Tribunal administratif fédéral
Tribunale amministrativo federale
Tribunal administrativ federal
Abteilung I
A-91/2018
Urteil vom 6. Februar 2019
Richter Daniel Riedo (Vorsitz),
Richter Jürg Steiger,
Besetzung
Richterin Annie Rochat Pauchard,
Gerichtsschreiber Beat König.
A._______ GmbH,
Parteien
Beschwerdeführerin,
gegen
Stiftung Auffangeinrichtung BVG,
Rechtsdienst,
Vorinstanz.
Gegenstand Beitragsverfügung und Aufhebung des Rechtsvorschlages.
Sachverhalt:
A.
Die A._______ GmbH (nachfolgend: Arbeitgeberin) wurde mit Anschlussvereinbarung vom 26. Mai 2015 an die Stiftung Auffangeinrichtung BVG (nachfolgend: Auffangeinrichtung) angeschlossen.
Die Auffangeinrichtung leitete am 14. August 2017 eine Betreibung gegen die Arbeitgeberin über Fr. 141'801.80 zuzüglich Zins ein (Betreibung Nr. [...] beim Betreibungsamt B._______ [...]).
B.
Gegen den Zahlungsbefehl erhob die Arbeitgeberin am 22. September 2017 Rechtsvorschlag. Die Auffangeinrichtung gewährte ihr daraufhin mit Schreiben vom 16. Oktober 2017 die Gelegenheit, den Rechtsvorschlag zu begründen, sich zur Forderung zu äussern und entsprechende Belege einzureichen. Die Arbeitgeberin liess sich jedoch nicht vernehmen.
C.
Am 28. November 2017 erliess die Auffangeinrichtung (nachfolgend auch: Vorinstanz) androhungsgemäss eine Verfügung, mit welcher (soweit hier interessierend) Folgendes angeordnet wurde:
«I. Der Arbeitgeber [bzw. die Arbeitgeberin] hat der [...] Auffangeinrichtung [...] CHF 133'637.91 zuzüglich
Verzugszins 5% auf CHF 133'409.40 seit 14.08.17 bis 17.08.17
Verzugszins 5% auf CHF 125'826.40 seit 17.08.17 bis 05.09.17
Verzugszins 5% auf CHF 120'826.40 seit 05.09.17 bis 26.09.17
Verzugszins 5% auf CHF 115'826.40 seit 26.09.17 bis 04.10.17
Verzugszins 5% auf CHF 110'826.40 seit 04.10.17 bis 25.10. 17
Verzugszins 5% auf CHF 105'826.40 seit 25.10.17 bis 08.11.17
Verzugszins 5% auf CHF 100'826.40 seit 08.11.17
und
Gebühren für Einleitung Betreibung Nr. [...] CHF 100.00
Verzugszins bis zum 14. August 2017 CHF 8'292.40
zu bezahlen.
II. Der Rechtsvorschlag in der Betreibung Nr. [...] des Betreibungsamts B._______ wird im Betrag von CHF 109'218.80 aufgehoben.»
Zur Begründung legte die Auffangeinrichtung im Wesentlichen dar, die Arbeitgeberin schulde ihr Beiträge für den relevanten Beitragszeitraum (3. und 4. Quartal 2014 sowie Jahre 2015-2017) in Bezug auf alle zu versichernden Arbeitnehmer, die sie beschäftigt habe. Im Übrigen verwies die Auffangeinrichtung auf die beigelegten Berechnungen und Kontoauszüge.
D.
Mit Eingabe vom 4. Januar 2018 (Datum des Poststempels) erhob die Arbeitgeberin (nachfolgend: Beschwerdeführerin) gegen die Verfügung der Auffangeinrichtung vom 28. November 2017 Beschwerde beim Bundesverwaltungsgericht. Sie beantragt sinngemäss, unter entsprechender Änderung der Beitragsverfügung sei der von ihr geschuldete Betrag herabzusetzen. Zudem fordert sie, dass an einem von der Auffangeinrichtung ausgearbeiteten Tilgungsplan festgehalten bzw. der Rechtsvorschlag bis zum Abschluss einer Vereinbarung betreffend einen neuen Tilgungsplan aufrechterhalten wird.
E.
In ihrer Vernehmlassung vom 17. April 2018 beantragt die Vorinstanz, die Beschwerde sei unter Kostenfolge zulasten der Beschwerdeführerin vollumfänglich abzuweisen.
F.
Auf Aufforderung des Bundesverwaltungsgerichts (Instruktionsverfügung vom 6. November 2018) hin reichte die Vorinstanz mit Eingabe vom 7. Dezember 2018 verschiedene Mutationsmeldungen sowie ein Schreiben der Beschwerdeführerin vom 14. Juli 2014 ein. Ferner erläuterte die Vorinstanz ihre Zinsberechnung.
G.
Auf die Vorbringen der Verfahrensbeteiligten sowie die eingereichten Unterlagen wird - soweit entscheidwesentlich - im Rahmen der folgenden Erwägungen eingegangen.
Das Bundesverwaltungsgericht zieht in Erwägung:
1.
1.1 Gemäss Art. 31
SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF) LTAF Art. 31 Principe - Le Tribunal administratif fédéral connaît des recours contre les décisions au sens de l'art. 5 de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)20. |
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 5 - 1 Sont considérées comme décisions les mesures prises par les autorités dans des cas d'espèce, fondées sur le droit public fédéral et ayant pour objet: |
|
1 | Sont considérées comme décisions les mesures prises par les autorités dans des cas d'espèce, fondées sur le droit public fédéral et ayant pour objet: |
a | de créer, de modifier ou d'annuler des droits ou des obligations; |
b | de constater l'existence, l'inexistence ou l'étendue de droits ou d'obligations; |
c | de rejeter ou de déclarer irrecevables des demandes tendant à créer, modifier, annuler ou constater des droits ou obligations. |
2 | Sont aussi considérées comme des décisions les mesures en matière d'exécution (art. 41, al. 1, let. a et b), les décisions incidentes (art. 45 et 46), les décisions sur opposition (art. 30, al. 2, let. b, et 74), les décisions sur recours (art. 61), les décisions prises en matière de révision (art. 68) et d'interprétation (art. 69).25 |
3 | Lorsqu'une autorité rejette ou invoque des prétentions à faire valoir par voie d'action, sa déclaration n'est pas considérée comme décision. |
SR 831.40 Loi fédérale du 25 juin 1982 sur la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (LPP) LPP Art. 60 - 1 L'institution supplétive est une institution de prévoyance. |
|
1 | L'institution supplétive est une institution de prévoyance. |
2 | Elle est tenue: |
a | d'affilier d'office les employeurs qui ne se conforment pas à l'obligation de s'affilier à une institution de prévoyance; |
b | d'affilier les employeurs qui en font la demande; |
c | d'admettre les personnes qui demandent à se faire assurer à titre facultatif; |
d | de servir les prestations prévues à l'art. 12; |
e | d'affilier l'assurance-chômage et de réaliser la couverture obligatoire des bénéficiaires d'indemnités journalières annoncés par cette assurance; |
f | d'admettre les personnes bénéficiant d'un partage de la prévoyance professionnelle à la suite d'un divorce conformément à l'art. 60a. |
2bis | L'institution supplétive peut rendre des décisions afin de remplir les obligations prévues à l'al. 2, let. a et b, et à l'art. 12, al. 2. Ces décisions sont assimilables à des jugements exécutoires au sens de l'art. 80 de la loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite242.243 |
3 | L'institution supplétive ne doit bénéficier d'aucun privilège pouvant entraîner des distorsions de la concurrence. |
4 | L'institution supplétive crée des agences régionales. |
5 | L'institution supplétive gère les comptes de libre passage conformément à l'art. 4, al. 2, de la LFLP244. Elle tient à cet effet un compte spécial.245 |
6 | L'institution supplétive n'a pas l'obligation de reprendre les engagements liés aux rentes en cours.246 |
SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF) LTAF Art. 33 Autorités précédentes - Le recours est recevable contre les décisions: |
|
a | du Conseil fédéral et des organes de l'Assemblée fédérale, en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération, y compris le refus d'autoriser la poursuite pénale; |
b | du Conseil fédéral concernant: |
b1 | la révocation d'un membre du conseil de banque ou de la direction générale ou d'un suppléant sur la base de la loi du 3 octobre 2003 sur la Banque nationale26, |
b10 | la révocation d'un membre du conseil d'administration du Service suisse d'attribution des sillons ou l'approbation de la résiliation des rapports de travail du directeur par le conseil d'administration, conformément à la loi fédérale du 20 décembre 1957 sur les chemins de fer44; |
b2 | la révocation d'un membre du conseil d'administration de l'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers ou l'approbation de la résiliation des rapports de travail du directeur par le conseil d'administration selon la loi du 22 juin 2007 sur la surveillance des marchés financiers27, |
b3 | le blocage de valeurs patrimoniales en vertu de la loi du 18 décembre 2015 sur les valeurs patrimoniales d'origine illicite29, |
b4 | l'interdiction d'exercer des activités en vertu de la LRens31, |
b4bis | l'interdiction d'organisations en vertu de la LRens, |
b5 | la révocation du mandat d'un membre du Conseil de l'Institut fédéral de métrologie au sens de la loi du 17 juin 2011 sur l'Institut fédéral de métrologie34, |
b6 | la révocation d'un membre du conseil d'administration de l'Autorité fédérale de surveillance en matière de révision ou l'approbation de la résiliation des rapports de travail du directeur par le conseil d'administration selon la loi du 16 décembre 2005 sur la surveillance de la révision36, |
b7 | la révocation d'un membre du conseil de l'Institut suisse des produits thérapeutiques sur la base de la loi du 15 décembre 2000 sur les produits thérapeutiques38, |
b8 | la révocation d'un membre du conseil d'administration de l'établissement au sens de la loi du 16 juin 2017 sur les fonds de compensation40, |
b9 | la révocation d'un membre du conseil de l'Institut suisse de droit comparé selon la loi du 28 septembre 2018 sur l'Institut suisse de droit comparé42; |
c | du Tribunal pénal fédéral en matière de rapports de travail de ses juges et de son personnel; |
cbis | du Tribunal fédéral des brevets en matière de rapports de travail de ses juges et de son personnel; |
cquater | du procureur général de la Confédération, en matière de rapports de travail des procureurs qu'il a nommés et du personnel du Ministère public de la Confédération; |
