Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
8C 213/2022
Urteil vom 4. August 2022
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Wirthlin, Präsident,
Bundesrichter Maillard, Bundesrichterin Viscione,
Gerichtsschreiberin Polla.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwältin Petra Oehmke,
Beschwerdeführer,
gegen
IV-Stelle des Kantons Zürich,
Röntgenstrasse 17, 8005 Zürich,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Invalidenversicherung (Invalidenrente),
Beschwerde gegen das Urteil des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich vom 10. März 2022 (IV.2021.00460).
Sachverhalt:
A.
Der 1976 geborene A.________ war seit 1. November 2001 als Fassadenisoleur tätig. Am 5. Juni 2011 verletzte er sich beim Fussballspielen die rechte Hand. Wegen chronischer Handgelenksbeschwerden meldete er sich am 4. November 2013 bei der Invalidenversicherung zum Leistungsbezug an. Die IV-Stelle des Kantons Zürich holte unter anderem die Akten der Kranken- und Unfallversicherung ein und gewährte A.________ Frühinterventionsmassnahmen in Form eines Ausbildungskurses zum Chauffeur Kategorie C, den er nicht bestand, und eines Deutschkurses. Sie leistete überdies Kostengutsprache für eine Potenzialabklärung. Am 26. Oktober 2017 wurde die Eingliederungsberatung erfolglos abgeschlossen. Im Hinblick auf die Rentenprüfung tätigte die IV-Stelle weitere medizinische Abklärungen. Insbesondere veranlasste sie eine polydisziplinäre Begutachtung bei der MEDAS Zentrum für Medizinische Begutachtung (ZMB; Expertise vom 21. Januar 2020 mit Ergänzung vom 26. Mai 2020) und im Anschluss daran liess sie A.________ psychiatrisch-neuropsychologisch begutachten (Expertise vom 8. Januar 2021 mit ergänzenden Stellungnahmen vom 16. Februar und 10. März 2021). Gestützt darauf lehnte die IV-Stelle das Leistungsbegehren mit Verfügung vom 21. Juni 2021 ab.
B.
Die dagegen erhobene Beschwerde hiess das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich mit Urteil vom 10. März 2022 teilweise gut und stellte fest, dass A.________ vom 1. Oktober 2018 bis 30. September 2019 Anspruch auf eine halbe Invalidenrente hat. Im Übrigen wies es die Beschwerde ab.
C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten lässt A.________ beantragen, in Abänderung des vorinstanzlichen Urteils sei ihm vom 1. Juni 2014 bis 31. Dezember 2017 eine halbe, vom 1. Januar 2018 bis 31. Oktober 2019 eine ganze und ab 1. November 2019 wiederum eine halbe Invalidenrente zuzusprechen. Eventualiter sei die Sache zwecks Einholung eines Obergutachtens und Durchführung eines Einkommensvergleichs an die Vorinstanz zurückzuweisen. Subeventualiter sei ihm eine befristete halbe Invalidenrente vom 1. Dezember 2017 bis 30. Juni 2020 zuzusprechen. Zudem wird um unentgeltliche Rechtspflege ersucht.
Es wurde kein Schriftenwechsel durchgeführt.
Erwägungen:
1.
1.1. Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann wegen Rechtsverletzung gemäss Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
BGE 137 I 1 E. 2.4 mit Hinweisen) ein, insbesondere wenn die Vorinstanz offensichtlich unhaltbare Schlüsse zieht, erhebliche Beweise übersieht oder solche grundlos ausser Acht lässt (BGE 132 III 209 E. 2.1). Solche Mängel sind in der Beschwerde aufgrund des strengen Rügeprinzips (vgl. Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
1.2. Bei den gerichtlichen Feststellungen zum Gesundheitszustand und zur Arbeitsfähigkeit sowie bei der konkreten Beweiswürdigung geht es um für das Bundesgericht grundsätzlich verbindliche Tatfragen (BGE 132 V 393 E. 3.2). Frei überprüfbare Rechtsfragen sind hingegen die unvollständige Feststellung rechtserheblicher Tatsachen sowie die Missachtung des Untersuchungsgrundsatzes (Art. 43 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit. |
|
1 | L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit. |
1bis | L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35 |
2 | L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés. |
3 | Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
|
a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
2.
