Tribunal administratif fédéral
Tribunale amministrativo federale
Tribunal administrativ federal
Cour VI
F-235/2018
Arrêt du 4 avril 2019
Gregor Chatton (président du collège),
Composition Daniele Cattaneo, Andreas Trommer, juges,
Sylvain Félix, greffier.
X._______,
Parties représenté par Maître Philippe Zimmermann, avocat, Rue de Lausanne 65, Case postale 1507, 1951 Sion,
recourant,
contre
Secrétariat d'Etat aux migrations SEM,
Quellenweg 6, 3003 Berne,
autorité inférieure.
Objet Refus d'approbation à l'octroi d'une autorisation de séjour pour traitement médical.
Faits :
A.
X._______, ressortissant du Kosovo, né le (...) 1966, a déposé une demande d'asile en Suisse le 13 janvier 1997, qui a été rejetée le
3 avril 1997.
Le 7 août 2000, il a été renvoyé dans son pays d'origine, avant de revenir en Suisse en février 2009.
B.
Le 19 juin 2010, il a été victime d'un grave accident de travail, alors qu'il séjournait sans autorisation sur le territoire suisse.
Le 14 octobre 2010, l'intéressé a été entendu par la Police cantonale du Valais dans le cadre de l'enquête de police ouverte ensuite de cet accident. Lors de son audition, X._______ a relaté les circonstances de cet évènement, expliquant qu'il avait subi des brûlures sur environ 50% du corps suite à l'explosion d'un brûleur dans une fromagerie d'alpage sise en Valais. Il était hospitalisé pour une durée d'au moins une année à la clinique romande de réadaptation de la SUVA à Sion. Evoquant sa situation familiale, il a indiqué que son épouse et leurs quatre enfants résidaient au Kosovo.
C.
Le 13 janvier 2011, l'intéressé a adressé un courrier au Service de la population et des migrations du canton du Valais (ci-après : le Service cantonal), s'enquérant de la possibilité de se voir octroyer une autorisation de séjour. Le 5 avril 2011, le Service cantonal a indiqué à X._______ qu'au vu de la durée prévue de son traitement médical, son séjour était toléré jusqu'au 30 septembre 2011 et que, passé ce délai, il devrait quitter la Suisse.
Le 17 août 2011, l'intéressé, par l'entremise de son mandataire, a sollicité du Service cantonal le règlement de ses conditions de séjour en vue de poursuivre le traitement médical entrepris en Suisse.
D.
Le 4 novembre 2011, X._______ a été mis au bénéfice d'indemnités journalières au sens de la loi sur l'assurance accidents dès le 21 juin 2010, dont le montant a été établi suite à deux arrêts de la Ire Cour de droit social du Tribunal fédéral (arrêts 8C_296/2013 du 14 janvier 2014 et 8C_716/2015 du 13 juin 2016).
E.
Dès l'été 2012, X._______ s'est régulièrement vu délivrer des visas de retour par le Service cantonal, afin de rendre visite à sa famille au Kosovo.
F.
Dans sept courriers datés des 25 juillet 2012, 22 octobre 2012, 16 mai 2013, 10 juin 2013, 12 septembre 2013, 7 novembre 2013 et 16 décembre 2013, adressés au Service cantonal, l'intéressé a réitéré sa demande d'octroi d'un permis de séjour pour raisons médicales, soulignant qu'il bénéficiait depuis quelques années de soins quasi-permanents en Suisse et que la durée de son traitement était indéterminée.
Préoccupé par l'absence de réponses à ses précédents courriers, X._______ s'est à nouveau adressé au Service cantonal le 5 février 2014, le 18 juin 2014, le 13 novembre 2014, le 9 avril 2015, le 27 avril 2015, le
11 juin 2015, le 25 juin 2015 et le 3 septembre 2015.
G.
Le 24 avril 2015, l'Office cantonal d'assurance invalidité (AI) du Valais (ci-après : l'Office AI) a rendu en faveur de l'intéressé une décision d'octroi d'une rente entière d'invalidité à compter du 1er mai 2015.
Le 23 septembre 2015, l'Office AI a rendu en faveur de l'intéressé une décision d'octroi d'une rente entière d'invalidité pour la période du 1er juin 2011 au 30 avril 2015.
H.
Dans un courrier intitulé «X._______, (...)1966, Kosovo - art. 30

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 30 - 1 È possibile derogare alle condizioni d'ammissione (art. 18-29) al fine di: |

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 29 Cure mediche - Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per ricevere cure mediche. Il finanziamento e la partenza dalla Svizzera devono essere garantiti. |
I.
Le 8 mars 2016, le Service cantonal a transmis au SEM le dossier d'X._______ pour approbation à l'octroi en sa faveur d'une autorisation de séjour temporaire pour traitement médical, en application de l'art. 29

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 29 Cure mediche - Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per ricevere cure mediche. Il finanziamento e la partenza dalla Svizzera devono essere garantiti. |
Le 9 mars 2016, le SEM a donné son approbation à l'autorisation de séjour de courte durée proposée par le Service cantonal, limitée au
23 juin 2016. Le 10 octobre 2016, le Service cantonal a prolongé ladite autorisation jusqu'au 23 juin 2017.
J.
Le 12 juillet 2017, le Service cantonal a repris l'instruction du dossier d'X._______ s'agissant du renouvellement de son autorisation de séjour de courte durée.
Dans un courrier adressé au Service cantonal le 29 août 2017, le Dr T._______, médecin traitant de l'intéressé, a présenté la situation médicale de son patient. Il a indiqué qu'X._______ gardait des séquelles de son accident, notamment au niveau articulaire et que son traitement nécessitait la prise de médicaments, en particulier des antalgiques, un crémage et une hydratation cutanée ainsi que des séances de physiothérapie. Le praticien a précisé que le patient n'était pas en mesure d'effectuer seul le crémage hydratant et qu'il avait recours à l'aide d'une infirmière à domicile.
Par courrier du 30 octobre 2017, leService cantonal a informé l'intéressé qu'il était disposé à prolonger son autorisation de séjour et que son dossier était soumis à l'approbation du SEM.
K.
Le 2 novembre 2017, le SEM a informé X._______ qu'il envisageait de refuser de donner son approbation au renouvellement de son autorisation de séjour temporaire au sens de l'art. 29