cquinquies | de l'Autorité de surveillance du Ministère public de la Confédération, en matière de rapports de travail de son secrétariat; |
cter | de l'Autorité de surveillance du Ministère public de la Confédération, en matière de rapports de travail des membres du Ministère public de la Confédération élus par l'Assemblée fédérale (Chambres réunies); |
d | de la Chancellerie fédérale, des départements et des unités de l'administration fédérale qui leur sont subordonnées ou administrativement rattachées; |
e | des établissements et des entreprises de la Confédération; |
f | des commissions fédérales; |
g | des tribunaux arbitraux fondées sur des contrats de droit public signés par la Confédération, ses établissements ou ses entreprises; |
h | des autorités ou organisations extérieures à l'administration fédérale, pour autant qu'elles statuent dans l'accomplissement de tâches de droit public que la Confédération leur a confiées; |
i | d'autorités cantonales, dans la mesure où d'autres lois fédérales prévoient un recours au Tribunal administratif fédéral. |
SR 831.40 Loi fédérale du 25 juin 1982 sur la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (LPP) LPP Art. 54 Création - 1 Les organisations faîtières des salariés et des employeurs créent deux fondations qui seront gérées paritairement. |
|
1 | Les organisations faîtières des salariés et des employeurs créent deux fondations qui seront gérées paritairement. |
2 | Le Conseil fédéral charge ces fondations: |
a | l'une de fonctionner comme fonds de garantie; |
b | l'autre d'assumer les attributions de l'institution supplétive. |
3 | Si les organisations faîtières des salariés et des employeurs ne parviennent pas à instituer ensemble une fondation, le Conseil fédéral en provoquera lui-même la création. |
4 | Les fondations sont réputées autorités au sens de l'art. 1, al. 2, let. e, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative217. |
SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF) LTAF Art. 32 Exceptions - 1 Le recours est irrecevable contre: |
|
1 | Le recours est irrecevable contre: |
a | les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit jugée par un tribunal; |
b | les décisions concernant le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et les votations populaires; |
c | les décisions relatives à la composante «prestation» du salaire du personnel de la Confédération, dans la mesure où elles ne concernent pas l'égalité des sexes; |
d | ... |
e | les décisions dans le domaine de l'énergie nucléaire concernant: |
e1 | l'autorisation générale des installations nucléaires; |
e2 | l'approbation du programme de gestion des déchets; |
e3 | la fermeture de dépôts en profondeur; |
e4 | la preuve de l'évacuation des déchets. |
f | les décisions relatives à l'octroi ou l'extension de concessions d'infrastructures ferroviaires; |
g | les décisions rendues par l'Autorité indépendante d'examen des plaintes en matière de radio-télévision; |
h | les décisions relatives à l'octroi de concessions pour des maisons de jeu; |
i | les décisions relatives à l'octroi, à la modification ou au renouvellement de la concession octroyée à la Société suisse de radiodiffusion et télévision (SSR); |
j | les décisions relatives au droit aux contributions d'une haute école ou d'une autre institution du domaine des hautes écoles. |
2 | Le recours est également irrecevable contre: |
a | les décisions qui, en vertu d'une autre loi fédérale, peuvent faire l'objet d'une opposition ou d'un recours devant une autorité précédente au sens de l'art. 33, let. c à f; |
b | les décisions qui, en vertu d'une autre loi fédérale, peuvent faire l'objet d'un recours devant une autorité cantonale. |
1.2 Die Beschwerdeführerin hat am vorinstanzlichen Verfahren teilgenommen, ist als Verfügungsadressatin durch die angefochtene Verfügung besonders berührt und hat ein schutzwürdiges Interesse an deren Aufhebung. Sie ist somit zur Erhebung der vorliegenden Beschwerde im Sinne von Art. 48 Abs. 1
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 48 - 1 A qualité pour recourir quiconque: |
|
1 | A qualité pour recourir quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité inférieure ou a été privé de la possibilité de le faire; |
b | est spécialement atteint par la décision attaquée, et |
c | a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification. |
2 | A également qualité pour recourir toute personne, organisation ou autorité qu'une autre loi fédérale autorise à recourir. |
1.3 Da ein allfälliger Zahlungsplan zu Recht keinen Gegenstand der angefochtenen Verfügung bildet, kann die Frage nach einem Tilgungsplan nicht Gegenstand des vorliegenden Verfahrens sein (vgl. Urteil des BVGer A-6810/2015 vom 13. September 2016 E. 1.3, mit Hinweis). Soweit die Beschwerdeführerin fordert, es sei an einem (angeblich) am 22. Juli 2017 vereinbarten Zahlungsplan festzuhalten und/oder der Rechtsvorschlag sei bis zum Abschluss einer Vereinbarung betreffend einen neuen Tilgungsplan aufrechtzuerhalten, ist dementsprechend auf die Beschwerde nicht einzutreten.
1.4 Auf die im Übrigen frist- und formgerecht eingereichte Beschwerde (vgl. Art. 22a Abs. 1 Bst. c
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 22a - 1 Les délais fixés en jours par la loi ou par l'autorité ne courent pas: |
|
1 | Les délais fixés en jours par la loi ou par l'autorité ne courent pas: |
a | du 7e jour avant Pâques au 7e jour après Pâques inclusivement; |
b | du 15 juillet au 15 août inclusivement; |
c | du 18 décembre au 2 janvier inclusivement. |
2 | L'al. 1 n'est pas applicable dans les procédures concernant: |
a | l'octroi de l'effet suspensif et d'autres mesures provisionnelles; |
b | les marchés publics.61 |
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 50 - 1 Le recours doit être déposé dans les 30 jours qui suivent la notification de la décision. |
|
1 | Le recours doit être déposé dans les 30 jours qui suivent la notification de la décision. |
2 | Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps. |
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 52 - 1 Le mémoire de recours indique les conclusions, motifs et moyens de preuve et porte la signature du recourant ou de son mandataire; celui-ci y joint l'expédition de la décision attaquée et les pièces invoquées comme moyens de preuve, lorsqu'elles se trouvent en ses mains. |
|
1 | Le mémoire de recours indique les conclusions, motifs et moyens de preuve et porte la signature du recourant ou de son mandataire; celui-ci y joint l'expédition de la décision attaquée et les pièces invoquées comme moyens de preuve, lorsqu'elles se trouvent en ses mains. |
2 | Si le recours ne satisfait pas à ces exigences, ou si les conclusions ou les motifs du recourant n'ont pas la clarté nécessaire, sans que le recours soit manifestement irrecevable, l'autorité de recours impartit au recourant un court délai supplémentaire pour régulariser le recours. |
3 | Elle avise en même temps le recourant que si le délai n'est pas utilisé, elle statuera sur la base du dossier ou si les conclusions, les motifs ou la signature manquent, elle déclarera le recours irrecevable. |
2.
Mit Beschwerde an das Bundesverwaltungsgericht kann gerügt werden, die angefochtene Verfügung verletze Bundesrecht (einschliesslich Überschreitung oder Missbrauch des Ermessens), beruhe auf einer unrichtigen oder unvollständigen Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts
oder sei unangemessen (vgl. Art. 49
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 49 - Le recourant peut invoquer: |
|
a | la violation du droit fédéral, y compris l'excès ou l'abus du pouvoir d'appréciation; |
b | la constatation inexacte ou incomplète des faits pertinents; |
c | l'inopportunité: ce grief ne peut être invoqué lorsqu'une autorité cantonale a statué comme autorité de recours. |
Das Bundesverwaltungsgericht ist gemäss dem Grundsatz der Rechtsanwendung von Amtes wegen nicht an die Begründung der Begehren der Parteien gebunden (vgl. Art. 62 Abs. 4
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 62 - 1 L'autorité de recours peut modifier la décision attaquée à l'avantage d'une partie. |
|
1 | L'autorité de recours peut modifier la décision attaquée à l'avantage d'une partie. |
2 | Elle peut modifier au détriment d'une partie la décision attaquée, lorsque celle-ci viole le droit fédéral ou repose sur une constatation inexacte ou incomplète des faits: pour inopportunité, la décision attaquée ne peut être modifiée au détriment d'une partie, sauf si la modification profite à la partie adverse. |
3 | Si l'autorité de recours envisage de modifier, au détriment d'une partie, la décision attaquée, elle l'informe de son intention et lui donne l'occasion de s'exprimer. |
4 | Les motifs invoqués à l'appui du recours ne lient en aucun cas l'autorité de recours. |
Gestützt auf das Rügeprinzip, welches im Beschwerdeverfahren vor dem Bundesverwaltungsgericht in abgeschwächter Form zur Anwendung gelangt, ist dieses Gericht nicht gehalten, nach allen möglichen Rechtsfehlern zu suchen; für entsprechende Fehler müssen sich mindestens Anhaltspunkte aus den Vorbringen der Verfahrensbeteiligten oder den Akten ergeben (vgl. anstelle vieler: Urteil des BVGer A-1617/2016 vom 6. Februar 2017 E. 1.6; André Moser et al., Prozessieren vor dem Bundesverwaltungsgericht, 2. Aufl. 2013, N. 1.54 f.).
3.
