Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
5A 598/2017
Urteil vom 5. Dezember 2017
II. zivilrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter von Werdt, Präsident,
Bundesrichterin Escher, Bundesrichter Schöbi,
Gerichtsschreiber Monn.
Verfahrensbeteiligte
A.A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Reto Gygax,
Beschwerdeführer,
gegen
B.A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Dr. Patrick M. Hoch,
Beschwerdegegner.
Gegenstand
Definitive Rechtsöffnung (aufschiebende Wirkung),
Beschwerde gegen die Verfügung des Obergerichts des Kantons Zürich, I. Zivilkammer, vom 24. Juli 2017 (RT170139-O/Z01).
Sachverhalt:
A.
A.A.________ (geb. 1960) streitet mit seinem Sohn B.A.________ (geb. 1995), dem älteren seiner beiden Kinder, über die Vollstreckung von Kinderunterhaltsansprüchen. Laut Scheidungsurteil vom 9. April 2009 hat er an B.A.________s Unterhalt einen monatlichen Beitrag von Fr. 1'600.-- (zuzüglich allfälliger Kinderzulagen) zu bezahlen, und zwar bis zum Abschluss der ordentlichen Erstausbildung jedes der beiden Kinder, auch über deren Volljährigkeit hinaus.
B.
Mit Urteil vom 8. Juni 2017 erteilte das Einzelgericht Audienz am Bezirksgericht Zürich B.A.________ in der Betreibung Nr. xxx des Betreibungsamts Zürich 8 (Zahlungsbefehl vom 7. März 2017) gegen seinen Vater für ausstehende Unterhaltsbeiträge im Umfang von Fr. 44'501.25 definitive Rechtsöffnung.
C.
C.a. A.A.________ erhob am 17. Juli 2017 Beschwerde beim Obergericht des Kantons Zürich. Er verlangte, das Rechtsöffnungsbegehren seines Sohnes in Aufhebung des erstinstanzlichen Entscheides abzuweisen. Zugleich stellte er den prozessualen Antrag, seiner Beschwerde die aufschiebende Wirkung zu erteilen.
C.b. Mit Verfügung vom 24. Juli 2017 wies das Obergericht des Kantons Zürich das Gesuch um Aufschub der Vollstreckung des erstinstanzlichen Rechtsöffnungsentscheids im kantonalen Beschwerdeverfahren ab.
D.
D.a. Mit Beschwerde vom 9. August 2017 wendet sich A.A.________ (Beschwerdeführer) an das Bundesgericht. Er beantragt, die Verfügung vom 24. Juli 2017 (s. Bst. D) aufzuheben und der Beschwerde vor dem Obergericht aufschiebende Wirkung zu gewähren; eventualiter sei das angefochtene Urteil aufzuheben und die Sache zur neuen Beurteilung an die Vorinstanz zurückzuweisen. In prozessualer Hinsicht ersucht er darum, seiner Beschwerde an das Bundesgericht superprovisorisch die aufschiebende Wirkung zu gewähren. Mit Verfügung vom 10. August 2017 lud das Bundesgericht B.A.________ ein, zu diesem prozessualen Antrag Stellung zu nehmen.
D.b. In der Folge entschied das präsidierende Mitglied der II. zivilrechtlichen Abteilung, die Vollstreckbarkeit des erstinstanzlichen Urteils vom 8. Juni 2017 für die Dauer des bundesgerichtlichen Verfahrens aufzuschieben (Verfügung vom 23. August 2017). Zugleich stellte es dem Beschwerdeführer die Stellungnahme vom 21. August 2017 zu, in der sich der Beschwerdegegner nicht zum Gesuch um aufschiebende Wirkung, sondern unaufgefordert zur Sache äussert und die Abweisung der Beschwerde beantragt. Der Beschwerdeführer reagierte darauf mit einer Replik, in der er an seinen Anträgen (Bst. D.a) festhält. Diese Eingabe vom 28. August 2017 wurde dem Beschwerdegegner zur Wahrung des rechtlichen Gehörs zur Kenntnis gebracht.
Erwägungen:
1.