2.1. Streitig und zu prüfen ist, ob das kantonale Gericht Bundesrecht verletzte, indem es bloss einen Anspruch auf eine halbe Rente für die Zeit vom 1. Oktober 2018 bis 30. September 2019 bejahte und einen weitergehenden Rentenanspruch des Beschwerdeführers verneinte.
2.2. Am 1. Januar 2022 trat das revidierte Bundesgesetz über die Invalidenversicherung (IVG; SR 831.20) in Kraft (Weiterentwicklung der IV [WEIV]; Änderung vom 19. Juni 2020, AS 2021 705, BBl 2017 2535). Die dem angefochtenen Entscheid zugrunde liegende Verfügung erging vor dem 1. Januar 2022. Nach den allgemeinen Grundsätzen des intertemporalen Rechts und des zeitlich massgebenden Sachverhalts (statt vieler: BGE 144 V 210 E. 4.3.1; 129 V 354 E. 1 mit Hinweisen) sind daher die Bestimmungen des IVG und diejenigen der Verordnung über die Invalidenversicherung (IVV; SR 831.201) in der bis 31. Dezember 2021 gültig gewesenen Fassung anwendbar (vgl. BGE 148 V 174 E. 4.1).
2.3. Das kantonale Gericht hat die Bestimmungen und Grundsätze über die Erwerbsunfähigkeit (Art. 7
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11 |
|
1 | Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11 |
2 | Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12 |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 8 Invalidité - 1 Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
|
1 | Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
2 | Les assurés mineurs sans activité lucrative sont réputés invalides s'ils présentent une atteinte à leur santé physique, mentale ou psychique qui provoquera probablement une incapacité de gain totale ou partielle.13 |
3 | Les assurés majeurs qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont il ne peut être exigé qu'ils en exercent une sont réputés invalides si l'atteinte les empêche d'accomplir leurs travaux habituels. L'art. 7, al. 2, est applicable par analogie.14 15 |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 4 Invalidité - 1 L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45 |
|
1 | L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45 |
2 | L'invalidité est réputée survenue dès qu'elle est, par sa nature et sa gravité, propre à ouvrir droit aux prestations entrant en considération.46 |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
|
1 | L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
a | sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles; |
b | il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable; |
c | au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins. |
1bis | Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205 |
2 | ...206 |
Zu ergänzen ist, dass den im Rahmen des Verwaltungsverfahrens eingeholten Gutachten von externen Spezialärzten, welche aufgrund eingehender Beobachtungen und Untersuchungen sowie nach Einsicht in die Akten Bericht erstatten und bei der Erörterung der Befunde zu schlüssigen Ergebnissen gelangen, bei der Beweiswürdigung Beweiskraft zuzuerkennen ist, solange nicht konkrete Indizien gegen die Zuverlässigkeit der Expertise sprechen (BGE 125 V 351 E. 3b/bb; Urteil 9C 278/2016 vom 22. Juli 2016 E. 3.2.2).
3.
3.1. Die Vorinstanz mass dem Gutachten des ZMB vom 21. Januar 2020 in somatischer Hinsicht Beweiskraft bei. Danach begründeten die somatischen Beschwerden keine Arbeitsunfähigkeit. Insbesondere sei das massive und jahrelange Beschwerdebild im rechten radialen Handgelenk nicht objektiviert worden. Lediglich die chronischen linksseitigen Schulterbeschwerden und die chronischen Beschwerden an der Lendenwirbelsäule (LWS) seien teilweise objektivierbar gewesen. Es sei davon auszugehen, dass der Beschwerdeführer somatischerseits in seiner Arbeitsfähigkeit nicht wesentlich eingeschränkt sei.