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 29 Cure mediche - Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per ricevere cure mediche. Il finanziamento e la partenza dalla Svizzera devono essere garantiti. |
Dans les observations qu'il a adressées au SEM le 30 novembre 2017, l'intéressé, par l'intermédiaire de son mandataire, a développé divers arguments plaidant en faveur du renouvellement de son autorisation de séjour.
L.
Le 11 décembre 2017, le SEM a rendu à l'endroit d'X._______ une décision de refus d'approbation à l'octroi d'une autorisation de séjour pour traitement médical et de renvoi de Suisse, lui impartissant un délai au 28 février 2018 pour quitter le pays.
M.
Agissant par l'entremise de son conseil, X._______ a recouru contre cette décision le 11 janvier 2018 auprès du Tribunal administratif fédéral (ci-après : le Tribunal ou le TAF) en concluant à sa réforme, dans le sens de l'approbation à l'octroi d'une autorisation de séjour en Suisse.Le recourant a également requis l'octroi de l'assistance judiciaire totale et la désignation de Maître Philippe Zimmermann en tant qu'avocat d'office.
Dans un courrier adressé au Tribunal le 5 mars 2018, le recourant a exposé sa volonté de pouvoir se rendre au chevet de son épouse malade, au Kosovo.
Par ordonnance du 8 mars 2018, le Tribunal a invité le recourant à remplir le formulaire «Demande d'assistance judiciaire» et à y joindre les moyens de preuve nécessaires.
Par décision incidente du 9 mars 2018, le Tribunal a rejeté la requête du recourant du 5 mars 2018 en tant qu'elle devrait être comprise comme une demande de mesures provisionnelles.
Le 26 mars 2018, le recourant a produit les pièces requises dans l'ordonnance du 8 mars 2018.
Par décision incidente du 13 juillet 2018, le Tribunal a rejeté la demande d'assistance judiciaire totale du recourant au motif que les conclusions de son recours étaient, prima facie, dépourvues de chances de succès et l'a invité à payer une avance de frais de Fr. 1'200.- jusqu'au 13 août 2018. Le recourant a effectué le versement requis en date du 26 juillet 2018.
N.
Par courriers des 11 octobre 2018 et 17 octobre 2018, le recourant s'est enquis de l'état de la procédure concernant le traitement de son pourvoi et a insisté sur le fait que son épouse serait en fin de vie.
Par décision incidente du 1er novembre 2018, le Tribunal a indiqué qu'une certaine priorité serait fixée dans le traitement du dossier de la cause, n'est pas entré en matière sur la demande du recourant tendant à pouvoir quitter la Suisse et y revenir librement durant la procédure d'instruction de son recours, a transmis la requête du recourant à l'autorité inférieure et à l'autorité migratoire du canton du Valais comme objet de leur compétence et a invité l'autorité inférieure à se prononcer sur le recours interjeté contre sa décision du 11 décembre 2017.
Dans ses observations du 14 novembre 2018, le SEM a proposé le rejet du recours, reprenant en substance les arguments exposés dans la décision attaquée.
Le 19 novembre 2018, le recourant a informé le Tribunal du décès de son épouse et a fourni quelques pièces complémentaires.
Par ordonnance du 20 novembre 2018, à laquelle il n'a pas donné suite, le recourant a été invité à se déterminer sur la réponse de l'autorité inférieure.
Par ordonnance du 23 novembre 2018, le Tribunal a porté à la connaissance de l'autorité inférieure une copie de l'envoi du recourant du 19 novembre 2018.
Le 29 novembre 2018, le SEM a confirmé n'avoir pas d'autres observations à formuler.
Par ordonnance du 13 décembre 2018, le Tribunal a porté une copie de l'envoi de l'autorité inférieure du 29 novembre 2018 à la connaissance du recourant.
Le 22 mars 2019, le Service cantonal a fait parvenir au Tribunal une copie d'une communication du Service de l'action sociale du canton du Valais concernant le recourant.
Par ordonnance du 29 mars 2019, le Tribunal a porté une copie de cette pièce à la connaissance de l'autorité inférieure et du recourant.
O.
Les autres éléments contenus dans les écritures précitées seront examinés, si nécessaire, dans les considérants en droit ci-dessous.
Droit :
1.
Le 1er janvier 2019, la loi sur les étrangers du 16 décembre 2005 (LEtr,
RS 142.20) a connu une modification partielle comprenant également un changement de sa dénomination (modification de la LEtr du 16 décembre 2016, RO 2018 3171). Ainsi, la LEtr s'intitule nouvellement loi fédérale sur les étrangers et l'intégration du 16 décembre 2005 (LEI). Le Tribunal utilisera donc ci-après cette nouvelle dénomination, étant précisé que les dispositions matérielles traitées dans le présent arrêt n'ont pas connu de modification. Il en va de même, sur ce point, des dispositions de l'ordonnance du 24 octobre 2007 relative à l'admission, au séjour et à l'exercice d'une activité lucrative (OASA, RS 142.201), modifiée le 15 août 2018 (RO 2018 3173).
2.
2.1 Sous réserve des exceptions prévues à l'art. 32

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 32 Eccezioni - 1 Il ricorso è inammissibile contro: |

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 31 Principio - Il Tribunale amministrativo federale giudica i ricorsi contro le decisioni ai sensi dell'articolo 5 della legge federale del 20 dicembre 196819 sulla procedura amministrativa (PA). |

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 5 - 1 Sono decisioni i provvedimenti delle autorità nel singolo caso, fondati sul diritto pubblico federale e concernenti: |
|
1 | Sono decisioni i provvedimenti delle autorità nel singolo caso, fondati sul diritto pubblico federale e concernenti: |
a | la costituzione, la modificazione o l'annullamento di diritti o di obblighi; |
b | l'accertamento dell'esistenza, dell'inesistenza o dell'estensione di diritti o di obblighi; |
c | il rigetto o la dichiarazione d'inammissibilità d'istanze dirette alla costituzione, alla modificazione, all'annullamento o all'accertamento di diritti o di obblighi. |
2 | Sono decisioni anche quelle in materia d'esecuzione (art. 41 cpv. 1 lett. a e b), le decisioni incidentali (art. 45 e 46), le decisioni su opposizione (art. 30 cpv. 2 lett. b e 74), le decisioni su ricorso (art. 61), le decisioni in sede di revisione (art. 68) e l'interpretazione (art. 69).24 |
3 | Le dichiarazioni di un'autorità che rifiuta o solleva pretese da far valere mediante azione non sono considerate decisioni. |

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 33 Autorità inferiori - Il ricorso è ammissibile contro le decisioni: |

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 29 Cure mediche - Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per ricevere cure mediche. Il finanziamento e la partenza dalla Svizzera devono essere garantiti. |

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 33 Autorità inferiori - Il ricorso è ammissibile contro le decisioni: |

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 1 Principio - 1 Il Tribunale amministrativo federale è il tribunale amministrativo generale della Confederazione. |

SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 83 Eccezioni - Il ricorso è inammissibile contro: |
|
a | le decisioni in materia di sicurezza interna o esterna del Paese, neutralità, protezione diplomatica e altri affari esteri, in quanto il diritto internazionale non conferisca un diritto al giudizio da parte di un tribunale; |
b | le decisioni in materia di naturalizzazione ordinaria; |
c | le decisioni in materia di diritto degli stranieri concernenti: |
c1 | l'entrata in Svizzera, |
c2 | i permessi o autorizzazioni al cui ottenimento né il diritto federale né il diritto internazionale conferiscono un diritto, |
c3 | l'ammissione provvisoria, |
c4 | l'espulsione fondata sull'articolo 121 capoverso 2 della Costituzione federale e l'allontanamento, |
c5 | le deroghe alle condizioni d'ammissione, |
c6 | la proroga del permesso per frontalieri, il cambiamento di Cantone, il cambiamento d'impiego del titolare di un permesso per frontalieri, nonché il rilascio di documenti di viaggio a stranieri privi di documenti; |
d | le decisioni in materia d'asilo pronunciate: |
d1 | dal Tribunale amministrativo federale, salvo quelle che concernono persone contro le quali è pendente una domanda d'estradizione presentata dallo Stato che hanno abbandonato in cerca di protezione, |
d2 | da un'autorità cantonale inferiore e concernenti un permesso o un'autorizzazione al cui ottenimento né il diritto federale né il diritto internazionale conferiscono un diritto; |
e | le decisioni concernenti il rifiuto dell'autorizzazione a procedere penalmente contro membri di autorità o contro agenti della Confederazione; |
f | le decisioni in materia di appalti pubblici se: |
fbis | le decisioni del Tribunale amministrativo federale concernenti decisioni secondo l'articolo 32i della legge del 20 marzo 200964 sul trasporto di viaggiatori; |
f1 | non si pone alcuna questione di diritto d'importanza fondamentale; sono fatti salvi i ricorsi contro gli appalti del Tribunale amministrativo federale, del Tribunale penale federale, del Tribunale federale dei brevetti, del Ministero pubblico della Confederazione e delle autorità giudiziarie cantonali superiori, o |
f2 | il valore stimato della commessa non raggiunge il valore soglia determinante secondo l'articolo 52 capoverso 1 in combinato disposto con l'allegato 4 numero 2 della legge federale del 21 giugno 201962 sugli appalti pubblici; |
g | le decisioni in materia di rapporti di lavoro di diritto pubblico, in quanto concernano una controversia non patrimoniale, ma non la parità dei sessi; |
h | le decisioni concernenti l'assistenza amministrativa internazionale, eccettuata l'assistenza amministrativa in materia fiscale; |
i | le decisioni in materia di servizio militare, civile o di protezione civile; |
j | le decisioni in materia di approvvigionamento economico del Paese adottate in situazioni di grave penuria; |
k | le decisioni concernenti i sussidi al cui ottenimento la legislazione non conferisce un diritto; |
l | le decisioni concernenti l'imposizione di dazi operata in base alla classificazione tariffaria o al peso delle merci; |
m | le decisioni concernenti il condono o la dilazione del pagamento di tributi; in deroga alla presente disposizione, il ricorso è ammissibile contro le decisioni concernenti il condono dell'imposta federale diretta o dell'imposta cantonale o comunale sul reddito e sull'utile se concerne una questione di diritto di importanza fondamentale o se si tratta per altri motivi di un caso particolarmente importante; |
n | le decisioni in materia di energia nucleare concernenti: |
n1 | l'esigenza di un nulla osta o la modifica di un'autorizzazione o di una decisione, |
n2 | l'approvazione di un piano d'accantonamenti per le spese di smaltimento antecedenti lo spegnimento di un impianto nucleare, |
n3 | i nulla osta; |
o | le decisioni in materia di circolazione stradale concernenti l'omologazione del tipo di veicoli; |
p | le decisioni del Tribunale amministrativo federale in materia di traffico delle telecomunicazioni, radiotelevisione e poste concernenti:69 |
p1 | concessioni oggetto di una pubblica gara, |
p2 | controversie secondo l'articolo 11a della legge del 30 aprile 199770 sulle telecomunicazioni; |
p3 | controversie secondo l'articolo 8 della legge del 17 dicembre 201072 sulle poste; |
q | le decisioni in materia di medicina dei trapianti concernenti: |
q1 | l'iscrizione nella lista d'attesa, |
q2 | l'attribuzione di organi; |
r | le decisioni in materia di assicurazione malattie pronunciate dal Tribunale amministrativo federale in virtù dell'articolo 3473 della legge del 17 giugno 200574 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF); |
s | le decisioni in materia di agricoltura concernenti: |
s1 | ... |
s2 | la delimitazione delle zone nell'ambito del catasto della produzione; |
t | le decisioni concernenti l'esito di esami e di altre valutazioni della capacità, segnatamente nei settori della scuola, della formazione continua e dell'esercizio della professione; |
u | le decisioni in materia di offerte pubbliche di acquisto (art. 125-141 della L del 19 giu. 201578 sull'infrastruttura finanziaria); |
v | le decisioni del Tribunale amministrativo federale concernenti divergenze d'opinione tra autorità in materia di assistenza amministrativa o giudiziaria a livello nazionale; |
w | le decisioni in materia di diritto dell'elettricità concernenti l'approvazione dei piani di impianti elettrici a corrente forte e di impianti elettrici a corrente debole e l'espropriazione dei diritti necessari per la costruzione o l'esercizio di siffatti impianti, se non si pone alcuna questione di diritto d'importanza fondamentale; |
x | le decisioni concernenti la concessione di contributi di solidarietà ai sensi della legge federale del 30 settembre 201682 sulle misure coercitive a scopo assistenziale e i collocamenti extrafamiliari prima del 1981, tranne se si pone una questione di diritto di importanza fondamentale o si tratta di un caso particolarmente importante per altri motivi; |
y | le decisioni pronunciate dal Tribunale amministrativo federale nelle procedure amichevoli per evitare un'imposizione non conforme alla convenzione internazionale applicabile in ambito fiscale; |
z | le decisioni concernenti le autorizzazioni edilizie di impianti eolici d'interesse nazionale secondo l'articolo 71c capoverso 1 lettera b della legge federale del 30 settembre 201685 sull'energia e le autorizzazioni di competenza cantonale a esse necessariamente connesse, se non si pone alcuna questione di diritto d'importanza fondamentale. |
2.2 A moins que la LTAF n'en dispose autrement, la procédure devant le Tribunal est régie par la PA (art. 37

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 37 Principio - La procedura dinanzi al Tribunale amministrativo federale è retta dalla PA58, in quanto la presente legge non disponga altrimenti. |
2.3 Le recourant a qualité pour recourir (art. 48 al. 1

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 48 - 1 Ha diritto di ricorrere chi: |
|
1 | Ha diritto di ricorrere chi: |
a | ha partecipato al procedimento dinanzi all'autorità inferiore o è stato privato della possibilità di farlo; |
b | è particolarmente toccato dalla decisione impugnata; e |
c | ha un interesse degno di protezione all'annullamento o alla modificazione della stessa. |
2 | Ha inoltre diritto di ricorrere ogni persona, organizzazione o autorità cui un'altra legge federale riconosce tale diritto. |

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 50 - 1 Il ricorso dev'essere depositato entro 30 giorni dalla notificazione della decisione. |
|
1 | Il ricorso dev'essere depositato entro 30 giorni dalla notificazione della decisione. |
2 | Il ricorso per denegata o ritardata giustizia può essere interposto in ogni tempo. |