1.1. Der Beschwerdeführer wehrt sich gegen den Entscheid, mit dem das Obergericht in einem Rechtsmittelverfahren betreffend die definitive Rechtsöffnung (Art. 80 f
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP) LP Art. 80 - 1 Le créancier qui est au bénéfice d'un jugement exécutoire peut requérir du juge la mainlevée définitive de l'opposition. |
|
1 | Le créancier qui est au bénéfice d'un jugement exécutoire peut requérir du juge la mainlevée définitive de l'opposition. |
2 | Sont assimilées à des jugements: |
1 | les transactions ou reconnaissances passées en justice; |
2bis | les décisions des autorités administratives suisses; |
3 | ... |
4 | les décisions définitives concernant les frais de contrôle rendues par les organes de contrôle en vertu de l'art. 16, al. 1, de la loi du 17 juin 2005 sur le travail au noir158; |
5 | dans le domaine de la taxe sur la valeur ajoutée: les décomptes d'impôt et les notifications d'estimation entrés en force par la prescription du droit de taxation, ainsi que les notifications d'estimation entrées en force par la reconnaissance écrite par l'assujetti. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 72 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile. |
|
1 | Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile. |
2 | Sont également sujettes au recours en matière civile: |
a | les décisions en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
b | les décisions prises en application de normes de droit public dans des matières connexes au droit civil, notamment les décisions: |
b1 | sur la reconnaissance et l'exécution de décisions ainsi que sur l'entraide en matière civile, |
b2 | sur la tenue des registres foncier, d'état civil et du commerce, ainsi que des registres en matière de protection des marques, des dessins et modèles, des brevets d'invention, des obtentions végétales et des topographies, |
b3 | sur le changement de nom, |
b4 | en matière de surveillance des fondations, à l'exclusion des institutions de prévoyance et de libre passage, |
b5 | en matière de surveillance des exécuteurs testamentaires et autres représentants successoraux, |
b6 | les décisions prises dans le domaine de la protection de l'enfant et de l'adulte, |
b7 | ... |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 74 Valeur litigieuse minimale - 1 Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à: |
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1 | Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à: |
a | 15 000 francs en matière de droit du travail et de droit du bail à loyer; |
b | 30 000 francs dans les autres cas. |
2 | Même lorsque la valeur litigieuse minimale n'est pas atteinte, le recours est recevable: |
a | si la contestation soulève une question juridique de principe; |
b | si une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique; |
c | s'il porte sur une décision prise par une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
d | s'il porte sur une décision prise par le juge de la faillite ou du concordat; |
e | s'il porte sur une décision du Tribunal fédéral des brevets. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 75 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37 |
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1 | Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37 |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours, sauf si: |
a | une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique; |
b | un tribunal spécialisé dans les litiges de droit commercial statue en instance cantonale unique; |
c | une action ayant une valeur litigieuse d'au moins 100 000 francs est déposée directement devant le tribunal supérieur avec l'accord de toutes les parties. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
|
1 | Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
2 | Le délai de recours est de dix jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
b | les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale; |
c | les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93. |
d | les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95. |
3 | Le délai de recours est de cinq jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change; |
b | les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales. |
4 | Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national. |
5 | En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
6 | ...96 |
7 | Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 46 Suspension - 1 Les délais fixés en jours par la loi ou par le juge ne courent pas: |
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1 | Les délais fixés en jours par la loi ou par le juge ne courent pas: |
a | du septième jour avant Pâques au septième jour après Pâques inclus; |
b | du 15 juillet au 15 août inclus; |
c | du 18 décembre au 2 janvier inclus. |
2 | L'al. 1 ne s'applique pas: |
a | aux procédures concernant l'octroi de l'effet suspensif ou d'autres mesures provisionnelles; |
b | à la poursuite pour effets de change; |
