Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
6B 316/2012
Urteil vom vom 1. November 2012
Strafrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Mathys, Präsident,
Bundesrichter Schneider,
Bundesrichterin Jacquemoud-Rossari,
Gerichtsschreiberin Arquint Hill.
Verfahrensbeteiligte
X.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Beat Wieduwilt,
Beschwerdeführer,
gegen
1. Oberstaatsanwaltschaft des Kantons Zürich, Florhofgasse 2, 8001 Zürich,
2. A.________,
vertreten durch Rechtsanwältin Olga Gamma Ammann,
Beschwerdegegnerinnen.
Gegenstand
Schändung; Unschuldsvermutung etc.,
Beschwerde gegen das Urteil des Obergerichts des Kantons Zürich, I. Strafkammer, vom 20. März 2012.
Sachverhalt:
A.
Das Obergericht des Kantons Zürich sprach X.________ am 20. März 2012 im Berufungsverfahren wegen Schändung schuldig und bestrafte ihn mit einer unbedingt vollziehbaren Freiheitsstrafe von 8 Monaten. Es verpflichtete X.________ zudem zur Bezahlung von Fr. 2'000.-- Genugtuung an A.________. Deren Schadenersatzforderung hiess es dem Grundsatz nach gut und verwies sie bezüglich der Höhe auf den Zivilweg. Die Kosten der Untersuchung auferlegte es X.________. Die Kosten des erstinstanzlichen Verfahrens nahm es zu 1/5 auf die Gerichtskasse. Den Rest auferlegte es dem Verurteilten.
Dem Urteil liegt folgender Sachverhalt zugrunde:
A.________ begab sich am Abend des 7. März 2010 zwecks Drogenerwerbs zu X.________ in dessen Wohnung in Z.________. Dort anwesend waren auch B.________, C.________ und D.________. A.________ konsumierte Alkohol, Kokain, Marihuana und GBL ("KO-Tropfen"). Ihr wurde schlecht, weshalb sie das Badezimmer aufsuchte. X.________ folgte ihr dorthin. Aufgrund ihrer Übelkeit und ihrer starken Benommenheit hatte sich A.________ im Badezimmer hingelegt. X.________ beugte sich zu ihr herunter, küsste sie auf Wange und Hals, zog ihr die Hosen hinunter, griff ihr an Gesäss und Oberschenkel und befriedigte sich bis zum Samenerguss.
B.
X.________ erhebt Beschwerde in Strafsachen. Er beantragt im Wesentlichen, es sei das obergerichtliche Urteil vom 20. März 2012 aufzuheben, und er sei vom Vorwurf der Schändung freizusprechen. Er ersucht um unentgeltliche Rechtspflege und Verbeiständung.
Erwägungen:
1.
Der Beschwerdeführer beanstandet die Abweisung seiner Anträge auf nochmalige Befragung von B.________ und D.________. Diese am Tatabend anwesenden Personen seien lediglich als Beschuldigte einvernommen worden. Sie hätten nach Abschluss ihrer Strafverfahren als Zeugen befragt werden können. Der Beschwerdeführer beruft sich auf Art. 389
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
|
1 | La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
2 | L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si: |
a | les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes; |
b | l'administration des preuves était incomplète; |
c | les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables. |
3 | L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours. |
1.1 Die Vorinstanz führt aus, die am Verfahren Beteiligten seien unter Beachtung sämtlicher Beweisvorschriften im Rahmen der Untersuchung mehrmals und - abgesehen von B.________ - auch an der Hauptverhandlung vor erster Instanz erneut befragt worden (Entscheid, S. 24). Sie seien mit Ausnahme des als Zeugen befragten C.________ als Beschuldigte einvernommen worden (Entscheid, S. 14). Sie hätten sich dabei zum Zustand der Beschwerdegegnerin 2 und zu den von ihnen wahrgenommenen Stöhnlauten geäussert (Entscheid, S. 25). Es sei nicht ersichtlich, weshalb sie erneut (zu diesen Themen) zu befragen seien. Das Unmittelbarkeitsprinzip gelte im Rechtsmittelverfahren gemäss Art. 389
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
|
1 | La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
2 | L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si: |
a | les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes; |
b | l'administration des preuves était incomplète; |
c | les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables. |
3 | L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours. |
1.2 Die Auffassung der Vorinstanz ist nicht zu beanstanden. Nach Art. 389 Abs. 1
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
|
1 | La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
2 | L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si: |
a | les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes; |
b | l'administration des preuves était incomplète; |
c | les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables. |
3 | L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
|
1 | La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
2 | L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si: |
a | les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes; |
b | l'administration des preuves était incomplète; |
c | les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables. |
3 | L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
|
1 | La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
2 | L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si: |
a | les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes; |
b | l'administration des preuves était incomplète; |
