Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
9C 871/2011 {T 0/2}
Urteil vom 7. Mai 2012
II. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter U. Meyer, Präsident,
Bundesrichterinnen Pfiffner Rauber, Glanzmann,
Gerichtsschreiberin Keel Baumann.
Verfahrensbeteiligte
H.________,
vertreten durch Advokat Christian Haidlauf,
Beschwerdeführer,
gegen
Pensionskasse Basel-Stadt,
Clarastrasse 13, 4005 Basel,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Berufliche Vorsorge,
Beschwerde gegen den Entscheid des Sozialversicherungsgerichts Basel-Stadt
vom 19. September 2011.
Sachverhalt:
A.
Der 1943 geborene H.________ war ab 1. Oktober 1969 bei der Pensionskasse Basel-Stadt (vormals: Pensions-, Witwen- und Waisenkasse des Basler Staatspersonals), seit 1995 in deren Abteilung I, berufsvorsorgeversichert. Mit 35 Beitragsjahren erreichte er am 30. September 2004 (im Alter von 61 Jahren und 6 Monaten) die Altersgrenze gemäss damaligem Pensionskassengesetz.
H.________ arbeitete bis 31. März 2009 weiter und wurde am 1. April 2009, unter dem Geltungsbereich des am 1. Januar 2008 in Kraft getretenen neuen Pensionskassengesetzes, pensioniert. Mit Schreiben vom 2. April 2009 informierte ihn die Pensionskasse, dass sie ihm eine einmalige Kapitalzahlung von Fr. 95'810.80 und ab 1. April 2009 eine Altersrente von jährlich Fr. 75'555.60 ausrichte. Die hiegegen erhobene Einsprache mit dem Antrag, die einmalige Kapitalzahlung sei auf Fr. 96'437.15 und die jährliche Rentenleistung auf Fr. 76'313.40 festzusetzen, wies der Verwaltungsrat mit Entscheid vom 25. November 2009 ab.
B.
Mit Eingabe vom 23. Juni 2010 beantragte H.________ im Sinne einer Teilklage und unter Vorbehalt der Mehrforderung, die Pensionskasse "sei unter Androhung von Strafe gemäss Artikel 292
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 292 - Quiconque ne se conforme pas à une décision à lui signifiée, sous la menace de la peine prévue au présent article, par une autorité ou un fonctionnaire compétents est puni d'une amende. |
C.
H.________ lässt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten führen und folgende Rechtsbegehren stellen:
"1. Es sei das Urteil des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Basel-Stadt vom 19. September 2011 aufzuheben.
2. a) Die Beschwerdegegnerin sei zu verpflichten, im Sinne von § 58 des Gesetzes betreffend die Pensionskasse Basel-Stadt vom 28. Juni 2007 (PKG) die zuletzt erworbene Austrittsleistung des Beschwerdeführers per 31. Dezember 2007 sowie die Einkaufssumme des Beschwerdeführers per 1. Januar 2008 für den Eintritt in den Vorsorgeplan zu beziffern.
b) Entsprechend den Bezifferungen gemäss lit. a hiervor sei die Beschwerdegegnerin zur Zahlung eines Sparkapitals in Höhe von CHF 140'000.00 nebst Zins zu 5 % seit dem 1. Januar 2008 an den Beschwerdeführer zu verurteilen.
Teilklage, Mehrforderung vorbehalten.
3. Die Beschwerdegegnerin sei zu verurteilen, dem Beschwerdeführer für die Zeit vom 1. Januar 2008 bis 31. März 2009 einen Betrag in Höhe von CHF 567.45 für zu wenig erfolgte Gutschriften bei den aufgeschobenen Altersrenten nachzuzahlen.
4. Die Beschwerdegegnerin sei zu verurteilen, dem Beschwerdeführer für die Zeit vom 1. April 2009 bis 31. Dezember 2009 einen Betrag in Höhe von CHF 568.35 für zu wenig ausgerichtete Altersrenten nachzuzahlen.
5. Eventualiter sei das Urteil des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Basel-Stadt vom 19. September 2011 aufzuheben und die Angelegenheit zur materiellen Neubeurteilung an die Beschwerdegegnerin zurückzuweisen.