c | aux questions relatives aux droits politiques (art. 82, let. c); |
d | à l'entraide pénale internationale ni à l'assistance administrative internationale en matière fiscale; |
e | aux marchés publics.19 |
1.2. Abgesehen vom hier nicht gegebenen Ausnahmefall des Art. 93 Abs. 1 Bst. b
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 93 Autres décisions préjudicielles et incidentes - 1 Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
|
1 | Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
a | si elles peuvent causer un préjudice irréparable, ou |
b | si l'admission du recours peut conduire immédiatement à une décision finale qui permet d'éviter une procédure probatoire longue et coûteuse. |
2 | En matière d'entraide pénale internationale et en matière d'asile, les décisions préjudicielles et incidentes ne peuvent pas faire l'objet d'un recours.88 Le recours contre les décisions relatives à la détention extraditionnelle ou à la saisie d'objets et de valeurs est réservé si les conditions de l'al. 1 sont remplies. |
3 | Si le recours n'est pas recevable en vertu des al. 1 et 2 ou qu'il n'a pas été utilisé, les décisions préjudicielles et incidentes peuvent être attaquées par un recours contre la décision finale dans la mesure où elles influent sur le contenu de celle-ci. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 93 Autres décisions préjudicielles et incidentes - 1 Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
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1 | Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
a | si elles peuvent causer un préjudice irréparable, ou |
b | si l'admission du recours peut conduire immédiatement à une décision finale qui permet d'éviter une procédure probatoire longue et coûteuse. |
2 | En matière d'entraide pénale internationale et en matière d'asile, les décisions préjudicielles et incidentes ne peuvent pas faire l'objet d'un recours.88 Le recours contre les décisions relatives à la détention extraditionnelle ou à la saisie d'objets et de valeurs est réservé si les conditions de l'al. 1 sont remplies. |
3 | Si le recours n'est pas recevable en vertu des al. 1 et 2 ou qu'il n'a pas été utilisé, les décisions préjudicielles et incidentes peuvent être attaquées par un recours contre la décision finale dans la mesure où elles influent sur le contenu de celle-ci. |
1.3 S. 335 f.; Urteile 5D 1/2017 vom 15. März 2017 E. 1.1; 5A 661/2015 vom 2. Dezember 2015 E. 1.2; 5A 708/2013 vom 14. Mai 2014 E. 1.1, in: SJ 136/2014 I S. 366; 5D 52/2010 vom 10. Mai 2010 E. 1.1.1, in: SJ 133/2011 I S. 134 f.).
1.3. Hier behauptet der Beschwerdeführer nicht, dass er in seiner wirtschaftlichen Existenz gefährdet wäre, wenn es beim angefochtenen Zwischenentscheid sein Bewenden hätte. Hingegen stellt er sich auf den Standpunkt, dass er auch bei einem für ihn günstigen Endentscheid in der Hauptsache den streitigen Betrag vom Beschwerdegegner höchstwahrscheinlich nicht mehr zurückfordern könnte. Ob sich mit den verschiedenen Argumenten, die der Beschwerdeführer zur Begründung dieser Auffassung vorträgt, ein nicht wieder gutzumachender Nachteil im beschriebenen Sinn von Art. 93 Abs. 1 Bst. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 93 Autres décisions préjudicielles et incidentes - 1 Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
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1 | Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
a | si elles peuvent causer un préjudice irréparable, ou |
b | si l'admission du recours peut conduire immédiatement à une décision finale qui permet d'éviter une procédure probatoire longue et coûteuse. |
2 | En matière d'entraide pénale internationale et en matière d'asile, les décisions préjudicielles et incidentes ne peuvent pas faire l'objet d'un recours.88 Le recours contre les décisions relatives à la détention extraditionnelle ou à la saisie d'objets et de valeurs est réservé si les conditions de l'al. 1 sont remplies. |
3 | Si le recours n'est pas recevable en vertu des al. 1 et 2 ou qu'il n'a pas été utilisé, les décisions préjudicielles et incidentes peuvent être attaquées par un recours contre la décision finale dans la mesure où elles influent sur le contenu de celle-ci. |
2.
Der Entscheid über die aufschiebende Wirkung ist ein Entscheid über eine vorsorgliche Massnahme im Sinne von Art. 98
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 98 Motifs de recours limités - Dans le cas des recours formés contre des décisions portant sur des mesures provisionnelles, seule peut être invoquée la violation des droits constitutionnels. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
3.
Im Hinblick auf eine angebliche Verletzung des rechtlichen Gehörs (Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
hin überprüft werden kann (E. 2).
4.
In der Sache dreht sich der Streit um das Begehren des Beschwerdeführers, die Vollstreckung des erstinstanzlichen Rechtsöffnungsentscheids vom 8. Juni 2017 im kantonalen Rechtsmittelverfahren aufzuschieben (s. Sacherhalt Bst. B).