c | les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables. |
3 | L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours. |
N. 659 f., Fn 205). Da überdies auch keine Anhaltspunkte dafür bestehen, dass die Befragten den Beschwerdeführer (wahrheitswidrig) zu belasten versuchten, um sich selber in ein besseres Licht zu rücken, hatte die Vorinstanz keinen Anlass, die Beweisabnahmen im Sinne von Art. 389 Abs. 2
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
|
1 | La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
2 | L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si: |
a | les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes; |
b | l'administration des preuves était incomplète; |
c | les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables. |
3 | L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours. |
2.
Der Beschwerdeführer wirft der Vorinstanz unter Berufung auf Art. 10
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 10 Présomption d'innocence et appréciation des preuves - 1 Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force. |
|
1 | Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force. |
2 | Le tribunal apprécie librement les preuves recueillies selon l'intime conviction qu'il retire de l'ensemble de la procédure. |
3 | Lorsque subsistent des doutes insurmontables quant aux éléments factuels justifiant une condamnation, le tribunal se fonde sur l'état de fait le plus favorable au prévenu. |
2.1 Nach Art. 10 Abs. 2
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 10 Présomption d'innocence et appréciation des preuves - 1 Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force. |
|
1 | Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force. |
2 | Le tribunal apprécie librement les preuves recueillies selon l'intime conviction qu'il retire de l'ensemble de la procédure. |
3 | Lorsque subsistent des doutes insurmontables quant aux éléments factuels justifiant une condamnation, le tribunal se fonde sur l'état de fait le plus favorable au prévenu. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
|
1 | La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
2 | L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si: |
a | les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes; |
b | l'administration des preuves était incomplète; |
c | les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables. |
3 | L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
Ebenfalls nur unter dem Gesichtspunkt der Willkür prüft das Bundesgericht, inwiefern das Sachgericht den Grundsatz "in dubio pro reo" (Art. 10 Abs. 3
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 10 Présomption d'innocence et appréciation des preuves - 1 Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force. |
|
1 | Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force. |
2 | Le tribunal apprécie librement les preuves recueillies selon l'intime conviction qu'il retire de l'ensemble de la procédure. |
3 | Lorsque subsistent des doutes insurmontables quant aux éléments factuels justifiant une condamnation, le tribunal se fonde sur l'état de fait le plus favorable au prévenu. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 10 Présomption d'innocence et appréciation des preuves - 1 Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force. |
|
1 | Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force. |
2 | Le tribunal apprécie librement les preuves recueillies selon l'intime conviction qu'il retire de l'ensemble de la procédure. |
3 | Lorsque subsistent des doutes insurmontables quant aux éléments factuels justifiant une condamnation, le tribunal se fonde sur l'état de fait le plus favorable au prévenu. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 32 Procédure pénale - 1 Toute personne est présumée innocente jusqu'à ce qu'elle fasse l'objet d'une condamnation entrée en force. |
|
1 | Toute personne est présumée innocente jusqu'à ce qu'elle fasse l'objet d'une condamnation entrée en force. |
2 | Toute personne accusée a le droit d'être informée, dans les plus brefs délais et de manière détaillée, des accusations portées contre elle. Elle doit être mise en état de faire valoir les droits de la défense. |
3 | Toute personne condamnée a le droit de faire examiner le jugement par une juridiction supérieure. Les cas où le Tribunal fédéral statue en instance unique sont réservés. |
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
|
1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
2.2 Die Vorinstanz erachtet als erstellt, dass der Beschwerdeführer die im Badezimmer auf dem Boden liegende Beschwerdegegnerin 2 auf Wange und Hals küsste, ihr die Hosen hinunterzog und an Gesäss und Oberschenkel griff, sie dort streichelte und sich selber bis zum Samenerguss befriedigte, wobei Spermaflüssigkeit auf die Unterhosen der Beschwerdegegnerin 2 gelangte. Die Vorinstanz stellt für die Vorgänge im Badezimmer zur Hauptsache auf die Aussagen des Beschwerdeführers ab. Die Spermaspuren auf dem Slip der Beschwerdegegnerin 2 konnten zweifelsfrei ihm zugeordnet werden (kantonale Akten, act. 12/3; Gutachten der Universität Zürich, Institut für Rechtsmedizin, vom 27. Mai 2010).