6. Unter Kosten- und Entschädigungsfolgen zu Lasten der Beschwerdegegnerin sowohl für das vorliegende Verfahren als auch für das Verfahren vor der Vorinstanz."
Erwägungen:
1.
1.1 Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann u.a. die Verletzung von Bundesrecht gerügt werden (Art. 95 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
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1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
1.2 Das Bundesgericht prüft kantonales Berufsvorsorgerecht im Leistungsbereich frei (BGE 134 V 199 E. 1.2 S. 200 und 3 E. 8.5 S. 368; in BGE 138 V 86 nicht publizierte E. 1.3 des Urteils 9C 73/2011 vom 17. Januar 2012; Urteil 9C 1002/2009 vom 27. September 2010 E. 1.2, in: SVR 2011 BVG Nr. 15 S. 55). Dessen ungeachtet kann es die Überprüfung - unter Beachtung der Begründungspflicht in Beschwerdeverfahren (Art. 42 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
1.3 Da es sich bei der Pensionskasse Basel-Stadt um eine Vorsorgeeinrichtung des öffentlichen Rechts handelt (§ 1 Gesetz betreffend die Pensionskasse Basel-Stadt vom 28. Juni 2007 [Pensionskassengesetz]; SG 166.100; nachfolgend PKG), hat die Auslegung der einschlägigen Bestimmungen - anders als die Auslegung der Vorsorgereglemente privatrechtlicher Versicherungsträger - nach den gewöhnlichen Regeln der Gesetzesauslegung zu erfolgen (BGE 138 V 86 E. 5.1 S. 94; 134 V 208 E. 2.2 S. 211; 133 V 314 E. 4.1 S. 316 f.).
Ausgangspunkt jeder Auslegung bildet der Wortlaut der Bestimmung. Vom klaren, d.h. eindeutigen und unmissverständlichen Wortlaut darf nur ausnahmsweise abgewichen werden, u.a. dann, wenn triftige Gründe dafür vorliegen, dass der Wortlaut nicht den wahren Sinn der Norm wiedergibt. Solche Gründe können sich aus der Entstehungsgeschichte der Bestimmung, aus ihrem Grund und Zweck oder aus dem Zusammenhang mit andern Vorschriften ergeben. Eine historisch orientierte Auslegung ist für sich allein nicht entscheidend. Anderseits vermag aber nur sie die Regelungsabsicht des Gesetzgebers (die sich insbesondere aus den Materialien ergibt) aufzuzeigen, welche wiederum zusammen mit den zu ihrer Verfolgung getroffenen Wertentscheidungen verbindliche Richtschnur des Gerichts bleibt, auch wenn es das Gesetz mittels teleologischer Auslegung oder Rechtsfortbildung veränderten, vom Gesetzgeber nicht vorausgesehenen Umständen anpasst oder ergänzt (BGE 138 V 23 E. 3.4.1 S. 28; 137 V 13 E. 5.1 S. 17 mit Hinweisen).
2.
Soweit der Beschwerdeführer seine Sicht des Sachverhalts darstellt, ohne sich mit den tatsächlichen Feststellungen im vorinstanzlichen Entscheid auseinanderzusetzen, ist auf seine Beschwerde mangels hinreichender Begründung nicht einzutreten (Art. 41 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 41 Incapacité de procéder - 1 Si une partie est manifestement incapable de procéder elle-même, le Tribunal fédéral peut l'inviter à commettre un mandataire. Si elle ne donne pas suite à cette invitation dans le délai imparti, il lui attribue un avocat. |
|
1 | Si une partie est manifestement incapable de procéder elle-même, le Tribunal fédéral peut l'inviter à commettre un mandataire. Si elle ne donne pas suite à cette invitation dans le délai imparti, il lui attribue un avocat. |
2 | L'avocat désigné par le Tribunal fédéral a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires et qu'il n'ait pas pu obtenir le paiement de ces derniers en raison de l'insolvabilité de la partie. Si celle-ci peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 41 Incapacité de procéder - 1 Si une partie est manifestement incapable de procéder elle-même, le Tribunal fédéral peut l'inviter à commettre un mandataire. Si elle ne donne pas suite à cette invitation dans le délai imparti, il lui attribue un avocat. |
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1 | Si une partie est manifestement incapable de procéder elle-même, le Tribunal fédéral peut l'inviter à commettre un mandataire. Si elle ne donne pas suite à cette invitation dans le délai imparti, il lui attribue un avocat. |
2 | L'avocat désigné par le Tribunal fédéral a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires et qu'il n'ait pas pu obtenir le paiement de ces derniers en raison de l'insolvabilité de la partie. Si celle-ci peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
3.
