S. 229 / Nr. 60 Schuldbetreibungs- und Konkursrecht (d)

BGE 60 III 229

60. Entscheid vom 8. Dezember 1934 i. S. Erben Spoturno, genannt Coty.

Regeste:
Unzulässig ist die Pfändung des Herausgabeanspruches anstatt der Pfändung der
Sache selbst.
On ne peut saisir à la place de l'objet lui-même la prétention de se faire
remettre cet objet.
Invece dell'oggetto, non è lecito pignorare la pretesa alla consegna
dell'oggetto stesso.

A. - Im Anschluss an verschiedene Arreste, welche die Rekursgegnerin für eine
Forderung von 26000000 Fr. gegen den Rechtsvorgänger der Rekurrenten
herausgenommen hatte, wurden am 30. Oktober/28. November 1933 vom
Betreibungsamt Zürich 1 gepfändet: Sämtliche Ansprüche des Rechtsvorgängers
der Rekurrenten gegen die Basler Handelsbank in Zürich, «insbesondere der
Herausgabeanspruch an die Basler Handelstank aus dem

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Depotschein Nr. 3419 vom 23. Januar 1933, ausgestellt auf Alphée Dubois...
Paris und René Marais, Neuilly sur Seine,... betreffend 453811 Stück Aktien
der Société américaine Coty incorporated in New-York und Delaware,
Schätzungswert 14000000 Fr.» Die Aktien- bezw. Zertifikatsnummern waren
angegeben und es war beigefügt, sowohl Dubois wie Marais erklären, dass sie an
diesem Depot keine Rechte geltend machen, sondern dass dasselbe dem
Arrestschuldner gehöre, für den sie es verwahren.
Auf Verwertungsbegehren hin, das dem Schuldner mit dem Beifügen bekannt
gegeben wurde: Le créancier demande que les prétentions saisies lui soient
données en payement aux termes de l'art. 131 alinéa 2 LP, überwies das
Betreibungsamt der Rekursgegnerin am 3. März 1934 die gepfändeten Ansprüche
zur Eintreibung unter Benützung des Betreibungsformulars Nr. 34.
B. - Am 13. März 1934 führte der Schuldner Beschwerde mit dem Antrag, es seien
die Arreste, sowie die in Prosequierung dieser Arreste erlassene Betreibung,
sowie die sämtlichen weiteren Rechtshandlungen des Betreibungsamtes Zürich 1
in dieser Betreibung als nichtig aufzuheben, eventuell, wurde vor der oberen
Aufsichtsbehörde beigefügt, sei die Anweisung gemäss Art. 131
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP)
LP Art. 131 - 1 Si tous les créanciers saisissants le demandent, les créances du débiteur non cotées à la bourse ou au marché leur sont données en paiement, ou à l'un d'eux pour leur compte, à la valeur nominale. Dans ce cas, les créanciers sont subrogés aux droits du débiteur jusqu'à concurrence de leurs créances.
1    Si tous les créanciers saisissants le demandent, les créances du débiteur non cotées à la bourse ou au marché leur sont données en paiement, ou à l'un d'eux pour leur compte, à la valeur nominale. Dans ce cas, les créanciers sont subrogés aux droits du débiteur jusqu'à concurrence de leurs créances.
2    Si tous les créanciers saisissants sont d'accord, tous ou certains d'entre eux peuvent, sans préjudice de leurs droits contre le débiteur poursuivi, faire valoir des prétentions saisies en leur nom, à leur compte et à leurs risques et périls. Ils doivent y être autorisés par l'office des poursuites. La somme qu'ils pourront obtenir servira, dans ce cas, à couvrir leurs propres créances et les frais. Le solde est remis à l'office des poursuites.265
SchKG, weil
gesetzwidrig, aufzuheben.
Ende Juli 1934 ist der Schuldner gestorben.
C. - Die kantonale Aufsichtsbehörde hat am 15. November 1934 die Beschwerde
abgewiesen.
D. - Diesen Entscheid haben die Rekurrenten an das Bundesgericht
weitergezogen.