Die Vorinstanz hält weiter für erwiesen, dass sich die Beschwerdegegnerin 2 aufgrund des Alkohol- und Betäubungsmittelkonsums und der starken Übelkeit nicht auf den Beinen halten konnte, sie benommen und nicht ansprechbar war, nur "lallen" oder "Stöhnlaute" von sich geben konnte und immer wieder eindöste (Entscheid, S. 25, 27). Die Feststellungen betreffend den Zustand der Beschwerdegegnerin 2 stützt die Vorinstanz vornehmlich auf die Aussagen von B.________ und C.________, welche am Tatabend in der Wohnung anwesend waren (Entscheid, S. 17, 21). Diese hätten die Beschwerdegegnerin 2 übereinstimmend als stark benommen beschrieben. Die von B.________ wahrgenommenen Stöhnlaute der Beschwerdegegnerin 2 erachtet die Vorinstanz nicht zwingend als Ausdruck eines aktiven und einvernehmlichen (sexuellen) Verhaltens. Diese liessen sich eben so gut auf den schlechten Zustand der Beschwerdegegnerin 2 zurückführen (Entscheid, S. 23).
Dem Beschwerdeführer ist gemäss den Erwägungen der Vorinstanz der Zustand der Beschwerdegegnerin 2 und deren Wehrlosigkeit nicht entgangen. Dass sie sich nicht mehr auf den Beinen halten konnte, habe sich ihm offenbart, als er versuchte, sie aufzurichten. Zudem habe er verschiedentlich selber eingeräumt, die Beschwerdegegnerin 2 sei im Badezimmer nicht im Stande gewesen, Worte auszusprechen. Sie habe nur gelallt bzw. Stöhnlaute ("aaah") von sich gegeben (Entscheid, S. 22, 28 f.).
2.3 Der Beschwerdeführer rügt die vorinstanzliche Beweiswürdigung als willkürlich. Es bestünden unüberwindbare Zweifel daran, dass die Beschwerdegegnerin 2 im Tatzeitpunkt nicht ansprechbar und willensunfähig gewesen sei. Es sei aufgrund aller Umstände von einvernehmlichen sexuellen Handlungen auszugehen (Beschwerde, S. 10 ff.). Bei seiner Kritik gibt der Beschwerdeführer auszugsweise seine eigenen Aussagen (Beschwerde, S. 14) und diejenigen der Beschwerdegegnerin 2 (Beschwerde, S. 11 ff.) sowie der übrigen in der Wohnung Anwesenden (B.________, D.________, C.________; Beschwerde, S. 14 ff.) wieder. Er legt dar, wie die Beweise für sich alleine und im Verbund untereinander richtigerweise zu würdigen wären (Beschwerde, S. 14, 17, 18). Mit seinen Einwänden widerlegt er die von ihm angefochtenen Feststellungen der Vorinstanz, soweit er sich damit überhaupt substanziell befasst, nicht als schlechterdings unhaltbar. Er legt nur seine Sicht der Dinge dar.
