezzi di prova:
a  documenti;
b  informazioni delle parti;
c  informazioni o testimonianze di terzi;
d  sopralluoghi;
e  perizie.
48 
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 48 - 1 Ha diritto di ricorrere chi:
1    Ha diritto di ricorrere chi:
a  ha partecipato al procedimento dinanzi all'autorità inferiore o è stato privato della possibilità di farlo;
b  è particolarmente toccato dalla decisione impugnata; e
c  ha un interesse degno di protezione all'annullamento o alla modificazione della stessa.
2    Ha inoltre diritto di ricorrere ogni persona, organizzazione o autorità cui un'altra legge federale riconosce tale diritto.
49 
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 49 - Il ricorrente può far valere:
a  la violazione del diritto federale, compreso l'eccesso o l'abuso del potere di apprezzamento;
b  l'accertamento inesatto o incompleto di fatti giuridicamente rilevanti;
c  l'inadeguatezza; questa censura non è ammissibile quando un'autorità cantonale ha giudicato come autorità di ricorso.
50 
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 50 - 1 Il ricorso dev'essere depositato entro 30 giorni dalla notificazione della decisione.
1    Il ricorso dev'essere depositato entro 30 giorni dalla notificazione della decisione.
2    Il ricorso per denegata o ritardata giustizia può essere interposto in ogni tempo.
52 
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 52 - 1 L'atto di ricorso deve contenere le conclusioni, i motivi, l'indicazione dei mezzi di prova e la firma del ricorrente o del suo rappresentante; devono essere allegati la decisione impugnata e i documenti indicati come mezzi di prova, se sono in possesso del ricorrente.
1    L'atto di ricorso deve contenere le conclusioni, i motivi, l'indicazione dei mezzi di prova e la firma del ricorrente o del suo rappresentante; devono essere allegati la decisione impugnata e i documenti indicati come mezzi di prova, se sono in possesso del ricorrente.
2    Se il ricorso non soddisfa a questi requisiti o se le conclusioni o i motivi del ricorrente non sono sufficientemente chiari, e il ricorso non sembra manifestamente inammissibile, l'autorità di ricorso assegna al ricorrente un breve termine suppletorio per rimediarvi.
3    Essa gli assegna questo termine con la comminatoria che, decorrendo infruttuoso, deciderà secondo l'inserto o, qualora manchino le conclusioni, i motivi oppure la firma, non entrerà nel merito del ricorso.
62 
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 62 - 1 L'autorità di ricorso può modificare la decisione impugnata a vantaggio di una parte.
1    L'autorità di ricorso può modificare la decisione impugnata a vantaggio di una parte.
2    Essa può modificare a pregiudizio di una parte la decisione impugnata quando questa violi il diritto federale o poggi su un accertamento inesatto o incompleto dei fatti; per inadeguatezza, la decisione impugnata non può essere modificata a pregiudizio di una parte, a meno che la modificazione giovi ad una controparte.
3    L'autorità di ricorso che intenda modificare la decisione impugnata a pregiudizio di una parte deve informarla della sua intenzione e darle la possibilità di esprimersi.
4    L'autorità di ricorso non è vincolata in nessun caso dai motivi del ricorso.
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SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 63 - 1 L'autorità di ricorso mette nel dispositivo le spese processuali, consistenti in una tassa di decisione nelle tasse di cancelleria e negli sborsi, di regola a carico della parte soccombente. Se questa soccombe solo parzialmente, le spese processuali sono ridotte. Per eccezione, si possono condonare le spese processuali.
1    L'autorità di ricorso mette nel dispositivo le spese processuali, consistenti in una tassa di decisione nelle tasse di cancelleria e negli sborsi, di regola a carico della parte soccombente. Se questa soccombe solo parzialmente, le spese processuali sono ridotte. Per eccezione, si possono condonare le spese processuali.
2    Nessuna spesa processuale è messa a carico dell'autorità inferiore ne delle autorità federali, che promuovano il ricorso e soccombano; se l'autorità ricorrente, che soccombe, non è un'autorità federale, le spese processuali le sono addossate in quanto la causa concerna interessi pecuniari di enti o d'istituti autonomi.