3.1 Gemäss § 30 Abs. 1 Satz 1 des bis 31. Dezember 2007 in Kraft gewesenen Gesetzes betreffend die Pensionskasse Basel-Stadt vom 20. März 1980 (nachfolgend aPKG) hatten Mitglieder, die mit Erreichen der Altersgrenze aus dem Arbeitsverhältnis ausscheiden, Anspruch auf eine Altersrente. Erreicht wurde die Altersgrenze mit 35 Versicherungsjahren jeweils auf ein Monatsende, frühestens jedoch am letzten Tag des Monats, in dem die versicherte Person das 60. Altersjahr vollendet, und spätestens am letzten Tag des Monats, in dem sie das 63. Altersjahr vollendet (§ 30 Abs. 2 Satz 1 aPKG). Bei Weiterbeschäftigung über die Altersgrenze hinaus sah § 32a Abs. 1 aPKG für die in Abteilung I versicherten Personen vor, dass die Beitragspflicht des Mitglieds und des Arbeitgebers nach Erreichen der Altersgrenze entfällt und der Beginn der Altersrente sich entsprechend verschiebt (Satz 1 und 2).
3.2 Am 1. Januar 2008 trat das neue PKG in Kraft. Dieses sieht in § 30 ein ordentliches Rücktrittsalter von 63 Jahren vor (Abs. 1), wobei ein vorzeitiger Altersrücktritt ab Vollendung des 58. Altersjahres möglich ist (Abs. 2). Für den Fall, dass das Arbeitsverhältnis über das ordentliche Rücktrittsalter hinaus ganz oder teilweise bestehen bleibt, bestimmt § 31 Abs. 4 PKG, dass der Anspruch auf Altersleistungen entsprechend des Umfangs der Weiterbeschäftigung bis zur Beendigung des Arbeitsverhältnisses, längstens jedoch bis Alter 70, aufgeschoben wird. Dabei erfolgt während der Weiterbeschäftigung eine monatliche Gutschrift auf das Sparkapital gemäss Art. 9 Abs. 3, welche der Höhe der Altersrente entspricht, auf welche bei Rücktritt im Alter 63 Anspruch bestanden hätte (Art. 16 Abs. 2 Satz 2 des ab 1. Januar 2008 geltenden Vorsorgereglements).
In § 58 mit der Überschrift "Übergangsbestimmung für die in Abteilung I versicherten Personen" ist vorgesehen, dass die von den unter dem bisherigen Gesetz in Abteilung I versicherten Personen zuletzt erworbene Austrittsleistung als Einkaufssumme für den Eintritt in den Vorsorgeplan gemäss neuem Gesetz verwendet wird. Die Höhe der versicherten Alters- und Invalidenrente bestimmt sich somit nach neuem Gesetz (Abs. 1). Bei der Berechnung der Austrittsleistung gemäss Abs. 1 wird kein Abzug für die vom Arbeitgeber übernommene Einkaufssumme gemäss § 19 Abs. 3 lit. c des bisherigen Gesetzes vorgenommen (Abs. 2). Ist die Austrittsleistung gemäss Abs. 1 höher als die Einkaufssumme, wird die Differenz dem Sparkapital gemäss § 41 zugewiesen (Abs. 3). Für alle versicherten Personen, die im Zeitpunkt des Wirksamwerdens dieses Gesetzes 5 Jahre oder weniger vor dem bisherigen ordentlichen Rücktrittsalter stehen, erfolgt eine Garantie der im bisherigen ordentlichen Rücktrittsalter versicherten Altersrente (Abs. 4 Satz 1).