2.3.1 Das gilt namentlich, soweit der Beschwerdeführer die Glaubwürdigkeit der Beschwerdegegnerin 2 und die Glaubhaftigkeit ihrer Aussagen mit Hinweisen auf ihr angeblich freizügiges Sexualverhalten zu untergraben versucht (Beschwerde, S. 13 und 18). Spekulativ ist seine Kritik, bei ihrem Aussageverhalten dürfte es sich um eine Strategie handeln (Beschwerde, S. 18). Die Beschwerdegegnerin 2 gab im Wesentlichen an, sich nicht an die Vorfälle im Badezimmer erinnern zu können. Sie habe im Badezimmer geschlafen oder sei bewusstlos gewesen (Entscheid, 17, 23). Die Vorinstanz würdigt ihre Aussagen willkürfrei als glaubhaft. Eine von der Beschwerdegegnerin 2 an B.________ verfasste SMS am Folgetag, worin sie fragt, was sie mit ihr gemacht hätten und ob sie noch Jungfrau sei, untermauert das vorinstanzliche Beweisergebnis (Entscheid, S. 17).
2.3.2 Rein appellatorisch ist das Vorbringen des Beschwerdeführers, die Stöhnlaute der Beschwerdegegnerin 2 seien Ausdruck eines aktiven einvernehmlichen sexuellen Verhaltens gewesen und von den Anwesenden auch so wahrgenommen worden (Beschwerde, S. 18). Inwiefern sich die Aktenlage nur im Sinne des Beschwerdeführers würdigen liesse, ist nicht ersichtlich. B.________ und C.________ haben die Beschwerdegegnerin 2 nach den willkürfreien Feststellungen der Vorinstanz als "total weggetreten", "völlig benebelt" und "nicht bei Sinnen" umschrieben. Sie habe nicht mehr richtig sprechen können, sondern nur "gelallt" oder "gebrabelt" (Entscheid, S. 23). Ihre übereinstimmenden Aussagen zur Benommenheit der Beschwerdegegnerin 2 decken sich mit den Aussagen des Opfers. Die Vorinstanz durfte die Stöhnlaute ohne Willkür auf ihren schlechten Zustand zurückführen.
2.3.3 Der Einwand des Beschwerdeführers, er habe die Widerstandsunfähigkeit der Beschwerdegegnerin 2 nicht erkannt (Beschwerde, S. 20), erschöpft sich in blossen Behauptungen. Er war in seiner eigenen Wahrnehmungsfähigkeit unbestrittenermassen nicht beeinträchtigt, als er die Beschwerdegegnerin 2 im Badezimmer stark benommen auf dem Boden liegend antraf. Anlässlich seiner Einvernahmen gab er verschiedentlich an, die Beschwerdegegnerin habe nicht sprechen und seine Fragen (ob es ihr gut gehe) nicht beantworten können (Entscheid, S. 21 f). Die Vorinstanz durfte aus diesen Gründen ohne Willkür darauf schliessen, der Beschwerdeführer habe den Zustand der Beschwerdegegnerin 2 und deren Wehrlosigkeit wahrgenommen. Inwiefern dieser Schluss "konstruiert" sein soll, ist nicht ersichtlich.
2.4 Die vorinstanzliche Beweiswürdigung hält vor der Verfassung stand. Der Beschwerdeführer bringt nichts vor, was das Beweisergebnis in Frage stellen könnte. Die Vorinstanz durfte erhebliche Zweifel an seiner Schuld verneinen. Der Grundsatz "in dubio pro reo" als Beweiswürdigungsregel ist nicht verletzt.
3.