3.1 Die Vorinstanz ist zwecks Erfüllung ihrer Aufgaben als Auffangeinrichtung nicht nur zuständig, über den Bestand sowie den Umfang ihrer Forderungen gegenüber Arbeitgebern Verfügungen zu erlassen, die vollstreckbaren Urteilen im Sinne von Art. 80
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP) LP Art. 80 - 1 Le créancier qui est au bénéfice d'un jugement exécutoire peut requérir du juge la mainlevée définitive de l'opposition. |
|
1 | Le créancier qui est au bénéfice d'un jugement exécutoire peut requérir du juge la mainlevée définitive de l'opposition. |
2 | Sont assimilées à des jugements: |
1 | les transactions ou reconnaissances passées en justice; |
2bis | les décisions des autorités administratives suisses; |
3 | ... |
4 | les décisions définitives concernant les frais de contrôle rendues par les organes de contrôle en vertu de l'art. 16, al. 1, de la loi du 17 juin 2005 sur le travail au noir158; |
5 | dans le domaine de la taxe sur la valeur ajoutée: les décomptes d'impôt et les notifications d'estimation entrés en force par la prescription du droit de taxation, ainsi que les notifications d'estimation entrées en force par la reconnaissance écrite par l'assujetti. |
SR 831.40 Loi fédérale du 25 juin 1982 sur la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (LPP) LPP Art. 60 - 1 L'institution supplétive est une institution de prévoyance. |
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1 | L'institution supplétive est une institution de prévoyance. |
2 | Elle est tenue: |
a | d'affilier d'office les employeurs qui ne se conforment pas à l'obligation de s'affilier à une institution de prévoyance; |
b | d'affilier les employeurs qui en font la demande; |
c | d'admettre les personnes qui demandent à se faire assurer à titre facultatif; |
d | de servir les prestations prévues à l'art. 12; |
e | d'affilier l'assurance-chômage et de réaliser la couverture obligatoire des bénéficiaires d'indemnités journalières annoncés par cette assurance; |
f | d'admettre les personnes bénéficiant d'un partage de la prévoyance professionnelle à la suite d'un divorce conformément à l'art. 60a. |
2bis | L'institution supplétive peut rendre des décisions afin de remplir les obligations prévues à l'al. 2, let. a et b, et à l'art. 12, al. 2. Ces décisions sont assimilables à des jugements exécutoires au sens de l'art. 80 de la loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite242.243 |
3 | L'institution supplétive ne doit bénéficier d'aucun privilège pouvant entraîner des distorsions de la concurrence. |
4 | L'institution supplétive crée des agences régionales. |
5 | L'institution supplétive gère les comptes de libre passage conformément à l'art. 4, al. 2, de la LFLP244. Elle tient à cet effet un compte spécial.245 |
6 | L'institution supplétive n'a pas l'obligation de reprendre les engagements liés aux rentes en cours.246 |
SR 831.40 Loi fédérale du 25 juin 1982 sur la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (LPP) LPP Art. 11 Affiliation à une institution de prévoyance - 1 Tout employeur occupant des salariés soumis à l'assurance obligatoire doit être affilié à une institution de prévoyance inscrite dans le registre de la prévoyance professionnelle. |
|
1 | Tout employeur occupant des salariés soumis à l'assurance obligatoire doit être affilié à une institution de prévoyance inscrite dans le registre de la prévoyance professionnelle. |
2 | Si l'employeur n'est pas encore affilié à une institution de prévoyance, il en choisira une après entente avec son personnel, ou, si elle existe, avec la représentation des travailleurs.27 |
3 | L'affiliation a lieu avec effet rétroactif. |
3bis | La résiliation de l'affiliation et la réaffiliation à une nouvelle institution de prévoyance par l'employeur s'effectuent après entente avec son personnel, ou, si elle existe, avec la représentation des travailleurs. L'institution de prévoyance doit annoncer la résiliation du contrat d'affiliation à l'institution supplétive (art. 60).28 29 |
3ter | Faute d'entente dans les cas cités aux al. 2 et 3bis, la décision sera prise par un arbitre neutre désigné soit d'un commun accord, soit, à défaut, par l'autorité de surveillance.30 |
4 | La caisse de compensation de l'AVS s'assure que les employeurs qui dépendent d'elle sont affiliés à une institution de prévoyance enregistrée.31 |
5 | La caisse de compensation de l'AVS somme les employeurs qui ne remplissent pas l'obligation prévue à l'al. 1 de s'affilier dans les deux mois à une institution de prévoyance enregistrée.32 |
6 | Si l'employeur ne se soumet pas à la mise en demeure de la caisse de compensation de l'AVS dans le délai imparti, celle-ci l'annonce à l'institution supplétive (art. 60) pour affiliation rétroactive.33 |
7 | L'institution supplétive et la caisse de compensation de l'AVS facturent à l'employeur retardataire les frais administratifs qu'il a occasionnés. Les frais non recouvrables sont pris en charge par le fonds de garantie (art. 56, al. 1, let. d et h).34 |
3.2 Hat die Vorinstanz indessen bereits vor Einleitung der Betreibung über eine öffentlich-rechtliche Forderung befunden, so kann sie den Rechtsvorschlag nicht nachträglich beseitigen, sondern muss diesbezüglich definitive Rechtsöffnung gemäss Art. 80 Abs. 1
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP) LP Art. 80 - 1 Le créancier qui est au bénéfice d'un jugement exécutoire peut requérir du juge la mainlevée définitive de l'opposition. |
|
1 | Le créancier qui est au bénéfice d'un jugement exécutoire peut requérir du juge la mainlevée définitive de l'opposition. |
2 | Sont assimilées à des jugements: |
1 | les transactions ou reconnaissances passées en justice; |
2bis | les décisions des autorités administratives suisses; |
3 | ... |
4 | les décisions définitives concernant les frais de contrôle rendues par les organes de contrôle en vertu de l'art. 16, al. 1, de la loi du 17 juin 2005 sur le travail au noir158; |
5 | dans le domaine de la taxe sur la valeur ajoutée: les décomptes d'impôt et les notifications d'estimation entrés en force par la prescription du droit de taxation, ainsi que les notifications d'estimation entrées en force par la reconnaissance écrite par l'assujetti. |
4.
4.1
4.1.1 Das BVG gilt nur für Personen, die bei der eidgenössischen Alters- und Hinterlassenenversicherung (AHV) versichert sind (Art. 5 Abs. 1
SR 831.40 Loi fédérale du 25 juin 1982 sur la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (LPP) LPP Art. 5 Dispositions communes - 1 La présente loi ne s'applique qu'aux personnes qui sont assurées à l'assurance-vieillesse et survivants fédérale (AVS).9 |
|
1 | La présente loi ne s'applique qu'aux personnes qui sont assurées à l'assurance-vieillesse et survivants fédérale (AVS).9 |
2 | Elle s'applique aux institutions de prévoyance enregistrées au sens de l'art. 48. Les art. 56, al. 1, let. c, d et i, et 59, al. 2, ainsi que les dispositions relatives à la sécurité financière (art. 65, al. 1, 2 et 2bis, 65c, 65d, al. 1, 2 et 3, let. a, 2e phrase, et b, 65e, 67, 71 et 72a à 72g) s'appliquent également aux institutions de prévoyance non enregistrées qui sont soumises à la loi du 17 décembre 1993 sur le libre passage (LFLP)10.11 |
SR 831.40 Loi fédérale du 25 juin 1982 sur la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (LPP) LPP Art. 7 Salaire et âge minima - 1 Les salariés auxquels un même employeur verse un salaire annuel supérieur à 22 050 francs12 sont soumis à l'assurance obligatoire pour les risques de décès et d'invalidité dès le 1er janvier qui suit la date à laquelle ils ont eu 17 ans et, pour la vieillesse, dès le 1er janvier qui suit la date à laquelle ils ont eu 24 ans.13 |
|
1 | Les salariés auxquels un même employeur verse un salaire annuel supérieur à 22 050 francs12 sont soumis à l'assurance obligatoire pour les risques de décès et d'invalidité dès le 1er janvier qui suit la date à laquelle ils ont eu 17 ans et, pour la vieillesse, dès le 1er janvier qui suit la date à laquelle ils ont eu 24 ans.13 |
2 | Est pris en considération le salaire déterminant au sens de la loi fédérale du 20 décembre 1946 sur l'assurance-vieillesse et survivants (LAVS)14. Le Conseil fédéral peut admettre des dérogations. |
4.1.2 Arbeitnehmende, die das 17. Altersjahr überschritten haben, unterstanden - soweit hier interessierend - bei Erreichen der Jahreslöhne von Fr. 21'060.- für das Jahr 2014 und Fr. 21'150.- für die Jahre 2015-2017 der obligatorischen Versicherung (vgl. Art. 2 Abs. 1
SR 831.40 Loi fédérale du 25 juin 1982 sur la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (LPP) LPP Art. 2 Assurance obligatoire des salariés et des chômeurs - 1 Sont soumis à l'assurance obligatoire les salariés qui ont plus de 17 ans et reçoivent d'un même employeur un salaire annuel supérieur à 22 050 francs6 (art. 7). |
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1 | Sont soumis à l'assurance obligatoire les salariés qui ont plus de 17 ans et reçoivent d'un même employeur un salaire annuel supérieur à 22 050 francs6 (art. 7). |
2 | Si le salarié est occupé par un employeur pendant moins d'une année, est considéré comme salaire annuel celui qu'il obtiendrait s'il était occupé toute l'année. |
3 | Les bénéficiaires d'indemnités journalières de l'assurance-chômage sont soumis à l'assurance obligatoire en ce qui concerne les risques de décès et d'invalidité. |
4 | Le Conseil fédéral règle l'assujettissement à l'assurance des salariés qui exercent des professions où les engagements changent fréquemment ou sont temporaires. Il définit les catégories de salariés qui, pour des motifs particuliers, ne sont pas soumis à l'assurance obligatoire. |
SR 831.40 Loi fédérale du 25 juin 1982 sur la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (LPP) LPP Art. 7 Salaire et âge minima - 1 Les salariés auxquels un même employeur verse un salaire annuel supérieur à 22 050 francs12 sont soumis à l'assurance obligatoire pour les risques de décès et d'invalidité dès le 1er janvier qui suit la date à laquelle ils ont eu 17 ans et, pour la vieillesse, dès le 1er janvier qui suit la date à laquelle ils ont eu 24 ans.13 |