Die Schuldbetreibungs- und Konkurskammer zieht in Erwägung:
1.- Der Vorinstanz ist ohne weiteres darin beizustimmen, dass Rechtsanwalt Dr.
Treadwell als zur Beschwerdeführung und Weiterziehung ermächtigt anzusehen war
und ist.
2.- Eine Betreibung ist nicht abgeschlossen, bevor die

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zehntägige Frist zur Beschwerde gegen die Verwertung abgelaufen ist, mit
andern Worten: einer binnen zehn Tagen seit der Verwertung geführten
Beschwerde kann nicht entgegengehalten werden, sie sei nicht mehr zulässig,
weil das Betreibungsverfahren bereits abgeschlossen sei. Trotz der
vorausgegangenen spezifizierten Mitteilung des Verwertungsbegehrens lief die
Frist zur Beschwerde gegen die Art der Verwertung noch während zehn Tagen seit
deren Vornahme. Und schon der ursprünglich gestellte Beschwerdeantrag umfasst
den Angriff auf die am 3. März zur Anwendung gebrachte Verwertungsart.
3.- In der Tat können nur Geldforderungen auf diese Art verwertet werden. Dies
ist freilich nur in Art. 131 Abs. 1
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP)
LP Art. 131 - 1 Si tous les créanciers saisissants le demandent, les créances du débiteur non cotées à la bourse ou au marché leur sont données en paiement, ou à l'un d'eux pour leur compte, à la valeur nominale. Dans ce cas, les créanciers sont subrogés aux droits du débiteur jusqu'à concurrence de leurs créances.
1    Si tous les créanciers saisissants le demandent, les créances du débiteur non cotées à la bourse ou au marché leur sont données en paiement, ou à l'un d'eux pour leur compte, à la valeur nominale. Dans ce cas, les créanciers sont subrogés aux droits du débiteur jusqu'à concurrence de leurs créances.
2    Si tous les créanciers saisissants sont d'accord, tous ou certains d'entre eux peuvent, sans préjudice de leurs droits contre le débiteur poursuivi, faire valoir des prétentions saisies en leur nom, à leur compte et à leurs risques et périls. Ils doivent y être autorisés par l'office des poursuites. La somme qu'ils pourront obtenir servira, dans ce cas, à couvrir leurs propres créances et les frais. Le solde est remis à l'office des poursuites.265
SchKG für die Anweisung an Zahlungsstatt
ausdrücklich gesagt, für die es selbstverständlich gelten muss, während Abs. 2
allgemeiner von der Übernahme der Eintreibung eines «Anspruchs» spricht.
Jedoch liegt die Beschränkung auf Geldforderungen der näheren Ausgestaltung
dieser Verwertungsart durch das Betreibungsformular Nr. 34 zu Grunde, das im
Gegensatz zum Konkursformular Nr. 7 über die Abtretung von Rechtsansprüchen
der Konkursmasse gemäss Art. 260
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP)
LP Art. 260 - 1 Si l'ensemble des créanciers renonce à faire valoir une prétention, chacun d'eux peut en demander la cession à la masse.465
1    Si l'ensemble des créanciers renonce à faire valoir une prétention, chacun d'eux peut en demander la cession à la masse.465
2    Le produit, déduction faite des frais, sert à couvrir les créances des cessionnaires dans l'ordre de leur rang et l'excédent est versé à la masse.