Der Beschwerdeführer macht geltend, den Tatbestand der Schändung gemäss Art. 191
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 191 - Quiconque profite du fait qu'une personne est incapable de discernement ou de résistance pour lui faire commettre ou subir l'acte sexuel, un acte analogue ou un autre acte d'ordre sexuel est puni d'une peine privative de liberté de dix ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
3.1 Eine Schändung gemäss Art. 191
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 191 - Quiconque profite du fait qu'une personne est incapable de discernement ou de résistance pour lui faire commettre ou subir l'acte sexuel, un acte analogue ou un autre acte d'ordre sexuel est puni d'une peine privative de liberté de dix ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
Widerstandsunfähig im Sinne von Art. 191
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 191 - Quiconque profite du fait qu'une personne est incapable de discernement ou de résistance pour lui faire commettre ou subir l'acte sexuel, un acte analogue ou un autre acte d'ordre sexuel est puni d'une peine privative de liberté de dix ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
Subjektiv erfordert der Tatbestand der Schändung Vorsatz, wobei Eventualvorsatz genügt. Eventualvorsätzlich handelt, wer zumindest ernsthaft für möglich hält, dass das Opfer aufgrund seines physischen oder psychischen Zustandes nicht in der Lage ist, sich gegen das sexuelle Ansinnen zur Wehr zu setzen, und es trotzdem zu sexuellen Handlungen bestimmt (Urteil 6S.359/2002 vom 7. August 2003 E. 5.2 mit Hinweisen).
3.2 Nach den willkürfreien Feststellungen der Vorinstanz küsste der Beschwerdeführer die im Badezimmer auf dem Boden liegende Beschwerdegegnerin 2 auf Wange und Hals, zog ihr die Hosen hinunter, griff ihr an Gesäss und Oberschenkel, streichelte sie dort und masturbierte bis zum Samenerguss. Bei der Ejakulation gelangte Sperma auf die Unterhosen der Beschwerdegegnerin 2. Die Handlungen des Beschwerdeführers sind als Ganzes und nicht isoliert zu betrachten. Ihre Sexualbezogenheit ist offensichtlich. Gemäss seinen eigenen Aussagen ging er ins Badezimmer, um mit der Beschwerdegegnerin 2 "rumzumachen", und gab an, erregt ("spitz") gewesen zu sein (Entscheid, S. 28). Die Vorinstanz geht unter diesen Umständen zu Recht von einer sexuellen Handlung im Sinne von Art. 191
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 191 - Quiconque profite du fait qu'une personne est incapable de discernement ou de résistance pour lui faire commettre ou subir l'acte sexuel, un acte analogue ou un autre acte d'ordre sexuel est puni d'une peine privative de liberté de dix ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
3.3 Die Vorinstanz durfte ohne Bundesrechtsverletzung von der Widerstandsunfähigkeit der Beschwerdegegnerin 2 ausgehen (Entscheid, S. 27). Diese befand sich aufgrund der willkürfrei festgestellten Umstände in einem Zustand starker Benommenheit, welcher ihr nicht erlaubte, einen Willen im Hinblick auf einen sexuellen Kontakt zu bilden oder kundzutun. Dass die Beschwerdegegnerin 2 noch bei Bewusstsein war, ist unerheblich. Die Widerstandsunfähigkeit gemäss Art. 191
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 191 - Quiconque profite du fait qu'une personne est incapable de discernement ou de résistance pour lui faire commettre ou subir l'acte sexuel, un acte analogue ou un autre acte d'ordre sexuel est puni d'une peine privative de liberté de dix ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
3.4 Die Vorinstanz stellt willkürfrei fest, dem Beschwerdeführer sei die Widerstandsunfähigkeit der Beschwerdegegnerin 2 bewusst gewesen (siehe E. 2.3.3). Die Gründe dafür musste er nicht kennen. Unerheblich ist, ob er um die GBL-Einnahme der Beschwerdegegnerin 2 wusste (Beschwerde, S. 21). Der Beschwerdeführer hatte keinen Anlass anzunehmen, die Beschwerdegegnerin 2 sei mit seinen Handlungen einverstanden. Dies gilt auch, wenn er der Meinung gewesen sein sollte, diese verhalte sich in sexueller Hinsicht freizügig (Beschwerde, S. 20; Entscheid, S. 29). Wer wie der Beschwerdeführer den Zustand des Opfers kennt und dessen sich daraus ergebende Wehrlosigkeit ernsthaft für möglich hält, nimmt die Tatbestandsverwirklichung in Kauf, wenn er dieses dennoch zu sexuellen Handlungen missbraucht. Die Annahme eventualvorsätzlichen Handelns ist nicht zu bestanden.