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 52 - 1 L'atto di ricorso deve contenere le conclusioni, i motivi, l'indicazione dei mezzi di prova e la firma del ricorrente o del suo rappresentante; devono essere allegati la decisione impugnata e i documenti indicati come mezzi di prova, se sono in possesso del ricorrente. |
|
1 | L'atto di ricorso deve contenere le conclusioni, i motivi, l'indicazione dei mezzi di prova e la firma del ricorrente o del suo rappresentante; devono essere allegati la decisione impugnata e i documenti indicati come mezzi di prova, se sono in possesso del ricorrente. |
2 | Se il ricorso non soddisfa a questi requisiti o se le conclusioni o i motivi del ricorrente non sono sufficientemente chiari, e il ricorso non sembra manifestamente inammissibile, l'autorità di ricorso assegna al ricorrente un breve termine suppletorio per rimediarvi. |
3 | Essa gli assegna questo termine con la comminatoria che, decorrendo infruttuoso, deciderà secondo l'inserto o, qualora manchino le conclusioni, i motivi oppure la firma, non entrerà nel merito del ricorso. |
3.
Le Tribunal examine les décisions qui lui sont soumises avec un plein pouvoir d'examen en fait et en droit. Le recourant peut ainsi invoquer devant le Tribunal la violation du droit fédéral, y compris l'excès ou l'abus du pouvoir d'appréciation, la constatation inexacte ou incomplète des faits pertinents ainsi que l'inopportunité de la décision entreprise, sauf lorsqu'une autorité cantonale a statué comme autorité de recours (art. 49

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 49 - Il ricorrente può far valere: |
|
a | la violazione del diritto federale, compreso l'eccesso o l'abuso del potere di apprezzamento; |
b | l'accertamento inesatto o incompleto di fatti giuridicamente rilevanti; |
c | l'inadeguatezza; questa censura non è ammissibile quando un'autorità cantonale ha giudicato come autorità di ricorso. |

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 62 - 1 L'autorità di ricorso può modificare la decisione impugnata a vantaggio di una parte. |
|
1 | L'autorità di ricorso può modificare la decisione impugnata a vantaggio di una parte. |
2 | Essa può modificare a pregiudizio di una parte la decisione impugnata quando questa violi il diritto federale o poggi su un accertamento inesatto o incompleto dei fatti; per inadeguatezza, la decisione impugnata non può essere modificata a pregiudizio di una parte, a meno che la modificazione giovi ad una controparte. |
3 | L'autorità di ricorso che intenda modificare la decisione impugnata a pregiudizio di una parte deve informarla della sua intenzione e darle la possibilità di esprimersi. |
4 | L'autorità di ricorso non è vincolata in nessun caso dai motivi del ricorso. |
4.
4.1 Selon l'art. 99

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 99 Procedura d'approvazione - 1 Il Consiglio federale determina i casi in cui i permessi di soggiorno di breve durata, di dimora e di domicilio nonché le decisioni preliminari delle autorità cantonali preposte al mercato del lavoro sono soggetti all'approvazione della SEM. |

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 40 Autorità competenti per il rilascio dei permessi e decisione preliminare delle autorità preposte al mercato del lavoro - 1 I permessi di cui agli articoli 32-35 e 37-39 sono rilasciati dai Cantoni. È fatta salva la competenza dell'autorità federale nel contesto di misure limitative (art. 20) e di deroghe alle condizioni d'ammissione (art. 30) e alla procedura d'approvazione (art. 99). |
4.2 En l'occurrence, le Service cantonal a soumis sa décision à l'approbation du SEM en conformité avec la législation et la jurisprudence (à ce sujet, cf. ATF 141 II 169 consid. 4.3.1, 4.3.2 et 6.1 ; art. 85 al. 1

SR 142.201 Ordinanza del 24 ottobre 2007 sull'ammissione, il soggiorno e l'attività lucrativa (OASA) OASA Art. 85 Permessi e decisioni preliminari soggetti ad approvazione - (art. 30 cpv. 2 e 99 LStrI) |
|
1 | La SEM è competente per l'approvazione del rilascio e del rinnovo dei permessi di soggiorno di breve durata e di dimora, del rilascio dei permessi di domicilio nonché delle decisioni preliminari delle autorità cantonali preposte al mercato del lavoro (art. 83). |
2 | Il DFGP determina in un'ordinanza i casi in cui i permessi di soggiorno di breve durata, di dimora o di domicilio nonché le decisioni preliminari delle autorità preposte al mercato del lavoro devono essere sottoposti alla procedura d'approvazione.222 |
3 | L'autorità cantonale preposta al mercato del lavoro (art. 83) e l'autorità cantonale della migrazione (art. 88 cpv. 1) possono sottoporre alla SEM per approvazione una decisione cantonale affinché verifichi se le condizioni previste dal diritto federale sono adempiute.223 |
5.
Tout étranger peut séjourner en Suisse sans exercer d'activité lucrative pendant trois mois sans autorisation, sauf si la durée fixée dans le visa est plus courte. L'étranger qui prévoit un séjour plus long sans activité lucrative doit être titulaire d'une autorisation (art. 10 al. 1

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 10 Soggiorno senza attività lucrativa - 1 Per un soggiorno di tre mesi al massimo senza attività lucrativa lo straniero non necessita di un permesso; se nel visto è fissato un soggiorno di durata inferiore, vale questa durata. |

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 10 Soggiorno senza attività lucrativa - 1 Per un soggiorno di tre mesi al massimo senza attività lucrativa lo straniero non necessita di un permesso; se nel visto è fissato un soggiorno di durata inferiore, vale questa durata. |

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 5 Condizioni d'entrata - 1 Lo straniero che intende entrare in Svizzera: |

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 96 Esercizio del potere discrezionale - 1 Nell'esercizio del loro potere discrezionale, le autorità competenti tengono conto degli interessi pubblici e della situazione personale nonché dell'integrazione dello straniero.315 |
6.
Les art. 27

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 27 - 1 Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per seguire una formazione o una formazione continua se:36 |

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 29a Ricerca di un impiego - Lo straniero che soggiorna in Svizzera ai soli fini della ricerca di un impiego e i suoi familiari non hanno diritto all'aiuto sociale. |
6.1 Aux termes de l'art. 29

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 29 Cure mediche - Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per ricevere cure mediche. Il finanziamento e la partenza dalla Svizzera devono essere garantiti. |
Même lorsque les conditions posées à l'art. 29

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 29 Cure mediche - Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per ricevere cure mediche. Il finanziamento e la partenza dalla Svizzera devono essere garantiti. |

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 29 Cure mediche - Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per ricevere cure mediche. Il finanziamento e la partenza dalla Svizzera devono essere garantiti. |
6.2 L'art. 29

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 29 Cure mediche - Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per ricevere cure mediche. Il finanziamento e la partenza dalla Svizzera devono essere garantiti. |