3    Alla parte vincente possono essere addossate solo le spese processuali che abbia cagionato violando le regole di procedura.
4    L'autorità di ricorso, il suo presidente o il giudice dell'istruzione esige dal ricorrente un anticipo equivalente alle presunte spese processuali. Stabilisce un congruo termine per il pagamento con la comminatoria che altrimenti non entrerà nel merito. Se sussistono motivi particolari, può rinunciare interamente o in parte a esigere l'anticipo.100
4bis    La tassa di decisione è stabilita in funzione dell'ampiezza e della difficoltà della causa, del modo di condotta processuale e della situazione finanziaria delle parti. Il suo importo oscilla:
a  da 100 a 5000 franchi nelle controversie senza interesse pecuniario;
b  da 100 a 50 000 franchi nelle altre controversie.101
5    Il Consiglio federale disciplina i dettagli relativi alla determinazione delle tasse.102 Sono fatti salvi l'articolo 16 capoverso 1 lettera a della legge del 17 giugno 2005103 sul Tribunale amministrativo federale e l'articolo 73 della legge del 19 marzo 2010104 sull'organizzazione delle autorità penali.105
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SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 64 - 1 L'autorità di ricorso, se ammette il ricorso in tutto o in parte, può, d'ufficio o a domanda, assegnare al ricorrente una indennità per le spese indispensabili e relativamente elevate che ha sopportato.
1    L'autorità di ricorso, se ammette il ricorso in tutto o in parte, può, d'ufficio o a domanda, assegnare al ricorrente una indennità per le spese indispensabili e relativamente elevate che ha sopportato.
2    Il dispositivo indica l'ammontare dell'indennità e l'addossa all'ente o all'istituto autonomo, nel cui nome l'autorità inferiore ha deciso, in quanto non possa essere messa a carico di una controparte soccombente.
3    Se una controparte soccombente ha presentato conclusioni indipendenti, l'indennità può essere messa a suo carico, secondo la propria solvenza.
4    L'ente o l'istituto autonomo, nel cui nome l'autorità inferiore ha deciso, risponde dell'indennità addossata a una controparte soccombente, in quanto non possa essere riscossa.
5    Il Consiglio federale disciplina la determinazione delle spese ripetibili.106 Sono fatti salvi l'articolo 16 capoverso 1 lettera a della legge del 17 giugno 2005107 sul Tribunale amministrativo federale e l'articolo 73 della legge del 19 marzo 2010108 sull'organizzazione delle autorità penali.109
TS-TAF: 7
SR 173.320.2 Regolamento del 21 febbraio 2008 sulle tasse e sulle spese ripetibili nelle cause dinanzi al Tribunale amministrativo federale (TS-TAF)
TS-TAF Art. 7 Principio - 1 La parte vincente ha diritto alle ripetibili per le spese necessarie derivanti dalla causa.
1    La parte vincente ha diritto alle ripetibili per le spese necessarie derivanti dalla causa.
2    Se la parte vince solo parzialmente, le spese ripetibili sono ridotte in proporzione.
3    Le autorità federali e, di regola, le altre autorità con qualità di parte non hanno diritto a un'indennità a titolo di ripetibili.
4    Se le spese sono relativamente modeste, si può rinunciare a concedere alla parte un'indennità a titolo di ripetibili.
5    L'articolo 6a è applicabile per analogia.7
Registro DTF
135-II-384 • 138-II-536 • 139-II-470 • 141-II-393 • 142-II-182
Parole chiave
Elenca secondo la frequenza o in ordine alfabetico
assunzione d'impiego • leva • ue • aels • mercato del lavoro • tribunale cantonale • carrozziere • automobile • permesso di dimora • attività lucrativa • mese • autorità cantonale • candidato • esaminatore • autorità inferiore • contratto di lavoro • curriculum vitae • progetto di legge • sforzo • tribunale amministrativo federale
... Tutti
BVGE
2014/1 • 2011/1
BVGer
C-5184/2014 • C-5420/2012 • C-8717/2010 • F-1412/2017 • F-3231/2017 • F-4018/2016 • F-4226/2017 • F-4470/2017 • F-6072/2017
AS
AS 2018/3171 • AS 2018/3173 • AS 2007/5497 • AS 2007/5437
FF
2002/3469