4.1. Das Obergericht hält fest, dass ein solcher Aufschub nach der Praxis des Bundesgerichts nur dann gerechtfertigt sei, wenn entweder die Zahlung den Schuldner in finanzielle Schwierigkeiten bringe oder wenn im Falle der Gutheissung des Rechtsmittels die Möglichkeit der Rückforderung wegen der zweifelhaften Zahlungsfähigkeit des Gläubigers ungewiss erscheine, was von der gesuchstellenden Partei zu behaupten und nachzuweisen sei. Im konkreten Fall stellt das Obergericht fest, dass der Beschwerdeführer weder das eine noch das andere vorbringe, sondern sich auf die gesetzlichen Folgen berufe und ein erschwertes Eintreiben der Rückforderung im Ausland geltend mache. Weiter erinnert es daran, dass die dem Beschwerdeführer zustehende Parteientschädigung von Fr. 4'698.-- im erstinstanzlichen Rechtsöffnungsentscheid mit der Forderung des Beschwerdegegners verrechnet worden sei. Demnach lägen "insgesamt keine hinreichenden Gründe für das Abweichen vom gesetzlichen Regelfall" vor, weshalb das Gesuch abzuweisen sei. Schliesslich verweist die Vorinstanz darauf, dass im Rahmen der Erteilung der aufschiebenden Wirkung nicht der Entscheid in der Hauptsache vorweggenommen werden soll.
4.2. Der Beschwerdeführer rügt Willkür in der Rechtsanwendung. Er habe sein Gesuch damit begründet, dass sich der Beschwerdegegner in Israel befinde, einem Land mit einer anderen Sprache, einem anderen Rechtssystem und insbesondere einer anderen Schrift. Die Vorinstanz setze sich darüber hinweg, dass der ausländische Wohnsitz praxisgemäss - alternativ zur fehlenden Zahlungsfähigkeit - ein "Grund für die Gewährung der aufschiebenden Wirkung ist". Der Beschwerdeführer zitiert aus einem Entscheid des Obergerichts des Kantons Zürich in einem "gleich gelagerten Fall im Jahr 2013". Dort habe das Obergericht "richtigerweise entschieden", dass bei einem ausländischen Wohnsitz des Prozessgegners ein überwiegendes Interesse an der Gewährung der aufschiebenden Wirkung gegeben sei. Der Beschwerdeführer verkennt die Tragweite des verfassungsmässigen Anspruchs, von staatlichen Organen ohne Willkür behandelt zu werden (Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
anderen Streit um Geldforderungen eine Rückforderung mit Blick auf den ausländischen Wohnsitz der Prozessgegner als "erschwert" erachtete und deshalb ein überwiegendes Interesse an der aufschiebenden Wirkung bejahte, für sich allein genommen den Vorwurf der Willkür nicht zu begründen. Willkür in der Rechtsanwendung liegt nur vor, wenn der angefochtene Entscheid selbst, so wie ihn die Vorinstanz gefällt hat, auch im Ergebnis offensichtlich unhaltbar ist oder in stossender Weise dem Gerechtigkeitsgedanken zuwider läuft (BGE a.a.O.).