3.2.
3.2.1. Hinsichtlich der psychischen Beschwerden hätten von 2011 bis Sommer 2017 psychosoziale Belastungsfaktoren wesentlich im Vordergrund gestanden. Ab Eintritt in das Sanatorium B.________ im Oktober 2017 sei aber von einem verselbstständigten Gesundheitsschaden auszugehen. Wenngleich sich zur dort diagnostizierten chronischen posttraumatischen Belastungsstörung mit verspätetem Beginn (ICD-10 F43.1) Fragen stellten, sei der Beschwerdeführer aufgrund der stationären Behandlung vom 26. Oktober bis 21. Dezember 2017 vollständig arbeitsunfähig gewesen. Die Arbeitsunfähigkeit habe in der Folge angedauert, da er sich anschliessend in einer Tagesklinik und vom 9. bis 30. Mai 2018 in der Privatklinik für Psychiatrie und Psychotherapie C.________ wiederum stationär habe behandeln lassen (Austrittsbericht vom 1. Juni 2018). Unabhängig von der Diagnose sei bei zwei kurz aufeinander folgenden stationären Behandlungen eine wesentliche Beeinträchtigung der Arbeitsfähigkeit anzunehmen.
Für den Verlauf ab Beginn des Jahres 2019 stellte die Vorinstanz sodann auf das bidisziplinäre Gutachten vom 8. Januar 2021 von Prof. Dr. med. D.________, Facharzt für Psychiatrie und Psychotherapie, und Dr. phil. E.________, Fachpsychologin für Neuropsychologie FSP, ab. Danach leide der Beschwerdeführer an einer Anpassungsstörung im Sinne einer länger dauernden depressiven Reaktion mit Angst gemischt (ICD-10 F43.22), wobei das ängstlich-depressive Syndrom leicht ausgeprägt sei. Die neuropsychologische Untersuchung habe verschiedene Inkonsistenzen und Diskrepanzen ergeben. Die Resultate seien dermassen auffällig gewesen, dass der Beschwerdeführer überwiegend wahrscheinlich aggraviere. Gemäss Prof. Dr. med. D.________ stünden die psychosozialen Gegebenheiten im Vordergrund. Die verordneten Medikamente würden nicht oder nur unregelmässig eingenommen. Unter Beachtung der einschlägigen Standardindikatoren habe der Gutachter eine volle Arbeitsfähigkeit in einer leidensadaptierten Tätigkeit seit Juli 2019 angenommen. Von Oktober 2017 bis Sommer 2018 sei der Beschwerdeführer gestützt auf die Arbeitsfähigkeitsschätzung des Prof. Dr. med. D.________ in jeder Tätigkeit vollständig arbeitsunfähig gewesen. Ab Sommer 2018 bis Juni 2019 habe
eine 50%-ige Arbeitsunfähigkeit in einer angepassten Tätigkeit bestanden.
3.2.2. Hieraus leitete die Vorinstanz in erwerblicher Hinsicht einen von Oktober 2018 bis September 2019 bestehenden Anspruch auf eine halbe Rente der Invalidenversicherung ab, indem sie den Invaliditätsgrad ausgehend von einer Arbeitsunfähigkeit von 50 % auf 50 % festsetzte, da der Beschwerdeführer im massgeblichen Zeitraum nicht in einem Arbeitsverhältnis gestanden habe.
4.
4.1. Was der Beschwerdeführer zunächst in medizinischer Hinsicht gegen die Darlegungen im angefochtenen Urteil vorbringt, lässt die vorinstanzliche Sachverhaltsfeststellung und Beweiswürdigung nicht als offensichtlich unrichtig erscheinen und vermag keine Bundesrechtsverletzung aufzuzeigen.