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 29 Cure mediche - Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per ricevere cure mediche. Il finanziamento e la partenza dalla Svizzera devono essere garantiti. |
6.3 L'autorisation de séjour pour traitement médical est une autorisation de courte durée. Elle peut ainsi être octroyée pour une durée limitée d'une année au plus (cf. art. 32 al. 1

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 32 Permesso di soggiorno di breve durata - 1 Per soggiorni di un anno al massimo è rilasciato un permesso di breve durata. |

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 32 Permesso di soggiorno di breve durata - 1 Per soggiorni di un anno al massimo è rilasciato un permesso di breve durata. |
Les conditions d'un séjour pour traitement médical d'une durée inférieure ou égale à 90 jours sur une période de 180 jours sont quant à elles réglées par les dispositions relatives au visa Schengen (cf. Martina Caroni / Lisa Ott, Bundesgesetz über die Ausländerinnen und Ausländer (AuG), 2010, ad art. 29 n

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 32 Permesso di soggiorno di breve durata - 1 Per soggiorni di un anno al massimo è rilasciato un permesso di breve durata. |
6.4 La notion de traitement médical au sens de l'art. 29

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 29 Cure mediche - Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per ricevere cure mediche. Il finanziamento e la partenza dalla Svizzera devono essere garantiti. |
Selon la doctrine, la nécessité d'un traitement médical en Suisse n'est plus une condition d'application de l'art. 29

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 29 Cure mediche - Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per ricevere cure mediche. Il finanziamento e la partenza dalla Svizzera devono essere garantiti. |
6.5 Pour ce qui a trait au financement, le Conseil fédéral, dans son Message du 8 mars 2002 concernant la loi sur les étrangers (publié in : Feuille fédérale [FF] 2002 3469 [3543]), précise que tous les coûts afférents audit traitement ainsi qu'au séjour en Suisse doivent être couverts. Afin de déterminer si l'intéressé dispose de moyens financiers suffisants, l'autorité peut se référer aux directives "Aide sociale : concepts et normes de calcul" de la Conférence suisse des institutions d'action sociale (directives CSIAS) (cf. Martina Caroni / Lisa Ott, op. cit., ad art. 29 n° 9). La condition des moyens financiers suffisants est réalisée lorsqu'il s'agit de moyens propres ou de ressources provenant de tiers garants ; l'intéressé ne doit pas être à la charge de l'aide sociale (MINH SON NGUYEN in : Nguyen/Amarelle, Code annoté de droit des migrations, Vol. II : Loi sur les étrangers [LEtr], 2017, n° 6 et 7 ad art. 29

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 29 Cure mediche - Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per ricevere cure mediche. Il finanziamento e la partenza dalla Svizzera devono essere garantiti. |
6.6 Il ressort de la doctrine et de la jurisprudence que le séjour pour traitement médical au sens de l'art. 29

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SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 5 Condizioni d'entrata - 1 Lo straniero che intende entrare in Svizzera: |
A ce titre, l'autorité administrative doit analyser si le retour du requérant dans son pays d'origine apparaît comme certain compte tenu, d'une part, de sa situation personnelle, familiale et professionnelle, et, d'autre part, de la situation politique, économique et sociale du pays de provenance (cf. Martina Caroni / Lisa Ott, op. cit., ad art. 29 n° 11).
Ainsi par exemple, le départ de Suisse n'est pas assuré lorsque l'intéressé doit suivre un traitement médical sur une longue période (5 à 10 ans) et que la fin de son séjour envisagé en Suisse n'est pas clairement définie (arrêt du TAF C-6330/2014 du 1er octobre 2015 consid. 4.3.2 ;
MINH SON NGUYEN op. cit., n° 8 à 10 ad art. 29

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7.
En l'occurrence, le Tribunal concentrera son examen sur la garantie du départ de Suisse du recourant, telle qu'exigée par l'art. 29

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7.1 Il convient en premier lieu de relever que la motivation de la décision querellée porte essentiellement sur le caractère (désormais) non nécessaire de la prolongation du séjour du recourant en Suisse pour des motifs médicaux, son souhait de demeurer sur territoire helvétique apparaissant lié à des «motifs de convenance personnelle». Or, la nécessité d'un traitement médical en Suisse n'est plus une condition d'application de l'art.
29