4.3. Das Gesagte gilt sinngemäss, soweit der Beschwerdeführer die bundesgerichtliche Praxis ins Feld führt. Zunächst sticht ins Auge, dass die Urteilspassagen, auf die er sich beruft, nicht die aufschiebende Wirkung im kantonalen Beschwerdeverfahren betreffen, sondern den "nicht leicht wiedergutzumachenden Nachteil" als Voraussetzung für den Aufschub vorsorglicher Massnahmen im Berufungsverfahren (Art. 315 Abs. 5
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors CPC Art. 315 Effet suspensif - 1 L'appel suspend la force de chose jugée et le caractère exécutoire de la décision dans la mesure des conclusions prises en appel. |
|
1 | L'appel suspend la force de chose jugée et le caractère exécutoire de la décision dans la mesure des conclusions prises en appel. |
2 | L'instance d'appel peut autoriser l'exécution anticipée. Elle ordonne au besoin des mesures conservatoires ou la fourniture de sûretés. |
3 | L'effet suspensif ne peut pas être retiré dans les cas où l'appel porte sur une décision formatrice. |
4 | L'appel n'a pas d'effet suspensif lorsqu'il a pour objet des décisions portant sur: |
a | le droit de réponse; |
b | des mesures provisionnelles. |
5 | L'exécution des mesures provisionnelles peut exceptionnellement être suspendue si la partie concernée risque de subir un préjudice difficilement réparable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 103 Effet suspensif - 1 En règle générale, le recours n'a pas d'effet suspensif. |
|
1 | En règle générale, le recours n'a pas d'effet suspensif. |
2 | Le recours a effet suspensif dans la mesure des conclusions formulées: |
a | en matière civile, s'il est dirigé contre un jugement constitutif; |
b | en matière pénale, s'il est dirigé contre une décision qui prononce une peine privative de liberté ferme ou une mesure entraînant une privation de liberté; l'effet suspensif ne s'étend pas à la décision sur les prétentions civiles; |
c | en matière d'entraide pénale internationale, s'il a pour objet une décision de clôture ou toute autre décision qui autorise la transmission de renseignements concernant le domaine secret ou le transfert d'objets ou de valeurs; |
d | en matière d'assistance administrative fiscale internationale. |
3 | Le juge instructeur peut, d'office ou sur requête d'une partie, statuer différemment sur l'effet suspensif. |
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors CPC Art. 325 Effet suspensif - 1 Le recours ne suspend pas la force de chose jugée et le caractère exécutoire de la décision attaquée. |
|
1 | Le recours ne suspend pas la force de chose jugée et le caractère exécutoire de la décision attaquée. |
2 | L'instance de recours peut suspendre le caractère exécutoire. Elle ordonne au besoin des mesures conservatoires ou la fourniture de sûretés. |
der Gutheissung ihres Rechtsmittels nicht werde erhältlich machen können. Der Beschwerdeführer äussert sich nicht dazu, welche konkreten Tatsachen er der Vorinstanz in diesem Zusammenhang vergeblich als glaubhaft vorgetragen hat. So macht er beispielsweise nicht geltend, allfällige Eigenheiten des israelischen Gerichts- und Zwangsvollstreckungswesens hervorgehoben zu haben, welche die Erstreitung und Vollstreckung eines (israelischen) Rückforderungstitels als besonders umständlich oder zeitaufwändig erscheinen liessen. Ebenso wenig beruft er sich darauf, zur Begründung seines Verfahrensantrags besondere Hürden genannt zu haben, mit denen ein ausländischer Kläger in einem Rückforderungsprozess der fraglichen Art vor israelischen Gerichts- oder Zwangsvollstreckungsbehörden zu rechnen hätte. Soweit er seine Hinweise auf den ausländischen Wohnsitz des Beschwerdegegners bzw. auf Sprachbarrieren, Prozesskosten und die Verfahrensdauer als ausreichend erachtet, täuscht sich der Beschwerdeführer. Dass ein Prozess im Ausland mit sprachlichen Schwierigkeiten und mit Mehraufwand verbunden sein kann, entspricht der Lebenserfahrung und lässt die Möglichkeit der Rückforderung allein wegen des internationalen Bezugs nicht als ungewiss erscheinen.