3    Si l'ensemble des créanciers renonce à faire valoir une prétention et qu'aucun d'eux n'en demande la cession, cette prétention peut être réalisée conformément à l'art. 256.466
SchKG als Gegenstand der Überweisung nur
ziffermässig bestimmte «Forderungsbeträge» vorsieht und nur die bloss auf
eingetriebene Geldforderungen zugeschnittene Klausel enthält: «Ist die
Ermächtigung einem einzelnen Gläubiger erteilt worden, so kann er das Ergebnis
der Geltendmachung der Forderung nach Abzug der Kosten zur Deckung seiner
Forderung laut Betreibung Nr.... zurückbehalten. Ein Überschuss ist dem
Betreibungsamt zuhanden der übrigen Pfändungsgläubiger abzuliefern», dagegen
nicht die weitere Klausel des Konkursformulars Nr. 7: «Besteht das Ergebnis
nicht in barem Gelde, so ist es der Konkursverwaltung (hier: dem
Betreibungsamt) behufs Vornahme der Verwertung einzuhändigen». Allermindestens
hätte die Vorinstanz bei ihrer gegenteiligen Ansicht diese selbstverständliche
Kautel beachten müssen, anstatt zu dem auch noch unter

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anderen Gesichtspunkten abzulehnenden Ergebnis zu gelangen: «Gibt alsdann der
Drittschuldner die Sache heraus, so erlangt der Ersteigerer bezw. der
eingewiesene Gläubiger daran zwar nicht das Eigentum, wohl aber das Recht, die
Sache freihändig zu verkaufen und den Erlös zu seiner Befriedigung zu
verwenden. Dabei ist der Ersteigerer weder dem Amt noch dem Schuldner
Rechenschaft schuldig, der angewiesene Gläubiger nur insofern, als er einen
allfälligen Überschuss dem Amt abzuliefern hat.»
4.- Indessen erweist sich auch jede andere Art der Verwertung eines solchen
Anspruchs als unzulässig. Art. 91
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP)
LP Art. 91 - 1 Le débiteur est tenu, sous menace des peines prévues par la loi:
1    Le débiteur est tenu, sous menace des peines prévues par la loi:
1  d'assister à la saisie ou de s'y faire représenter (art. 323, ch. 1, CP182);
2  d'indiquer jusqu'à due concurrence tous les biens qui lui appartiennent, même ceux qui ne sont pas en sa possession, ainsi que ses créances et autres droits contre des tiers (art. 163, ch. 1, 323, ch. 2, CP)183.
2    Si le débiteur néglige sans excuse suffisante d'assister à la saisie ou de s'y faire représenter, l'office des poursuites peut le faire amener par la police.
3    À la réquisition du préposé, le débiteur est tenu d'ouvrir ses locaux et ses meubles. Au besoin, le préposé peut faire appel à la force publique.
4    Les tiers qui détiennent des biens du débiteur ou contre qui le débiteur a des créances ont, sous menace des peines prévues par la loi (art. 324, ch. 5, CP), la même obligation de renseigner que le débiteur.
5    Les autorités ont la même obligation de renseigner que le débiteur.
6    L'office des poursuites attire expressément l'attention des intéressés sur leurs obligations ainsi que sur les conséquences pénales de leur inobservation.
SchKG verpflichtet den Schuldner, allfällig
auch diejenigen Vermögensgegenstände anzugeben, welche sich nicht in seinem
Gewahrsam befinden; Art. 98, Abs. 2 und 4, sieht die Pfändung und Besitznahme
von in den Händen eines dritten Besitzers (Pfandgläubigers) befindlichen
beweglichen Sachen vor, und Art. 109
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP)
LP Art. 109 - 1 Sont intentées au for de la poursuite:
1    Sont intentées au for de la poursuite:
1  les actions fondées sur l'art. 107, al. 5;
2  les actions fondées sur l'art. 108, al. 1, lorsque le défendeur est domicilié à l'étranger.
2    Lorsque l'action fondée sur l'art. 108, al. 1, est dirigée contre un défendeur domicilié en Suisse, elle est intentée au domicile de ce dernier.
3    Le for des actions relatives aux droits sur un immeuble est, dans tous les cas, au lieu de situation de l'immeuble ou de la partie de l'immeuble qui a la valeur la plus élevée.
4    Le juge avise l'office des poursuites de l'introduction de l'action et du jugement définitif. ...228
5    En tant qu'elle concerne les objets litigieux, la poursuite est suspendue jusqu'au jugement définitif et les délais pour requérir la réalisation (art. 116) ne courent pas.