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1 | Les salariés auxquels un même employeur verse un salaire annuel supérieur à 22 050 francs12 sont soumis à l'assurance obligatoire pour les risques de décès et d'invalidité dès le 1er janvier qui suit la date à laquelle ils ont eu 17 ans et, pour la vieillesse, dès le 1er janvier qui suit la date à laquelle ils ont eu 24 ans.13 |
2 | Est pris en considération le salaire déterminant au sens de la loi fédérale du 20 décembre 1946 sur l'assurance-vieillesse et survivants (LAVS)14. Le Conseil fédéral peut admettre des dérogations. |
SR 831.40 Loi fédérale du 25 juin 1982 sur la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (LPP) LPP Art. 9 Adaptation à l'AVS - Le Conseil fédéral peut adapter les montants-limites fixés aux art. 2, 7, 8 et 46 aux augmentations de la rente simple minimale de vieillesse de l'AVS. La limite supérieure du salaire coordonné peut être adaptée compte tenu également de l'évolution générale des salaires. |
SR 831.441.1 Ordonnance du 18 avril 1984 sur la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (OPP 2) OPP-2 Art. 5 Adaptation à l'AVS - (art. 9 LPP) |
Für die Berechnung der Beiträge an die berufliche Vorsorge ist - analog zur Versicherungsunterstellung (vgl. Art. 7 Abs. 2
SR 831.40 Loi fédérale du 25 juin 1982 sur la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (LPP) LPP Art. 7 Salaire et âge minima - 1 Les salariés auxquels un même employeur verse un salaire annuel supérieur à 22 050 francs12 sont soumis à l'assurance obligatoire pour les risques de décès et d'invalidité dès le 1er janvier qui suit la date à laquelle ils ont eu 17 ans et, pour la vieillesse, dès le 1er janvier qui suit la date à laquelle ils ont eu 24 ans.13 |
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1 | Les salariés auxquels un même employeur verse un salaire annuel supérieur à 22 050 francs12 sont soumis à l'assurance obligatoire pour les risques de décès et d'invalidité dès le 1er janvier qui suit la date à laquelle ils ont eu 17 ans et, pour la vieillesse, dès le 1er janvier qui suit la date à laquelle ils ont eu 24 ans.13 |
2 | Est pris en considération le salaire déterminant au sens de la loi fédérale du 20 décembre 1946 sur l'assurance-vieillesse et survivants (LAVS)14. Le Conseil fédéral peut admettre des dérogations. |
4.1.3 Zu versichern ist nur ein bestimmter, als sog. koordinierter Lohn bezeichneter Teil des jeweiligen Jahreslohnes (vgl. Art. 8 Abs. 1
SR 831.40 Loi fédérale du 25 juin 1982 sur la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (LPP) LPP Art. 8 Salaire coordonné - 1 La partie du salaire annuel comprise entre 25 725 et 88 200 francs15 doit être assurée. Cette partie du salaire est appelée «salaire coordonné».16 |
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1 | La partie du salaire annuel comprise entre 25 725 et 88 200 francs15 doit être assurée. Cette partie du salaire est appelée «salaire coordonné».16 |
2 | Si le salaire coordonné n'atteint pas 3675 francs17 par an, il est arrondi à ce montant.18 |
3 | Si le salaire annuel diminue temporairement par suite de maladie, d'accident, de chômage, de parentalité, d'adoption ou d'autres circonstances semblables, le salaire coordonné est maintenu au moins pour la durée de l'obligation légale de l'employeur de verser le salaire selon l'art. 324a du code des obligations (CO)19, du congé de maternité au sens de l'art. 329f CO, du congé de l'autre parent au sens des art. 329g et 329gbis CO, du congé de prise en charge au sens de l'art. 329i CO ou du congé d'adoption prévu à l'art. 329j CO.20 La personne assurée peut toutefois demander la réduction du salaire coordonné.21 |
SR 831.441.1 Ordonnance du 18 avril 1984 sur la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (OPP 2) OPP-2 Art. 5 Adaptation à l'AVS - (art. 9 LPP) |
- der Lohn von Fr. 24'570.- bis und mit Fr. 84'240.- im Jahr 2014, und
- der Lohn von Fr. 24'675.- bis und mit Fr. 84'600.- in den Jahren 2015-2017.
4.2 Gemäss Art. 66 Abs. 2
SR 831.40 Loi fédérale du 25 juin 1982 sur la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (LPP) LPP Art. 66 Répartition des cotisations - 1 L'institution de prévoyance fixe dans ses dispositions réglementaires le montant des cotisations de l'employeur et de celles des salariés. La somme des cotisations (contribution) de l'employeur doit être au moins égale à la somme des cotisations de tous les salariés. La contribution de l'employeur ne peut être fixée plus haut qu'avec son assentiment. |
|
1 | L'institution de prévoyance fixe dans ses dispositions réglementaires le montant des cotisations de l'employeur et de celles des salariés. La somme des cotisations (contribution) de l'employeur doit être au moins égale à la somme des cotisations de tous les salariés. La contribution de l'employeur ne peut être fixée plus haut qu'avec son assentiment. |
2 | L'employeur est débiteur de la totalité des cotisations envers l'institution de prévoyance. Celle-ci peut majorer d'un intérêt moratoire les cotisations payées tardivement. |
3 | L'employeur déduit du salaire les cotisations que les dispositions réglementaires mettent à la charge du salarié. |
4 | Il transfère à l'institution de prévoyance sa contribution ainsi que les c1otisations des salariés au plus tard à la fin du premier mois suivant l'année civile ou l'année d'assurance pour laquelle les cotisations sont dues.290 |
4.3 Nach Art. 11 Abs. 7
SR 831.40 Loi fédérale du 25 juin 1982 sur la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (LPP) LPP Art. 11 Affiliation à une institution de prévoyance - 1 Tout employeur occupant des salariés soumis à l'assurance obligatoire doit être affilié à une institution de prévoyance inscrite dans le registre de la prévoyance professionnelle. |
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1 | Tout employeur occupant des salariés soumis à l'assurance obligatoire doit être affilié à une institution de prévoyance inscrite dans le registre de la prévoyance professionnelle. |
2 | Si l'employeur n'est pas encore affilié à une institution de prévoyance, il en choisira une après entente avec son personnel, ou, si elle existe, avec la représentation des travailleurs.27 |
3 | L'affiliation a lieu avec effet rétroactif. |
3bis | La résiliation de l'affiliation et la réaffiliation à une nouvelle institution de prévoyance par l'employeur s'effectuent après entente avec son personnel, ou, si elle existe, avec la représentation des travailleurs. L'institution de prévoyance doit annoncer la résiliation du contrat d'affiliation à l'institution supplétive (art. 60).28 29 |
3ter | Faute d'entente dans les cas cités aux al. 2 et 3bis, la décision sera prise par un arbitre neutre désigné soit d'un commun accord, soit, à défaut, par l'autorité de surveillance.30 |
4 | La caisse de compensation de l'AVS s'assure que les employeurs qui dépendent d'elle sont affiliés à une institution de prévoyance enregistrée.31 |
5 | La caisse de compensation de l'AVS somme les employeurs qui ne remplissent pas l'obligation prévue à l'al. 1 de s'affilier dans les deux mois à une institution de prévoyance enregistrée.32 |
6 | Si l'employeur ne se soumet pas à la mise en demeure de la caisse de compensation de l'AVS dans le délai imparti, celle-ci l'annonce à l'institution supplétive (art. 60) pour affiliation rétroactive.33 |
7 | L'institution supplétive et la caisse de compensation de l'AVS facturent à l'employeur retardataire les frais administratifs qu'il a occasionnés. Les frais non recouvrables sont pris en charge par le fonds de garantie (art. 56, al. 1, let. d et h).34 |
Voraussetzung für die Rechtmässigkeit dieser Gebührenforderungen ist praxisgemäss, dass die damit abgegoltenen Verwaltungsmassnahmen effektiv und zu Recht erfolgt sind (statt vieler: Urteil des BVGer A-4271/2016 vom 21. Juni 2017 E. 2.3, mit Hinweisen).
4.4 Im Recht der beruflichen Vorsorge besteht eine spezialgesetzliche Grundlage zur Erhebung von Verzugszinsen lediglich mit Bezug auf Beitragsforderungen (Art. 66 Abs. 2
SR 831.40 Loi fédérale du 25 juin 1982 sur la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (LPP) LPP Art. 66 Répartition des cotisations - 1 L'institution de prévoyance fixe dans ses dispositions réglementaires le montant des cotisations de l'employeur et de celles des salariés. La somme des cotisations (contribution) de l'employeur doit être au moins égale à la somme des cotisations de tous les salariés. La contribution de l'employeur ne peut être fixée plus haut qu'avec son assentiment. |
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1 | L'institution de prévoyance fixe dans ses dispositions réglementaires le montant des cotisations de l'employeur et de celles des salariés. La somme des cotisations (contribution) de l'employeur doit être au moins égale à la somme des cotisations de tous les salariés. La contribution de l'employeur ne peut être fixée plus haut qu'avec son assentiment. |
2 | L'employeur est débiteur de la totalité des cotisations envers l'institution de prévoyance. Celle-ci peut majorer d'un intérêt moratoire les cotisations payées tardivement. |
3 | L'employeur déduit du salaire les cotisations que les dispositions réglementaires mettent à la charge du salarié. |
4 | Il transfère à l'institution de prévoyance sa contribution ainsi que les c1otisations des salariés au plus tard à la fin du premier mois suivant l'année civile ou l'année d'assurance pour laquelle les cotisations sont dues.290 |
5.
5.1 Nach Darstellung der Vorinstanz bezieht sich die vorliegend angefochtene Verfügung einzig auf den Zeitraum vom 1. Juli 2014 bis 31. Juli 2017. Die Beschwerdeführerin bestreitet prinzipiell ihre gesetzliche Beitragsverpflichtung mit Bezug auf die in diesem Zeitraum angestellten und obligatorisch zu versichernden Arbeitnehmer nicht (vgl. dazu Beschwerde, S. 1, wo die Beschwerdeführerin erklärt, «eine ausstehende Forderung der [...] Auffangeinrichtung» grundsätzlich nicht zu bestreiten).
Die vorinstanzliche Berechnung der für die genannte Zeitspanne (angeblich) geschuldeten Beiträge ist in der Beilage 2 der angefochtenen Verfügung mitsamt den für das jeweilige Jahr herangezogenen Beitragssätzen detailliert ausgewiesen.