Im Ergebnis hält es deshalb vor Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
4.4. Weiter bestreitet der Beschwerdeführer, vor der Vorinstanz keine Zweifel an der Zahlungsfähigkeit des Beschwerdegegners angemeldet zu haben. Vielmehr habe er daran erinnert, dass sich der Beschwerdegegner weigere, eine rechtskräftig zugesprochene Parteientschädigung aus einem früheren Verfahren zu bezahlen. Damit habe er nicht nur einen zweifelhaften, sondern einen fehlenden Leistungswillen und "ein fehlendes Leistungsvermögen (entsprechend einer zweifelhaften Zahlungsfähigkeit, bzw. über eine solche hinausgehend) behauptet und sogar urkundlich belegt". Mit seinem Versuch, den angeblich fehlenden Zahlungs willen des Beschwerdegegners mit der zweifelhaften Zahlungsfähigkeit gleichzusetzen oder als solche auszugeben, vermag der Beschwerdeführer dem Obergericht keine willkürliche Rechtsanwendung nachzuweisen. Käme es bei der Beurteilung der Aussichten auf spätere Rückerstattung auf den Willen des Prozessgegners an, so liesse sich ein Gesuch um aufschiebende Wirkung mit der blossen Befürchtung begründen, im Falle eines Obsiegens einen Prozess anstrengen zu müssen, weil bereits Geleistetes voraussichtlich nicht freiwillig zurückerstattet wird. Der Beschwerdeführer behauptet nicht, dass sich ein solches Verständnis der
Voraussetzungen für die Gewährung des Suspensiveffekts aus der einschlägigen Rechtsprechung und Lehre ergibt. Stattdessen verweist er auf eine Literaturstelle zum Kautionsgrund der offenen Prozesskosten (Art. 99 Abs. 1 Bst. c
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors CPC Art. 99 Sûretés en garantie des dépens - 1 Le demandeur doit, sur requête du défendeur, fournir dans les cas suivants des sûretés en garantie du paiement des dépens: |
|
1 | Le demandeur doit, sur requête du défendeur, fournir dans les cas suivants des sûretés en garantie du paiement des dépens: |
a | il n'a pas de domicile ou de siège en Suisse; |
b | il paraît insolvable, notamment en raison d'une mise en faillite, d'une procédure concordataire en cours ou de la délivrance d'actes de défaut de biens; |
c | il est débiteur de frais d'une procédure antérieure; |
d | d'autres raisons font apparaître un risque considérable que les dépens ne soient pas versés. |
2 | Les consorts nécessaires ne sont tenus de fournir des sûretés que si l'une des conditions ci-dessus est réalisée pour chacun d'eux. |
3 | Il n'y a pas lieu de fournir des sûretés: |
a | dans la procédure simplifiée, à l'exception des affaires patrimoniales visées à l'art. 243, al. 1; |
b | dans la procédure de divorce; |
c | dans la procédure sommaire, à l'exception de la procédure applicable dans les cas clairs (art. 257); |
d | dans la procédure relative à un litige relevant de la LPD40. |
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors CPC Art. 99 Sûretés en garantie des dépens - 1 Le demandeur doit, sur requête du défendeur, fournir dans les cas suivants des sûretés en garantie du paiement des dépens: |
|
1 | Le demandeur doit, sur requête du défendeur, fournir dans les cas suivants des sûretés en garantie du paiement des dépens: |
a | il n'a pas de domicile ou de siège en Suisse; |
b | il paraît insolvable, notamment en raison d'une mise en faillite, d'une procédure concordataire en cours ou de la délivrance d'actes de défaut de biens; |
c | il est débiteur de frais d'une procédure antérieure; |
d | d'autres raisons font apparaître un risque considérable que les dépens ne soient pas versés. |
2 | Les consorts nécessaires ne sont tenus de fournir des sûretés que si l'une des conditions ci-dessus est réalisée pour chacun d'eux. |
3 | Il n'y a pas lieu de fournir des sûretés: |
a | dans la procédure simplifiée, à l'exception des affaires patrimoniales visées à l'art. 243, al. 1; |
b | dans la procédure de divorce; |
c | dans la procédure sommaire, à l'exception de la procédure applicable dans les cas clairs (art. 257); |
d | dans la procédure relative à un litige relevant de la LPD40. |
4.5. Als willkürlich tadelt der Beschwerdeführer auch den vorinstanzlichen Hinweis darauf, dass die ihm zustehende Parteientschädigung von Fr. 4'698.-- mit der Forderung des Beschwerdeführers im erstinstanzlichen Rechtsöffnungsentscheid verrechnet wurde. In seiner kantonalen Beschwerde mache er ja gerade geltend, dass die Unterhaltsforderung des Beschwerdegegners gar nicht bestehe. Falls er in der Hauptsache obsiegen sollte, bestehe deshalb gar keine Forderung des Beschwerdegegners, mit welcher verrechnet werden könnte. Auch mit diesem Argument nehme das Obergericht auf unzulässige Weise den Ausgang des Beschwerdeverfahrens vorweg. Der Einwand geht an der Sache vorbei. Der Beschwerdeführer liefert keinerlei Erklärung, welchen Nutzen ihm der Aufschub der Vollstreckbarkeit des erstinstanzlichen Rechtsöffnungsentscheids verschaffen würde, soweit die Unterhaltsforderung des Beschwerdegegners dort als durch Verrechnung getilgt und damit als erloschen angesehen wird. Mithin tut er nicht dar, inwiefern es mit Blick auf das Ergebnis des angefochtenen Entscheids überhaupt auf das angeblich willkürliche Argument des Obergerichts ankommt.