4.
Der Beschwerdeführer wendet sich gegen die Strafzumessung. Die "Einsatzstrafe" von sechs Monaten sei zu hoch und die Erhöhung auf acht Monate nicht angemessen. Straferhöhend seien nur die Vorstrafen zu berücksichtigen, während strafmindernd etliche Faktoren (Geständnis, Nachtatverhalten, Therapiebemühungen) in Betracht fielen (Beschwerde, S. 22).
4.1 Das Bundesgericht hat die Grundsätze der Strafzumessung nach Art. 47 ff
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 47 - 1 Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
|
1 | Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
2 | La culpabilité est déterminée par la gravité de la lésion ou de la mise en danger du bien juridique concerné, par le caractère répréhensible de l'acte, par les motivations et les buts de l'auteur et par la mesure dans laquelle celui-ci aurait pu éviter la mise en danger ou la lésion, compte tenu de sa situation personnelle et des circonstances extérieures. |
4.2 Die Vorinstanz geht bei der Beurteilung der Tatkomponente von einem insgesamt eher leichten Verschulden aus und setzt die Einsatzstrafe auf sechs Monate fest. Die Tatschwere sei im weiten Spektrum möglicher Tathandlungen im Sinne von Art. 191
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 191 - Quiconque profite du fait qu'une personne est incapable de discernement ou de résistance pour lui faire commettre ou subir l'acte sexuel, un acte analogue ou un autre acte d'ordre sexuel est puni d'une peine privative de liberté de dix ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
4.3 Die Erwägungen zur Strafzumessung halten sich im Rahmen von Art. 47
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 47 - 1 Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
|
1 | Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
2 | La culpabilité est déterminée par la gravité de la lésion ou de la mise en danger du bien juridique concerné, par le caractère répréhensible de l'acte, par les motivations et les buts de l'auteur et par la mesure dans laquelle celui-ci aurait pu éviter la mise en danger ou la lésion, compte tenu de sa situation personnelle et des circonstances extérieures. |
5.
Die Vorinstanz verpflichtet den Beschwerdeführer zur Leistung einer Genugtuung von Fr. 2'000.-- (Entscheid, S. 35). Sie durfte die seelische Unbill der Beschwerdegegnerin 2, welche durch die ungewollt an ihr vorgenommenen sexuellen Handlungen in ihrer Persönlichkeit beeinträchtigt wurde, und den Kausalzusammenhang (vgl. BGE 123 II 19) bejahen. Die Höhe der Genugtuungssumme erscheint trotz des eher leichten Verschuldens des Beschwerdeführers unter Berücksichtigung der erlittenen psychischen Belastung der Beschwerdegegnerin 2 als angemessen und verletzt kein Bundesrecht. Der Antrag, es sei der Beschwerdegegnerin 2 lediglich eine Genugtuung von Fr. 1'000.-- zuzusprechen, ist abzuweisen.
6.
Der Beschwerdeführer stellt verschiedene Anträge für den Fall eines Freispruchs (Beschwerde, S. 23 f.; Entschädigung für Untersuchungshaft, anwaltliche Vertretung und Verletzung der persönlichen Verhältnisse, Kosten- und Entschädigungsfolgen). Da es bei der Verurteilung bleibt, ist darauf nicht einzutreten.
7.
Die Beschwerde ist abzuweisen, soweit darauf einzutreten ist. Das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege und Verbeiständung ist wegen Aussichtslosigkeit abzuweisen (Art. 64 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
|
1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
|
1 | Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
2 | L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. |
3 | Son montant est fixé en règle générale: |
a | entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations. |
4 | Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent: |
a | des prestations d'assurance sociale; |
b | des discriminations à raison du sexe; |
c | des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs; |
d | des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24. |
5 | Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
2.
Das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege und Verbeiständung wird abgewiesen.
3.
Die Gerichtskosten von Fr. 1'600.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
4.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Obergericht des Kantons Zürich, I. Strafkammer, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 1. November 2012
Im Namen der Strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Mathys
Die Gerichtsschreiberin: Arquint Hill