5.2 Gemäss der erwähnten Berechnung der Vorinstanz ergeben sich für den Gegenstand der angefochtenen Verfügung bildenden Teil des Jahres 2014 (Zeit vom 1. Juli 2014 bis 31. Dezember 2014) folgende Beiträge (Beilage 2 der angefochtenen Verfügung, S. 1 ff.):
Beitrag für C._______ in der Zeit vom 1. Juli 2014 bis 31. Dezember 2014: 2 * Fr. 2'349.27 = Fr. 4'698.54
Beitrag für D._______ in der Zeit vom 1. Juli 2014 bis 31. Dezember 2014: 2 * Fr. 631.23 = Fr. 1'262.46
Beitrag für E._______ in der Zeit vom 1. Juli 2014 bis 31. Dezember 2014: Fr. 1'559.04
Beitrag für F._______ in der Zeit vom 1. Juli 2014 bis 31. Dezember 2014: Fr. 430.88
Beitrag für G._______ in der Zeit vom 1. Juli 2014 bis 30. September 2014: Fr. 732.19
Beitrag für H._______ in der Zeit vom 1. Juli 2014 bis 31. Dezember 2014: 2 * Fr. 1'097.63 = Fr. 2'195.26
Beitrag für I._______ in der Zeit vom 1. Juli 2014 bis 31. Dezember 2014: 2 * Fr. 1'169.49 = Fr. 2'338.98
Beitrag für J._______ in der Zeit vom 1. August 2014 bis 31. Dezember 2014: Fr. 359.07
Beitrag für K._______ in der Zeit vom 1. Juli 2014 bis 31. Dezember 2014: 2 * Fr. 191.75 = Fr. 383.50
Beitrag für L._______ in der Zeit vom 1. Juli 2014 bis 31. Dezember 2014: 2 * Fr. 1'527.99 = Fr. 3'055.98
TotalFr. 17'015.90
5.3 Gemäss Beilage 2 der angefochtenen Verfügung beträgt sodann die Summe aller Beiträge für das Jahr 2015 Fr. 38'940.71 und die Summe aller Beiträge für das Jahr 2016 Fr. 56'750.68 (Beilage 2 der angefochtenen Verfügung, S. 7 und 10).
5.4 Im Jahr 2017 sind schliesslich bis Ende Juli dieses Jahres nach den Berechnungen der Vorinstanz folgende Beiträge angefallen (Beilage 2 der angefochtenen Verfügung, S. 10 ff.):
Beitrag für C._______ in der Zeit vom 1. Januar 2017 bis 31. Juli 2017: Fr. 4'749.36
Beitrag für M._______ in der Zeit vom 1. Januar 2017 bis 30. Juni 2017: Fr. 2'591.82
Beitrag für F._______ in der Zeit vom 1. Januar 2017 bis 30. Juni 2017: Fr. 2'694.04
Beitrag für N._______ in der Zeit vom 1. Januar 2017 bis 30. Juni 2017: Fr. 3'975.88
Beitrag für H._______ in der Zeit vom 1. Januar 2017 bis 30. Juni 2017: Fr. 1'907.82
Beitrag für O._______ in der Zeit vom 1. Januar 2017 bis 30. Juni 2017: Fr. 2'200.54
Beitrag für I._______ in der Zeit vom 1. Januar 2017 bis 30. Juni 2017: Fr. 2'085.76
Beitrag für P._______ in der Zeit vom 1. Januar 2017 bis 30. Juni 2017: Fr. 2'347.54
Beitrag für L._______ in der Zeit vom 1. Januar 2017 bis 4. Mai 2017: Fr. 2'018.42
TotalFr. 24'571.18
5.5 Als Zwischenergebnis ist festzuhalten, dass sich vorliegend nach der hiervor zusammengefassten Kalkulation der Vorinstanz für die Zeitspanne vom 1. Juli 2014 bis 31. Juli 2017 Beiträge von insgesamt Fr. 137'278.47 (= Fr. 17'015.90 + Fr. 38'940.71 + Fr. 56'750.68 + Fr. 24'571.18) ergeben. Die vorinstanzliche Berechnung dieser Beiträge wurde von der Beschwerdeführerin nicht substantiiert bestritten. Auch sieht das Bundesverwaltungsgericht keinen Grund, diese Berechnung (sowie die Beitragssätze) in der Beilage 2 der angefochtenen Verfügung zu beanstanden.
6.
6.1 Eine Auflistung der für die Zeitspanne vom 1. Juli 2014 bis 31. Juli 2017 darüber hinaus erhobenen Kosten bzw. Gebühren unter Hinweis auf ihnen (angeblich) zugrunde liegende Massnahmen findet sich im Kontokorrentauszug, welcher der angefochtenen Verfügung als Beilage 2 beigelegt wurde. In diesem Kontokorrentauszug ist für den erwähnten Zeitraum ein Kosten-/Gebührengesamtbetrag von Fr. 2'350.- für nach Ablauf der Meldefrist mitgeteilte Lohnänderungen, zu spät gemeldete Ein- und Austritte, Mahnungen, ein Fortsetzungsbegehren, ein Konkursbegehren und einen Tilgungsplan aufgeführt. Der Betrag setzt sich im Einzelnen aus folgenden Positionen zusammen (vgl. Beilage 2 der angefochtenen Verfügung, S. 2 ff.):
17.07.14 Lohnänderung pro VP 1*100.00 / Q._______Fr. 100.-
17.07.14 Lohnänderung pro VP 1*100.00 / R._______Fr. 100.-
17.07.14 Lohnänderung pro VP 1*100.00 / S._______Fr. 100.-
17.07.14 Lohnänderung pro VP 1*100.00 / F._______Fr. 100.-
17.07.14 Lohnänderung pro VP 1*100.00 / T._______Fr. 100.-
17.07.14 Lohnänderung pro VP 2*100.00 / U._______Fr. 200.-
17.07.14 Lohnänderung pro VP 2*100.00 / V._______Fr. 200.-
27.11.15 Lohnänderung pro VP 2*100.00 / K._______Fr. 200.-
16.08.16 Kosten verspätete Meldung Eintritt pro Versicherter 1*100.00 / W._______ Fr. 100.-
17.07.14 Zu spät gemeldeter Austritt pro VP und Jahr 1*100.00 / U._______ Fr. 100.-
17.07.14 Zu spät gemeldeter Austritt pro VP und Jahr 1*100.00 / V._______ Fr. 100.-
07.10.15 Zu spät gemeldeter Austritt pro VP und Jahr 1*100.00 / X._______ Fr. 100.-
17.11.14 MahnkostenFr. 50.-
19.02.15 MahnkostenFr. 50.-
26.05.15 MahnkostenFr. 50.-
25.08.15 MahnkostenFr. 50.-
25.11.15 MahnkostenFr. 50.-
02.03.16 MahnkostenFr. 50.-
01.06.16 MahnkostenFr. 50.-
31.08.16 MahnkostenFr. 50.-
09.12.16 MahnkostenFr. 50.-
11.03.17 MahnkostenFr. 50.-
09.06.17 MahnkostenFr. 50.-
29.11.16 Kosten FortsetzungsbegehrenFr. 100.-
01.06.17 Kosten KonkursbegehrenFr. 100.-
12.07.17 Kosten TilgungsplanFr. 100.-
6.2 Was die genannten, am 17. Juli 2014 verbuchten Positionen betrifft, hat das Bundesverwaltungsgericht in seinem die Beschwerdeführerin betreffenden Urteil A-6810/2015 vom 13. September 2016 bereits rechtskräftig entschieden, dass die Auffangeinrichtung zu Recht Kosten von Fr. 900.- für neun rückwirkende Lohnänderungen und Fr. 200.- für zwei zu spät gemeldete Austritte in Rechnung gestellt hat (vgl. E. 3.4.1.3 des Urteils sowie S. 2 der Stellungnahme der Vorinstanz vom 7. Dezember 2018). Wie im Folgenden ersichtlich wird, sind diese Positionen zu Unrecht in die vorliegend angefochtene Verfügung mit eingeflossen (vgl. hinten E. 6.6 und 8. Entgegen der Darstellung der Vorinstanz [S. 6 der Vernehmlassung; S. 2 der Stellungnahme der Vorinstanz vom 7. Dezember 2018] sind insbesondere auch die im erwähnten Sinne bereits entschiedenen Kosten für die verspätete Meldung der Austritte von U._______ und V._______ wiederum Gegenstand der angefochtenen Verfügung. Nichts daran ändern kann der Umstand, dass diese Austritte vor dem Beitragszeitraum vom 1. Juli 2014 bis 31. Juli 2017 erfolgten).
Mit ihrer Eingabe vom 7. Dezember 2018 hat die Vorinstanz eine auf den 16. Oktober 2015 datierende Mutationsmeldung betreffend den Arbeitnehmer K._______ eingereicht (Beilage 9 zur Eingabe der Vorinstanz vom 7. Dezember 2018). Damit ist erstellt, dass die Beschwerdeführerin (unter anderem) Lohnänderungen für diesen Versicherten für die Jahre 2013 und 2014 zu spät gemeldet hat. Da sich nach dem massgebenden Kostenreglement für nach dem Ablauf der Meldefrist mitgeteilte Lohnänderungen pro versicherte Person und Jahr Fr. 100.- erheben lassen (vgl. E. 4.3), ist nicht zu beanstanden, dass die Vorinstanz Fr. 200.- als Gebühr für eine verspätete Meldung von Änderungen des Lohnes von K._______ für die beiden genannten Jahre fordert.
6.3 Gemäss dem Kostenreglement können für nach dem Ablauf der Meldefrist mitgeteilte Eintritte und Austritte pro versicherte Person und Jahr Fr. 100.- erhoben werden (vgl. E. 4.3). Vorliegend sind die von der Auffangeinrichtung als Kostenpunkt veranschlagten verspäteten Meldungen des Eintrittes von W._______ und des Austrittes von X._______ belegt (vgl. Akten Vorinstanz, act. 21). Dementsprechend hat die Auffangeinrichtung für diese verspäteten Meldungen zu Recht Fr. 200.- verlangt.
6.4 Die Auferlegung von Gebühren von je Fr. 50.- für insgesamt elf Mahnungen steht sodann in Einklang mit dem Kostenreglement (vgl. E. 4.3) und ist rechtskonform, zumal die entsprechenden Mahnungen aktenkundig sind (vgl. Akten Vorinstanz, act. 20). Unerheblich ist, dass die Datumsangaben in den vorliegenden Mahnschreiben bis auf eine Ausnahme (Mahnung vom 17. November 2014) von den im Kontoauszug für die elf Mahnungen festgehaltenen Daten abweichen. Denn jede der im Kontoauszug verbuchten Mahnung lässt sich einem bestimmten Mahnschreiben zuordnen (die unterschiedlichen Datumsangaben dürften darauf zurückzuführen sein, dass die entsprechenden Mahnschreiben erst nachträglich verbucht wurden).