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12 novembre 2014 consid. 4.2.4).
Même à admettre que le raisonnement du Tribunal s'appuie - en partie - sur une substitution de motifs, l'on ne saurait retenir qu'il dût encore accorder au recourant un droit d'être entendu.
En effet, c'est bien le caractère a priori non-temporaire du séjour en Suisse du recourant qui constituait la motivation de la décision incidente rendue à son encontre le 13 juillet 2018, par laquelle le Tribunal a rejeté sa demande d'assistance judiciaire totale étant donné que les conclusions de son recours, après un examen prima facie du dossier, paraissaient dépourvues de chances de succès. Cette problématique ne constitue donc pas un argument juridique dont les parties ne pouvaient supputer la pertinence, si bien qu'il eût exceptionnellement fallu les interpeller sur ce point (ATF
124 I 49 consid. 3c ; arrêt du TF 2C_839/2010 du 25 février 2011 consid. 5.2 ; ATAF 2007/41 consid. 2 ; arrêt du TAF F-919/2018 du 5 juillet 2018 consid. 4.2).
7.2 En l'espèce, tant l'attitude du recourant avant la survenance de son accident que les nombreux certificats et rapports médicaux produits à sa suite amènent à conclure que le retour de l'intéressé dans son pays n'est nullement garanti et que son séjour sur territoire helvétique ne revêt d'aucune manière un caractère temporaire.
7.2.1 L'intéressé a déposé une demande d'asile en Suisse au mois de janvier 1997 ; celle-ci a été rejetée au mois d'avril 1997. Il a été renvoyé dans son pays d'origine au mois d'août 2000, avant de revenir en Suisse en février 2009. Depuis cette période et jusqu'à la survenance de son accident, il a travaillé - sans autorisation - dans les domaines de l'agriculture et de la fabrication de fromage, dans les cantons de Fribourg, Valais et Vaud (procès-verbal d'audition de la Police cantonale du Valais du 14 octobre 2010). Le parcours migratoire suivi par le recourant entre janvier 1997 et juin 2010 indique sa volonté de s'installer en Suisse, si ce n'est à demeure, du moins de manière durable, si nécessaire au mépris des règles applicables.
7.2.2 Les rapports établis jusqu'à ce jour par divers professionnels de la santé au sujet du recourant, suite à l'accident dont il a été victime le 19 juin 2010, mettent en évidence la mise en place de traitements sur une période de plusieurs années. Le Tribunal mentionnera à cet égard :
- le certificat médical de la Dresse U._______ du 1er décembre 2010 («le patient (...) est hospitalisé (...) pour une durée encore indéterminée»),
- le certificat médical du 16 mars 2011, établi par la Clinique romande de réadaptation à Sion («l'évolution naturelle vers la stabilisation des cicatrices des zones brûlées prend chez un adulte entre 12 et 24 mois, période au cours de laquelle un traitement spécialisé de la peau est indispensable»),
- le rapport médical du Dr T._______ du 12 octobre 2012 («la durée du traitement est encore indéterminée et nécessite [la]présence [du patient] en Suisse»),
- le certificat médical du 4 février 2013, établi par le Service de chirurgie plastique et reconstructive du Centre hospitalier universitaire vaudois («le traitement est donc encore en cours et sa durée est actuellement indéterminée»),
- le rapport de prise en charge du 19 mai 2015, établi par Mme
V._______, ergothérapeute auprès de l'Hôpital du Valais («nous sommes dans un traitement à long terme»),
- ainsi que les certificats médicaux du Dr T._______ des 12 juin 2014,
11 juin 2015, 14 juin 2016, 13 juin 2017, 29 août 2017, 15 novembre 2017, 6 mars 2018, 8 novembre 2018 («plan de traitement») et le rapport du Dr W._______ du 23 octobre 2018 («la prise en charge est possible, on doit continuer les bilans somatiques jugés indispensables [...]»).
7.2.3 Dans ce contexte, nombre d'arguments du mandataire soulignent la nature non-temporaire des traitements suivis par l'intéressé.
Ainsi, dans les observations qu'il a adressées au SEM le 30 novembre 2017, il reconnaît que «M. X._______ a besoin de soins infirmiers continus ainsi que d'un suivi médical régulier». Dans le recours du 11 janvier 2018, il note au surplus que «du point de vue médical, le traitement continue et ne pourra pas, à vues humaines, être interrompu ou sensiblement allégé avant plusieurs années» et qu'«aucune amélioration quelconque de l'état du recourant n'a été observée depuis 2016».
En outre, le fait que le recourant présente dans toute activité professionnelle une incapacité totale de travail et qu'il ait été mis au bénéfice d'une rente entière d'invalidité à compter du 1er juin 2011 démontre le caractère (potentiellement) durable de son séjour en Suisse.
7.3 Quoi qu'il en soit, il appert que l'intéressé, aujourd'hui âgé de 53 ans, aura séjourné durant près de quatorze années en Suisse, que ce soit de manière illégale ou légale, respectivement grâce à une tolérance ou à l'effet suspensif attaché à la présente procédure de recours. Quant à ses attaches familiales au Kosovo, elles doivent être d'autant plus relativisées - en tant qu'elles l'inciteraient à retourner dans son pays d'origine - depuis le décès, survenu en cours de procédure, de son épouse qui y résidait.
Compte tenu de la durée du séjour en Suisse du recourant et de celle du traitement médical déjà suivi et prévisible, il y a lieu d'admettre que la fin du séjour qu'il envisage sur territoire helvétique n'est pas clairement définie. La sortie de Suisse du recourant n'est pas garantie et l'analyse du dossier permet d'affirmer que celui-ci envisage plutôt de rester de manière durable en Suisse, comme cela avait déjà été son intention lors du dépôt de sa demande d'asile au mois de janvier 1997.
Ainsi, les conditions à l'octroi respectivement au renouvellement d'une autorisation de courte durée au sens de l'art. 29

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 29 Cure mediche - Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per ricevere cure mediche. Il finanziamento e la partenza dalla Svizzera devono essere garantiti. |

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 32 Permesso di soggiorno di breve durata - 1 Per soggiorni di un anno al massimo è rilasciato un permesso di breve durata. |
8.
Etant donné que le recourant a déjà, par le passé, été mis au bénéfice d'une autorisation de courte durée en application de l'art. 29

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 29 Cure mediche - Lo straniero può essere ammesso in Svizzera per ricevere cure mediche. Il finanziamento e la partenza dalla Svizzera devono essere garantiti. |

SR 101 Costituzione federale della Confederazione Svizzera del 18 aprile 1999 Cost. Art. 9 Protezione dall'arbitrio e tutela della buona fede - Ognuno ha diritto d'essere trattato senza arbitrio e secondo il principio della buona fede da parte degli organi dello Stato. |
15 octobre 2012 consid. 5).
9.
Dans la mesure où le recourant n'a pas obtenu d'autorisation de séjour, c'est à bon droit que le SEM a prononcé son renvoi de Suisse, conformément à l'art. 64 al. 1 let. c

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 64 Decisione di allontanamento - 1 Le autorità competenti emanano una decisione di allontanamento ordinaria nei confronti dello straniero: |

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 83 Decisione d'ammissione provvisoria - 1 Se l'esecuzione dell'allontanamento non è possibile, ammissibile o ragionevolmente esigibile, la SEM dispone l'ammissione provvisoria.253 |

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 83 Decisione d'ammissione provvisoria - 1 Se l'esecuzione dell'allontanamento non è possibile, ammissibile o ragionevolmente esigibile, la SEM dispone l'ammissione provvisoria.253 |
9.1 L'exécution du renvoi n'est pas possible lorsque l'étranger ne peut pas quitter la Suisse pour son Etat d'origine, son Etat de provenance ou un Etat tiers, ni être renvoyé dans un de ces Etats (art. 83 al. 2

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 83 Decisione d'ammissione provvisoria - 1 Se l'esecuzione dell'allontanamento non è possibile, ammissibile o ragionevolmente esigibile, la SEM dispone l'ammissione provvisoria.253 |
Aucun élément au dossier ne permet de penser que le renvoi du recourant - qui est en possession d'un passeport kosovar valable jusqu'au 15 septembre 2024 et qui s'est régulièrement vu délivrer, dès l'été 2012, des visas de retour afin de rendre visite à sa famille dans son pays d'origine
- se heurterait à des obstacles d'ordre technique et s'avérerait ainsi matériellement impossible au sens de l'art. 83 al. 2

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 83 Decisione d'ammissione provvisoria - 1 Se l'esecuzione dell'allontanamento non è possibile, ammissibile o ragionevolmente esigibile, la SEM dispone l'ammissione provvisoria.253 |
L'exécution du renvoi de l'intéressé est donc possible.
9.2 L'exécution du renvoi n'est pas licite lorsque le renvoi de l'étranger dans son Etat d'origine ou de provenance ou dans un Etat tiers est contraire aux engagements de la Suisse relevant du droit international (art. 83 al. 3

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 83 Decisione d'ammissione provvisoria - 1 Se l'esecuzione dell'allontanamento non è possibile, ammissibile o ragionevolmente esigibile, la SEM dispone l'ammissione provvisoria.253 |

IR 0.101 Convenzione del 4 novembre 1950 per la salvaguardia dei diritti dell'uomo e delle libertà fondamentali (CEDU) CEDU Art. 3 Divieto di tortura - Nessuno può essere sottoposto a tortura né a pene o trattamento inumani o degradanti. |
9.2.1 Selon la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l'Homme (Cour EDH), le retour forcé d'une personne touchée dans sa santé n'est susceptible de constituer une violation de l'art. 3