Nicht ersichtlich ist insbesondere, weshalb nach einer polydisziplinären Begutachtung eine ergänzende bidisziplinäre Exploration willkürlich sein sollte, da hierdurch keine gemeinsame Schlussbeurteilung unter Berücksichtigung aller Fachbereiche erfolgen könne. Die Nichtberücksichtigung des psychiatrischen Teilgutachtens des ZMB führt nicht zur Beweisuntauglichkeit des gesamten Gutachtens, auch wenn die interdisziplinäre Ausrichtung ein zentrales Wesensmerkmal der MEDAS-Gutachten ist und bei komplexen gesundheitlichen Beeinträchtigungen die Einschätzung der Leistungsfähigkeit auf umfassender, die Teilergebnisse verschiedener medizinischer Disziplinen integrierender Grundlage erfolgen muss (BGE 137 V 210 E. 1.2.4). Optimal ist, wenn - unabhängig davon, welche Fachrichtungen bei der Durchführung der polydisziplinären Begutachtung berücksichtigt wurden - die abschliessende, gesamthafte Beurteilung von Kausalität und Arbeitsunfähigkeit auf der Grundlage einer Konsensdiskussion der einzelnen Gutachter oder unter Leitung eines fallführenden Arztes erfolgt, damit die Ergebnisse aus den einzelnen Fachrichtungen zusammengeführt und dargelegt werden können (Urteil 8C 323/2007 vom 25. Februar 2008 E. 4.3.2 mit Hinweisen). Zwingende
Voraussetzung für die Beweistauglichkeit eines polydisziplinären Gutachtens ist dies jedoch nicht. Mit anderen Worten verletzt das Abstellen auf ein polydisziplinäres Gutachten Art. 43 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit. |
|
1 | L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit. |
1bis | L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35 |
2 | L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés. |
3 | Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable. |
Die Vorinstanz hat nachvollziehbar und schlüssig dargelegt, weshalb dem somatischen Teil des ZMB-Gutachtens vom 21. Januar 2020 - entgegen der Auffassung des Beschwerdeführers - Beweiskraft zukommt. Wie die Vorinstanz willkürfrei feststellte, ist die medizinische Situation insoweit durch die vorliegenden beweiswertigen Akten hinreichend abgeklärt, weshalb in dieser Konstellation die erneute Begutachtung in lediglich zwei Fachgebieten (Psychiatrie und Neuropsychologie) notwendig aber auch genügend war. Dies verletzt kein Bundesrecht.
4.2. Unbehelflich sind sodann die gegen die Beweiskraft des bidisziplinären Gutachtens vom 8. Januar 2021 gerichteten Einwände. In formeller Hinsicht macht der Beschwerdeführer erstmals vor Bundesgericht geltend, Prof. Dr. med. D.________ fehle es an Unabhängigkeit und Unvoreingenommenheit, weil er auf blosse Nachfrage des RAD-Arztes seinen eigenen Schussfolgerungen zur Arbeitsfähigkeit im Gutachten widersprochen habe. Dieser Vorwurf erfolgt zum einen verspätet, weshalb sich Weiterungen hierzu erübrigen (BGE 143 V 66 E. 4.3; 138 I 1 E. 2.2; 132 II 485 E. 4.3; Urteil 8C 663/2021 vom 9. Februar 2022 E. 4.2).