6.5 Die Vorinstanz verlangt insgesamt Fr. 300.- für ein Fortsetzungsbegehren in einer früheren Betreibung (Betreibung Nr. [...] des Betreibungsamtes B._______), ein Konkursbegehren im Zusammenhang mit dieser Betreibung sowie die Erstellung des Tilgungsplans.
Es ist davon auszugehen, dass die im Kontext der Betreibung Nr. [...] tatsächlich erfolgten Verwaltungsmassnahmen der Auffangeinrichtung rechtmässig waren. Zu berücksichtigen ist nämlich zum einen, dass das Bezirksgericht B._______ mit Zirkulationsbeschluss vom 15. März 2017 erkannte, dass das genannte Fortsetzungsbegehren vom Betreibungsamt zu Unrecht zurückgewiesen wurde und die Betreibung fortzusetzen sei (Akten Vorinstanz, act. 5). Zum anderen fällt ins Gewicht, dass das von der Auffangeinrichtung gestellte Konkursbegehren nur deshalb vom Bezirksgericht B._______ mit Urteil vom 27. Juni 2017 abgewiesen wurde, weil die Beschwerdeführerin die damit eingeforderten Schulden zwischenzeitlich beglichen hat (vgl. Akten Vorinstanz, act. 8). Die für das Fortsetzungsbegehren und das Konkursbegehren seitens der Vorinstanz verlangten Beträge von je Fr. 100.- stehen in Einklang mit den Kostenansätzen im Kostenreglement (vgl. E. 4.3). Die Erhebung der entsprechenden Forderung ist damit nicht zu beanstanden.
Auch die Erstellung eines Tilgungsplanes ist in einer für die diesbezügliche Kostenauflage genügenden Weise als erstellt und rechtmässig zu betrachten: Der entsprechende Tilgungsplan vom 12. Juli 2017 ist aktenkundig (vgl. Akten Vorinstanz, act. 10 S. 3) und wurde auf Antrag der Beschwerdeführerin ausgearbeitet (vgl. Akten Vorinstanz, act. 9). Aus dem Umstand, dass die Beschwerdeführerin in der Folge mit der im Tilgungsplan festgehaltenen Ratenhöhe nicht einverstanden war (Akten Vorinstanz, act. 11 f.), lässt sich nicht ableiten, dass die Erstellung dieses Planes unrechtmässig war. Der von der Vorinstanz veranschlagte Ansatz von Fr. 100.- für die Erstellung des Tilgungsplanes stimmt sodann mit dem im Kostenreglement - im Einklang mit dem übergeordneten Recht - für diese Massnahme vorgesehenen Betrag überein (vgl. E. 4.3).
6.6 Eine Addition der Beiträge für die Zeitspanne vom 1. Juli 2014 bis 31. Juli 2017 von insgesamt Fr. 137'278.47 (vgl. E. 5.5) und der hiervor genannten Kosten von Fr. 2'350.- (vgl. E. 6.1) ergibt einen Betrag von Fr. 139 628.47. Dieser Betrag entspricht der Summe der unter der Spalte «Belastung (CHF)» im Auszug zum Kontokorrentkonto der Beschwerdeführerin bei der Auffangeinrichtung für den Zeitraum vom 1. Juli 2014 bis 31. Juli 2017 aufgeführten Beträge (vgl. Beilage 1 der angefochtenen Verfügung, S. 2 ff.).
Dem erwähnten Kontoauszug ist zu entnehmen, dass das Kontokorrentkonto per Beginn des relevanten Zeitraums bzw. per 30. Juni 2014 einen Saldo von Fr. 5'990.56 ausgewiesen hätte, wenn angenommen würde, dass bis zu diesem Zeitpunkt sämtliche, bis Ende Juli 2017 geleisteten Zahlungen der Beschwerdeführerin bereits erfolgt wären (vgl. Beilage 1 der angefochtenen Verfügung, S. 2 f.). Dementsprechend ist davon auszugehen, dass die bis Ende Juli 2017 geleisteten Zahlungen der Beschwerdeführerin insgesamt im Umfang von Fr. 5'990.56 zur Erfüllung der Forderung von Fr. 139 628.47 geleistet wurden. Es verbleibt damit per Ende Juli 2017 ein Betrag an noch zu zahlenden Beiträgen sowie Kosten/Gebühren für die Zeit vom 1. Juli 2014 bis 31. Juli 2017 von Fr. 133'637.91 (= Fr. 139 628.47 - Fr. 5'990.56), sofern der gesamte Kosten- bzw. Gebührenbetrag von insgesamt Fr. 2'350.- (vgl. E. 6.1) mitveranschlagt würde.
Indem die Vorinstanz in Dispositiv-Ziff. I der angefochtenen Verfügung den erwähnten Betrag von Fr. 133'637.91 als noch zu bezahlende Schuld bezeichnet, verkennt sie, dass die Beschwerdeführerin auch nach Ende Juli 2017 (und vor Erlass der angefochtenen Verfügung) noch weitere Zahlungen an diese Schuld geleistet hat, nämlich Zahlungen von insgesamt Fr. 32'583.- (am 17. August, 5. September, 26. September, 4. Oktober, 25. Oktober und 8. November 2017; vgl. Beilage 1 der angefochtenen Verfügung, S. 6 unten. Anzumerken bleibt, dass die in der Beschwerde per 5. Januar 2018 in Aussicht gestellte Zahlung von Fr. 5'000.- nicht belegt ist). Der gemäss Dispositiv-Ziff. I der angefochtenen Verfügung (nebst den dort genannten weiteren Positionen) noch zu bezahlende Betrag von Fr. 133'637.91 ist deshalb aufgrund der erwähnten Zahlungen um Fr. 32'583.- auf Fr. 101'054.91 zu reduzieren. In diesem Punkt ist die Beschwerde somit gutzuheissen.
Vom verbleibenden Restbetrag von Fr. 101'054.91 sind sodann die hiervor (in E. 6.1) genannten, bereits rechtskräftig festgelegten Kosten von insgesamt Fr. 900.- für neun rückwirkende Lohnänderungen und Fr. 200.- für zwei zu spät gemeldete Austritte abzuziehen. Denn soweit mit der angefochtenen Verfügung die bereits rechtskräftige materielle Festsetzung dieser Kosten bestätigt wurde, leidet die Verfügung mangels Zuständigkeit der Vorinstanz an einem schwerwiegenden und offensichtlichen Rechtsfehler (vgl. E. 3.2). Diesbezüglich ist die Verfügung als nichtig zu qualifizieren, weshalb insoweit auf das Rechtsmittel unter Feststellung ihrer Teilnichtigkeit und aufgrund Fehlens eines tauglichen Anfechtungsobjektes nicht einzutreten ist (vgl. Urteil des BVGer A-2949/2017 vom 13. Juni 2018 E. 1.2.3, mit Hinweisen).
Statt des in Dispositiv-Ziff. I der angefochtenen Verfügung genannten Betrages von Fr. 133'637.91 schuldet die Beschwerdeführerin der Auffangeinrichtung nach dem Gesagten einen Betrag von Fr. 99'954.91 (= Fr. 101'054.91 - Fr. 900.- - Fr. 200.-).
7.
Zu prüfen ist, ob die weiteren Positionen in Dispositiv-Ziff. I der angefochtenen Verfügung berechtigterweise veranschlagt wurden.
7.1 Die Vorinstanz erhebt mit Dispositiv-Ziff. I ihrer Verfügung einen Verzugszins für die Zeit ab der Einleitung der Betreibung Nr. [...] (14. August 2017), und zwar nicht nur auf den Beiträgen als Hauptschuld, sondern auch auf dem Kosten- bzw. Gebührenbetrag von Fr. 2'350.-. Indessen ist auf Nebenforderungen wie Kosten oder Gebühren, welchen kein Kapitalschuldcharakter zukommt, - wie ausgeführt (vgl. E. 4.4) - kein Verzugszins geschuldet. Dementsprechend sind die in Dispositiv-Ziff. I genannten Beträge, auf welchen für die Zeit ab dem 14. August 2017 ein Verzugszins von 5 % geschuldet sein soll, um jeweils Fr. 2'350.- zu reduzieren. Auch insoweit ist die Beschwerde folglich gutzuheissen.
7.2 Nicht zu beanstanden ist, dass die Auffangeinrichtung mit Dispositiv-Ziff. I der angefochtenen Verfügung hinsichtlich der bei der Einleitung der Betreibung ausstehenden Beiträge auch einen Verzugszins für die Zeitspanne bis zu diesem Zeitpunkt (14. August 2017) gefordert hat (vgl. E. 4.4).
Was den von der Vorinstanz in diesem Zusammenhang ermittelten Verzugszinsbetrag von Fr. 8'292.40 betrifft, wurde die zugrunde liegende Berechnung im «Verzugszinsnachweis», welcher der angefochtenen Verfügung beigelegt ist, sowie in der Eingabe der Vorinstanz vom 7. Dezember 2018 in nachvollziehbarer Weise und ausführlich dargelegt. Es ist dem Bundesverwaltungsgericht kein Grund ersichtlich, diese Verzugszinsberechnung zu korrigieren.
7.3 Die der Beschwerdeführerin mit Dispositiv-Ziff. I der angefochtenen Verfügung separat auferlegte Verpflichtung, für die Einleitung der Betreibung Nr. [...] eine Gebühr von Fr. 100.- zu bezahlen, ist rechtskonform. Denn eine solche Inkassogebühr für die Einleitung einer Betreibung ist im Kostenreglement vorgesehen (vgl. E. 4.3). Zudem ist vorliegend jedenfalls für einen weit überwiegenden Teil des seitens der Vorinstanz mit dem Betreibungsbegehren vom 14. August 2017 geltend gemachten Betrages zu Recht eine Betreibung eingeleitet worden.
8.
In Dispositiv-Ziff. II der angefochtenen Verfügung ist angeordnet, dass der Rechtsvorschlag im Umfang von (gerundet) Fr. 109'218.80 aufgehoben wird.