IR 0.101 Convenzione del 4 novembre 1950 per la salvaguardia dei diritti dell'uomo e delle libertà fondamentali (CEDU) CEDU Art. 3 Divieto di tortura - Nessuno può essere sottoposto a tortura né a pene o trattamento inumani o degradanti. |

IR 0.101 Convenzione del 4 novembre 1950 per la salvaguardia dei diritti dell'uomo e delle libertà fondamentali (CEDU) CEDU Art. 3 Divieto di tortura - Nessuno può essere sottoposto a tortura né a pene o trattamento inumani o degradanti. |
9.2.2 Le 12 juillet 2016, le Dr T._______a précisé à l'intention des autorités migratoires valaisannes que le traitement de son patient consistait en plusieurs médicaments (Dafalgan,Tramal, Esomep, Temesta et Excipial), qu'il voyait son patient une fois par mois, que son état de santé nécessitait «un traitement journalier sous forme de crémage hydratant des parties atteintes par les brûlures», qu'il avait besoin d'une tierce personne pour ses soins quotidiens ainsi que d'une aide ménagère à domicile. Sa situation n'avait pas évolué durant les douze derniers mois et pouvait «être considérée comme stable».
Dans un courrier adressé au Service cantonal le 29 août 2017, le
Dr T._______ a présenté la situation médicale de son patient. Il a indiqué qu'X._______gardait des séquelles de son accident, notamment au niveau articulaire et que son traitement nécessitait la prise de médicaments, en particulier des antalgiques, un crémage et une hydratation cutanée ainsi que des séances de physiothérapie. Le praticien a précisé que le patient n'était pas en mesure d'effectuer seul le crémage hydratant et qu'il avait recours à l'aide d'une infirmière à domicile.
En date du 8 novembre 2018, le Dr T._______ a établi un plan de traitement du recourant dont la teneur est la suivante :
1x/jour
Infirmière pour
- mettre crème sur le torse
- nettoyer les yeux secs et mettre des gouttes
1x/semaine
Physio pour mobilisation des 2 membres supérieurs
2x/mois
Médecin psychiatre
1x/mois
Médecin généraliste
4x/an
Contrôle au CHUV
9.2.3 Au vu de ce qui précède et nonobstant l'intensité plus marquée de la prise en charge médicale que nécessitait le recourant dans les quelques années qui ont directement suivi la survenance de son accident, force est de constater que les examens médicaux subis, les diagnostics posés et les traitements suivis ne sont pas révélateurs d'atteintes à la santé d'une gravité ou d'une spécificité telle qu'elles ne pourraient pas, à l'heure actuelle, être traitées au Kosovo. Le recourant n'a d'ailleurs pas démontré qu'il ne serait pas apte à voyager (cf. a contrario lesvisas de retour qui lui ont été délivrés et le certificat médical du Dr T._______ du 6 mars 2018[«médicalement il peut se rendre dans sa famille au Kosovo»]) ou que son renvoi représenterait un déclin irréversible de sa santé.
Dans ces conditions, il y a lieu de retenir que les problèmes de santé dont le recourant est atteint - et dont le Tribunal ne remet pas en cause la gra-vité - ne sont pas d'une acuité telle que son transfert au Kosovo serait illicite au sens restrictif de la jurisprudence précitée.
Au surplus, l'intéressé n'a jamais allégué ni, à plus forte raison, démontré que sa situation entrerait, pour d'autres motifs, dans le champ de protection d'autres garanties internationales auxquelles la Suisse aurait souscrit.
L'exécution du renvoi du recourant est donc licite.
9.3 L'exécution du renvoi peut ne pas être raisonnablement exigée si le renvoi ou l'expulsion de l'étranger dans son pays d'origine ou de provenance le met concrètement en danger, par exemple en cas de guerre, de guerre civile, de violence généralisée ou de nécessité médicale (art. 83 al. 4

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 83 Decisione d'ammissione provvisoria - 1 Se l'esecuzione dell'allontanamento non è possibile, ammissibile o ragionevolmente esigibile, la SEM dispone l'ammissione provvisoria.253 |
9.3.1 En l'occurrence, il apparaît que le pays d'origine du recourant, le Kosovo, ne connaît pas une situation de guerre, de guerre civile ou de violence généralisée qui permettrait de présumer l'existence d'une mise en danger concrète au sens de l'art. 83 al. 4

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 83 Decisione d'ammissione provvisoria - 1 Se l'esecuzione dell'allontanamento non è possibile, ammissibile o ragionevolmente esigibile, la SEM dispone l'ammissione provvisoria.253 |
9.3.2 Cela étant, il sied d'examiner si, au regard de la situation médicale du prénommé, un retour au Kosovo l'exposerait à une mise en danger concrète et si l'exécution de son renvoi de Suisse s'avèrerait dès lors, sous cet angle, inexigible.
L'exécution du renvoi ne devient inexigible que dans la mesure où les personnes intéressées pourraient ne plus recevoir les soins essentiels garantissant des conditions minimales d'existence. Par soins essentiels, il faut entendre les soins de médecine générale et d'urgence absolument nécessaires à la garantie de la dignité humaine (ATAF 2011/50 consid. 8.3). Cette définition des soins essentiels tend en principe à exclure les soins avancés relativement communs et les soins coûteux, les soins devant consister en principe en des actes relativement simples, limités aux méthodes diagnostiques et traitements de routine relativement bon marché, les soins vitaux ou permettant d'éviter d'intenses souffrances demeurant toutefois réservés (cf. Gabrielle Steffen, Soins essentiels, Un droit fondamental qui transcende les frontières ?, Bâle 2018, p. 150 ss).
A ce sujet, le Tribunal rappelle que l'art. 83 al. 4

SR 142.20 Legge federale del 16 dicembre 2005 sugli stranieri e la loro integrazione (LStrI) LStrI Art. 83 Decisione d'ammissione provvisoria - 1 Se l'esecuzione dell'allontanamento non è possibile, ammissibile o ragionevolmente esigibile, la SEM dispone l'ammissione provvisoria.253 |
9.3.3 En l'espèce, les problèmes de santé de l'intéressé (cf. supra, consid. 9.2.2), après avoir été traités pendant de longues années en Suisse, n'apparaissent pas d'une gravité telle qu'ils puissent constituer un obstacle à l'exécution de son renvoi au Kosovo. Au surplus, compte tenu de la nature des affections médicales dont il souffre et de l'infrastructure médicale dont dispose actuellement le Kosovo (soit notamment la Clinique universitaire de Pristina ainsi que sept centres de traitement ambulatoire pour les maladies psychiques [Centres Communautaires de Santé Mentale]), il y a lieu d'admettre que le prénommé pourra trouver au Kosovo un encadrement médical adéquat pour continuer le traitement entamé en Suisse (arrêts du TAF E-6397/2018 du 22 janvier 2019 et F-3505/2018 du 20 novembre 2018 consid. 3.3.2) et qu'il pourra, selon toute vraisemblance, compter également sur le soutien de ses quatre enfants - âgés de 17 ans à 23 ans - qui demeurent dans son pays d'origine.
L'exécution du renvoi de Suisse du recourant est donc raisonnablement exigible.
9.4 Au vu des considérations qui précèdent, le SEM était fondé à tenir l'exécution de la mesure de renvoi pour possible, licite et raisonnablement exigible.
10.
Il s'ensuit que, par sa décision du 11 décembre 2017, l'autorité intimée n'a ni violé le droit fédéral ni constaté des faits pertinents de manière inexacte ou incomplète ; en outre, cette décision n'est pas inopportune (art. 49