4.3. Zum andern ist der Einwand, Prof. Dr. med. D.________ sei bereit gewesen, auf Anfrage des RAD seinen Angaben im Gutachten zu widersprechen, nicht stichhaltig. Seine Aussage im Gutachten, es bestehe eine 50%-ige Arbeitsunfähigkeit ab Sommer 2018 bis Frühling 2020, bestätigte er in seiner Stellungnahme vom 16. Februar 2021 und wich insofern, anders als der Beschwerdeführer anzunehmen scheint, nicht von der Einschätzung im Gutachten ab. Im Sinne einer Präzisierung differenzierte der Psychiater in seiner Stellungnahme vom 16. Februar 2021 einzig zwischen der angestammten und einer angepassten Tätigkeit. Überdies steht auch seine Einschätzung, ab Juli 2019 sei ein verbesserter Gesundheitszustand gegeben, im Einklang mit der übrigen Aktenlage. So lässt sich dem ZMB-Gutachten vom 21. Januar 2020 entnehmen, dass im Juli 2019 eine ambulante Traumatherapie in der Muttersprache begonnen worden sei. Seit Beginn dieser Therapie erlebe der Beschwerdeführer erstmals eine Besserung seines Zustands. Begleitend habe der Beschwerdeführer dreimal pro Woche die Tagesklinik der entsprechenden Einrichtung besucht. Eigenanamnestisch erlebe er eine zunehmende Besserung seines Zustands. Insbesondere die laufende Traumatherapie solle dringend
fortgesetzt werden. Die tagesklinische Begleitung werde bei Beginn der beruflichen Massnahmen nicht mehr nötig sein. Ebenso gab der behandelnde Psychiater Dr. med. F.________ in seinem Bericht vom 7. Mai 2020 an, im vergangenen Jahr seien durch das psychiatrisch-psychotherapeutische Setting eindeutig Verbesserungen erzielt worden. U.a. profitiere der Beschwerdeführer von einer psychotherapeutischen Traumabehandlung.
Hieraus erhellt, dass bezüglich der von Prof. Dr. med. D.________ angenommenen Verbesserung des Gesundheitszustands ab Juli 2019 keine Rede von einer aktenwidrigen tatsächlichen Behauptung sein kann, wie der Beschwerdeführer rügt. Ob die tagesklinische Behandlung (dreimal pro Woche für einen halben Tag) dannzumal abgeschlossen worden war, wovon der psychiatrische Gutachter in seiner Stellungnahme vom 16. Februar 2021 ausging, oder nicht, wie eingewendet wird, ändert daran nichts. Die Vorinstanz stellte bundesrechtskonform auf die Arbeitsfähigkeitsschätzung des Prof. Dr. med. D.________ ab.
Ebenso wenig ist die vorinstanzliche Feststellung aktenwidrig und damit offensichtlich unrichtig, dass den somatischen Einschränkungen gemäss ZMB-Gutachten vom 21. Januar 2021 keine wesentliche Bedeutung hinsichtlich ihrer Auswirkungen auf die Arbeitsfähigkeit zukomme. Lediglich die Beschwerden der linken Schulter und der LWS bewirkten gemäss ZMB-Gutachter schmerzbedingt eine leichte Reduktion des Rendements. Eine willkürliche Beweiswürdigung kann der Vorinstanz insgesamt nicht vorgeworfen werden, weshalb die Vorinstanz auf weitere Beweisvorkehren ohne Verletzung von Bundesrecht verzichten durfte.
4.4.
4.4.1. Nicht durchzudringen vermag der Beschwerdeführer sodann mit dem Einwand, die Vorinstanz habe bundesrechtsverletzend angenommen, es liege bis Sommer 2017 noch keine Invalidität im Rechtssinne vor, obwohl er sich bereits 2013 bei der Invalidenversicherung angemeldet habe. Eine 40%-ige Arbeitsunfähigkeit hinsichtlich des zu absolvierenden Wartejahres gemäss Art. 28 Abs. 1 lit. b
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
|
1 | L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
a | sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles; |
b | il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable; |
c | au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins. |
1bis | Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205 |
2 | ...206 |
4.4.2. Der im Hinblick auf Rentenleistungen der Invalidenversicherung geltende enge (bio-psychische) Krankheitsbegriff klammert soziale Faktoren so weit aus, als es darum geht, die für die Einschätzung der Arbeitsunfähigkeit kausalen versicherten Faktoren zu umschreiben. Die funktionellen Folgen von Gesundheitsschädigungen werden hingegen auch mit Blick auf psychosoziale und soziokulturelle Belastungsfaktoren abgeschätzt, welche den Wirkungsgrad der Folgen einer Gesundheitsschädigung beeinflussen (BGE 141 V 281 E. 3.4.2.1 mit Hinweisen). Soweit soziale Belastungen direkt negative funktionelle Folgen zeitigen, bleiben sie ausgeklammert, gilt es doch sicherzustellen, dass gesundheitlich bedingte Erwerbsunfähigkeit zum einen (Art. 4 Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 4 Invalidité - 1 L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45 |
|
1 | L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45 |
2 | L'invalidité est réputée survenue dès qu'elle est, par sa nature et sa gravité, propre à ouvrir droit aux prestations entrant en considération.46 |
verselbstständigten Gesundheitsschaden aufrechterhalten oder den Wirkungsgrad seiner Folgen verschlimmern (Urteile 9C 10/2021 vom 15. Juni 2021 E. 3.3.1; 8C 559/2019 vom 20. Januar 2020 E. 3.2 mit Hinweis; vgl. dazu auch Urteile 8C 407/2020 vom 3. März 2021 E. 4.1 f., in: SVR 2021 IV 47 151; 9C 311/2021 vom 23. September 2021 E. 4.2).