4.
4.1 Wie im vorinstanzlichen Verfahren verlangt der Beschwerdeführer gestützt auf § 58 PKG die Berechnung der Differenz zwischen der zuletzt (unter dem alten PKG) erworbenen Austrittsleistung per 31. Dezember 2007 und der Einkaufssumme per 1. Januar 2008 für den Eintritt in den Vorsorgeplan nach neuem PKG (Rechtsbegehren Ziffer 2).
4.2 Zu Unrecht macht der Beschwerdeführer in diesem Zusammenhang sinngemäss geltend, sein Anspruch auf rechtliches Gehör sei dadurch verletzt worden, dass die Vorinstanz die Beschwerdegegnerin nicht verpflichtet habe, die Freizügigkeitsleistung per 1. Januar 2008 zu berechnen. Aus dem Anspruch auf rechtliches Gehör nach Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
Werte für die Jahre 2002 bis 2008 (je per 1. Januar) näher zu befassen. Dazu verwies die Beschwerdegegnerin im Übrigen ausdrücklich auf ihr Schreiben vom 6. Juli 2006, in welchem sie den Beschwerdeführer darüber informierte, dass in seinen Leistungsausweisen ab 1. Januar 2000 (fünf Jahre vor der ordentlichen Altersgrenze) keine Freizügigkeitsleistung mehr aufgeführt werde, weil er ab diesem Zeitpunkt nur noch eine (gekürzte) Altersrente beanspruchen könne (vgl. § 30 Abs. 3 aPKG). Ohnehin kommt der Übersicht vom 19. Juli 2006 - wie einem Versicherungsausweis (vgl. Urteil B 58/00 vom 30. April 2002 E. 3, in: SVR 2002 BVG Nr. 12 S. 41) - reiner Informationscharakter und nicht konstitutive Wirkung zu. Dass die Beschwerdegegnerin darin Leistungen zugesichert hätte, behauptet denn auch der Beschwerdeführer zu Recht nicht.
4.3 Die Vorinstanz erwog, § 58 PKG habe ausschliesslich die Überführung von Versicherten vor Eintritt des Vorsorgefalles zum Gegenstand, was sich aus Art. 2 Abs. 1
SR 831.42 Loi fédérale du 17 décembre 1993 sur le libre passage dans la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (Loi sur le libre passage, LFLP) - Loi sur le libre passage LFLP Art. 2 Prestation de sortie - 1 Si l'assuré quitte l'institution de prévoyance avant la survenance d'un cas de prévoyance (cas de libre passage), il a droit à une prestation de sortie. |
|
1 | Si l'assuré quitte l'institution de prévoyance avant la survenance d'un cas de prévoyance (cas de libre passage), il a droit à une prestation de sortie. |
1bis | L'assuré a également droit à une prestation de sortie s'il quitte l'institution de prévoyance entre l'âge minimal pour la perception de la prestation de vieillesse et l'âge de référence réglementaire, et qu'il continue d'exercer une activité lucrative ou s'annonce à l'assurance-chômage. Si le règlement ne fixe pas d'âge de référence, l'art. 13, al. 1, de la loi fédérale du 25 juin 1982 sur la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (LPP)6 s'applique pour la détermination de cet âge.7 |
1ter | De même, l'assuré dont la rente de l'assurance-invalidité est réduite ou supprimée en raison de l'abaissement de son taux d'invalidité a droit à une prestation de sortie au terme du maintien provisoire de l'assurance et du droit aux prestations prévu à l'art. 26a, al. 1 et 2, LPP.8 |
2 | L'institution de prévoyance fixe le montant de la prestation de sortie dans son règlement; cette prestation de sortie doit être au moins égale à la prestation de sortie calculée selon les dispositions de la section 4. |
3 | La prestation de sortie est exigible lorsque l'assuré quitte l'institution de prévoyance. Elle est créditée à partir de ce moment des intérêts prévus à l'art. 15, al. 2, LPP.9 |
4 | Si l'institution de prévoyance ne transfère pas la prestation échue dans les trente jours après avoir reçu toutes les informations nécessaires, elle est tenue de verser l'intérêt moratoire prévu à l'art. 26, al. 2, à partir de ce moment-là.10 |