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 49 - Il ricorrente può far valere: |
|
a | la violazione del diritto federale, compreso l'eccesso o l'abuso del potere di apprezzamento; |
b | l'accertamento inesatto o incompleto di fatti giuridicamente rilevanti; |
c | l'inadeguatezza; questa censura non è ammissibile quando un'autorità cantonale ha giudicato come autorità di ricorso. |
11.
Vu l'issue du litige, il y a lieu de mettre les frais de la procédure à la charge du recourant, conformément à l'art. 63 al. 1

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 63 - 1 L'autorità di ricorso mette nel dispositivo le spese processuali, consistenti in una tassa di decisione nelle tasse di cancelleria e negli sborsi, di regola a carico della parte soccombente. Se questa soccombe solo parzialmente, le spese processuali sono ridotte. Per eccezione, si possono condonare le spese processuali. |
|
1 | L'autorità di ricorso mette nel dispositivo le spese processuali, consistenti in una tassa di decisione nelle tasse di cancelleria e negli sborsi, di regola a carico della parte soccombente. Se questa soccombe solo parzialmente, le spese processuali sono ridotte. Per eccezione, si possono condonare le spese processuali. |
2 | Nessuna spesa processuale è messa a carico dell'autorità inferiore ne delle autorità federali, che promuovano il ricorso e soccombano; se l'autorità ricorrente, che soccombe, non è un'autorità federale, le spese processuali le sono addossate in quanto la causa concerna interessi pecuniari di enti o d'istituti autonomi. |
3 | Alla parte vincente possono essere addossate solo le spese processuali che abbia cagionato violando le regole di procedura. |
4 | L'autorità di ricorso, il suo presidente o il giudice dell'istruzione esige dal ricorrente un anticipo equivalente alle presunte spese processuali. Stabilisce un congruo termine per il pagamento con la comminatoria che altrimenti non entrerà nel merito. Se sussistono motivi particolari, può rinunciare interamente o in parte a esigere l'anticipo.100 |
4bis | La tassa di decisione è stabilita in funzione dell'ampiezza e della difficoltà della causa, del modo di condotta processuale e della situazione finanziaria delle parti. Il suo importo oscilla: |
a | da 100 a 5000 franchi nelle controversie senza interesse pecuniario; |
b | da 100 a 50 000 franchi nelle altre controversie.101 |
5 | Il Consiglio federale disciplina i dettagli relativi alla determinazione delle tasse.102 Sono fatti salvi l'articolo 16 capoverso 1 lettera a della legge del 17 giugno 2005103 sul Tribunale amministrativo federale e l'articolo 73 della legge del 19 marzo 2010104 sull'organizzazione delle autorità penali.105 |
art. 1

SR 173.320.2 Regolamento del 21 febbraio 2008 sulle tasse e sulle spese ripetibili nelle cause dinanzi al Tribunale amministrativo federale (TS-TAF) TS-TAF Art. 1 Spese processuali - 1 Le spese del procedimento dinanzi al Tribunale amministrativo federale (Tribunale) comprendono la tassa di giustizia e i disborsi. |
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1 | Le spese del procedimento dinanzi al Tribunale amministrativo federale (Tribunale) comprendono la tassa di giustizia e i disborsi. |
2 | La tassa di giustizia copre le spese per la fotocopiatura delle memorie delle parti e gli oneri amministrativi normalmente dovuti per i servizi corrispondenti, quali le spese di personale, di locazione e di materiale, le spese postali, telefoniche e di telefax. |
3 | Sono disborsi, in particolare, le spese di traduzione e di assunzione delle prove. Le spese di traduzione non vengono conteggiate se si tratta di traduzioni tra lingue ufficiali. |

SR 173.320.2 Regolamento del 21 febbraio 2008 sulle tasse e sulle spese ripetibili nelle cause dinanzi al Tribunale amministrativo federale (TS-TAF) TS-TAF Art. 3 Tassa di giustizia nelle cause senza interesse pecuniario - Nelle cause senza interesse pecuniario, la tassa di giustizia varia: |
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a | tra 200 e 3000 franchi se la causa è giudicata da un giudice unico; |
b | tra 200 e 5000 franchi negli altri casi. |

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 64 - 1 L'autorità di ricorso, se ammette il ricorso in tutto o in parte, può, d'ufficio o a domanda, assegnare al ricorrente una indennità per le spese indispensabili e relativamente elevate che ha sopportato. |
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1 | L'autorità di ricorso, se ammette il ricorso in tutto o in parte, può, d'ufficio o a domanda, assegnare al ricorrente una indennità per le spese indispensabili e relativamente elevate che ha sopportato. |
2 | Il dispositivo indica l'ammontare dell'indennità e l'addossa all'ente o all'istituto autonomo, nel cui nome l'autorità inferiore ha deciso, in quanto non possa essere messa a carico di una controparte soccombente. |
3 | Se una controparte soccombente ha presentato conclusioni indipendenti, l'indennità può essere messa a suo carico, secondo la propria solvenza. |
4 | L'ente o l'istituto autonomo, nel cui nome l'autorità inferiore ha deciso, risponde dell'indennità addossata a una controparte soccombente, in quanto non possa essere riscossa. |
5 | Il Consiglio federale disciplina la determinazione delle spese ripetibili.106 Sono fatti salvi l'articolo 16 capoverso 1 lettera a della legge del 17 giugno 2005107 sul Tribunale amministrativo federale e l'articolo 73 della legge del 19 marzo 2010108 sull'organizzazione delle autorità penali.109 |
(dispositif page suivante)
Par ces motifs, le Tribunal administratif fédéral prononce :
1.
Le recours est rejeté.
2.
Les frais de procédure, d'un montant de Fr. 1'200.-, sont mis à la charge du recourant. Ce montant est compensé par l'avance de frais du même montant versée le 26 juillet 2018.
3.
Le présent arrêt est adressé :
- au recourant (recommandé)
- à l'autorité inférieure, avec le dossier SYMIC (...) en retour
- en copie, au Service de la population et des migrations du canton du Valais, pour information, avec le dossier VS (...) en retour
Le président du collège : Le greffier :
Gregor Chatton Sylvain Félix
Expédition :