4.5.
4.5.1. Der Beschwerdeführer vermag nicht aufzuzeigen, womit die Vorinstanz in Nachachtung der soeben dargelegten Rechtsprechung mit ihrer Feststellung, von 2011 bis Sommer 2017 sei noch kein verselbstständigter Gesundheitsschaden ausgewiesen gewesen, Bundesrecht verletzt haben sollte. Nicht offensichtlich unrichtig ist die vorinstanzliche Feststellung, das Beschwerdebild sei in dieser Zeitspanne wesentlich durch invaliditätsfremde psychosoziale Umstände geprägt gewesen: So habe er 2012 erfahren, nicht biologischer Vater seines Sohnes zu sein, worauf er und seine Frau sich getrennt hätten. Die 2014 gewährte berufliche Umschulung zum Lastwagenchauffeur habe er nicht erfolgreich absolvieren können und in der Folge seine Arbeitsstelle verloren. 2016 habe ihn seine neue Partnerin verlassen. Überdies bestünden finanzielle Probleme. Der behandelnde Dr. med. F.________ habe solche Faktoren durchgehend beschrieben und im Bericht vom 18. Juli 2014 dementsprechend die Diagnose einer mittelgradigen depressiven Episode bei psychosozialer Belastungssituation gestellt, bestehend seit April 2013. Im November 2016 habe der Psychiater dargelegt, mit welchen Problemen der Beschwerdeführer in den letzten zwei Jahren konfrontiert gewesen sei und
angegeben, dieser sei für eine leichtere körperliche Arbeit und als Lastwagenchauffeur einsetzbar, "wenn er eine Stelle finde". Gegenüber der Beschwerdegegnerin habe Dr. med. F.________ bemerkt, dass "der Mann einfach eine Arbeitsstelle" brauche. Auch im Verlauf der Potenzialabklärung vom 4. bis 28. September 2017 seien immer wieder die privaten Belastungen des Beschwerdeführers in den Vordergrund gerückt. Wie die Vorinstanz sodann festhielt, ordnete auch Prof. Dr. med. D.________ das noch vorhandene syndromale psychiatrische Krankheitsbild einer Reaktion auf die schwierigen psychosozialen Belastungen zu. Hätte der Beschwerdeführer keine Schulden, wäre der Vaterschaftstest zu seinen Gunsten ausgefallen und wäre es nicht zu den Eheschwierigkeiten gekommen, würden überwiegend wahrscheinlich keine Funktionsstörungen vorliegen.
4.5.2. Es ist weder willkürlich noch anderweitig bundesrechtswidrig, wenn die Vorinstanz mit Blick auf diese Darlegungen und der übrigen medizinischen Aktenlage aus invalidenversicherungsrechtlicher Sicht zum Schluss gelangte, dass es sich bei den psychischen Leiden zumindest bis Sommer 2017 um ein reaktives Geschehen auf psychosoziale Belastungsfaktoren handelte bzw. ein verselbstständigter Gesundheitsschaden nicht überwiegend wahrscheinlich ausgewiesen sei. Damit ist auch der vorinstanzlich auf 1. Oktober 2018 festgesetzte Rentenbeginn bundesrechtskonform.