SR 831.42 Loi fédérale du 17 décembre 1993 sur le libre passage dans la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (Loi sur le libre passage, LFLP) - Loi sur le libre passage LFLP Art. 2 Prestation de sortie - 1 Si l'assuré quitte l'institution de prévoyance avant la survenance d'un cas de prévoyance (cas de libre passage), il a droit à une prestation de sortie. |
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1 | Si l'assuré quitte l'institution de prévoyance avant la survenance d'un cas de prévoyance (cas de libre passage), il a droit à une prestation de sortie. |
1bis | L'assuré a également droit à une prestation de sortie s'il quitte l'institution de prévoyance entre l'âge minimal pour la perception de la prestation de vieillesse et l'âge de référence réglementaire, et qu'il continue d'exercer une activité lucrative ou s'annonce à l'assurance-chômage. Si le règlement ne fixe pas d'âge de référence, l'art. 13, al. 1, de la loi fédérale du 25 juin 1982 sur la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (LPP)6 s'applique pour la détermination de cet âge.7 |
1ter | De même, l'assuré dont la rente de l'assurance-invalidité est réduite ou supprimée en raison de l'abaissement de son taux d'invalidité a droit à une prestation de sortie au terme du maintien provisoire de l'assurance et du droit aux prestations prévu à l'art. 26a, al. 1 et 2, LPP.8 |
2 | L'institution de prévoyance fixe le montant de la prestation de sortie dans son règlement; cette prestation de sortie doit être au moins égale à la prestation de sortie calculée selon les dispositions de la section 4. |
3 | La prestation de sortie est exigible lorsque l'assuré quitte l'institution de prévoyance. Elle est créditée à partir de ce moment des intérêts prévus à l'art. 15, al. 2, LPP.9 |
4 | Si l'institution de prévoyance ne transfère pas la prestation échue dans les trente jours après avoir reçu toutes les informations nécessaires, elle est tenue de verser l'intérêt moratoire prévu à l'art. 26, al. 2, à partir de ce moment-là.10 |
Altersrente allein von einer Willenserklärung des Versicherten abhängig gemacht werde; vielmehr wäre nach den anwendbaren kantonalen Bestimmungen ab 30. September 2004 eine Pensionierung selbst gegen den Willen des Versicherten möglich gewesen. Da aufgrund dieser Rechtslage ein Anspruch auf eine Austrittsleistung per 31. Dezember 2007 ausser Betracht falle, fehle es an einem Substrat, das als Austrittsleistung im Sinne von § 58 PKG hätte eingesetzt werden können.
4.4 Dieser Auffassung ist vollumfänglich beizupflichten. Der Wortlaut von § 58 Abs. 1 PKG ist - entgegen der Ansicht des Beschwerdeführers - nicht in dem Sinne klar, dass davon alle Versicherten der Abteilung I erfasst sind, die noch keine Altersrente beziehen. Im Gegenteil spricht er unmissverständlich von "Austrittsleistung" gemäss "bisherigem Gesetz", also gemäss § 19 aPKG, welcher den Freizügigkeitsfall regelt. Dass der Beschwerdeführer aus § 58 PKG nichts für sich ableiten kann, ergibt sich auch aus den Materialien, welche nach ständiger Rechtsprechung gerade bei jüngeren Gesetzen - zu welchen das am 1. Januar 2008 in Kraft getretene PKG zählt - ein wichtiges Auslegungsmittel darstellen (BGE 137 V 167 E. 3.2 S. 170; 126 V 435 E. 3b S. 439). Im Ratschlag und Entwurf des Regierungsrats des Kantons Basel-Stadt betreffend die Totalrevision des Pensionskassengesetzes vom 20. März 1980 (S. 39 unten ff. Ziff. 3.5.1) wird unter dem Titel "Überführung Abt. I" betont, dass das ordentliche Rücktrittsalter nunmehr für alle Versicherten einheitlich 63 Jahre betrage. Der Beschwerdeführer, der im Zeitpunkt des Wirksamwerdens des neuen Pensionskassengesetzes bereits im 65. Altersjahr stand, fällt daher von vornherein nicht in den
Anwendungsbereich von § 58 PKG. Bei diesem Alter besteht überhaupt kein Spielraum für eine ordentliche (Weiter-)Versicherung. Alle Berechnungsbeispiele und dazu gehörenden Erläuterungen beziehen sich denn auch auf Versicherte, die das neue einheitliche Rücktrittsalter noch nicht erreicht haben.