Soweit die Vorinstanz den Rechtsvorschlag insoweit aufgehoben hat, als es um die schon rechtskräftig festgelegten, am 17. Juli 2014 verbuchten Gebühren bzw. Kosten von Fr. 900.- für neun rückwirkende Lohnänderungen und Fr. 200.- für zwei zu spät gemeldete Austritte ging, war sie freilich unzuständig (vgl. vorn E. 3.2, 6.1 und 6.6). Auch insoweit ist die angefochtene Verfügung aufgrund eines schwerwiegenden sowie offensichtlichen Rechtsfehlers als nichtig zu qualifizieren und ist auf die Beschwerde unter Feststellung der Teilnichtigkeit der angefochtenen Verfügung mangels tauglichen Anfechtungsobjekts nicht einzutreten (vgl. Urteil des BVGer A-2949/2017 vom 13. Juni 2018 E. 1.2.3).
9.
Die mit den vorangehenden Erwägungen noch nicht gewürdigten Vorbringen der Beschwerdeführerin erscheinen, wie im Folgenden ersichtlich wird, nicht als stichhaltig.
9.1 Die Beschwerdeführerin macht sinngemäss geltend, in die angefochtene Verfügung seien zu Unrecht bereits zuvor seitens der Auffangeinrichtung geltend gemachte Beiträge der Beitragsjahre 2013 und 2014 mit eingeflossen.
Aus dem hiervor (E. 5) Dargelegten erhellt, dass sich die angefochtene Verfügung entgegen der Auffassung der Beschwerdeführerin nicht auch auf die Beiträge für das Jahr 2013, sondern lediglich auf Beiträge für einen Zeitraum ab dem 1. Juli 2014 bezieht (anders als nach der Beschwerde lässt sich aus dem Umstand, dass die Vorinstanz der Verfügung eine AHV-Lohnbescheinigung zum Jahr 2013 beigelegt hat, nichts Gegenteiliges ableiten). Die von der Auffangeinrichtung für die Zeit vom 1. Juli bis 31. Dezember 2014 mit der angefochtenen Verfügung geltend gemachten Beiträge sind sodann vor Erlass der angefochtenen Anordnung noch nicht mittels Verfügungen bzw. Entscheiden geltend gemacht worden:
Im Zusammenhang mit dem früheren, am 2. September 2014 gegen die Beschwerdeführerin eingeleiteten Betreibungsverfahren hatte die Auffangeinrichtung zwar am 23. September 2015 eine Beitragsverfügung mit entsprechender Aufhebung des in diesem Verfahren erhobenen Rechtsvorschlages erlassen. Zu den damit nachgeforderten Beiträgen in der Höhe von Fr. 108'445.65 (zuzüglich Verzugszins sowie Mahn- und Inkassokosten) zählten aber, was das Jahr 2014 betrifft, nur Beiträge für den Zeitraum vom 1. Januar bis 30. Juni 2014. Dies zeigt die detaillierte Beitragsberechnung im Anhang 2 der Verfügung vom 23. September 2015 (vgl. Akten Vorinstanz, act. 1, Beilage 2, S. 9 ff.). Die Beiträge für die hier in Frage stehende Zeitspanne vom 1. Juli bis 31. Dezember 2014 bildete keinen Gegenstand dieser Verfügung (nichts daran ändern kann der Umstand, dass in der Begründung der Verfügung das Beitragsjahr 2014 ohne Einschränkungen als relevantes Beitragsjahr bezeichnet wird). Diese Beiträge waren dementsprechend auch nicht Gegenstand des gegen die Verfügung vom 23. September 2015 eingeleiteten Beschwerdeverfahrens (vgl. dazu Urteil des BVGer A-6810/2015 vom 13. September 2016).
Die Beschwerdeführerin stösst vor diesem Hintergrund mit dem genannten Vorbringen ins Leere.
9.2 Nach Auffassung der Beschwerdeführerin wurden mit der angefochtenen Verfügung vom 28. November 2017 zum Teil bereits erfüllte Ansprüche der Auffangeinrichtung eingefordert. Insbesondere seien bis am 8. Dezember 2017 der Vorinstanz überwiesene Beträge von total Fr. 42'583.- nicht zugunsten der Beschwerdeführerin berücksichtigt worden.
Bei Erlass von Dispositiv-Ziff. I der hier streitbetroffenen Verfügung erfolgte (wie ausgeführt) zu Unrecht keine Anrechnung der nach dem 31. Juli 2017 und vor Erlass dieser Anordnung geleisteten Zahlungen der Beschwerdeführerin. Dies wird mit dem vorliegenden Urteil korrigiert (vgl. E. 6.6 Abs. 3). Zudem wird dadurch, dass die angefochtene Verfügung für teilweise nichtig erklärt wird, dem Umstand Rechnung getragen, dass die Auffangeinrichtung die am 17. Juli 2014 verbuchten Kosten bzw. Gebühren von Fr. 1'100.- für neun rückwirkende Lohnänderungen sowie zwei zu spät gemeldete Austritte nicht hätte zu Ungunsten der Beschwerdeführerin miteinfliessen lassen dürfen (vgl. E. 6.6 Abs. 4). Es ist nicht ersichtlich, inwiefern darüber hinaus seitens der Beschwerdeführerin geleistete Zahlungen zu Unrecht unberücksichtigt gelassen worden sein sollten (vgl. dazu auch sogleich E. 9.3).
9.3 Sinngemäss behauptet die Beschwerdeführerin sodann, ein von ihr geleisteter Kostenvorschuss von Fr. 1'800.- sei von der Auffangeinrichtung bei Erlass der angefochtenen Verfügung ignoriert worden.
Die Beschwerdeführerin hat zwar am 19. Juni 2017 einen Kostenvorschuss von Fr. 1'800.- für das eingeleitete Konkursverfahren geleistet, doch wurde ihr dieser Betrag - wie in der Vernehmlassung (S. 5) zutreffend ausgeführt wird - am 30. Juni 2017, nach Beendigung des Konkursverfahrens, wieder vollumfänglich gutgeschrieben (siehe dazu die Positionen «Kostenvorschuss [...]» vom 19. Juni 2017 und «Ausgleich Betreibung/Tilgung» vom 30. Juni 2017 auf dem Auszug zum Kontokorrentkonto der Beschwerdeführerin bei der Auffangeinrichtung [= Beilage 1 der angefochtenen Verfügung]). Infolge dieser vollumfänglichen Gutschrift lässt sich nicht mit Recht geltend machen, der geleistete Kostenvorschussbetrag sei bei Erlass der angefochtenen Verfügung zu Unrecht nicht zugunsten der Beschwerdeführerin in die Berechnung der noch ausstehenden Beträge miteingeflossen.
9.4 Die Beschwerdeführerin hält sodann eine am 26. August 2014 auf ihren Konten bei der Auffangeinrichtung vorgenommene Verbuchung eines Betrages von Fr. 103'575.40 für nicht nachvollziehbar.
Beim genannten Betrag handelt es sich um denjenigen Betrag, welchen die Auffangeinrichtung bereits früher, nämlich am 2. September 2014, in Betreibung gesetzt hatte. Die fraglichen Buchungen vom 26. August 2014 bestehen zum einen in der Belastung des «Kontokorrentkontos» der Beschwerdeführerin bei der Vorinstanz im Umfang dieses Betrages sowie einer korrespondierenden Buchung in entsprechender Höhe auf dem für diese Gesellschaft geführten «Betreibungskonto». Es ist nicht ersichtlich, inwiefern aus diesen Buchungen vorliegend etwas zugunsten der Beschwerdeführerin abgeleitet werden könnte, zumal der Betrag von Fr. 103'575.40 bereits mit dem rechtskräftig gewordenen Urteil des BVGer A-6810/2015 vom 13. September 2016 überprüft (und um Fr. 3'400.- herabgesetzt) wurde.
10.
Nach dem Gesagten ist die Beschwerde, soweit darauf einzutreten ist, teilweise gutzuheissen. Es ist festzustellen, dass die angefochtene Verfügung vom 28. November 2017 insoweit nichtig ist, als die Vorinstanz damit über die schon rechtskräftig festgesetzten Gebühren von Fr. 1'100.- für neun rückwirkende Lohnänderungen und zwei zu spät gemeldete Austritte erneut entschieden hat sowie in der Betreibung Nr. [...] des Betreibungsamtes B._______ den Rechtsvorschlag im entsprechenden Betrag aufgehoben hat. Ferner sind die Beträge in Dispositiv-Ziff. I und II der angefochtenen Verfügung im Sinne der vorstehenden Erwägungen zu korrigieren.
Im Übrigen ist die Beschwerde abzuweisen.
11.
Zu befinden bleibt über die Verfahrenskosten für das Beschwerdeverfahren und eine allfällige Parteientschädigung.
11.1 Gemäss Art. 63 Abs. 1
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 63 - 1 En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis. |
|
1 | En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis. |
2 | Aucun frais de procédure n'est mis à la charge des autorités inférieures, ni des autorités fédérales recourantes et déboutées; si l'autorité recourante qui succombe n'est pas une autorité fédérale, les frais de procédure sont mis à sa charge dans la mesure où le litige porte sur des intérêts pécuniaires de collectivités ou d'établissements autonomes. |
3 | Des frais de procédure ne peuvent être mis à la charge de la partie qui a gain de cause que si elle les a occasionnés en violant des règles de procédure. |
4 | L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur perçoit du recourant une avance de frais équivalant aux frais de procédure présumés. Elle lui impartit pour le versement de cette créance un délai raisonnable en l'avertissant qu'à défaut de paiement elle n'entrera pas en matière. Si des motifs particuliers le justifient, elle peut renoncer à percevoir la totalité ou une partie de l'avance de frais.101 |
4bis | L'émolument d'arrêté est calculé en fonction de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la manière de procéder des parties et de leur situation financière. Son montant est fixé: |
a | entre 100 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 100 et 50 000 francs dans les autres contestations.102 |
5 | Le Conseil fédéral établit un tarif des émoluments.103 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral104 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales105 sont réservés.106 |
Tritt das Bundesverwaltungsgericht auf eine Beschwerde nicht ein, auferlegt es regelmässig dem Beschwerdeführer als unterliegender Partei die Verfahrenskosten. Wird auf die Beschwerde deshalb nicht eingetreten, weil sich die angefochtene Verfügung als nichtig erwiesen hat, verlegt das Gericht die Kosten jedoch regelmässig anders (vgl. Urteil des BVGer A-2949/2017 vom 13. Juni 2018 E. 4.1, mit Hinweisen).