4.6. Der Beschwerdeführer beruft sich darauf, dass er und der Beschwerdegegner sich bereits im Jahr 2015 mit Ausnahme der Höhe der geltend gemachten Unterhaltszahlung "im exakt selben Rechtsstreit" befunden hätten. Damals habe das Obergericht die aufschiebende Wirkung bereits allein deshalb gewährt, weil er, der Beschwerdeführer, habe glaubhaft machen können, dass der Beschwerdegegner "im Ausland lebe und den Rückerstattungsanspruch vereiteln würde". Der Beschwerdeführer beteuert, dass sich an seinen "diesbezüglichen Vorbringen" im heute vorliegenden Verfahren nichts geändert habe; vielmehr habe er mit dem Nachweis der unbezahlten Parteientschädigung zusätzlich die fehlende Zahlungsmoral des Beschwerdegegners urkundlich belegen können (vgl. E. 4.4). Mit dem Vorwurf, dass die Vorinstanz im jetzt angefochtenen Entscheid "grundlos gegenteilig entschieden" habe, vermag der Beschwerdeführer jedoch nichts auszurichten. Denn wie gesagt lässt sich der Vorwurf der Willkür nicht damit begründen, dass eine andere Lösung ebenfalls als vertretbar oder gar zutreffender erscheint (E. 4.2).
4.7. Schliesslich erinnert der Beschwerdeführer daran, dass das Obergericht im besagten früheren Verfahren (vgl. E. 4.6) seiner damaligen Beschwerde die aufschiebende Wirkung mit Rücksicht auf den Umstand zuerkannt habe, dass der Beschwerdegegner aufgrund der Überweisung von Fr. 50'000.--, die damals zeitlich viel näher zum Entscheid erfolgt und im Verhältnis zur damaligen Streitsumme viel höher gewesen sei, nicht mittellos dastehe und folglich auf die sofortige Vollstreckung nicht angewiesen sei. "Nichtsdestotrotz" verwende die Vorinstanz im jetzt angefochtenen Entscheid exakt dasselbe Argument, dieses Mal jedoch als Begründung für die Abweisung des Antrags um aufschiebende Wirkung. Auch dieser Einwand ist zum Scheitern verurteilt. Im angefochtenen Entscheid bezieht sich der Hinweis auf die rund Fr. 80'000.--, die dem Beschwerdegegner in den letzten zwei Jahren "unbestrittenermassen" zuflossen, auf die Aussichten des Beschwerdeführers, bereits geleistete Unterhaltszahlungen wegen einer allenfalls zweifelhaften Zahlungsfähigkeit des Beschwerdegegners im Falle der Gutheissung seiner Beschwerde erfolgreich zurückfordern zu können. Wie der Beschwerdeführer selbst schreibt, erwähnte das Obergericht den Betrag von Fr. 50'000.--, den
der Beschwerdegegner vom Beschwerdeführer ausbezahlt erhielt, im Entscheid aus dem Jahr 2015 hingegen im Zusammenhang mit der Frage, ob der Beschwerdegegner mittellos dastünde, falls die aufschiebende Wirkung gewährt würde. War aber die Optik im jetzt angefochtenen Entscheid gar nicht dieselbe wie im Entscheid aus dem Jahr 2015, fällt auch der (implizit erhobene) Vorwurf in sich zusammen, dass sich das Obergericht in Widersprüche verstricke.
5.
Wie die vorigen Erwägungen zeigen, gelingt dem Beschwerdeführer mit keinem seiner Argumente der Nachweis, dass der angefochtene Entscheid seine verfassungsmässigen Rechte verletzt. Die Beschwerde ist also unbegründet. Sie ist abzuweisen. Der Beschwerdeführer unterliegt. Er hat deshalb für die Gerichtskosten aufzukommen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 2'500.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Es wird keine Parteientschädigung zugesprochen.
4.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Obergericht des Kantons Zürich, I. Zivilkammer, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 5. Dezember 2017
Im Namen der II. zivilrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: von Werdt
Der Gerichtsschreiber: Monn