4.5 Versicherte der Abteilung I, die über die Altersgrenze hinaus weiterbeschäftigt wurden und bereits das 63. Altersjahr zurückgelegt hatten, waren demnach weiterhin als Weiterbeschäftigte zu führen; ab 1. Januar 2008 konsequenterweise nach Massgabe des neuen Art. 16 Abs. 2 des Vorsorgereglements (vgl. E. 3.2). Von einer Lücke, die bestehe, wenn - bei einem Versicherten, der Anfang 2008 bereits den 63. Geburtstag hinter sich gehabt habe - keine Austrittsleistung zu berechnen gewesen sei, kann nicht die Rede sein. Davon ist die Frage zu unterscheiden, auf welcher Grundlage sich die monatliche Gutschrift auf das Sparkapital der - überführten - weiterbeschäftigten Versicherten errechnet (vgl. E. 3.2), zumal zu Zeiten der alten Ordnung kein einheitliches Rücktrittsalter gegeben war. Das PKG macht diesbezüglich keine Vorgaben. Insoweit in diesem Zusammenhang eine Regelungslücke anzunehmen ist, wurde sie von der Beschwerdegegnerin gefüllt, indem sie monatliche Gutschriften auf das Sparkapital in der Höhe derjenigen Altersrente vornahm, auf welche der weiterbeschäftigte Versicherte per 31. Dezember 2007 Anspruch gehabt hätte. Die Vorinstanz hat diese Vorgehensweise geschützt. Der Beschwerdeführer ficht die entsprechenden Erwägungen
weder in masslicher noch grundsätzlicher Hinsicht an. Das Bundesgericht hat keine Veranlassung, von Amtes wegen einen anderen Weg zu gehen, da die getroffene Lösung überzeugt und - wie bereits die Vorinstanz festgehalten hat - keine Hinweise darauf bestehen, dass sie zu einem Eingriff in wohlerworbene Rechte des Beschwerdeführers geführt haben könnte.
4.6 Im Übrigen entrichtete der Beschwerdeführer auf dem während der Weiterbeschäftigung vom 1. Oktober 2004 bis 31. März 2009 erzielten Lohn keine Beiträge an die berufliche Vorsorge (§ 16 Abs. 2 aPKG; § 17 Abs. 1 PKG). Mit anderen Worten hat er in dieser Zeit mangels Beitragszahlung nichts zur Verbesserung seiner anwartschaftlichen Leistungen beigetragen. Seither bezieht er eine Rente zum maximalen Ansatz von 65 % des anrechenbaren Lohnes (§ 31 Abs. 2 PKG). Vom 1. Januar 2008 bis 31. März 2009 erfolgten monatliche Gutschriften von Fr. 6'296.30 auf dem internen Sparkapital (§ 31 Abs. 4 PKG in Verbindung mit Art. 16 Abs. 2 des Vorsorgeregle-ments), was zu einer einmaligen Kapitalzahlung von Fr. 95'810.80 führte (§ 42 PKG in Verbindung mit Art. 16 Abs. 2 Vorsorgereglement; Schreiben der Pensionskasse vom 2. April 2009), womit dem Aufschub der Rente Rechnung getragen wurde.
5.
5.1 Der Beschwerdeführer verlangt weiter die Nachzahlung von Fr. 567.45 (Rechtsbegehren Ziffer 3), weil die seinem Sparkonto gutgeschriebenen aufgeschobenen Rentenbetreffnisse in der Zeit vom 1. Januar 2008 bis 31. März 2009 (12 x Fr. 31.50; 3 x Fr. 63.15) nicht der Teuerung angepasst worden seien. Sodann sei ihm für die Zeit vom 1. April bis 31. Dezember 2009 Fr. 568.35 nachzuzahlen für zu wenig ausgerichtete Altersrenten (Rechtsbegehren Ziffer 4).