SchKG setzt voraus, dass solche Sachen
gepfändet werden und nicht etwa bloss der Anspruch des Betriebenen gegen den
Gewahrsamsinhaber auf deren Herausgabe. Hieraus hat das Bundesgericht auf die
Unzulässigkeit der Pfändung des blossen (dinglichen) Herausgabeanspruches des
Eigentümers geschlossen, hauptsächlich aus dem Grunde, weil die Interessen des
Betriebenen durch eine vor der Erledigung allfälliger Drittansprachen
erfolgende Verwertung des Herausgabeanspruches - anstatt der Verwertung der
Sache selbst nach im Widerspruchsverfahren erfolgter Erledigung von
Drittansprachen - allzu empfindlich beeinträchtigt werden könnten (BGE 41 III
S. 387
, 44 III S. 19). Überdies stände eine Verwertung des blossen
Herausgabeanspruches im Widerspruch zur Vorschrift des Art. 129 Abs. 2
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP)
LP Art. 129 - 1 Le paiement doit être effectué immédiatement après l'adjudication. Le préposé aux poursuites peut toutefois accorder un terme de 20 jours au plus. La remise n'a lieu que lorsque l'office des poursuites peut disposer du montant de manière irrévocable.258
1    Le paiement doit être effectué immédiatement après l'adjudication. Le préposé aux poursuites peut toutefois accorder un terme de 20 jours au plus. La remise n'a lieu que lorsque l'office des poursuites peut disposer du montant de manière irrévocable.258
2    Le paiement peut être effectué au comptant jusqu'à 100 000 francs. Si le prix est plus élevé, le paiement du montant excédentaire doit être effectué par l'entremise d'un intermédiaire financier au sens de la loi du 10 octobre 1997 sur le blanchiment d'argent259. Le préposé aux poursuites détermine le mode de paiement.260
3    Si le paiement n'est pas effectué dans le délai, l'office ordonne une nouvelle enchère à laquelle l'art. 126 est applicable.261
4    Le précédent adjudicataire et ses cautions sont tenus de la moins-value sur le prix des premières enchères, ainsi que de tout autre dommage. La perte d'intérêt est calculée au taux de 5 %.
SchKG,
wonach die Verwertung beweglicher Sachen deren Übergabe in sich schliesst.
Dementsprechend wird schon die (die Verwertung vorbereitende) Pfändung einer
beweglichen Sache, sei es auch in Gestalt des Herausgabeanspruches, verpönt,
wenn sie dem Ersteigerer nicht übergeben werden könnte, weil sie sich bei
einem Dritten im Ausland

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befindet (BGE 41 III S. 291, insbesondere S. 293 Erw. 2); die hier streitigen
Aktientitel sollen ja aber in New-York sein.
Während die bisherige Rechtsprechung für den dinglichen Herausgabeanspruch des
Eigentümers entwickelt worden ist, wird der hier gepfändete Herausgabeanspruch
aus einem Hinterlegungsvertrag hergeleitet und ist insofern obligatorischer
Natur. Allein es steht dahin, ob das (blosse) Rückforderungsrecht des
Hinterlegers überhaupt ein «Vermögensgegenstand» desselben sei, der gepfändet
und verwertet werden könnte; man braucht nur an die jedem Richter
naheliegenden Beispiele des Schiedsrichters, der den Streitgegenstand, oder
des privaten Erbschaftsliquidators, der Erbschaftsgegenstände durchaus
korrekterweise im eigenen Namen hinterlegt, zu denken, um sich von der
Unmöglichkeit der Pfändung und Verwertung des Herausgabeanspruches aus
Hinterlegungsvertrag zu überzeugen im Falle, dass der Hinterleger die
hinterlegte Sache zur Verfügung eines fremden Eigentümers halten muss.
Voraussetzung der Pfändbarkeit und Verwertbarkeit des Rückforderungsrechtes
des Hinterlegers müsste also sein, dass es mit dem (dinglichen)
Herausgabeanspruch des Eigentümers zusammentrifft. Im vorliegenden Falle sind
denn auch die Arrestierung und Pfändung gerade im Hinblick auf das Eigentum
des Rechtsvorgängers der Rekurrenten an den hinterlegten Aktien verlangt
worden. Will und kann aber nicht ein bloss obligatorischer Herausgabeanspruch,
sondern der mit ihm zusammenfallende dingliche Herausgabeanspruch des
Eigentümers gepfändet und verwertet werden, so scheitert dies an den bereits
erörterten Hindernissen.