4.6.
4.6.1. Schliesslich bemängelt der Beschwerdeführer die Ermittlung des Invaliditätsgrads im angefochtenen Urteil.
Der Einkommensvergleich (Art. 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré. |
4.6.2. Die Vorinstanz verzichtete auf die ziffernmässig genaue Ermittlung von Validen- und Invalideneinkommen im Sinne dieser rechnerischen Vereinfachung. Es kann vorliegend offen bleiben, ob die Voraussetzungen für diese Ermittlung des Invaliditätsgrads gegeben sind. Im Ergebnis hält die Vorgehensweise im angefochtenen Urteil vor Bundesrecht stand, wie sich aus dem Nachstehenden ergibt.
Wenn im Rahmen der allgemeinen Methode des Einkommensvergleichs für die Festsetzung des Einkommens, das der Beschwerdeführer hypothetisch als Gesunder im Vergleichsjahr 2018 erzielt hätte (Valideneinkommen; vgl. Urteil 9C 225/2019 vom 11. September 2019 E. 4.2.1), vom in der Beschwerde genannten Wert ausgegangen würde, den er im Jahr 2012 als Fassadenisoleur auf dem Bau erzielte (Fr. 73'624.-), ergäbe sich nichts zu seinen Gunsten. Im Vergleichsjahr 2018 beliefe sich dieses Valideneinkommen nominallohnindexiert auf Fr. 75'098.- (Bundesamt für Statistik, Tabelle T1.1.93, Nominallohnindex Männer, 2011-2021, Baugewerbe, Index 2012: 124,9, Index 2018: 127,4).
Für die Festsetzung des Invalideneinkommens wären, da kein tatsächlich erzielter Verdienst vorliegt (BGE 135 V 297 E. 5.2; Urteil 8C 58/1018 vom 7. August 2018 E. 3.1, in: SVR 2019 UV Nr. 7 S. 27), praxisgemäss die LSE-Tabellenlöhne heranzuziehen (vgl. BGE 148 V 174 E. 6.2; 143 V 295 E. 2.2; Urteile 8C 7/2014 vom 10. Juli 2014 E. 7.1, in: SVR 2014 IV Nr. 37 S. 130; 9C 206/2021 vom 10. Juni 2021 E. 4.4.2). Auf der Grundlage von LSE 2018 (Tabelle TA1 tirage skill level, Zentralwert, Total, Kompetenzniveau 1, Männer) mit einem Ausgangswert von Fr. 5417.- pro Monat bzw. Fr. 65'004.- pro Jahr würde das Invalideneinkommen bei einer 50%-igen Arbeitsfähigkeit Fr. 32'502.- entsprechen. Aus der Gegenüberstellung der Vergleichseinkommen resultierte ein Invaliditätsgrad von gerundet 57 %, was keinen Anspruch auf eine höhere Invalidenrente begründete. Dass die Vorinstanz bundesrechtswidrig keinen leidensbedingten Abzug gewährt habe, wird in der Beschwerde zu Recht nicht gerügt. Damit hat es beim vorinstanzlichen Urteil sein Bewenden.
5.
Entsprechend dem Ausgang des Verfahrens sind die Gerichtskosten dem Beschwerdeführer aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
|
1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
|
1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege wird gutgeheissen. Rechtsanwältin Petra Oehmke wird als unentgeltliche Anwältin des Beschwerdeführers bestellt.
3.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt, indes vorläufig auf die Gerichtskasse genommen.
4.
Der Rechtsvertreterin des Beschwerdeführers wird aus der Bundesgerichtskasse eine Entschädigung von Fr. 2800.- ausgerichtet.
5.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 4. August 2022
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Wirthlin
Die Gerichtsschreiberin: Polla