5.2 Die Bestimmung des § 27 PKG sieht ausdrücklich den Ausgleich der Teuerung auf den laufenden Renten (exkl. Überbrückungsrenten) vor. Entgegen dem Verständnis des Beschwerdeführers sind damit schon vom (Ausgangspunkt der Auslegung bildenden; vgl. E. 1.3) Wortlaut her nur die gegenwärtig zur Auszahlung gelangenden Rentenbetreffnisse gemeint, d.h. unter Ausschluss der anwartschaftlichen, insbesondere auch der aufgeschobenen Renten. Mit anderen Worten sind aufgeschobene Renten hinsichtlich der Teuerungsanpassung anders zu beurteilen als laufende Renten (vgl. auch BGE 117 V 125 E. 2e S. 130 unten). Soweit der Beschwerdeführer aus dem Ratschlag und Entwurf des Regierungsrats (S. 66), wonach der Aufschub für die versicherte Person und die Kasse "finanzierungsneutral" sein soll, etwas anders ableitet, kann ihm nicht gefolgt werden. Die Finanzierungsneutralität ergibt sich nach dem Regierungsrat vielmehr zum einen daraus, dass die nicht ausbezahlten Renten, anders als nach bisherigem Recht (vgl. § 32a aPKG), beim Rücktritt nachbezahlt werden. Zum andern kann das Reglement nach den regierungsrätlichen Erläuterungen vorsehen, dass die während der Weiterarbeit zurückbehaltenen Rentenbetreffnisse bis zum Zeitpunkt des effektiven Rücktritts
verzinst werden. Davon wurde im Vorsorgereglement Gebrauch gemacht (vgl. Art. 16 Abs. 2 in Verbindung mit Art. 9 Abs. 2 lit. c und Abs. 3 Vorsorgereglement). Danach wird, unabhängig davon, ob es sich um eine aufgeschobene Rente oder eine andere Gutschrift handelt, während der Ansparphase ein Zins gutgeschrieben, während in der Rentenbezugsphase (d.h. wenn die aufgeschobene Rente zu einer laufenden wird) eine Anpassung an die Teuerung stattfindet. Insoweit ergänzen sich Zinsgutschrift und Teuerungszulage; mit Beginn des Rentenbezugs löst die Teuerungsanpassung die Zinsgutschrift ab. Bei dieser Sachlage entbehren die Rechtsbegehren Ziffer 3 und 4 einer Grundlage.
6.
6.1 Schliesslich macht der Beschwerdeführer geltend, die Überführung von Personen, welche nach altem Recht das Rücktrittsalter bereits erreicht haben, sei nicht rechtsgleich durchgeführt worden, wie der Fall einer Vergleichsperson zeige.
6.2 Wie die Vorinstanz in für das Bundesgericht verbindlicher Weise festgestellt hat (vgl. E. 1.1 hiervor), decken sich die Verhältnisse der vom Beschwerdeführer als Vergleichsperson herangezogenen Versicherten (welche das massgebliche Rücktrittsalter 63 erst nach Inkrafttreten des neuen Gesetzes erreichte) nicht mit denjenigen des Beschwerdeführers, so dass vergleichbare Sachverhalte nicht vorliegen. Der Beschwerdeführer kann keine Gleichbehandlung mit (ebenfalls) weiterbeschäftigten Versicherten beanspruchen, die das 63. Altersjahr erst unter der neuen Ordnung erreichten. Der Umstand, dass er - anders als diese Versicherte - über keine ordentliche Versicherungsmöglichkeit (mehr) verfügte (vgl. E. 4.4), stellt einen hinreichend sachlichen Grund für eine unterschiedliche Behandlung dar.
7.
Da der Beschwerdeführer nach dem Gesagten mit seinen Begehren unterliegt, hat er die Gerichtskosten zu tragen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 500.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht Basel-Stadt und dem Bundesamt für Sozialversicherungen, Aufsicht Berufliche Vorsorge, schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 7. Mai 2012
Im Namen der II. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Meyer
Die Gerichtsschreiberin: Keel Baumann