Übrigens ist nicht erfindlich, wie ein bloss obligatorischer
Herausgabeanspruch aus Hinterlegungsvertrag überhaupt verwertet werden könnte.
Selbst wenn man die Verwertungsart der Übernahme zur Eintreibung zulassen
wollte, so müsste für den Fall, dass nicht sämtliche pfändenden Gläubiger sie
verlangen, auch die Versteigerung möglich

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sein. Kann aber der Ersteigerer (gleichwie der eintreibende Gläubiger) nicht
ohne weiteres Eigentümer der an ihn herauszugebenden Sache werden, wie die
Vorinstanz selbst zugibt, so versteht sich keineswegs von selbst, dass er sie
verwerten dürfe, sondern könnte er das Recht zur Verwertung nur daraus
herleiten, dass er (oder der eintreibende Gläubiger) die herausgegebene Sache
zunächst dem Betreibungsamt zur Pfändung herausgäbe, entsprechend dem oben zum
Konkursformular Nr. 7 Gesagten. Alsdann müsste aber mit der Geltendmachung von
Drittansprüchen im Widerspruchsverfahren gerechnet werden, welche die
Vorinstanz einfach aufopfern zu wollen scheint. Indessen lässt sich bei dieser
Perspektive überhaupt kein dem Werte der Sache einigermassen entsprechendes
Steigerungsangebot erwarten, weshalb diese Verwertungsart nicht im Widerspruch
zu den eingangs angeführten Vorschriften zum Schaden des Schuldners zugelassen
werden darf. Es ist auch gar nicht nötig, den Umweg über die Verwertung des
Herausgabeanspruches zu machen; denn wenn die herauszugebende Sache nicht dem
Betriebenen gehört, so führt die Verwertung doch zu nichts, und wenn sie ihm
gehört, so kann sie nach den bereits angeführten Vorschriften vom
Betreibungsamt direkt gepfändet, behändigt und verwertet werden. Die Art. 122
ff
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP)
LP Art. 122 - 1 Les biens meubles, y compris les créances, sont réalisés par l'office des poursuites dix jours au plus tôt et deux mois au plus tard à compter de la réception de la réquisition.246
1    Les biens meubles, y compris les créances, sont réalisés par l'office des poursuites dix jours au plus tôt et deux mois au plus tard à compter de la réception de la réquisition.246
2    Les récoltes pendantes ne peuvent être réalisées avant maturité sans le consentement du débiteur.
. SchKG sehen überhaupt nur den «Verkauf» der beweglichen Sachen und der
Forderungen vor, und unter letzteren sind ebensowenig wie bei dem bereits
erörterten Art. 91
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP)
LP Art. 91 - 1 Le débiteur est tenu, sous menace des peines prévues par la loi:
1    Le débiteur est tenu, sous menace des peines prévues par la loi:
1  d'assister à la saisie ou de s'y faire représenter (art. 323, ch. 1, CP182);
2  d'indiquer jusqu'à due concurrence tous les biens qui lui appartiennent, même ceux qui ne sont pas en sa possession, ainsi que ses créances et autres droits contre des tiers (art. 163, ch. 1, 323, ch. 2, CP)183.
2    Si le débiteur néglige sans excuse suffisante d'assister à la saisie ou de s'y faire représenter, l'office des poursuites peut le faire amener par la police.
3    À la réquisition du préposé, le débiteur est tenu d'ouvrir ses locaux et ses meubles. Au besoin, le préposé peut faire appel à la force publique.
4    Les tiers qui détiennent des biens du débiteur ou contre qui le débiteur a des créances ont, sous menace des peines prévues par la loi (art. 324, ch. 5, CP), la même obligation de renseigner que le débiteur.
5    Les autorités ont la même obligation de renseigner que le débiteur.
6    L'office des poursuites attire expressément l'attention des intéressés sur leurs obligations ainsi que sur les conséquences pénales de leur inobservation.
SchKG Herausgabeansprüche zu verstehen.
Zu den Vermögensbestandteilen anderer Art, für die gemäss Art. 132
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP)
LP Art. 132 - 1 Lorsqu'il s'agit de biens non spécifiés aux articles précédents, tels qu'un usufruit, une part dans une succession indivise, dans une indivision de famille, dans une société ou dans une autre communauté, le préposé demande à l'autorité de surveillance de fixer le mode de réalisation.