Soweit die vorliegend angefochtene Verfügung nichtig ist, hatte die Beschwerdeführerin begründeten Anlass, Beschwerde beim Bundesverwaltungsgericht zu erheben, und hatte sie ein Interesse an der Feststellung der Teilnichtigkeit durch das Bundesverwaltungsgericht. Deshalb ist die Beschwerdeführerin, soweit auf ihre Beschwerde infolge Teilnichtigkeit der angefochtenen Verfügung nicht einzutreten ist, nicht als unterliegend im Sinne von Art. 63 Abs. 1
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 63 - 1 En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis. |
|
1 | En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis. |
2 | Aucun frais de procédure n'est mis à la charge des autorités inférieures, ni des autorités fédérales recourantes et déboutées; si l'autorité recourante qui succombe n'est pas une autorité fédérale, les frais de procédure sont mis à sa charge dans la mesure où le litige porte sur des intérêts pécuniaires de collectivités ou d'établissements autonomes. |
3 | Des frais de procédure ne peuvent être mis à la charge de la partie qui a gain de cause que si elle les a occasionnés en violant des règles de procédure. |
4 | L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur perçoit du recourant une avance de frais équivalant aux frais de procédure présumés. Elle lui impartit pour le versement de cette créance un délai raisonnable en l'avertissant qu'à défaut de paiement elle n'entrera pas en matière. Si des motifs particuliers le justifient, elle peut renoncer à percevoir la totalité ou une partie de l'avance de frais.101 |
4bis | L'émolument d'arrêté est calculé en fonction de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la manière de procéder des parties et de leur situation financière. Son montant est fixé: |
a | entre 100 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 100 et 50 000 francs dans les autres contestations.102 |
5 | Le Conseil fédéral établit un tarif des émoluments.103 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral104 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales105 sont réservés.106 |
Es rechtfertigt sich vor diesem Hintergrund, die auf Fr. 4'500.- festzusetzenden Verfahrenskosten (vgl. Art. 1 ff
SR 173.320.2 Règlement du 21 février 2008 concernant les frais, dépens et indemnités fixés par le Tribunal administratif fédéral (FITAF) FITAF Art. 1 Frais de procédure - 1 Les frais de procédure devant le Tribunal administratif fédéral (tribunal) comprennent l'émolument judiciaire et les débours. |
|
1 | Les frais de procédure devant le Tribunal administratif fédéral (tribunal) comprennent l'émolument judiciaire et les débours. |
2 | L'émolument judiciaire couvre les frais de photocopie des mémoires et les frais administratifs normaux, tels que les frais pour le personnel, les locaux et le matériel ainsi que les frais postaux, téléphoniques et de télécopie. |
3 | Les débours comprennent notamment les frais de traduction et les frais occasionnés par l'administration des preuves. Les frais de traduction ne sont pas facturés lorsqu'il s'agit de la traduction d'une langue officielle à une autre. |
Der Vorinstanz sind nach Art. 63 Abs. 2
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 63 - 1 En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis. |
|
1 | En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis. |
2 | Aucun frais de procédure n'est mis à la charge des autorités inférieures, ni des autorités fédérales recourantes et déboutées; si l'autorité recourante qui succombe n'est pas une autorité fédérale, les frais de procédure sont mis à sa charge dans la mesure où le litige porte sur des intérêts pécuniaires de collectivités ou d'établissements autonomes. |
3 | Des frais de procédure ne peuvent être mis à la charge de la partie qui a gain de cause que si elle les a occasionnés en violant des règles de procédure. |
4 | L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur perçoit du recourant une avance de frais équivalant aux frais de procédure présumés. Elle lui impartit pour le versement de cette créance un délai raisonnable en l'avertissant qu'à défaut de paiement elle n'entrera pas en matière. Si des motifs particuliers le justifient, elle peut renoncer à percevoir la totalité ou une partie de l'avance de frais.101 |
4bis | L'émolument d'arrêté est calculé en fonction de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la manière de procéder des parties et de leur situation financière. Son montant est fixé: |
a | entre 100 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 100 et 50 000 francs dans les autres contestations.102 |
5 | Le Conseil fédéral établit un tarif des émoluments.103 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral104 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales105 sont réservés.106 |
11.2 Der nicht vertretenen Beschwerdeführerin sind keine verhältnismässig hohen Kosten oder weitere Auslagen entstanden, weshalb ihr ungeachtet des Ausganges des Verfahrens keine Parteientschädigung zuzusprechen ist (vgl. Art. 64 Abs. 1
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 64 - 1 L'autorité de recours peut allouer, d'office ou sur requête, à la partie ayant entièrement ou partiellement gain de cause une indemnité pour les frais indispensables et relativement élevés qui lui ont été occasionnés. |
|
1 | L'autorité de recours peut allouer, d'office ou sur requête, à la partie ayant entièrement ou partiellement gain de cause une indemnité pour les frais indispensables et relativement élevés qui lui ont été occasionnés. |
2 | Le dispositif indique le montant des dépens alloués qui, lorsqu'ils ne peuvent pas être mis à la charge de la partie adverse déboutée, sont supportés par la collectivité ou par l'établissement autonome au nom de qui l'autorité inférieure a statué. |
3 | Lorsque la partie adverse déboutée avait pris des conclusions indépendantes, les dépens alloués peuvent être mis à sa charge, dans la mesure de ses moyens. |
4 | La collectivité ou l'établissement autonome au nom de qui l'autorité inférieure a statué répond des dépens mis à la charge de la partie adverse déboutée en tant qu'ils se révéleraient irrécouvrables. |
5 | Le Conseil fédéral établit un tarif des dépens.107 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral108 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales109 sont réservés.110 |
SR 173.320.2 Règlement du 21 février 2008 concernant les frais, dépens et indemnités fixés par le Tribunal administratif fédéral (FITAF) FITAF Art. 7 Principe - 1 La partie qui obtient gain de cause a droit aux dépens pour les frais nécessaires causés par le litige. |
|
1 | La partie qui obtient gain de cause a droit aux dépens pour les frais nécessaires causés par le litige. |
2 | Lorsqu'une partie n'obtient que partiellement gain de cause, les dépens auxquels elle peut prétendre sont réduits en proportion. |
3 | Les autorités fédérales et, en règle générale, les autres autorités parties n'ont pas droit aux dépens. |
4 | Si les frais sont relativement peu élevés, le tribunal peut renoncer à allouer des dépens. |
5 | L'art. 6a s'applique par analogie.7 |
SR 173.320.2 Règlement du 21 février 2008 concernant les frais, dépens et indemnités fixés par le Tribunal administratif fédéral (FITAF) FITAF Art. 8 Dépens - 1 Les dépens comprennent les frais de représentation et les éventuels autres frais de la partie. |
|
1 | Les dépens comprennent les frais de représentation et les éventuels autres frais de la partie. |
2 | Les frais non nécessaires ne sont pas indemnisés. |
Demnach erkennt das Bundesverwaltungsgericht:
1.
Die Beschwerde wird, soweit darauf eingetreten wird, teilweise gutgeheissen. Im Übrigen wird die Beschwerde abgewiesen.
Es wird festgestellt, dass die Verfügung der Vorinstanz vom 28. November 2017 im Sinne der Erwägungen (E. 6, 8 und 10) im Umfang von Fr. 1'100.- nichtig ist.
Dispositiv-Ziff. I und II der angefochtenen Verfügung der Vorinstanz vom 28. November 2017 werden wie folgt geändert (Änderungen mit Fettschrift hervorgehoben):
I. Der Arbeitgeber [bzw. die Arbeitgeberin] hat der Stiftung Auffangeinrichtung BVG CHF 99'954.91 zuzüglich
Verzugszins 5% auf CHF 131'059.40 seit 14.08.17 bis 17.08.17
Verzugszins 5% auf CHF 123'476.40 seit 17.08.17 bis 05.09.17
Verzugszins 5% auf CHF 118'476.40 seit 05.09.17 bis 26.09.17
Verzugszins 5% auf CHF 113'476.40 seit 26.09.17 bis 04.10.17
Verzugszins 5% auf CHF 108'476.40 seit 04.10.17 bis 25.10. 17
Verzugszins 5% auf CHF 103'476.40 seit 25.10.17 bis 08.11.17
Verzugszins 5% auf CHF 98'476.40 seit 08.11.17
und
Gebühren für Einleitung Betreibung Nr. [...]CHF 100.00
Verzugszins bis zum 14. August 2017 CHF 8'292.40
zu bezahlen.
II. Der Rechtsvorschlag in der Betreibung Nr. [...] des Betreibungsamts B._______ wird im Betrag von CHF 108'118.80 aufgehoben.
2.
Die Verfahrenskosten werden auf Fr. 4'500.- festgesetzt und der Beschwerdeführerin im Umfang von Fr. 3'000.- auferlegt. Der Betrag von Fr. 3'000.- wird dem einbezahlten Kostenvorschuss von Fr. 4'500.- entnommen. Der Restbetrag von Fr. 1'500.- wird der Beschwerdeführerin nach Eintritt der Rechtskraft des vorliegenden Urteils zurückerstattet.
3.
Es wird keine Parteientschädigung zugesprochen.
4.
Dieses Urteil geht an:
- die Beschwerdeführerin (Gerichtsurkunde)
- die Vorinstanz (Ref-Nr. [...]; Gerichtsurkunde)
- das Bundesamt für Sozialversicherungen (Gerichtsurkunde)
- die Oberaufsichtskommission BVG (Gerichtsurkunde)
Der vorsitzende Richter: Der Gerichtsschreiber:
Daniel Riedo Beat König
Rechtsmittelbelehrung:
Gegen diesen Entscheid kann innert 30 Tagen nach Eröffnung beim Bundesgericht, Schweizerhofquai 6, 6004 Luzern, Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten geführt werden (Art. 82 ff
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours: |
|
a | contre les décisions rendues dans des causes de droit public; |
b | contre les actes normatifs cantonaux; |
c | qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
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