1    Lorsqu'il s'agit de biens non spécifiés aux articles précédents, tels qu'un usufruit, une part dans une succession indivise, dans une indivision de famille, dans une société ou dans une autre communauté, le préposé demande à l'autorité de surveillance de fixer le mode de réalisation.
2    La même règle est valable pour la réalisation des inventions, des titres de protection des variétés, des dessins et modèles industriels, des marques de fabrique et de commerce et des droits d'auteur.267
3    Après avoir consulté les intéressés, l'autorité peut ordonner la vente aux enchères, confier la réalisation à un gérant ou prendre toute autre mesure.
SchKG das
Verwertungsverfahren in jedem einzelnen Falle von den Aufsichtsbehörden
besonders zu bestimmen wäre, kann ein Herausgabeanspruch nicht gerechnet
werden, da die beispielsweise Aufzählung der Nutzniessung und des Anteiles an
Gemeinschaftsvermögen zeigt, dass hierunter ganz andere Rechtsverhältnisse zu
verstehen sind.
Kann somit auf keine Weise zur Verwertung des

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gepfändeten Anspruches geschritten werden, so ist nicht bloss die rechtzeitig
angefochtene Überweisung zur Eintreibung, sondern auch die Pfändung, obwohl
nicht binnen zehn Tagen mit Beschwerde angefochten, als nichtig, weil keine
Grundlage für eine anschliessende Verwertung bildend, aufzuheben. Mit den
Arresten braucht man sich nicht mehr zu befassen, weil sie durch die Pfändung
ersetzt worden sind und übrigens infolge Erlöschens der
Prosequierungsbetreibung gemäss Art. 88 Abs. 2
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP)
LP Art. 88 - 1 Lorsque la poursuite n'est pas suspendue par l'opposition ou par un jugement, le créancier peut requérir la continuation de la poursuite à l'expiration d'un délai de 20 jours à compter de la notification du commandement de payer.
1    Lorsque la poursuite n'est pas suspendue par l'opposition ou par un jugement, le créancier peut requérir la continuation de la poursuite à l'expiration d'un délai de 20 jours à compter de la notification du commandement de payer.
2    Ce droit se périme par un an à compter de la notification du commandement de payer. Si opposition a été formée, ce délai ne court pas entre l'introduction de la procédure judiciaire ou administrative et le jugement définitif.
3    Un reçu de la réquisition de continuer la poursuite est délivré gratuitement au créancier qui en fait la demande.
4    À la demande du créancier, une somme en valeur étrangère peut être convertie de nouveau en valeur légale suisse au cours du jour de la réquisition de continuer la poursuite.
SchKG ohnehin dahingefallen
wären.
Demnach erkennt die Schuldbetr.- u. Konkurskammer:
Der Rekurs wird dahin begründet erklärt, dass die Anweisung gemäss Art. 131
Abs. 2
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP)
LP Art. 131 - 1 Si tous les créanciers saisissants le demandent, les créances du débiteur non cotées à la bourse ou au marché leur sont données en paiement, ou à l'un d'eux pour leur compte, à la valeur nominale. Dans ce cas, les créanciers sont subrogés aux droits du débiteur jusqu'à concurrence de leurs créances.
1    Si tous les créanciers saisissants le demandent, les créances du débiteur non cotées à la bourse ou au marché leur sont données en paiement, ou à l'un d'eux pour leur compte, à la valeur nominale. Dans ce cas, les créanciers sont subrogés aux droits du débiteur jusqu'à concurrence de leurs créances.
2    Si tous les créanciers saisissants sont d'accord, tous ou certains d'entre eux peuvent, sans préjudice de leurs droits contre le débiteur poursuivi, faire valoir des prétentions saisies en leur nom, à leur compte et à leurs risques et périls. Ils doivent y être autorisés par l'office des poursuites. La somme qu'ils pourront obtenir servira, dans ce cas, à couvrir leurs propres créances et les frais. Le solde est remis à l'office des poursuites.265
SchKG und die Pfändung aufgehoben werden.